Bretagne : la “bataille du rail” pour des écolos masqués

La France ressemble désormais à certains pays du tiers monde, avec des actions de plus en plus violentes. Samedi matin, en quelques minutes, près de Pontivy dans le Morbihan (56), un groupe de personnes – les médias locaux évoquent une cinquantaine de participants – du collectif « Bretagne contre les fermes-usines » soutenu par le mouvement Extinction Rebellion s’en est pris à un train livrant des céréales. Le chargement était destiné à une usine de fabrication d’aliments pour animaux du groupe Sanders. "Environ 1 500 tonnes de céréales ont été ainsi détruites" estiment nos confère de l'action agricole Picarde. Et d'ajouter "La justice doit passer"..

Un braquage à l'ancienne, avec construction d'un mur d'agglos sur la voie pour bloquer le train. Un braquage de cérales dans un pays où les habitants n'ont jamais connu la faim...

En détruisant 1500 tonnes de grains de blé, soit l'équivalent de 6 millions de baguettes de pain pour nourrir les gens, les réactions d’indignation ont été nombreuses. Parmi elles, celle d’Intercéréales, l’interprofession des céréales, qui condamne cette opération« intolérable » en ces termes: « Alors même que le monde mesure jour après jour les conséquences de la guerre en Ukraine sur les risques d’approvisionnement en céréales. Alors même que la FAO s’inquiète sur la capacité de de nombreux pays à nourrir leurs populations dans les prochains mois. Alors même que les éleveurs français ont besoin d’aides d’urgence afin de pouvoir continuer à nourrir leurs animaux. La filière céréalière française dénonce une action intolérable et alerte sur les conséquences que pourraient avoir ce type d’actions sur les consommateurs français, ainsi que sur les populations des pays pour lesquels l’approvisionnement en blé est vital ». Les citoyens français partagent, dans leur ensemble cette indignation.

Cette action, revendiquée par le groupe écologiste  “Bretagne contre les fermes-usines” et l'association anti-élevage “Extinction Rebellion France”, porte un coup à la campagne présidentielle de Yannick Jadot et décrédibilise le camp des verts et leurs belles paroles. Car ces gens là critiquent tout, mais ne proposent pas de solution pour nourrir 70 millions de Français, et bientôt 10 milliards de gens sur terre.

Ces militants nantis critiquent le système “ productiviste” , "l'agro-industrie“ et les ” fermes usines " , qui nourrissent chaque jour les populations, et qui constituent l'exception en France. Car la quasi majorité des exploitations françaises sont plus “petites” que dans beaucoup de pays en Europe et dans le monde. L'Agriculture française a des productions extrêmement variées et assure à la fois les débouchés industriels, locaux et de proximité, aux choix des consommateurs.

La rédaction de Riposte Laïque s'associe à tous les agriculteurs pour dire "honte à ce gâchis !" quelles qu'en soient les raisons évoquées, et demande à la justice de retrouver les auteurs et de les condamner sévèrement, en utilisant les textes du code pénal réprimant le banditisme en bande organisée. Car cette "bataille du rail" (1) moderne est intolérable et relève de l'imposture.

https://www.sudouest.fr/economie/agriculture/agriculture-un-train-de-cereales-arrete-par-des-manifestants-en-bretagne-10215275.php

https://www.lemonde.fr/.../dix-chiffres-cles-sur-l...https://www.ouest-france.fr/.../la-ferme-france-compte...

Qui sont ces braqueurs d'un nouveau genre ? A première vue des écolo qui n'ont pas la valeur de l'argent et du travail des agris, des personnes qui souhaitent détruire le travail des autres... Encouragés par un Yannick Jadot qui profite d'indemnités et de salaires démesurés en tant que député européen.

Quel dégoût que cette rébellion, d'un autre âge, déversant 1500 tonnes de céréales sur les voies ferrées soit l'équivalent de 6 millions de baguettes de pain, alors qu'une partie de l'humanité crève de faim et que nombre de retraités français font les poubelles pour survivre, pressés comme des citrons par le système Macron.

Face à ce préjudice financier de 2 millions d'euros, l'interprofession des céréales a demandé une réunion en urgence avec le gouvernement.

L'enquête de flagrant délit, conduite par les gendarmes, a déjà permis d'identifier certains acteurs de cette attaque de train, selon une source proche du dossier, jointe par téléphone. Certains militants pensaient que les wagons contenaient du soja. Faut vraiment être écolo pour confondre soja et blé.

 

(1) La Bataille du rail est un film français de René Clément, sorti en 1946 . Ce film retrace la résistance des cheminots français pendant la Seconde Guerre mondiale et leurs efforts (sabotage des trains et des voies) pour perturber la circulation des trains pendant l' occupation nazie.

Pour son film, René Clément avait fait du repérage sur la ligne de Guingamp à Lannion dès la fin de 1944. Le tournage a lieu de début avril à septembre 1945 entre les communes de Plouaret, Trégrom, Lannion, Guingamp et la gare de Saint-Brieuc . De nombreuses scènes sont également tournées à Château-du-Loir dans la Sarthe et Dissay-sous-Courcillon (Gare de Saint-André).

 

Pourquoi la justice est-elle devenue si laxiste?

Sur-féminisation des métiers de la justice : quelle est la proportion de femmes juges ?

https://www.youtube.com/watch?v=iX7U7TpEpQo

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voir aussi:

A Genève, les femmes ont (presque) conquis le pouvoir judiciaire

Égalité

Première juge du canton, Gisèle Gampert-Péquignot, décédée début février, a ouvert la voie à une féminisation de l’institution. Aujourd’hui, une majorité des postes de titulaires sont occupés par des magistrates. Retour sur l’histoire et les raisons de cette progression [...]

article complet: https://www.letemps.ch/suisse/geneve-femmes-ont-presque-conquis-pouvoir-judiciaire

France. Dupond-Moretti, nouveau ministre de la Justice : “Mon ministère sera celui de l’antiracisme et des droits de l’Homme”

Le nouveau ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti a assuré "à toute la famille judiciaire" qu'il serait le garde des Sceaux "du dialogue" et qu'il ne ferait "de guerre à personne", mardi lors de la passation de pouvoir avec sa prédécesseure Nicole Belloubet.

