La Suisse placée sur la liste “grise” des paradis fiscaux de l’Union européenne

Les ministres européens de l'Economie et des Finances se sont réunis à Bruxelles pour établir une liste de paradis fiscaux. [Dursun Aydemir - Anadolu Agency/AFP] 

Ndlr : enfin des remerciements de l'UE à la Suisse pour les 1,3 millards offerts sans contrepartie !

 

Les ministres des Finances de l'Union européenne ont adopté mardi leur liste noire des paradis fiscaux. Cette dernière compte dix-sept pays, hors des frontières de l'UE. La Suisse figure sur une liste "grise".

Après une série de révélations sur l'évasion fiscale, les pays membres de l'Union européenne (UE) sont tombés d'accord, en février dernier, pour dresser cette liste des "juridictions non coopératives". Les Etats dans le viseur de l'UE possèdent bon nombre de sociétés-écrans.

La Suisse, elle, n'y figure pas. En revanche, elle a été placée sur une "watch list", ou liste de surveillance. Ces pays ont pris des engagements vis-à-vis de Bruxelles, mais ne les ont pas encore respectés. Selon le ministre français de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire, 47 pays ont été placés sur cette liste "grise".

17 paradis fiscaux

La liste noire comprend des pays qui, malgré dix mois de discussions, n'ont pas pris les engagements nécessaires.

Selon une source diplomatique, les 17 pays qui figurent sur la liste noire sont les suivants: Bahreïn, Barbade, Corée du Sud, Emirats arabes unis, Grenade, Guam, Îles Marshall, Macao, Mongolie, Namibie, les Palaos, Panama, Samoa, les Samoa américaines, Sainte Lucie, Trinidad et Tobago et Tunisie.

Source RTS

Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables

Communiqué de presse UDC Suisse, le 23 novembre 2017Le Conseil fédéral a accordé une fois de plus aujourd'hui à l'UE un dit "versement pour la cohésion", soit 1302 millions de francs, sans obtenir une contrepartie notable de Bruxelles.  Comme de coutume, la majorité du gouvernement continue ainsi de placer les intérêts de l'UE au-dessus de ceux de son propre pays. 

 

Comment expliquer autrement la décision du Conseil fédéral de verser une fois de plus 1,302 milliard de francs d'argent des contribuables à l'UE sans obtenir une contrepartie d'une valeur au moins approchante? Juste pour se faire valoir auprès de Jean-Claude Juncker, président de la Commission UE en visite à Berne, la présidente PDC de la Confédération lui a fait ce cadeau de Noël anticipé aux frais des contribuables suisses. Dans son habituelle attitude de soumission face à l'UE, le gouvernement helvétique joue ses atouts alors que le jeu n'a même pas encore véritablement commencé. Un diplomate agissant de manière aussi maladroite et non professionnelle en ignorant les intérêts de son pays serait immédiatement remplacé. Et comme si cela ne suffisait pas, la présidente de la Confédération Doris Leuthard a confirmé la volonté du Conseil fédéral de conclure un accord-cadre sur la reprise automatique de droit et la reconnaissance de juges UE, traité qui fera de la Suisse une colonie du moloch bureaucratique et antidémocratique bruxellois.

Il va de soi que l'UDC se battra de toutes ses forces dans le cadre de la procédure de consultation et des débats parlementaires contre ce scandaleux gaspillage d'argent appartenant au peuple. Elle invite aussi avec insistance le Conseil fédéral à ne pas faire de promesses à l'UE avant la décision du Parlement, même si cela est sans doute trop tard aujourd'hui. Quant au nouveau ministre PLR des affaires étrangères, il est appelé à assumer ses responsabilités, se séparer des diplomates du DFAE trop proches de l’UE et à défendre avec force les intérêts de la Suisse conformément à la volonté du souverain et à la Constitution fédérale.

 

 

L’agriculture française se meurt, l’Union Européenne l’achève

Par Marie de Rossi, ingénieure dans le secteur agroalimentaire en France, 

Après avoir poussé à la faillite les éleveurs de porcs et producteurs de lait français il y a quelques années, Bruxelles pourrait porter un coup fatal à l’agriculture tricolore si elle continue de céder à tous les lobbies écologistes.

« J’espère que les États généraux de l’alimentation ne seront pas une grande foutaise comme la COP21. » Invité sur France Inter le 14 août dernier, le célèbre critique gastronomique et rédacteur en chef de « Marianne » Périco Légasse a eu du mal à cacher son inquiétude au sujet de la table ronde organisée par Emmanuel Macron jusqu’en novembre. Le but de cette mobilisation orchestrée par le gouvernement ? Sortir les nombreuses petites exploitations agricoles françaises de l’impasse — voire du gouffre. Et il y a urgence : si rien n’est fait, en 2018, près de 20 000 d’entre elles pourraient disparaître.
C’est que, ces dernières années, les difficultés se sont accumulées pour les agriculteurs tricolores. La France a connu successivement une crise dans le secteur porcin et une autre dans le secteur laitier. Deux événements majeurs qui ont démontré les faiblesses — et la dangerosité — d’un système à bout de souffle mais n’ont pas apporté de réformes notables.

