Une politicienne polonaise répond aux socialistes : “Nous avons survécu aux commissaires politiques, nous vous survivrons.”

Les 2min13s au Parlement européen que la télévision française ne vous montrera pas!

L'individu qui crie au début de la vidéo se nomme Juan Fernando López Aguilar (parti socialiste ouvrier). Il a été accusé de violences conjugales mais a été acquitté faute de preuves. On constate avec quelle animosité il traite les politiciennes présentes au Parlement.

Le second individu se nomme Frans Timmermans. Il est Premier vice-président de la
Commission européenne
 et adhérent du Parti travailliste. C'est à celui-ci que Beata Kempa s'adresse directement dans la vidéo.

- D'un coté les progressistes: arrogants, tyranniques & surs de leur impunité
- De l'autre la droiture Beata Kempa les remettant à leur place, leur demandant des comptes sur les Gilets Jaunes et leurs liens avec Soros et l'Open Society.

 

 

https://youtu.be/wiH1BB0uRiU

Un Parlement Européen ingouvernable

Les élections européennes sont sous toit depuis dimanche dernier. Elles laissent présager d'une belle pagaille de cinq ans à Bruxelles.

Certains, comme Guy Millière, se désolent que le "réveil des peuples" n'ait pas eu lieu. D'autres, médias en tête, se réjouissent que la terrible "vague populiste" n'ait pas été au rendez-vous, ou qu'elle fut moindre que ce que craignaient les rédactions, et qu'elle soit contrebalancée par une "percée verte" dans la droite ligne de l'activisme écolo-militant redoublé de ces dernières semaines.

Tous ces gens se trompent.

Vu des États-Unis, on peut se méprendre ; mais même aux États-Unis, l'élection de Trump en 2016 s'est jouée à peu de choses. En réalité, le "réveil des peuples" n'a eu lieu nulle part. Le constat est implacable: au sein de nos sociétés démocratiques occidentales se trouve une proportion énorme et irréductibles d'électeurs perdus. Ces gens appartiennent à deux catégories bien distinctes, les amorphes et les complices.

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Facile à reconnaître, les amorphes sont les plus nombreux, des citoyens naïfs, bienveillants, et fiers de constituer la masse du troupeau. Lecteurs assidus des médias mainstream, ils se contentent de suivre le mot d'ordre des autorités et se font un devoir de répéter en boucle les arguments des élites - ils n'en connaissent pas d'autres. Ils méprisent avec enthousiasme les groupes qu'on leur a dit de mépriser et lisent religieusement les articles qui demandent s'il faut avoir "peur" de ceci ou cela. Souhaitant être du côté des "gagnants" lors des élections, ils votent régulièrement contre leur intérêt mais le réalisent après coup. Les plus éveillés d'entre eux sont constamment déçus de ceux pour qui ils ont voté mais, telles les femmes battues, n'en reviennent pas moins au bercail à chaque échéance, persuadés que les fautifs ont fait amende honorable et que, cette fois, ils changeront vraiment de politique.

Les complices, eux, sont très motivés. Les politiques mortifères pour leur pays (immigration de masse, surendettement de l'État, dissolution dans l'UE, islamisation...) ne les effraient pas le moins du monde, ou du moins pas à court terme, parce qu'ils en profitent directement ou se pensent protégés de leurs effets ; et selon la doctrine de Keynes, "à long terme nous sommes tous morts", alors on fait avec. Fonctionnaires ou travaillant dans une profession réglementée, ils vivent en ville et dépendent de l'État dans une écrasante proportion. Ils ont avantageusement remplacé les socialo-communistes par Macron et les Verts. Ils pensent que le vivre-ensemble est quelque chose de "génial" mais font des pieds et des mains pour que le peu d'enfants qu'ils ont échappent à la carte scolaire et à la mixité qu'ils prônent pour le bas peuple. Rongés par le cynisme et la doublepensée, ils s'efforcent de ne pas côtoyer des gens "qui pensent autrement". Ils glissent leur bulletin dans l'urne en estimant que, même si tout empire, leur statut les assure de rester parmi les mieux lotis.

La proportion amorphes/complices et leur force cumulée est très différente selon chaque pays. À l'Ouest, ils ont longtemps constitué une majorité, et même lorsqu'ils reculent ils participent à des minorités conséquentes. Mais il faut examiner un peu plus en détail le résultat des élections européennes pour comprendre. Si le réveil des peuples n'est pas une vue de l'esprit, il intervient à un rythme différent selon les régions d'Europe.

Le groupe de Visegrad

Les pays de l'Est ont vécu suffisamment longtemps sous le joug du totalitarisme pour en reconnaître un quand ils le voient - fusse-t-il "light" comme celui de l'Union Européenne d'aujourd'hui. Pour une analyse détaillé, le Visegrad Post fait œuvre utile en détaillant pays par pays. En résumé:

[En Hongrie, on assiste à une victoire] écrasante et sans surprise du Fidesz, le parti national-conservateur de Viktor Orbán, avec 52,30% des suffrages. Pour le Premier ministre hongrois, en guerre ouverte avec le monde « libéral » et l’élite bruxelloise, cette victoire absolue lui offre encore une fois un argument de légitimité démocratique pour continuer sa politique – anti-immigration, pro-chrétienne, pro-famille – et s’impliquer plus encore dans la politique à l’échelle continentale. (...)

Si le scrutin Slovaque est plus difficile à décrypter, celui de la République Tchèque impressionne: le parti libéral-conservateur du Premier Ministre ouvre le bal, suivi du parti libéral-conservateur et eurocritique ODS, du parti pirate (contre la régulation d'Internet), d'un autre parti libéral-conservateur TOP 09 ("Tradition, responsabilité, prospérité"), et enfin du parti Liberté et Démocratie Directe, "patriotique, anti-Islam, anti-immigration et fortement critique de l’UE" explique le Visegrad Post. Et ce sont les cinq premiers!

En Pologne, première victoire du PiS à une élection européenne, améliorant son score par rapport à 2014 (+11,32%). Le parti national-conservateur au pouvoir depuis l’automne 2015 comptait sur ces élections, à six mois du scrutin législatif, pour prendre la mesure de sa capacité de mobilisation. C’est chose faite et le résultat est plus que satisfaisant pour le PiS. Conforté par ce résultat dans leur politique à échelle européenne, le PiS, parti leader du groupe CRE, entend bien se faire entendre plus que jamais à Bruxelles.

Dans tous ces pays la participation est en forte hausse, et ce n'est visiblement pas pour chanter les louanges de Bruxelles.

France, pays de toutes les magouilles

Macron est un margoulin ; on le sait depuis l'élection à la Présidentielle où il réussit à éliminer son plus dangereux concurrent, François Fillon, avec des révélations très anciennes mais fort opportunes, récoltées à travers de solides amitiés à Bercy lorsque le jeune Macron était ministre de l'industrie.

Pour lancer un scandale, tout est dans le timing, comme l'annonce en France des hausses du tarif de l'électricité - juste après les élections européennes. Certaines fois il échappe aux meilleurs, comme dans l'affaire Benalla, mais ici l'enjeu était d'importance et Emmanuel a fait de son mieux. Un attentat au colis piégé à Lyon à quelques heures du scrutin? Le principal suspect fut interpellé dès dimanche mais, au vu de son patronyme, on préféra taire tout détail sur l'affaire jusqu'au lendemain pour ne pas interférer sur l'humeur populaire...

Les Français ont donc voté dans l'œil du cyclone médiatique, entre un attentat islamiste passé sous silence et une hausse d'impôt prévue quelques jours plus tard. Dans cette France travaillée soigneusement pour être apaisée, le Rassemblement National arrive en tête. La carte est impressionnante.

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(Cliquez sur l'image pour l'agrandir, ou ici pour les résultats complets)

Le Président Macron s'était personnellement engagé à placer La République En Marche devant le Rassemblement National ; son échec est patent. "On ne peut pas annoncer qu'on a gagné quand on finit deuxième", lâcha Edouard Philippe au soir de l'élection. Les médias sont prompts à rappeler que le score en pourcentage du RN est inférieur à celui du Front National de 2014, il est en réalité supérieur en termes de bulletins rentrés, grâce à une participation plus élevée. Alors, on s'engueule.

On peut le dire, en France, la plupart des complices et des amorphes se retrouvent derrière LAREM. Ils représentent un socle à peu près irréductible de 20% des électeurs. Ils constituent le même groupe que ceux dont on se demandait comment ils arrivaient à soutenir encore Hollande à la fin de son calamiteux quinquennat.

La fragmentation des résultats confirme le premier tour des présidentielles: en France le bipartisme est mort. Les socialistes historiques suivent le chemin des dinosaures, les restes du centre-droit s'évaporent dans l'insignifiance. Même la révolution hurlée par le tribun Mélenchon prend un coup de vieux. Seuls les Écologistes tirent leur épingle du jeu mais l'hystérie climatique ne pourra pas durer éternellement. Elle se marie mal avec la gestion réaliste d'un pays ; les militants idéalistes d'aujourd'hui seront les déçus de demain et les adversaires aigris d'après-demain...

Tous les scrutins, toutes les institutions étaient manipulés pour écraser les concurrents du PS et de l'UMP historiques ; mais désormais le RN est l'acteur majeur de la politique française. Il promet de rafler la mise à chaque nouvelle élection. Plus aucune magouille électorale ne permettra de le juguler. Mairies (le RN arrive en tête dans 70% des communes!), conseils régionaux, sénat, vont progressivement tomber dans l'escarcelle du RN. La revanche du duel Macron-Le Pen lors de l'élection présidentielle de 2022 s'avérera bien plus inconfortable pour le candidat de Bruxelles, et il faudra plus qu'une rediffusion de La Grande Vadrouille entre les deux tours pour faire obstacle au mouvement de Madame Le Pen.

L'Italie derrière Salvini

matteo-salvini-rally-european-parliament-elections.jpgDans la péninsule le vote européen était l'occasion de mesurer la force respective des membres de la coalition au pouvoir, Ligue du Nord et Mouvement Cinq Étoiles. Le résultat est supérieur à ce qu'annonçaient les sondages: la Ligue prend la tête et fait plus du double de son partenaire de coalition (34,26% contre 17,06%). Même Le Monde parle d'humiliation. Le Mouvement Cinq Étoiles a perdu seize points en un an.

[Face] à une telle déroute, les ficelles de la rhétorique politicienne ne sont d’aucun secours : avec à peine 17 % des suffrages, contre près de 33 % en mars, et surtout 4,5 millions de votants alors qu’ils étaient 11 millions lors des législatives, le verdict des urnes est sans ambiguïté. Luigi Di Maio peut avancer qu’il s’agit d’« apprendre », que « le mouvement court un marathon, pas un 100 mètres », ces mots ne tromperont personne : seul devant une nuée de photographes, il est apparu dans la peau du condamné, quémandant à ses ennemis – et surtout à ses amis – la chose la plus rare et la plus précieuse en politique : un peu de temps.

En disposera-t-il vraiment ? Rien n’est moins sûr, tant la très opaque direction du M5S doit donner un signal fort à ce qui lui reste de base militante, alors qu’elle est confrontée à la crise la plus grave de sa jeune histoire. Les défaites des derniers mois dans des élections locales avaient été présentées comme des épiphénomènes, et attribuées au manque de cadres. Cette fois, ces arguties ne sont d’aucun secours.

Les résultats italiens sont importants car le pays est stratégique sur plusieurs plans. L'Italie reste en première ligne face à l'assaut d'immigration clandestine que subit l'Europe. Le pays est un des plus endettés et sa dette publique reste fragile, mais c'est aussi un membre fondateur de l'Euro. Et Matteo est un des plus farouches adversaires d'Angela Merkel. La prochaine crise de l'UE pourrait bien venir de la botte italienne.

La colère anglaise

Lorsque les Français sont en colère ils enfilent des gilets jaunes et occupent des ronds-points avec des revendications plus ou moins cohérentes, illustrant ainsi des décennies de ravages de l'Éducation Nationale sur l'esprit logique. Les Anglais font autrement: ils votent.

farage_happy.jpgLa victoire de Nigel Farage est étourdissante, et montre la maturité démocratique du peuple anglais face à une classe politique défaillante. Malgré toutes les manipulations d'une Theresa May sur le départ après avoir perdu deux ans à essayer de faire signer par les députés anglais le traité colonial qu'elle avait négocié en secret avec l'UE (parfois même dans le dos des ministres de son propre gouvernement!) les Anglais se sont lassés de cette trahison et ne se sont pas gênés pour le dire.

Les Anglais ne se sont sentis liés par aucune loyauté, aucune habitude, et n'ont plus montré la moindre crédulité. Ils ont voté en masse pour un parti qui n'existait pas il y a quelques mois, le parti du Brexit. Le 20 janvier, Nigel Farage déclare au Guardian: "Si le gouvernement revient sur sa parole et trahit les millions de personnes qui ont voté pour le Brexit, il nous faut un parti prêt à se lever et à se battre pour l'obtenir. Je suis tout à fait prêt pour l’extension ou la révocation de l’article 50 et, si cela se produit, je reviendrai à la charge."

Chose dite, chose faite. Nigel Farage ne se sent plus solidaire de son ancien parti le UKIP, dont la ligne s'est éloignée de la question européenne. Le parti du Brexit est officiellement lancé le 5 février. Trois mois plus tard, voilà le résultat du scrutin:

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Le Brexit est en tête avec 31,6% des voix. Les Libéraux Démocrates arrivent en deuxième position avec 20,3%. Les Travaillistes suivent avec 14,1%, puis viennent les écologistes avec 12,1%. Les Conservateurs de l'incompétente Mme May viennent en cinquième position avec 9,1%, une gifle méritée. 40% des Conservateurs, déçus de l'absence de leadership du gouvernement sur le Brexit, auraient choisi de voter pour le parti du même nom.

Évidemment, et les éditorialistes sont nombreux à le noter, le vote massif en faveur du Brexit augmente les chances d'une sortie sans accord. Les futures relations entre le Royaume-Uni et l'UE se règleront devant l'OMC. Cette perspective n'est pas pour déplaire à Nigel Farage, qui clame qu'une sortie sans accord vaut mieux que pas de sortie du tout, mais il est aussi possible que les Anglais parviennent à renégocier un traité plus équilibré avec l'UE pendant les quelques mois qu'il leur reste.

La perspective d'une sortie de l'UE du Royaume-Uni semble acquise même sur le continent. Tous les partis politiques visent avec appétit les sièges anglais qu'ils s'apprêtent à reprendre au Parlement européen... Nigel Farage se prépare à faire le plus court mandat de Député Européen de l'histoire. Ce sont toujours les meilleurs qui s'en vont!

L'Europe sans gouvernail

Le Parlement Européen s'apprête à devenir ingouvernable - les blocs sont émiettés et même à l'intérieur de chacun, comme le PPE, les dissensions sont proches de la rupture. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Parlement n'a presque pas de pouvoir. Il ne peut pas proposer de textes de loi, ce privilège est réservé à la Commission européenne. Sur certains thèmes, il approuve ou rejette certains textes sans pouvoir les amender. Sur d'autres, il n'a qu'un avis consultatif. Il ne peut pas non plus décider de la révision des traités, dont le pouvoir revient aux états membres.

Voilà pourquoi, in fine, ces élections européennes n'ont pas plus d'importance que les précédentes. Mais elles donnent un indicateur précieux de la température politique de plusieurs pays européens, et certains atteignent clairement le point d'ébullition.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs,ch, le 1er juin 2019

Le Parlement européen bloque une résolution au profit des réfugiés chrétiens

C’est notre confrère Nouvelles de France qui le signalait hier pour le dénoncer à juste titre…

La « Proposition de résolution du Parlement européen sur la nécessité de mettre en place une politique d’assistance spéciale pour les réfugiés chrétiens », soumise en décembre dernier par le député polonais Marek Jurek, du groupe Conservateurs et Réformistes Européens, attend depuis maintenant 6 mois que la Conférence des présidents des groupes politiques veuille bien l’examiner. Il faut croire que le texte de cette résolution qui appelle les pouvoirs publics à séparer les réfugiés chrétiens des immigrants musulmans et qui leur demande d’informer sur tous les cas de persécutions à l’encontre de réfugiés chrétiens n’est pas du goût des groupes majoritaires au Parlement européen dont font partie les députés LR et PS français […]

[Extraits de la résolution] Le Parlement européen,

–  vu sa résolution du 21 janvier 2010 sur les attaques récentes contre des communautés chrétiennes,

–  vu sa résolution du 15 novembre 2007 sur de graves événements compromettant l’existence de communautés chrétiennes et celle d’autres communautés religieuses,

–  vu l’article 133 de son règlement,

considérant que des persécutions religieuses ont eu lieu lors de mouvements migratoires, notamment en avril 2015, lorsque 12 chrétiens se sont noyés après avoir été jetés à l’eau parce qu’ils priaient sur l’embarcation qui devait les mener en Italie ;

considérant que des migrants Algériens ont agressé à Hemer, en Allemagne, un Érythréen et sa femme enceinte car celui-ci portait une croix ;

considérant que, dans le camp de réfugiés de Freising en Bavière, une famille chrétienne venue d’Irak a subi des violences physiques et a fait l’objet de menaces qui l’ont contrainte à rentrer à Mossoul ;

considérant que des Assyriens originaires de Göteborg, en Suède, ont reçu des menaces signées EIIL ;

considérant que le Conseil central des chrétiens orientaux en Allemagne a dénoncé le silence qui, pour des raisons idéologiques, entoure les persécutions subies par les réfugiés chrétiens ;

demande aux autorités de l’Union européenne et aux médias de dénoncer les manifestations de haine envers les chrétiens ;

demande à toutes les autorités compétentes de prévenir tout acte de persécution des chrétiens ;

demande aux gouvernements d’accélérer et de faciliter le déplacement vers d’autres camps, des chrétiens persécutés lorsque ces derniers sont en danger.

Source : Nouvelles de France, 23 mai via christianophobie.fr

Deux chauffeurs du Parlement européen étaient en possession de matériel de propagande de l’EI

Deux chauffeurs du Parlement européen avaient en leur possession du matériel de propagande de l'organisation terroriste Etat islamique (EI), indique samedi le magazine allemand Der Spiegel. Les intéressés ont été licenciés. Le Parlement européen n'a pas souhaité réagir dans l'immédiat.

Les faits concernent à la fois les villes de Bruxelles et Strasbourg, souligne encore Der Spiegel. La police a ouvert une enquête. Le moment précis de la découverte du matériel de propagande n'est pas connu.

Le service de transport des députés européens fait l'objet de discussions depuis quelques temps, surtout après qu'il est apparu que l'un des auteurs des attentats à Bruxelles avait travaillé pour le Parlement européen.

Source

Bruxelles: Le terroriste Najim Laachraoui a travaillé au Parlement européen

L'un des auteurs des attaques terroristes du 22 mars à Bruxelles a effectué à deux reprises un job d'été en tant que technicien de surface au Parlement européen il y a plusieurs années, a indiqué l'institution mercredi.

"Il y a sept et six ans, l'un des auteurs des attaques terroristes de Bruxelles a travaillé pour une période d'un mois pour une entreprise de nettoyage sous contrat avec le Parlement européen à l'époque", a indiqué le porte-parole Jaume Duch.Il s'agit de Najim Laachraoui, soupçonné d'avoir été l'artificier des attaques du 13 novembre à Paris (130 morts) et du 22 mars à Bruxelles (32 morts), a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.

"En tant qu'étudiant, il a effectué un job d'été au parlement pendant un mois en 2009 et 2010", a-t-il ajouté.

Casier judiciaire vierge
La société de nettoyage a confié la preuve que l'auteur, dont le nom n'a pas été divulgué, n'avait pas de casier judiciaire à l'époque.

Les attaques perpétrées à l'aéroport national de Zaventem et dans la station de métro Maelbeek ont fait 32 morts, le 22 mars. Trois des quatre terroristes ont été identifiés: les frères bruxellois Ibrahim et Khalid El Bakraoui et Najim Laachraoui, belge également. Ils sont tous décédés lors des attaques, alors qu'un quatrième suspect est toujours en fuite.

Source

Le président du Parlement européen s’en prend au Front national, à Donald Trump…

Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a critiqué samedi 12 mars le Front national, qu’il a accusé de pointer une multitude de « boucs émissaires » sans apporter ni « solutions » ni « propositions concrètes ».

«Le Front national, c’est un parti qui identifie des responsables, des boucs émissaires : les immigrés, le gouvernement, l’est de l’Europe, les Européens, les Allemands, n’importe qui», a-t-il dénoncé sur i-Télé. «Quand on pose la question concrètement de solutions contre, par exemple, les délocalisations ou la concurrence déloyale : silence, rien !», a-t-il poursuivi.

«Est-ce que vous connaissez des propositions concrètes du Front national pour ces problèmes ? Où sont les propositions concrètes de ce parti ?», a interrogé le dirigeant social-démocrate allemand.

M. Schulz a relativisé les succès du parti, qui a démultiplié ses scores et le nombre de ses élus en France et au Parlement européen depuis l’arrivée en 2011 à sa tête de Marine Le Pen, fille du cofondateur et chef de file historique de l’extrême droite française Jean-Marie Le Pen. [...]

Le président du Parlement européen a également vivement critiqué le milliardaire américain Donald Trump, en tête des primaires pour l’investiture républicaine à la présidentielle de novembre. «L’Europe n’est ni préparée, ni les États-Unis, pour un tel président qui, à mes yeux, n’a aucune expérience internationale», a-t-il déclaré sur i-Télé. [...]

Le Monde

Parlement européen: un député grec d’Aube Dorée exclu après avoir critiqué les Turcs

Eleftherios Synadinos (qui siège parmi les non-inscrits) était intervenu dans le débat relatif au projet d'accord entre l'UE et Ankara sur la gestion des flux de migrants entre la Grèce et la Turquie. Selon ses propos rapportés par Martin Schulz, l'eurodéputé de 60 ans, disant citer des"scientifiques ottomans", aurait qualifié les Turcs de "barbares, sales, menteurs", ajoutant que "le Turc est comme un chien, il joue au chien sauvage mais lorsqu'il doit lutter contre son ennemi, il s'enfuit".

Lignes rouges

Cette phrase "est une véritable violation de nos principes et de nos valeurs", a déclaré le président du Parlement en se prévalant de l'article 165 de son règlement pour faire sortir le député grec juste avant les votes.

Cette mesure pourrait être suivie d'une sanction. "J'ai pris une décision de principe. Il y a de plus en plus de personnes qui tentent de franchir des lignes rouges pour rendre le racisme acceptable", a insisté Martin Schulz.

Source

Marine Le Pen sur le déferlement migratoire que l’Europe subit (Vidéo)

Marine Le Pen intervenait en plénière au Parlement européen sur l'immigration clandestine qui déferle vers l'Europe, via la Méditerranée. Elle a rappelé que l'Union européenne, par son laxisme et par la multiplication des entraves à l'expulsion des clandestins, se fait complice des passeurs. Elle a prôné la restauration des frontières nationales, le retour des navires de migrants vers leur point de départ et la fin des pompes aspirantes de l'immigration.

Des clandestins hébergés au Parlement européen?

Les élus Verts au Parlement européen ont proposé mercredi que des réfugiés en détresse soient hébergés dans les bureaux strasbourgeois des députés. Ceux-ci pourraient leur céder la place en allant travailler uniquement à Bruxelles.

«Nous proposons que cette résidence secondaire du Parlement européen, parfaitement équipée, soit mise à disposition pour l'accueil provisoire de migrants et de réfugiés, et que les séances plénières se déroulent à Bruxelles le temps nécessaire», a plaidé M. Lamberts, vantant une «action concrète et immédiate».

Source

 

Le Parlement européen convoque l’ambassadeur suisse

Après la Commission européenne, c'est au tour des députés d'adopter une ligne dure dans le cadre des négociations entre la Suisse et l'UE sur la libre circulation.

Selon un projet de résolution dont Le Temps s'est fait l'écho ce jeudi 30 avril et dont l'ats a obtenu une copie, les députés européens appellent la Commission à refuser de négocier sur la libre circulation des personnes.

C'est devant ses membres que l'ambassadeur suisse auprès de l'UE Roberto Balzaretti devra expliquer la position de la Suisse.

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Parlement européen en séance

Selon l'horloge pointeuse ils sont tous présents....

En réalité, ils sont venus pointer le matin et sont repartis aussitôt à leurs petites affaires personnelles !

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Parlement européen en séance :

PRODUCTIVITÉ AU PARLEMENT EUROPÉEN...

ET DES ÉMOLUMENTS DE 12.000 EUROS PAR MOIS + indemnités de voyage + indemnités de logement et de repas + indemnités de voiture etc. !

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UE : Comment économiser 1 milliard d’euros en 4 ans ?

'La Cour des Comptes européenne a calculé que la suppression du siège du Parlement européen de Strabourg permettrait d'économiser 1 milliard d'euros en 4 ans'

La Cour des comptes européenne vient de publier un rapport qui indique les économies qui pourraient être réalisées si l’on centralisait toutes les activités des eurodéputés à Bruxelles et que l’on supprimait le  second siège du Parlement européen à Strasbourg.

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Résolution du Parlement européen du 17 juillet sur l’Ukraine

Résolution du Parlement européen du 17 juillet sur l’Ukraine : le nationalisme européen dans toute sa splendeur…

Coïncidence, le Parlement Européen a adopté hier (avant le crash) une résolution commune PPE-S&D-ADLE-ECR (donc si je traduis en français : UMP-UDI-PS-Verts) hallucinante sur l’Ukraine.

Elle est ici, les votes sont ici (page 23, c’est hallucinant d’incompréhensibilité, regardez… Il faut qu’ils soient tordus…), le PV est , le communiqué de presse est ici. Je vous en donne ici les extraits intéressants, car elle est longue.

Suite

Un député d’extrême-droite provoque un tollé au Parlement européen

Les déclarations racistes d'un eurodéputé polonais d'extrême-droite ont suscité de vives réactions mercredi au Parlement européen à Strasbourg. Plusieurs parlementaires réclament une sanction contre Janusz Korwin-Mikke, du Congrès de la Nouvelle droite (KNP), qui a qualifié les jeunes chômeurs européens de "nègres de l'Europe".

Source et auteur