Béziers : Le maire Robert Ménard va (encore) installer une crèche de Noël

Il y aura bien une crèche de Noël, cette année encore, à Béziers (Hérault), a appris 20 Minutes ce vendredi auprès de la mairie de Robert Ménard (divers droite). Au nom de la laïcité, elle est, depuis plusieurs années, attaquée en justice par la préfecture.

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En 2019, plusieurs associations et élus s’étaient indignées, de l’installation d’une crèche à Béziers.

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20minutes.fr

France. Robert Ménard persiste, la crèche sera quand même installée en mairie

Robert Ménard persiste et signe. Le 4 décembre prochain est la date que l’édile biterrois a choisie pour inaugurer la crèche de Noël... version 2017.

 

La quatrième depuis qu’il est arrivé aux affaires. Le maire de Béziers fait ainsi fi de la décision du Conseil d'Etat qui a rejeté le pourvoi de la commune, ce jeudi 9 novembre, jugeant l'installation de la crèche illégale.

"Ce n'est pas un coup d'arrêt"

"Nous ferons notre crèche cette année ! Ce n’est pas un coup d’arrêt, annonce l’édile. [...]

Midilibre.fr

“Sleeping giants” : France inter, radio publique, fait la promotion de la censure des sites patriotiques

Un collectif de citoyens, voulant couper l'herbe sous le pied à la propagation de ces idées vénéneuses, se constitue. Les "sleeping giants" sont nés. Ils s'attaquent au porte-monnaie de ce site, en interpellant sur les réseaux sociaux les annonceurs.

 

 

Bien souvent, les sociétés n'ont aucune idée que leurs annonces finissent sur de tels sites. La faute à un système un peu complexe qui s'appelle la "publicité programmatique". En résumé, avec cette technologie, l'annonceur ne sait pas sur quel site s'affiche son encart publicitaire.

Pour les informer, les "sleeping giants" le leur montrent photo à l'appui. À eux ensuite, de demander (ou non) le retrait de leur publicité. Ce n'est pas de l'appel au boycott, il n'y a pas de contrainte pour l'annonceur. Mais ainsi l'information est donnée.

En France, le premier d'entre eux est "Boulevard Voltaire", cofondé par le maire de Béziers Robert Ménard. Aujourd'hui selon la section française des "sleeping giants", près de 1 000 annonceurs ont choisi de ne plus faire figurer leur publicité sur "boulevard Voltaire". Jusqu'au jour où le site a été privé de publicité... avant de reprendre ses activités.

Franceinter.fr

 

Rappels :

«Sleeping giants»: « de simples étudiants et des retraités » tentent d’asphyxier financièrement les sites de réinformation

Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

Rappel. LesObservateurs.ch : Nouvel Appel aux DONS et nouvelle Mise au point urgente.

France. Saint-André-de-Cubzac: Robert Ménard violemment bousculé par la racaille d’extrême gauche (Vidéo)

Invité par une association du nord de la Gironde qui réunit des militants de droite et d’extrême droite, Robert Menard, le maire de Béziers, a été chaudement accueilli ce samedi.

 

 

 

La venue de Robert Ménard à Saint-André-de-Cubzac faisait l’objet, depuis quelques jours, d’une polémique. Le parti socialiste Nord Gironde avait notamment appelé à "un rassemblement face à l’extrême droite" à midi, ce samedi, devant la mairie de la commune. Un appel à manifester avait aussi été lancé entre 13h30 et 14 heures devant la salle où l’élu doit intervenir.

Finalement, peu avant 14 heures, des dizaines de militants de gauche et d’extrême gauche, qui s’étaient massés devant la salle municipale, ont bousculé Robert Ménard au moment de son arrivée. En l’absence remarquée des gendarmes, l’élu a même été projeté au sol avant de pouvoir pénétrer dans la salle, protégé par un cordon de sécurité.

Source

Robert Ménard interviewé dans l’émission “Vacarme” sur le populisme [audio]

Robert Ménard, maire de Béziers, est un apôtre de la liberté dʹexpression depuis son combat au sein de lʹONG Reporters sans frontière jusquʹà son élection, soutenue par le Front national. Cette "parole libérée" reprend les oppositions classiques du populisme: parole vraie contre déni de réalité, vrai peuple contre élite, immigrés contre Français. Reportage dans son fief du sud de la France.

Reportage: Arnaud Robert
Réalisation: Bruno Séribat
Production: Véronique Marti

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Robert Ménard détourne les affiches anti-VIH pour louer la fidélité et déclenche un tollé

Sur les affiches visibles à Béziers, le couple homosexuel est remplacé par un couple hétérosexuel et le slogan évoquant l'adultère par une formule vantant la fidélité. De quoi faire réagir les réseaux sociaux... jusqu'en Australie.