 

https://www.youtube.com/watch?v=Y-U0L8ExyPQ

 

« Je serai un garde des Sceaux de sang-mêlé, promet ce fils d'émigrée italienne. Je serai celui de l'antiracisme et des droits de l'homme. » Vaste programme.

Leparisien.fr / Dhnet.be

Vaud : Punir le deal plus durement? Le gouvernement dit non

Le Ministère public critique l’idée de sanctionner plus durement les petits dealers car les grosses ventes ont lieu en privé.

[...]

En résumé, estime le Ministère public, «l’initiative ne concerne que la «partie émergée de l’iceberg» que constitue le deal de rue».

La peine plancher prévue par l’initiative serait en outre contraire à l’esprit du système des sanctions suisses.

[...]

24heures.ch

Nos remerciements à Patrick Lambert

Agriculteur maintenu en taule, violeur africain libéré : super, la justice

 11 février 2020 - par , policier

Voilà un moment que je n’avais pas poussé une gueulante… mais là je n’y tiens plus.

Je lis sur le site Fdesouche qu’un agriculteur est maintenu en prison, sur décision du juge des libertés, alors qu’il a un domicile, un travail, une adresse, et donc une certitude de représentation au tribunal, puisque ce sont les critères essentiels de décisions de remise en liberté ou pas.

De plus, cet agriculteur n’a fait que défendre son bien ; il n’a pas tué conformément au Code pénal et à l’article sur la légitime défense des biens… Il a tiré sur un voleur de carburant.

Sachant bien évidemment que cela faisait plusieurs fois que cet agriculteur était volé… comme d’autres dans la commune ou la région, manifestement. Mais là, on en était quand même à 7 000 euros de préjudice, et chaque fois qu’il appelait les autorités, celles-ci mettaient une demi-heure à arriver, vu que dans la France rurale, on a fermé plein de commissariats et de gendarmeries !

Bref, ce brave paysan, qui doit faire tourner une entreprise agricole, est maintenu en prison sur la seule décision d’un juge… cette caste qui décide de la vie d’un homme, sans jamais avoir de compte à rendre à personne.

Cette caste qui laisse en liberté des dealers, des voleurs, des escrocs, des salopards, archi-connus de la police, mais qui laisse en prison un brave paysan… qui a eu le malheur de tirer sur un membre de la communauté des gens du voyages… en gros, un manouche.

Cette même communauté, parfaitement intégrée à la vie sociale de notre pays, dont les membres sont, comme chacun sait, des gens très honnêtes, courtois, gentils et serviables, qui payent des impôts et règlent leur charges sociales. Ces braves voyageurs qui génèrent une bonne partie de la délinquance des lieux où ils s’installent et autour. Ceux-là mêmes qui se permettent de bloquer des routes, après avoir tronçonné des arbres, juste parce que l’un d’eux n’a pas eu le droit de sortir de prison pour aller à l’enterrement de son père. Mais qu’on ne touche pas, surtout pas, car c’est pire après.

Ces mêmes personnes pour qui il faut aujourd’hui tout un bataillon de gendarmes afin d’interpeller un seul de ses membres. Bref des braves gens…

Donc on laisse en prison un travailleur, qui a défendu son outil de travail contre des exactions d’un membre d’une communauté de nuisibles patentés… Ouah ! super, la justice !

Alors laissez-moi vous narrer une petite histoire.

Le 31 janvier 2020, la fille d’un ami, lesbienne, jolie, jeune, faisait une petite fête avec des copains à Paris.

Elle a été violée dans un bar, puis dehors, après qu’un salopard de prédateur lui a mis un produit dans son verre.

Elle a déposé plainte.

Inutile de vous dire que quand elle s’est retrouvée seule, perdue, en pleurs dans les rues de la capitale, aucun de ces connards de bons Français, bien-pensants, ne lui a porté secours ni prêté son portable pour qu’elle appelle son père. Non, ces Parisiens de merde l’ont laissée se démerder seule !

Les policiers, et là, n’en déplaise à Schiappa ou Belloubet, ont reçu avec compassion, écoute et humanité, cette jeune femme.

L’espèce de salopard qui a violé cette jeune fille a été interpellé au bout d’une semaine !

Son ADN a été confronté avec celui relevé sur la victime.

Bien évidemment, je ne vous donne pas l’origine ethnique de cette crevure, mais sachez qu’il n’est pas blanc. Disons qu’il est plutôt africain même…

Et bien sachez, chers amis, que les juges ont décidé de laisser cette ordure en liberté, parce que c’était la première fois qu’il faisait cela. Ou du moins la première fois qu’il était attrapé.

Alors oui, il est sous contrôle judiciaire. Mais qu’est-ce qui dit au juge que ce connard ne va pas rentrer au pays, et ne jamais revenir ? Rien.

Alors, vous voyez, même si je ne porte hélas plus beaucoup les flics dans mon cœur depuis ce qu’ils ont osé faire aux GJ, et surtout depuis qu’on leur a retiré leur cerveau et leur libre arbitre pour 50 euros de plus par mois, il y a bien une caste que je déteste de toute mon âme : ce sont les juges !

Hugh !

Géronimo

source:

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Nous avons des juges fabuleux, quelques exemples

Pierre Cassen, à travers quelques exemples parlants, se livre à un réquisitoire impitoyable contre nombre de juges, et la Garde des Sceaux, Nicole Belloubet. https://www.ripostelaique.com

France. Lyon : un dealer ressort libre du tribunal avec une forte somme en liquide dans ses poches.

Un dealer notoire, a dû être relâché malgré les preuves matérielles à son encontre, emportant une forte somme en liquide dans ses poches.

Un homme d'une vingtaine d'années, pourtant interpellé en bonne et due forme dans une rue de Décines, la grande banlieue lyonnaise. Au cours d'un contrôle, au petit matin, les policiers trouvent dans l'une de ses poches, une liasse de billets. Soigneusement enveloppés dans la cellophane : 9.400 euros en petites coupures.

L'homme balbutie quelques vagues explications. Perquisition dans son studio, découverte de l'arsenal du parfait petit dealer. Un pain de résine de cannabis et 60 grammes d'héroïne conditionnés en sachets, manifestement prêts à la vente. Interpellation en plein trafic. Jolie prise, car l'individu est effectivement connu pour être l'un des revendeurs les plus actifs du secteur.

Sauf qu'en comparution immédiate tout s'effondre. Certains procès verbaux n'ont pas été versés au dossier. Vice de forme. Du coup, le dealer est ressorti libre. Avec, en prime, la restitution de ses 9.400 euros qu'il n'avait pourtant pas vraiment gagné à la sueur de son front. Je vous laisse imaginer la tête des policiers.

Source

Nos remerciements à fred

JUSTICE française : rustines, bricolages, vrais problèmes

 

 

Par Xavier Raufer

1- L'état présent de la Justice est-il suffisamment prise en compte par le chef de l'Etat dans ses propositions ?

Débutons par la question qui engage l'avenir. En 1972, paraissait le "Rapport" de Pierre Arpaillange. Figure de l'ordre judiciaire, il en occupa tous les grands postes - Garde des Sceaux y compris - Arpaillange adresse à son ministre, voici 46 ans, un texte majeur "Pour une réforme d'ensemble de la justice pénale". On y lit ceci : "La sanction pénale est censée à la fois punir, intimider, éliminer ou neutraliser au moins provisoirement, amender et resocialiser le délinquant, tout en exerçant un effet de dissuasion sur d'éventuels imitateurs. Ces diverses fonctions ne sont en réalité guère compatibles ; Les tribunaux prononcent des mesures, bien souvent ni intimidantes, ni rééducatrices. Les tribunaux n’osent plus punir, n’ont pas les moyens de traiter : ce mélange des genres rend l’intervention judiciaire équivoque, parfois aberrante et finalement peu efficace…".

Presque cinquante ans après, rien n'a changé - même après les mesures du président Macron. Toujours et encore, la justice fait du sur-place. Car au-delà des rustines et autres bricolages, son problème fondamental, celui de la philosophie du droit dans notre société, n'est jamais abordé ; n'est pas poussé par une vision d'abord, une décision, ensuite. Car gouverner c'est prévoir mais surtout, décider. Martin Heidegger prévient ici celui qui élude, ne décide pas : "Les décisions ne s'obtiennent pas du fait de discourir à leur sujet, mais du fait qu'est créée une situation et sont appliquées des dispositions rendant la décision inéluctable, où toute tentative pour l'éluder revient en fait à la décision la plus grave"

Or la pénitentiaire est au bout du processus judiciaire et accumule donc les retards, manques et dysfonctionnements. Après 60 ans de Ve République, dans la France de 2018, la pénitentiaire c'est ceci :

- Nombre de détenus par surveillant : France (2017) 28 000 surveillants pour quelque 69 000 détenus, calcul simple à faire : 2.46 - au niveau de la Pologne, Roumanie ou Bulgarie,

- Nombre de détenus pour 100 places en cellule France (2015) 113,4/100 au niveau (lisez bien) de la Moldavie et de l'Albanie.

D'où, des prisons-passoires ou l'on a confisqué (1e semestre 2017) 19 400 portables et accessoires pour 69 000 détenus ; d'où aussi, des prisons où, disent les syndicalistes "la violence physique devient toujours plus fréquente" : homicides, prises d'otages, agressions - en 2017, 11 surveillants attaqués par jour.

Et des aberrations. En voici une parmi cent autres. En juin 2017, Kamal K. poignarde un agriculteur du Tarn-et-Garonne en criant Allah Akbar ! l'homme est radicalisé, fiché S, assigné à résidence pour "détention de propagande djihadiste". Or il est libéré en janvier 2018, avant même toute confrontation devant le juge d'instruction. Au fou !

D'où enfin, une justice à la sauvette ou l'on dévalue les sanctions, faute de moyens., Dans les compte-rendu d'audiences, on lit chaque jour ceci : "ces deux crimes auraient dû être jugés par une cour d'assises, mais pour rendre plus vite la justice, ils ont été correctionnalisés" ; ou "Initialement qualifiés de vols à main armée, crime passible des assises, les braquages ont été requalifiés en vol avec violence (délit)". Ainsi, le vrai problème de la justice n'est pas celui du nombre de places en prison, c'est la constante et sournoise pratique de balayer la poussière sous le tapis.

2- Après les annonces d'Emmanuel Macron sur la refondation pénale, le syndicat de la magistrature dénonce un recul et à droite, Eric Ciotti dit "Emmanuel Macron fait du Taubira, il se trompe, on est dans l'artifice" "Aujourd'hui la société est toujours plus violente, chaque jours 600 agressions, 700 cambriolages (...) Après ce plan il y aura moins de gens en prison, et plus de délinquants purgeant leur peine chez eux, ou en liberté". Comment faire la part des choses sur ces annonces ?

Faire la part des choses consiste d'abord à évaluer le réel. A se demander qui sont les criminels ? Où sont-ils sur le territoire et quels crimes commettent-ils ? Deuxième étape - pas toujours simple - est d'avoir en temps et heure les bons chiffres. A combiner ces deux paramètres, on réalise que supprimer les peines d'un mois libère moins de 400 places par an en prison ; même, supprimer la prison pour toute peine d'un an ne libère qu'environ 10 000 places (en stock). Or la surpopulation carcérale n'est pas conjoncturelle, mais structurelle.

N'oublions pas l'autre stock, lui plus important, des peines en attente d'exécution (condamnés à la prison ferme qui, faute de mandat de dépôt, attendent libres qu'on les incarcère ou aménage leur peine). Combien y en a-t-il vraiment ? Surtout : au delà du cours normal de la procédure pénale, combien d'individus dangereux, de prédateurs, restent ainsi dans la nature ? Difficile à savoir.

Evitons enfin l'incantation et l'idéologie. Voici peu, un brave aumônier de prison a ressorti le cliché du "tout carcéral". Rappelons au saint homme qu'en moyenne, les Etats de l'Union européenne comptent 115,5, détenus pour 100 000 habitants (dernières données disponibles). La France, elle, n'en compte que 98,3/100 000. Pas le goulag, quand même.

3 - Sécurité, taux d'occupation des prisons, : comment le dossier de personnalité pourrait-il être utile ? Quel contenu pour que cette mesure soit efficace ?

L'idée est bonne, si ce dossier n'est pas un recueil des âneries et bienséances de la "culture de l'excuse", mais, inclut plutôt les concepts de la criminologie contemporaine, tel celui de "prédateur violent", individu alcoolique, toxicomane et perturbé, plus brutal et violent que la moyenne, à neutraliser autant que la loi le permet. Ce pour protéger la population : voir le rapport Arpaillange "neutraliser au moins provisoirement".

Là encore, comment agir intelligemment, en prenant le temps de réfléchir, avec des tribunaux au personnel squelettique et noyés sous les dossiers ? Récemment, le tribunal de Rennes crie à l'abandon. A minima, il lui manque sur le champ 30 postes : de ce fait, tout acte de justice y subit des retards immenses. Par dessus le marché désormais, les dossiers de personnalité. Comment feront dans le concret ces magistrats submergés ? //

Xavier Raufer

La Weltwoche relate plusieurs cas d’aveuglement judiciaire et politique en Suisse.

La Weltwoche relate plusieurs cas d'aveuglement judiciaire et politique en Suisse

Dans sa nouvelle édition, la Weltwoche fait part de trois cas particulièrement révoltants d'une mansuétude exagérée à l'égard de criminels. Ceux-ci sont non seulement traités de manière fort lâche par la justice, au détriment des intérêts de leurs victimes, mais certaines autorités politiques prennent encore leur défense. Il s'agit de l'affaire d'une agression sauvage commise en Argovie par des ressortissants de Saint-Domingue, du cas de l'écolier musulman qui avait terrorisé son école de Schaffhouse et finalement de la protection politique dont profite la fameuse "Reitschule" de Berne.

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/er-lacht-ueber-die-schweizer-gesetze-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/wegschauen-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/krieg-spielen-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

Résumé (Claude Haenggli):

Trois ressortissants de la République dominicaine ont pénétré lors d'une nuit de juin 2014 dans l'appartement d'un Argovien de 55 ans. Ils étaient à la recherche de cocaïne. Les deux hommes maîtrisèrent leur victime avec un appareil à électrochocs et lui infligèrent treize coups de couteau, le blessant grièvement au ventre et au foie. En 2016, ils ont été condamnés par le tribunal de Baden à plusieurs années de prison. Quelle ne fut pas la surprise de la victime de rencontrer récemment l'un des agresseurs en liberté. Il s'avère en effet que tous les trois, qui avaient fait recours contre leur condamnation, ont été libérés sans que le procureur ayant été chargé du cas soit informé. De plus, ils bénéficient toujours de l'aide sociale et ne seront pas expulsés de Suisse.

L'écolier musulman de 17 ans, qui à Schaffhouse terrorisait les autres élèves et avait menacé d'éventrer sa maîtresse de classe avec un couteau qu'il arborait fièrement, bénéficie maintenant d'articles minimisant son cas dans des publications de gauche zuricoises. Un premier article a paru dans le supplément de fin de semaine publié par la maison d'édition qui possède les principaux journaux de l'arc lémanique, le Tages-Anzeiger. Il y est prétendu sur plusieurs pages qu'il ne s'était rien passé de spécial et que cette affaire avait été volontairement montée en épingle par des politiciens et des journalistes de droite. La Woz, hebdomadaire d'extrême-gauche, présente de son côté l'écolier, à qui il avait même été permis de prier selon le rite musulman dans le bureau du directeur de l'école, comme une "victime de journalistes avides de popularité". L'auteur de l'article de la Woz travaille pour la Schaffhauser AZ, organe du parti socialisteLa présidente de la commisision scolaire est aussi membre de ce parti.

Contrairement à l'esprit de la convention qui la lie à la ville de Berne et qui lui permet de toucher des subventions comme lieu de culture, la "Reitschule" a été fermée pendant la fin de semaine durant laquelle s'est tenue la réunion du G-20 à Hambourg. Ceci pour permettre aux activistes d'extrême-gauche qui l'habitent de participer aux émeutes qui s'y sont déroulées et pour laquelle cette "mosquée des prédicateurs de haine" a fait une propagande effrénée. Mais cela n'a eu aucune conséquence, car cette institution, qui n'est pas fréquentée par des prolétaires, mais surtout par des rejetons de familles bien situées financièrement, est protégée par les politiciens de gauche qui gouvernent la ville fédérale.

Claude Haenggli, 15.7.2017

Le conseiller national Jean-Luc Addor devant la justice pour des tweets anti-islam

 

«On en redemande!» Trois ans après sa diffusion, ce commentaire de Jean-Luc Addor amène le conseiller national sur le banc des accusés. Poursuivi pour discrimination raciale, le ténor de l’UDC valaisanne sera jugé mardi 23 mai au Tribunal du district de Sion.[…]

La petite phrase incriminée faisait suite à une information de 20minutes.ch, relatant une fusillade mortelle survenue dans une mosquée de Saint-Gall le 22 août 2014. Très réactif sur les réseaux sociaux, Jean-Luc Addor partage l’article en question sur Twitter et Facebook, en y ajoutant son point de vue lapidaire.[…]

Il affirme s’être exprimé au second degré. En écrivant «On en redemande!», il aurait ainsi voulu signifier: «Ca suffit!». Citant Platon dans nos colonnes, l’été dernier , Me Bonnant considérait l’ironie de son client comme une interrogation. «Par ses mots, il demandait: que faut-il encore qu’il advienne pour que nos politiques mettent un terme à cette violence, à cette subversion?»

Les dénonciateurs, en tout cas, n’ont pas perçu la moindre ironie dans le commentaire initial du parlementaire UDC. Il s’agit du Conseil central islamique de Suisse – soit l’organisation du très controversé Nicolas Blancho – et de l’association De la lumière à l’excellence, qui gère un lieu de culte musulman à Martigny.

C’est le procureur général adjoint du Canton du Valais, Jean-Pierre Greter, qui a mené l’instruction. L’acte d’accusation, dont nous avons obtenu copie, démontre qu’il a épluché les comptes Facebook et Twitter de Jean-Luc Addor.[…] Morceaux choisis: «Pour combattre l’islam, une seule ligne de défense: pas la laïcité, l’affirmation de nos convictions chrétiennes »(17 juin 2014). «L’islam est une saloperie soutenue par des salauds traîtres et collabos» (13 août 2014). Et quand il ne rédige pas lui-même ses diatribes, Me Addor partage des liens: «Haïr l’islam est un acte de salubrité mentale» (9 août 2014).

Pour le procureur Greter, pas de doute possible: les actes reprochés au prévenu sont constitutifs de discrimination raciale, infraction passible d’une peine maximale de trois ans de prison. […]

Via fdesouche

Suisse : condamné à 5 ans de prison, un Tunisien bénéficie d’une conditionnelle et braque les mêmes personnes

« Un couple a été agressé chez lui deux fois en quatre ans par le même criminel. Ce Tunisien de 37 ans est jugé depuis lundi. »

« Il avait été condamné à 5 ans et demi pour avoir cambriolé une villa de Collonge-Bellerive en 2011, mais, à peine sorti en conditionnelle, il a recommencé, allant jusqu’à retourner à la même adresse. Depuis lundi, un Tunisien répond notamment de deux home-jackings, commis à un mois d’intervalle, l’un en mars 2015 dans la maison d’une famille de cinq personnes à Corsier et l’autre en avril dans la propriété de Collonge, où se trouvaient un couple et deux employés.

Son butin, constitué de montres, de bijoux et d’argent, a été estimé à 170’000 francs. Dans les deux cas, le mode opératoire a été le même, comme l’ont détaillé ses victimes: encagoulé, le prévenu les a menacées avec une arme, puis s’est fait remettre leurs valeurs, avant de repartir avec un otage dans un de leurs véhicules. «J’ai tout de suite pensé à lui, a dit l’habitante de Collonge, dont la vie n’est plus la même depuis le premier braquage en 2011. Dès qu’il est arrivé, il m’a appelée par mon nom. Mais il devait être en prison à ce moment-là. Je me suis dit que c’était peut-être son frère, car il avait le même gabarit et la même manière de faire.»

Multirécidiviste, le prévenu a reconnu les faits. Il a expliqué devoir rembourser une dette auprès de membres du grand banditisme français. L’un d’eux lui aurait dit de retourner sur les lieux du cambriolage de 2011: «J’ai été bête, je me suis dit que je connaissais l’endroit.» »

« Outre les cambriolages, le prévenu est également sur le banc des accusés pour une menace de mort qu’il aurait proférée contre le directeur de la prison de Champ-Dollon, Constantin Franziskakis. En détention en 2015, il aurait déclaré vouloir «mettre une balle» au chef du pénitencier. Ce que l’accusé conteste, expliquant avoir plutôt parlé d’une «baffe». Le chef de la prison a rappelé que c’était la deuxième fois qu’il portait plainte personnellement contre le prévenu pour ce genre de menaces. »

20minutes Via Fdsouche.com

 

 

Suisse: Peu de bourreaux indemnisent leur victime

Les personnes battues, violées ou séquestrées reçoivent souvent à peine un tiers du montant obtenu pour tort moral.

Les personnes battues, violées ou séquestrées n'obtiennent que rarement la réparation à laquelle elles ont droit pour tort moral. Leurs bourreaux n'ont souvent pas les moyens de payer. Bon nombre de victimes reçoivent au final à peine un tiers du montant espéré.

Source et article complet

Une justice d’exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen

Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.

https://www.youtube.com/watch?v=3CW2T98hrLs

Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crument qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.

On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/27/la-saga-judiciaire-contre-moi-et-pierre-cassen-continue-de-plus-belle/

Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.

Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.

Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.

Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.

C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?

En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.

Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.

A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.

 

Christine Tasin et Pierre Cassen

La justice s’acharne contre Riposte Laïque et son fondateur Pierre Cassen

Ces procédures à répétition, doublées de perquisition dans le cadre de l'état d'urgence, remettent en cause la liberté d'informer.

Ce qui est excessif n'est plus crédible. La mise en examen par une juge d'instruction parisienne, hier après-midi de Pierre Cassen, fondateur du site d'informations en ligne "#Riposte laïque", suite à une vidéo postée par un contributeur, viole le droit de la presse. En effet, Pierre Cassen n'est plus directeur de la publication depuis quatre ans. La même #Justice Parisienne avait d'ailleurs condamné le directeur Suisse de la publication, Alain Jean-Mairet, en avril 2016, et des jugements contradictoires sont intervenus en matière de Justice avec Riposte Laïque condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon. Le harcèlement subi par cette association devant la 17ème chambre correctionnelle de Paris, et la condamnation, le 6 avril, de son éditeur Suisse ont d'ailleurs soulevé une levée de boucliers et d'indignations en Suisse où le député suisse Addor refuse que la justice française soit la police mondiale de la pensée.

Contacté par téléphone à sa sortie du cabinet de la juge d'instruction de Paris, Pierre Cassen, fondateur du site de réinformation "Riposte Laïque" confirme sa mise en examen : "Avec Christine Tassin, nous étions donc entendus ce matin par une juge d’instruction, suite à la plainte d’une association, qui se plaignait de la vidéo de Maxime sur le congrès musulman au cœur de l’Auvergne."Nos situations étaient différentes, puisque Christine ne conteste pas être directrice de publication, ce que moi je consteste. Donc, Christine a été mise en examen....".

Pierre Cassen victime d'un harcèlement judiciaire ?

Pierre Cassen déplore un acharnement de la justice et précise : "Pour moi, c’était différent. J’aurais pu garder le silence, mais dans ce cas, j’aurais été convoqué de nouveau, dans le mois qui suit. Donc, avec Maître Frédéric Pichon, on a retenu l’idée que cette fois, je réponde aux questions.

"En gros, bien que je ne sois plus président de RL depuis plus de 4 ans, bien qu’un jugement de mars 2013 l’ait confirmé, bien qu’Alain Jean-Mairet ait été condamné par la justice française pour sa responsabilité comme directeur de publication, à la même date que la publication de l’article de Maxime-Danielle, j’ai quand même été mis en examen, sous le prétexte que la perquisition effectuée montrerait que je suis le vrai chef de RL. D’abord, les preuves, sur ce que j’ai pu voir sur le dossier, sont loin d’être établies, mais en outre, le procès n’a pas encore eu lieu. Je croyais que nous étions dans un pays où la présomption d’innocence faisait loi. Sauf pour nous. Donc, mise en examen. et Maître Pichon, notre avocat, pense que la plainte des musulmans d'Auvergne est tellement mal rédigée qu’on peut obtenir un vice de procédure. J’en sais rien, espérons qu’il a raison...".

Riposte Laïque : Quatre convocations devant la justice d'ici le 1er mars

L'association Riposte Laïque, accusée par Alain Juppé de lui avoir fait perdre la primaire de la droite, estime "subir un véritable harcèlement de la part des dirigeants socialistes" et cite, pour corroborer ses propos les prochaines échéances. Il y a d'abord le 23 janvier avec un verdict du conseil d’Etat, suite à un différent avec Anne Hidalgo, maire PS de Paris. Il y a ensuite le 1 er février avec le verdict du procès, suite à un texte dénonçant les violences des migrants de Calais. Puis, le 9 février, il y a l'examen des recours engagés, suite à la condamnation d’Alain Jean-Mairet, l'actuel directeur de la publication. Enfin, la justice n'allait pas s'arrêter là. Le 1er mars, il y a le procès de Christine Tassin, suite à son propos « Islam assassin », prononcé lors d’un discours au Trocadéro, après les attentats meurtriers perpétrés par les terroristes de Daech-état islamique.

Le lecteur moyen ne peut que s'interroger sur cette dernière poursuite. Les moyens et temps mis en ouvre pour tenter de faire condamner Christine Tassin ou Pierre Cassen, qui, eux n'ont tué personne, ne devraient-ils pas être utilisés pour traquer les terroristes de Daech, qui préparent de nouveaux attentats sur notre sol ?

Francis Gruzelle

Justice : Riposte Laïque condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon

Les juges Lyonnais ont relaxé le célèbre site d'information en ligne Riposte Laïque et débouté X. de Guiran, directeur de maison d'enfants en Ardèche.

Le célèbre site d'information en ligne #Riposte laïque et son fondateur Pierre Cassen ont retrouvé le sourire en fin de semaine. En effet, après le harcèlement subi par cette association devant la 17 ème chambre correctionnelle de Paris, et la condamnation, le 6 avril, de son éditeur Suisse (ce qui a soulevé une levée de boucliers et d'indignations en Suisse où le député suisse Addor refuse que la justice française soit la police mondiale de la pensée), le tribunal correctionnel de Lyon a relaxé Riposte Laïque et un de ses contributeurs de toutes les poursuites engagées par un directeur de maison d'enfants de l'Ardèche.

Contrairement au 6 avril 2016, où la 17ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris avait condamné un citoyen suisse, Alain Jean-Mairet, en sa qualité de rédacteur responsable – à l’époque – du site d’informations Riposte Laïque, édité par Riposte Laïque Suisse, suite à un article écrit par un apostat Tunisien, le tribunal correctionnel Lyonnais a refusé de condamner l'association Riposte Laïque, qui prenait la défense de jeunes pensionnaires d'une maison d'enfants à caractère social de l'Ardèche. Dans un article publié en décembre 2015 et intitulé "orphelinat : la galère de Noël pour les enfants placés", l'association Riposte Laïque dénonçait un fait de société en Ardèche. Comme cela a été expliqué en audience publique devant le tribunal correctionnel de Lyon, le rédacteur de l'article s'est procuré les procès verbaux internes de la Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône. Dans ces documents, le directeur de l'établissement a consigné, année après année, les dysfonctionnements de Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône, notamment l'absence d'eau chaude dans les douches des jeunes pensionnaires pendant plus de deux ans. Sans faire effectuer les réparations nécessaires !

L'article incriminé reprenait de larges extraits des procès verbaux rédigés par le directeur Xavier de Guiran et s'indignait des conditions de vie infligées aux jeunes pensionnaires, placés en ces lieux par des juges des enfants, qui ne sont jamais venus sur place pour vérifier les conditions de vie. Le directeur Xavier de Guiran ajoutait même cette phrase laconique au bout de deux ans : "Les travaux n'ont pas suivi...".

Des jeunes pensionnaires privés d'eau chaude dans les douches pendant plus de deux ans

Furieux que les dysfonctionnements de Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône soient livrés sur la place publique, le directeurs de cette Maison d'enfants à caractère social avait assigné pour diffamation, via une citation directe, Riposte Laïque et l'auteur de l'article devant la 6 ème chambre de la Presse du tribunal correctionnel de Lyon. Au vu d'un dossier digne des "Misérables" de Victor Hugo, les juges Lyonnais ont reconnu le bien fondé de l'article incriminé et publié par Riposte Laïque, qui prenait la défense de tous les jeunes pensionnaires de Maison Pour Vivre, sans distinction de race, puisque cette structure accueille aussi 16 mineurs isolés étrangers. Selon Maître Didier Lacombe, l'un des avocats de la défense avec Maître Frédéric Pichon, "Je confirme que nous avons été relaxés des faits de la poursuite et que les plaignants ont été déboutés de l’intégralité de leurs demandes....".

Dans une France alarmée et tétanisée par le terrorisme, où le Ministre Urvoas se transforme en "moine-soldat" de l'anti-terrorisme, où beaucoup de citoyens se demandent si nos mesures anti-terrorisme constituent un arsenal législatif adapté , où six millions de citoyens vivent sous le seuil de pauvreté, le directeur de Maison Pour Vivre, Xavier de Guiran, aurait été bien inspiré de consacrer les milliers d'euros gaspillés en frais de #Justice et d'avocats au confort quotidien des jeunes pensionnaires de la structure. Car les sommes allouées à cet établissement par les pouvoirs publics sont uniquement destinées aux jeunes pensionnaires et aux salaires des dévoués éducateurs.

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Neuchâtel. Il frappe le violeur de sa fille, la justice l’attaque: “Rien à foutre de votre justice de bisounours!”

«Ma fille a été droguée, violée, filmée nue et le type qui a fait ça s'en est vanté ensuite.» Le sang de Marc* n'a fait qu'un tour devant des faits aussi sordides. Sa fille, qui souffre de troubles psychologiques et vit en institution, a dû se faire avorter.

Le père de famille aurait empoigné le violeur présumé, un jeune adulte, selon «L'Express» et «L'Impartial». Mais, pour la justice, nul n'est censé se faire justice soi-même. Elle a donc lancé une action contre Marc*, poursuivi pour voies de fait et contrainte. Il risque 120 jours-amende.

Rien à foutre de votre justice de bisounours!

Entendu lundi au Tribunal de La Chaux-de-Fonds, Marc* n'a pas mâché ses mots et les juges en ont pris pour leur grade. «Votre justice de bisounours, je n'en ai rien à foutre!», a-t-il lancé.

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Allemagne : les juges s’adaptent – 6 ans de prison pour l’incendie sans blessé d’un refuge, rien pour les agresseurs sexuels du jour de l’An

Six ans de prison fermes pour deux Allemands qui ont mis le feu dans le grenier d’un centre de réfugiés qui n’a fait aucun blessé, contre simple admonestation et prison avec sursis pour deux musulmans coupables d’agressions sexuelles le soir du jour de l’An à Cologne : voilà comment la justice allemande s’adapte à l’islam.

Le 12 septembre dernier, un pompier et son ami ont été condamnés à six et cinq ans de prison ferme pour avoir mis le feu à une maison de réfugiés dans l’ouest de l’Allemagne, rapporte le Westdeutsche Allgemeine Zeitung.

Les procureurs de l’État ont reconnu que les deux hommes ne sont pas coupables de tentative d’assassinat, car ils ont mis le feu dans le grenier de l’immeuble où personne ne vivait afin de ne blesser personne.

Sept personnes se trouvaient dans le bâtiment au moment de l’incendie, mais elles ont été alertées à temps et personne n’a été blessé. 

Les procureurs ont fait valoir que le pompier et son ami ont mis le feu pour des raisons xénophobes. Le procès a démontré que les hommes avaient sauvegardé des photos sur leurs téléphones portables, ce qui implique qu’ils sont des extrémistes de droite, a dit l’accusation.

Lequel procureur n’a rien trouvé de plus grave que d’accuser Hussain A. et Hassan T. de bestialité, en recommandant qu’ils soient immédiatement libérés et condamnés à de légères peines de prison avec sursis alors qu’ils ont été reconnus coupables d’être impliqués dans une frénésie d’agressions sexuelles en masse à Cologne pendant le réveillon du Nouvel An.

Deux des victimes pleuraient au tribunal en décrivant leur calvaire, mais que valent les larmes des Allemandes de souche contre la nouvelle religion immigrationniste.

Les deux musulmans coupables de cette « frénésie d’agressions sexuelles de masse » sont sortis souriants et ont été applaudis à l’extérieur du tribunal, après avoir appris n’avoir reçu que des condamnations avec sursis.

Les deux hommes, un Irakien et un Algérien, sont les premiers des dizaines d’hommes à être jugés pour crimes sexuels. Leurs victimes ont pleuré, au tribunal, et ont décrit leur traumatisme pendant et depuis leur agression. Mais rien n’a ému les juges, qui ne s’attendrissent que sur les victimes musulmanes de ces provocatrices sexuelles qui ne portaient pas de tenues modestes.

L’Algérien Hassan T. pousse des cris de joie à la sortie du tribunal, après avoir reçu une condamnation avec sursis

Le juge s’est cependant senti obligé de dire que les deux mahométans ont agi comme des « bêtes » envers leurs victimes. Mais de là à les punir, vous n’y pensez pas !

L’Irakien de 21 ans, connu sous le nom d’Hussain A, a reçu une peine d’emprisonnement avec sursis d’un an. Pour les faits qui ont pu être prouvés avec certitude, il avait violenté une jeune femme, l’avait coincée, puis embrassé de force, avant de la lécher au visage.

« Nous considérons cela comme une l’agression sexuelle », a déclaré le juge Gerd Krämer.« Il a forcé la victime à être embrassée et à être léchée », et reconnu coupable d’être complice d’une agression sexuelle exécutée par un groupe d’environ 20 hommes.

L’Algérien Hassan T., a été reconnu coupable de complicité d’agression sexuelle en groupe, et de menaces de mort. Il a dit à un homme qui marchait avec deux de ses victimes :« Donne-moi les filles, tu me donnes les filles — ou tu es mort. »

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Paz pour Dreuz.info.

La justice genevoise ne veut pas expulser un dealer qui a transporté plus de 10 kilos de cocaïne car “c’est inhumain”.

Christian Hofer: Il est vrai que tuer les gens à petit feu via de la drogue, pourrir le pays qui l'a accueilli est par contre tout à fait respectueux.

Quant à loi votée sur les expulsions des criminels étrangers, la justice s'en fiche: elle fait ce qu'elle veut. Elle est au-dessus des décisions du peuple.

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A. a défrayé la chronique en 2011. Ce père de famille avait été arrêté à la douane de Mategnin avec 10,5 kilos de cocaïne qu’il transportait depuis Valence. Après avoir purgé sa peine de prison, l’homme a été sommé de rentrer dans son pays, l’Espagne, en raison de ses agissements. Un renvoi inhumain et illégal, estime aujourd’hui la justice.

Selon le Canton, un visa de touriste peut lui permettre de revenir régulièrement en Suisse pour voir les siens. Si besoin, le téléphone et les messageries peuvent l’aider à maintenir «des contacts réguliers» avec ses proches. Enfin, son adaptation à sa nouvelle vie en Espagne n’est pas insurmontable aux yeux de l’administration qui craint un risque de récidive.

Mais la Chambre administrative considère qu’il ne replongera probablement pas et qu’il n’a de cesse de se racheter. Il a entamé récemment une formation de chauffeur et continue d’aider financièrement sa famille: «Dans ces circonstances exceptionnelles, la révocation de l’autorisation d’établissement est disproportionnée», conclut la justice.

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Genève: Braqueur des Pink Panthers condamné à… 0 jour de prison!

Reconnu coupable du casse d’une bijouterie en 2002 à Genève, l’un des pionniers des Pink Panthers a été condamné... à rien!

Condamné en 2005 en Belgique à huit ans de prison, en 2006 en France pour neuf ans, en 2009 en Allemagne pour sept ans, P.V. cumule déjà 24 ans de prison. Il en a déjà purgé 12. «L’enjeu de ce procès, c’est la peine», relève la procureure Gaëlle Van Hove. Comme le prévenu n’a pu être jugé pour l’ensemble des faits en une seule fois, la justice suisse doit tenir compte des précédentes sanctions – même si elles ont été prononcées à l’étranger – en appliquant, si nécessaire, une peine dite «complémentaire». Cela alors que le plafond d’emprisonnement en Suisse est fixé à 20 ans.

Les juges genevois l’ont finalement suivie sur ce point estimant qu’«il n’y a plus de place pour une peine additionnelle». P.V. va dès lors être extradé vers l’Allemagne pour passer encore quelques années derrière les barreaux.

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Taubira n’a pas fait qu’augmenter la délinquance, elle a aussi ruiné économiquement la justice

C’est évident ! On ne peut pas être au four et au moulin !

Christiane Taubira était bien plus préoccupée de mettre en place son idéologie de victimisation des délinquants que d’améliorer les conditions de fonctionnement de ses tribunaux !

Ce n’est pas moi qui le dit, c’est son successeur place Vendôme qui a dénoncé  – je cite – une « Justice sinistrée » ! Pourtant Taubira a eu quatre années et au moins 3 budgets pour améliorer les choses !

Mais Taubira est consistante dans sa logique : puisque « la prison est le problème et non la solution« , à quoi bon construire des places de prison ? On devrait même pouvoir réduire encore le nombre de magistrats – exceptés ceux qui traitent Sarkozy ! – en dépénalisant au maximum certains délits !

Regardez ce reportage édifiant réalisé par France2 dans le tribunal de grande instance de Nancy :

Nancy : Immersion dans un tribunal dévasté

En deux ans, le budget du tribunal de Nancy aurait diminué de 40 % alors qu’il a dû traiter près de 42 000 procédures en 2015 !

Mais pour Christiane Taubira, mieux vaut laisser son nom comme l’égérie de la loi sur la dénaturation du mariage et sur le droit à l’enfant que pour avoir rendu des conditions de fonctionnement décentes à nos tribunaux !

Jean-Jacques Urvoas, le successeur de Taubira a donné un entretien au JDD rapporté dans cet article. En voici un extrait :

Une justice « sinistrée »

Dans son entretien au JDD, le ministre, en poste depuis deux mois, rappelle avoir dit à son arrivée que « la justice était au bord de l’embolie ». « Depuis que je pousse la porte des juridictions, je dis plutôt qu’elle est sinistrée… », s’alarme-t-il. Par exemple, « la direction de l’administration pénitentiaire a 36 millions d’euros de factures impayées pour des hospitalisations de détenus ». Ou encore, « l’État a une dette de 170 millions d’euros » de frais d’interprètes, de laboratoires d’analyses ADN, d’experts, d’écoutes téléphoniques… « Tous ces prestataires privés sont payés au minimum avec quatre mois de retard », déplore le ministre.

On peut le croire puisqu’il est du même bord que Taubira !!!

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