Des crises alimentées par les décisions européennes

En février 2014, le secteur porcin français est en péril : dérégulation du marché commun, hausse du coût de l’alimentation des cochons et embargo russe sur la viande porcine européenne mettent à genoux les éleveurs français. Les exportations s’effondrent et les dettes s’accumulent pour les exploitants agricoles.
Paris avait pourtant tenté de batailler avec la grande distribution et Bruxelles, en fixant, au début de la crise, un prix d’achat de la viande de porc à 1,40 euro le kilo. Une décision censée permettre aux éleveurs de profiter d’un montant correct et de se maintenir la tête hors de l’eau. Mais les prix sur le marché ont continué de fondre, et bon nombre d’industriels refusent alors d’acheter les produits français en préférant s’approvisionner autre part, comme en Allemagne.

Pourtant, dans la tempête, certaines enseignes de grande distribution comme Leclerc et Intermarché assuraient qu’elles continueraient tout de même de se fournir au prix initial de 1,40 euro le kilo, alors que celui-ci est descendu à 1,07 euro. Un choix souverain, patriotique et solidaire que goûte modérément la Commission européenne, qui lance une enquête pour entrave à la concurrence étrangère et menace les grandes surfaces de leur infliger une amende à hauteur de 5 % de leur chiffre d’affaires. Une décision qui enfonce encore davantage les éleveurs français.

Quelques semaines plus tard éclate en France la crise du lait, provoquée là encore par une dérèglementation excessive du marché européen. Chute des prix, un taux de cessation d’activité dans les exploitations françaises qui avoisine les 10 %, des milliers de producteurs au bord de la faillite… les répercussions ne se sont pas fait attendre.
Pour Périco Légasse, tout le schéma économique de l’agroalimentaire en Europe est à revoir ; le libéralisme financier défendu par Bruxelles a inévitablement conduit les grandes entreprises à exercer de fortes activités de lobbying sur les parlementaires. Conséquences : baisse des prix, moins de réglementations, allègements des conditions de traçabilité des produits européens… Les agriculteurs français sont confrontés à une véritable concurrence déloyale qui mine leur chiffre d’affaires.

La fin du glyphosate coûterait 976 millions d’euros

Le secteur agricole pourrait ne pas être au bout de ses peines. En cause : la mesure d’interdiction du glyphosate au sein de l’UE que pourrait prendre Bruxelles d’ici quelques mois, alors qu’une pétition, lancée sous forme d’initiative citoyenne européenne (ICE), pour forcer la Commission à se pencher sur la question a recueilli le million de signatures requis en juin dernier. L’exécutif européen s’était pourtant déjà prononcé indirectement sur l’avenir du désherbant, en renouvelant sa licence en 2016, et ceci juste avant que l’Agence européenne pour la sécurité des aliments (EFSA) précise que le glyphosate n’est pas cancérogène, comme le prétendent ses détracteurs. Une conclusion de l’EFSA partagée par quasiment l’ensemble des instituts scientifiques indépendants dans le monde.

De l’avis d’un grand nombre de spécialistes, un revirement de la part de Bruxelles serait catastrophique pour les agriculteurs européens en général, et français en particulier. D’après une étude conduite en 2012 par Envilys, société d’expertise et de conseil en agronomie et environnement, « le glyphosate est utilisé en France sur 38 % des surfaces cultivées en blé et colza, 26 % de celles cultivées en orge et 25 % de celles cultivées en tournesol. » Un « poids considérable » qui s’explique notamment « par son efficacité agronomique qui permet de lutter contre le développement des résistances et la saturation des sols », si bien qu’« il n’existe pas d’alternative technique réelle au glyphosate pour éliminer durablement les plantes vivaces ». Des substituts à ce désherbant se trouvent, mais pour un bilan écologique et économique plus lourd à supporter.

Le think thank « Fondation Concorde » a évalué l’impact que pourrait représenter l’interdiction du glyphosate et son constat est sans appel : « Le total général du coût associé à la fin du glyphosate pour les seules activités agricoles est de 976 millions d’euros », sans compter les conséquences sur l’environnement. En effet, les techniques de substitution au glyphosate pourraient être bien plus risquées que son emploi. Parmi celles-ci : le recours à des molécules plus dangereuses utilisées de manières plus intensives — car moins efficaces — et la résurgence du « labour profond », « de moins en moins pratiqué, car […] considéré comme trop préjudiciable à la fertilité des sols ». Une décision qui entrainerait par ailleurs le retour en trombe des tracteurs et, donc, des émissions de CO2 désastreuses pour la planète.

En somme, l’interdiction du glyphosate ne ferait que renchérir inutilement les coûts de production supportés par les agriculteurs, déjà soumis à un marché européen dérégulé et crisogène.

Marie de Rossi

 

Appel URGENT d’un économiste viré de BFM

L'économiste Olivier Delamarche, viré de BFM Business en mai dernier pour ses prises de positions dérangeantes, fait une vidéo pour alerter les Français sur la mesure prise en catimini par l'Union Européenne pendant que les Français sont en vacance.
L'Etat à maintenant le droit de geler nos compte en banque pour renflouer les banques en faillites. Votre argent ne vous appartient plus !

Suisse versus Union européenne : après le Brexit, le Suissexit ?

Il peut paraître curieux de parler de Suissexit, alors que la Confédération helvétique ne fait pas partie de l’Union européenne (UE). Bien que non-membre, la Suisse est cependant signataire des conventions de Schengen (suppression des contrôles aux frontières, mise en commun des politiques de visas et d’immigration) et de Dublin (droit d’asile européen).

Elle a également conclu des accords bilatéraux avec Bruxelles, une première fois entre 1999 et 2002 (agriculture, libre circulation des personnes, marchés publics, obstacles au commerce, recherche, transport), et une deuxième fois entre 2002 et 2008 (environnement, fiscalité de l'épargne, lutte contre la fraude et la contrebande, produits agricoles transformés, pensions et retraites, éducation, statistiques, et coopération en matière de justice, sécurité, asile et migration, avec justement la signature des conventions de Schengen et de Dublin).

Dès l'entrée en vigueur de l'accord sur la libre circulation des personnes, l'immigration en provenance de l'UE augmente, en passant dans un premier temps à 50'000 habitants supplémentaires par an jusqu'en 2006, puis à 80'000 habitants supplémentaires par an dès 2007. Face à cet afflux, le parti UDC (Union démocratique du centre) lance une initiative populaire "contre l'immigration de masse" acceptée en votation le 9 février 2014 par 50,3% des voix.

Ce résultat modifie la Constitution fédérale avec les ajouts suivants :
"La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers.
Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels (...)
Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale (...)
La loi règle les modalités."

Pour préserver les bilatérales, le parlement vote cependant une loi d'application light le 16 décembre 2016 :
"Le Conseil fédéral arrête des mesures visant à épuiser le potentiel qu’offre la main d’oeuvre en Suisse. (...)
Lorsque certains groupes de profession, domaines d’activités ou régions économiques enregistrent un taux de chômage supérieur à la moyenne, il y a lieu de prendre des mesures limitées dans le temps visant à favoriser les personnes enregistrées auprès du service public de l’emploi en tant que demandeurs d’emploi. (...)
Les postes vacants dans des groupes de profession, domaines d’activités ou régions économiques qui enregistrent un taux de chômage supérieur à la moyenne doivent être communiqués par les employeurs au service public de l’emploi"
Dans cette loi d'application light, il n'y a ni plafonds, ni contingents, ni principe de préférence nationale. L'UDC crie donc à la trahison, la volonté populaire étant bafouée, et la nouvelle disposition constitutionnelle n'étant pas mis en oeuvre.

La riposte ne se fait pas attendre : dès début 2017, un groupe de travail réunissant des membres de l'UDC et de l'ASIN (Association pour une Suisse indépendante et neutre) développent trois variantes en vue de lancer une nouvelle initiative populaire pour la restriction de la libre circulation. Le 4 mai 2017, l'UDC et l'ASIN rendent public ces trois variantes, qui sont examinées lors de l'assemblée générale de l'ASIN du 6 mai. Les voici :

  1.  résiliation de l'accord sur la libre circulation des personnes avec l'UE
  2. interdiction du principe de la libre circulation des personnes, et résiliation de l'accord y relatif
  3. interdiction du principe de la libre circulation des personnes, interdiction qui est prioritaire par rapport aux traités internationaux

Ces variantes seront examinées lors de l'assemblée des délégués de l'UDC le 24 juin, avec pour objectif de lancer une initiative populaire d'ici la fin de l'année. Cette initiative sera la première étape du Suissexit, car si elle est acceptée en votation populaire, l'UE risque bien de considérer qu'avec la résiliation d'un accord (libre circulation des personnes), c'est en fait tous les autres accords bilatéraux qui deviennent caducs (principe de la «clause guillotine»).

L'UDC va également déposer une deuxième initiative populaire, dite pour l'autodétermination ("le droit suisse au lieu de juges étrangers"). Elle vise à préserver notre liberté et notre indépendance de l'ingérence du droit étranger, en particulier européen, via sa reprise en raison d'accords internationaux (bilatérales, Schengen, Dublin, etc.). Si cette deuxième initiative est acceptée en votation populaire, ce sera la deuxième étape du Suissexit.

