Un migrant pakistanais accusé d’avoir tenté de mettre le feu en Grèce (Vidéo)

Rappels :

Incendies autour d’Athènes: le bilan s’alourdit à 74 morts

Incendies en Grèce : le gouvernement suspecte "des actes criminels"

Dans la vidéo : "Des familles carbonisées, dont de jeunes enfants..."

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Un migrant pakistanais a été arrêté pour avoir tenté de mettre le feu près du camp militaire de Perama mercredi. L'arrestation a été confirmée par la police locale.

Perama est une zone à forte concentration de réfugiés. Le migrant a été arrêté et interrogé après avoir été inculpé et poursuivi pour incendie criminel. La police locale a confirmé à notre journaliste qu'un migrant pakistanais avait été arrêté dans la région.

 

 

 

Le site d'information local Epirus indique que l'agresseur nie toutes les accusations et qu'il ne fait que «travailler dans la région».

La chaleur de l'été grec et les forts vents pourraient entraîner une destruction massive alors que le camp militaire de Perama abrite du matériel militaire.

Le ministre de la Protection civile, Nikos Toskas, a déclaré lors d'une conférence de presse que l'incendie criminel est une possibilité sérieuse. "Nous avons des indications sérieuses et des signes significatifs suggérant des actions criminelles", a-t-il déclaré.

Ce n'est pas la première fois que des migrants déclenchent des incendies, plusieurs cas d'incendies criminels ont été enregistrés dans le camp pour migrants à Lesbos.

Étant donné que des centaines de milliers de migrants sont venus en Europe, il y a également de nombreux terroristes et des radicaux parmi eux.

L'Etat islamique a déjà conseillé à ses recrues d'utiliser l'incendie criminel comme arme. La méthode est également utilisée en Israël et selon l'Etat islamique, cette tactique peut «imposer la terreur à tout un pays».

L'arrestation du migrant pakistanais ne survient que quelques heures après la tragédie nationale qui a frappé la Grèce au début de la semaine, au cours de laquelle plus de 80 Grecs ont péri et plus de 1000 maisons ont été détruites.

 

Voice of Europe / Palo.gr / Enikos.gr

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Lucerne: Un chauffeur de taxi pakistanais aurait violé 6 passagères. Il est positif au virus du VIH.

Les accusations portées contre un Pakistanais de 45 ans sont lourdes. Ce chauffeur de taxi aurait abusé de six passagères dans sa voiture. Son procès s'ouvre mercredi à Lucerne, écrit «Blick».

Concrètement, le Ministère public accuse le prévenu de viol, d'enlèvement et de contrainte sexuelle. A cela s'ajoute l'accusation de lésion corporelle grave puisque le chauffeur de taxi est positif au virus du VIH. Il est donc susceptible d'avoir infecté d'autres personnes et de leur avoir ainsi infligé des lésions corporelles graves sans avoir eu nécessairement des contacts sexuels avec elles.

Source et article complet

Angleterre. Chadderton: Un homme violemment agressé par des Pakistanais à une station de tramway (Vidéo)

Le jeudi 8 mars 2018 à 21h36, un homme qui descendait d’un tramway près de Manchester a été assailli sans raison par un groupe de passagers du même tram qui ont commencé à le frapper alors qu’il tentait de quitter le quai. Au cours de cette agression, l’homme de 49 ans a été victime de multiples coups particulièrement violents alors même qu’il gisait inconscient au sol.

 

 

 

Ils sont revenus à trois reprises pour poursuivre "l'agression sans pitié", a ajouté la police.

Source Via Suavelos

Une victime d’un gang de violeurs pakistanais à Rotherham (G-B) témoigne : « Ils me traitaient de pute blanche et me punissaient car je n’étais pas musulmane. C’était du terrorisme, pas de la pédophilie »

« En tant que survivante d’un gang de violeurs pakistanais à Rotherham, je veux que les gens connaissent l’extrémisme religieux qui a inspiré mes agresseurs. »

Tribune de Ella Hill (un pseudonyme).

Ces gangs de violeurs ne sont pas comme des réseaux pédophiles; à la place, ils fonctionnent presque exactement comme des réseaux terroristes, avec à peu près les mêmes stratégies.

Je me considère comme une survivante parce que je suis toujours en vie. Je fais partie de la plus grande enquête d’abus sexuels commis sur des enfants au Royaume-Uni.

