Selon le pape, associer l’islam et le terrorisme est stupide

A noter que pendant qu'il délire, la garde de ce même Pape se renforce et qu'il célèbre les messes sous haute protection.

L'islam, c'est bon pour les simples citoyens.

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Selon le leader spirituel, les religions jouent un rôle important pour promouvoir la culture du vivre-ensemble.

Le pape François a estimé dans un reportage accordé au journal italien L’Eco di Bergamo, qu’associer l’islam au terrorisme était stupide.

Selon le leader spirituel, les religions jouent un rôle important pour promouvoir la culture du vivre-ensemble.

Concernant les efforts menés par certains milieux pour associer l’islam au terrorisme, il a affirmé que cette association était mensongère et stupide.

« Quand il est question d’institution et non d’unité même dans les églises, alors les stratégies de guerre sont utilisées pour se doter de puissance » a averti le pape.

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Nos remerciements à Victoria Valentini

Ramadan : les vœux du pape François aux musulmans

Lors de l’audience générale de ce mercredi matin, 16 mai 2018, le pape François a adressé des vœux aux musulmans pour le mois du Ramadan qui devait débuter le lendemain.

« Que ce temps privilégié de prière et de jeûne, a-t-il souhaité, aide tout le monde à marcher sur le chemin de Dieu qui est le chemin de la paix. »

L’ambassadeur d’Egypte en Italie était présent place Saint-Pierre pour cette audience, avec une délégation égyptienne.

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Le Pape blâme les catholiques qui critiquent ses appels à accueillir bras ouverts les migrants.

Le pape François a tancé les catholiques qui critiquent ses appels à accueillir bras ouverts les migrants et qui préféreraient l'entendre davantage sur les sujets éthiques traditionnels, dans un texte très attendu publié lundi.

Dans la troisième "exhortation apostolique" de son pontificat, un appel aux catholiques à être exemplaires et un mode d'emploi pour tendre vers "la sainteté", le pape argentin rétorque de façon inattendue à ses détracteurs.

"Certains catholiques affirment" que la situation des migrants est "un sujet secondaire à côté des questions +sérieuses+ de la bioéthique", note le pape François.

"Qu'un homme politique préoccupé par ses succès dise une telle chose, on peut arriver à le comprendre; mais pas un chrétien, à qui ne sied que l'attitude de se mettre à la place de ce frère qui risque sa vie pour donner un avenir à ses enfants", attaque le pape argentin.

Rappelant les nombreuses injonctions de l'Ancien testament sur la nécessité d'accueillir les étrangers, François ajoute, tranchant: "Il ne s'agit pas d'une invention d'un pape ou d'un délire passager".

Il prend néanmoins le soin de rappeler une nouvelle fois son horreur de l'avortement dans cette exhortation signée de sa main et intitulée "Gaudete et exsultate" (réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse).

"La défense de l'innocent qui n'est pas encore né doit être sans équivoque, ferme et passionnée", souligne-t-il. Avant d'ajouter: "Est également sacrée la vie des pauvres qui sont déjà nés, de ceux qui se débattent dans la misère, l'abandon, le mépris, la traite des personnes".

Les premières cinq années de pontificat de François ont été ponctuées par des reproches à la plupart des pays occidentaux, en particulier européens, qui n'en font pas assez à ses yeux pour accueillir les migrants fuyant les guerres ou la misère.

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Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Rome: Le pape lave les pieds de détenus non catholiques, dont deux musulmans

Christian Hofer: A noter que ce Pape soutient qu'il ne faut pas juger alors même qu'il culpabilise les Européens s'opposant à l'immigration musulmane.

L'habituelle hypocrisie de gauche au service de la racaille.

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Le pape François, très ému par l'univers carcéral, a célébré une nouvelle fois une messe du Jeudi saint dans une prison en lavant les pieds de douze détenus, dont deux musulmans, un orthodoxe et un bouddhiste.

S'exprimant à la fin de sa visite, il a estimé que la peine de mort n'était pas chrétienne et confié qu'il doit se faire opérer de la cataracte.

Après une brève rencontre en privé avec des prisonniers malades, le pape a célébré jeudi après-midi la messe de la Cène et le rite du lavement des pied avec douze détenus de sept pays différents dans la prison romaine pour hommes de Regina Coeli.

"Chacun a l'opportunité de changer de vie et ne doit pas être jugé", a souligné le pape, notant qu'il se considère lui-même comme "un pêcheur", avant de laver et embrasser les pieds des douze prisonniers.

Dans la tradition chrétienne, le Jeudi saint commémore le jour où le Christ lave les pieds des apôtres et institue l'eucharistie lors de son dernier repas (la Cène). Le rituel a été perpétué dans le christianisme, sauf dans certaines branches du protestantisme.

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En 2013, il s'était rendu dans une prison pour mineurs, l'année suivante dans un centre pour personnes malades et handicapées, en 2015 à nouveau dans une prison et en 2016 dans un centre d'accueil de réfugiés. Il a lavé à plusieurs reprises les pieds de croyants musulmans.

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Nos remerciements à Λlex Λ‏

La cote de popularité du pape François chute en France

Cinq ans après son élection, 78 % des Français ont une bonne opinion du Saint-Père, contre 87 % en 2015. Une baisse plus notable encore chez les pratiquants, où une chute de 12 points est relevée selon notre sondage BVA.

Même si sa popularité est très élevée, avec 78 % de bonnes opinions - très au-dessus de tous les leaders politiques - le pape François connaît une érosion significative d'image depuis son élection en 2015, avec neuf points en moins dans l'opinion des Français. Et, surtout, 12 points perdus chez les catholiques pratiquants réguliers, et même 17 points chez les sympathisants du parti politique Les Républicains. Ce désenchantement, quoique très relatif, est le principal enseignement du sondage BVA-Le Figaro, lancé à l'occasion du cinquième anniversaire, ce mardi, de l'élection du pape François.

