Socialisme vert : La présidente de la Commission européenne veut que l’Europe devienne “le premier continent climatiquement neutre” d’ici 30 ans

Dans le dernier «Schweiz am Wochenende», Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a écrit une tribune concernant le "Green Deal" qui vise à rendre l'Europe climatiquement neutre. Ses déclarations ne peuvent rester sans réponse - car sa stratégie est effrayante.

Premièrement, l'UE est aujourd'hui l'une des régions les plus prospères du monde. Il y a les libertés civiles, la démocratie et les structures de l'économie de marché. L'espérance de vie, les revenus et la propreté de l'environnement atteignent des niveaux attrayants. Cependant, il y a beaucoup de choses dans l'UE qui doivent donner matière à réflexion aux observateurs attentifs : Les banques et les États ont constitué des réserves de dettes qu'ils ne pourront jamais rembourser. La dette du secteur privé est plus élevée que jamais. Dans de nombreux pays, les promesses de paiement dans le domaine de la vieillesse et des soins de santé sont très éloignées de la réalité. L'euro montre des signes de déclin. La politique monétaire de la Banque centrale européenne nuit aux mécanismes d'ajustement de l'économie et maintient en vie les entreprises improductives. L'Union n'est plus prête à se défendre ; le citoyen est désarmé sous prétexte de la menace du terrorisme. Et surtout, il y a la censure, qui se répand par le biais du politiquement correct et des médias sociaux.

Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Mais nous savons qu'il suffit de peu pour déstabiliser la situation. L'Europe serait alors plongée dans une crise bien plus grave que celle qui a été évitée en 2008. Dans une telle situation, il faudrait que les hommes politiques réalisent qu'ils ont mis l'UE dans une position difficile sur les plans économique, politique, militaire et social. Ce qu'il faut, c'est un véritable revirement : davantage de libertés, d'économie de marché et de concurrence, moins de réglementation, de subventions et d'influence de l'État, davantage de sécurité intérieure et extérieure.

Au lieu de cela, Ursula von der Leyen présente son "Green Deal", qui vise à faire de l'Europe "le premier continent climatiquement neutre" d'ici trente ans. Bien sûr, il y a le changement climatique. Mais "une vie bonne et sûre" dépend avant tout de la sécurité intérieure et extérieure, de l'assurance vieillesse et maladie, de la sécurité de l'emploi, de l'endettement des États, des banques et des particuliers, et non du changement climatique. La présidente von der Leyen induit le lecteur en erreur dès la première ligne de sa tribune. Et la Doctoresse von der Leyen sait que "la science" grâce à laquelle nous savons que la "spirale climatique" peut encore être arrêtée n'existe pas dans ce sens. Pratiquement toutes les déclarations de son article sont de belles paroles sans contenu. Et tout doit être soumis à ce plan irréfléchi : "Du trafic aux taxes, de l'alimentation à l'agriculture, de l'industrie aux infrastructures." Tout doit être déterminé et changé par la politique : "Comment nous produisons et consommons, comment nous vivons et travaillons." Tout devrait être fixé de manière irréversible. Il est également clair que beaucoup plus d'argent sera dépensé. 100 milliards d'euros supplémentaires doivent être "libérés" chaque année. Je crains que des fonctionnaires que nous n'avons pas élus et des hommes politiques irresponsables retirent chaque année 100 milliards d'euros aux entreprises et aux budgets performants et les mettent dans de tels discours creux. Il s'agit d'une pure et simple destruction de la prospérité.

Pour quelle raison Madame von der Leyen écrit-elle de telles choses ? Les citoyens doivent-ils vivre comme les politiciens le souhaitent ? (C'était déjà le cas dans les dictatures et cela se reproduit encore aujourd'hui en Chine ; nous en connaissons tous les conséquences.) Ou les citoyens doivent-ils être distraits de cette réalité qui a depuis longtemps échappé aux politiciens et aux bureaucrates ? Ou alors ces Mesdames et Messieurs pensent-ils qu'un continent peut être géré avec un tel contenu ?

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Luzernerzeitung.ch

Le fascisme des pastèques écolos

Jour après jour, la gauchosphère verdâtre, le fascisme étant un rejeton du socialisme, et la junte socialo-libérale fasciste anti-droite au pouvoir à Bruxelles nous mentent pour les trois raisons principales suivantes:

- Parce que, tout comme les perroquets marxistes du passé et du présent, les gauchistes jugent leurs objectifs idéologiques plus importants que de dire la vérité.

- Parce que le gauchisme est enraciné dans les sentiments et l’émotionnel, non dans la raison ou la vérité. La gauche élargie soumet la vérité à deux valeurs « supérieures »: sa doctrine idéologique et l’émotion des citoyens-contribuables manipulés.

- Parce que les gauchos non-élus font une guerre manipulatrice à l’égard de la droite et de notre Etat-nation, tout en étant persuadés que ce n’est pas de la méchanceté ou de l’insubordination; affirmant faire partie du camp du bien, ils tenteraient simplement de « sauver la Suisse » affirment-ils, tout en la soumettant à l’UE supra-nationaliste. Avec une arrogance toute guerrière, ces fascistes pastèques atteints de jeunisme à la Greta Thunberg ne sont plus à la recherche d’un consensus, mais nous obligent à choisir entre le bien (le leur évidemment) et le mal (soit-disant nous). Pourtant, n’ayant pas été élus par le peuple souverain de Suisse, ils n’ont aucune autre légitimité que celle qu’ils s’accordent. Ils pensent, comme les musulmans, qu’ils sont les « bons et les meilleurs », savent mieux que notre peuple souverain, mieux que notre Conseil fédéral, mieux que notre démocratie directe, donc doivent mentir pour le camp du bien, le leur évidemment. Autre mensonge pastèque, l’Afrique n’a plus que 28 % de régions sauvages, l’Amérique du Nord elle en a encore 38 %, ce qui n’empêche pas la verte gauche sainte et mondialiste de nous faire croire le contraire, cela rêvant de démolir le Président Trump qui est de droite.

Pire, non contents de mentir, ceux de la gauche élargie verdâtre ne croient pas à leurs mensonges parce que cette gauche considère que dire la vérité est incomparablement moins important que combattre le sexisme, l’agression sexuelle, la misogynie, la masculinité, le patriarcat toxique, la fessée, le réchauffement climatique, le racisme, nos frontières, le mariage aristotélicien, la préférence nationale, le patriotisme, etc, et répartir la richesse, dépenser et endetter la nation, quand ce n’est pas en ajoutant un congé paternité à charge des entreprises. Seul le capitalisme crée de la richesse; le socialisme ne fait que dépenser ce que le capitalisme a créé et crée encore et qu’endetter la nation.

Les gauchistes et les verts pastèques croient-ils que le réchauffement climatique de la terre détruira notre monde ? Evidemment non. Pour plus de détails sur les mensonges et manipulations au sujet de l’hypothèse du réchauffement climatique écoutez la conférence du Professeur américain Richard Lindzen, à Paris le 19 octobre 2018: https://www.youtube.com/watch?v=gtGkLZ8L3Go. Combien de gauchistes possédant des propriétés en bord de mer dans le monde se sont dépêchés de les vendre ? Si les gauchistes croient vraiment que l’hypothèse du réchauffement de notre planète fera monter les océans et inondera très bientôt les régions côtières du monde entier, pourquoi ces gauchistes ne vendent-ils pas leur maison en bord de mer ? Pourquoi l’ex-président de gauche Obama, devenu milliardaire comme tout président corrompu de républiques bananières, vient-il de s’acheter une somptueuse propriété en bord de mer ? Si tous ces écolos pastèques hystériques du réchauffement croyaient ce qu’ils disent, ils ne militeraient-t-ils pas pour qu’on plante des arbres partout, le plus formidable et naturel moyen de se débarrasser du CO2 ? En réalité, ils ne veulent pas réduire le CO2, mais prendre du pouvoir sur le peuple; planter des arbres, conserver la nature et diminuer la trop forte densité de population en Europe et celle pire en Suisse, population constituée de tueurs écologiques en série et de pollueurs, ça ne leur apporterait pas le pouvoir; c’est pourquoi ils ne demandent pas de planter des arbres, etc, comme ceux de droite. L’histoire de notre terre va dépendre de la démographie pas du CO2 produit par l’activité des terriens; la troisième guerre mondiale sera démographique. Tôt ou tard le mondialisme, le multiculturalisme et la trop forte densité de population ouvriront la voie à une guerre des « races » et d’ idéologies.

