La Suisse, l’asile et l’initiative UDC

Les chiffres de l’asile augmentent avec constance. Quelque 30'000 nouvelles demandes sont estimées pour 2024. Parmi les candidats, de nombreux Maghrébins délinquants qui volent, cambriolent et créent des conflits incessants dans les centres d'accueil.

En 2023, 1,25 million de migrants ont demandé l’asile dans l’Union européenne, y compris le Royaume uni. C’est le chiffre le plus haut depuis 2015.

1,1 million de personnes ont obtenu une protection temporaire et 1,1 million de nouvelles demandes ont été enregistrées dans le même temps, soit une augmentation de 25 % par rapport à 2022.

Près d’un million de demandeurs d’asile étaient en attente d’une décision dans l’UE à la fin de l’année.

Au cours de la même période, Frontex a enregistré 385’000 entrées illégales, soit une augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente.

Les ressortissants de la Tunisie, du Maroc et de l’Algérie n’ont presqu’aucune chance de recevoir l’asile. Cela ne les empêche pas de venir très nombreux en Europe et d’être fort représentés -notamment les Algériens- dans la petite délinquance. En Suisse, les cantons s’en plaignent depuis plusieurs années.

Selon la NZZ du 11 mars 2024, la criminalité des Maghrébins augmente massivement dans de nombreux cantons. Jusqu'à 90 pour cent des délinquants sont originaires d'Afrique du Nord.

Nomades, ils voyagent à travers l'Europe et ont souvent des dossiers d'asile ouverts dans plusieurs pays, font des allers et retours, y compris en Suisse. Ils commettent principalement des vols, soit des délits mineurs qui les conduisent à être relâchés rapidement.

Dans ce même article, Michael Leupold, commandant de la police d’Argovie observe: «Les frontières méridionales et orientales devraient être plus contrôlées, comme nous l’avons fait en 2016.» Selon lui, il existe dans certains lieux une collusion entre les acteurs de la criminalité et du terrorisme.

Mi-mars 2024 encore, la coprésidente de la Conférence des directrices et directeurs des départements cantonaux de justice et police Karin Kayser-Frutschi confirme que «dans toute la Suisse, les délits commis par des demandeurs d’asile maghrébins augmentent. Nous sommes proches du point de basculement.» Ces visiteurs remuants créent des problèmes semblables dans plusieurs pays européens, dont la France et l’Allemagne.

Parallèlement, les centres fédéraux d’asile doivent faire face à des conflits et des violences en forte augmentation provoqués principalement par la même population.

Tenter d’adoucir les mœurs coûte cher: 100 postes à plein temps ont été créés depuis février 2021. Une aumônerie musulmane rémunérée est aussi censée contribuer à la paix sociale. Et plus compliqué encore: une collaboration est intensifiée avec les médecins spécialisés dans les addictions.

Enfin, le ministre de l’asile Beat Jans compte sur la procédure de renvoi en 24 heures qu’il a instaurée pour les demandes sans perspective de succès, et sur des accords- souvent onéreux- pour que les pays d’origine reprennent leurs ressortissants. Il compte entamer des négociations avec le Maroc notamment qui permettrait l'organisation de renvois forcés par vol spécial ainsi que la possibilité de renvois par voie maritime.

En Suisse en 2023, 30'223 ont demandé l’asile, soit plus 23% par rapport à l’année précédente.

Quelles nationalités sont surtout représentées? Par ordre décroissant: des Afghans, des Turcs, des Erythréens, des Algériens et des Marocains, soit principalement des hommes jeunes et musulmans.

Sur près de 27'000 demandes traitées, 25,7% ont reçu l’asile

Mais 54,4% dont l’asile a été refusé ont obtenu le droit rester car leur renvoi impliquerait une mise en danger. Cette disposition (admission provisoire réfugiés) concerne surtout les personnes originaires de pays en guerres ou en conflit (Syriens, Afghans, Somaliens, etc.)

Pour 2024, le SEM table sur environ 30 000 demandes d'asile (+/-3000).

Les mineurs non accompagnés affluent

Les candidats au départ pour l’Europe ont compris quels bienfaits juridiques et sociaux les mineurs obtiennent. Ceux-ci se pressent donc toujours plus nombreux en Europe. A Genève, leur nombre a augmenté de 75% en 12 mois. Le coût là aussi est très élevé.

En revanche, Beat Jans a annoncé que le délai d’attente pour le regroupement familial des personnes admises provisoirement devrait être réduit de 3 à 2 ans pour respecter un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme.

Comme c’est le cas depuis des années, Confédération et cantons recherchent avec opiniâtreté de nouvelles structures d’accueil.

Les migrants s’adaptent

Selon le site de l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), près de 12'500 personnes entrées illégalement en Suisse ont été interpellées entre janvier et fin juin 2024, soit moins que les 17'800 du premier semestre 2023. Le déplacement des routes migratoires est en cause, notamment la réduction du nombre de débarquements dans le sud de l’Italie. Les mesures prises par Giorgia Meloni ont permis de les réduire de moitié.

Les «migrants» et leurs passeurs choisissent désormais de préférence l’Espagne, la Grèce et Chypre, celle-ci se révélant totalement dépassée. Les deux autres ne sont que débordés.

C’est l’immigration clandestine en provenance d’Afrique qui explose en Espagne : entre janvier et août 2024, plus de 31’000 migrants en situation irrégulière sont arrivés, soit 66,2 % de plus qu’au cours de la même période l’année précédente. La plupart sont arrivés par la mer à bord d’un millier de petites embarcations.

L’UDC propose ses remèdes

L’UDC a lancé en mai dernier son initiative «Stop aux abus dans le domaine de l’asile! (Initiative pour la protection des frontières)»

Ses demandes principales :

  • Surveillance et contrôles systématiques aux frontières. L’entrée n’est autorisée que si un titre de séjour valable ou une autre autorisation d’entrée est délivré.

  • Pas d’entrée et pas d’asile accordés aux personnes qui entrent en Suisse via un Etat tiers sûr.

  • Pour les « vrais » réfugiés persécutés dans leur pays, fixation d’un contingent maximum de 5000 personnes.

  • La Confédération en collaboration avec les cantons s’assure que les personnes entrées ou séjournant illégalement en Suisse quittent le pays dans un délai de 90 jours.

  • Les personnes dont la demande d’asile a été rejetée n’ont plus droit à l’admission provisoire et doivent donc quitter la Suisse.

  • Les immigrés clandestins n’ont plus droit aux prestations sociales.

  • Si le peuple accepte l’initiative, mais que le Conseil fédéral estime que le texte est incompatible avec un accord international, il le renégocie. S’il n’y parvient pas dans les 18 mois, la Suisse dénonce l’accord.

Pour en savoir plus sur l’analyse du parti: Document de fond de l’Union Démocratique du Centre, juillet 2024

L’immigration agite la plupart des pays européens. Parallèlement, l’islamisation s’étend.

Dans les deux prochains articles : l’exemple du Royaume uni et de l’Allemagne et une liste de mesures prises par une série de pays.

Lionel Dugerdil (UDC) agressé avec une arme à feu à Meinier, il témoigne [Vidéo]

Infréquentable

Donald Moos, Président fraîchement élu de l'UDCVr (UDC section Valais Romand) n'est pas un type bien. Ni même un type fréquentable. Dixit Le Nouvelliste. Dixit 24Heures.

Qu'a-t-il donc fait? Il a commis le plus impardonnable des péchés - le délit d'opinion.

Évoquons donc rapidement les trois principaux griefs reprochés à M. Moos, pour reprendre le palmarès établi par Le Matin.

L'élection américaine truquée

Ayant modestement couvert le sujet, je ne suis guère surpris que la spectaculaire fraude électorale ayant eu lieu lors des élections présidentielles américaines de 2020 ne fasse l'objet d'aucune couverture de ce côté de l'Atlantique. Trump étant la réincarnation d'Hitler - mais un Hitler qui ne déclencha aucune guerre et amena une prospérité jamais atteinte chez les minorités raciales américaines, allez comprendre - tout ce qui était contre lui était d'office validé, fut-ce une fraude massive, systématique, organisée et prouvée - mais jamais examinée par les tribunaux pour l'instant.


La liste des états dont des comtés clés stoppèrent simultanément le décompte des voix lors de l'élection présidentielle américaine de 2020, pendant plusieurs jours, sans avancer la moindre raison - et sans qu'aucune explication n'ait été livrée à ce jour.

Pour la route, il y a toujours cette base de données des fraudes, des fois qu'un journaliste romand passe dans les parages.

Convergences malsaines

Pudique, Le Matin évoque "une convergence malsaine d’intérêts particuliers dirige la société". Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont mises, dit Philinte à Alceste dans Le Misanthrope.

Parle-t-on de la pédophilie des élites? De Jeffrey Epstein et de son non-assassinat?

À moins qu'il ne s'agisse du Great Reset, le complot le moins secret du monde? Franchement, il y a un lien jusque dans le site du Forum de Davos. Et Klaus Schwab écrit directement des livres à ce sujet, en reliant explicitement le Great Reset et la pandémie de Covid-19.


Le Great Reset pour les nuls: vous allez adorer être dépossédé de tout.

Franchement, messieurs les journalistes, faites un effort!

Le Covid-19 est d’origine humaine

Je pose la question: en cette année 2021 finissante, y a-t-il encore des gens qui croient à la version officielle d'un virus mutant sautant de la chauve-souris au pangolin à l'homme quelque part dans un marché de Wuhan, à deux pas du Laboratoire P4 de Wuhan de Recherche sur les Coronavirus? Cette théorie pas-du-tout-raciste du "Les-Chinois-bouffent-n'importe-quoi-même-des-animaux-malades"?

Si ces romands existent et parviennent toujours à s'arc-bouter sur la version officielle, il faudrait leur décerner en grandes pompes la médaille d'or de la crédulité journalistique. C'est une médaille en chocolat, évidemment.

Encore une fois, le sujet a été traité entre ces murs. Il y a un an et demi. Et comme d'habitude, la version officielle change elle aussi. Mais comme d'habitude nos journalistes romands pétris de certitudes hautaines se ridiculisent, avec leur train de retard...

Et donc...

Comme on le voit, il y a quelques éléments qui peuvent laisser penser que les thèses proposées par M. Moos ne sont pas complètement absurdes, quoi qu'en pensent les grands pontes de la presse romande. Mais encore faut-il creuser, douter, faire preuve d'un minimum d'opiniâtreté et de recherches journalistiques. Or, la presse romande est la moins curieuse du monde. À sa décharge, elle s'est trouvé le lectorat qu'elle mérite.

J'estime avoir fait ma part pour donner une opinion différente de la doxa officielle sur un certain nombre de sujets. Mais soyons réalistes: les opinions à contre-courant de Donald Moos, tout le monde s'en balance. Le principal défaut de l'intéressé est de s'être fait élire. Devenir Président d'une section cantonale de l'UDC, comme toute autre tête qui dépasse dans ce parti, c'est être la cible d'un permis de tuer. Il faut flinguer le nouveau venu avant qu'il n'ait l'occasion d'évoquer le moindre projet politique. Il faut le vêtir d'un costume ridicule taillé sur pièce avant même qu'il n'entre en scène. Comme ça, le pauvre bougre viendrait-il avec la meilleure idée du monde, l'hilarité générale surviendra dès qu'on le verra, avant même qu'il n'ait ouvert la bouche.

La partie est déjà gagnée.

Pour donner plus de poids à leur sentence, les rédactions se contentent de laisser la meute des commentateurs se charger de la curée. 20 contributions des lecteurs sur Le Nouvelliste, 133 sur 24Heures aux dernières nouvelles, il est rare de voir le lectorat s'épancher ainsi. Mais il y a été encouragé.

Les propos sont négatifs à 90%, évidemment, mais c'est là leur moindre mal. Si vous voulez des exemples de commentaires haineux, bien dans le style de ce dont les mêmes journalistes s'offusquent lorsqu'ils sont écrits par des adolescents boutonneux s'en prenant à des camarades de classe, les exemples abondent. On n'attaque pas le message, encore moins l'opinion. On attaque le messager. Et son parti. Et les sympathisants de son parti. Et tous les gens qui auraient l'audace de remettre en doute la moindre Vérité officielle™.

C'est un peu l'inverse de l'islam et de l'islamisme en cas d'attentat. Lorsque l'UDC est concernée, l'amalgame est plus que conseillé, il est encouragé. Dans certains cas, l'amalgame est un devoir!

Dans la savane, les hyènes rient entre elles. Mais ce sont des créatures infectes qui se nourrissent de cadavres. Tout parallèle avec certains journalistes de Suisse romande ou une partie de leur lectorat ne saurait être que fortuit.

En attendant, comme disait un cynique, la différence entre les théories du complot et la vérité finalement admise, c'est "entre six mois et un an." Raison de plus pour archiver toutes ces belles réactions des lecteurs.


Image d'illustration.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 31 octobre 2021

L’UDC ne laissera pas la gauche caviar détruire la place industrielle suisse

Conférences de presse UDC - 3 août 2021

Lors d’une conférence de presse auprès de l’entreprise Ernst Fischer SA à Romanshorn, l’UDC entend expliquer comment la Suisse peut se redynamiser économiquement et comment sa position doit être renforcée. Il faut un marché du travail flexible et davantage d’employés qualifiés, une immigration maîtrisée, une concurrence fiscale active et une politique commerciale ouverte sur le monde, au lieu d’une obsession unilatérale vers l’UE.

L’UDC présente ses idées et ses exigences en matière de politique économique lors d’une conférence de presse combinée avec une visite de l’entreprise Ernst Fischer SA. Cette conférence est animée par la conseillère nationale et cheffe d’entreprise Diana Gutjahr. L’objectif est de relancer l’économie suisse et de renforcer sa place économique dans le monde. Une économie forte constitue la base de notre prospérité. Mais il y a des risques qui nous guettent : les interférences massives et l’obstination réglementaire antilibérale de la gauche caviar pour s’approprier la richesse de notre pays au détriment de sa prospérité économique.

La gauche caviar affaiblit sciemment la place industrielle suisse

Le conseiller national et président du groupe, Thomas Aeschi, explique pourquoi la place industrielle dépend d’un climat fiscal attractif. La concurrence s’accroît, même en dehors de l’Europe. Il est d’autant plus important de maintenir une concurrence fiscale efficace. Il ne doit pas y avoir de charges supplémentaires en matière d’impôts et de taxes, a-t-il déclaré. Il évoque en particulier le projet d’initiative du PS « Pour une place financière durable », l’initiative d’extrême gauche 99% de la JS, les réformes fiscales écologiques, la participation de la Suisse au système d’ajustement aux frontières de l’UE, ou les projets pilotes tels que Mobility-Pricing. La gauche caviar des grandes villes utilise le prétexte de l’écologie pour une large redistribution de l’argent du peuple à des fins électorales ». « L’UDC est choquée que les socialistes, dans leur aveuglement idéologique, ne reconnaissent plus le lien entre une économie prospère, des emplois sûrs et le bien-être de notre pays en lançant urbi et orbi des attaques contre l’industrie de notre pays. »

L’ouverture de la Suisse au monde est un atout

Forte de sa longue expérience en tant qu’entrepreneuse internationale, la conseillère nationale Magdalena Martullo-Blocher souligne l’importance de bonnes relations économiques mondiales : « La Suisse est traditionnellement l’une des économies les plus ouvertes sur le monde et les plus interconnectées – notre pays doit continuer à entretenir de bonnes relations avec le monde entier ». Sur cette base, les accords de libre-échange existants seront garantis et renforcés et de nouveaux accords seront conclus. L’achat prévu des avions de combat F-35 doit également être mis en avant. Compte tenu de l’importance des changements sur les marchés, il est important que la Suisse adopte une approche universelle et ne s’oriente pas unilatéralement vers l’UE.