 

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Une tendance qui n'est pas seulement française. Un sondage américain, publié le 6 mars 2018 à Washington par le Pew Research Center, confirme la même déception chez les catholiques d'outre-Atlantique: 24 % des catholiques pratiquants (contre seulement 15 % en 2015) le trouvent «trop naïf» quand 34 % le jugent «trop libéral», contre 19 % il y a cinq ans.

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Le pape encourage les “corridors humanitaires” de réfugiés vers l’Italie: “Plus personne ne doit être un étranger.”

Le pape François, en visite dimanche auprès de la communauté catholique Sant'Egidio qui fête cette année ses cinquante ans, l'a encouragée à "ouvrir de nouveaux corridors humanitaires" vers l'Italie et a dénoncé la peur des étrangers.

"Continuez à ouvrir de nouveaux corridors humanitaires pour les réfugiés de la guerre et de la faim. Les pauvres sont votre trésor", a souligné le pape, dans la basilique Sainte-Marie-du-Trastevere, sous les applaudissemnts des membres de cette communauté de laïcs, très active dans l'accueil des réfugiés et dans les médiations de paix dans des zones de guerre comme en Centrafrique.

Le souverain pontife a loué sa "mission pour créer une société qui ne considère personne comme un étranger", sa "mission pour traverser les frontières et les murs", qu'il oppose à un monde aujourd'hui "habité par la peur".

Les dernières élections législatives ont vu une percée historique du mouvement antisystème M5S et de l'extrême droite, qui ont promis dans leurs programmes électoraux le rapatriement dans leurs pays des clandestins.

"Notre époque fait l'expérience d'une grande peur face aux vastes contours de la globalisation. Et la peur se retourne souvent contre les personnes qui sont étrangères, différentes, pauvres, comme si elles étaient des ennemis", a noté gravement le pape, après avoir notamment écouté le témoignage d'un adolescent de Damas arrivé en Italie par un corridor humanitaire.

"Alors on se défend contre ces personnes, pensant ainsi préserver ce que nous avons et ce que nous sommes", a-t-il constaté.

Or pour lui, "l'avenir d'un monde global est de vivre ensemble". "Cet idéal requiert l'engagement de construire des ponts, tenir le dialogue ouvert, continuer à se rencontrer", a plaidé François.

"Ce n'est pas seulement une question politique ou organisationnelle. Nous sommes tous appelés à changer notre coeur, à avoir un regard miséricordieux", a-t-il dit.

"Pensons aux souffrances du peuple syrien, dont vous avez accueilli les réfugiés à travers des +couloirs humanitaires+. Comment est-il possible, après les tragédies du XXème siècle, de retomber dans cette logiques absurde?", a encore commenté le pape argentin.

Les corridors humanitaires ouverts en décembre 2015 grâce à la communauté de Sant'Egidio, la Fédération des Eglises évangéliques italiennes et l'Eglise vaudoise, ont permis de faire venir en Italie environ 1000 personnes, essentiellement des Syriens.

Ce modèle, également expérimenté en France et en Belgique, vise à la fois à éviter aux migrants les dangers d'un voyage clandestin et à fournir un accompagnement à l'intégration.

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Rappels:

La Suède refuse d’enquêter sur 512 actes de violence religieuse musulmane contre des réfugiés chrétiens

Algérie: 6 mois de prison pour un chrétien accusé «d’ébranler la foi d’un musulman »

Pakistan : Deux chrétiens atrocement torturés suite à des accusations de blasphèmes contre l’islam.

Allemagne. Attaque islamiste: Ahmad Alhaw voulait tuer le plus de chrétiens possible. Il est condamné à vie.

Nigéria. islam : 16 000 chrétiens tués en moins de 3 ans.

Le pape piétine allègrement le vote des Italiens

Après les élections législatives italiennes du 4 mars, donnant une belle majorité aux anti-immigration, le Vatican persiste et signe dans ses tragiques errements pro-immigrationnistes.

On aurait pu espérer un retour à la raison, mais il n’y a pas plus entêté que le Vatican, qui nie le ras-le-bol de l’Italie, envahie massivement par des gens qui ne lui veulent pas du bien et qui transforment le pays en terrain d’entraînement pour guérilla urbaine (voir les événements de Florence ces jours-ci). Mais le pape nie la violence des migrants, avançant que les Italiens aussi peuvent avoir envie de tuer leur belle-mère. Relativiser est son fonds de commerce. L’islamisation de l’Europe est une chance, a-t-il dit.

Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint Siège, a réaffirmé dès le mardi 6 mars la volonté du Vatican de « continuer son travail d’éducation » c’est à dire de sensibilisation sur l’intégration des réfugiés, afin de « faire changer la conscience collective sur l’accueil des migrants. » nous affirme ce bon journal La Croix qui n’en rate pas une :

https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Pape/elections-italiennes-Vatican-veut-continuer-travail-deducation-2018-03-07-1200918882

C’est vrai que François a très bien commencé, dès le début. Un des thèmes principaux de son règne, c’est l’accueil des migrants. Il n’a eu de cesse d’aller de déclaration en déclaration pro-migrants et d’avoir des gestes de collaboration avec l’islam. On aurait pu croire que la défense des chrétiens d’Orient serait son cheval de bataille, mais non.

Il a lavé des pieds de musulmans hilares le jeudi saint. Il a brandi lors d’une catéchèse le gilet de sauvetage d’une migrante, déclarant que c’était une relique.

Il est allé à Lampedusa ouvrir grand ses bras à l’immigration. De Lesbos, il n’a ramené que des musulmans, mentant en disant que les papiers des chrétiens n’étaient pas prêts. Il a demandé qu’on accueille les si gentils Rohingyas, peuple belliqueux s’il en est. Il a demandé les plus larges visas humanitaires possibles pour tous les migrants, et le regroupement familial le plus large également.

Le 21 août dernier, il a pondu un texte, dans lequel il demande la régularisation de tous les sans papiers, leur accès à l’emploi, à la nationalité, la libre circulation, le droit du sol, enfin tout :

https://francais.rt.com/international/42394-pape-rempart-pour-migrants-ou-coupe-des-realites

D’ailleurs il faut dit-il cesser d’utiliser le mot « clandestin », trop stigmatisant selon lui.

Mieux encore, selon lui le migrant a le droit d’importer avec lui sa culture. Et enfin, la sécurité personnelle du migrant doit passer avant la sécurité nationale, dit-il, oubliant que sans sécurité nationale il n’y a pas de sécurité personnelle.

https://www.huffingtonpost.fr/pierre-lellouche/le-pape-na-pas-de-lecons-a-donnert-a-leurope-sur-les-migrants_a_23158450/?utm_hp_ref=fr-pape-francois

Sur la sécurité personnelle des non-musulmans, le Pape fait bien entendu l’impasse.

A Noël, il a dit qu’à Bethléem, Marie, Joseph et Jésus étaient comme tous les migrants. Oubliant que leur déplacement, selon l’histoire, était effectué pour le recensement. Marie et Joseph par là loin de se comporter comme des migrants, qui commencent par une violation des lois, obéissaient tout simplement aux lois de leur pays.

Il serait trop long de citer tous les actes et toutes les paroles de François, il les enfile comme des perles.

Mais cette fois François fait très fort dans l’irrespect du peuple italien et de son vote. Vox populi, vox Dei dit-on. Bien que cet adage ait été détourné, il signifie bien aujourd’hui que la voix du peuple doit commander et qu’elle est égale à celle de Dieu. Mais le Vatican n’en a cure. Rendre à César ce qui est à César, c’est à dire le respect des votes des citoyens italiens, est le cadet de ses soucis.

Le Vatican continue de soutenir contre vents et marées le parti le plus opposé au christianisme, le parti démocrate, ancien parti communiste, celui qui a perdu ces élections et a donc reçu une belle gifle. Il le soutient, dans l’irrespect total de la démocratie et du verdict des urnes, parce qu’il est pro-immigration :

https://gloria.tv/article/XF2RT4Q8bmuX36MQgaNzUTBBs

Et que ce parti soit pour tout ce que l’Eglise rejette importe peu à François. Peu lui chaut la doctrine de l’Eglise, la foi qu’elle proclame, sa transmission. Ce qui importe pour lui, c’est l’immigration. François en veut toujours plus. En digne émule de Soros. Même si cette immigration risque de casser le pays, de casser l’Eglise.

Le peuple italien, lui, ne veut plus de l’immigration. Les Italiens ont voté majoritairement pour deux partis anti système et anti immigration. On ne sait pas encore comment l’Italie va être gouvernée, mais ce qui est certain c’est que le prochain gouvernement devra se résoudre à écouter le peuple. Car c’est lui qui souffre, partout en Italie. Tout le monde a en mémoire le crime atroce perpétré par un migrant nigérien sur une ado italienne :

https://www.facebook.com/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.suavelos.eu%2Fpollenza-un-nigerian-demembre-une-italienne-de-18-ans-et-met-les-morceaux-dans-des-caddies%2F

L’Italie ne sera bientôt plus l’Italie. La Sicile déjà n’est plus la Sicile, comme en témoigne Alexandre Delle Valle, d’origine sicilienne. Qui pense que ce pape ne mesure pas ses propos.

https://www.alexandredelvalle.com/single-post/2018/02/03/Interview-integrale-dAlexandre-Del-Valle-par-Damocles (à partir de ’39)

François ferait bien de cesser de scier la branche sur laquelle le Vatican est assis. Car lorsque l’Italie sera devenue musulmane, il n’y aura plus de place pour le Vatican en Italie. Avignon sera également musulman et peut-être pas très accueillant non plus…

Où le Vatican ira-t-il mendier une petite place ? En Arabie Saoudite ? Et surtout, où les restes des peuples européens de culture chrétienne trouveront-ils refuge après avoir été remplacés, décimés, génocidés ?…

Ces questions ne semblent pas troubler François plus que cela. Le pasteur se moque bien de son troupeau.

Sophie Durand

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Le pape François à Genève en juin

Le pape François est attendu à Genève le 21 juin. Il répond notamment à une invitation du Conseil fédéral. Une délégation emmenée par le président de la Confédération Alain Berset le recevra officiellement, a indiqué mercredi le vice-chancelier de la Confédération.

Selon le portail catholique suisse "cath.ch", le pape François doit notamment rendre visite au Conseil oecuménique des Eglises (COE), à Genève.

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Le pape condamne les médias qui “salissent” les migrants

Christian Hofer: Visiblement, cet extrémiste n'arrive pas à comprendre des chiffres simples, passant sous silence le nombre de naturalisés qui a explosé, biaisant ainsi les statistiques sur la criminalités des étrangers, et le fait qu'on ne peut pas comparer le nombre de crimes d'une population étrangère représentant 8,3% avec celui d'une population représentant plus de 90%.

Pour être objectif, il faudrait confronter le nombre de crimes d'une population de 100'000 personnes de chaque catégorie.

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Le pape François a regretté aujourd'hui que les médias "salissent" parfois les migrants en présentant les informations d'une manière incomplète. En recevant les participants à une journée de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains, le pontife argentin est longuement sorti de son discours, en particulier pour un commentaire en résonance avec l'actualité italienne.

"Il y a quelques mois, j'ai vu sur un journal un titre sur une petite ville d'Italie qui disait: +Voici la ville où il y a eu le plus de viols cette année -- je ne me souviens plus de la ville, ce n'est pas important -- et 40% des violeurs étaient des migrants+", a raconté le pape. "C'est une façon de +salir+ les migrants. Mais moi je me demande: et les autres 60%, ils étaient quoi ? Italiens. Il y a une manière de présenter les choses qui change la vérité", a-t-il insisté.

Depuis près de deux semaines, l'Italie est secouée par le meurtre d'une jeune fille de 18 ans retrouvée découpée en morceaux à Macerata, dans le centre de l'Italie, pour lequel trois Nigérians ont été arrêtés.

En réaction à ce fait divers sordide, un jeune militant d'extrême droite a tiré au hasard sur une dizaine d'Africains le 3 février à Macerata, faisant au moins six blessés. En pleine campagne électorale pour les élections législatives du 4 mars, ces événements ont provoqué une surenchère de promesses anti-immigration à droite, tandis que certains commentaires ont relevé que d'autres faits divers sordides attribués à des Italiens n'avaient pas eu autant de retentissement.

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Le pape François déclare que les fake news sont sataniques: “Ils sont le signe de l’intolérance et propagent la haine.”

Le pape François estime que les fake news s'inscrivent dans les desseins du diable, enjoignant journalistes et utilisateurs des réseaux sociaux à éviter et à démasquer les «tactiques du serpent» qui ne font que «propager l'arrogance et la haine».

Dans un document intitulé «La vérité vous libérera – fake news et journalisme pour la paix», le pape François s'est érigé le 24 janvier contre la diffusion des fausses informations, qui servent selon lui l'œuvre du Malin.

«Les Fake news sont un signe d'attitudes intolérantes et hypersensibles et ne font que propager l'arrogance et la haine. C'est le résultat final des contrevérités», a-t-il écrit dans le premier document consacré au sujet qui a pris une nouvelle dimension depuis la dernière campagne présidentielle aux Etats-Unis.

«Diffuser des fake news peut servir à faire avancer des objectifs spécifiques, influencer des décisions politiques et servir des intérêts économiques», a-t-il poursuivi, condamnant l'utilisation à des fins manipulatrices des réseaux sociaux aussi bien que d'autres formes de communication.

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Le Pape : les peuples autochtones d’Amazonie “n’ont jamais été autant menacés sur leurs territoires”.

Christian Hofer: Pendant ce temps, ce même pape milite exclusivement pour que l'Europe ouvre ses portes à l'immigration de masse, jusqu'à la nausée: subitement, le respect des autochtones n'existe plus!

Les autres avant les nôtres, systématiquement comme tout bon extrémiste de gauche.

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Le pape François a lancé vendredi, lors de sa première visite en Amazonie (sud-est du Pérou), un cri d'alarme devant des milliers d'indigènes de plusieurs pays en estimant que "les peuples autochtones amazoniens n'ont jamais été autant menacés", a jugé le pape dans son discours prononcé dans la ville de Puerto Maldonado.

Extraction minière, exploitation du pétrole, du gaz, du bois ou de l'or, monocultures agro-industrielles: le pape a égrené tous les intérêts économiques qui se disputent le poumon vert de la planète.

"Nous devons rompre avec le paradigme historique qui considère l'Amazonie comme une réserve inépuisable des Etats sans prendre en compte ses populations", a martelé le pape. En opposant la sauvegarde de "la culture, la langue, les traditions, les droits et la spiritualité des peuples indigènes".

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Journée du Migrant : le pape François demande aux Européens de dépasser « leurs propres peurs » pour « accueillir »

Pour le pape, « le péché, c’est de renoncer à la rencontre avec l’autre »

Ce 14 janvier 2018 était mondialement dédié aux migrants et aux réfugiés sur une ligne résolument politiquement correcte et immigrationniste.

Instituée sous Benoît XV, en 1914, dans le but avant tout de venir en aide aux émigrés, aux réfugiés et prisonniers de guerre catholiques, afin qu’ils gardent la foi dans des pays souvent protestants, cette Journée mondiale est devenue pour la Rome moderniste le moyen de diffuser « à partir des années 80, […] un discours de soutien aux migrants, d’où les populations des pays d’accueil sont absentes, sauf pour leur rappeler leur devoir d’hospitalité »,explique le journaliste Laurent Dandrieu, in Eglise et immigration : le grand malaise. DPaul VI au pape François, ce message universaliste , « qui pousse l’Amour de l’Autre jusqu’au mépris des siens » et qui « n’est pas plus conforme au véritable esprit catholique qu’il ne l’est à la nature humaine », n’a cessé d’enfler jusqu’à devenir le thème de prédilection du pape François. Qui, bien entendu, a honoré cette Journéemondiale du migrant et du réfugié :

« Cette année, j’ai voulu célébrer la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié par une messe à laquelle vous avez été invités, vous en particulier, migrants, réfugiés et demandeurs d’asile. Certains d’entre vous sont arrivés depuis peu en Italie, d’autres y résident et y travaillent depuis de nombreuses années, et d’autres encore constituent ce qu’on appelle les «deuxièmes générations».

Durant le sermon de cette messe célébrée dans la basilique Saint-Pierre de Rome en présence de « migrants et réfugiés » de 49 pays différents, volontairement invités par le Vatican, le pape argentin a lancé son centième appel à l’accueil et à l’intégration en exhortant les Occidentaux à dépasser « leurs propres peurs » :

« Dans le Message pour la Journée d’aujourd’hui, j’ai écrit : ‘Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus-Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté (cf. Mt 25, 35.43).’ […] C’est une invitation à surmonter nos peurs pour pouvoir aller à la rencontre de l’autre, pour l’accueillir, le connaître et le reconnaître. »

Il a parallèlement, il est vrai, demandé aux étrangers qui arrivent en Italie et en Europe le respect des lois, de la culture et des traditions du pays dans lequel ils débarquent. Mais c’est là une demande fallacieuse : ces « réfugiés et migrants » arrivent souvent de façon illégale sur le sol européen ce qui est déjà en soi un irrespect des lois du pays d’accueil. Et utopique : la majeur partie d’entre eux sont des musulmans, attachés viscéralement à leur religion, qui ne sont pas prêts à abandonner leurs lois coraniques. Or celles-ci s’opposent de façon fondamentale, radicale, à la civilisation chrétienne dont est pétrie l’Europe.

Ce qui est également déplorable dans ce discours altruiste bergoglien c’est la manipulation dans la description de l’attitude des Européens. Le pape se plaît à appeler « des peurs » ce qui sont des honnêtes et raisonnables inquiétudes dictées par un attachement naturel à l’identité, aux traditions et cultures européennes que les peuples du Vieux Continent veulent sauvegarder de la mort programmée par le métissage imposé par les élites mondialistes. Mais en choisissant de les définir comme des« peurs », le pape les rabaisse au niveau de sentiments irrationnels, voire honteux : quel homme, en vérité, aime à se faire traiter de peureux et n’essayera pas de se défaire de cette étiquette malsonnante !

Jorge Maria Bergoglio est décidément un collaborateur éloquent du « délitement de l’Europe » (L. Dandrieu) et de l’islamisation de la société occidentale.

Francesca de Villasmundo

Source1 Source2 Source3

Le Pape veut que les Européens intègrent les migrants musulmans avec leur identité religieuse

Le pape François lance un appel aux Européens pour qu'ils intègrent les réfugiés avec leur identité religieuse. Le souverain pontife a tenu lundi un long discours aux diplomates accrédités auprès du Saint-Siège.

L'arrivée des migrants doit pousser l'Europe "à redécouvrir son patrimoine culturel et religieux propre, de sorte que, reprenant conscience de ses valeurs sur lesquelles elle s'est édifiée, elle puisse en même temps maintenir vivante sa tradition et continuer à être un lieu accueillant, annonciateur de paix et de développement", a souhaité le pape argentin.

Selon lui, "la construction de sociétés inclusives (Nd Christian Hofer: terme spécifiquement d'idéologie d'extrême gauche qui démontre qui est vraiment le pape) exige comme condition une compréhension intégrale de la personne humaine, qui peut se sentir vraiment accueillie quand elle est reconnue et acceptée dans toutes les dimensions qui constituent son identité, y compris religieuse".

Le souverain pontife a rappelé au passage que la Déclaration universelle des droits de l'Homme comprenait "le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, qui inclut le droit à la liberté de changer de religion" (Nd Christian Hofer: les mêmes droits qui sont niés par l'islam pour les autres religions et les apostats!).

"On sait malheureusement combien le droit à la liberté de religion est souvent violé et la religion devient souvent soit l'occasion de justifier idéologiquement de nouvelles formes d'extrémisme, soit un prétexte à l'exclusion sociale, voire à des formes de persécutions de croyants", a-t-il noté.

Le pape a souligné que migrants et réfugiés mettaient le cap vers l'Europe pour y trouver "paix et sécurité", "fruit d'un long cheminement né des idéaux des pères fondateurs du projet européen après la Seconde Guerre mondiale".

Noble patrimoine

"L'Europe doit être fière de ce patrimoine, fondé sur certains principes et sur une vision de l'homme qui plonge ses bases dans son histoire millénaire, inspirée par la conception chrétienne de la personne humaine", a insisté François.

Rendant hommage aux efforts d'accueil de la Grèce et de l'Allemagne, le pape a aussi exprimé une "gratitude spéciale" à l'Italie pour ses "exemples positifs d'intégration". A deux mois des élections législatives italiennes du 4 mars, il a toutefois émis le voeu que les difficultés économiques persistantes du pays ne conduisent pas à "des fermetures" à l'avenir.

Le pape souhaite la poursuite des initiatives de paix en Syrie. "Il est aussi important que puissent retourner dans leur patrie les nombreux réfugiés qui ont trouvé accueil et refuge dans les nations limitrophes, surtout en Jordanie, au Liban et en Turquie", a-t-il poursuivi, en rendant hommage aux "efforts accomplis par ces pays".

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Discours du Pape pour ce 1er janvier: “Il faut pousser les politiques d’accueil des migrants jusqu’au maximum”

Le pape François a invité, ce lundi 1er janvier 2018, les fidèles catholiques à prier pour un avenir de paix en 2018, y compris pour les migrants et réfugiés, à l'occasion de sa première bénédiction de l'angélus cette année. L’avenir de paix est « un droit pour tous », a expliqué le souverain pontife.

Comme il avait achevé 2017, le pape François a entamé l’année 2018, en plaçant son regard sur les migrants.

L’Eglise, qui célèbre le 1er janvier la Journée mondiale de la paix, a d’ailleurs choisi cette année pour thème « Migrants et réfugiés, des hommes et des femmes en quête paix ». Le souverain pontife s’est voulu le porte-voix de tous ceux qui quittent leur terre, souvent au péril de leur vie.

Le pape invite à regarder les migrants avec confiance. Dans son message pour la journée mondiale de la paix, le 1er janvier 2018, il souhaite en premier lieu de meilleurs vœux de paix pour tous mais surtout les migrants et les réfugiés. Le pape rappelle le contexte actuel qui poussent tant de personnes à partir de chez elles. Il lance un nouvel appel vigoureux pour leur accueil et s’oppose fermement à ceux qui s’y refusent : « Certains les considèrent comme une menace. Moi, au contraire, je vous invite à les regarder avec un regard rempli de confiance, comme une occasion de construire un avenir de paix« .

Le pape invite à un regard contemplatif sur les migrants pour découvrir la richesse qu’ils apportent avec eux : « un élan de courage, leurs capacités, leurs énergies et leurs aspirations, sans compter les trésors de leurs cultures d’origine« . Un regard aussi pour les responsables du bien public : « afin de pousser les politiques d’accueil jusqu’au maximum « de la mesure compatible avec le bien réel de leur peuple« .

Le pape réaffirme alors quatre axes importants -accueillir, protéger, promouvoir et intégrer- qu’il développe tour à tour.

« Je souhaite de tout cœur que cet esprit anime le processus qui, tout au long de l’année 2018, conduira à la définition et l’approbation par les Nations-Unies de deux pactes mondiaux : l’un, pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, et l’autre concernant les réfugiés. »

La section Migrants et Réfugiés du Dicastère pour le Service du Développement Humain Intégral, en fonction depuis le 1er janvier 2017, a suggéré 20 points d’action pouvant servir de pistes concrètes pour l’application de ces quatre verbes dans les politiques publiques, ainsi que pour le comportement et l’action des communautés chrétiennes

« Un horizon de paix »

« Je désire, une fois encore, me faire la voix de nos frères et sœurs qui invoquent pour leur avenir un horizon de paix. Pour cette paix, à laquelle tous ont droit. Beaucoup parmi eux sont prêts à risquer leur vie dans un voyage souvent long et périlleux, à affronter les épreuves et les souffrances », a lancé François.

Dans son message pour cette Journée mondiale de la paix, diffusé en novembre dernier, le souverain pontife dénonçait, notamment, « ceux qui fomentent la peur des migrants, parfois à des fins politiques ».

Un engagement de l’Etat et de l’Eglise

Le pape tient à rappeler que ces femmes et ces hommes ont une dignité. « N’éteignons pas l’espérance dans leurs cœurs, n’étouffons pas leurs attentes de paix ! », a-t-il encore exhorté, en ce premier jour de l’année, souhaitant qu’il y ait un engagement, de tous, de l’Etat et de l’Eglise, pour assurer aux migrants et aux réfugiés « un avenir de paix ».

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La presse applaudit le Pape: “Il désavoue une Europe chrétienne et défend les migrants essentiellement musulmans.”

Après l’homélie de Noël dans laquelle le pape François a exhorté dimanche les catholiques à ne pas ignorer le drame des migrants, la presse applaudit tout en craignant la surdité des croyants.

Dans Le Journal de la Haute-Marne, Patrice Chabanet va jusqu’à écrire que le pape « désavoue, entre autres, les tenants d’une Europe chrétienne face à ce que ces derniers considèrent comme une déferlante migratoire essentiellement musulmane. »

L’Argentin Jorge Bergoglio, petit-fils de migrants italiens, a fait du sort des réfugiés l’un des thèmes fondamentaux de son pontificat entamé voici près de cinq ans.

« La créativité sociale évoquée par le pape permet d?imaginer des solutions« , espère François Ernenwein de La Croix, qui souligne que « tous les peuples, toutes les nations sont invités à faire preuve d’inventivité face aux migrations.  »

Dans L’Humanité, Patrick Apel-Muller est en phase avec le souverain pontife : « L'Humanité et ses lecteurs se sentent plus proches de l’homélie du pape François que des circulaires du ministre de l?Intérieur français et de la loi antimigrants que diligente Emmanuel Macron… « , se surprend-il. […]

« Le pape François a célébré la nativité du Christ en rappelant opportunément que Jésus, Marie et Joseph étaient des migrants« , note Pierre Fréhel dans Le Républicain Lorrain, regrettant qu’il ne soit « pas certain pour autant que le devoir de charité et d’hospitalité recommandé par le Pape soit entendu par tous les catholiques ou du moins par tous ceux qui se définissent ainsi. »

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Noël: le pape dénonce l’expulsion des migrants

Le pape a dénoncé ce dimanche soir le drame des migrants de la planète, souvent "expulsés de leurs terres" par des dirigeants prêts à "verser du sang innocent", dans une homélie de Noël appelant à "l'hospitalité".

Dans sa traditionnelle homélie de la veillée de Noël, l'argentin Jorge Bergoglioa a rappelé que selon l'Evangile, Marie et Joseph étaient en fuite en raison d'un décret romain.

"Dans les pas de Joseph et de Marie, se cachent de nombreux pas. Nous voyons les traces de familles entières qui, aujourd'hui, se voient obligées de partir", a souligné le pape, devant une dizaine de milliers de fidèles rassemblés dans la basilique Saint-Pierre de Rome.

"Nous voyons les traces de millions de personnes qui ne choisissent pas de s'en aller mais qui sont obligées de se séparer de leurs proches, sont expulsées de leur terre", a-t-il poursuivi, s'exprimant depuis la fenêtre du palais apostolique du Vatican.

"Dans beaucoup de cas, ce départ est chargé d'espérance, chargé d'avenir; dans beaucoup d'autres, ce départ a un seul nom : la survie. Survivre aux Hérode de l'heure qui, pour imposer leur pouvoir et accroître leurs richesses, n'ont aucun problème à verser du sang innocent", a lancé le pape François.

Pour le pape, "Noël, c'est le temps pour transformer la force de la peur en force de la charité". "Personne ne doit sentir qu'il n'a pas sa place sur cette Terre", a plaidé le pape, prônant "une nouvelle créativité sociale".

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Pape François : « Les centres de réfugiés sont souvent des camps de concentration »

« J’ai déjà visité quatre camps de réfugiés. Trois énormes: Lampedusa, Lesvos et Bologne. […] Parfois ce sont de vrais camps de concentration, des prisons« . C’est ce que le pape François a déclaré lors d’une conversation avec des jésuites au Myanmar et au Bangladesh, lors de son récent voyage entre fin novembre et début décembre. Des extraits de ces conversations, retranscrites par le jésuite Antonio Spadaro dans le numéro de la revue Civiltà Cattolica.

[…] Certains pays européens ont choisi de fermer leurs frontières. La chose la plus douloureuse est qu’ils aient dû fermer leur cœur pour prendre cette décision. Et notre travail missionnaire doit aussi atteindre les cœurs fermés à l’accueil des autres. […] Nous avons l’obligation de dénoncer et de rendre publiques les tragédies humaines que certains essaient de faire taire. […]

« Du fondamentalisme, il y en a partout« , a dit le Pape François. « Et nous, catholiques, avons l’honneur d’avoir des fondamentalistes parmi les baptisés. C’est une attitude de l’âme qui se tient comme juge des autres et de ceux qui partagent sa religion. C’est aller à l’essentiel – faire semblant d’aller à l’essentiel – de la religion, mais à un point tel qu’on oublie ce qui est existentiel. Oublie les conséquences. Les attitudes fondamentalistes prennent des formes différentes, mais ont le point commun de souligner l’essentiel, de nier l’existentiel. Le fondamentaliste nie l’histoire, la personne. Et le fondamentalisme chrétien nie l’Incarnation ».

Secolo d’Italia Via fdesouche.com

Le Pape François appelle à contrer les “fake news” avec un journalisme imprégné de l’Évangile

Le thème que le Pape François a choisi pour la 52ème journée mondiale des communications sociales 2018 concerne les «fausses nouvelles» ou “fake news”, c'est-à-dire les informations infondées qui contribuent à générer et à alimenter une forte polarisation de l’opinion.

«"La vérité vous rendra libres" (Jn 8, 32). Fausses nouvelles et journalisme de paix.», est l'intitulé exact du message du Pape, dont le contenu sera publié le 24 janvier prochain. Lors d'une conférence, le jeudi 28 septembre 2017, le préfet du Secrétariat pour la Communication, Mgr Dario Edoardo Viganò, avait présenté la radio comme un rempart contre les "fake news", qui deviennent souvent virales sur les réseaux sociaux, comme la campagne présidentielle américaine de 2016 l'a montré avec une particulière ampleur.

Il s’agit d’une distorsion souvent instrumentale des faits, avec d’éventuelles répercussions au niveau des comportements individuels et collectifs. Dans un contexte où les entreprises de référence du Web social et le monde des institutions et de la politique ont commencé à s'attaquer à ce phénomène, l'Église veut également offrir une contribution en proposant une réflexion sur les causes, les logiques et les conséquences de la désinformation dans les médias et en aidant à la promotion d’un journalisme professionnel, qui cherche toujours la vérité, et donc un journalisme de paix qui favorise la compréhension entre les personnes.

La Journée Mondiale des Communications Sociales, unique célébration mondiale instaurée par le Concile Vatican II (Inter mirifica, 1963), est célébrée dans plusieurs pays, sur la recommandation des évêques du monde entier, le dimanche avant la Pentecôte. En 2018, ce sera le 13 mai.

Le message du Saint-Père pour la Journée Mondiale des Communications Sociales est publié traditionnellement le 24 janvier, jour de la fête de saint François de Sales, Patron des journalistes.

(CV- communiqué du Secrétariat pour la Communication)

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Petite chienne, hache, conservatisme, suicide & pape philanthrope