Les écolos pastèques sont de nouveaux bien-pensants idiots utiles supranationalistes et mondialistes qui se disent du camp du bien et veulent vider les poches des travailleurs-contribuables pour changer le climat de la terre alors que le peuple n’en est pas responsable; la droite patriote qui cherche à conserver la nature et la biodiversité, à défendre l’environnement, à éviter la pollution, à créer de la richesse et à défendre notre nation est la vraie écologiste. Christian Larnet l’a bien résumé: « la gauche, c’est le camp du bien, la droite, c’est le camp du vrai ». Pour cette droite patriote, responsable et clairvoyante, il est intolérable que notre pays devienne comme la France voisine un shit hole, un dépotoir grands bras ouverts aux bons à rien, aux tarés, aux immigrants bénéficiaires de notre bien-être social, aux vicieux, aux délinquants, aux criminels, aux harceleurs, aux violeurs, aux pauvres du monde entier, aux corrompus, aux excités dijhadistes d’une autre temporalité, que notre budget social et hospitalier soit dilapidé au profit d’indésirables et d’illégaux alors que nous devrions rembourser toutes les dettes de l’Etat-nation parce qu’elles sont immorales puisqu’elles devront être payées par nos descendants et qu’un pays ouvert, sans frontières, sans contrôle et sans limites aux étrangers perd toute indépendance nationale, toute solidarité nationale, toute défense nationale, toute Leitkultur. Il y a le feu au lac. Chaque million de chômeurs en Europe, c’est un million d’immigrés en trop et nos préférences nationales jetées à la poubelle. Luttons contre la décadence de l’Europe. Luttons contre le 3 mondialisme qui veut abolir toute frontière, qu’elle soit de nations, d’ethnie, de religion, de sexe, de mœurs et d’espèce. Luttons contre ces « élites » qui nous mentent et nous manipulent, parce qu’aucun des partis de la gauche élargie et des partis européistes ne défendent notre nation, notre souveraineté, le budget de notre Etat-nation et nos retraites. Ils passeront tous dans les poubelles de l’histoire.

PD. Dr. méd. Dominique Schwander

Greta Thunberg évite un journaliste et menace d’appeler la police (Vidéo)

Dans une vidéo datée du 17 octobre, un journaliste canadien interroge la jeune militante écologiste, qui s'enfuit face aux questions qui lui sont posées.

Dérangée par les questions ? Pressée par le temps ? Dans une séquence vidéo publiée le 17 octobre par le journaliste Keean Bexte, du média canadien Rebel News, Greta Thunberg prend la fuite dans les couloirs d'un hôtel, rapidement entourée par ce qui semble être son équipe de communication.

 

 

« J'apprécierai que vous arrêtiez de nous parler »

« Le changement climatique est politique, non ? », demande Keean Bexte à son interlocutrice, qui lui répond : « Non, c'est de la science. » « Donc la science va résoudre le problème ? Voudriez-vous d'une solution technique pour résoudre le changement climatique ? Ou voudriez-vous que les politiciens résolvent le problème ? », poursuit le journaliste. C'est alors qu'une femme entourant la jeune fille prend la parole et indique brusquement : « J'apprécierai vraiment que vous arrêtiez de nous parler, maintenant. Nous avons une réunion ». Greta Thunberg, elle, s'engouffre dans le couloir de l'édifice, alors qu'un homme semble vouloir faire écran entre elle et le journaliste.

[...]

Valeursactuelles.com

Les activistes du climat veulent paralyser la Suisse

Le 15 mai 2020 risque d'être chaud en Suisse. En effet, les militants écolos du groupe Extinction Rebellion, qui ont récemment occupé le pont Bessières à Lausanne, planifieraient une grève à l'échelle nationale, rapporte samedi le «Blick». Des milliers de Suisses risquent donc de descendre dans la rue ce jour-là, un vendredi.

Rappelons que près de 100'000 personnes se sont mobilisées pour le climat à Berne le 28 septembre dernier.

[...]

