Dubaï, ville musulmane richissime des Emirats Arabes Unis, persécute les animaux errants. Brigitte Bardot tente de les sauver.

"La municipalité de Dubaï est en train de nettoyer les rues des animaux errants, capturant les chats de colonies - beaucoup stérilisés et identifiés - pour les exterminer ou les abandonner dans le désert ou des zones inhospitalières où les malheureux seront condamnés !"

La Présidente de la Fondation Brigitte Bardot interpelle son Altesse Sheikh Mohammed Bin Rashid Al Maktoum : « Je vous supplie de mettre un terme à ces ramassages »

Votre Altesse,

 

Je suis absolument horrifiée d’apprendre que la municipalité de Dubaï est en train de nettoyer les rues des animaux errants, capturant les chats de colonies  – beaucoup stérilisés et identifiés – pour les exterminer ou les abandonner dans le désert ou des zones inhospitalières où les malheureux seront condamnés.

 

Comment une telle abomination peut-elle se produire dans un pays qui se targue d’être d’une exemplaire modernité ? Comment Votre Excellence, dont les poèmes dénotent une âme sensible, peut-elle laisser faire de telles mesures cruelles et totalement dénuées de sens puisque tuer n’a jamais été une solution pour la gestion des animaux. La seule méthode responsable, éthique et durable est la stérilisation et l’éducation pour promouvoir les adoptions ainsi que l’application des lois qui existent déjà dans votre pays et qui punissent la négligence et l’abandon.

Il semblerait que l’Exposition Universelle de 2021 est l’une des raisons de cette programmation d’extermination. Croyez-vous qu’il faille sacrifier des milliers de vies pour gagner une bonne réputation de propreté ou bien au contraire, ne vaut-il pas mieux montrer au monde que les Emirats Arabes Unis ont un cœur, une éthique et une politique responsable des animaux errants et travailler en collaboration avec les associations, les protecteurs et les vétérinaires pour faire des campagnes systématiques de stérilisation et créer des refuges modèles pour y mettre ces animaux ? Je vous supplie de mettre un terme à ces ramassages et lever les sanctions contre les associations et particuliers qui n’ont à cœur que d’aider.

 

Non seulement vous épargnerez des milliers de vies d’animaux qui ont déjà pour grand malheur d’être exposés aux aléas de l’abandon, mais aussi cela rétablira l’harmonie dans la communauté et l’image de votre pays durement affectée.

 

Avec toute ma considération,

 

Brigitte Bardot

Présidente

Fondationbrigittebardot.fr / Facebook.com de la Fondation Bardot / Arcinfo.ch

 

Enquête du journal Focus : Pour quelle raison les réfugiés musulmans ne sont-ils pas réinstallés dans les pays riches du Golf, proches culturellement, contrairement à l’Europe ?

Pour quelle raison les réfugiés des camps en Grèce ne sont-ils pas redirigés vers des pays riches comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, le Bahreïn ou le Koweït? Après tout, ce sont des pays où vivent de nombreux frères de foi de ces réfugiés (musulmans) et où aucun problème culturel ne devrait se poser.

La réponse du journal allemand Focus.de

Depuis des années, les six États du Golfe (Arabie saoudite, Koweït, Oman, Qatar, Bahreïn et Émirats arabes unis) sont critiqués pour avoir accepté trop peu de réfugiés. En 2014, Amnesty International a publiquement dénoncé leur comportement et a accusé les États du Golfe de "ne pas fournir un seul site d'accueil pour les réfugiés". Les gouvernements de ces pays se sont défendus. L'Arabie Saoudite prétendait à l'époque avoir accordé la résidence à 2,5 millions de Syriens.

Il est difficile de vérifier combien de réfugiés ces nations ont accepté jusqu'à présent. Aucun des États du Golfe n'a signé la Convention de Genève sur les réfugiés. Cela signifie que les personnes déplacées accueillies ne sont pas officiellement enregistrées en tant que réfugiés. Dans aucun pays du Golfe, il n'existe de politique claire en matière d'accueil des réfugiés. Au contraire, ils ont tous créé des barrières bureaucratiques à l'entrée : tels que des visas coûteux et l'absence de reconnaissance officielle en tant que réfugiés.

