Cenator : Voici de nouvelles associations féministes parasites, qui viennent se rajouter aux associations antiracistes (expression adorable puisque ces dernières nient l’existence même des races), associations qui ont fait leur fonds de commerce de museler les citoyens en colère.
En Suisse romande, ce sont les gauchistes et autres parasites qui ont l’exclusivité des manifestations. La droite est inaudible, sinon sur les réseaux sociaux. Pas de médias de droite, pas de presse ni d’ondes dédiées à la pensée non politiquement correcte, nada, rien du tout. Pourtant les gauchistes ne sont jamais satisfaits du pouvoir qu’ils ont déjà. Boulonnés sur leurs trônes, gavés de leurs privilèges, gagnant leur salaire à ne rien faire, en nombre toujours croissant, ils poussent des hurlements de putois lorsqu’un journal-poubelle – Lausanne Cités, fait de pub et de non-nouvelles – risque de passer dans les mains de Christoph Blocher. Les gauchistes au pouvoir se dépêchent alors, avec l’argent des contribuables, de financer le manque à gagner afin de tordre le cou à la possibilité pour le peuple de s’exprimer. Leur pouvoir actuel ne leur suffit plus. Ils veulent la totale, la dictature soviétique, ils veulent faire taire toute opposition, en la saignant par des amendes au « moindre pet de travers » et… cerise sur le gâteau, se faire entretenir pour cela...
La pugnacité des femmes de gauche, des femmes vertes fera merveille pour ôter toute légèreté, toute désinvolture dans l’espace public (il va de soi que nous haïssons l’emploi d’insultes gratuites et nous approuvons les sanctions à ce sujet).
Il est interdit de haïr nos ennemis. Il est interdit de dire ce que la majorité du peuple pense.
Les votations sont, selon toute probabilité « biaisées » de milles manières par toute la mafia de gauche sans foi ni loi. Notre pays cesse d’exister chaque jour un peu plus.
Les Suisses sont totalement manipulés, abrutis par les médias, la droite est isolée, amorphe, elle n’arrive plus à se relever, tant elle a reçu de coups de ses ennemis.
Comme le dit Orban : nous devrions nous prendre en main et nous faire entendre, que la gauche l’autorise ou non.
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Michel Guillaume (@mfguillaume) Correspondant au Palais fédéral
L’organisation féminine Alliance F et la société NetzCourage s’attaquent aux insultes et aux menaces sur le Net. En Suisse romande, Amanda Gavilanes a été l’une des seules à porter plainte
[...] Alliance F, qui regroupe environ 70 associations féminines, s’apprête à lancer un projet pour combattre le phénomène du discours de haine, mais elle a encore besoin d’argent pour le financer. Elle cherche 240 000 francs, [...]
Une initiative pour un débat respectueux
[...] Quelque 60 bénévoles – des «anges numériques» (digital angels en anglais) – vadrouilleront sur les réseaux sociaux et répondront aux auteurs de commentaires insultants. [...]
[...] Sophie Achermann, la secrétaire générale d’Alliance F : [...]
[...] En Suisse romande, la conseillère municipale Amanda Gavilanes (PS/Genève) a été l’une des premières à actionner la justice. Lors d’un débat, elle défend la modification d’un règlement permettant de se baigner avec tout type de vêtements, y compris le burqini. Un internaute à la retraite l’invective immédiatement: «Pas de piscine pro-muzul. Salope.» «J’ai été très choquée. Ce commentaire était scandaleux, sexiste et raciste. Mais j’ai eu énormément de soutiens qui m’ont encouragée à porter plainte pour atteinte à l’honneur et discrimination raciale.»
Le 26 mars dernier, le tribunal ne retient que l’injure, mais condamne l’auteur de l’insulte à une amende de 540 francs, ainsi qu’à 30 jours-amendes avec un sursis de 3 ans. [...]
Des réactions démesurées
Pour sa part, la conseillère nationale Ada Marra (PS/VD) a jusqu’ici renoncé à toute démarche juridique. Elle en aurait pourtant eu l’occasion lorsqu’elle poste un texte détonant sur Facebook – «LA Suisse n’existe pas» –, dans lequel elle remet en question ses mythes fondateurs. Elle reçoit 2600 commentaires sur son mur. «Je ne m’attendais pas à un tel torrent de boue, qui visait à l’anéantissement de ma personne.
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Une association pour contrer les harceleurs
En Suisse alémanique, Jolanda Spiess-Hegglin a créé l’association NetzCourage, qui dénonce systématiquement tous les harceleurs du Net au Ministère public cantonal.
[...] En deux ans, NetzCourage a sollicité la justice à près de 180 reprises. Bilan provisoire pour les affaires réglées: 60 condamnations et 80 accords à l’amiable. Jolanda Spiess-Hegglin ne cache pas qu’elle préfère nettement la seconde solution, qui permet d’«apprendre à se connaître et à se respecter».
Le portrait-robot du harceleur? «Le citoyen en colère enclin à voter pour un parti populiste, un homme âgé à la retraite, presque toujours Suisse», répond-elle. En cas d’accord, celui-ci s’en tire avec un don de quelques centaines de francs à NetzCourage. En cas de condamnation, la facture est plus lourde: entre 800 et 1500 francs, frais de justice inclus.
Un projet de loi
[...] le Tages-Anzeiger a révélé que la femme la plus touchée était la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga.
Contactée par Le Temps, celle-ci a déclaré: «L’internet n’est pas une zone de non-droit. Notre législation s’y applique et nous devons la faire respecter, notamment en cas d’insultes, de menaces, d’appels à la haine et à la violence.» La cheffe du Département fédéral de justice et police ne reste pas passive: elle vient de soumettre au parlement un projet de loi renforçant la protection des femmes lorsqu’elles se défendent contre l’auteur de l’acte dont elles sont victimes.
Source: https://www.letemps.ch/suisse/trainee-salope-pute-mobilisation-generale-contre-insultes-sexistes
Voir aussi : https://lesobservateurs.ch/2018/08/17/apres-lagression-de-geneve-les-femmes-socialistes-vont-faire-une-campagne-de-prevention-mais-refusent-devoquer-la-nationalite-des-agresseurs/