Lausanne : Agression homophobe et misogyne par deux Irakiens. Où sont les partis de gauche pour manifester contre cette immigration violente et patriarcale?

«Hey, sale pédé, dégage! Tu n’as rien à faire ici», peut-on lire dans le compte rendu de l’ordonnance pénale. Oser tenir tête à leurs agresseurs leur a valu un déluge de violence: Valentin a notamment reçu un verre en plastique rempli au visage, une bouteille de vodka a atteint en pleine face Sabrina, lui causant une plaie ouverte, et une autre amie s’est fait empoigner par la gorge.

Les trois amis tabassés ont ensuite eu la surprise de découvrir que leurs agresseurs, aux riches antécédents pénaux, avaient aussi porté plainte contre eux. La condamnation des deux frères est tombée fin octobre: coupables de voies de fait et d’injures. Le plus violent devra faire 60 jours de prison sans sursis, et l’autre écope de 45 jours-amende (à 30 fr. le jour).

[...]

20min.ch


Rappels :

Lausanne : Il se fait expulser de chez lui par la Dominicaine qu’il a épousée. « Elle restait au lit, je travaillais toute la journée et j’envoyais encore de l’argent à son frère. »

Suisse : Des étudiants d’art et un collectif d’artistes noirs demandent des mesures contre le racisme

Lausanne : Master Class «Contre le racisme et les discriminations» pour les élèves de 14 à 18 ans

Lausanne, ville-refuge: A Lausanne, 1 jeune sur 5 n’a aucun diplôme, deux fois plus que la moyenne suisse.

Après l’agression de Genève, les femmes socialistes vont faire « une campagne de prévention » mais refusent d’évoquer la nationalité des agresseurs.

Pforzheim (All.) : 30 policiers pour stopper une dispute violente entre deux familles irakiennes

Une dispute violente entre deux familles irakiennes a dégénéré à Pforzheim dans la nuit de vendredi. Au total, 30 policiers et 17 voitures de police se sont rendus à l'Inselschule pour faire face à la situation. Selon la police, au moins trois personnes ont été blessées.

D'après les informations, la police a reçu un appel d'urgence vers 23h30, selon lequel près de 20 personnes se battaient sur le parking de l'Inselschule. Malgré l'apparition immédiate des premières équipes de voitures de patrouille sur les lieux, les parties impliquées ne se sont pas arrêtées et ont continué à se frapper.

Les policiers utilisent de spray au poivre

Ce n'est qu'avec l'appui de renforts supplémentaires et l'utilisation de sprays au poivre que les 30 policiers ont finalement réussi à séparer et à maintenir les belligérants à distance.

Des hommes âgés de 21, 26 et 39 ans, blessés à la tête, avec des hématomes et des coupures mineures à la main, ont dû être transportés à l'hôpital pour y être soignés. Les policiers n'ont pas été blessés.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Pz-news.de

France. Le Havre: Des passants tabassés sans raison. Deux Irakiens arrêtés.

Justice. Deux Irakiens installés au Havre sont accusés de violences à la gare et à l’hôtel de ville. Ils nient en bloc.
«C’est leur droit de dire ce qu’ils veulent. C’est aussi mon droit de ne pas les croire », prévient le procureur avant de requérir deux et trois ans de prison dans ce double dossier d’agression. Les deux prévenus ont des casiers vierges en France. Mais, « ça a été un déferlement de violences très inquiétant. Et quand les faits n’ont aucune explication, ça l’est d’autant plus ».

La première scène se déroule devant la gare du Havre dans la nuit du 9 au 10 décembre dernier. Un jeune homme voit deux individus excités arrivant sur le parvis. Il craint pour un ami également présent. Mais c’est lui qui prend les coups au terme d’un échange verbal. L’un des agresseurs se sert d’une ceinture. La victime se protège et se retourne. Elle aperçoit le second individu porteur d’un couteau. Un coup en est flanqué à son bras. « J’avais trop mal », déclare le jeune homme aux policiers. « Avec l’exploitation de la téléphonie, on est remonté à ces deux messieurs », instruit le président de la correctionnelle du Havre. D’autre part, Yad et Kaka, Irakiens de 23 et 24 ans venus en France il y a environ deux ans, auraient été « formellement reconnus » par des témoins, dit le juge. La défense n’a pas la même lecture des auditions. Selon elle, un seul témoin aurait identifié l’un et l’autre des prévenus.

Pendant ce temps, le jeune homme partie civile s’agace. « Je ne les avais jamais vus avant. C’est la seconde fois aujourd’hui que je les vois. » Il peste contre leurs dénégations à l’audience.

Des regards insistants

Le blessé a évoqué le tatouage que Yad possède à une main. De son côté, Kaka nie une quelconque présence au Havre cette nuit-là. « Pourtant son portable était bien là, au Havre. Il y bornait », grimace le parquet. Dernier élément à charge : la vidéosurveillance. Mais, pour Me Maureen Yon, celle-ci « était trop lointaine pour permettre d’identifier l’un ou l’autre ». Le même élément de défense est soulevé dans la seconde scène. À l’arrêt du tramway de l’hôtel de ville du Havre, un homme croise les deux prévenus dans l’après-midi du 31 janvier. « Je ne sais pas du tout pourquoi j’ai été agressé », déclare-t-il à la police. Kaka se plaint de regards insistants de la part de la victime. « Quatre fois, il m’a interpellé. » En réponse, il flanque un coup de poing au visage. Le nouveau blessé mentionne avoir également été mordu à la main par Yad. Mais, dans le box, celui-ci conteste encore avoir été là. Même si sa carte de tramway a été utilisée juste avant. Yad ne se souvient qu’avoir aperçu « une fois » la victime au foyer où il réside avec Kaka. Les dénégations ne font pas le poids. Le tribunal indique au duo le chemin de la prison. Yad et Kaka sont condamnés à un et deux ans de prison. Le second prévenu devra être extrait du centre pénitentiaire trois jours plus tard, pour un jugement devant le même tribunal, pour d’autres accusations de violences dans une rue du Havre.

Source via Fdesouche.com

Suisse: Tous les jihadistes irakiens de l’Etat islamique ont retrouvé la liberté. Ils demandent l’asile et l’aide sociale.

Christian Hofer: Encore une fois, on rappelle le pedigree de cette racaille:

« Les Suisses sont des «fils de chiens» et des «ânes», ils ne méritent même pas d’être convertis à l’islam, ils doivent être décapités »

De plus, l'un des deux individus, qui est paraplégique, avait obtenu l'asile en Suisse et touché l'aide sociale. Il a également subi en Suisse plusieurs opérations en raison des blessures qu'il a au dos à nos frais. 

**********

Incarcérés depuis 2014, Osamah M. et Mohammed O. ont été libérés. Mais aucun ne peut être expulsé. Leur chef a déposé une demande d'asile et d'aide sociale.

Les trois Irakiens condamnés en mars 2016 pour soutien à une organisation terroriste sont libres. Les deux derniers, Osamah M. et Mohammed O. sont sortis de prison peu après que le Tribunal pénal fédéral (TPF) a revu à la baisse les peines infligées. Le troisième, Wesam A., avait déjà été libéré en 2016, rapporte la Berner Zeitung dans son édition du 5 avril.

Les autorités ne savent pas quoi faire avec ces individus, considérés comme extrêmement dangereux. Elles ne peuvent les expulser dans leur pays d'origine car ils y seraient mis à mort. La clause de non-refoulement est également valable pour les terroristes.

Le cas d'Osamah M., considéré comme la tête de la cellule du groupe Etat islamique (EI) en Suisse, est encore plus préoccupant, car il a déposé une demande d'asile à Schaffhouse où il avait été reconnu comme réfugié. Il a également demandé à percevoir des prestations de l'aide sociale pour subvenir à ses besoins de base.

Source et article complet

Autriche. Neuf réfugiés irakiens avaient violé une Allemande: Un seul a reconnu ses torts [Mise à jour]

Mise à jour Christian Hofer: Un article en allemand qui nous en apprend plus puisqu'ils ont exhibé cette femme comme un trophée en faisant un selfie. Le titre même démontre l'état bestial de ces "réfugiés": "Sch... auf Gott! Diese Frau lassen wir heute nicht mehr los". Bien entendu, aucun d'entre ne travaillait et ils étaient tous à la charge des Européens.

L'un d'entre eux même était joyeux, dansait et chantait après l'avoir violée: "Er kam heraus, war fröhlich, hat gesungen und getanzt"

**********

Neuf réfugiés irakiens sont accusés d'avoir violé une jeune Allemand. À une exception près, tous les hommes ont nié les faits.

  • Les neufs hommes sont accusés d'avoir violé une femme de 28 ans lors du Réveillon de 2015 
  • Seul l'un des hommes a avoué avoir été impliqué dans cette horrible agression
  • La victime aurait rencontré quatre de ces hommes alors qu'elle était dans un bar à Vienne

Neuf demandeurs d'asile de la même famille sont actuellement jugés dans la capitale à Vienne pour avoir violé collectivement une institutrice de 28 ans lors du Réveillon 2015.

Les procureurs ont accusé les irakiens d'avoir "abusé d'une personne sans défense et de l'avoir violée d'une manière très humiliante et douloureuse."

La plupart des hommes nient les charges, mais l'ADN de six d'entre eux a été retrouvé dans ou sur son corps.

A l'ouverture du procès mardi, la cour a entendu comment la femme, identifiée comme étant Sabine K., était «ivre morte» lorsqu'elle est allée avec les hommes dans un appartement. 

(...)

Les accusés, âgés entre 22 et 45 ans, sont tous arrivés en Autriche entre mai et décembre 2015 par l'intermédiaire de la route des Balkans. 

Après les agressions, qui ont duré plusieurs heures, la victime a eu besoin d'un traitement ambulatoire dans une clinique de traumatologie et elle est à présent en  soins psychiatriques pour des troubles de stress post-traumatique.

C5VwfZJXAAAElME

(...)

Un seul homme, Mohamed Al-A., 31 ans, a admis son rôle dans les viols et il a sangloté au Tribunal.

Sa foi musulmane lui interdit de boire des boissons alcoolisées, mais la veille du Nouvel An, il a déclaré qu'il avait fait une exception et qu'il avait bu de la vodka. "J'étais vraiment ivre", a-t-il dit, et il a admis par la suite; "Cet acte est un crime en Irak."

Source1 Source2 Source3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Allemagne: Bagarre massive dans le camp de migrants

Selon la police, un différend est survenu entre 40 à 50 demandeurs d'asile vers les 2 heures 30 du matin.

Un Irakien de 20 ans a actionné l'alarme d'incendie dans le gymnase. Pour cette raison, les pompiers volontaires de la ville de Poing ont été  alarmés. Selon la police, le danger d'incendie n'existait donc pas. Un court instant plus tard, 20 Afghans se sont rués sur l'Irakien. 10 à 20 de ses compatriotes sont venus à son aide. Dans la lutte, l'homme qui avait déclenché l'alarme a subi des égratignures au visage et une plaie à la tête.

Trois autres résidents ont été légèrement blessés avant que la police ne calme les groupes.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch