Stockholm : Un islamiste adorant Hitler torture un couple pendant des heures

 

Un couple suédois a été détenu pendant plusieurs heures par un islamiste adorateur d'Hitler dans le sud de Stockholm. Ils ont été torturés. Le but était de leur faire retirer un rapport sur un viol concernant un migrant afghan.

Le couple raconte avec ses propres mots l'incident dans une vidéo de Samnytt TV.

C'est dans la nuit du 16 au 17 août qu'Erik, 18 ans, et sa petite amie se trouvaient au domicile de Pa "Paul" Demba Nyassi, 21 ans, originaire de Gambie, pour boire de l'alcool avec quelques autres amis.

Les autres invités qui se trouvaient à la fête sont partis vers 22 heures de la résidence de Nyassi. Quand Erik et sa petite amie ont voulu quitter la maison à 1 h, Nyassi a soudain attaqué et a séquestré le couple.

Le couple affirme que Nyassi a exigé que la petite amie retire un rapport de police établi fin juillet concernant le viol de l'ami de Nyasi.

Selon le couple, Nyassi avait promis de témoigner contre le suspect.

 

Attention, images choquantes.

Pa ”Paul” Demba Nyassi

Alors que le couple quittait l'appartement, Nyassi a sorti une machette noire ressemblant à une longue épée. Il a poignardé par surprise Erik sur le côté du corps, puis il a forcé le couple à entrer dans la salle de bain.

Nyassi a commencé à frapper Erik à coups de poing et l'a forcé à retirer ses vêtements. Quand Erik s'est déshabillé, Nyassi lui a ordonné de lui donner sa montre-bracelet Armani.

Le Gambien veut lui montrer comment Hitler a fait

Nyassi a également sorti un rasoir et a déclaré qu'il allait montrer à Erik "comment Hitler a fait avec les Juifs". Il a commencé à lui raser les cheveux. Nyassi a également demandé à Erik s'il aimait Adolf Hitler.

 

Puis Erik a été obligé de s'allonger sur le sol. Il s'est fait piétiner au niveau de la tête pendant que Nyassi tirait avec un pistolet à air comprimé sur le corps.

La police a également trouvé des mégots de cigarettes dans la salle de bain. Le couple a affirné que Nyassi  les a utilisés lors de la torture.

[...]

Dans la salle de bain, la petite amie d'Erik a également été soumise à la torture. Elle a été frappée à la tête et s'est fait tirer dessus avec le pistolet à air. Le couple a déclaré que Nyassi appelait la fille "putain de juif" en arabe et menaçait également de lui couper son "nez de juive".

Au cours de la torture, Nyassi a eu des contacts téléphoniques avec le migrant afghan et a également filmé des parties de la scène. Il ressort clairement des appels téléphoniques et du trafic internet analysés par la police que les « frères de sang » ont été en contact étroit pendant une heure et vingt minutes. Mais malgré cela, l'Afghan a affirmé qu'il avait seulement tenté de dire à Nyassi de ne pas frapper.

Le couple a affirmé que durant la torture, la petite amie d'Erik a été forcée de parler à l'Afghan au téléphone. Elle a déclaré à la police que la personne à qui elle avait parlé dans la salle de bain "était la même personne qui l'avait précédemment violée". Nyassi et l'homme au téléphone auraient menacé la fille. La petite amie a aussi affirmé que l'Afghan avait ordonné à Nyassi de tuer le couple.

Lorsque le Gambien s'est focalisé sur Erik et l'a menacé de lui couper la gorge, la fille est parvenue à s'échapper de l'appartement.

Nyassi a poursuivi la fille une machette à la main. Erik est alors parvenu à se lever et s'est dirigé vers la porte d'entrée pour la verrouiller. Puis il a lui-même sauté par une fenêtre et a cherché de l'aide dans le voisinage.

"Pas plus grand Dieu qu'Allah"

La petite amie raconte également comment Erik a été menacé d'être décapité. Nyassi aurait également déclaré "qu'il n'y a pas de Dieu plus grand qu'Allah".

Le violeur est un migrant afghan qui est enregistré à Saltsjö-Boo au sud de Stockholm et a immigré en Suède en 2011. L'homme afghan s'avère être un très bon ami de Nyassi et il est considéré comme une sorte de "frère de sang". Dans l'annuaire téléphonique de Nyassi, l'Afghan porte le surnom de "Hitler AFG".

Ensemble, les "frères de sang" ont posté plusieurs photos accompagnées de textes indiquant qu'ils font une sorte de commerce ensemble.