Une troisième votation est également à prévoir. En effet, l'Union européenne a adopté récemment une directive restreignant l'achat et la détention légale d'armes dans l'espace Schengen. La loi suisse sur les armes devrait donc être modifiée, la Suisse ayant signé la convention de Schengen et étant membre de cet espace depuis 2008 (au sujet de la pression mise par la Commission européenne dans le processus ayant conduit à l'adoption de cette directive: http://actufreddeion.blogspot.ch/2017/02/interview-de-la-deputee-europeenne-dita.html)

Cependant, cette nouvelle directive va à l'encontre aussi bien du service militaire obligatoire en vigueur dans l'armée suisse de milice (les soldats devant garder leur fusil d'assaut à leur domicile, entre deux cours de répétition), que de la tradition très populaire du tir sportif (la Fédération suisse de tir est la troisième plus grande association sportive avec 175'000 membres), sans parler de toutes les personnes résidant en Suisse qui s'adonnent au tir sans être affilié à un club (pour en savoir plus sur ce que prévoit cette nouvelle directive: http://actufreddeion.blogspot.ch/2016/12/nouvelle-directive-europeenne-sur-les.html)

Enfin et surtout, cette directive européenne criminalise les tireurs, chasseurs, collectionneurs et détenteurs d'armes, sans contribuer en quoique ce soit à la lutte contre les terroristes, qui utilisent soit des véhicules béliers (Nice, Berlin, Londres, Stockholm), des armes blanches (Magnanville, Wurtzbourg, St-Etienne-du-Rouvray) ou des armes achetées illégalement sur le marché noir, et pas légalement chez un armurier (attentats de Paris). Le seul effet de cette directive est donc de stigmatiser les détenteurs d'armes, de soupçonner toute la population, et de grossir les rangs des adversaires de l'Union européenne : mouvements qui s'opposent à cet "EU Gun ban" dans toute l'Europe, #iamthegunlobby, http://firearms-united.com/fr/. Ils s'ajoutent aux anti-Européens de tous bords, et aux partis politiques dits "populistes" qui font de la résistance à Bruxelles leur cheval de bataille prioritaire.

Bien que le parlement suisse n'ait pas encore adapté la loi suisse sur les armes à cette nouvelle directive européenne, la résistance s'organise déjà :

  • pétition en ligne, avec déjà près de 10'000 signatures : https://www.finger-weg-vom-schweizer-waffenrecht.ch/2017/04/offener-brief-an-den-bundesrat-nationalrat-staenderat/ 
  •  ProTell, association pour un droit libéral sur les armes et contre toutes restrictions de la possession d'armes par les citoyennes et citoyens responsables, a convoqué une assemblée générale extraordinaire le 17 juin. Le but ? Se mettre en ordre de bataille, en élisant un nouveau comité propre à défendre les droits et les libertés des tireurs.
  •  L'UDC (90'000 membres) a déjà annoncé qu'elle lancerait un référendum contre une nouvelle loi suisse sur les armes, si celle-ci reprenait les restrictions imposées par la nouvelle directive européenne (ce qui amènerait une votation populaire)

A l'occasion de ce référendum, si la population suisse rejette cette modification législative, et bien ce serait la troisième étape du Suissexit, la sortie de la Suisse de l'espace Schengen.

Fred Deion

 

L’Union Européenne, l’escroquerie du siècle !

Le 29 Mai 2005, 54,68 % de Français – (suffrages exprimés) – toutes catégories sociales confondues, ont répondu NON ! lors du Référendum sur la Constitution Européenne.

Malgré toute l'insistance dont les Français ont usé pour faire savoir au Gouvernement Sarkozy, que Non c'est Non ! Que de l'UE, une majorité de Français n'en voulait pas, et n'en voudrait jamais, Sarkozy et son équipe, appuyés des socialistes, ont cyniquement posé leur fondement sur le résultat pourtant bien explicite de la part des Français.

NON ! NEIN ! NO ! NADA !

Mais dans quelle langue fallait-il le leur dire pour nous faire comprendre ?

Suite

Le Conseil fédéral s’aligne sur la politique d’endettement de l’UE

Le Conseil fédéral a décidé aujourd'hui de contourner partiellement le frein à l'endettement et de s'aligner sur la pratique des Etats UE au bord la faillite. L'UDC s'oppose à tout assouplissement du frein à l'endettement qui a fait ses preuves. Le gouvernement veut dépenser 850 millions de francs de plus pour le secteur de l'asile en 2017. S'il ne recourait pas à une astuce de bas étage, qui consiste à budgétiser 400 millions de francs au titre des dépenses extraordinaires pour éluder le frein à l'endettement, le déficit au budget 2017 serait d'environ 600 millions de francs. Compte tenu des grandes incertitudes économiques qui planent sur le monde en général et l'Europe en particulier, des démarches de ce genre entreprises par un gouvernement prétendument de droite sont plus qu'inquiétantes.

Le frein à l'endettement est une excellente recette bien helvétique. C'est grâce à ce système que la charge des intérêts a pu être réduite et que la marge de manœuvre dans le budget fédéral s'est constamment accrue. Sans véritable nécessité et en totale contradiction avec le rapport gouvernemental de novembre 2013 sur le frein à l'endettement, la majorité prétendument de droite du Conseil fédéral décide soudainement de ralentir le remboursement de la dette, donc d'affaiblir la résistance de la Suisse face à des crises économiques et financières. Compte tenu du défi financier énorme que représente la prévoyance vieillesse et des charges aujourd'hui déjà très lourdes pesant sur les jeunes actifs, cette politique est irresponsable. L'UDC s'y oppose catégoriquement.