Adolescente, j’ai été emmenée dans plusieurs maisons ou appartements au-dessus d’établissements de fast-foods dans le nord de l’Angleterre, pour être battue, torturée et violée plus de 100 fois. Ils me qualifiaient de « pute blanche » lorsqu’ils me battaient.

Ils ont précisé que parce que j’étais une non-musulmane, que je n’étais pas vierge, et parce que je ne m’habillais pas «modestement», ils estimaient que je méritais d’être «punie». Ils m’ont dit que je devais « obéir » ou être battue.

La peur d’être tuée et les menaces qui pèsent sur la vie de mes parents m’ont empêchés de m’échapper pendant environ un an. La police ne m’a pas aidé.

Comme les terroristes, ils croient fermement que les crimes qu’ils commettent sont justifiés par leurs croyances religieuses.

Les experts expliquent que ces gangs de grooming (viols collectifs) ne sont pas comparables avec des réseaux pédophiles ordinaires. C’est quelque chose que le gouvernement a vraiment besoin de comprendre afin de prévenir plus de crimes de ce type dans le futur.

L’endoctrinement religieux est une partie importante du processus de recrutement de jeunes hommes voulant intégrer ces gangs de violeurs. Les idées religieuses sur la pureté, la virginité, la modestie vestimentaire et l’obéissance sont poussées à l’extrême jusqu’à ce que les abus horribles deviennent la norme.

Mon principal agresseur me citait des versets du Coran quand il me tabassait.

(…)

Independent via Fdesouche.com

Rappel:

Grande-Bretagne. Filles blanches violées par des gangs ethniques: Le 20 Minutes refuse de mentionner l’origine des coupables!

Grande-Bretagne. Affaire des violeurs pakistanais: La journaliste anglo-pakistanaise Saira Khan accuse la société anglaise de ne pas avoir fait assez d’efforts d’intégration.

Grande-Bretagne. Affaire des violeurs pakistanais: La journaliste anglo-pakistanaise Saira Khan accuse la société anglaise de ne pas avoir fait assez d’efforts d’intégration.

La journaliste anglo-pakistanaise Saira Khan a publié une tribune dans The Mirror où elle rejette la faute sur l’échec des Britanniques à intégrer les Pakistanais, en titrant : « L’échec à intégrer les immigrés pakistanais a conduit au scandale des viols d’enfants de Telford ».

J’ignore comment on passe de « Des milliers d’adolescentes blanches violées et réduites en esclavage par des gangs pakistanais » à « C’est un problème d’intégration » sans sous-entendre que c’est dans la culture pakistanaise de violer massivement des jeunes filles et de les exploiter sexuellement. On sait qu’en Afghanistan, ils préfèrent les petits garçons travestis pour assouvir leurs pulsions dégueulasses, que le taharrush gamea fait partie des traditions arabo-musulmanes, alors là il faudrait être clair si on veut nous expliquer que les gangs pédocriminels font partie du paysage culturel pakistanais et que tant que les blancs ne placent pas une assistante sociale et un policier derrière chaque immigré ou descendant d’immigré pakistanais, ça va être notre faute.

Saira Khan devrait dire clairement : ces crimes sexuels de masse font partie de la culture pakistanaise et les Pakistanais ne peuvent s’en sortir que par des efforts titanesques de reprogrammation mentale afin de les rendre juste respectueux de nos lois. Or pour elle c’est la faute de la société, de l’intégration, la faute à « ON ». Donc la faute des blancs.

De la même façon que c’est la faute des blancs quand les Africains se découpent en morceaux à la machette made in China, c’est de notre faute si nos fillettes se font droguer, violer et réduire en esclavage par d’immondes pédophiles dont l’exotisme interdit de se plaindre sous peine d’être traité de racisme.

Pendant 40 ans les autorités n’ont rien dit, et laissaient les jeunes filles se faire violer, prostituer, tabasser, droguer. Et le problème c’est l’intégration, pas les pédophiles couverts par l’antiracisme ?

La présentatrice Saira Khan, nominée des British Muslim Award (un événement sponsorisé par l’Islamic Bank of Britain) apparaîtra comme une « femme qui dit les choses » comme si tout avait été dit. Pourtant, elle ne fait que rediriger la faute vers l’Etat-Nounou blanc, comme le font toutes les racisées de la République en France. « Davantage de dialogue social » « davantage d’argent dans les cités » « davantage de politiques d’intégration, de polices de proximité ». Tout, absolument tout a foiré. Ces béquilles ne tiennent que quelques années, les tropismes ethniques étant trop forts. Et plus les villes se vident de leurs blancs, moins les immigrés ont de raison de s’intégrer à quoi que ce soit d’autre que leurs communautés.