« La neutralité de la Suisse a pris de l’importance. Nous ne devons pas nous laisser entraîner dans les conflits des grandes puissances » souligne Mme Martullo-Blocher. C’est pourquoi il est incompréhensible que la Suisse rejoigne le Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non-permanent en 2023/2024.  « L’UDC continuera à s’opposer à cette décision », a-t-elle encore déclaré.

L’UDC s’oppose également fermement au paiement des milliards de cohésion, aux discriminations, voire aux violations des traités avec l’UE. « Toute discrimination, comme la non-reconnaissance de la Bourse suisse ou celle des autorisations de produits déjà reconnus, doit être systématiquement contestée par la Suisse pour exiger et imposer leur suppression, si nécessaire par des contre-mesures », explique Mme Martullo-Blocher. Une « taxe d’accès » ou « paiement d’apaisement » exemple unique au monde sous le couvert des milliards de la cohésion, l’UDC s’y oppose par principe. Aucun pays au monde ne paie de prime d’accès au marché, pas même l’UE. L’UDC constate toutefois avec inquiétude que les autres partis cèdent déjà et veulent débloquer le milliard de cohésion malgré une nouvelle discrimination de l’UE, dilapidant ainsi une fois de plus l’argent des contribuables suisses.

L’UDC poursuit sa lutte contre une Suisse de 10 millions d’habitants

Le conseiller national Michaël Buffat souligne que « l’UDC ne veut pas d’une Suisse à 10 millions d’habitants, mais un paysage intact, des prestations sociales sécurisées, une infrastructure de transport fonctionnelle, une distribution fiable de l’énergie et des aliments, moins de migrants économiques, en bref une Suisse digne d’être vécue et sûre. Le marché du travail ne s’autorégule manifestement pas lorsqu’en 2020, année de crise, avec près d’un million d’habitants au chômage partiel et une forte augmentation du chômage proprement dit, l’immigration de masse a en fait même augmenté par rapport à 2019″, a déclaré Monsieur Buffat.

En outre, pendant la crise du Corona, de nombreux migrants peu qualifiés sont restés en Suisse. Cela montre que la libre circulation des personnes ne fonctionne pas. « Nous ne voulons pas que des personnes originaires d’autres pays de l’UE restent en Suisse après avoir perdu leur emploi et que leurs frais de subsistance soient payés par les contribuables suisses. »

Préservation de la flexibilité du marché du travail et d’une politique de formation axée sur le marché

Pour la conseillère nationale Diana Gutjahr, le programme de dynamisation de l’économie est axé sur une déréglementation à l’intérieur du pays : « Le marché du travail suisse, relativement libéral, est menacé. Il faut plus de flexibilité. » La croissance de l’État et le développement constant des prestations sociales doivent être stoppés. La formation des jeunes doit être davantage adaptée aux besoins de l’économie.

« Au lieu de surcharger la caisse de chômage avec des étrangers issus de l’UE, la Suisse doit veiller à ce que l’attractivité de la formation professionnelle soit maintenue grâce à de bonnes places d’apprentissage et d’entreprises formatrices dignes de ce nom. Enfin, les profils professionnels doivent être adaptés aux exigences actuelles », a déclaré Mme Gutjahr.

L’hôte de la conférence de presse, l’entreprise familiale Ernst Fischer AG à Romanshorn, active au niveau international, existe depuis plus de 100 ans et est un exemple de PME suisse prospère et de production nationale. L’entreprise d’acier et de construction métallique planifie et fabrique ses produits dans son atelier de Romanshorn et les assemble ensuite par ses propres équipes de montage sur place. L’entreprise, que dirige la conseillère nationale et économiste d’entreprise Diana Gutjahr en deuxième génération avec son mari, s’appuie sur la tradition et avance vers l’avenir avec un esprit d’innovation. L’entreprise, fortement ancrée dans la région lac de Constance-Thurgovie, emploie environ 80 collaborateurs, dont une dizaine d’apprenties.

Vers le papier de position
Document de politique économique (DE) (PDF)

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-ne-laissera-pas-la-gauche-caviar-detruire-la-place-industrielle-suisse/

L’UDC allume des feux de la liberté dans tous les cantons suisses

L’UDC allume des feux en montagne dans les 26 cantons suisses pour fê-ter la fin de l’accord-cadre institutionnel avec l’UE, donc pour célébrer la sauvegarde de la liberté et de l’indépendance de la Suisse. A Morschach (SZ), l’ancien conseiller fédéral Christoph Blocher, le conseiller aux Etats Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse, et le conseiller national Roger Köppel ont appelé à la vigilance. Il ne faut pas que les récents succès en politique européenne et dans l’urne incitent le parti au relâchement. Le combat pour la liberté et l’indépendance est un éternel recommencement, ont relevé les orateurs.

Les feux allumés en montagne sont aussi un signe de gratitude. L’UDC célèbre ainsi la fin de l’accord-cadre institutionnel avec l’UE. Cette action symbolique a été lancée par une manifestation à Morschach (SZ) avec des interventions du conseiller aux Etats Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse, de l’ancien conseiller fédéral Christoph Blocher et du conseiller national Roger Köppel.

Dans son allocution d’ouverture, Marco Chiesa a rappelé l’importance de l’extraordinaire tradition fédérale de la liberté qui a pris son essor autour du lac des Quatre-Cantons. Ces feux en montagne « sont les signes visibles au loin de cette liberté et de cette indépendance qui ont forgé la Suisse et sans lesquelles ce pays n’existerait plus », a-t-il déclaré. « Nous célébrons ainsi la fin de l’accord institutionnel avec l’UE qui nous aurait subordonnés à un droit et à des juges étrangers. Si nous n’en sommes pas arrivés là, c’est grâce à l’UDC et principalement grâce à l’ancien conseiller fédéral Christoph Blocher que nous remercions chaleureusement de son long et inlassable engagement pour notre liberté et notre indépendance », a conclu Marco Chiesa.

Les récents succès de l’UDC dans le dossier européen et lors des votations ont donné un signal clair et net : « Le peuple rejette la gauche de luxe et des écologistes qui cherchent à nous mettre sous tutelle. Il en a plus qu’assez des politiciens qui nous prescrivent comment nous devons vivre et penser. » Ces attitudes ne conviennent pas à notre pays libre et indépendant, a constaté Marco Chiesa.

Christoph Blocher appelle à la vigilance

Christoph Blocher a qualifié d' »étape importante » la rupture des négociations sur l’accord-cadre Suisse-UE : « Nous avons réussi à sauvegarder la liberté et l’indépendance de la Suisse – pour la première fois avec une décision du Conseil fédéral. » Mais il ne faut pas que l’UDC se repose sur ses lauriers : « Dans l’histoire suisse, les feux en montagne sont aussi des signaux d’alerte. Ils transmettent l’avertissement de lieu en lieu et invitent à la vigilance. Voilà pourquoi nous allumons ces feux dans tous les cantons. Restez vigilants ! », a déclaré l’ancien conseiller fédéral.

La méfiance est le premier devoir d’un citoyen, a ajouté Roger Köppel. Néanmoins, la fin de l’accord-cadre est une excellente nouvelle : « Le Conseil fédéral a fini par comprendre que l’UE et la Suisse sont institutionnellement incompatibles. L’UE a été faite du haut vers le bas alors que la Suisse a été construite du bas vers le haut. On

ne peut rattacher nos institutions libérales – la démocratie directe, la neutralité armée, le fédéralisme – à un autre Etat ou à une structure proche d’un Etat sans endommager, voire détruire ces institutions qui font la Suisse. »

Les feux en montagne sont organisés par les partis cantonaux et les sections locales de l’UDC. En raison de la sécheresse qui sévit dans les cantons du Tessin et du Valais, on s’y contentera d’un petit feu.

Exposé Marco Chiesa

Exposé Roger Köppel

Exposé Christoph Blocher

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-allume-des-feux-de-la-liberte-dans-tous-les-cantons-suisses/

Un vote pour une politique énergétique raisonnable

Ce résultat constitue un tournant en politique énergétique et environnementale: les rêveries des socialistes de luxe doivent céder la place à des solutions raisonnables, efficaces et économiques.
L’acceptation claire et nette de la loi contre le terrorisme est tout aussi réjouissante. La sécurité des habitants de la Suisse en sera notablement renforcée.

Les citoyennes et citoyens suisses ont bien compris les intentions réelles de la gauche de luxe: le projet de loi sur le CO2 visait beaucoup moins la protection du climat qu’une redistribution à la mode socialiste et une mise sous tutelle des citoyens. L
’acceptation de cette loi ratée aurait entraîné des charges supplémentaires massives pour la population et une explosion de la bureaucratie, alors que le climat n’y aurait rien gagné.
Le résultat du vote de ce jour est donc une victoire de la raison sur la politique des profiteurs de gauche et une chance pour la Suisse de mener enfin une politique énergétique efficace et économique.

L’échec de la loi sur la CO2 voulue par la gauche est aussi le fruit du combat que l’UDC mène inlassablement depuis de nombreuses années pour une politique énergétique raisonnable. Ce résultat amorce enfin un tournant qui mènera notre pays vers des solutions efficaces et raisonnables et l’éloignera de la politique symbolique onéreuse et idéologique de la gauche et des écologistes.
La Suisse pourra revenir aux principes qui ont fait son succès: une politique libérale sans mise sous tutelle, sans interdiction et sans hausse constante des impôts et redevances.
Dans sa politique énergétique et climatique, l’UDC donne la priorité à la sécurité de l’approvisionnement en énergie.
Les développements au niveau international indiquent clairement que la Suisse ne pourra pas toujours compter sur des importations d’électricité.
Elle doit soutenir de nouvelles technologies et les efforts d’innovation en offrant des conditions-cadres optimales. Aujourd’hui déjà – et sans la nouvelle loi sur le CO2 – la classe moyenne suisse investit des montants considérables dans les nouvelles technologies.
Il faut enfin tenir compte équitablement de cet effort dans les futures discussions politiques.

« Dans les futures discussions et régulations de la politique énergétique, on devra avant tout tenir compte de l’augmentation  de la population »,
précise Marco Chiesa, président du parti.

Ainsi, sans la problématique migratoire, la Suisse pourrait atteindre ses objectifs climatiques avec l’encadrement législatif actuel d’ici 2030.

Double victoire de l’agriculture suisse

Autre résultat positif de ce dimanche de votation: malgré leurs titres trompeurs, les deux initiatives agricoles extrêmes ont été clairement rejetées par le souverain.
Ce « non » est un « oui » à l’agriculture suisse. Ainsi, l’approvisionnement de la population en denrées alimentaires locales, régionales et de qualité élevée reste assuré.

Instrument efficace contre le terrorisme

Le succès de la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT) donne aux autorités les moyens d’empêcher des extrémistes à motivation islamiste de perpétrer des actes de violence et terroristes.
Mais cela ne suffit pas: la Suisse a aussi besoin d’une politique d’asile et de migration plus rigoureuse ainsi que d’autres mesures comme une loi sur l’islam.

Le succès de la loi Covid-19 concerne avant tout les aides économiques

Le Conseil fédéral aurait tort de considérer l’approbation de la loi Covid-19 comme un chèque en blanc lui permettant de poursuivre sa politique sanitaire disproportionnée, chaotique et contradictoire.
Le résultat de ce vote exprime surtout la volonté du peuple de voir l’Etat réparer les dommages économiques provoqués par ses mesures excessives.
Le Conseil fédéral doit immédiatement lever toutes les restrictions et redonner la liberté complète aux citoyennes et citoyens. L’UDC exige le retour immédiat à la normalité!

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/un-vote-pour-une-politique-energetique-raisonnable/

Garantir l’AVS grâce à l’adaptation de l’âge de la retraite et aux intérêts négatifs de la BNS. – Interdire les voyages à l’étranger des requérants d’asile, personnes admises provisoirement et réfugiés

Programme de stabilisation de l’AVS grâce à l’UDC

-L’AVS est la principale institution de prévoyance vieillesse de Suisse. Une personne qui a travaillé toute sa vie et versé ses cotisations doit avoir droit à une rente garantie.

Sous la conduite du conseiller aux Etats UDC Alex Kuprecht, les partis de droite se sont mis d’accord sur un compromis raisonnable. L’âge de la retraite des femmes doit être porté à 65 ans. Les groupes d’âge les plus touchés par ce changement bénéficieront en contrepartie de mesures de compensation. La limite d’âge pour le départ en retraite doit être davantage assouplie.

Le groupe UDC soutient ce programme qui comprend également une hausse modérée de la TVA en faveur de l’AVS. La politique de blocage menée par la gauche et les écologistes est d’autant moins compréhensible.
Les syndicats réclament même un 13e rente AVS, mettant ainsi en péril la prévoyance vieillesse pour les générations à venir.
Le groupe UDC s’oppose avec détermination à ces agissements irresponsables de la gauche. Rappelons aussi que, nonobstant ce programme de stabilisation, l’AVS affichera un déficit de plusieurs milliards de francs dans un petit nombre d’années.

Le groupe UDC relève en outre que le produit des intérêts négatifs prélevés par la Banque nationale doit revenir à l’AVS. Des intérêts négatifs sont en réalité des impôts indirects et constituent une expropriation cachée des rentiers et des épargnants. Il est donc simplement juste et équitable que ces prélèvements reviennent à la population par le biais de l’AVS.

Interdire aux requérants d’asile de voyager à l’étranger

-Dans le projet de révision de la loi sur les étrangers et l’intégration, l’UDC salue l’interdiction faite aux requérants d’asile, personnes admises provisoirement et réfugiés reconnus de voyager à l’étranger.

Il n’est pas tolérable que ces personnes se rendent directement ou par des détours dans les pays qu’ils ont prétendument dû fuir.

Le groupe UDC refuse donc un assouplissement de l’interdiction de voyager que la commission préparatoire propose à son plénum grâce à l’alliance de la gauche écologiste avec les partis du centre.

Cette interdiction doit aussi inclure les voyages pour des motifs personnels dans les pays voisins de la Suisse, faute de quoi les abus seraient trop faciles.

Il est presque impossible de contrôler si une personne se rend uniquement dans un pays voisin ou si elle poursuit son voyage dans son pays d’origine.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/garantir-lavs-grace-a-ladaptation-de-lage-interdire-les-voyages-a-letranger-des-requerants-dasile/

L’UDC s’oppose avec détermination au paiement d’une prime d’entrée au marché UE

A la suite de la rupture des négociations sur l’accord-cadre, le Conseil fédéral cherche à amadouer Bruxelles en transformant la contribution facultative de la Suisse à la cohésion de l’UE en une prime obligatoire pour accéder au marché UE.

L’UDC s’oppose avec détermination à ce procédé. Aucun pays au monde ne paie une telle prime. En créant ce précédent, la Suisse serait très rapidement confrontée à des exigences semblables d’autres pays.

Après l’échec définitif de l’accord-cadre, le Conseil fédéral cherche manifestement à apaiser l’UE en transformant ledit milliard pour la cohésion, une contribution jusqu’ici facultative, en une prime régulière et obligatoire d’accès au marché.

Ce procédé est inacceptable aux yeux de l’UDC: d’une part, aucun pays au monde ne paie une prime pour accéder à un marché, d’autre part, des paiements obligatoires de ce type pourraient rapidement faire école et inciter d’autres pays à réclamer également des primes pour que la Suisse puisse y exporter ses produits.