Dans le cadre du budget 2017 de la Confédération, le Conseil fédéral propose au Parlement de comptabiliser dans les dépenses extraordinaires 400 des 850 millions supplémentaires nécessaires au secteur de l'asile. Le but est de dissimuler dans le budget une réalité que le Conseil fédéral s'obstine à nier: la politique d'asile et ses coûts échappent totalement au contrôle de l'Etat. Le Conseil fédéral pourrait donc invoquer l'art. 55 de la loi sur l'asile et, constatant une situation d'exception, supprimer le droit d'asile pour toutes les personnes provenant de pays sûrs ou de n'accepter plus que des requérants provenant de régions en guerre comme la Syrie. Or, le gouvernement s'y refuse. Il est donc d'autant plus nécessaire d'afficher ouvertement dans le budget les dépenses supplémentaires énormes que provoque cette mauvaise politique et de les soumettre ainsi au frein à l'endettement.

Il est aussi incompréhensible pourquoi le Conseil fédéral ne veut présenter qu'après la mise en œuvre du nouveau programme de stabilisation 2018-2020 les propositions visant à accroître la marge de manœuvre dans un budget corseté par les dépenses liées. L'UDC exige que ces propositions soient annoncées immédiatement et que des coupes supplémentaires soient envisagées dans les domaines qui ont connu une forte croissance ces dernières années comme la sécurité sociale, la formation et la recherche ainsi que les relations avec l'étranger.

Communiqué UDC, le 29 juin 2016

«L’effondrement de l’Union européenne est désormais inévitable»

Nous pensons que les élites qui ont construit cette UE bureaucratique, anti-démocratique et si éloignée des aspirations des citoyens – soutenues par notre presse traditionnelle « politiquement correcte » prompte à ostraciser les citoyens qui contestent sa légitimité – vont tout tenter pour empêcher son effondrement. A l’instar de Christine Ockrent qui, ce matin encore sur radio France culture, parlait d’une « déferlante populiste en Europe […] qui vote pour des mouvements populistes, xénophobes, pour aller dans le sens de ce que disait Glucksmann« . [Silvia Cattori.]

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Bravo mesdames et messieurs les Anglais !

Les Britanniques ont gagné. Le Royaume-Uni retrouve son indépendance, sa liberté. Nous pouvons constater devant la mine déconfite de nos représentants des médias d'états tels que France-Pravda-Télévision, TF1, AFP et autres BFMTV, RMC, I-télé, etc. que ces commentateurs sont des européistes convaincus. Les pseudo élites contre les peuples méprisés.

Nous constatons aussi les discours des politiciens, de ces gouverneurs de province de l'Union Européenne que sont devenus nos dirigeants…

La Grande Bretagne est, et sera encore gagnante demain, et sur tous les plans. Son histoire en est la preuve. Elle a toujours su se tirer des mauvais pas et jusqu'ici, a su  garder sa grandeur et sa force économique.

Sur toutes les radios, nous entendons les "désastres" annoncés pour les Anglais. La Grande Bretagne ne touchera plus rien de L'Europe en oubliant comme le fait Jacques Maillot, que les Britanniques  donnent bien plus à cette Europe qu'elle n'en reçoit, comme les Français d'ailleurs. Il faudrait tout de même le dire, l'Europe prélève bien plus qu'elle n'en redonne aux pays contributeurs, particulièrement les pays fondateurs. L'argent récolté va dans les poches du système administratif de Bruxelles et finance des pays en demande d'adhésion et particulièrement la Turquie.

Je disais dans les deux derniers articles sur ce sujet, (ICI et ICI) ô combien, je ne suis pas inquiet pour les Britanniques, bien au contraire. En sortant de cette Union liberticide, nous allons avoir à faire à un partenaire (de fait, quoiqu'on en dise) mais nouveau. Un partenaire qui sera bien plus libre et pourra exercer tous ses talents comme elle a su le faire durant toute son histoire.

Je n'oublie pas le blocus continental de l'Empire Français et les capacités de nuisances de la perfide Albion face à l'Empereur, mais aussi face à nos faibles républiques par la suite en Afrique et en Asie.

Certains rêvent de prendre la place de la Grande Bretagne et jettent les enseignements et les leçons du passé. Oubliez l'histoire, c'est se moquer des racines des peuples, c'est gâcher l'avenir et perdre son temps au présent. Ces doux "rêveurs" imaginent une déferlante financière sur Paris et sur le site de Puteaux-la Défense, quartier des affaires et territoire composé de tours et de marchands du temple.

Qui peut imaginer, hormis ces doux rêveurs, que nos dirigeants sauront profiter de ces éventuelles possibilités ?

Qui peut imaginer par exemple, que l'on puisse faire en France, un Paris de la finance ayant sa force de frappe à la Défense et remplaçant la City de Londres ?