Robert Ménard, le maire de Béziers, a décidé de lancer une campagne d'affichage mettant en scène un couple de jeunes mariés sur fond rose surmontant la devise républicaine, modifiée pour l'occasion : «Liberté, égalité, fidélité». Il s'agit du détournement de la campagne d'affichage de prévention contre le sida qui avait suscité la polémique la semaine passée, après que plusieurs maires ont pris la décision de la censurer.

Le slogan initial «Avec un amant, avec un ami, avec un inconnu», a été remplacé par «S'aimer, se donner, tout donner». La nouvelle version semble donc mettre en avant le couple, la stabilité et la fidélité, en réponse à l'affiche originale, qui prenait en compte les cas d'adultère ou de rencontre d'un soir.

Source et article complet

Robert Ménard : « il ne faut prendre aucun gant avec la presse. Elle est contre nous, elle est contre le peuple »

[...] R&N : Vous expliquez justement être, en tant que maire, contraint de signer des demandes de regroupement familial. Quelles sont finalement les possibilités pour un maire de résister quand l’État et les différentes strates du millefeuille administratif sont contre vous ?

Robert Ménard : Le sous-préfet m’a écrit pour me dire que, comme je disais trop souvent non à certains regroupements familiaux ou à l’attribution de cartes de séjour de dix ans, il fallait dorénavant que je justifie les refus. Il ne m’a jamais demandé de justifier les réponses positives… Bien sûr, ma marge de manœuvre est étroite. C’est bien pour cela que je participe – avec ce livre notamment – au débat national. Bien des problèmes auxquels je suis confronté comme maire ne peuvent trouver de solution qu’à Paris ou à Bruxelles. [...]

Robert Ménard : Ce que je veux retenir de Trump, c’est tout d’abord qu’il faut dire les choses telles qu’elles sont. J’entends des commentateurs moquer le fait qu’il n’emploierait que 700 mots dans ses discours. Et alors ? Il emploie les mots des gens. Il faut convaincre les gens avec leurs mots. Quand je m’adresse à mes concitoyens, je ne fais pas une thèse de troisième cycle, je m’adresse à eux avec leurs mots qui, ça tombe bien, sont les miens.

La deuxième chose à retenir, c’est qu’il ne faut prendre aucun gant avec la presse. La presse est contre nous, elle est contre le peuple. [...] Il faut en tirer toutes les conséquences. Demain au pouvoir, il faudra commencer par supprimer toutes les aides publiques à la presse. On verra bien qui survivra, qui répondra aux attentes du public… [...]

R&N : Vous écrivez que les patriotes, s’ils ont le pouvoir, devront agir assez vite.

Robert Ménard : C’est l’expérience que j’ai tirée des erreurs à une toute petite échelle, celle de ma ville : il faut réagir immédiatement. Il ne faut pas hésiter à se séparer d’une partie de ceux qui peuplent la haute administration. Un peu à la manière du système américain.

R&N : Et d’un point de vue législatif ?

Robert Ménard : Je crois qu’il va falloir, dans un premier temps, diriger ce pays par ordonnance. Vous avez vu l’hystérie médiatique entre les deux tours des régionales ? Vous imaginez ce que cela va être entre les deux tours de la présidentielle. Alors si Marine Le Pen l’emporte… Il faudra aller vite et frapper fort !

Le Rouge & Le Noir via Fdsouche.com

“Valeurs Actuelles” soutient-il Sarkozy ?