Hitler adore les musulmans

Les informations contenues dans les dossiers d'enquête préliminaire de la police montrent que Nyassis porte le nom de Damian Bilal Rahman King sur les réseaux sociaux.

Le site d'informations suédois Samhällsnytt a passé en revue l'empreinte numérique de Nyassi, on y découvre que Nyassis a de la sympathie pour Adolf Hitler.

En outre, Nyassi a posté plusieurs commentaires montrant son amour pour l'Islam. Dans l'un de ces posts, une image est accompagnée par le texte ”the best book #islam”. Une image que son ami afghan - soupçonné de complicité - approuve.

Nyassi montre également un plaisir pour les armes qu'il appelle ses "meilleurs amis".

Délinquant violent grave

Un examen des antécédents criminels de Nyassi dévoile qu'il apparaît dans le registre pour une série d'infractions, y compris des voies de fait graves et des infractions liées aux drogues.

En mai dernier, un gang d'immigrants, dont Nyassi, a été accusé d'avoir volé une femme de 70 ans qui se déplaçait à l'aide d'un déambulateur.

En 2017, Nyassi a été condamné par le tribunal de district de Stockholm après avoir attaqué un couple suédois avec une bouteille en verre et donné des coups de pied, dans le centre de Stockholm.

Le tribunal de district a justifié la peine de probation en disant que Nyassi "semblait avoir eu un développement positif ces derniers temps".

L'année précédente, le même tribunal de district avait condamné Nyassi à six mois de détention pour mineurs après avoir tenté de trancher la gorge d'un garçon lors d'une dispute dans le centre-ville de Stockholm.

Nyassi n'a montré ni inquiétude et ni remords lorsque la police l'a mis en état d'arrestation. Au lieu de cela, il s'est mis à rire.

[...]

Le migrant afghan, qui selon les victimes a été impliqué dans l'agression et qui a entretenu des contacts téléphoniques fréquents durant la torture était considéré comme co-suspect dans l'affaire. Mais il a été libéré car il n'a pas été possible de prouver son implication.

(Traduction libre Christian Hofer pour les Observateurs.ch)

Samnytt.se

 

Italie. Sicile: Un clandestin algérien s’amuse à torturer et à tuer les animaux errants

C'est l'histoire poignante de Nerina, chienne errante maltraitée, torturée et tuée par un immigré clandestin algérien, qui a causé sa douleur atroce et une hémorragie interne,

Le clandestin arrive à vélo, la chienne Nerina sociable le salue pleine de joie, à la recherche d'une caresse de la part de ces mains qui sont là pour la massacrer.

A la fin du film, qu'on ne peut pas visionner en raison de sa brutalité, la petite chienne s'échappe agonisante des griffes de son bourreau. Les faits remontent au mois d'octobre de l'année dernière.

Mais à présent, les habitants de la région se sont insurgés contre l'Algérien, qui, en dépit du fait d'avoir été immédiatement identifié comme étant l'auteur du crime, a continué à rester libre et à s'amuser en torturant d'autres animaux errants, comblant ainsi l'ennui découlant de son statut de clandestin en Italie.

 

 

Les habitants n'ont pas oublié ce gentil petit chiot et ont organisé en son honneur un rassemblement de protestation, qui se tiendra demain Victoria, le 16 septembre, à 15 heures, en face de la maison dans laquelle l'assassin loge sans autorisation, et ils demanderont son expulsion immédiate.

 "L'homme qui a brutalement tué, inutilement et par cruauté, la chienne errante est un clandestin violent, socialement dangereux et sans identité. Même si les faits ne sont pas récents, nous avons livré la vidéo inédite de la caméra de surveillance qui montre toute la dynamique de la tuerie. De plus, les citoyens sont exaspérés et préoccupés parce qu'il continue de harceler les animaux errants.

(..)

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Berlin : un réfugié gambien musulman échappe à la prison après avoir torturé atrocement sa belle-fille

Un réfugié gambien vivant à Berlin a échappé à une peine d’emprisonnement, en dépit d’être reconnu coupable d’avoir torturé sa belle-fille de 5 ans dans des rituels religieux violents.

Mamadou G, 37 ans, a admis avoir abusé de sa belle-fille dans un rituel religieux appelé « Juju » parce qu’il croyait qu’elle était un diable. L’individu la frappé avec des bâtons, des ceintures et ébouillantait ses mains avec de l’eau chaude, parmi d’autres punitions dégradantes.