Il faudrait pour cela, avoir des politiques courageux, pragmatiques, audacieux et libérés de leurs contingences politiciennes pour offrir par exemple, un espace libre de taxes et d'impôts ou du moins, de baisser drastiquement les effets nocifs d'une imposition française qui tue l'énergie, la finance et le travail. Sans compter les effets syndicaux et la violence des syndicalistes qui n'existent pas à Londres, jamais à la City.

Que la Grande Bretagne sorte n'est (peut-être) pas une bonne nouvelle pour les financiers, les multinationales, mais je ne me fais aucun souci pour eux. Ils trouveront une autre place financière s'il le faut. Je dirais même plus, ils ne partiront pas de Londres, car les britanniques trouveront les moyens (sonnants et trébuchants) pour qu'ils restent, en leur assurant par exemple, un paradis fiscal comme dans les Îles anglo-normandes. L'argent n'a pas d'odeur, pas plus pour Berlin que pour les autres Capitales européennes.

Écoutez nos politiciens de la socia-lie en larmes, sortant tous leur mouchoir sur l'ingratitude des Britanniques. Quel pitié que ce Hollande ! De grâce, Messieurs les Anglais, donnez-nous un Britannique ! Donnez-nous une femme, un homme ayant de la puissance, au lieu de cette pitoyable classe politique qui nous gouverne depuis quarante années.

Et puis, que pensez aussi de ce discours sur les populistes, l'extrême droite !  Depuis plus de dix ans, ceux-ci grimpent dans les sondages, puis gagnent des élections, et malgré la présence comme en France, d'un parti majoritaire comme le Front National, les commentateurs parlent encore de populisme, d'extrême droite. Quelle honte, mesdames, messieurs, les journalistes, ne voyez-vous pas que la colère gronde. Ne comprenez-vous pas que vous êtes hors sol, hors de la vie commune de tous ces français qui ne supportent plus vos discours alarmistes (Politiciens) ou soporifiques par ailleurs (Islam, immigration). Ne comprenez-vous pas que ces votes sont des appels identitaires, des appels au secours de peuples en danger, des cris de souffrance culturelle. Ne voyez-vous pas que vous êtes décalé avec vos petites idées, votre étroitesse d'esprit, vos petits intérêts personnels, vos carrières, votre entre soi, entre vous, dans vos salons, vos pré-carré, vos rédactions, vos Mairies, vos Palais ! Ne comprenez-vous qu'il est temps de donner la parole aux peuples avant qu'ils ne décident de vous couper le sifflet ?

Petit aparté footballistique tout de même, l'Euro des Nations est un leurre, que des supporters s'éclatent, en éclatant d'autres supporters ou en brisant des vitres, en faisant peur aux voyageurs dans les métros, dans les Bus, ne dura qu'un temps. Il aura au moins servi aux observateurs français à réaliser, encore une fois, que la diversité en France est plus importante qu'ailleurs, et que les Polonais par exemple, les Islandais également, se passent très bien de cette diversité, considérée comme étant forcément "qualitative". Vous, les décalés du bulbe, les affolés du multiculturalisme européen, ne comprenez-vous pas parce que trop idiot, où refusez-vous de prendre en compte la réalité de la vraie vie qui un jour, va vous exploser aux visages !

Les Britanniques ont compris que c'est le substrat même de leurs peuples qui était en cause. Ils ont compris avec l'élection du Maire de Londres que rien n'allait pouvoir interdire la montée d'un musulman comme Premier ministre, comme l'avait annoncé un député musulman. Ils ont compris aussi, aux réactions du nouveau Maire de Londres interdisant les publicités de femmes dévêtues, que bientôt c'est l'islam qui décidera pour eux.

Les jeunes dit-on, ont voté massivement pour rester dans l'Europe. Ce sont des êtres (des pigeons) voyageurs, la plupart, des incultes de l'historique, des consommateurs avant même d'être des citoyens. Les anciens, les plus de 60 ans ne sont pas de vieux cons comme nous pouvons parfois le comprendre dans les commentaires. L'intelligence ne se mesure pas à la chasse aux soldes à Londres. Non, c'est par un refus de la submersion, un appel à l'identité, à la culture, au passé, à l'honneur d'un peuple qui a décidé de rester ce qu'il est depuis plusieurs siècles. En cela, je dis Bravo mesdames et messieurs les Anglais. Dommage pour mon pays, pour la France, face à ce bel exemple, car hélas, avec nos pitres au pouvoir, nous n'avons aucune chance de faire un jour, comme vous.

Gérard Brazon

Orban : « Nous le sentons tous, c’est le calme avant la tempête »

Publié par Dreuz.info le 6 juin 2016

Interview de Viktor Orban à la radio Kossuth, au cours de l’émission « 180 minutes » du 3 juin 2016.

Viktor Orban vient de rentrer d’une visite officielle en Egypte, où il a rencontré son homologue le président Sissi et l’imam suprême sunnite, qu’il a invité pour une visite en Hongrie.