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L'hebdomadaire français "Valeurs Actuelles" passe pour "le media de la vraie droite". Il serait lu "par les électeurs du FN". Il se distingue nettement de "Le Point" ou de "L'Exrpess". Bref, "Valeurs Actuelles" serait le seul hebdo lisible si l'on est vraiment de droite. Qu'en est-il réellement ? Et si en réalité "Valeurs Actuelles"  roulait pour Sarkozy ? Ci-dessous, une enquête sans concession sur un media "pas si de droite que ça" (voir liens vers sources en bas de page).
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Qui sont Yves de Kerdrel et Denis Tillinac ?
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Sur Lafautearousseau, Dominique Bonnétable écrit à ce propos (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le rendez-vous que Robert Ménard avait proposé ne manquait pas d’intérêt : débattre en toute liberté des sujets qui réunissent ou divisent la droite nationale française, contribuer à réduire les hostilités, permettre l’établissement d’un consensus de nature à remettre en cause le « Front républicain » et donc la domination idéologique de la Gauche. Faire contrepoids, enfin, à la tendance jugée trop socialisante, sur le plan sociétal et sur le plan économique, de Florian Philippot. Le maire de Béziers avait bien fait les choses : les bâtiments publics avaient été préparés pour accueillir les participants, dans une ville dont la propreté et la bonne tenue témoignaient de l’efficacité de son nouvel édile.
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Dominique Bonnétable : Malheureusement les personnes que Ménard avait choisies pour animer cette réunion et réaliser cette mission n’étaient pas toutes nécessairement les mieux placées pour cela, et cette situation s’est révélée dès les premières minutes de parole. L’ouverture des débats avait été confiée à Yves de Kerdrel, rédacteur en chef de « Valeurs actuelles », et à Denis Tillinac, écrivain réputé. Or, le premier, qui ne fait pas mystère de son désir de voir Sarkozy revenir aux affaires, ou à défaut Fillon ou Juppé, a considéré que son ennemi désigné était le Front National, déclarant en liminaire qu’il existait une « extrême-extrême droite sectaire » qui défendait le dirigisme et combattait les lois du marché. Quant à Denis Tillinac, au cours d’un exposé destiné à définir la « Droite », au cours duquel il a répété avec talent que la Droite, ce sont « des sentiments, des valeurs et des images », laissant ainsi les idées à la Gauche, il a soutenu que le Front National était depuis l’origine un soutien du parti socialiste.
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Dominique Bonnétable : On aurait pu penser que les résultats des dernières élections régionales dissuaderaient quiconque de répéter ce type de slogan absurde, mais le mépris du réel est enraciné chez certains. Quoiqu’il en soit, après cela, il était évident que les seules personnalités politiques présentes, à savoir Marion Maréchal Le Pen et Louis Alliot allaient se trouver de trop et quitter les lieux. M. Ménard lui-même répéta pour faire bon poids qu’il n’était pas là pour « servir de marchepied au Front National ». Les choses avaient donc mal commencé. Le lendemain, les débats furent inégaux et marqués, comme il en est toujours, par les oppositions personnelles et partisanes : ainsi Mme de La Rochère refusa de se trouver en présence de Mme Bourges à la même table ronde sur la famille. A noter tout de même, et au grand dam de M. de Kerdrel, une étonnante et complète unanimité contre l’Union Européenne, tant parmi les intervenants que parmi les participants, au premier rang desquels Hervé Juvin, qui donna un échantillon de sa rigueur et de son audace.
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Dominique Bonnétable : Malheureusement, la teneur des tables rondes ne permit pas de déboucher sur des propositions solides : les 51 articles de la motion finale, malgré leur bon esprit, sont quelquefois redondants et même démagogiques, et surtout laissent de côté l’économie, l’Europe et notamment l’euro, la politique étrangère et les questions idéologiques, pourtant essentielles. On n’a pas abordé l’idéologie de la non-discrimination, ni l’idéologie mortifère des droits de l’homme. En bref, seules les questions secondaires faisaient l’objet d’une proposition. Evidemment, les mandants de M. de Kerdrel, actionnaires de sa revue, n’auraient pas aimé qu’il en fût autrement. Or, pour faire de la force en faveur du clan national, on ne peut pas faire l’impasse sur la remise en cause de la démocratie idéologique.
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Dominique Bonnétable : En conclusion, et malgré les tentatives timides de Robert Ménard pour atténuer l’effet de ses propos, la réunion se solde par un demi-échec pour leurs organisateurs : ils ne pourront se fonder sur ses résultats pour passer à l’action, et les relations entre FN et Ménard seront compromises quelque temps. Quant à Kerdrel, il ne pourra réaliser son but inavoué, à savoir arracher suffisamment de voix au Front National pour mettre en selle son candidat libéral et atlantiste. Il reste le plaisir d’avoir pu rencontrer des personnalités marquantes, d’avoir resserré les liens avec nos amis de près ou de loin, d’avoir échangé des propos roboratifs et d’avoir pu apprécier la qualité de la gestion municipale de Béziers. Ce n’est pas tout à fait rien, conclut Dominique Bonnétable (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Valeurs actuelles roule-t-il pour Nicolas Sarkozy ?
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A ce propos, il faut savoir que Valeurs Actuelles, d'une part, change de rédacteur en chef ; et d'autre part, tiendra un rôle important pour 2017 (extraits adaptés ; voir les liens vers les sources en bas de page). C'est Geoffroy Lejeune qui prend cette responsabilité au sein de l'hebdomadaire : "Geoffroy Lejeune a couvert l'élection présidentielle de 2012 pour l'hebdomadaire, avant de devenir rédacteur en chef du service politique. Diplômé de l'École supérieure de journalisme de Paris en 2011, Geoffroy Lejeune doit prendre ses fonctions le 1er juin, épaulé au cours des quatre mois à venir par Yves de Kerdrel, directeur du groupe Valmonde qui effectuait l'intérim. Geoffroy Lejeune arrive à cette rédaction d'une vingtaine de journalistes plutôt jeunes dans une période faste pour l'hebdomadaire, dont les ventes ont progressé de 5,4% en 2015, à 116.000 exemplaires par semaine, alors que le marché est globalement morose pour les magazines.