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Michel Garroté  --  Je lis que sur son compte Instagram, la chochotte de gauche Carla Bruni-Sarkozy a annoncé l'arrivée d'un "nouveau membre dans la famille" : une petite chienne de deux mois, appelée Nastasya. Dans un message accompagnant sa photo, Carla Bruni-Sarkozy écrit : "Bienvenue à Nastasya, 2 mois, nouveau membre de la famille". Carla a donc accouché d'une petite chienne au lieu d'avorter, c'est vraiment très émouvant.
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Je lis qu'une mère de famille de Seraing, près de Liège, en Belgique, a reconnu avoir assassiné son fils de 11 ans à coups de hache. La femme a expliqué avoir commis son geste "afin d’éviter à ses enfants de vivre dans un monde tel que celui d’aujourd’hui". Débiter un enfant à la hache, c'est moins grave que la déforestation, alors voilà, désolé pour le môme haché menu.
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Je lis que le climat est le responsable majeur du nombre croissant de migrants. Nous voilà rassurés. Nous qui pensions que le responsable, c'était l'islam conquérant et arrogant.
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Je lis aussi que le pape François milite pour un accueil massif de migrants, affirmant qu'il faut - selon lui - faire passer la sécurité personnelle des migrants avant la sécurité nationale et il appelle à un accueil beaucoup plus large de ces migrants.
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Bon, d'accord, nous allons donc tous les accueillir, ces gentils clandestins musulmans, d'autant que c'est le climat (ce salaud) qui est le responsable majeur du nombre croissant (vert) de migrants. Ci-dessous, je publie quelques réflexions sur ce monde de fou, sa petite chienne, sa hache et ses migrants.
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La droite et le système médiatique de gauche :
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Mathieu Bock-Côté, docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nous avons assisté ces dernières années à une renaissance intellectuelle du conservatisme. Des ouvrages majeurs ont montré de quelle manière le fondamentalisme de la modernité menaçait les fondements mêmes des sociétés occidentales. Mais cette renaissance intellectuelle ne pourra se traduire politiquement que lorsque les leaders de la droite ne chercheront plus à donner des gages à ceux qui les menacent sans cesse de diabolisation médiatique. Ils devront se délivrer de l'hypnose progressiste.
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Il ne s'agit pas de transgresser pour transgresser, ou de provoquer pour provoquer, mais de marquer clairement une volonté d'insoumission à l'ordre idéologique dominant qui continue de reposer sur le refoulement systématique du conservatisme, dans lequel on ne veut voir qu'une série de phobies. Cela exige non seulement du courage mais aussi, une résolution ferme à ne pas penser le devenir des sociétés occidentales sous le signe d'un sens de l'histoire qui les pousserait toujours plus loin sur le chemin du multiculturalisme et de l'individualisme radical.
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La chose est attendue depuis longtemps par l'électorat de droite. Il n'est pas insensé de croire que cette espérance puisse aujourd'hui aboutir ou du moins, fonder une proposition politique nécessaire dans la recomposition à venir, conclut Mathieu Bock-Côté.
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Le suicide spirituel européen :
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Nicolas Bonnal écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans un de ses meilleurs textes, le blogueur italien Maurizio Blondet pourfend ses compatriotes mélomanes. Ils ont été 220'000 en juillet à affronter intempéries, vie chère et conditions difficiles pour aller écouter un vieux rockeur, Vasco Rossi, rebelle de façade, star de pacotille qui aura joué toute sa vie, le rôle de dérivatif au troupeau fatigué des masses postmodernes. Ce n’est plus masse et puissance, c’est masse et impuissance.
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Et Maurizio Blondet regrette l’effondrement italien et de se demander : Et si ces gens étaient allés sur Rome ? S’ils avaient accepté cette condition soldatesque pour se révolter contre un système qui les ruine, les dépossède, les remplace, les liquide ? Si ces gens s’étaient dépêchés de se précipiter à la gorge des banksters et des bureaucrates plutôt que de se livrer, béats esclaves, à la voix de fausset d’un chanteur ? Car comme on peut le constater, ces gens, ce troupeau, italien, français, européen, allemand préfère ses maîtres et ses illusionnistes à ses sauveurs.
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Les Portugais s’étaient ruinés en 2006 pour aller écouter deux fois de suite Madonna dans un stade. Ces idiots d’Allemands s’étaient déshonorés pour aller écouter à Berlin un jeune sénateur américain paraît-il cool : il s’appelait Obama. Quant aux Français, ils se battent deux mois après Macron (il les aurait déçus ! Déjà ?) pour décrocher le dernier maillot de foot de Neymar ! Alors…
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Alors, on oublie l’agenda de remplacement et de dépopulation. On oublie les scandaleuses contraintes vaccinatrices-exterminatrices dont parle Maurizio. On oublie l’abolition du cash, on oublie les prélèvements confiscatoires, on oublie les attentats qui frappent à Barcelone ou ailleurs et on se fout de tout. « Il en reste assez pour moi », disait Boris Vian dans sa chanson. Le foot, la télé-poubelle, le consumérisme, la grosse bouffe, comme disait l’historien Stanley Payne.
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C’est que le troupeau n’est pas une victime, le troupeau est consentant. Il s’amuse en se sacrifiant, et en s’aliénant, il y a pris trop goût, comme le voyait Céline dès les années trente. Cela me rappelle le film Fast-food Nation de Richard Linklater. Il montre bien que tout le monde est consentant, du politique au flic, du Blanc obèse au Mexicain, sans oublier la vache qui refuse d’abandonner son feedlot (parcs d’engraissement en français). On la bourre, cela lui suffit, après elle ne se fait qu’une idée confuse de ce qui va se passer. Et nous, nous n’avons pas plus envie de nous libérer que ces vaches promises à l’abattoir.
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On en est arrivé au point où l’on ne sait plus qui est vivant dans ce monde. Un Guénon pas très optimiste tout d’un coup parlait ainsi de la dissolution de la personnalité qui accompagnera nos temps postmodernes : « Ce serait une véritable dissolution de tout ce qu’il y a de réalité positive dans l’individualité totale ». C’est le troupeau des catholiques mous du pape François aussi ; de Soros, de Merkel, de Gaga et de Burning man. L’apocalypse a créé une humanité, un public, une audience sur mesure pour les châtiments-catastrophes qu’elle nous prépare, conclut Nicolas Bonnal.
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François, pape philanthrope :
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Dans "François, pape philanthrope", François Marcilhac écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Ne jetons pas, enfin, aux orties l’identité pluriséculaire des sociétés européennes au profit d’un multiculturalisme qui provoque déjà chez nous ses effets multiconflictualistes. Il faudrait, selon le message papal, « favoriser, dans tous les cas, la culture de la rencontre ».
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Mais comment croire, sans un angélisme particulièrement aveugle, que favoriser une « intégration » opposée à l’assimilation, c’est se placer « sur le plan des opportunités d’enrichissement interculturel général »  ? Chaque jour nous apporte, en Europe, le témoignage du contraire. Non, tendre à une société multiculturelle généralisée ne rapprochera pas les hommes entre eux.
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Il fut un temps où le cardinal Bergoglio était plus lucide  : « Qu’est-ce qui fait qu’un certain nombre de personnes forment un peuple  ? En premier lieu, une loi naturelle, et un héritage. En second lieu, un facteur psychologique  : l’homme se fait homme dans l’amour de ses semblables. Le naturel croît en culturel, en éthique. Et de là, en politique, dans le cadre de la patrie, qui est ce qui donne l’identité ».
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La cohésion de la Nation suppose qu’on s’accorde sur un bien vraiment commun à tous les citoyens. Seul ce bien commun national qui, loin d’être contraire au bien humain, l’incarne, sera notre guide sur la question des prétendus "migrants" - concept idéologique dont la fonction est de cacher des réalités différentes pour mieux organiser la soumission des Nations à un ordre supranational, conclut François Marcilhac.
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Petite conclusion :
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Carla Bruni-Sarkozy a annoncé l'arrivée d'un "nouveau membre dans la famille" : une petite chienne de deux mois, appelée Nastasya. Une mère de famille de Seraing, près de Liège, en Belgique, a reconnu avoir assassiné son fils de 11 ans à coups de hache. Le climat est le responsable majeur du nombre croissant de migrants ; et le pape veut tous les accueillir. La droite est esclave de la gauche et ainsi de suite...
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/09/11/31001-20170911ARTFIG00256-mathieu-bock-cote-comment-etre-de-droite-dans-un-systeme-mediatique-de-gauche.php?xtor=EPR-211
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http://eurolibertes.com/politique/maurizio-blondet-suicide-spirituel-europeen/
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/09/12/francois-pape-philanthrope.html
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Le Conseil français du culte musulman appelle à la solidarité des réfugiés, soutenu par l’Eglise catholique

Quand aura lieu l'Aïd al-Adha (Aïd el-Kébir) ? La date est désormais fixée, le mois de Dhul-Hijjah ayant commencé mercredi 23 août.

Le Conseil français du culte musulman (CFCM) lance à cette occasion un appel à la solidarité à l'égard des réfugiés, soutenu par l'Eglise catholique.

Le CFCM appelle les musulmans de France « à partager ce grand moment de fraternité et de solidarité avec l’ensemble de la communauté nationale » mais également « à inviter les réfugiés (…) afin de soulager leur souffrance ».

Cet appel fait écho au message du Pape François rendu public lundi 21 août, en prévision de la prochaine Journée mondiale du migrant et du réfugié fixée le 14 janvier 2018 où le souverain pontife évoque quatre actions en leur faveur à mettre en oeuvre : « accueillir, protéger, promouvoir et intégrer ».

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Nos remerciements à