Viktor Orban explique sa vision de la relation que le monde chrétien devrait entretenir avec le monde musulman. Il souhaite une rencontre entre la civilisation musulmane et la civilisation chrétienne au lieu d’un choc des civilisations.

Orban reconnait la civilisation musulmane, dit qu’il ne faut pas comparer le musulman délinquant avec les imams hautement éduqués. Il faut arriver à faire vivre les différentes civilisations en paix, non pas en se mélangeant mais côte à côte, en se respectant. Selon Orban, un vrai chrétien ne peut pas être contre les musulmans. Le premier ministre hongrois dit également que si les musulmans n’avaient pas leur religion, il n’y aurait pas de civilisation chez eux mais du chaos et de la barbarie.

« À présent, ils vivent dans un monde qui obéit à leurs propres lois, à leur propre logique. Nous avons nos principes de vie, nous aussi. Nous respectons les leurs et nous attendons également d’eux qu’ils nous respectent à leur tour. »

Viktor Orban explique :

« C’est dans l’intérêt de l’Europe d’avoir une Egypte politiquement et militairement stable, et nous ferons tout notre possible pour que cela perdure.

La Syrie avait une population de 30 millions habitants, elle s’est effondrée et à présent nous arrivons à peine à supporter, en Europe, les conséquences de ce désastre.

L’Egypte a 90 millions d’habitants. Si elle devient instable et qu’ils partent vers l’Europe, nous n’arriverons plus du tout à faire face. »

C’est dans l’intérêt de l’Europe que l’Egypte arrive à la stabilité, sinon, rien ne résistera à ce courant qui l’inondera

Orban dit qu’il donne raison à l’imam qu’il a rencontré lors de son voyage. Il faut mettre de côté les préjugés habituels de l’UE, et se concentrer sur le gouvernement égyptien, … que le gouvernement, avec son Président et son armée, restent unis et qu’il subsiste une force en Egypte qui maintienne l’ordre public et l’unité du pays, et donner la possibilité à la population de vivre correctement.

Si cela n’est pas possible, le courant qui va inonder l’Europe sera trois fois plus fort que ce que l’Europe a enduré jusqu’à présent. Rien n’y résistera. C’est dans l’intérêt de l’Europe que l’Egypte arrive à la stabilité.

Orban fait un bref bilan de l’Egypte, qui a actuellement une armée unie, le président a été élu au suffrage universel, la constitution a été démocratiquement votée, … chaque pilier de la constitution a renforcé l’économie.

Il rappelle que chaque année, 2,6 millions de personnes naissent en Egypte, et qu’avec une telle taille de population, nourrir un peuple, lui donner du travail, un niveau de vie acceptable, un avenir, est une tâche très ardue, bien plus que ce que l’UE a l’habitude d’affronter.

Un nouveau contexte est apparu récemment concernant le flux migratoire : les « trafiquants-passeurs » ont mis le cap sur l’Egypte. L’Egypte sera-t-elle le prochain pays pour l’invasion de l’Europe ?

Il y a également un nouveau point d’engorgement migratoire en Irak.

Tout cela devrait amener l’UE à repenser sa politique extérieure.

« Dans les trois pays où nous nous sommes mêlés de la vie des gens, il y a eu un effondrement global, explique Orban. Nous avons causé le chaos en Irak, en Libye et en Syrie, et aucun de ces pays n’a plus de gouvernement fonctionnel capable de garantir l’ordre public, la justice, et de défendre la population … et du même coup de défendre l’Europe contre une invasion de migrants. »

La journaliste demande si l’Europe porte l’entière responsabilité d’avoir voulu les forcer à adopter nos valeurs, d’avoir voulu exporter notre démocratie.

Viktor Orban  : « Il est impossible de dire qui est responsable de cette dégradation de la situation, chaque camp met la responsabilité sur l’autre », mais précisant que son opinion n’engage pas d’autres chefs d’Etats de l’UE il ajoute : « le fait que l’UE ait voulu exporter la démocratie et sa culture est un délire total. »

Viktor Orban  : « Avoir voulu rendre les peuples d’une toute autre culture « heureux » avec les méthodes qui ont fait leurs preuves chez nous a totalement échoué et cela a engendré des conséquences très douloureuses pour l’Europe.

On ne peut pas exporter la démocratie, ni d’une manière pacifique, ni avec les armes. Il faut laisser chaque peuple bâtir son système politique et économique, selon sa propre culture. Nous pouvons avoir des échanges commerciaux, et collaborer mutuellement. C’est une meilleure politique que le ‘nous savons tout mieux que les autres’, ‘nous savons ce qu’est la démocratie’, ‘nous savons ce que sont les vrais droits de l’homme’, …. [il est délirant de vouloir] imposer de bâtir leurs sociétés, selon nos normes, alors qu’ils pensent d’une manière très différente ! Néanmoins, si nous continuons, encore et encore, à ‘mettre notre toit en feu au-dessus de notre tête’ nous n’en sortirons pas.

Actuellement, pour sortir de cette situation désastreuse, nous avons le choix entre 2 solutions… mais la vérité est que nous n’avons absolument plus le choix, nous sommes juste emportés par le flot des événements.