Qui plus est, l’industrie d’exportation de la Suisse n’a absolument pas besoin d’une telle intervention: l’étranger achète des produits suisses en raison de leur qualité exceptionnelle et non pas parce que la Suisse paie pour cela.
Il faut enfin rappeler que l’UE exporte plus de biens en Suisse que cette dernière dans l’UE. La Suisse serait donc également en droit de réclamer à Bruxelles une prime d’accès à son marché.

En ce qui concerne les mesures chicanières prises régulièrement par l’UE contre la Suisse, le Conseil fédéral affirme qu’il veillera à ce que Bruxelles ne discrimine pas notre pays.

Ce ne sont là que de vaines promesses aussi longtemps que le gouvernement suisse n’exige pas fermement de l’UE des relations entre partenaires égaux en droit et le respect de la démocratie directe et de l’indépendance de la Suisse.

L’UDC exige que le Conseil fédéral prépare des mesures de rétorsion de même ampleur au cas où l’UE ne respecterait pas entièrement les engagements qu’elle a pris dans les accords bilatéraux et désavantagerait la Suisse.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-soppose-avec-determination-au-paiement-dune-prime-dentree-au-marche-ue/

Action du groupe parlementaire UDC contre la loi ratée sur le CO2

Le groupe parlementaire fédéral de l'UDC a manifesté aujourd'hui sur la place fédérale contre la loi sur le CO2, projet onéreux, inutile et injuste qui sera soumis au peuple suisse le 13 juin 2021. Cette loi voulue par la gauche politique ne sert strictement à rien au climat. Son unique but est une redistribution de l'argent des contribuables à la mode socialiste. Voilà pourquoi le groupe UDC se bat avec détermination pour un NON clair et net le 13 juin à la loi sur le CO2.

Cette loi imposée par la gauche politique n'empêchera ni la fusion des glaciers, ni les inondations, ni les glissements de terrains. La Suisse est responsable de 0,1% des émissions de CO2 du monde entier, et chaque année cette part diminue. La population suisse investit aujourd'hui déjà des sommes importantes dans des technologies propres et notre pays est leader mondial parmi les nations industrialisées en matière de réduction des émissions de CO2 – et tout cela sans loi coûtant des dizaines de milliards de francs, sans mise sous tutelle de la population et sans interdictions.

La loi sur le CO2 renchérit la vie pour tous. L'essence et le diesel coûteront 12 centimes de plus par litre. La taxe CO2 sur l'huile de chauffage et le gaz doublera: le litre d'huile de chauffage coûtera 30 centimes de plus, idem pour le kilo de gaz. Du coup, les loyers augmenteront – d'environ 140 francs pour un appartement de 100 m2. Avec la loi sur le CO2, les déplacements en avion seront réservés aux gens aisés: par vol et par personne il faudra compter avec une hausse allant jusqu'à 140 francs. La loi sur le CO2 est donc antisociale, car elle frappe tout particulièrement les personnes à revenu modeste et la classe moyenne. Une famille de quatre personnes doit s'attendre à une hausse de ses charges pouvant atteindre 100 francs par an. De plus, cette loi discrimine les habitants des campagnes qui ont besoin de leur voiture pour se déplacer.

Mais ce ne sera qu'un début: si la loi sur le CO2 est acceptée, la gauche écologiste se sentira pousser des ailes et réclamera des mesures encore plus sévères. L'interdiction des moteurs à combustion et des vols à courte distance suivra. La consommation de viande sera elle aussi bientôt interdite. De lourds impôts sur des produits prétendument "nocifs pour le climat" sont quasiment garantis.

Le groupe UDC répondra donc clairement NON le 13 juin 2021 à cette mise sous tutelle totale de la population.
Source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/

Halte aux chicaneries – l’UDC réclame le retour de la liberté!

Modification de l’ordonnance COVID-19 situation particulière

Consultation - Autorisation des grandes manifestations en lien avec la mise en œuvre de l’art. 11a de la loi COVID-19

Nous prenons position dans le cadre de la procédure de consultation mentionnée ci-dessus. Nous nous exprimons comme suit:

L’UDC exige des ouvertures immédiates compte tenu du fait que plus de 70% des gens de plus de 65 ans au niveau suisse ont aujourd’hui reçu au moins une dose de vaccin et que plus de 65% des personnes âgées de plus de 75 ans sont complètement vaccinées. L’UDC réclame en particulier les interventions suivantes:

  1. lever les mesures Covid-19 à la place de travail, notamment supprimer l’obligation du travail à domicile et de porter un masque dans les locaux de travail;
  2. lever la limite maximale du nombre de personnes pouvant participer à une manifestation dans un cadre familial et amical à l’intérieur comme à l’extérieur,
  3. lever la limite maximale du nombre de personnes participant à des réunions dans l’espace public et à des manifestations publiques;
  4. lever la limite maximale de personnes admises dans les magasins et les entreprises de services;
  5. ouvrir les restaurants et les bars ainsi que lever l’obligation d’être assis et la fermeture obligatoire entre 23 et 6 heures;
  6. ouvrir les équipements culturels, sportifs et de loisirs à l’intérieur comme à l’extérieur;
  7. lever la limite maximale de personnes participant à des activités culturelles et de loisirs;
  8. lever les mesures Covid-19 concernant le chant;
  9. lever les mesures Covid-19 concernant le sport dans les locaux et en plein air;
  10. lever la limite maximale de personnes dans l’enseignement du degré tertiaire et dans les cours du secteur des loisirs.

L’UDC soutient en principe les efforts du Conseil fédéral visant à créer des directives transparentes pour l’organisation de grandes manifestations.

L’ordonnance mise en consultation donne aux organisateurs des directives sur la manière d’organiser des grandes manifestations d’intérêt interrégional après le 1er juillet 2021 pour assurer la protection de la santé. Parallèlement, elle définit la participation aux coûts par la Confédération et les cantons en cas d’annulation à brève échéance de grandes manifestations. Ces explications qui doivent en principe être saluées, ne peuvent cependant pas faire oublier que la Confédération n’a toujours pas annoncé des étapes d’ouverture concrètes. Faute de l’annonce rapide d’étapes d’ouverture, les organisateurs se garderont bien de planifier et surtout de lancer des festivals, expositions et autres manifestations du même type.

L’UDC exige des ouvertures immédiates compte tenu du fait que plus de 70% des gens de plus de 65 ans au niveau suisse ont aujourd’hui reçu au moins une dose de vaccin et plus de 65% des personnes âgées de plus de 75 ans sont complètement vaccinées. Un grand nombre parmi les mesures proposées, comme l’interdiction de vendre des billets aux groupes de fans de l’équipe adverse, doivent être biffées, car ce ne sont que des chicaneries parfaitement inutiles. Les vaccinations, tests et preuves de guérison doivent précisément permettre d’organiser et de visiter des manifestations sans restriction supplémentaire. Contraindre les organisateurs de mettre en place des concepts de protection supplémentaires, c’est prononcer une interdiction indirecte pour les manifestations organisées par des sociétés et grâce au concours de volontaires. Il faut que cessent ces chicaneries inventées par des fonctionnaires désœuvrés. Il est faux d’inscrire dans l’ordonnance des délais fixes pour les personnes vaccinées (6 mois) ou guéries (3 mois). Ces délais devront en effet être adaptés en fonction de l’évolution des connaissances médicales...

...En l’absence d’étapes d’ouverture concrètes, l’UDC adopte une attitude critique à l’égard des directives proposées par le Conseil fédéral concernant l’autorisation de grandes manifestations.

En vous remerciant de tenir compte de notre prise de position, nous vous adressons nos salutations les meilleures.

source: https://www.udc.ch/parti/positions/consultations/modification-de-lordonnance-covid-19-situation-particuliere/

Immigration illégale: stopper le laisser-faire des villes de gauche

Les immigrants illégaux n’ont pas droit à une autorisation de séjour en Suisse. Néanmoins, ils profitent de notre système financé par les impôts et taxes de la population laborieuse. La notion de « sans-papiers » créée par la gauche sert en fait à minimiser le problème de l’immigration illégale. Il faut mettre fin à cette situation intolérable. L’UDC a déposé une série d’interventions parlementaires afin que les clandestins soient enfin traités pour ce qu’ils sont: des personnes qui violent nos lois et qui doivent donc immédiatement quitter la Suisse.

Dans les villes gouvernées par la gauche surtout, les immigrants illégaux ne sont pas seulement tolérés, mais accueillis à bras ouverts: ils peuvent envoyer leurs enfants à l’école, louer des logements et la police reçoit l’ordre de fermer les yeux. Certaines villes comme Zurich vont même plus loin en envisageant d’offrir aux clandestins des droits supplémentaires avec ladite « City Card », une sorte de document d’identité communal.

L’UDC s’oppose avec détermination à ces pratiques. Il est hors de question qu’une personne qui viole nos lois et séjourne illégalement en Suisse soit récompensée par une police qui détourne le regard et par des avantages financés par les contribuables. Le groupe parlementaire fédéral UDC a donc déposé aujourd’hui durant cette session spéciale une série d’interventions pour mettre fin à cette politique illégale du laisser-faire voulue par la gauche.

Voici les exigences concrètes de l’UDC:

  • modifier la loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) afin que les personnes qui vivent illégalement et sans autorisation de séjour en Suisse soient exclues de l’obligation de s’assurer. Les frais de santé de ces personnes devront désormais être assumés par les communes (et les cantons) qui tolèrent ces agissements illégaux.
    Initiative
  • les bases légales doivent être adaptées afin que les immigrants illégaux ne bénéficient plus de prestations de l’AI.
    Initiative
  • l’obligation d’annoncer imposée aux autorités doit être étendue: les institutions de formation de même que les principaux supports du système d’assurance sociale comme les caisses maladie, les caisses de compensation et les institutions de la prévoyance professionnelle devront à l’avenir informer les services des étrangers de la Confédération et des cantons lorsqu’ils ont connaissance de la présence d’immigrants clandestins. Les échanges de données entre les autorités et les assurances sociales doivent être systématisés.
    Initiative
    Initiative
  • des contrats importants comme des contrats de travail, des contrats de location, des comptes bancaires, des contrats de téléphonie mobile, etc. ne pourront être conclus qu’en présence d’une attestation de domicile d’une commune.
    Initiative
  • la commune de domicile qui tolère la présence de clandestins doit en assumer intégralement les coûts.
    Initiative
  • les bases légales doivent être adaptées afin d’interdire des documents d’identification communaux et cantonaux pour les clandestins, comme lesdites « City-Cards ».
    Initiative
  • les sanctions pénales frappant les employeurs, services de placement et propriétaires immobiliers qui engagent des immigrants illégaux, leur procurent des emplois ou leur louent un logement doivent être durcies.
    Initiative
  • le Conseil fédéral doit résilier le « Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels » de l’ONU qu’il a signé en 1991. Ensuite, il signera à nouveau ce pacte avec la réserve que tous les droits qui y sont mentionnés ne valent que pour les personnes en séjour légal.
    Initiative

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/stopper-le-laisser-faire-des-villes-de-gauche/

L’UDC réclame la levée immédiate de la « situation particulière »

3. mai 2021

Le groupe parlementaire fédéral de l’UDC s’est réuni aujourd’hui pour préparer la session spéciale en cours. Il a pris les décisions suivantes:

  • la « situation particulière » selon la loi sur les épidémies (LEp) doit être immédiatement levée. Le groupe UDC a déposé au Conseil national et au Conseil des Etats deux motions identiques dans ce sens (21.3157, respectivement 21.3441). Selon la LEp, une « situation particulière » est donnée quand les organes d’exécution normaux ne sont plus à même de prévenir et de combattre l’éclatement et la propagation de maladies transmissibles. Compte tenu du fait que la population suisse vit depuis plus de 12 mois avec le nouveau coronavirus, les conditions justifiant une « situation particulière » ne sont plus réunies. Aujourd’hui les institutions ordinaires sont parfaitement capables de combattre l’éclatement et la propagation de la maladie virale. Le nombre d’hospitalisations a de surcroît baissé. Il n’y a donc plus de risque de surcharge des services de soins intensifs. Des concepts de protection efficaces ont été mis en place et les groupes à risque ont été entre-temps vaccinés.
  • le groupe UDC se prononce en faveur de la loi sur les profils d’ADN, donc de ladite phénotypisation. Ce procédé peut notablement faciliter les enquêtes policières, car il permet, sur la base d’une analyse ADN, de déceler la couleur des yeux, des cheveux et de la peau, les origines biogéographiques (continent d’origine) et l’âge, si bien que le cercle des délinquants potentiels peut être restreint.
  • le groupe UDC approuve la modification de la loi sur l’asile (17.423) en vertu de laquelle l’obligation des requérants d’asile de participer à la détermination de leur identité peut être élargie. A l’avenir, les autorités de migration pourront vérifier et analyser les téléphones mobiles, les ordinateurs et les tablettes de ces personnes. La majorité des requérants d’asile entrent en effet en Suisse sans papier d’identité, ce qui constitue un risque de sécurité considérable et une charge énorme pour les services d’état civil.
  • le groupe UDC se prononce en outre pour la protection de la production sucrière suisse contre le sucre importé de l’UE à des prix de dumping (motion de commission 21.3016 et in. parl. 15.4779 « Stop au bradage ruineux du sucre! Pour la sauvegarde de l’économie sucrière indigène »). De l’avis de l’UDC, les droits de douane sur le sucre importé de l’UE doivent être fixés à 70 francs par tonne. Parallèlement, l’UDC invite la Confédération à maintenir le soutien à l’économie sucrière suisse jusqu’en 2026 au même niveau qu’en 2021 et d’encourager la production bio de betteraves sucrières par des paiements directs de 200 francs par tonne.
  • le peuple suisse doit absolument se prononcer sur des traités internationaux de grande portée. Le groupe UDC se prononce donc en faveur d’une modification dans ce sens de la Constitution fédérale. Selon le nouvel article, les traités internationaux sont soumis au référendum obligatoire s’ils contiennent des dispositions ayant rang constitutionnel ou si leur application exige une modification de la Constitution fédérale.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-reclame-la-levee-immediate-de-la-situation-particuliere/

Accord-cadre institutionnel: empêcher la Suisse de ramper sur les genoux jusqu’à Bruxelles

L’intervention souveraine du président de la Confédération Guy Parmelin à Bruxelles ne doit pas faire oublier que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral et du Parlement veut toujours se soumettre à l’UE et sacrifier l’indépendance de la Suisse. Le Conseil fédéral ferait bien de rejeter catégoriquement une fois pour toutes les mensonges et tentatives de chantage de l’UE.

La bonne nouvelle pour commencer: le président de la Confédération Guy Parmelin a  fait tout juste vendredi dernier lors de sa rencontre avec Ursula von der Leyen, présidente de la Commission UE. Il est resté ferme et a clairement présenté les positions suisses dans ces négociations. Néanmoins la plus extrême vigilance s’impose. Portant gravement atteinte à la démocratie directe et à la souveraineté nationale, le nuisible accord-cadre institutionnel est loin d’être enterré. C’est avec consternation et colère que l’UDC prend acte des concessions que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral et du Parlement est prête à faire à l’UE:

  • le mandat de négociation de la négociatrice Livia Leu comporte de larges concessions concernant la protection des salaires, la directive sur la citoyenneté européenne et les aides publiques des cantons. Il s’agit là en réalité d’une demi-capitulation.
  • la situation est d’autant plus dangereuse que le Conseil fédéral avait dans le passé déjà approuvé la reprise dite dynamique de droit UE.
  • conséquence logique de cette politique de soumission: si l’UE accepte les concessions fatales du Conseil fédéral, la Suisse est définitivement prise au piège diplomatique.
  • pour l’UDC, la signature d’un accord-cadre institutionnel est totalement inacceptable. Elle se bat résolument contre la reprise de droit UE et contre la subordination de la Suisse à la Cour de justice UE, donc à des juges étrangers et forcément partiaux.

Les tenants de la politique extérieure suisse s’apprêtent à ramper jusqu’à Bruxelles

La menace ne vient pas seulement de la majorité de centre-gauche europhile du Conseil fédéral, mais aussi des eurofanatiques qui peuplent la Commission de politique extérieure (CPE) du Conseil national:

  • la majorité de la CPE du Conseil national (17 voix contre 8!) s’apprête à ramper sur les genoux jusqu’à Bruxelles: elle fait pression sur le Conseil fédéral pour qu’il poursuive les négociations, en clair pour que la Suisse se soumette totalement à la volonté de l’UE.
  • une fois de plus les eurofanatiques du Parlement ne défendent pas les intérêts de la Suisse, mais ceux de l’UE.
  • cette attitude est doublement méprisable, car non seulement ces prétendus représentants du peuple trahissent la Suisse, mais en plus qu’ils font cause commune avec la partie adverse alors que celle-ci a grossièrement menti durant les négociations à en croire des comptes rendus des médias.

La Berne fédérale ne doit pas se laisser impressionner par les tentatives de chantage de Bruxelles

L’UDC s’oppose avec détermination à ces agissements. Elle continue de s’engager rigoureusement pour la liberté, l’indépendance, la démocratie et le fédéralisme. Le Conseil fédéral ne doit pas se laisser impressionner par les trucages, les mensonges, voire les tentatives de chantage de l’UE:

  • Bruxelles a lié la participation de la Suisse au programme de recherche UE « Horizon » à la conclusion de l’accord institutionnel et au paiement dudit milliard de francs pour la cohésion de l’UE (en réalité il s’agit de beaucoup plus d’argent).
  • l’UDC exige que les six milliards de francs prévus pour le programme de recherche UE soient réservés à la recherche scientifique suisse.
  • il s’agit cependant de trouver des alternatives créatives de coopération avec des universités ou programmes de recherche d’autres pays comme la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, Israël ou des pays d’Extrême-Orient.
  • les meilleures universités du monde ne se situent de toute manière pas dans l’UE.

L’UDC se bat pour alléger les charges grevant les entreprises

Par le biais de la motion de la conseillère nationale Sandra Sollberger (« Projet de loi fédérale pour réduire la densité normative et les charges administratives pesant sur les entreprises »), l’UDC réclame un allègement des charges grevant les entreprises, notamment les PME. Il est vital que les activités des entreprises ne soient pas entravées par des exigences bureaucratiques supplémentaires alors que les PME sont déjà lourdement frappées par la pandémie de Covid-19.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/accord-cadre-institutionnel-empecher-la-suisse-de-ramper-sur-les-genoux-jusqua-bruxelles/

 

Le Conseil fédéral reporte sa responsabilité sur la population et refuse le retour à la normalité des personnes vaccinées, testées et guéries

Contrairement aux propos alarmistes des milieux scientifiques et de l’OFSP, la situation en termes de pandémie ne s’est pas aggravée en Suisse. Néanmoins le Conseil fédéral refuse aux habitants de Suisse le droit de revenir à une vie normale et indépendante. De l’avis de l’UDC, les mesures restrictives ne peuvent plus être justifiées.

Les scénarios d’horreur, que les responsables de la taskforce et de l’OFSP avaient prédits il y a un mois environ, ne se sont pas réalisés. Les hôpitaux ne sont pas surchargés. Pour le mois de février dernier, l’Office fédéral de la statistique a même noté un taux de mortalité inférieur à la moyenne et le nombre de personnes guéries et vaccinées ne cesse de croître.

Personnes âgées assignées à domicile malgré la vaccination

Néanmoins, le Conseil fédéral exclut catégoriquement toute mesure d’ouverture supplémentaire avant la fin mai. Il refuse même un retour à la normalité aux personnes pour lesquelles le virus n’est plus dangereux ou qui peuvent faire la preuve de leur bon état de santé, c’est-à-dire concrètement les personnes vaccinées ou guéries et celles présentant un test négatif. Même les résidants vaccinés des homes pour personnes âgées sont de fait toujours assignés à domicile.

Ce régime n’encourage évidemment pas les gens à se faire vacciner – ce qui n’empêche pas le Conseil fédéral de se plaindre d’un manque de « propension à se faire vacciner ».

Les victimes de cette politique sont une fois de plus les restaurants

Au lieu d’indiquer une voie de sortie de la pandémie, le Conseil fédéral préfère multiplier les prétextes pour maintenir les fermetures. Désormais il ose même reporter sa responsabilité sur la population. Or, le principal problème n’est pas, comme le prétend le Conseil fédéral, le manque de « propension à se faire vacciner », mais la longue série d’échecs de l’OFSP, dont Alain Berset est responsable, dans l’acquisition et la distribution de doses de vaccin.

Une fois de plus, les exploitations gastronomiques font les frais de cette mauvaise politique. L’UDC exige donc

  • la levée immédiate de toutes les fermetures ordonnées;
  • l’accélération de la campagne de vaccination et l’application rigoureuse du régime des tests;
  • des facilités accordées aux personnes qui ne risquent plus de tomber gravement malades du coronavirus;
  • la fin de la confusion régnant actuellement en matière de règlementations et la levée immédiate de mesures absurdes comme celle d’une zone de 25 mètres carrés pour les chœurs et les sociétés de musique.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-conseil-federal-refuse-le-retour-a-la-normalite/

 

Guy Parmelin veut donner un nouvel élan aux discussions sur l’accord-cadre : “Je représente l’avis du Conseil fédéral et non celui de l’UDC”

Le président de la Confédération Guy Parmelin (61 ans, UDC) affirme qu'il ne cherche pas à faire un coup d'éclat lors de la rencontre prévue avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen (62 ans) à Bruxelles. "Je ne vais pas jouer à Boris Johnson", a déclaré Guy Parmelin dans une interview au journal.

La situation de la Suisse n'est pas comparable au Brexit ou à la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, a déclaré M. Parmelin au journal dominical suisse romand "Le Matin Dimanche". La Suisse ne veut pas "se retirer d'un accord, mais trouver une solution pour le développer davantage".

Le ministre de l'Economie a également déclaré que le Conseil fédéral cherchait "depuis longtemps" des alternatives en cas d'échec sur l'accord-cadre. Son parti, l'UDC, ne veut pas d'accord-cadre, mais M. Parmelin a assuré qu'il représenterait l'avis du Conseil fédéral, «quelle qu'en soit l'issue».

M. Parmelin va rendre visite à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, vendredi prochain à Bruxelles. La réunion au niveau présidentiel a pour but de donner une nouvelle impulsion aux discussions sur l'accord-cadre.

Le projet est sur la table depuis fin 2018. L'accord vise à réglementer l'adoption d'une nouvelle loi et le traitement des litiges. Aujourd'hui, le réseau de contrats comprend une vingtaine d'accords bilatéraux centraux et plus d'une centaine d'autres contrats.

Le gouvernement suisse n'a pas signé l'accord pour le moment en raison des questions ouvertes et de la résistance féroce au parlement. Jusqu'à présent, l'UE a catégoriquement exclu les renégociations. Cependant, elle était prête à fournir des informations plus précises.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch


Rappels :

Nomination de Christian Levrat à la tête de la Poste : il aurait obtenu le soutien de Parmelin et de Maurer

Le port du voile compatible avec le règlement vestimentaire de l’armée selon Parmelin: « Ce n’est pas un voile, c’est un foulard. »

Parmelin : « Refuser la nouvelle loi sur le renseignement c’est se rendre complice du terrorisme »

Attentat d’Orlando: L’UDC Parmelin critique la loi laxiste sur les armes aux USA mais pas l’islam

Moins de cadeaux financiers à l’étranger – plus de moyens pour aider la population suisse

De plus en plus d’argent public – donc de l’argent durement gagné par les Suissesses et les Suisses – est dépensé à l’étranger alors que la crise économique impacte durement la population suisse.
L’argent des contribuables doit d’abord être engagé ici, en Suisse, pour venir en aide à celles et ceux qui souffrent de la crise. L’UDC appelle donc à une réorientation de la coopération internationale.

La Suisse donne des milliards à l’étranger. Pendant la crise Covid-19, la majorité de centre-gauche au Parlement a même augmenté les dépenses de l’aide au développement.
À partir de 2021, un montant annuel record de 2’800 millions de francs suisses sera injecté dans ladite  Coopération internationale (CI) alors que les problèmes dans notre pays sont importants. Le fait est que ce montant augmente continuellement à cause d’un mécanisme astucieux que l’on pourrait nommer « taxe ONU ». C
ette taxe lie le montant des dépenses dédié à l’aide au développement au total des revenus de la population suisse.  Comme ce revenu total augmente avec les performances économiques, les contribuables suisses dépensent de plus en plus d’argent pour l’aide au développement à l’étranger.

Les mesures prises par la Confédération pour lutter contre la pandémie de coronavirus ont coûté jusqu’à présent au moins 38 milliards de francs aux contribuables suisses. Des branches économiques entières ont dû fermer leurs portes, et des milliers de salariés et d’indépendants se retrouvent ruinés.
À la fin du mois de mars, 157’968 personnes étaient inscrites au chômage. Par rapport au même mois de l’année dernière, cela représente une augmentation de 22’344 personnes ou un total de +16,5%. En janvier, 399’667 personnes et 47’460 entreprises ont été touchées par le chômage partiel.
La comparaison avec le même mois de l’année dernière montre clairement l’ampleur de la situation : En janvier 2020, seules 3’717 personnes dans 178 entreprises étaient en chômage partiel. Cela correspond à une augmentation supérieure à un facteur 100.

Malgré les milliards versés à l’étranger, le flux d’immigrés économiques ne s’arrête pas

Dans le même temps, la pression augmente sur notre système de protection sociale car, malgré les milliards versés à l’étranger pour l’aide au développement, des dizaines de milliers de personnes immigrent en Europe et en Suisse pour bénéficier de notre générosité sociale.

Le pacte de l’ONU sur les migrations renforce encore plus cette situation, car il introduit de fait une libre circulation quasi mondiale des personnes pour les immigrés économiques. C’est pourquoi l’UDC combat ce pacte migratoire, qui est dangereux pour notre pays, et demande une réorientation de la coopération internationale. Lisez notre position et nos revendications ici.

L’UDC a remporté ses premiers succès dans la lutte contre ce pacte migratoire : grâce à notre mise sous pression, la commission du Conseil des Etats a décidé hier de suspendre le pacte.

« Mais cela ne signifie pas que le danger est écarté », rappelle Yves Nidegger, conseiller national genevois, dans l’émission « UDC proche de vous ».

« La majorité de centre-gauche du Conseil fédéral et du Parlement aimerait signer le pacte immédiatement. C’est pourquoi nous devons continuer à nous battre. »

Regardez l’intégralité de l’émission ici.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/moyens-aider-la-population-suisse/

«Berset ne maîtrise ni le dossier Covid ni l’OFSP»

Après le plan de pandémie «inutilisable», la «débâcle des masques», la «base de données de vaccination défaillante» et «l’approvisionnement insuffisant en vaccins», pour le chef du groupe parlementaire UDC Thomas Aeschi, cette affaire est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.

Le fait que l’OFSP n’ait une fois de plus pas réussi à intervenir sur les médicaments Roche démontre, selon ce dernier, que «plus d’un an après le début de la pandémie, Alain Berset n’a toujours pas organisé l’OFSP de manière qu’il agisse comme une équipe de gestion de crise en situation d’urgence».

(...)

20Min.ch

Le PLR propose à l’UDC de quitter le Conseil fédéral

Les mesures de restrictions contre la pandémie sont au cœur d’un clash entre les deux partis de droite. Après des menaces de l’UDC de s’en prendre aux sièges des deux représentants PLR au Conseil fédéral (Karin Keller-Sutter et Ignazio Cassis), la présidente du parti, Petra Gössi a haussé le ton. Lundi soir lors de l’assemblée extraordinaire des délégués du parti, elle a carrément proposé au premier parti du pays de quitter le gouvernement. «Si l’UDC veut mener une politique d’opposition pure, elle doit être cohérente et quitter le Conseil fédéral, a-t-elle déclaré, selon «20 Minuten».

(...)

20min.ch

 

Conseil fédéral : l’UDC Ueli Maurer s’en prend à la pensée unique et à Greta Thunberg

Dans une allocution inhabituelle, le ministre des Finances s’en prend aux suiveurs de Greta et à la pensée unique corona.

«Je ne fais pas partie des fanatiques ni des complotistes, même si je fais aussi des remarques critiques», prévient-il d’emblée. En discutant avec la population, il relève qu’elle lui dit de plus en plus: «On ne peut plus rien dire à haute voix.»

 

 

Mariage pour tous: signez le référendum, maintenant!

par Jean-Luc Addor, conseiller national, Savièse VS

L’objectif est en vue. Il est atteignable. Mais il manque encore des signatures pour être en mesure de déposer, le 10 avril, les 50'000 nécessaires pour que le peuple puisse se prononcer sur le «mariage civil pour tous». Si nous donnons le dernier coup de collier, nous y parviendrons. Alors mobilisons-nous!

De quoi s’agit-il?

Le mariage est aujourd’hui conçu comme l’union d’un homme et d’une femme, seuls à même de procréer ensemble naturellement. Remettre en cause ce principe fondateur de la famille, cellule de base de notre société, c’est toucher aux fondements chrétiens de notre civilisation, mais aussi à l’ordre naturel. Réaffirmer ce principe n’a rien de discriminatoire. En effet, en droit suisse, depuis l’introduction du partenariat enregistré, les couples de même sexe bénéficient d’un statut qui, de fait, est presque identique au mariage et leur permet de vivre leur différence dans un cadre reconnu.

Dans ce contexte, le combat du lobby LGBT a une portée avant tout idéologique. C’est une guerre de vocabulaire visant à l’appropriation, au-delà d’un statut juridique qui existe déjà, du terme même de «mariage». Cette revendication est toutefois frappée d’une contradiction insoluble qui devrait la condamner: à quoi bon, en effet, revendiquer le droit à la différence si c’est pour demander au bout du compte un traitement identique de formes de vie dont au demeurant, chacun peut constater objectivement la différence?

Le Parlement a même osé aller plus loin encore en admettant que deux femmes mariées l’une à l’autre puissent être les parents exclusifs d’enfants conçus au moyen d’un don de sperme. Bouleversant les règles et présomptions en vigueur dans le domaine de la paternité, le «mariage pour tous» évacuera le père du code civil ; au mépris d’un ordre naturel qu’aucun idéologue ne pourra jamais changer, elle le remplacera par un vague parent interchangeable.

Vous ne voulez pas d’un tel bouleversement de l’ordre naturel et de notre société? Vous n’avez pas encore signé le référendum?

Alors téléchargez-le PDF, signez-le MAINTENANT et renvoyez-le à l’adresse indiquée sur le formulaire. Auparavant, faites-le signer à votre famille, à vos voisins, à vos collègues!

Grâce à vous, le peuple pourra ainsi se prononcer sur cette véritable révolution.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/mariage-pour-tous-signez/

https://mariage-homosexuel.ch/images/telecharger/Feuille-signatures-comite_romand.pdf