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"Je suis très fier de diriger un groupe de presse dont le navire amiral, Valeurs actuelles, a le plus jeune directeur de la rédaction de France", a déclaré Yves de Kerdrel à l'AFP. Geoffroy Lejeune représente déjà l'hebdomadaire dans de nombreuses émissions de télévision et de radio, notamment dans l'émission de Marc-Olivier Fogiel sur RTL. "Nous ne sommes pas sur la même ligne que le FN, mais nous faisons des efforts pour ne pas être sectaires", et "parler à tout le monde, de Florian Philippot à François Bayrou": Geoffroy Lejeune définissait ainsi dans Le Monde daté de dimanche la ligne du journal, qui titre cette semaine sur "Les dynamiteurs de la droite". Présent le week-end dernier à Béziers (Hérault), où Valeurs actuelles coorganisait des "Rendez-vous" de la droite dure, il expliquait vouloir "flirter partout où il y a du débat à droite". "Mais nous voulons être aussi le journal de la primaire des Républicains", assurait le journaliste.
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Le magazine organise dès mercredi un débat avec François Fillon, avant de recevoir tous les candidats à la primaire". L'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique analyse et rappelle le passé sarkosyste de l'hebdomadaire : "À 27 ans, Geoffroy Lejeune, va donc piloter la rédaction d’un des cinq newsmagazines français. Malgré ces bons résultats, dus à la reprise en main éditoriale de Valeurs actuelle par son directeur, Yves de Kerdrel, la promotion de Lejeune forcera ce dernier à prendre du recul. Kerdrel, qui remplaçait Branca dans l’interim, aurait vu ses rapports se détériorer depuis plusieurs mois avec ses nouveaux actionnaires, Iskandar Safa, Étienne Mougeotte et Charles Villeneuve. Associés au sein de Prinvinvest Medias, ces derniers déploreraient en coulisses le coup de barre à droite donné par Kerdrel à Valeurs actuelles depuis trois ans.
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Ils n’auraient guère approuvé notamment le parrainage de l’hebdomadaire du récent Rendez-vous de Béziers, à l’initiative de son maire proche du Front national, Robert Ménard. En perspective de l’élection présidentielle de mars 2017, Mougeotte et Villeneuve – à l’époque sarkozystes – militeraient pour un recentrage en faveur des Républicains. Lassé des critiques, Yves de Kerdrel aurait finalement accepté de ne plus diriger la rédaction, tout en plaçant Geoffroy Lejeune, très proche de lui. Il garderait ainsi une partie du contrôle". De son côté, Yves de Kerdrel vient de se montrer très critique vis-à-vis de Robert Ménard et s'estime même trahi par ce dernier : Yves de Kerdrel, directeur général de Valeurs actuelles, a expliqué à l'Agence France-Presse être "mal à l'aise" après le rendez-vous de Béziers coorganisé avec le maire de la ville Robert Ménard, estimant avoir été trahi par celui-ci après un week-end qui a tourné à la création d'un "mouvement ménardiste".
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"Notre journal cherche à être indépendant. Je cherche pas à faire de l'épicerie politicienne", a déclaré Yves de Kerdrel, interrogé par téléphone, se disant "mal à l'aise" alors que son journal a participé au financement de cette réunion de la droite de la droite et de l'extrême droite, qui s'est, selon lui, transformée en "rampe de lancement pour les législatives ou une autre ambition de Ménard". Hasard de calendrier ou réaction de cause à effet, il se trouve aussi que Robert Ménard vient de clarifier son positionnement vis-à-vis de 2017 suite aux critiques qu'il a essuyées : le « mouvement citoyen » appelé « Oz ta droite », dont il a annoncé le lancement mercredi 25 mai, sera-t-il une rampe de lancement pour la présidentielle 2017 ?
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« C'est pas une rampe de lancement », a répondu M. Ménard sur BFMTV, avant de déclarer qu'il ne serait pas candidat pour cette échéance : « Je ne suis pas mégalo, je ne suis pas stupide. Il y a assez de candidats ». Vous allez soutenir qui en 2017 ? « Moi, personnellement tout le monde sait que je vote Marine Le Pen » a répondu l'ancien patron de Reporters sans frontières. Ce que je souhaite, c'est que Marine Le Pen comme les autres partis de droite entendent ce qui s'est dit à Béziers. Ce rassemblement servait à faire discuter ensemble des gens qui ne se parlent jamais. A droite, on est spécialiste de l'oukase » a lancé Ménard. « Ca agace le FN, en même temps ils reviendront », veut-il croire. « Il y avait tout un tas de militants FN qui étaient là, qui étaient contents. Ca agace les états-majors ».
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Valeurs actuelles arrivera-t-il à se débarrasser du soupçon de rouler pour Nicolas Sarkozy et à devenir un véritable hebdomadaire prônant l'union des droites ? L'avenir nous le dire mais il jouera de toute évidence un rôle important à droite en vue de 2017 (fin des extraits adaptés ; voir les liens vers les sources en bas de page).
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Michel Garroté
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/05/31/que-s-est-il-passe-a-beziers-5808987.html
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http://lexpansion.lexpress.fr/actualites/1/actualite-economique/un-jeune-journaliste-a-la-tete-de-la-redaction-de-valeurs-actuelles_1797509.html
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http://www.ojim.fr/vent-de-renouveau-a-valeurs-actuelles/
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http://www.lepoint.fr/politique/rendez-vous-de-beziers-kerdrel-estime-avoir-ete-trahi-par-menard-01-06-2016-2043754_20.php
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Béziers, Robert Ménard et Nicolas Bay (FN)

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Sur la revue de presse en ligne 'Le Salon Beige', on peut lire, que selon le secrétaire général du FN, Nicolas Bay, le rôle de Robert Ménard est positif dans une optique de rassemblement. En effet, le secrétaire général du FN, Nicolas Bay, déclare : "Je crois que Robert Ménard a voulu user de sa liberté de parole. Il n'est pas au Front National mais il est un partenaire du Front National. Je crois que Robert Ménard peut avoir un rôle utile à jouer en direction de ces électeurs Républicains alors qu'ils partagent un certain nombre d'idées qui ont été défendues à Béziers".
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Nicolas Bay ajoute : "Il faut dire que les propositions qui ont été faites à Béziers sont compatibles à 70 ou 80% avec celles du FN. La dynamique politique se crée y compris avec des gens avec qui on n'est pas d'accord sur tout. Il peut y avoir une occasion de faire gagner nos idées en 2017 en portant Marine Le Pen à l'Elysée et, dans ce cadre-là, le Front National compte rassembler le plus largement possible au delà des petites divergences", conclut Nicolas Bay.
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Michel Garroté
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Et en prime nous serions des nazis

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J'aimerais revenir sur un sujet déjà évoqué sur lesobservateurs.org. Jérôme Jamin, professeur de science politique et de philosophie politique à l’université de Liège, estime, en gros, que les extrêmes-droites seraient, selon lui, dans la continuité du nazisme et qu'elles enfermeraient, selon lui, l’autre dans sa culture comme autrefois dans sa race.
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En moins subtil, Jérôme Jamin estime - soyons clairs - que les partis patriotiques et les sites et blogues libéraux-conservateurs patriotiques en Europe seraient, selon lui, des nazis. Toujours selon Jérôme Jamin, le mot "culture" aurait simplement remplacé le mot "race".
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Et par conséquent, si quelqu'un comme vous, comme Uli Windisch, comme Robert Ménard ou comme moi par exemple, défend le libéralisme conservateur et/ou la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne, alors ce quelqu'un est un "nazi". Voilà où nous en sommes en 2016.
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Michel Garroté
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APPEL À MANUEL VALLS À INAUGURER LA CONFÉRENCE DE PARIS SUR L’ISLAM. IDÉE APPROUVÉE PAR ROBERT MÉNARD !

Harun Al Rachid, seule ère musulmane ou le vivre ensemble existait.

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Par Hildegard von Hessen am Rhein

Nous n'en sommes plus aux idéologies, mais au bon sens qui doit tous nous animer. Le bon sens existe dans tous les bords politiques. Ainsi, après courte concertation avec Robert Ménard, ce dernier m'a autorisé à faire état, qu'il approuve l'idée de cet appel au Premier Ministre. 

Abondamment, les propos du PM, ont été passés en boucle ces derniers jours. Selon moi, il fait une avancée, mais reste toutefois prudent à ne pas stigmatiser l'islam. En effet, il lance le mot "salafiste", qui écorchait jusqu'à présent la bouche de tous les politiques de la nation. Lesquels politiques, jusqu'au FN nous chantent le "communautarisme", encore une fois, pour ne pas faire d'amalgame.

Je ne vais pas bouder ma satisfaction à observer une petite avancée, mais avancée tout de même, par l'énoncé du mot tant prisé par un Askolovitch, employé du Qatar et grand défenseur de l'indéfendable avec son collègue, l'inénarrable Pleynel, les idiots utiles par excellence.

Donc, le salafisme, selon Manuel Valls, "aurait ou est en train de gagner la bataille" de l'islam en France. Et il nous tire de son chapeau pointu, qu'il y a seulement 1% de salafistes en France. Comme les statistiques sont interdites, j'ignore d'où il nous sort ce chiffre ? En tout cas, sans détour, il dénonce la "mode" islamique. C'est d'une importance majeure que cette déclaration.

Analysons de plus prêt sa phrase: "Le salafisme est en train de gagner la bataille de l'islam en France".

"Nos" musulmans étant majoritairement sunnites, puisque venant du Maghreb, de Turquie, du Kurdistan, d'Afghanistan, du Pakistan et de pays subsahariens, Valls nous expliquerait que la branche salafiste de l'islam sunnite est en train de gagner la bataille de l'islam sunnite.

Je crois que ce qu'il a voulut dire, est autre chose. Il sait, mais ne peut faire des "sorties" violentes et définitives sur le danger que l'islam fait courir à notre pays. Il sait bien que l'islam est en pleine conquête, facilitée par les idiots utiles de sa gauche extrême. Il sait que le salafisme, comme les SA des nazis, sont le bras armé de l'islam. Que ce bras armé, minoritaire, terrorise le reste des sunnites, qui courbent l'échine devant le cauchemar.

Manuel Valls serait bien inspiré d'organiser une grande conférence sur l'islam et d'y inviter des personnalités musulmanes, de notoriété internationale et autres personnalités qui ne sont jamais invitées des mainstreams, mais qui enrichiraient bien plus que les habituels "philosophes de boudoirs télévisés" qui font encore la danse du ventre encore devant l'idéologie de gauche, alors qu'un tel débat n'a rien d'idéologique, mais est le simple bon sens.

Je pense à:

Ayan Irsi Ali, USA

Wafa Sultan, USA

Necla Kelek, ALLEMAGNE

Malika Sorel, FRANCE

Pamela Geller, USA

Brigitte Gabriel, USA

Elisabeth Badinter, FRANCE

Alice Schwartzer, ALLEMAGNE

Hamed Abdel Samad, ALLEMAGNE

Thilo Sarrazin, ALLEMAGNE

Henri Boulad, ALEXANDRIE

Ingrid Carlqvist. SUÈDE

Kamel Daoud FRANCE

Boualam Sansal ALGÉRIE

A l'issue de cette conférence de Paris, que l'on pourrait appeler: Conférence Internationale de Paris sur l'islam, devra sortir un texte, dans le genre de celui que Napoléon avait fait signer au juifs, mais pour les musulmans. Ceux qui refuseront de signer ce texte qui mentionnera qu'ils doivent vivre selon les usages, les valeurs, la mode occidentale et les lois du pays, respectant l'égalité homme - femme, la laïcité, devront être expulsés manu-militari.

En allemagne, c'est la fameuse féministe Alice Schwartzer qui demande officiellement ce débat "sans langue de bois", précise-t-elle. Elle est suivit par le non moins connu géopolitologue, écrivain, historien, germano égyptien Hamad Abdel Samad, fils d'imam du Caire qui n'a pas renoncé à sa religion. L'un de ses bestsellers en Allemagne: Le fascisme islamique. En quoi Manuel Valls le rejoint à dénoncer le fascisme islamique.

Pour ne rien vous cacher, j'avais demandé à Henri Guaino, Jacques Myard, Thierry Mariani et Hervé Mariton, ceux qui me semblaient les plus courageux à parainner un tel débat. Je vous le donne en mille. Personne ne m'a répondu. De vrais couillus ! 

Emmanuel Valls prendra-t-il désormais de vitesse cette droite couarde et arrogante jusqu'à ne pas répondre à l'administrée que je suis, qui alerte déjà depuis plus de 12 ans sur les calamités qui sont en train de s'abattre sur nous ? Sans oublier avoir été trainée par 2 fois devant la 17ème chambre et menacée d'hôpital psychiatrique, alors que les sites dissidents et autres célébrités contestataires, condamnées plus tard, n'existaient même pas sur le sujet !

Rien que pour ressentir une "Schadenfreude", comme on dit en allemand, ce qui signifie la satisfaction de nuisance, j'espère que le Premier Ministre Valls ne fera pas qu'avancer le menton avec détermination, mais qu'avant la fin du quinquennat, il se propulse dans cette direction.

Il n'imagine même pas ce que ce courage pourrait lui rapporter ! L'adhésion de toute la France et de ceux, des musulmans, qui veulent vivre ici et selon nos lois. Mitterrand avait prit des risques avec son idée d'abolition de la peine de mort. Valls aura-t-il le courage d'en faire autant avec l'islam ?

Hildegard von Hessen am Rhein

La spirale de l’horreur est en marche

   
En France, le socialiste Cambadélis met sur le même plan, d'une part, les attentats perpétrés en Côte d'Ivoire et en Turquie ; et d'autre part, les résultats électoraux en Allemagne : "Alarme brune en Allemagne, attentats à Grand-Bassam et Ankara. La spirale de l'horreur est en marche". Cambadélis ferait mieux d'analyser les résultats électoraux dans son propre pays ; et de cesser de faire des amalgames débiles.
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En effet, il y a eu trois élections législatives partielles en France le dimanche 13 Mars 2016. Le deuxième tour se dirige vers un duel Julien Dive (LR) contre Sylvie Saillard (FN) dans l'Aisne. La socialise Anne Ferreira a été éliminée. Dans le Nord, le maire de Roncq, Vincent Ledoux (LR, 46,8%) affrontera Virgine Rosez (FN, 25,2%). Là aussi, le PS a été éliminé. Cambadélis va-t-il alléguer : "Alarme brune en France, attentats à Grand-Bassam et Ankara. La spirale de l'horreur est en marche" ?
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Dans ce climat aussi répressif qu'ahurissant, relevons qu'après 1h30 d'occupation, 130 jeunes militantes et militants de Génération Identitaire qui bloquaient trois ponts pour empêcher l'accès des migrants à la ville de Calais ont été délogés par les forces de l'ordre. Le régime socialiste français a donc une fois de plus montré quel était son choix entre les clandestins musulmans et les défenseurs des Calaisiens. Douze jeunes militants de Génération Identitaire ont été placés en garde à vue. "La spirale de l'horreur est en marche"...
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Pour revenir aux élections en Allemagne, dans trois Länder, dimanche 13 Mars 2016, le  revers pour l'immigrationniste Angela Merkel est clair : l'AfD fait son entrée dans les trois parlements et enregistre dans chaque Land un résultat à deux chiffres : 12% dans deux Länder, Bade-Wurtemberg et Rhénanie-Palatinat, et 23% en Saxe-Anhalt, soit près de deux fois plus que le parti social-démocrate SPD.
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Avec ce succès, l'AfD s'impose comme la deuxième force politique du Land Saxe-Anhalt. A noter la très forte participation, autour de 70%, qui a profité au parti de droite anti-immigration AfD. La leçon est claire : l'afflux massif de réfugiés musulmans déplaît aux Allemands. . "La spirale de l'horreur est en marche"...
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Mais revenons, encore une fois, à la France, avec cette remarquable interview de Robert Ménard parue sur Atlantico à lire absolument (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nous avons des relations cordiales [ndlr - avec Marine Le Pen et le FN]. Nous sommes alliés sur le plan politique. Mais, dans le même temps, j'ai de vrais désaccords avec certaines positions du FN, des désaccords que je n'ai jamais cachés. Aujourd'hui, sur la loi El Khomri, ces désaccords se traduisent concrètement par des appréciations très différentes : quand Florian Philippot dit de ce projet de loi qu’il est 'infâme', je trouve que c'est non seulement disproportionné, mais plus encore inapproprié et caricatural. Utiliser ce genre de mots, c’est adopter une rhétorique d'un autre temps.
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Robert Ménard : On ne peut pas, à longueur de temps, expliquer que tous les malheurs de la France viennent de Bruxelles. Non, ils sont aussi la conséquence, sur le terrain économique notamment, de lois votées ici depuis 40 ans, de l'inflation des réglementations, d'une omniprésence de l'Etat. Et tout cela a été largement décidé à Paris. C'est un autre point de désaccord avec Florian Philippot. Quand il déclare que, si Marine Le Pen prenait le pouvoir, six mois plus tard la France quitterait l'Union européenne, c'est tout simplement irréaliste. J'ai du plaisir à travailler avec le FN, et je suis d'accord avec l'immense majorité de ce qu'il dit, notamment sur l'immigration, l'identité, la sécurité ou encore l'école. Mais j'ai aussi des désaccords en ce qui concerne l'Europe et la vision économique colbertiste qu'il propose et que je ne partage pas.
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Robert Ménard : Et les prises de position sur la loi El Khomri sont à l'opposé de ce slogan [ndlr - la France apaisée]. Elles entretiennent l'idée qu'il existe forcément une sorte de lutte des classes au sein des entreprises - même les plus petites - entre les patrons et les salariés. C'est une vision du XIXe siècle. Même s'il existe des difficultés dans les entreprises, le monde professionnel a changé. Je suis le maire d'une ville de 75'000 habitants, où je rends visite très souvent à des petites et moyennes entreprises. Les intérêts entre un patron et ses salariés ne sont pas les mêmes, bien sûr. Mais je vous assure que ce qu’ils ont en commun est bien plus important que ce qui les oppose. Je crois qu'il y a aujourd'hui la nécessité de regrouper la droite nationale, cette droite qui se retrouve dans le Front national, mais également du côté de Debout la France, du Siel, de l’Avant-garde, du CNIP et de certains courants des Républicains.
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Robert Ménard : Je pense que le peuple français le demande, que le peuple de droite l'exige. Mais je constate que les querelles d'appareil, les problèmes d'égo empêchent ce regroupement. Tout cela étant dérisoire par rapport à la gravité de la situation. Il y a une nécessité absolue à faire travailler ensemble des personnalités telles que Jacques Myard, Eric Ciotti, Thierry Mariani, Philippe de Villiers, Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen. Les désaccords sont peu de choses par rapport à ce qu'ils ont en commun. Hélas, trop peu d'entre eux sont prêts à aller vers ce rassemblement. Et je le déplore tant nous en avons besoin. Toutes ces personnalités, que l'on pourrait ranger dans la catégorie de la droite patriotique, ont en commun de dire que la France qu'on aime est menacée.
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Robert Ménard : Mais si elle l'est vraiment, il faut faire taire les divergences et se mobiliser ensemble. C'est pour cela que j'appelle à un grand rendez-vous des droites à Béziers, du 27 au 29 mai prochain, pour construire un programme de salut public qui pourrait nous rassembler. Aujourd'hui, j'essaye seulement de rassembler un certain nombre de personnes et de dire à cette droite patriote, à cette droite des valeurs, à cette droite de la morale, à cette droite de la France, qu'il faut absolument se regrouper pour l'emporter. On ne peut pas dire '2017, c'est perdu, nous verrons en 2022'. Les Français ne peuvent ni le comprendre, ni l'admettre, conclut Robert Ménard (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

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Michel Garroté, 14 mars 2016
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http://www.atlantico.fr/decryptage/robert-menard-on-ne-peut-pas-dire-2017-c-est-perdu-pour-droite-patriote-celle-valeurs-et-morale-verrons-en-2022-interview-2623635.html
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Arrête de délirer Marine !

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Qu'elle l'admette ou pas, Marine Le Pen se plante complètement sur les questions économiques et elle tente de ratisser des électeurs de gauche. Ses propos sur le "libéralisme" sous hallucinés. Elle n'a aucune expérience de l'économie réelle, et sur ce point, elle n'est pas la seule en France. A cause de cela, on peut dire qu'il n'y a pas de parti libéral-conservateur en France et que tous les partis, quoi qu'ils puissent alléguer par ailleurs, sont étatistes et carriéristes. A ce propos, Robert Ménard c'est "lâché" et j'en suis très heureux.
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Robert Ménard (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Aujourd'hui, dans ce pays, on crève de trop d'État, d'administration, de règlements. Mon principal désaccord avec le Front national, c'est là-dessus. Ce pays a besoin de liberté. Quand j'entends un certain nombre de responsables du Front national critiquer le projet de réforme du code du travail, attendez ! Quand je vois les petites PME de ma ville, ils ne comprennent plus rien au code du travail, vous avez besoin d'être énarque pour comprendre le code du travail.
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Robert Ménard : Qu'on le simplifie et qu'on leur donne plus de tranquillité, plus de souplesse, c'est ce qu'ils demandent. Qu'est-ce qu'on veut ? Maintenir autant de chômeurs ? Y'en a marre de penser que le patron, c'est l'ennemi de l'ouvrier. Ils ont besoin que ça marche. Là, elle se trompe. J'ai dit à Marine Le Pen que si elle veut gagner les élections, il faut qu'elle change. Si elle ne change pas, elle perdra les élections. Il faut s'ouvrir à d'autres. Aujourd'hui, le programme du Front national rebute toute une partie de la droite. Or, pardon de le dire, c'est plus à droite qu'à gauche que le Front national peut trouver des voix (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) .
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Michel Garroté
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http://www.lepoint.fr/politique/loi-travail-le-fn-a-tort-de-s-opposer-selon-menard-02-03-2016-2022369_20.php
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Robert Ménard : « On ne peut pas accepter qu’on nous refasse le coup de Charlie une deuxième fois ! »

Robert Ménard, maintenant, on fait quoi ?

François Hollande a dit hier soir que la France allait être « impitoyable ». J’aimerais que ce soit le cas. Qu’on ne reste pas dans le commentaire, dans le pathos. Un chef d’État, lorsqu’il parle à la nation au lendemain d’un massacre comme celui d’hier, n’a pas le droit de tromper ses concitoyens.

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