Pour obtenir une solution interne, nous pourrions soutenir inconditionnellement le gouvernement libyen, sans vouloir imposer nos valeurs démocratiques, nos conditions.

La journaliste demande : « L’UE fait déjà cela, non ? »

Viktor Orban  : « Non, parce que l’UE continue avec ses critiques ‘droits de l’hommistes’, avec des exigences, en posant des conditions, … comme désarmer l’armée libyenne. Alors que sans un équipement adéquat, il sera impossible que l’armée libyenne puisse maintenir l’ordre. Que cela plaise ou non à l’UE peu importe, il n’y a pas de solution de rechange : il faut armer, fortifier l’armée libyenne pour qu’elle puisse rétablir l’ordre et il faut que nous collaborions à cela, sinon il y aura des conséquences très douloureuses pour nous vu que la Libye est à la frontière de l’Europe.

La coalition occidentale pourrait également débarquer avec des forces militaires européennes et mettre de l’ordre, établir des camps de réfugiés, y refouler ceux qui débarquent en Europe et les maintenir sur place. Ainsi nous garantirions également notre sécurité.

Nous devrions financer tout cela et tout ça a un coût … mais un coût bien inférieur et des dégâts bien moindres que d’accepter des millions de migrants qui viendront, sans contrôle, sur les terres européennes.

Que ce soit la première ou la deuxième solution, l’UE en parle sans cesse, sans être capable d’arriver à une décision finale. »

Le premier ministre parle également du fait qu’il a rencontré la communauté copte, qui a été victime d’exactions.

« Ces gens étaient des employés agricoles, des ouvriers, des honnêtes gens qui ont subi un martyre. Chaque membre de cette communauté a perdu des membres de famille. La Hongrie fait beaucoup pour les chrétiens persécutés mais, contrairement aux habitudes occidentales, la Hongrie ne crie pas sur les toits ce qu’elle fait à ce sujet, elle aide discrètement les chrétiens persécutés, sans s’en vanter, … un peu partout où c’est nécessaire. »

Orban dit qu’il a toujours été dégoûté par l’attitude vantarde des Occidentaux qui amènent leurs aides avec beaucoup de publicité. « Nous avons des obligations morales envers les chrétiens du Monde et nous remplissons cette obligation ».

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Puis la journaliste parle de la tension, quasi palpable, dans toute l’Europe, une sorte de « calme avant la tempête » !

Viktor Orban  : « Effectivement, il y a une tension qui augmente. Il y a une explication tactique à cela ; c’est le BREXIT. Nous ne devons pas nous mêler de cette décision qui appartient totalement aux anglais.

[…]

Il y a également un problème stratégique qui amène cette tension en Europe. Ceci provient de la structure de l’organisation de l’UE. Les dirigeants de l’UE se sont opposés à leurs populations. Nous pouvons tourner cette réalité dans n’importe quel sens, ruser, faire des variations sur la réalité, les explications sont inutiles, … c’est une réalité.

Les états occidentaux, avec leur politique migratoire, se sont opposés à leurs peuples respectifs et l’opposition à cette politique migratoire est de plus en plus grandissante. »

Orban dit qu’il est conscient du ras-le-bol des populations hongroises qui vivent près des camps pour migrants, et promet leur fermeture dès que cela deviendra possible, dans un avenir proche, car les lois sont durcies, le refoulement deviendra systématique. Ceci ne se passera pas sans l’agissement d’autres forces antagonistes.

Viktor Orban  : « George Soros est l’ennemi déclaré du gouvernement actuel de la Hongrie. Il soutient toute opposition qui cherche à renverser son gouvernement. Il est opposé à notre politique migratoire. Il finance des journalistes, des partis politiques, des bourses individuelles, des ONG … Il exige le démantèlement des barrières, la suppression des lois sur l’asile qu’il juge trop sévères, et veut faire reculer notre gouvernement. C’est typiquement la pensée socialiste. Soros pense que s’il met le paquet il arrivera à acheter les gens.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © P. Kandel pour Dreuz.info.

Source (audio) : mediaklikk.hu

Première parution en français sur Dreuz.info

L’UE veut imposer une amende de 250 000 euros pour chaque clandestin refusé par les pays membres

Ndlr : la dictature se met en place...

Face à la sécession généralisée des pays européens devant faire face à l’invasion migratoire, l’UE a annoncé vouloir sanctionner les états-membres refusant d’admettre contre leur gré des millions de clandestins musulmans.

La Commission Européenne a indiqué vouloir imposer des sanctions économiques de l’ordre de 250 000 euros par migrant clandestin, croit savoir le Financial Times.

Bruxelles entend ainsi imposer dans la durée des millions de migrants du tiers-monde, essentiellement africains et orientaux.

La Commission Européenne tente depuis des mois, avec l’appui de Berlin, de contraindre les pays d’Europe centrale et orientale à accepter un mécanisme contraignant d’implantation de clandestins musulmans.