La fameuse « intégration à l’Anglaise » que tout le monde vantait se révèle bien pire que la rééducation assimilationniste française (dont le but est de faire des générations de petits blancs dans des corps d’étrangers).

Cette tribune est d’une brièveté de niveau « service public minimum », et sonne faux.

Saira Khan est une Paki qui pense que tout va être okay parce qu’elle dit « oui c’est vrai mes frères ont fait des choses moches, mais ils ont été éduqué par nos mères comme des gros cons », et accuse les blancs de ne pas avoir su intégrer toute sa famille de timbrés arriérés. Elle ose même finir sa tribune en expliquant que si des gens comme elle ne parlent pas, ce sont les méchants blancs britanniques patriotes qui vont triompher :

« A moins que nous ne voulions que les voix de Britain First et du BNP (British National Party) dominent et nous divisent, les Asiatiques comme moi doivent se lever, parler, être honnêtes, et dire « pas en mon nom, pas dans ma religion ni dans mon pays. »

Elle est donc assez gonflée pour avouer qu’elle écrit juste pour protéger ses petites fesses d’une « division » qui ne profiterait qu’aux blancs.

Source: madame.suavelos 

Grande-Bretagne: Scandale des viols collectifs de Telford par des gangs pakistanais « Le silence honteux de la télévision publique pour le bien de la diversité »

La députée conservatrice de Telford estime que la BBC (télévision publique) ne se soucie pas de cette affaire car les victimes sont des Blanches de la classe ouvrière.

 

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Twitter

 

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Article de Doulgas Murray datant du 12 mars.

La première page du Sunday Mirror d’hier disait : «Le pire scandale d’abus sexuels sur mineurs de l’histoire de la Grande-Bretagne: des centaines de jeunes filles ont été violées, battues, vendues et certaines ont même été tuées.» Comme les scandales de Rotherham, Rochdale et Oxfordshire. Dans d’autres endroits, il semble que les victimes soient, une fois de plus, des filles britanniques blanches et les auteurs des hommes musulmans, principalement d’origine pakistanaise.

Nous apprenons une fois de plus comment, au cours des quatre dernières décennies, toutes les branches de l’État – y compris les travailleurs sociaux et la police – ont laissé faire ces viols collectifs d’enfants. Et nous apprenons – encore une fois – à quel point la peur des accusations de «racisme» ont fait que les identités des coupables aient été cachées et que les affaires n’ont pas été examinées.

Lorsque l’affaire a éclaté hier, elle a été couverte par une série d’autres journaux, y compris tous les concurrents du Mirror. Mais pas la BBC (télévision publique britannique). Comme l’a noté Ed West.

Ce n’est qu’après un bon nombre de commentaires hostiles à propos de cet oubli que la BBC a mentionné l’affaire cet après-midi. (Westmonster)

 

 

(…) Il est maintenant clair que la plupart des personnes occupant des postes d’autorité dans ce pays n’ont jamais voulu que des affaires comme celles de Telford, Rochdale ou Rotherham sortent. (…) Parce que de telles histoires gâchent le discours dominant que tiennent tout une génération de responsables.

Il est plus facile de continuer à essayer de tout couvrir. Et c’est pourquoi il y a maintenant un tel effort concerté pour arrêter, faire taire, bannir, rétrograder les personnes qui évoquent ou luttent contre ces viols collectifs en série. « Pour le bien de la diversité »

(…)

The Spectator

 

A lire aussi: 

« Le plus grand scandale de viols collectifs sur mineurs de l’histoire du Royaume-Uni » : les autorités ont-elles fermé les yeux ? l’ouverture d’une enquête indépendante demandée

Viols collectifs de Rotherham (UK): les enquêteurs dénombrent plus de 1 500 victimes d’abus sexuels organisés par des prédateurs pakistanais

Le nombre de jeunes gens abusés sexuellement à Rotherham a été porté à 1 510, soit la première hausse officielle depuis que scandale a éclaté il y a quatre ans, au Royaume-Uni.