20Min.ch

L’EPFL propose une taxe carburant de 1fr.70

Des chercheurs de l'EPFL ont calculé la taxe carbone la plus efficace pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat. Progressive et uniforme pour l'essence, le diesel et l'huile de chauffage, elle atteindrait 1fr.70 par litre d'ici à 2050.

Concrètement, la taxe CO2, actuellement de 25 centimes par litre d'huile de chauffage, serait étendue aux carburants et relevée progressivement pour atteindre 1fr.70 en 2050.

[...]

«Cette égalité de traitement permettrait de ne pas pénaliser un secteur plutôt qu'un autre», précise Philippe Thalmann, directeur du Laboratoire d'économie urbaine et de l'environnement à l'EPFL et coauteur de l'étude qui vient de paraître dans le «Swiss Journal of Economics and Statistics».

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Wilhou

Hulot et Rochebin font la leçon au peuple… depuis Saint-Malo

RTS, TJ 19h30, 15 septembre 2019

Interview exclusive de Nicolas Hulot: "Ce n'est pas moi qui me suis radicalisé, c'est la situation qui s'est radicalisée" - Vidéo - Play RTS

Rochebin et son équipe s’offrent des vacances à Saint-Malo en Bretagne pour rendre visite à Nicolas Hulot qui les invite dans sa belle propriété, pieds dans l’eau, juste en face de la mer, un endroit paradisiaque, un habitat de rêve.

Nous apprenons qu’un événement capital se prépare dans quelques jours à New York, un grand sommet pour le climat.

L’ONU a lancé un appel mondial urgent à changer nos habitudes pour la cause universelle qu’est le réchauffement. C’est «  A race to win », une course à gagner.

(Après le « Rise for climate Geneva », les « Grèves pour le climat » et le sommet « SMILE for future » à Lausanne, « A race to win » est le nom de la prochaine manifestation climatique.)

Gilles Clémençon, le journaliste du reportage, énumère les péchés capitaux : l’avion, internet, le streaming, la voiture, la viande, les fruits qui viennent de loin, le plastique, les smartphones. Difficile de s’en passer, malgré l’urgence et les bonnes intentions.

Puis nous voyons Rochebin dans la propriété de Nicolas Hulot en Bretagne.

Rochebin : On a l’impression que vous vous êtes radicalisé.

Hulot : Non, ce n’est pas moi qui me suis radicalisé, c’est la situation qui s’est radicalisée.

Rochebin : On est chez vous, on va prendre le café dans votre cuisine.

Cuisine de luxe, propriété de luxe, qui a l’air immense.

Hulot explique qu’il recharge ses bouteilles de savon liquide. Qu’il  trie ! Hulot a des poules qui mangent les déchets de cuisine. Sa femme et sa fille ne mangent plus de viande. Ses enfants sont totalement désintoxiqués. Ils ne mangent de la viande que de temps en temps, mais de qualité. Hulot est un exemple pour nous tous !

Pas de doute, Rochebin et son équipe donnent aux téléspectateurs romands des renseignements de haute importance dans ce TJ du dimanche soir (très haute écoute).

Hulot : Les producteurs vont s’adapter. Si nous sommes tous vertueux, 20-30% de l’objectif sera atteint. Mais il faudrait se limiter dans la cupidité et la propriété !!!

Vous, les couillons de Romands, dans votre trois-pièces de 70m2, bruyant et cher, qui mangez ce soir des cuisses de poulet M-Budget, vous devriez devenir plus vertueux, c’est Hulot en personne qui vous le demande !

Hulot de concert avec Rochebin : Une révolution est en cours, avec des changements d’habitudes alimentaires. Le bio croît de 30% par année. Le monde de demain sera radicalement différent.

Hulot avise les mécréants : L’écologie n’est pas une religion, n’est pas une idéologie, c’est un fait scientifique, et il rajoute : Que vous soyez musulman, chrétien, milliardaire, SDF, blanc, noir, on est tous sur le même radeau.

***

Les communistes, après leur débâcle, se sont renouvelés avec une nouvelle stratégie, qui est l’écologisme. L’écologisme a engendré à son tour le climatisme. Toutes ces mutations du marxisme ne l’empêchent pas de prétendre détenir le sort de l’humanité… à savoir, connaître l’inéluctable choix de l’humanité consistant à épouser leur idéologie ou périr. Tous ces mutants du communisme croient détenir, comme toujours, des connaissances scientifiques et universelles.

Après la Deuxième guerre mondiale, les marxistes ont fait un hold-up sur la justice internationale en instaurant une justice universelle qui se place au-dessus des lois des États, les « Droits de l’homme extensibles »...  et sa métastase, le multiculturalisme, venaient compléter la guerre contre les États-nations. Cette métastase est la plus dangereuse de toutes et risque réellement de détruire notre civilisation toute entière.

Jusqu’à présent, le communisme a pu renaître de ses cendres après chaque cataclysme qu’il avait engendré, mais dans cette dernière bataille, il a réussi à rendre ses croyances tellement universelles qu’aucune résistance ne semblerait pouvoir « faire le poids » face à elles (hormis l’islam conquérant, qui ne fera qu’une bouchée de toutes ces demi-portions qui auraient bien été incapables de vaincre les Allemands lors de la deuxième guerre mondiale).

Résumé et commentaires : Cenator

Ecologie : La maire socialiste de Paris critiquée pour un aller-retour en avion

Le 26 juillet dernier, Anne Hidalgo a été invitée par la société organisatrice du Tour de France, Amaury Sport (ASO), pour assister à la 19e étape entre Saint-Jean-de-Maurienne et Tignes. Celle-ci ayant été annulée à cause de la grêle, la maire de Paris est repartie le même jour. Cet aller-retour de 600 kilomètres entre Le Bourget et Chambéry a été effectué en avion Falcon, a révélé mercredi Le Canard enchaîné. «Son Vélib’ avait sûrement un pneu crevé», raille l’hebdomadaire satyrique, en référence aux convictions écologistes de l’édile. [...]

Réfutant toute polémique, le cabinet d’Anne Hidalgo s’est dans un premier temps farouchement défendu: «Un avion est affrété par le Tour de France, dans lequel il y a des fioles pour le dépistage antidopage. Pour éviter que l’avion ne vole à vide, le Tour de France en profite pour inviter les personnalités à son bord. De toute façon, cet avion va décoller et faire un aller-retour quotidiennement».

«Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture»

Or, selon Damien Ressiot, fraîchement nommé directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), ce Falcon ne transportait aucune fiole de ce type. «Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture, depuis le contrôle jusqu’au laboratoire de Châtenay-Malabry, où ils sont analysés», a-t-il assuré à Checknews.

[...]

Le Figaro

Hypocrisie: les 9 véhicules à moteur de “l’écologiste” Nicolas Hulot, Ministre de la Transition écologique

Ecolo… mais pas trop. Selon sa déclaration à la Haute Autorité sur la Transparence de la Vie Publique (HATVP), le ministre de la Transition écologique possède pas moins de neuf véhicules à moteur, dont six voitures, une moto, un bateau et un scooter électrique.

Nicolas Hulot, ancien producteur de télévision, est propriétaire par ailleurs de cinq biens immobiliers, en Bretagne, en Corse et en Savoie. Son patrimoine cumulé atteint environ 7,3 millions d’euros.

Dans son imposante flotte motorisée, les modèles haut-de-gamme côtoient les modestes carlingues. Le ministre est propriétaire d’une voiture BMW acquise en 2014 (33 000 euros) et d’une Volkswagen (50 000 euros) depuis 2017. Sa moto BMW, achetée en 2000, vaut 1 000 euros, tout comme son vieux Land Rover et son Peugeot Boxer, tout deux entrés dans son patrimoine en 1998.

Nicolas Hulot semble aussi être adepte des virées en 2 CV, dont il est un récent acquéreur. Montant du modèle, acquis en 2017 : 5000 euros. Le scooter électrique, de marque BMW, a été acheté en 2017 au prix de 6000 euros. Quant à son bateau (à moteur), de marque Vaillant, il valait 24 6000 euros lors de son achat en 2012.

Ces véhicules sont-ils dispersés sur ses différentes propriétés ou bien utilisés par d’autres personnes ? La déclaration à la HATVP ne permet pas de le dire. Une chose semble certaine en revanche : quatre de ses engins ont près de 20 ans et ils ne respectent sans doute pas les dernières normes anti-pollution.

Source

«Nous venons en paix»: Hygiène, écologie et gâchis chez les «migrants»…

«Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
Aujourd’hui, levons quelques malentendus sur l’hygiène et l’écologie chez les migrants.

Suite sur Novopress.info

Voyez-vous le lien entre flagellants au Moyen Age et politiques « vertes » au 21ème siècle

Par Mia Vossen

Le milieu du Moyen Age a connu des variations climatiques énormes. A une époque où l'agriculture européenne donnait des résultats 15 fois inférieurs aux nôtres, on peut imaginer ce que représentent des années trop pluvieuses ou trop chaudes... trop froides comme actuellement aux USA : des famines, des guerres, des épidémies.

La situation est alors si effroyable que beaucoup de gens pensent l'Apocalypse proche. Il n'y a évidemment rien à faire contre les caprices de la Nature mais l'être humain n'est pas prêt à accepter l'inacceptable. Ainsi naissent des mouvements qui nous semblent hystériques mais qui réconfortaient nos ancêtres, leur donnaient l'illusion d'agir. Les flagellants par exemple faisaient des processions durant lesquelles ils se lacéraient le corps avec des fouets pour expier leurs péchés. Ils
avaient l'espoir de monter au ciel après l'Apocalypse ! Pareil état d'esprit n'incite pas à une activité utile et quand, au 14e siècle,  le mouvement se radicalise, vire à l'anarchie, il est interdit par le Pape Clément VI et, en France, par Philippe V.

Nous connaissons aujourd'hui un temps un peu plus clément (1) mais nous vivons dans un monde où des catastrophes autrefois locales ou inexistantes (2) deviennent « mondiales », un monde surexploité qui ne pourra continuer à nourrir une population en augmentation constante. Nous sommes aussi désarmés que nos ancêtres devant les variations  climatiques !   Il nous faut une raison d'espérer, nous voulons, comme nos ancêtres, avoir l'illusion d'être maîtres de l'avenir. Nous
ne nous flagellons pas, nous n'implorons pas dieu pour qu'il éloigne le fléau, nous voulons l'éloigner nous-mêmes grâce aux « énergies vertes qui limitent la production du CO2 « causant » le réchauffement climatique ». Je ne sais si les organisateurs de flagellations publiques s'enrichissaient excessivement – je ne connais que les indulgences - mais je sais que les promoteurs de « réchauffement » et d' »énergies vertes » y gagnent des fortunes. Ainsi la fameuse « taxe carbone », promue par le GIEC, a été monnayée durant plusieurs années,  et l'argent récolté n'a pas été perdu pour tout le monde. L'Allemagne a mis fin à ce juteux commerce en installant des centrales polluantes au charbon sans quota limitatif réel ; la mode est aux éoliennes... qui  sont le camouflage « vert » de ces centrales. Les éoliennes polluent aussi la Chine où les terres rares donnent – via une pollution atroce - des métaux utiles à la fabrication de leur « tête ». Ce système est aussi très coûteux car il faut nécessairement deux producteurs d'énergie : le vent ne souffle suffisamment qu'entre 15 et 25% du temps et rarement quand on en a besoin. Ce système détruit les paysages, tue les oiseaux, diminue de 10 à 45% la valeur des maisons proches... est nocif pour  la santé animale et humaine. Tout le monde est content ! Les « flagellants » actuels ne se frappent plus le corps mais le portefeuille pour retarder l'Apocalypse, mériter leur place dans le ciel vert de l' »écologie ».

Ceux qui osent émettre une critique, qui osent faire observer que les variations climatiques sont de tous les temps, que l'être humain n'en est pas plus responsable maintenant qu'au 10e siècle, que les promoteurs d'éoliennes gagnent des fortunes en ruinant leurs concitoyens... pour augmenter le taux de CO2 dans l'atmosphère (3), sont considérés comme traîtres à la cause « verte » planétaire et quand ils osent ajouter qu'on ferait bien d'imposer partout le planning familial, on les traite
carrément de nazis !  Qui sera notre Philippe V, notre Clément VI ?

.

Mia Vossen

.

(1) Il y a 30 ans, on nous annonçait une ère glaciaire...
(2)Des endroits où personne ne se serait installé il y a 50 ans sont maintenant bâtis, exploités de diverses manières et, par exemple,  là où une personne se serait noyée, 1.000 se noyent...
(3)Allemagne et Danemark n'ont jamais autant pollué que depuis qu'un nombre remarquable d'éoliennes a été installé dans ces pays. La Belgique et la France n'en ont pas encore assez pour qu'on puisse en dire autant...les promoteurs y travaillent !

L’ecopopulation, ou comment retrouver le sens du « chez-soi »

ecopop_t_brunner_j_asselborn_roadpricing_praesident_hollande@1x

L'initiative suisse baptisée « Ecopop » est extrêmement intéressante pour nous, français. D'une part parce que nous nous considérons comme bien plus affectés par les remous de l'immigration massive qu'en Suisse (à tel point qu'on utilise désormais le concept de « grand remplacement ») ; d'autre part parce que ce concept fait référence à l'expression « écologie humaine » (de S.S Jean-Paul II), qui est devenue un slogan et un mouvement à part entière à la suite des grandes manifestations contre la loi Taubira, qui a institué le Mariage pour tous.

On se retrouve là face aux deux grands défis de nos sociétés Occidentales - et en cela, cette initiative suisse intéresse tout européen : celui du remplacement de population par l'immigration massive, et celui, corrélatif, du remplacement d'une certaine éthique de civilisation qui a pu caractériser l'Occident chrétien. Il s'agit pour nous de déceler en quoi le remplacement de population et le remplacement de civilisation sont corrélatifs, et comment lutter contre ce que d'aucuns ont pu appeler un « génocide » (Bernard Antony) ou encore un « suicide » (Eric Zemmour), pour qualifier ce qui se passe en France.

L'idée d'une « écologie des populations » vise à lutter contre ce double danger. « Eco » vient du grec οἶκοςoîkos (la « maison »). L'éco-logie est donc la science ou la logique de l'habitation. L'éco-population désigne donc la « maison de la population ». De même que l'économie, (οἰκονομίαoikonomía) désigne la « gestion de la maison ». Rien de plus écologique et économique, donc, qu'une « écologie des populations ». 

On ne saurait résister au double déracinement de l'immigration massive et du basculement de civilisations sans comprendre et exploiter cette référence à la « maison », à l'habitation et au concept fondamental du « chez-soi ». Le chez-soi, c'est le lieu où l'on vit, où l'on mange, où l'on dort. C'est un lieu que nous connaissons, et, surtout, que nous reconnaissons. La déconstruction des normes morales, dans laquelle l'européen se reconnait, fait qu'il ne peut plus être « chez-soi », chez lui : il ne s'y reconnait plus. De même que l'importation de nouvelles normes, de nouvelles religions et de nouvelles modalités de vivre, à cause de l'immigration, nous fait perdre le sens du « chez-soi ».

Voilà pourquoi il faut entreprendre une grande action sur le ré-enracinement. L'enracinement, écrivait la grande philosophe Simone Weil, est « le besoin le plus important et le plus méconnu de l'âme humaine » (L'enracinement, Gallimard, Paris, 1943). Le philosophe Jan Patockà a définit l'homme Européen comme « celui qui a le souci de son âme » (Platon et l'Europe) : l'âme est effectivement ce qui nous est le plus intime, là où nous sommes le plus enraciné, et là où l'on est le plus « chez-soi ».

L'écopopulation est cette manière intelligente de dire deux choses : nous sommes chez nous, et notre pays a une âme. Donc nous avons le droit de nous soucier de l'âme de notre pays. Un pays qui a une âme, a une conscience et une mémoire : il est une patrie, c'est-à-dire la terre des pères. La grande phénoménologie du XXe siècle a pu ainsi avoir conscience de ce lieu fondamental qu'est la patrie : « Toute chose essentielle et grande a pu seulement naître du fait que l'homme avait une patrie (Heimat), et qu'il était enraciné dans une tradition », écrit le philosophe Martin Heidegger (réponses et questions sur l'histoire et la politique, Paris, Mercure de France, 1977, p.68). Patrie, tradition, enracinement, exactement ce que l'on veut nous enlever, et donc exactement ce sur quoi il faut insister, pour résister...

Vivien Hoch, 12 novembre 2014