En outre, la proximité religieuse et culturelle entre les États du Golfe et les pays de la Méditerranée orientale est limitée. Avant la guerre civile, la Syrie était un État multiethnique dans lequel vivaient des chrétiens et des musulmans. En revanche dans le Golfe, l'Islam domine [NDLR : En clair, pendant que l'Europe chrétienne accueille des musulmans, les pays islamiques ont laissé les chrétiens mourir pour préserver l'islam sunnite.]. En outre, les États sunnites du Golfe sont en concurrence avec l'Iran chiite et bombardent le Yémen. La plupart des Syriens choisissent de ne pas fuir une région instable pour une autre.

Ce ne sont là que quelques-unes des raisons qui poussent surtout les réfugiés vers le continent européen. La Grèce est la cible principale depuis un certain temps. Cela a également été le cas l'année dernière. Selon les chiffres de l'ONU, près de 60 000 réfugiés sont arrivés par la mer et près de 15 000 réfugiés par la terre (Turquie). L'État qui doit s'occuper de l'enregistrement et des procédures d'asile pour les réfugiés est régi par le "règlement de Dublin". Selon cette loi, le premier pays de l'UE dans lequel un réfugié est entré devient responsable

En résumé, cela signifie que de nombreux réfugiés décident dès le départ de ne pas fuir vers les États du Golfe. D'une part, la région est instable, d'autre part, il y a des obstacles à l'entrée. S'ils viennent en Europe, le pays dans lequel ils entrent en premier devient automatiquement responsable de ces réfugiés.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Focus.de


Rappels :

Suisse. Winterthour: L’imam, au bénéfice du statut de réfugié, aurait poussé sa femme à devenir terroriste

Le Pape veut que les Européens intègrent les migrants musulmans avec leur identité religieuse

Pendant que Sainte-Sophie devient une mosquée, le Pape prie pour… les migrants : « C’est le Christ qui frappe à notre porte. »

Le secrétaire général de l’ONU félicite le Pape pour son action en faveur des migrants

Pape François: bâtir des murs contre les migrants est anti-chrétien

Finlande: le terroriste exprimait déjà sa haine des Finlandais dans le centre pour réfugiés

Manchester: Les premières photos du terroriste, fils de réfugiés libyens. Selon le Premier Ministre, une autre attaque peut être imminente.

Attentat du 13 novembre : les neuf terroristes étaient arrivés en Europe en tant que réfugiés (Der Spiegel)

Ansbach: le terroriste était un blessé de guerre de l’état islamique, arrivé en Europe comme réfugié pour se faire soigner

Attentats de Bruxelles : Le terroriste s’était mêlé au flot des réfugiés

Le Haut-commissaire de l’ONU aux réfugiés inquiet du « climat de xénophobie » en Europe

 

Émirats arabes unis : Emprisonnée avec sa fille de quatre ans à Dubaï après avoir bu un verre de vin dans l’avion

Bien entendu, il n'y a guère d'extrémistes de gauche pour se risquer à protéger cette femme et cette fillette, la gauche réservant son empathie pour les migrants criminels.

**********

 

Ellie Holman et sa petite fille de 4 ans, Bibi, ont passé trois jours dans une prison de Dubaï. À son arrivée, cette mère de famille a été informée par un agent de l'immigration que son visa n'était pas en règle. Mais c'est lorsqu'elle a avoué qu'elle avait bu un verre de vin à bord de l'avion que le cauchemar a commencé pour elle et sa fille.

Le cauchemar a commencé le 13 juillet dernier pour Ellie Holman, une dentiste originaire de Sevenoaks, dans le Kent (Angleterre) et Bibi, sa fille de quatre ans. À bord de l'avion d'Emirates Airlines à destination de Dubaï, la jeune mère de famille s'est vu offrir un verre de vin rouge par le personnel de bord.

À son arrivée à l'aéroport, Ellie a été informée par un agent de l'immigration que son visa n'était pas valide. Pourtant, ce n'était pas la première fois qu'elle se rendait à Dubaï et son visa n'avait pas encore expiré. Mais selon l'agent, la seule option pour elle et sa fille était tout simplement de faire demi-tour afin d'entrer une nouvelle demande depuis Londres avant de pouvoir revenir à Dubaï. Épuisée, Ellie a tenté de trouver une autre solution. "L'idée même d'acheter un autre billet et de reprendre directement un long vol était impensable", a-t-elle déclaré au Daily Mail.

Consommation d'alcool interdite
D'après Ellie, l'agent de l'immigration, qui refusait catégoriquement de l'aider, est alors soudainement devenu agressif. Il lui a ensuite demandé si elle avait bu de l'alcool. "Je lui ai dit que j'avais bu un verre de vin durant le vol. Il m'avait été offert gratuitement par le personnel d'Emirates Airlines". Or, la possession et la consommation d'alcool sont strictement interdits aux Émirats arabes unis.

Face à la colère de l'agent, Ellie a alors décidé de le filmer, afin d'avoir la preuve de son comportement grossier. Quelques secondes plus tard, une douzaine de policiers armés les ont encerclées, elle et sa fille, avant de les emmener dans une cellule de l'aéroport. 

Des conditions déplorables
Ellie a ensuite été conduite dans un commissariat, où elle a dû subir une prise de sang afin de contrôler son taux d'alcool. Finalement, la mère et sa fille ont été enfermées dans une pièce occupée par d'autres détenues. "Les lumières n'étaient jamais éteintes. Il n'y avait pas d'air conditionné. Il faisait terriblement chaud et ça sentait mauvais (...) La nourriture sentait le moisi et ni Bibi ni moi n'avons osé manger. Je n'ai pas dormi pendant trois jours".

(...)

7sur7.be

Émirats arabes unis: La rocambolesque évasion d’une princesse de Dubaï

L’histoire est digne d’un James Bond. Dans une vidéo devenue virale, une princesse des Émirats Arabes Unis affirme avoir fui son pays pour vivre librement. Elle demande l’asile politique aux États-Unis. Pour s’enfuir, elle aurait reçu l’aide d’un Français qui se présente comme un ex-espion.

Latifa Al Maktoum fait la une des tabloïds anglais. Depuis ce week-end, une vidéo de cette princesse de Dubaï est devenue virale sur les réseaux sociaux. La jeune femme affirme s’être échappée de son pays, où elle aurait été emprisonnée durant trois ans après une première tentative de fuite en 2002.

Latifa Al Maktoum est l’une des trente filles du gouverneur de Dubaï, Cheikh Mohammed ben Rashid al-Maktoum, marié à six femmes. L’homme est également vice-président, Premier ministre et ministre de la Défense des Émirats Arabes Unis (EAU).

 

 

 

Compte tenu de son rang, il apparaît régulièrement avec des chefs d’État lors de visites diplomatiques. Il est récemment apparu aux côtés d’Emmanuel et Brigitte Macron. Et il a également accueilli François Hollande lorsque celui-ci était encore président de la République. En coulisses, à en croire sa fille, le cheikh agirait de façon liberticide avec les femmes. Y compris envers celles de sa propre famille.

Dans la vidéo, la jeune femme de 33 ans témoigne à visage découvert, les cheveux non-voilés. Le cadrage est serré et ne permet pas de savoir où la scène a été tournée. Vêtue d’un tee-shirt bleu, elle parle depuis un endroit totalement impersonnel qui pourrait ressembler à n’importe quelle chambre d’hôtel.

Elle explique avoir dû fuir son pays pour « vivre librement ». Elle raconte qu’elle vivait en permanence sous surveillance. Elle n’avait pas l’autorisation de voyager pour ses études ni de conduire. La jeune princesse prétend qu’elle aurait même été droguée par des médecins dans un hôpital de Dubaï pour tempérer ses velleités de rebellion.

Demande d’asile aux États-Unis

La jeune femme dit « craindre pour sa vie ». Elle a peur d’être capturée par les autorités de son pays. L’endroit où elle se trouve actuellement est donc tenu secret. Selon les médias anglo-saxons, elle aurait formulé une demande d’asile politique aux États-Unis, mais les Émirats Arabes Unis font partie des pays black-listés par Donald Trump. Sa demande a donc peu de chance d’aboutir favorablement. En attendant, elle se cache.

Pour fuir son pays, elle aurait bénéficié de l’aide d’un Français, connu sous le nom d’Hervé Jaubert. Celui-ci a publié en 2009 un livre-témoignage intitulé Évadé de Dubaï, dans lequel il se présente comme un ancien agent des services de renseignement français de la DGSE (en activité de 1983 à 1993), reconverti comme entrepreneur.

En 1996, ce Français avait créé une entreprise spécialisée dans les sous-marins de loisirs. L’idée aurait tapé dans l’œil des Émirats Arabes Unis, qui lui auraient proposé un partenariat pour développer son affaire avant que les choses ne tournent mal et qu’il ne se fasse soustraire son passeport.

Se décrivant comme la victime d’un complot au sein d’une multinationale arabe, affirmant avoir été menacé de torture, il aurait lui aussi dû s’échapper de Dubaï. Pour ce faire, il se serait déguisé en femme arabe avant de saboter une vedette de la police et de traverser l’océan Indien pour entrer clandestinement en Inde.

Aujourd’hui, selon les médias britanniques, l’homme aurait refait sa vie en Floride. Et avec un yacht immatriculé aux États-Unis, il faciliterait les exfiltrations de Dubaï où il a été condamné, par contumace, à cinq ans de prison pour détournement de fonds (4 millions de dollars).

De son côté, le groupe d’avocats et militants Detained in Dubaï, qui a authentifié la vidéo de la jeune femme, juge la situation de la princesse très préoccupante. Et elle ne serait pas un cas unique.

Source

Nos remerciements à notre lectrice

Émirats arabes unis: Violée, une Britannique est accusée d’avoir eu une relation sexuelle hors mariage et risque 25 ans de prison

Une touriste britannique qui voulait porter plainte pour viol en réunion aurait été inculpée pour « relations sexuelles extraconjugales ».

Les faits qui ont eu lieu le mois dernier ont été révélés par l’association Detained in Dubaï. Cette association aide les personnes injustement emprisonnées aux Emirats arabes unis (EAU), indique 20minutes.

La jeune femme de 25 ans passait des vacances à Dubaï quand elle a été violée par 2 Britanniques qui quelques heures après leurs méfaits auraient quitté Dubaï pour rejoindre Birmingham (Nd Christian Hofer: Birmingham étant connu pour être un territoire à forte immigration) Les 2 hommes auraient en plus filmé la scène.

De son côté, la victime s’est présentée au commissariat pour déposer une plainte. A son grand étonnement, les forces de l’ordre l’auraient inculpée pour "relations sexuelles extraconjugales". Libérée, la jeune britannique ne peut toutefois pas quitter Dubaï et devrait également verser près de 28.000 euros de frais de justice. Le ministère des Affaires étrangères britanniques s’est dit prêt à aider la jeune femme et sa famille dans cette affaire.

Un ami de la famille de la victime a raconté au tabloïd The Sun, que son passeport a été confisqué. "Elle est en ce moment avec une famille britannique mais elle est complètement terrifiée", ajoute-t-il.

« Les EAU ont une longue tradition de pénalisation des victimes de viol, indique Radha Stirling, directrice de Detained in Dubai. Nous avons été impliqués dans plusieurs cas similaires par le passé et nous travaillons avec les avocats et les familles pour changer les attitudes au sein de la police et du système judiciaire. »

Source Source2