Les enquêteurs de la National Crime Agency (NCA) ont révélé le chiffre mis à jour mardi dans un briefing sur l’opération Stovewood, l’enquête sur le scandale de l’exploitation sexuelle d’enfants sur une période de 16 ans dans la ville de Rotherham. Le rapport du professeur Alexis Jay en 2014 avait identifié 1 400 victimes.

 

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L’enquête de la NCA, la plus grande du genre au Royaume-Uni, a identifié 110 suspects, dont la grande majorité sont d’origine pakistanaise, ont indiqué des officiers.

Sur ces 110 personnes, 38 ont été arrêtées, 18 ont été inculpées, quatre ont été condamnées à des peines d’emprisonnement de plus de 30 ans.

Paul Williamson, l’enquêteur principal de l’opération Stovewood, a décrit l’enquête comme «une enquête unique et sans précédent, difficile par son ampleur et sa complexité».

The Guardian via Fdesouche.com

Source2 : .independent.co.uk

Nos remerciements à Victoria Valentini

Bradford (Royaume-Uni) : des jeunes immigrés pakistanais ont caillassé des pubs « parce qu’ils étaient tenus par des Blancs »

Bradford « se dirige vers le désastre » et le conseil municipal a laissé « la haine raciale et la perception de peur devenir un vrai problème », a prévenu le président d’un comité de surveillance.

Le conseiller municipal Arshad Hussain, qui préside le comité d’examen et de contrôle des entreprises du conseil de Bradford, a déclaré qu’il y avait «de nombreux quartiers dans cette ville» où les gens avaient peur d’aller, selon leur appartenance ethnique.

(…) « Trois bars ont étés visés par un caillassage le 5 novembre, de jeunes pakistanais en sont les responsables ».

Les bars Red Lion et Round Thorn, à Thornton Road, étaient parmi ceux qui étaient visés.

« Ce sont les seuls établissements tenus par des Blancs dans le quartier. Aucun établissement tenu par des immigrés n’a été attaqué. Ils ont été ciblés parce qu’ils étaient blancs », at-il ajouté.

« Il y a tellement de zones dans cette ville où les Blancs ont peur d’aller »

(…)

Telegraph & Argus via Fdesouche.com

Grèce : une jeune fille séquestrée et traitée comme une esclave sexuelle pendant des années par un migrant pakistanais

Un migrant pakistanais de 34 ans a été arrêté pour avoir séquestré une jeune fille dans sa maison de la ville de Menidi en Grèce.

L’enfant a été kidnappée en 2013, à l’âge de douze ans, lorsqu’elle a été abandonnée par sa mère. Selon les médias grecs, la jeune fille a vécu un cauchemar pendant trois ans. Le migrant l’a violé quotidiennement et l’a enfermé dans sa maison.

En 2015, la fille est tombée enceinte et a donné naissance à un enfant. Elle a réussi à s’échapper en 2016 et est allée dans un refuge pour femmes.

Après que la jeune fille ait raconté son histoire, l’homme a finalement été arrêté le 27 décembre dernier, dans la ville de Karea.

Protothema Via fdesouche.com

Grande-Bretagne : 84% des délinquants sexuels appartenant à des gangs de pédophiles sont Pakistanais, ils ciblent « les jeunes filles blanches »

Un rapport du groupe de réflexion sur l’extrémisme, Quilliam, a découvert que plus de huit hommes sur dix reconnus coupables de pédophilie en bande organisée sont originaires du Pakistan.

Lorsque les auteurs de l’étude – tous deux d’origine pakistanaise – se sont penchés sur leurs recherches sur les gangs de pédophiles, ils s’attendaient à «démystifier» la perception selon laquelle les musulmans y sont surreprésentés.

Mais leur analyse a révélé que 222 des 264 condamnations liées à 58 cas de gangs de pédophiles identifiés en Grande-Bretagne entre 2005 et 2017 – soit 84% – concernaient des auteurs d’origine pakistanaise, alors que les Pakistanais ne représentent que 7% de la population.

Le rapport indique que 18 des 264 pédophiles (7 pour cent) étaient blancs, tandis que 22 étaient noirs (8 pour cent).

Ceux qui ont mené l’étude ont constaté que si les filles de la communauté pakistanais étaient considérées comme «protégées» parce que la chasteté était liée à «l’honneur familial», les jeunes femmes blanches étaient considérées comme des «cibles faciles» et «ouvertes aux relations sexuelles avec un peu de persuasion».