Il lui a dit que si elle «continuait à refuser à Allah, elle irait en enfer, où elle serait démembrée».

Un pédiatre a témoigné que la jeune fille avait des blessures partout sur son corps et qu’il était également évident que la fille était gravement traumatisée mentalement ». Le pédiatre a également déclaré à la cour comment la fille a été forcée de dormir dans une valise et n’a pas eu de jouets dans l’appartement dans lequel elle habitait.

Au tribunal, le juge n’a pas donné à l’homme une peine de prison pour ces crimes, mais a choisi de donner à l’homme deux ans de probation. L’homme sera cependant renvoyé en prison pour une peine pour trafic de drogue, mais sera probablement libre l’année prochaine.

Bild Via Fdesouche.com

Allemagne: Une vieille dame torturée à mort par un réfugié. Le maire de Cottbus appelle au calme.

Un crime atroce choque le Brandebourg. Gerda K., une retraitée de 82 ans, a été agressée à son domicile et véritablement torturée à mort. Toujours aucune trace du coupable.

Bild


02.03.2017

Près de trois mois après la découverte à Cottbus du cadavre d’une retraitée, la police a identifié un suspect. Le ministère public de Cottbus et la police ont fait savoir que le jeune homme avait été arrêté mercredi dans la ville. Un mandat d’arrêt pour suspicion de meurtre a été établi à son encontre.

Selon les enquêteurs, le suspect est « un ressortissant syrien mineur au moment des faits » qui était arrivé en 2015 en Allemagne en compagnie de son tuteur. Le ministère public n’a pas communiqué son âge exact.

Holger Kelch (CDU), maire de Cottbus a appelé au calme dans un communiqué publié sur la page d’accueil du site de la ville. « Nous savons que l’origine du coupable présumé va susciter l’émotion », peut-on y lire. À la joie de voir l’enquête aboutir se mêle l’inquiétude « que tous les étrangers vivant à Cottbus puissent maintenant faire l’objet d’une suspicion généralisée » [...]

(Traduction Fdesouche)

Die Welt

Italie: Torturé chez lui par quatre voleurs immigrés: «J’ai cru que j’allais mourir” (Vidéo)

Une agression violente, avec de la torture et de coups sans précédents. Une côte cassée, les signes de violences sur le corps meurtri par la torture.

Enrico a raconté son histoire incroyable au site Il Populista dans une interview vidéo. Les voleurs sont entrés dans sa maison en forçant la porte, puis ils ont détruit tout ce qu'ils ont trouvé. Dans la chambre à coucher, ils ont vu Enrico couché dans son lit et ont déchainé toute leur violence sur le pauvre fermier. "Ils me disaient « Tais-toi, tais-toi. Où est l'argent? - Raconte Enrico - Maintenant nous allons te tuer".

agression

A présent, sa maison ressemble à une décharge en raison du désastre provoqué par les voleurs: les tiroirs renversés, portes arrachées, armoires forcées et tout est jeté à terre. "Ils m'ont sauté dessus et pour éviter que je puisse réagir, ils m'ont bloqué les poignets. Ensuite, ils ont commencé à hurler: «Ne crie pas, on va te tuer, on va te tuer».

Ensuite, de temps en temps, ils me brûlaient le bras avec un briquet." Pour le torturer. Des brûlures de second degré sont encore bien visibles sur le corps d'Enrico.

https://youtu.be/NHm5SvTcmV4

 

"Ils avaient la peau foncée - continue de raconter l'homme - des Africains. Ils me disaient: «Donne-nous l'argent, donne-nous l'argent », puis ils m'ont menacé avec le pistolet et le couteau. J'étais certain que cette nuit serait la dernière de ma vie.

"Outre les brûlures traitées par la suite à l'hôpital, Enrico a également une côte fracturée. "Je leur ai aussi dit que j'avais subi une opération et que j'avais une valve mécanique, mais ils s'en fichaient - il ajoute - ils me demandaient tout le temps le code secret".

Puis l'horreur: «Ils ont mis les mains autour de mon cou et m'ont soulevé puis m'ont jeté contre le mur.

Ils m'ont mis à genoux, ils ont mis un pied sur la tête en me l'écrasant. «Donne-nous le code secret", ils ont continué. Je ne me suis souvenu que deux chiffres, je les leur ai donnés avec deux autres que j'ai inventés. Ils ont attaché mes poignets avec le câble de la télévision. Ils m'ont dit: «Nous allons à la banque. Si les chiffres ne sont pas les bons, nous revenons et nous te tuons."

Finalement, il a réussi à se libérer et à se cacher dans sa grange. Puis, il a tout dénoncé à la police.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Mes remerciements à Wilhelm ✙ ن

Pakistan: Un chrétien est torturé et forcé d’écouter sa soeur en train de se faire violer collectivement par des musulmans

  • un gang de musulmans a ciblé la maison d'une famille chrétienne au Pakistan 
  • Ils ont kidnappé un frère et une sœur après que ces derniers aient refusé de se convertir à l'Islam
  • Le frère Arif a ensuite été torturé et sa sœur Jameela a été violée
  • Arif a réussi à s'échapper et à revenir auprès de sa famille, mais Jameela est toujours manquante 

Un frère a été torturé et forcé à écouter sa soeur de 17 ans en train de se faire violer collectivement après avoir été enlevés par un gang de musulmans au Pakistan et avoir refusé de se convertir alors qu'ils sont chrétiens.

La British Pakistani Christian Association a déclaré qu'elle a soutenu la famille de Kasur (situé dans l'est du pays) après l'agression.

Selon l'organisme, le gang musulman a ciblé la maison familiale, qui était une maison de boue dans un petit village, sachant qu'ils étaient chrétiens et les a menacés avec des fusils, des bâtons et des poteaux métalliques.

Le gang leur a dit de se convertir à l'islam ou de mourir, mais la famille a refusé et a dit qu'ils étaient résolus à rester chrétiens.

Les hommes les ont ensuite ligotés et ont bandé les yeux. Ils ont emmené avec eux Arif, 20 ans, ainsi que sa soeur Jameela 17ans dans un bâtiment inconnu.

Dans cet endroit, Arif a été torturé, puis a dû écouter sa sœur en train de se faire violer dans une pièce séparée.

Le lendemain matin, il a réussi à s'échapper et à revenir auprès de sa famille qui avait pu se libérer de ses entraves.

Selon l'organisme de bienfaisance, la police locale a refusé d'enquêter sur l'affaire et la famille est profondément traumatisée.

Wilson Chowdry, président de la British Pakistani Christian Association a déclaré: «Nous allons maintenant commencer la tâche ardue de les aider à reconstruire leur vie dans une atmosphère de sécurité.

«Toutefois, la fille capturée pourrait bien ne jamais être trouvée et son enlèvement malveillant est à l'origine d'une grande angoisse et de désespoir.

Les chrétiens représentent environ 4% de la population du Pakistan et font profil bas dans un pays où les militants musulmans sunnites ciblent souvent au moyen de bombes ceux qu'ils considèrent comme hérétique, y compris les chrétiens, les soufis et les musulmans chiites.

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rappels:

Pakistan : des musulmans s’en prennent à coups de barres de fer à des chrétiens « impurs »

Pakistan: Un musulman tue sa soeur parce qu’elle a épousé un chrétien

Pakistan: Une jeune chrétienne handicapée enlevée, convertie de force à l’islam et mariée contre son gré. Le ravisseur fait un procès aux parents de l’infortunée !

Belgique: Le père musulman torturait sa fille et considérait qu’avoir un lit était un luxe impur pour l’islam

Les faits de maltraitance semblent s’inscrire dans un contexte d’islamisme radical.

La jeune fille aurait été battue avec divers objets/outils et torturée au fer à souder et au chalumeau. Un calvaire qui aurait commencé alors qu’elle n’était qu’en troisième maternelle. La victime souffre de fractures à répétition qui n’ont jamais été soignées et présente de nombreuses traces de coups et de brûlures sur pratiquement tout le corps, détaille le quotidien.

Selon la jeune fille, son bourreau n’est autre que son papa, qui ne s’en serait pris qu’à elle et non à ses autres enfants. L’homme allait «jusqu’à faire dormir tous ses enfants par terre sur des carpettes pour ne pas déplaire au Prophète qui trouverait - selon lui - qu’avoir un lit est un luxe impur», d’après une source proche de l’enquête.

Source et article complet

Un étudiant italien aurait été torturé à mort par les services de sécurité égyptiens: Son visage n’était plus reconnaissable.

«Quand je suis entrée dans la morgue, ici à Rome, j'ai dit c'est lui, c'est Giulio car je l'ai reconnu grâce à la pointe de son nez. Pour tout le reste ce n'était pas lui», a dit devant la presse Paola Regeni, mère de Giulio, 28 ans, disparu le 25 janvier au Caire et dont le corps mutilé a été retrouvé le 3 février.

«Je ne vous dis pas ce qu'ils lui ont fait, sur son visage j'ai vu tout le mal de ce monde», a ajouté Mme Regeni.

La presse italienne et les milieux diplomatiques occidentaux en Egypte soupçonnent des membres des services de sécurité d'avoir enlevé et torturé à mort Giulio Regeni, ce que le gouvernement égyptien nie.

La police égyptienne a affirmé jeudi avoir identifié les meurtriers de Regeni, deux mois après sa disparition, indiquant avoir tué les quatre membres d'un gang criminel chez qui elle a retrouvé son passeport et ses effets personnels.

Les Italiens ont démonté cette thèse mardi, soulignant que le compte en banque de Giulio Regeni n'avait pas été touché depuis son enlèvement, signe que le crime n'était pas d'origine crapuleuse.

Source

Le « Biter », le nouvel outil de l’Etat islamique pour torturer les femmes

L’État islamique a conçu un nouvel instrument de torture à mi-chemin entre une pince et un crochet pour punir les femmes qui ne respecteraient pas la charia dans les territoires sous sa coupe.

Le « Biter » : c’est le nom de l’instrument diabolique conçu par l’État islamique pour châtier les femmes qui désobéissent aux règles que l’organisation a édictées. Mais de quoi s’agit-il ? D’après un refugié échappé de Mossoul qui en a fait une description au site The Independent, il s’agirait d’une sorte de pince destinée à arracher des lambeaux de peau. Mais d’autres comparent plutôt cette arme avec une sorte de piège à rats en acier, dont les mâchoires implacables se referment sur la peau pour mieux arracher des morceaux de chair, provoquant ainsi une douleur infinie.

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Fatima, une femme au foyer de 22 ans qui ne souhaite pas divulguer son nom complet pour des raisons de sécurité, a ainsi déclaré au site anglais avoir pris la décision de s’échapper en grande partie pour sauver ses enfants qui mouraient de faim mais également parce qu’elle redoutait les tortures infligés par les miliciens de Daech. L’organisation terroriste se montre en effet de plus en plus sadique avec les femmes, comme en témoigne l’introduction de cet instrument de torture terrible.

« Le ‘Biter’ est devenu un cauchemar pour nous. Ma soeur a été punie très durement le mois dernier car elle avait simplement oublié de mettre ses gants qu’elle avait laissés à la maison, », raconte la jeune réfugiée, qui se trouve désormais au camp de Mabrouka, en Syrie. D’après la jeune femme, sa soeur portait encore les stigmates des blessures infligées sur ses bras avec le ‘Biter’ plus d’un mois après avoir subi cette torture.

Source Source2

France: 4 Turcs violent collectivement une jeune femme et la tabassent en même temps

Le jeune homme comparaît pour le viol d’une femme de 18 ans en 2014 à Évry, commis avec trois complices âgés de 13 ans à 15 ans. La victime avait enduré des sévices d’une violence inouïe.

Un avocat du barreau de l’Essonne n’hésite pas à qualifier ce dossier comme « le plus sensible traité par le parquet d’Évry (Essonne) depuis vingt ans ». Le 30 mars 2014, une jeune femme de 18 ans était violée et torturée à la sortie de la gare d’Évry-Courcouronnes, par quatre adolescents de 13 à 17 ans, dont trois frères d’origine turque.[...]

Les faits remontent au 30 mars 2014. Il est une heure du matin lorsqu’une jeune femme de 18 ans, qui rentre d’une soirée passée à Paris, sort de la gare RER d’Évry-Courcouronnes. Selon Le Parisien, elle est accostée par quatre individus, armés de bombes lacrymogènes, d’un tournevis et d’un brise-vitre. Ils lui volent son téléphone portable. L’aîné de la bande entreprend alors de la fouiller. Il lui dérobe ses bijoux et se livre à de premiers attouchements sexuels.

Elle est alors entraînée par le groupe dans le parc voisin des Coquibus. Pendant près de deux heures, la jeune femme va subir un véritable calvaire. L’aîné la viole pendant que les autres la frappent à coups de bâtons. Puis c’est à leur tour d’abuser de la victime. Attachée et bâillonnée, rien ne lui sera épargné. À la fin de cette séance de torture, ils la frappent à coups de pieds et de poings. Puis ils finissent par l’abandonner en pleine nuit et la menacent de mort si elle évoque les faits qui se sont déroulés. [...].

Source

Le Comité de l’ONU contre la torture rappelle ses griefs à la Suisse

La Suisse doit inscrire la torture comme crime spécifique dans sa législation pour ne pas ouvrir la voie à l'impunité, a réitéré vendredi le Comité de l'ONU contre la torture.

Le Comité aussi pour que les requérants d'asile, surtout mineurs, aient accès à une assistance juridique gratuite dès le début de la procédure.

Pour le Comité, bien que des comportements pouvant être qualifiés d’actes de torture soient déjà sanctionnables, l’absence de criminalisation de la torture comme infraction pénale spécifique crée un vide juridique ouvrant la voie à l’impunité.

Accès gratuit à un avocat pour les requérants recommandé

Concernant l'asile, le Comité insiste pour que la Suisse garantisse aux requérants l'accès gratuit à un avocat dès le début de la procédure. Et pas seulement au stade d'un éventuel recours, comme le prévoit la modification de la loi sur l'asile.

Tout en notant que seulement 2% des cas de détention administrative de migrants concernent des mineurs, le Comité demeure en outre préoccupé par le fait que la durée maximale de détention pour des enfants âgés de 15 à 18 ans reste de 12 mois.

 

"L’avocat de la première heure" salué

Parmi les points positifs, le Comité salue l'introduction par la Suisse de "l’avocat de la première heure". Il demande toutefois que toute personne privée de liberté puisse y avoir accès dès le stade de l'interpellation.Concernant la violence à l’égard des femmes, le Comité salue la proposition de la Suisse d’instaurer l’audition obligatoire de la victime avant de pouvoir classer l’affaire. Il note toutefois avec préoccupation que les peines encourues pour violences domestiques sont "légères".

Enfin, le Comité recommande à la Suisse de poursuivre ses efforts pour améliorer d’urgence les conditions de détention à la prison de Champ-Dollon, et d'en réduire le surpeuplement, par exemple par des peines alternatives.

La Suisse devra présenter son huitième rapport périodique le 14 août 2019 au plus tard.

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Meilleure examen des cas de violences policières demandé

Au chapitre des violences policières, le Comité s’inquiète d’informations faisant état d’usage abusif de la contrainte et de comportements racistes des forces de l'ordre et de l’immigration. Des incidents qui ne sont pas systématiquement portés à la connaissance des autorités, déplore-t-il.Des rapports indiquent aussi l’absence d’enquêtes efficaces et rapides dans de telles situations. Le Comité regrette que la Suisse n’ait pas encore créé une instance indépendante à cette fin, malgré de précédentes recommandations en ce sens.

Il fustige aussi l’insuffisance de données statistiques fournies sur les allégations de violences par les forces de l’ordre. Un grand nombre d’affaires ont en outre été classées sans suite dans les cantons de Genève, Vaud et Zurich. Dans les quelques cas qui ont abouti à des sanctions, celles-ci n’étaient que d’ordre disciplinaire.

Torture. «Le Comité de l’ONU contre la torture » expertise la Suisse ! Pourquoi pas le prétendu Etat islamique d’abord?

 

Torture. «Le Comité de l’ONU contre la torture »  expertise la Suisse ! Pourquoi pas le prétendu Etat islamique d’abord?

La presse nous a appris la semaine passée, le 3 août 2015, que dix experts de l’ONU venaient passer au crible la torture en Suisse (Le Matin, 3. 8.2015).

On croit rêver mais je n’invente rien.

Je n’ai jamais pensé que la Suisses était parfaite mais je trouve absolument scandaleux, qu’au moment où les tortures, les tueries, exécutions de masse, la mise en esclavage de filles et de femmes vendues sur des marchés aux enchères et dont la vie est à tout jamais détruite et qui les amènent en nombre au suicide, commises par les islamistes du groupe EI (Etat islamique, Daesh étant l’acronyme arabe de EI), l’ONU ne fasse pas une priorité  absolue de cette barbarie sans nom et vienne plutôt voir quel est l’état de la torture en Suisse !

Ne serait-ce pas depuis longtemps le rôle prioritaire de l’ONU de participer à l’organisation et à la création d’une force armée internationale afin de détruire cet EI et de mettre fin à ces crimes et massacres de masse ?

Un organisme comme l’ONU, garant de la paix mondiale, n’aurait-il pas immédiatement dû en faire une priorité d’une urgence absolue, comme cela a été parfois le cas, cas il est vrai plutôt rares, si cette institution internationale veut garder un minimum de crédibilité et justifier son existence ?

Bien sûr on me dira  que ce Comité contre la torture en visite en Suisse  à d’autres tâches et que ce n’est pas son rôle, etc., etc.

Quelle image donne l’ONU d’elle-même en agissant ainsi, et surtout en n’agissant pas dans l’autre cas. Il est évident qu’une force internationale armée aurait mis fin en quelques mois aux crimes contre l’humanité de ces islamistes.

L’ONU deviendrait-elle complice de crimes contre l’humanité plutôt que de les empêcher ? J’ai maintenant honte que la Suisse soit devenue membre de cette institution internationale et aurais voulu que notre gouvernement refuse la visite de ce Comité, afin de protester, même à titre symbolique, et exige qu’il soit redirigé vers ces tueurs de masse impunis.

Je tiens à souligner que pour moi ce n’est pas seulement  l’esclavage, la tuerie et la torture de masse qui m’incitent à protester.

Pour moi, un seul viol, meurtre, exécution, réduction en esclavage, etc. devrait être suffisant pour exiger une intervention immédiate et massive, notamment à l’initiative de l’ONU. Car tous ces morts, torturés, esclaves sexuels, très jeunes et moins jeunes, etc. finissent par devenir des quantités abstraites, réifiées et déshumanisées. On finirait par s’habituer aux annonces journalières de ces crimes de masse tant ils sont constants et sans fin.

Certains médias recommandent même de ne pas montrer les images de ces atrocités. Pour oublier encore plus vite ces terrifiantes réalités ?

Et même l’ONU ne réagit pas avec la détermination, la force et l’immédiateté nécessaires.

Honte sur l’ONU ! Il faut le dire et le crier haut et fort.

La Suisse  devrait refuser ces experts et leur proposer une nouvelle mission. Face à l’horreur absolue, un agenda, même s’il s’agit de celui d’un monstre bureaucratique comme l’ONU, doit pouvoir être adapté aux réalités quotidiennes..

Protestons contre ce Comité, publiquement, médiatiquement et perturbons leurs séances superflues et dispendieuses en leur montrant le chemin vers les lieux de l’horreur absolue.

Une fois cette tâche prioritaire accomplie, ces « experts » pourront revenir puisqu’ils se cherchent des occupations.

Quand en 2002, j’ai finalement, de guerre lasse, voté pour l’entrée de la Suisse dans l’ONU, je n’ai pas voté pour cette ONU-là. Je m’en veux de m’être fait avoir. Je vais rester plus vigilant que jamais face aux pressions pour adhérer à de nouveaux organismes internationaux ; en fait, il faudrait commencer par faire la liste de ceux qu’il faudrait quitter.

Une fois Daesh détruit, je pourrais admettre que ces fonctionnaires onusiens viennent en Suisse non pas  pour nous donner des leçons mais aussi pour tenter de comprendre les particularités de notre pays qui vit en paix depuis des siècles et qui a l’une des proportions d’étrangers parmi les plus élevées des pays membres, et que nous ne gouvernons pas par la torture ; et surtout de réaliser que nous ne sommes pas  prêts à nous soumettre à n’importe quelle directive étrangère.

Je souhaite donc que ces "experts  en torture" se concentrent en priorité sur les pays où la pratique de la torture est quotidienne. On a parfois l’impression que les experts de l’ONU évitent les situations les plus dramatiques et terribles, situations où ils semblent ne pas oser s’aventurer  pour se concentrer sur des pays  où l’accès ne pose aucun problème et où ils se concentrent sur des problèmes totalement secondaires ; où ils ne courent aucun risque et ne rencontre aucun obstacle.

Je ne me fais bien sûr aucune illusion sur une mise en pratique quelconque de mes propositions mais pense traduire un sentiment beaucoup plus général et dont l’effet rejaillit à coup sûr sur l’image notamment de l’ONU, image qui n’est justement pas très positive et qu’il serait irresponsable de laisser se dégrader encore davantage. Ces organismes doivent montrer une détermination beaucoup plus marquée et visible par rapport aux missions qui leur ont été confiées, dans le cas de la Suisse même par approbation populaire. Le risque, en cas d’inertie flagrante et de missions contreproductives continues : un appui certain du peuple suisse à des  propositions de retraits d’organismes internationaux et à des dénonciations de traités déjà signés.

 

Autre exemple de problème urgent à propos duquel l’ONU est totalement impuissante, voire noyautée par des pays qui tentent par tous les moyens d’imposer leurs dogmes politico-religieux en empêchant même toute discussion sur ces dogmes : celui de la tentative des 57 pays musulmans de l’OCI (Organisation de la coopération islamique) qui tentent par tous les moyens et avec une insistance permanente de faire passer les critiques de l’islam pour de la « diffamation des religions » et la prétendue « islamophobie » pour une forme de racisme, racisme qui deviendrait donc condamnable pénalement. Plusieurs séances de l’ONU montrent concrètement comment les discussions sur ces sujets sont empêchées.

Retour sur la torture en Suisse. Comme il sera difficile de trouver des cas de torture en Suisse, les « experts » ont déjà donné une acception beaucoup plus large à leur mandat et vont s’attaquer à des domaines relevant encore de la souveraineté nationale de notre pays, même si nos autorités sont déjà prêtes à s’aligner sur des standards internationaux en la matière.

Domaines que ce « Comité contre la torture » va expertiser :

- l’éventualité d’une primauté à l’avenir du droit suisse sur le droit international (justement ce sur  quoi une opposition se fait jour en Suisse). Veut-on prendre les devants et signaler à la Suisse qu’un tel refus de soumission, même par un pays souverain, ne serait pas acceptable et aider ainsi par un tel diagnostic nos autorités à se soumettre ?).

- les refoulements des réfugiés (qui a bien sûr à voir avec la torture !) : ici sera  examinée «la méthodologie pour procéder aux renvois »)

- « il semblerait que la Suisse place sa sécurité au-dessus de la dignité » a déclaré un expert, sans doute une façon de justifier sa venue impérative. On notera que cet expert se base sur des on-dits ».

- le cas de demandeurs d’asile ayant été victimes de torture serait également préoccupant.

Remarquons que l’on considère qu’il va de soi qu’il s’agit de demandeurs d’asile, et non de clandestins, voire parfois de criminels potentiels.

-autre « préoccupation » : la surpopulation carcérale et les conditions déplorables  qui en découlent.

-la disparition de mineurs arrivés non accompagnés en Suisse, devraient faire l’objet d’une attention particulière

-les violences domestiques : 70 % des plaintes n’aboutissent pas.

 

Encore une fois, chaque pays peut améliorer sa situation dans ces domaines considérés comme relevant du « Comité cotre la torture », et je ne suis nullement opposé à de telles visites dans des pays comme le nôtre. Simplement j’aimerais, et je ne suis de loin pas le seul, que ces experts et surtout l’ONU interviennent, d’abord ou au moins parallèlement, massivement, énergiquement, de manière efficace et visible publiquement dans les pays où ces phénomènes sont d’une gravité scandaleuse et révoltante et relèvent de pratiques meurtrières de masse.

Il est en effet plus facile de venir nous faire la leçon que d’intervenir dans ces derniers pays. On semble préférer les promenades de santé dans des pays culpabilisables et déjà culpabilisés d’avance, prêts à admettre et à s’excuser de pratiques qui parfois n’existent même pas.

Il n’est pas inutile de rappeler que ces groupes d’experts en visite vont souvent et en premier lieu, une fois sur place, auprès d’ONG professionnalisées en matière d’indignation, et qui sont très sélectives dans leur indignation.

 

Exemples de quelques-uns de mes autres articles parus sur Lesobservateurs.ch relatifs à ces experts de l’ONU venus en Suisse parce qu’alarmés, par  exemple, par une vague dite de racisme grandissant ou invité par nos médias à se prononcer sur le problème des migrations, et proposer des solutions surréalistes et  irresponsables mais recevant un très bon accueil, voire de l’admiration béate de la part de certains de nos animateurs de radio ou de  télévision.

 

1. Article relatif à la visite du « rapporteur spécial » de l’ONU sur le racisme Doudou Diène en 2006 (voir également mon article: «Doudou en Helvétie », Bilan no 198, 15-16 février 2006) : « Experts internationaux donneurs de leçons : à quand la riposte », 24 mars 2012

Lien vers l’article : ici

2. Article relatif à un expert en migrations pour le moins indigné, « Migrations : principes idéaux et réalités quotidiennes », 17 juin 2014.

Lien vers l’article, ici

 

Uli Windisch, 12 août 2015

 

 

 

 

 

Ignoble : un bébé sanglier torturé à mort

Autriche : de jeunes musulmans torturent à mort un bébé sanglier

Vienne, 28/8/14

C’est la stupeur et l’indignation en Autriche chez les amoureux de la nature et en particulier du Lainzer Tiergarten. Ce grand parc naturel de Vienne accueille sur 24,5 km² une riche faune protégée, dont de nombreux sangliers. C’est une promenade favorite des Viennois le week-end. Les animaux, habitués à la présence humaine, ont perdu toute méfiance.

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