Telegraph via Fdesouche.com

Allemagne : tentative d’incendie d’une église par un Pakistanais.

La police de Mannheim vient d’arrêter un Pakistanais âgé de 24 ans, et l’a inculpé de tentative d’incendie et d’attentat à l’explosif contre l’église Sainte-Hildegarde-de-Bingen le 17 octobre dernier.

Ce sont des voisins de l’église qui ont alerté, ce jour-là, la police après un début d’incendie dans le clocher, rapidement circonscrit.

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Selon ces mêmes témoins, les incendiaires, qui étaient deux, ont été vus pénétrant dans l’église avec une bombonne de gaz peut avant que l’incendie se déclenche. Le deuxième suspect est activement recherché par la police.

Source : CNA Deutsch, 7 décembre (merci I. H. pour ce signalement)

Via Christianophobie.fr

2 des 1400 victimes d’abus sexuels par des Pakistanais à Rotherham déclarent : « Des violeurs agissent toujours »

Deux victimes violées par des gangs de Pakistanais ont déclaré que des agresseurs abusaient toujours des jeunes filles à Rotherham.

Linzi Williams et Natalie Fuller, qui ont été meilleures amies depuis leur enfance, ont renoncé à leur anonymat pour parler à Channel 4 de leurs viols pendant leur enfance.

Mme Williams avait 15 ans quand elle a été abusée par Arshid « Ash » Hussain.

Après être tombée enceinte par son agresseur et avoir avorté, Mme Williams a déclaré à Channel 4 que le traumatisme de l’enfance avait affecté sa capacité à faire confiance aux gens et qu’elle souffrait maintenant de problèmes d’attachement.

Mme Fuller n’avait que 13 ans quand elle a été violée par le frère d’Ash, Bannaras. Natalie souffre d’attaques de panique, et décrit les expériences comme un «tourment» qu’elle doit revivre chaque jour.

 

 

« Mon enfance a été ruinée à partir de ce moment-là », a déclaré Mme Fuller.

Décrivant une occasion où Bannaras a essayé de forcer Mme Fuller à commettre un acte sexuel dans les bois, elle a refusé et il l’a battu et lui a donné des coups de pied.

« J’étais effrayé. Je leur ai dit [la police] ce qu’il avait fait, et ils ont dit: «Eh bien, vous devez porter plainte. Nous ne pouvons rien faire.  »

« J’ai dit que j’avais peur, parce que vous ne savez pas à quoi ils ressemblent. Je leur ai donné un nom, mais rien n’a été fait », a déclaré la jeune femme.

À Rotherham, il y a eu 1 400 victimes d’exploitation sexuelle d’enfants depuis les années 1980, décrites comme «le plus grand scandale d’abus sexuels d’enfants de l’histoire du Royaume-Uni», et 92 personnes ont été condamnées.

Bannaras et Ash Hussain ont été condamnés et emprisonnés, mais Mme Williams et Mme Fuller savent que des agresseurs musulmans opèrent toujours dans la ville.

Mme Williams a déclaré à Channel 4: « Vous savez que ça se passe encore. Quand vous conduisez dans le centre-ville, vous voyez ces hommes dans leurs voitures avec des jeunes filles »

Source via Fdesouche.com

Grande-Bretagne. Une députée forcée de démissionner pour avoir dénoncé les Pakistanais coupables de viols sur des filles blanches.

Mi-août, la députée travailliste Sarah Champion a été contrainte de démissionner de son poste de secrétaire d'Etat pour les Femmes et l'égalité du cabinet fantôme de Jeremy Corbyn, après avoir écrit un article dans le Sun dans lequel elle affirmait que la «Grande-Bretagne a[vait] un problème avec les hommes britanniques d'origine pakistanaise qui viol[aient] et exploit[aient] des filles blanches».

Sarah Champion

Sarah Champion

Elle concluait son papier par un appel au gouvernement à enquêter sur les raisons qui poussent tant d'hommes partageant le même héritage culturel derrière les barreaux, après avoir abusé sexuellement de jeunes filles.

Jugeant ces propos inappropriés, le chef du parti travailliste lui avait demandé de quitter son cabinet fantôme, selon le Telegraph.

La députée Naz Shah, avait à cette occasion écrit une lettre ouverte au Sun, critiquant des articles qu'elle estimait islamophobes.

Source et article complet

Grande-Bretagne. Abus sexuels à Newcastle: « Les blanches ne servent qu’à une chose »

L’affaire est choquante. Un « sex gang » composé par des hommes « asiatiques » originaires du Pakistan, du Bangladesh, d’Iran, d’Iraq, de Turquie et d’Inde, ainsi que par la copine blanche d’un de ceux-ci, aurait abusé de dizaines de jeunes filles dans la ville anglaise de Newcastle-upon-Tyne.

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Le modus operandi était toujours le meme: ils fournissaient de nombreux produits stupéfiants à leurs victimes, comme cocaine, cannabis, alcool ou méphedrone, pour ensuite abuser d’elles pendant des orgies collectives connues comme « sessions ».

La police du conté de Northumbria parle d’au moins 108 victimes potentielles.

L’un des criminels, Badrun Hussein (37 ans), avait en précédence déclaré: « Toutes les filles blanches ne servent qu’à une chose. Ensuite, il faut les jeter comme des déchets. C’est tout ce qu’elles méritent »

Ceci est le septième scandale de nature sexuelle qui a frappé le Royaume-Uni, après notamment ceux de Rotherham, Oxford, Rochdale et Bristol, tous très similaires entre eux. (…)

DailyMail via Fdesouche.com

Birmingham : une fille de 15 ans violée deux fois par deux Pakistanais différents à quelques minutes d’intervalle

Une fille de 15 ans a été violée deux fois, la première fois dans un coin sombre de la gare de Witton à Birmingham, puis une seconde fois peu après à l’extérieur de la gare en tentant d’arrêter une voiture, pour rentrer chez elle, suite au premier viol.

Le premier agresseur est typé Pakistanais, peau claire, yeux marrons, fin, 1m80.

Le second également typé Pakistanais, la vingtaine, 1m70, trapu et barbu.

Daily Mail

Zurich: Le Pakistanais violait sa femme et menaçait de la tuer. Il bénéficiait de notre AI.

La justice zurichoise a condamné un Pakistanais à 32 mois de prison pour avoir violé son épouse à plusieurs reprises.

(...)

Le Pakistanais de 52 ans vivait en Suisse depuis 1998 et percevant une rente AI depuis 2004.

A plusieurs reprises, il aurait aussi menacé de la tuer, écrit le quotidien alémanique. Il aurait dit à ses proches qu'en cas de meurtre il ne pourra pas être tenu pour responsable de ses actes parce qu'il souffre d'une maladie psychique.

Source

Grande-Bretagne: Les Pakistanaises se marient avec leurs cousins. Ces mariages génèrent 30% des maladies génétiques au Royaume-Uni.

Rappel:

Pour éviter la «consanguinité», le ministre des Finances allemand vante l’ouverture des frontières

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Les jeunes Pakistanaises britanniques se préparent à marier leurs cousins afin de garder leurs familles heureuses mais cela risque de donner naissance à des enfants handicapés.

  • Trois documentaires de la BBC: Devrais-je me marrier avec mon cousin? Suivons Hiba, 18 ans
  • Elle cherche à découvrir si elle doit suivre sa tradition familiale
  • Hiba parle avec ses parents ainsi que deux soeurs au sujet de leur mariage
  • Elles épousent leurs propres cousins ​​lors d'une double cérémonie
  • Hiba examine l'étude "Born in Bradford", qui est une analyse à long terme sur 13'500 enfants nés en 2007 dont la santé est suivie
  • Préoccupée par les problèmes génétiques potentiels lorsque des enfants sont issus d'un mariage entre cousins, l'étude choque Hiba qui choisit de ne pas épouser son propre parent

Cela peut être sujet à controverse, mais il est légal de se marier avec son cousin au Royaume-Uni.

Et pour les Pakistanais britanniques, la pratique est courante: environ 55% d'entre eux le font.

Pour certaines filles musulmanes, c'est un arrangement qu'elles acceptent, afin de garder leurs familles heureuses.

(...)

Un rapport récent a révélé que, alors que les Pakistanais britanniques sont responsables de 3% de toutes les naissances, ils représentaient 30 pour cent des enfants britanniques nés avec une maladie génétique.

(...)

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

Suisse: Une Zurichoise de 56 devait se marier avec un migrant Pakistanais de 26 ans. Il devient violent et l’abandonne. “Une bonne femme ne doit ni penser ni parler.”

C'est fini! Barbara Schwager (56 an) ne peut toujours pas y croire.

Elle et Nadeem Akram (26 ans) voulaient se marier à la fin de l'été. A présent, son petit ami est parti. La Zurichoise est seule dans leur nid d'amour à San Giovanni Valdarno (Italie). « Je suis découragée », déclare-t-elle.

« Il était méchant avec moi et m'a même frappée au visage », a-t-elle déclaré au Blick. Nadeem a montré son véritable visage en Italie « Il a dit: Une bonne femme ne doit ni penser ni parler. Et il m'a insultée, il était coléreux ou il m'abandonnait - il disparaissait durant des heures, sans dire où il allait.»

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Nadeem commence à boire

Nadeem interrompt le mois de jeûne du Ramada et commence à boire, il est violent. « J'ai vraiment commencé à avoir peur de lui. Il ne semblait plus dans un état normal « , déclare Barbara Schwager.

Lorsque la secrétaire a dû aller à l'hôpital en raison d'une hernie discale, il ne l'a pas accompagnée. « Cela m'a fait mal. » Nadeem ne l'aidait plus. En outre, il ne cherchait pas d'emploi. « Je devais payer pour tout. Aux douleurs dans le dos s'ajoutait encore la douleur du coeur".

Mais Barbara Schwager n'a pas non plus d'argent. « Les Pakistanais ne se marient pas pour l'amour, m'a-t-on dit » déclare Barbara Schwager. « Maintenant, je sais que c'est ainsi. »

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Grande-Bretagne: la police interdisait aux victimes de mentionner l’origine pakistanaise des violeurs

Dimanche, l’une des survivantes des gangs de violeurs de Rotherham témoignait à la BBC. Violée à partir de l’âge de 12 ans, et après pendant plusieurs années, elle rapporte encore une fois l’inaction flagrante et assumée des services sociaux et de police. Pire, elle révèle qu’ils lui interdisaient de mentionner l’origine ethnique des assaillants… pakistanais.

La suspicion de racisme prévaut sur tout dommage, si profond et dramatique soit-il. Sans compter les arrangements électoralistes : le succès du Parti travailliste à Rotherham dépend depuis longtemps du vote « asiatique », comme on dit au Royaume-Uni – entendez d’Asie centrale…

« Spécifiquement invitée à ne pas commenter » le fait qu’ils étaient pakistanais…

Emma a raconté son calvaire dans cette émission de la BBC. On peine à croire tant d’horreur, surtout qu’il fut le même et qu’il l’est encore pour un nombre affolant de toute jeunes filles : le rapport du professeur Alexis Jay révélait déjà en 2014 qu’au moins 1.400 filles, majoritairement blanches de 11 à 16 ans ont été torturées et exploitées sexuellement à Rotherham entre 1997 et 2013, par ces immigrés pakistanais.

Et dans cette ancienne ville minière du nord de l’Angleterre, l’impératif des forces de sécurité n’était pas la préservation des habitants, mais la sauvegarde de l’impératif politiquement correct : interdit de mentionner l’origine ethnique des supposés assaillants, des supposés violeurs, des supposés criminels… ! Emma a rapporté à la BBC qu’elle y avait été « spécifiquement invitée ».

« J’ai effectivement signalé ces abus il y a 14 ans. Je suis allé aux autorités, mes parents l’ont fait. Je me suis assise et j’ai donné des interviews vidéo avec la police, j’étais prête à travailler avec eux. Mais aussitôt que j’ai dit les noms, c’était comme si j’étais raciste et que c’était moi qui étais le problème. » A plusieurs reprises, on l’engage fermement à ne pas mentionner leur race. « Je savais que je n’étais pas raciste, mais j’avais l’impression que cela servait à me faire taire.

Les milliers de viols de Rotherham

Souvenons-nous, même Andrew Norfolk, le journaliste du Times qui, dès 2011, a dévoilé l’affaire, a été accusé de viser injustement la minorité pakistanaise.

Idem pour l’investigatrice en lien avec la cellule d’aide aux victimes d’exploitation sexuelle « Risky Business », envoyée pour cette affaire au Conseil municipal de Rotherham par le ministère de l’Intérieur en 2002 : elle a raconté de façon anonyme sur BBC Panorama qu’elle avait été sommée de ne « jamais » mentionner le fait que l’immense majorité des agresseurs étaient des hommes « Asian », c’est-à-dire d’Asie centrale.

Le Conseil municipal a essayé de lui faire modifier les écrits de son rapport et menacé en vain de la limoger. Des policiers lui ont même promis de communiquer son adresse aux agresseurs… On l’invita à suivre des cours de sensibilisation à la diversité…

La police complice d’un crime politiquement correct ?

Vraisemblablement, il faut davantage écouter la voix du procureur Nazir Afzal, magistrat de la Couronne, musulman et plus haut magistrat d’origine… pakistanaise du royaume. Qui déclarait au Guardian : « On ne devrait pas stigmatiser une communauté tout entière à cause de quelques dizaines de criminels issus de cette communauté, dans son ensemble respectueuse des lois ».

Il affirme que le vrai problème est celui de la domination masculine. Il a en ce point parfaitement raison, sauf que ce machisme paroxystique est particulièrement lié en l’occurrence, non pas à une race, mais bien à une religion et une culture, les deux se mêlant…

Le témoignage du plus jeune frère de l’un des tortionnaires dans une interview récente à la BBC, est à ce titre emblématique : « Mon frère n’est pas un monstre. Ces jeunes filles, habillées en minijupes, vont en boîtes de nuit (…), et le lendemain matin, elles se réveillent en criant au viol ou à la manipulation psychique ». Traduisez : ce sont des blanches de culture occidentale et elles se plaignent de se faire violer.

Le phénomène du « grooming » : de Mohammed à Asif…

« Ce sont des choses qui arrivent », avait répondu la police à la mère de Lizzie qui avait découvert sa fille en train de se faire violer sur un terrain de sport… Emma, elle, avait 13 ans lors de son premier viol, par ce « prince » de 20 ans passés qu’elle trouvait beau et gentil, qui lui offrait des cadeaux. Chaque semaine, il revenait à la charge, puis ce furent les tournantes, avec l’alcool et la drogue, les menaces, les chantages… Un schéma désormais classique, appelé « grooming » par les psychiatres : « Je ne pouvais pas m’enfuir ».

Les jugements ont fini heureusement par se succéder. 18 personnes ont été emprisonnées pour des infractions sexuelles infantiles entre 1999 et 2001, avec des peines totalisant plus de 280 ans. Et les noms sont sortis, de Mohammed à Asif…

L’Agence nationale pour la criminalité (NCA) a repris aujourd’hui toutes les enquêtes – des centaines de personnes sont encore potentiellement suspectes. Car tout continue, « Je l’ai constaté moi-même » disait l’avocat David Greenwood, qui défend aujourd’hui trente-quatre des victimes. De plus, « J’ai une forte présomption de relations corrompues entre police et agresseurs. Par ailleurs, j’ai entendu dire que le succès du Parti travailliste à Rotherham, aux élections, dépend du vote « asiatique ». Beaucoup, ici, pensent que les criminels sont ou étaient liés à des politiciens locaux »…

Clémentine Jallais pour Reinformation.tv Via Contre-info.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

Grande-Bretagne: Un autre gang de pédophiles pakistanais condamné.

Cinq hommes principalement musulmans de Rotherham, dont trois frères, ont été reconnus coupables de soumettre durant deux ans deux jeunes filles à des abus sexuels violents, incluant le viol et la séquestration.

Matloob Hussain, Mohammed Sadiq, et les frères Basharat, Nasser et Tayab Papa, ont été reconnus coupables de 21 infractions sexuelles à la Cours d'Assise de Sheffield.

Leurs infractions remontent à la fin des années 1990 et au début des années 2000 quand les filles ont reçu l'alcool et du cannabis et ont été intimidées afin d'exécuter des actes sexuels.

L'inspecteur en chef Martin Tate, qui a supervisé l'enquête, a déclaré dans un communiqué: «La cour a entendu les témoignages poignants de deux femmes très courageuses dont l'enfance a été volée par ces hommes.

"Elles ont été ciblées, systématiquement conditionnées et soumises à des abus sexuels horribles alors qu'elles étaient des jeunes filles vulnérables, à l'aube de leur adolescence.

"Aucun enfant ne devrait jamais avoir à vivre ce que ces femmes ont dû endurer (...).

En 2014, le rapport du gouvernement Jay a constaté que plus de 1200 filles de Rotherham avaient été violées, victimes de trafics, et abusées par des gangs principalement musulmans. Le rapport a conclu que les agressions avaient pu se poursuivre pendant une dizaine d'années car les autorités craignaient les accusations de racisme.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch