Un “gouvernement de l’ombre” mené par le PS, le PDC et le PLR donnerait le ton en Suisse afin de contrer l’UDC.

Davantage que le Conseil fédéral, un groupe de six conseillers aux Etats, issus du PS, du PDC et du PLR, donne le ton dans les dossiers les plus importants de la politique suisse, affirme la NZZ am Sonntag.

Leur dernier coup? L'accord sur la réforme de la fiscalité des entreprises, qui combine un projet fiscal à une stabilisation de l'AVS.

La NZZ am Sonntag raconte comment ce petit groupe de politiciens a réussi à convaincre tous les membres de la commission de l'économie du Conseil des Etats d'allier la réforme fiscale à l'AVS, deux dossiers qui ont récemment échoué devant le peuple.

Selon le journal zurichois, ce "gouvernement de l'ombre", qui s'est formé ces dernières années, comprend le président du parti socialiste Christian Levrat (PS/FR), le syndicaliste Paul Rechsteiner (PS/SG), la présidente du Conseil des Etats Karin Keller-Sutter (PLR/SG), Ruedi Noser (PLR/ZH) ainsi que les PDC Konrad Graber (PDC/LU) et Pirmin Bischof (PDC/SO).

Pas de membre de l'UDC

Ces piliers du Conseil des Etats arriveraient à accorder dès le départ des visions et intérêts divergents. Paul Rechsteiner assurerait notamment le lien avec les syndicats, alors que Ruedi Noser représenterait la faîtière des entreprises, Economiesuisse.

En revanche, les représentants de l'UDC ne font pas partie du réseau. C'est l'une des raisons pour lesquelles le plus grand parti de Suisse peine à trouver une majorité dans de nombreux dossiers, écrit la NZZ am Sonntag.

Source

Lien vers l'article du Matin, ici

Nos remerciements à Hans Peter

 

Rappels:

Lorsque le PDC Darbellay, la PS Sarah Wyss et les Verts fanfaronnaient à la suite de l'éviction de l'UDC Blocher.

Le Conseil fédéral continue à humilier le peuple suisse et donne son feu vert à la libre circulation avec la Croatie

Etienne Grisel, constitutionnaliste: « La non application du vote contre l’immigration de masse est une violation inouïe de la Constitution »

Renvoi des criminels: Le Conseil fédéral n’applique toujours pas la décision du peuple

Le PS envisage de lancer le PDC Christophe Darbellay au Conseil Fédéral

UDC: « Le Conseil fédéral refuse d’appliquer l’article sur la limitation de l’immigration »

La Suisse, eldorado pour les travailleurs européens. Comment le Conseil fédéral trahit notre peuple.

S. Sommaruga invitée au prix Charlemagne, prix offert aux personnes ayant servi les intérêts de l’UE

Elections valaisannes. Redif. 3.3.2017 : Pourquoi un authentique démocrate ne peut pas élire Christophe Darbellay

Christophe Darbellay doit-il être élu au Conseil d’Etat valaisan après avoir fait un enfant illégitime ? Sans doute le sera-t-il… Mais en toute logique, si nous vivions dans une culture réellement démocratique ne devrait-il pas l’être. Je pense dur comme fer qu’un authentique démocrate, un ardent défenseur de ce système politique inventé par les antiques Athéniens ne peut pas voter pour lui quelles que soient ses convictions politiques. Voici pourquoi.

Actuellement, les discussions ayant trait au cas Darbellay tournent essentiellement autour de trois arguments différents. Le premier, autour duquel gravitent les opposants de Darby, consiste à dire qu’on ne peut raisonnablement pas soutenir quelqu’un qui a fait de la famille son cheval de bataille et qui fait subir pareille horreur à la sienne. A l’opposé, on trouve ses défenseurs qui eux avancent d’une part que cela ne remet pas en cause ses compétences politiques et d’autre part qu’on ne peut écarter un homme possédant d’aussi puissants réseaux de la vie politique.

En vérité, aucun de ces trois arguments ne devrait avoir de consistance réelle pour un véritable démocrate. Ils sont tous soit faux soit hors sujet dès lors qu’on approfondit un tout petit peu la question.

Je suis convaincu que les détracteurs de Christophe Darbellay ont tort de pointer du doigt son incohérence comportementale vis-à-vis de la famille pour la simple et bonne raison que si on le pénalise pour cela, alors beaucoup d’autres élus doivent être eux aussi sanctionnés pour de multiples cas plus ou moins similaires. Les politiciens qui pratiquent dans leur vie quotidienne ce qu’ils combattent en tant que personnes politiques ne se comptent plus. Personne ne voit de mal à ce qu’un socialiste bénéficie des déductions fiscales qu’il a pourtant vraisemblablement combattu en tant qu’élu. Ni d’ailleurs à ce qu’un politique de sensibilité écologico-humanitaire se paie un téléphone portable dernier cri. Un téléphone dont l’extraction de certaines matières premières ainsi que l’assemblage ont vraisemblablement contribué à polluer sérieusement une région pauvre et/ou à exploiter quelques miséreux obligés de travailler pour rien ou presque. Ceci dit, les gauchistes n’ont pas l’apanage de l’acte en complète contradiction avec les convictions exprimées. Qu’on pense aux ardents défenseurs de la vie soutenant la peine de mort ou aux milieux économiques discourant sur l’immigration comme un impératif vital alors qu’ils croulent sous l’argent. Bref, dans ce qu’on a le culot d’appeler notre démocratie, rares sont ceux dont la cohérence est plus grande que celle de Darbellay.

De leur côté, ses supporters ne font guère mieux. Lorsqu’on ose parler de compétence politique en démocratie on frise le ridicule. La démocratie est un système où tout citoyen, quel qu’il soit, a la possibilité d’être élu. Ce qui signifie que tout le monde a potentiellement les compétences nécessaires pour pouvoir s’occuper des affaires de la cité. La compétence politique n’est donc pas un critère de sélection raisonnable en démocratie. Si on voulait des gens compétents, il faudrait déjà réussir à s’entendre sur le contenu de ces compétences et aussi mettre sur pied des tests de compétences pour savoir qui l’est et qui ne l’est pas. Les systèmes qui ont mis la compétence à l’honneur pour la gestion des affaires publiques sont des systèmes qui sont à des années lumières de la démocratie, à savoir la technocratie ou même l’aristocratie. Ce sont là les systèmes politiques qui établissent une distinction basée sur d’éventuelles capacités (acquises ou de naissance) entre ceux qui peuvent diriger et les autres. Donc non, un démocrate ne peut pas accepter un argument aussi stupide.

Un authentique démocrate ne peut pas non plus s’arrêter sérieusement sur l’idée des réseaux. Ou disons plutôt que l’expérience des anciens grecs devrait faire voir les choses d’une manière totalement opposée. Dans l’Athènes antique, on virait de la cité celui qui possédait des réseaux trop puissants. On avait alors compris le B-A-BA qu’on est aujourd’hui incapable de saisir, à savoir qu’un réseautage puissant ne contribue pas au bien commun mais uniquement à la défense d’intérêts particuliers. Les Athéniens exilaient donc de la cité ceux qui possédaient des réseaux jugés trop importants par une procédure d’ostracisme. Et ils avaient bien raison :  il n’y a que dans la tête des libéraux les plus bornés et les plus délirants (voir peut-être même les plus malhonnêtes) que la poursuite des intérêts particuliers de chacun concourt au bien commun.

Bref, l’ensemble des arguments servant à ce jour à discourir sur le cas Darbellay sont pour un démocrate soit mal utilisés soit sans effet. Mais il en reste un dont personne ne semble vouloir mettre en avant et qui pourtant constitue l’essence même de la pensée démocratique.

Comme je l’ai déjà dit précédemment, on n’élit pas une personne pour ses compétences.On l’élit parce qu’on a confiance en elle. Toute élection n’est ni plus ni moins qu’un acte de confiance par lequel des citoyens confient à d’autres citoyens une partie de leur souveraineté. Et ils la confient à condition de pouvoir croire que ces personnes vont défendre une certaine vision du monde à laquelle ils adhèrent. Jugés à l’aune de cette définition, les agissements de Christophe Darbellay devraient le disqualifier totalement de la course démocratique. Qui donc peut faire confiance à quelqu’un qui n’arrive même pas à respecter la confiance des siens, de sa famille, de sa femme et de ses enfants ? Comment peut-on croire à une personne qui nous est largement étrangère si même ceux qu’il aime et qui l’aiment ne peuvent croire en lui ?

La démocratie n’est rien d’autre qu’un système basé sur la confiance, ce qui d’ailleurs nous laisse penser que les vrais défenseurs de la démocratie ne sont aujourd’hui plus tellement nombreux tant celle-ci est malmenée. Et l’élection de Christophe Darbellay ne sera malheureusement qu’un coup de boutoir supplémentaire porté au système démocratique.

Caïn Marchenoir, 8 octobre 2016

Dénis de démocratie

Libération refuse la démocratie aux USA. Il nie la liberté des peuples d'élire qui ils veulent. Et si en plus, ces élus appliquent le programme qu'ils ont déclaré, c'est une catastrophe pour les socialistes et autres partis politiques qui en général, s'en moquent.

Marie France Garaud le disait d'ailleurs, "les programmes politiques ne sont que les inventaires de leurs faillites futures". C'est dire que cela remonte loin cette idée de programme construit pour les gogos d'électeurs.

"Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent" disait Charles Pasqua. Pourtant, chacun avait l'amour de la France et ne seraient pas tombés aussi bas comme ont su le faire les derniers Présidents de la République des 40 dernières années. Aussi loin que l'on regarde dans le rétroviseur, on ne voit personne qui au fond, avait l'amour de la France chevillée au corps comme celui qu'avait le général Charles De Gaulle, malgré tous les écarts commis en particulier, envers les Français d'Algérie.

Comme à son habitude l'ineffable Libération  reste au niveau des caniveaux gauchistes. Voici un journal qui défend la démocratie mais insulte les électeurs qui ne votent pas dans le bon sens. Ce n'est pas dit clairement bien sûr, mais les électeurs américains seraient des idiots, des racistes, de sales petits blancs, et tant pis si une grande partie des électeurs de Donald Trump était noir, hispanique et asiatique. Ce qui compte, c'est laisser une empreinte médiatique laissant entrevoir le discours habituel de ces islamo-gauchistes qui est "les heures les plus sombres de notre histoire", auquel vous pouvez ajouter "le ventre encore fécond de la bête immonde". Tant pis également, si la bête immonde qui sévit aujourd'hui depuis 15 ans sur toute la planète est le nazislamisme. Qu'importe si les femmes en islam sont traitées comme des serpillières, vitriolées en Asie, exécutées au sabre ou lapidées en Arabie, pendues en Iran, etc. Femme sous citoyenne, quasi esclave et trop souvent contente par la grâce d'une "religion" qui les encourage pour quelques hassanettes de plus. (les bons points pour le paradis).

libé-non-démocrate

Ce qui compte pour ces torchons de la socia-lie, ce sont les Madonna qui s'érigent chaque jour dans les médias en Sainte Vierge, entre deux soirées sur scène, en démonstrations dégradantes de femelles bonobos en chaleur. Une insulte à la dignité de la femme. Elles montrent et démontrent que leurs discours démocrates ne valent pas plus que leurs étrons. Désolé, mais je crois encore que "la femme est l'avenir de l'homme" et ces Madonna et autres artistes, sont indignes.

madonna

Libération fait partie de ce paysage qui offense la dignité, la décence et le respect que nous devons aux femmes. Libération  fait sa pute et arpente les trottoirs à la recherche du gauchiste attardé, bourré au zadiste, et trop con pour comprendre qu'il pisse sa bière sur lui, et ne vit que de la générosité des contribuables.

Libération se dit démocrate et vomi sur le vote qui a amené Donald Trump au pouvoir. Parce qu'il n'y croyait pas, n'y pensait même pas. Sa boussole est déglinguée. Elle ne montre plus le Nord, mais l'Est. Elle se tourne vers la Mecque et Libération fait le lien entre deux visions du monde, celui des altermondialistes et celui de la Oumma. Viendra le jour, où cette Oumma fera la peau aux autres mondialistes.

"L'expérience n'est qu'une bougie qui n'éclaire que celui qui la porte" disait Confucius. L'Histoire des peuples devraient être des lampadaires pour éclairer chaque Nation de son expérience. L'ensemble, pourrait-être un immense soleil pour éclairer l'humanité. Et pourtant, cette humanité bégaie et répète à chaque générations suivante, les mêmes folies, les mêmes erreurs à chaque coin du globe. Nous retrouvons sans arrêts les mêmes Daladier et Chamberlain prêts à se vendre, comme la Du Barry suppliant le bourreau Samson  pour quelques minutes de plus. Si elle avait pu, que lui aurait-elle proposé pour sauver sa vie. Madonna a sûrement la réponse puisqu'elle avait proposé une fellation à chaque électeur d'Hilary Clinton !

L'humanité est responsable. Elle se donne les mêmes dirigeants, les mêmes dictateurs, les mêmes vendus dans les démocraties, et donc les mêmes corrompus de l'Afrique à l'Asie en passant par l'Amérique et l'Europe.

L'Humanité a décidé de ne pas ouvrir les rideaux et faire entrer le soleil. En clair, comme le disait Orwell, "un peuple qui réélit des corrompus, des renégats n'est pas une victime, il en est le complice."

Les Américains ont appelé Donald Trump à la Maison Blanche ! L'improbable Trump. El il fait ce qu'il dit à la surprise du monde entier. Il a tiré les leçons de l'histoire. Qui en France fera de même ? Certes, je pense à Marine Le Pen malgré sa triste et désolante déclaration sur "l'islam compatible avec les lois de la République". Alors, va pour le Front National  puisque nous n'avons rien d'autre. Rien d'autre que cette désolante représentation politique islamophile et tous vendus à peu de chose près, à Bruxelles, au Qatar et à l'Arabie Saoudite

Gérard Brazon

 

La Suisse est-elle encore une démocratie ? (Courrier des lecteurs du Nouvelliste )

Pour rappel à nos grandes instances qui siègent à Berne...!

L'initiative de l'UDC contre l'immigration de masse, qui vise à réintroduire des plafonds annuels à l'immigration ainsi que des contingents pour les autorisations de séjour en Suisse, a été acceptée le dimanche 9 février 2014 par la majorité du peuple Suisse.

Il est scandaleux et inacceptable, que les hautes autorités politiques, qui je vous le rappelle sont à la charge des citoyens Suisse bafouent la décision de son peuple.

À titre d'exemple c'est comme si dans une entreprise, un collaborateur ne respecte pas les décisions prisent par le patron. (Dans cet exemple le patron = le peuple)

Pitoyables magouilles, manque de respect du résultat d'une votation...

La démocratie c'est respecter la décision de la majorité.
Sans quoi c'est l'anarchie, voir une dictature...!

D'où la question que l' on peut se poser, si ça vaut encore la peine de voter, puisque nous avons à faire à certains manipulateurs, et qui de par leur comportement, ne méritent pas la Confiance témoignée par son peuple.

JP Ryter

Source

La démocratie vacille

La nature de la démocratie

A l’origine de tout pouvoir politique se trouve l’idée que des personnes vivant dans un espace commun admettent de perdre une part de leur liberté au profit d’un organisateur. Celui-ci a pour tâche de rendre cette cohabitation harmonieuse et durable.

Lorsqu’un individu reçoit une part de pouvoir lui permettant d’imposer ses vues à autrui, le risque existe qu’il en veuille de plus en plus. Plus il cumule de pouvoirs, plus la probabilité que ceux-ci soient pris sur les libertés de ceux qu’il doit théoriquement aider à évoluer dans l’harmonie est grande. Cette volonté de puissance, si elle dépasse certaines limites, peut tendre vers la dictature, la tyrannie ou même le totalitarisme. Elle peut conduire jusqu’à la suppression pure et simple de la liberté d’exister de certains groupes dans le cas des génocides. L’histoire regorge de cas où, pour satisfaire leur envie de pouvoir, des dirigeants s’en sont pris aux peuples qu’ils devaient servir.

L’idée de la démocratie est apparue, je pense, dès lors que les êtres humains ont compris qu’on ne peut déléguer à autrui le pouvoir de gouverner sans qu’il ne soit tenter d’augmenter massivement ce pouvoir au détriment d’autrui. Il s’agit donc d’une parade pour se prémunir des tentations du pouvoir. Sa finalité ne consiste pas tant à permettre à la majorité de gouverner que de protéger les peuples des excès de ceux qui possèdent le pouvoir.

La démocratie, une question de limites

Chaque démocratie a ainsi développé son propre arsenal d’outils permettant de limiter le pouvoir consenti à ceux qui prennent en main le destin de la communauté.  Afin d’éviter des dérapages durables, elles ont mis sur pied le principe de périodicité des élections. Une personne n’est élue que pour un certain temps et si elle ne correspond pas aux attentes de la population, qu’elle cherche à acquérir trop de pouvoir, alors elle peut être sanctionnée d’un non-renouvellement du mandat. Cette crainte de voir une tyrannie se prolonger dans le temps est si présente qu’un deuxième mécanisme, à savoir celui de la limitation du nombre de mandats consécutifs que peut exercer un individu, s’est développé dans de nombreux pays.

Un deuxième resserrement des possibilités des dirigeants s’est effectué au sujet du type des pouvoirs qu’ils peuvent exercer. On a pris soin de ne plus laisser dans les mêmes mains le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Comme d’ailleurs le temporel et le spirituel.

Les textes fondamentaux tels que les constitutions ou la déclaration des droits de l’homme ont quant à eux pour rôle de délimiter clairement les rapports entre les individus et le pouvoir, de protéger une sphère de liberté autour des premiers et de borner les possibilités du second à leur égard. Dans le cas de la Suisse, cette délimitation s’est même doublée d’une capacité offerte à la population d’altérer les décisions et silences de l’autorité ne lui semblant pas convenables par le biais des référendums et initiatives.

La zone physique sur laquelle le pouvoir a le droit de s’exercer est elle aussi définie. Les frontières ont la tâche de permettre aux diverses communautés démocratiques d’établir clairement la limite territoriale qu’elles assignent à leur pouvoir tout comme à celui des pouvoirs voisins. Dans un ordre d’idée similaire, l’intérieur du territoire de notre pays est lui aussi divisé et scindé en échelons communaux, cantonaux et fédéraux.

La leçon des totalitarismes

Promouvoir une culture démocratique consiste donc à se protéger des dérives des régnants en restreignant au maximum l’exercice de leurs prérogatives et fixant un espace de liberté dans lequel chacun doit être au maximum préserver de leur intrusion.

Bien entendu, les régnants ne voient pas toujours d’un bon œil les bornes qui leur sont imposées. Surtout si leur soif de pouvoir est grande.  Ils peuvent donc tenter de repousser les limites. Cela peut être conscient comme inconscient. Les pires de tous ont même réussi à s’affranchir d’à peu près toutes les restrictions. Ils sont à l’origine des régimes totalitaires dont la spécificité a été justement de ne plus laisser une bribe de libertés aux individus.

Comme la force ne suffit pas et que les hommes n’admettent que difficilement de se soumettre corps et âme à autrui, il leur a fallu ruser. Ils y sont arrivés par le biais d’une astuce, à savoir camoufler leur irrépressible envie de domination derrière la promotion d’idéaux, la défense de grandes valeurs. Ce n’est qu’à cette condition-là qu’il leur fut possible de convaincre leur peuple de baisser plus ou moins totalement la garde. Les soviétiques ont mis des foules entières à leurs pieds en se servant d’un prétexte égalitaire alors que les nazis, eux, se sont appuyé sur la défense de valeurs plus traditionnelles. L’inadéquation totale des règnes des uns comme des autres avec ce qu’ils prônaient doit nous servir de leçon et nous faire comprendre que la défense de grands principes peut n’être que poudre aux yeux en vue d’acquérir un pouvoir plus grand.

Cet apprentissage est d’autant plus impératif que nous vivons une curieuse et inquiétante période dans laquelle les gardes fous mis sur pied par les authentiques démocrates sont mis à rude épreuve.  Il n’est point ici question de la Syrie ou d’une autre terre lointaine mais bien de notre chère Helvétie. Tout comme de nos proches voisins. En y regardant de plus près, sans se laisser berner par le discours sur les valeurs, un constat s’impose : les protections mises sur pied pour protéger les faibles des puissants reculent. Et cet effacement se fait bien souvent sous couvert de défendre des valeurs supérieures.

Une séparation des pouvoirs qui commence à devenir floue

S’il ne semble pas y avoir actuellement d’assaut mené contre la périodicité des élections, en revanche on a pu voir dernièrement certaines individualités (Anne Catherine Lyon par exemple) tenter de s’opposer à la limitation des mandats auxquels ils avaient droit. Pour le moment, le principe semble toutefois tenir la route. Mais il n’est pas certain que cela dure éternellement.

La séparation des pouvoirs est un des principes clés de la démocratie. Pourtant, les frontières entre les uns et les autres ne sont pas toujours aussi nettes que l’on pourrait croire. Et cette distinction a même tendance à devenir de plus en plus incertaine. La croissance de l’administration fédérale a engendré une situation dans laquelle son poids est de plus en plus important en matière d’impulsions législatives. Toujours plus nombreuses sont les lois proposées par l’exécutif et ses services. Une prérogative qui devrait pourtant plus ressortir du domaine du législatif. Mais ceci reste encore dans des limites acceptables.

Plus contestable est la situation au niveau européen. On ne le dit pas assez, mais la Commission Européenne, sorte d’exécutif continental, est titulaire d’un monopole en matière d’initiative législative. Ce qui signifie que le parlement européen ne propose aucune loi. Il peut s’opposer, voir amender les différents textes, mais la seule instance capable de créer des lois est l’exécutif. La séparation de ces deux pouvoirs n’existe donc pas au niveau européen. Et, par ricochet, comme les accords entre la Suisse et l’Union européenne sont de plus en plus contraignants et nombreux, notre parlement se voit dans l’obligation d’avaliser toute une série de décisions ne provenant plus de notre pôle législatif mais bien d’un exécutif hors sol !

Les textes fondamentaux vacillent et sont retournés contre ceux qu’ils doivent protéger !

Plus nette encore est l’évolution des textes fondamentaux ces dernières années. Initialement des garde-fous pour empêcher le pouvoir d’abuser de ses prérogatives, ils sont aujourd’hui utilisés pour mettre au pas les peuples récalcitrants ! Grâce au prétexte-étendard de la lutte contre les diverses discriminations, les droits de l’homme sont instrumentalisés pour mener la chasse à ceux qui s’opposent à certaines évolutions sociétales contestables voulue par le pouvoir. Et ce alors que leur rôle initial consiste, au contraire, à protéger ces mêmes individus des incursions du pouvoir dans leur sphère de liberté (d’expression notamment).

Notre constitution nationale est également sévèrement bafouée. Ses dernières évolutions (datant du 9 février 2014) ne sont tout simplement pas respectées. Certains vont jusqu’à vouloir la mettre en conformité avec ce que décident parlement et gouvernement (bilatérales notamment) ! Dans n’importe quel état de droit, c’est l’inverse qui prévaut : ce sont les lois qui doivent être en conformité avec la loi fondamentale et pas le contraire ! Entre de vulgaires accords commerciaux et un texte fondamental, aucun réel démocrate ne tergiverse ! Mais nous, nous en sommes à un point où le gouvernement se permet même de signer de nouveaux accords internationaux (traité de libre circulation avec la Croatie) alors qu’ils sont interdits par la constitution.

Certains (par exemple, Robert Cramer) tentent de justifier cela en prétextant que nous vivons une situation un peu particulière et que c’est dans l’urgence que le pouvoir doit agir en attendant de pouvoir modifier la constitution (RASA et son/ses éventuel(s) contre-projet(s)). Pour ceux qui préfèrent que les choses soient dites concrètement, cela signifie que nous vivons un moment dans lequel une partie de la constitution est suspendue, que nos autorités disposent d’une situation de plein pouvoirs en la matière. Cela porte un nom : « dictature » même si personne n’ose le dire clairement.

Cette opposition radicale à la constitution constitue également une réduction massive du pouvoir imparti à la population de s’opposer aux (non) décisions du pouvoir et signifie que peu importe ce que celle-ci désire, le pouvoir décide en définitive. Cette tendance va s’accentuant ces dernières années puisque des propositions concrètes de réduction du droit d’initiative populaire sont apparue dans la sphère publique. Soit en augmentant le niveau d’exigences à remplir soit par un contrôle préalable de leur applicabilité par les instances de pouvoir. Ici aussi, les droits de l’homme sont brandis pour faire taire les populations qui ne veulent pas du modèle que leur propose le pouvoir. Et ce alors que, répétons-le, les droits fondamentaux sont en principe une protection pour les populations contre l’arbitraire des régnants !

Les bornes physiques

Les bornes physiques ne sont pas non plus épargnées. Tant au niveau communal qu’au niveau cantonal, une tendance à la fusion a fait son apparition. Et qui dit fusion dit 1) augmentation du pouvoir de ceux qui dirigent la nouvelle entité 2) diminution de la multiplicité des pouvoirs. Le plus étrange dans tout cela est vraisemblablement l’argument selon lequel il faut agir ainsi parce que le monde se complexifie. Or, en faisant de la sorte, la complexité de la situation à gérer augmente encore plus. Tout raisonnement sain voudrait, au contraire, que si complexification il y a, alors une simplification de la quantité des affaires à gérer par un même pouvoir s’impose !

L’effacement des frontières avance encore plus nettement. Ceux qui ne se satisfont pas de leur pouvoir martèlent un discours agressif basé sur des valeurs d’ouverture et autre tolérance afin de camoufler leurs réelles intentions. Etre réaliste à ce propos consiste à passer outre ce qui est dit et constater que ce décloisonnement induit une augmentation massive de la zone (du Portugal jusqu'au fin fond de la Grèce) où s’exerce un pouvoir unique. Lorsque la Suisse accepte de céder ses prérogatives en matière de gestion migratoire ou des frontières, c’est l’étendue du pouvoir de l’UE qu’elle augmente. Un pouvoir de plus en plus absolu, de moins en moins borné. Dans le même temps, c’est le nombre d’individus soumis à sa propre influence que le pouvoir suisse accroit. Avec les ressources qui vont avec. Il s’agit donc d’un échange Win Win entre deux entités en recherche d’un pouvoir plus grand. Cela l’est d’autant plus que le séant de nos dirigeants semble irrésistiblement attiré par la douceur des fauteuils bruxellois.

Un petit mot sur l’islam

Ce rapide et inquiétant tour d’horizon de la situation de la démocratie suisse ne serait pas complet sans dire quelques mots au sujet de l’islam. Il s’agit là d’une religion dont la philosophie est totalement inverse à celle de la démocratie ici même décrite. L’islam a pour ambition de réunir la planète entière sous sa bannière. Un étendard qui n’admet aucune distinction entre pouvoir spirituel et temporel. De manière générale, il n’y a point de limitation démocratique à avoir pour les disciples d’Allah puisque le Coran a pour ambition de régler l’ensemble de nos existences.

Dès lors que cette grille d’analyse est adoptée, l’islamophilie radicale de nos dirigeants s’éclaire et devient limpide.  L’islam est l’allié idéal de quiconque cherche un pouvoir absolu et sans aucune limite puisque son ADN est de la même nature. A la nuance près qu’au final il ne pourra rester qu’un dominant : l’islam ou nos zélites. Celles-ci sont si prétentieuses et imbues d’elles-mêmes qu’elles ne voient pas ce qui se profile à l’horizon…

Pour lesObservateurs.ch, Cain Marchenoir, le 3 novembre 2016

Immigration de masse: L’Ambassadeur suisse doit rendre des comptes à Bruxelles!

Christian Hofer: La Suisse est devenue un simple sujet de l'UE où ses dirigeants ordonnent et sanctionnent à la moindre incartade. Cela démontre dans quel piège le Conseil fédéral nous a poussés au fil des ans alors qu'il prétendait que nous garderions notre souveraineté. Tout n'a été que mensonge.

Désormais, nous aurons systématiquement des comptes à rendre sur nos choix démocratiques comme si nous devions plaire à des gens arrogants, étrangers à notre pays qui s'arrogent un droit de regard absolu. Et qu'importe ce que décide la population suisse.

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L'ambassadeur suisse auprès de l'UE, Urs Bucher, a été entendu mardi par les représentants des Vingt-Huit notamment sur la mise en oeuvre de l'initiative «contre l'immigration de masse».

On l'a écouté avec un «intérêt bienveillant», malgré l'aspect délicat du sujet.

Selon le diplomate helvétique, plusieurs questions lui ont été posées quant au processus parlementaire sur le sujet de l'immigration de masse. Il n'a pu y répondre que «sous réserve», dans la mesure où ce processus n'a pas encore abouti.

C'est pourquoi les réactions de son auditoire ont été mesurées sur la solution de la préférence nationale «light» choisie par le Conseil national. Il y a trop de points d'interrogation, a-t-il expliqué.

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France. Forges-les-Bains: Plus de 60% de la population dit Non aux migrants. La Commune s’en fiche.

La commune de 3 800 habitants est agitée depuis début septembre par une vive polémique à propos de l’accueil de 91 migrants — que des hommes — dans une bâtisse appartenant à la ville de Paris, qui avait d’ailleurs été incendiée. Mercredi soir, de nombreux habitants espéraient que les élus les « respectent » et prennent en compte le sondage organisé par la mairie elle-même samedi dernier. « 61 % se sont prononcés contre le projet », rappelle Sébastien Roger de Forgeons l’avenir, un collectif d’une trentaine de personnes constitué par rapport à cette question des migrants. « Nos élus doivent prendre en compte ces résultats et les transmettre à l’Etat, poursuit-il. Alors que nous n’avons rien demandé notre commune est plongée dans une situation qu’elle n’a pas méritée. »

Malgré la demande des manifestants, des affiches et un courrier distribué dans la journée indiquait que la question des « migrants n’était pas à l’ordre du jour (NDLR : du conseil municipal) et que la salle ne pouvait accueillir plus de 50 personnes ». Marie Lespert Chabrier, la maire (SE), a fait savoir qu’une lettre ouverte sur le sondage était en cours de rédaction par les élus et qu’elle serait distribuée vendredi.

La mairie refuse d’aborder le sujet en conseil municipal

Mais les habitants veulent que la « mairie se positionne maintenant ». « On ne sait même pas s’ils sont pour ou contre », peste une habitante.

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Libération: « Le référendum, c’est l’exact contraire de la démocratie »

Christian Hofer: Libération, journal de gauche par excellence, qui a milité en faveur des pédophiles dans les années 70, vient ici nous dire que le référendum est à l'opposé de la démocratie. Le modèle suisse serait donc totalitaire!

Pour eux, le droit de choisir n'est plus légitime dès qu'il contrevient au dictat d'élites autoproclamées. Pire, il devient dangereux. La gauche ne s'oppose absolument pas au totalitarisme, elle en est même l'un des rouages centraux. Quant au parallèle imbécile avec le caviar, on constate tout le mépris de cette gauche friquée pour le simple peuple: ce n'est ni plus ni moins qu'un racisme social comme évoqué dans cet article.

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Le Brexit montre une nouvelle fois à quel point le référendum est à la démocratie ce que les œufs de lump sont au caviar, un vague succédané et non le summum de la souveraineté populaire qu’il est devenu depuis une vingtaine d’années sous l’impulsion de partis que l’on dit à tort «populistes», alors qu’ils sont xénophobes, nationalistes, autoritaires, à l’image du FN.

[...] Référendum après référendum, on ne peut que constater les dommages qu’ils causent à la démocratie représentative, car ils procèdent de l’idée que les représentants du peuple, pourtant démocratiquement élus, sont illégitimes pour engager leur pays, car incompétents, manipulateurs, soumis aux puissances de l’argent et bien sûr indifférents aux citoyens.

Le référendum, c’est l’exact contraire de la démocratie, qui n’est pas la dictature brutale de la majorité sur la minorité, mais un mécanisme complexe de pouvoirs-contrepouvoirs destinés à éviter les décisions prises à l’emporte-pièce, sur la base de mensonges ou pour des motivations qui n’ont rien à voir avec le sujet, et les réponses simplistes à des questions complexes, comme celle de l’appartenance à l’UE. [...]

Jean Quatremer

Libération

Un éminent psychologue danois avertit : L’immigration du moyen-orient menace la démocratie et mènera à la guerre civile

Un éminent docteur en psychologie comportementale danois a averti que la civilisation occidentale était “menacée” par le flux de migrants depuis le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, affirmant qu’une “guerre civile” serait sa conséquence la plus probable.

Écrivant dans le journal conservateur danois Jyllands-Posten, le Professeur Helmuth Nyborg – un expert des rapports entre hormones et intelligence – discutait de ses recherches antérieures et de “l’effet conjugué de la faible natalité européenne et de l’immigration d’individus à faible quotient intellectuel“ qui déboucherait sur “la mise en minorité des Occidentaux en Europe et que le QI moyen baisserait tellement que la prospérité, la démocratie et la civilisation étaient menacées“.

Nyborg a affirmé par le passé que des migrants à faible QI provenant de pays non-occidentaux généraient un déclin du niveau général de l’intelligence au sein des sociétés occidentales et, en conséquence, une chute du niveau de vie et une augmentation de la criminalité.

“En 2016, la politique actuelle d’immigration nous donne trois alternatives : la soumission, le rapatriement ou la guerre civile. Sauf si l’Europe entreprend d’adopter une politique familiale, migratoire et d’intégration responsable, je pense qu’une guerre civile est très probable“ écrit Nyborg.

Nyborg poursuit en mettant en garde sur la seule référence à “l’extrémisme de droite” qui ne fera pas disparaître les problèmes chroniques générés par la surpopulation et l’échec des politiques multiculturalistes, avertissant que les Européens de souche seront une minorité dans leurs propres pays d’ici 2050.

“Les sociétés ethniquement homogènes, civilisées et démocratiques d’Europe seront une chose du passé à moins d’un rapatriement honorable des migrants” avertit-il encore.

Les travaux du Dr Nyborg lui ont attiré, depuis de nombreuses années, les attaques de l’université et de la presse institutionnelles danoises, largement dominées par les socialistes et marxistes.

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Ne jouons pas avec la démocratie helvétique et son histoire

Par Dominique Schwander

 

Philippe Séguin en 1992 prophétisait: « On ne joue pas impunément avec les peuples et leur histoire. Toutes les chimères politiques sont appelées un jour ou l’autre à se briser sur les réalités historiques ». Les révolutions éclatent lorsque de multiples ressentiments fusionnent pour attaquer un régime qui ne s’y attend pas.

Nos Conseillers fédéraux Simonetta Sommaruga à la tête du Département fédéral de justice et police et Didier Burkhalter à la tête du Département fédéral des affaires étrangères ont montré qu’ils n’ont ni le caractère, ni le courage ni la persévérance pour s’engager sur une route encore inexplorée et affronter les problèmes actuels de repeuplement et les craintes justifiées des citoyens pour leur sécurité; ils n’ont pas le caractère pour faire des choix qui ne sont pas évidents pour leurs doctrines politiques; ils n’ont pas le courage de suivre un chemin qui est, dans un premier temps, solitaire et critiqué par les « useful idiots»; ils n’ont pas la détermination persistante pour apporter aux citoyens l’inspiration et la motivation nécessaires pour surmonter une difficulté après l’autre. De plus ces élus qui ignorent l’histoire ont oublié qu'au cours d’une période de bouleversement comme celle que l’Europe vit actuellement, un pays qui préserve son autorité intérieure est en mesure de tirer parti du chaos qui règne chez ses voisins pour se consacrer à ses futurs objectifs en particulier internationaux. Les grands dirigeants comme  Churchill, Roosevelt, de Gaulle, Tatcher, Adenauer, plusieurs excellents de nos Conseillers fédéraux pendant la deuxième guerre mondiale ainsi que Blocher, etc,  possédaient ces qualités de vision, de détermination et de courage, qualités dont le développement est devenu difficile dans notre société actuelle où la manipulation de l’information tend à remplacer tant la réflexion comme principal outil politique que l’écoute des citoyens.

Pendant leur campagne avant les dernières votations, la majorité de nos élus et tous les dirigeants de partis politiques, sauf l’UDC ou Union Démocratique du Centre, ont succombé à la  tentation de satisfaire aux revendications des angéliques, des « useful idiots » et des UE-idolâtres, afin que ce troupeau l’emporte à court terme et émotionnellement sur un jugement raisonné et indispensable pour définir, en accord avec des objectifs à long terme, un choix complexe pour la nation. Ce faisant nos élus ont affaibli la distinction entre information, connaissance et sagesse, ce qui est très grave pour notre démocratie.

Dans les faits, nos élus « démocratiques »  se sont laissés porter vers une approche démagogique reposant sur un appel aux émotions de l’opinion publique  terrorisée, au lieu du processus raisonné que les fondateurs de la Suisse avaient choisis et défendus en 1291. Les grands hommes d’État, de quelques tendances politiques qu’il soient, possèdent toujours une solide culture de l’histoire et des vertus de leur pays, parce que, comme  l’a écrit le philosophe et homme politique irlandais Edmund Burke (1729-1797) : « Ceux qui ne tiennent aucun compte de leurs ancêtres en tiendront bien peu de leur postérité. »  L’histoire joue pour les nations le rôle que la valeur du caractère donne aux êtres humains. Nos élus, pour menacer puis terroriser les électeurs, ont ignoré notre histoire et utilisé un des aspects les plus radicaux de la nouvelle technologie du cyberspace qui est le pouvoir de traiter et de contrôler l’information, d’influencer le déb at et, dans une certaine mesure, de définir la vérité dont ces mêmes élus ont investi des petits groupes tels que des anciens conseillers fédéraux, des juges, des professeurs d’universités, des créateurs d’un drapeau suisse à croix gammée, etc, tous évidemment considérés, par des braves gens, au sommet des structures politiques, économiques et artistiques.

Dans le passé nos dirigeants jouaient leur rôle démocratique comme des leaders; ils reconnaissaient que leur pouvoir ne consistait pas à se plier aux résultats de sondages au jour le jour, mais à écouter les citoyens et à obéir aux votes du Souverain. Trop de nos élus actuels ont hésité à exercer un leadership indépendant des techniques d’exploitation de données, en comptant que leur maîtrise de l’information les récompensera d’avoir mené une politique astucieuse à court terme, en leur assurant une réélection. Les modérateurs et la majorité des participants aux débats publics dans tous nos médias se sont laissés guider moins par les arguments de la raison et de l’observation des faits quotidiens que par ce qui reflète l’état d’esprit et les émotions du jour. Les porte-parole des médias de ces élus ou plutôt leur ministère de la propagande, payés en Suisse par les contribuables (!), on eut recours à leur talent théâtral et dramatique pour marteler leurs critiques et leurs menaces dans la conscience publique des Suisses avec l’objectif non dissimulé de les terroriser et d’asseoir la domination des élus ainsi que la leur, et afin que de nombreux électeurs exaltent leur rôle d’électeur en faisant une expérience émotionnelle angélique donc gratifiante. Ce que ces électeurs ont recherché c’est le consensus par le partage d’émotions non pas par l’échange d’idées, fondé sur l’observation de la réalité et la raison. Ces électeurs en prenant émotionnellement la défense de graves criminels et en méprisant les victimes ont-ils finalement agit contre les intérêts de notre pays ? L’avenir nous le dira. Rappelons ici que pour Franklin Delano Roosevelt, si une nation ne peut ou ne veut pas agir pour défendre ses propres intérêts, elle ne peut pas non plus inspirer le respect. Tout état a la même obligation d’assurer la sécurité de son peuple que celle d’un citoyen particulier d'assurer la sécurité de son propre corps. Même si ces deux obligations s’effritent au XXI ème siècle.

Les plus grandes forces de la Suisse étaient son esprit civique, son administration efficace et son armée forte et bien entraînée. Par le passé, un vrai élu au service du peuple souverain cherchait à modérer notre instinct (et donc surtout le sien) qui nous et le pousse à croire que nous savons ce qui est le mieux pour les autres, ce qui est l’exemple de l’ingérence. Cette dernière votation préfigure la dictature silencieuse d’un régime totalitaire moderne, dans lequel la volonté du Souverain ratifie des décisions déjà annoncées par des manifestations manipulatrices massives, émotionnelles et terrorisantes soigneusement mises en scène.

Négliger son futur démocratique, quand nous avons appris et savons comment orienter ce futur, entraîne des risques à long terme. Négliger son présent en négligeant la sécurité dans l’actuel tourment européen, c’est risquer une catastrophe à brève échéance. En règle générale, la voie politique la plus durable comprend un mélange de réalisme et d’idéalisme. Cette distinction est à la base de la divergence de vues entre traditionalistes et activistes. Chaque fois qu’un problème se pose, tout élu doit peser le pour et le contre traditionaliste et activiste.
Deng Xiaoping a de même fort bien exprimé ce qui est le plus important: « En réalité, la souveraineté nationale est beaucoup plus importante que les droits de l’homme, mais le Groupe des Sept (ou Huit) empiète souvent sur la souveraineté des pays pauvres et faibles du tiers-monde. Tous leurs discours sur les droits de l’homme, la liberté et la démocratie ne sont destinés qu’à sauvegarder les intérêts des pays forts et riches, qui profitent de leur force pour tyranniser les pays faibles, et qui recherchent l’hégémonie et pratiquent une politique de force. »

Aux Suisses, majoritaires lors de cette dernière votation, qui chérissent les criminels, qui ont voté contre l’initiative exigeant la mise en oeuvre sans plus tarder de l’initiative acceptée il y a cinq ans d’expulser les graves criminels étrangers et qui se plaindront des crimes, des criminels et de leurs coûts prohibitifs pour les contribuables, je leur citerai alors Bossuet:

“Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.”

Dominique Schwander

Johan Rochel, vice-président du Forum de politique étrangère: “Il faut en finir avec cette idée de démocratie directe «über alles».”

Christian Hofer: On notera que le Temps donne encore la parole à une personne réfractaire à la démocratie directe, personne que le peuple n'a jamais élue et qui s'autorise à se présenter en tant que "un spécialiste", alors que son think tank vise clairement à influencer le peuple et les politiques selon sa doctrine. On relèvera encore que cet individu, au lieu de dénoncer les mensonges du CF sur la libre circulation (promesse que seules 8'000 personnes étrangères s'installeraient en Suisse chaque année alors qu'en réalité il y en a eu 80'000) ose pointer du doigt le peuple qui "pose problème". L'inversion est tout simplement immonde. Aujourd'hui, les divers pays de l'UE s'octroient le droit de reprendre le contrôle de leurs frontières mais bien évidemment pour cet hurluberlu, la Suisse "devrait suivre la libre circulation à la lettre".

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Le 9 février 2014, le peuple suisse acceptait à 50,3% l’initiative de l’UDC «Contre l’immigration de masse». Deux ans plus tard, un chemin long et parsemé de difficultés reste à parcourir pour parvenir à mettre en œuvre le nouvel article constitutionnel. L’analyse de Johan Rochel, vice-président du Forum de politique étrangère (Foraus).

– Le Temps: Depuis deux ans, les mesures prises pour favoriser la main d’oeuvre indigène n’ont pas déployé d’effets spectaculaires, le solde migratoire continue d’augmenter et la stratégie diplomatique de la Suisse vis-à-vis de l’Europe ne convainc guère. Les Suisses qui ont accepté l’initiative de l’UDC n’ont-ils pas des motifs de s’interroger?

Johan Rochel:

Il faut en finir avec cette idée de démocratie directe «über alles». C’est une folie de penser qu’en votant pour un changement de la Constitution, la situation va évoluer immédiatement. Accepter de modifier la Constitution, c’est donner la mission au parlement de rédiger une loi. La démocratie prend du temps, encore plus lorsqu’elle touche aux relations internationales. S’agissant du vote du 9 février 2014, le nouvel article 121a a introduit des contingents annuels pour les travailleurs étrangers, ainsi que la préférence nationale. Ces deux exigences entrent en contradiction frontale avec d’autres engagements pris par les mêmes citoyens suisses, en particulier l’accord sur la libre circulation des personnes. Les Suisses ont voulu deux choses incompatibles et deux ans après le vote, cette incompatibilité n’est toujours pas levée.

Ma position est claire: les citoyens se sont mis dans une position complètement contradictoire et ils ont mis le Conseil fédéral dans une position impossible.

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Les démocraties ne sont plus que des coquilles vides

Comment expliquer le laxisme de nos dirigeants politiques autrement que par une volonté de laisser-faire. Autrement que par une complicité certaine avec les tenants de l'islam. Avec des organisations financières, industrielles et islamiques.

Comment expliquer autrement cette volonté de destruction des fondamentaux culturels des nations européennes et singulièrement la nation française. Araser les cultures, déraciner les peuples de leur terre ancestrale, nier leurs racines, refuser la terre de souche, pour faire de l'humanité pensante et solidaire, un magma d'individus isolés entre eux, hors sol et seulement animés par le besoin, le désir immédiat, l'envie, et la jalousie s'il le faut (entendre le contenu de certaines publicités).

Vouloir promouvoir l'individu par rapport à sa famille, son voisinage immédiat, son quartier et ses groupes d'intérêts ! Affirmer et valoriser le consommateur lambda sur le citoyen éclairé, le caddie du marché sur la réflexion, l'achat immédiat face aux projets familiaux à long terme, celui d'objets inutiles, et celui d'enfants et de ventres de femmes ! Au nom de la liberté bien sûr, mais surtout marchande !

Le monde d'aujourd'hui annonce ce fameux mondialisme, ce marché où l'entreprise aura la main sur les  décisions nationales et finalement sur les peuples vus comme des troupeaux (voir les négociations secrètes : TAFTA)! Ce mondialisme que l'on nous annonce irréversible, "chargé de progrès" ne vous rappelle-t-il pas la belle Europe annoncée et imposée de force, à coup de référendum aboli, et qui aujourd'hui, nous abaisse, nous réduit, nous détruit. Un exemple que l'on veut instituer à plus grande échelle.

Cela passe par la peur de l'autre, par l'ennemi déclaré. La vieille recette des boches et de la ligne bleue des Vosges qui se termina par deux guerres mondiales bien sanguinaires. L'ennemi en l'occurrence, c'est le musulman. Celui qui autorise de fait, par ses attentats commis et supposés, toutes les lois sécuritaires, les états d'urgences à répétition, et qui aboutiront à une surveillance des sites internet au nom de la sécurité, puis des sites antimondialistes en ayant au passage, réglé le compte des sites de libre information.

C'est une vaste farce qui se déroule sur nos écrans, car en fait, tout se joue désormais, au-dessus des peuples, au-delà des démocraties qui ne sont plus que des coquilles vides. Des peuples que l'on distrait au lieu d'informer. Infos/intox, et on balance des énormités qui marchent à chaque fois. Dernièrement, c'est un Nicolas Sarkozy qui nous a fait le coup du repenti et bien sûr, il explose les ventes. Ah misère de misère ! La perversion de la cité commence par la fraude des mots disait Platon. Rien de neuf.

Plus c'est gros, mieux cela passe, surtout si vous y mettez une petite larme, un ton, un regard. Rien ne sert de dire que l'on a changé, on sait bien que dans ce monde de requins, vous devez avoir toutes vos dents. Sarko les a en double.

En fait, à quoi bon éduquer les peuples? Pour en faire quoi?

Leur permettre de réfléchir par eux-mêmes? D'avoir des lumières ? La plupart des citoyens qui composent notre peuple n'ont plus ou pas l'électricité à tous les étages. L'éducation nationale est passée par là !  Mais admettons qu'ils aient encore les branchements, ils seraient sans doute capable d'en tirer profit au bout d'un moment, et qui sait, ne plus regarder les infos sur Canal+, TF1France Pravda télévision et se mettre à réfléchir et à comprendre. Déjà qu'ils sentent confusément, comme les moutons, qu'ils vont droit à l'abattoir, à la production de masse. Pourquoi lui montrer aujourd'hui, la lame qui lui coupera la gorge et le dépouillera de sa laine.

Individualiser les peuples pour les rendre plus vulnérables est bien plus profitable pour certains. C'est mon sentiment et dans cette réflexion, j'y inclus ces fameux musulmans dit modérés qui ne disent rien, qui ne manifestent jamais, qui ne font jamais de manifestations dans les rues pour dire leur écœurement de tous ces meurtres commis au nom de leur religion par d'autres musulmans. Ils imaginent sans doute, on le leur dit dans les mosquées, que l'islam c'est l'avenir de l'humanité. Pauvres fous et malades de dieu, alors même que l'islam n'est lui aussi qu'un outil, une lame qui fera d'eux, les futurs moutons d'une production qui ne sera pas forcément halal. En fait, ce qui est pratique avec eux, et comme l'avait bien compris Hitler, c'est qu'ils sont intrinsèquement des esclaves, préparés à l'abattoir au nom d'Allah le pourfendeur, complice in fine, des banquiers de Ryad à New-York en passant par Londres.

Suis-je trop pessimiste? En effet, plus le temps passe et plus je me sens désarmé. Plus je regarde ce qui se fait en France, plus je suis surpris par cette facilité qu'ont les Français de ne rien comprendre, ne rien voir, trouver des excuses idiotes y compris lors des viols collectifs à Cologne et dans d'autres villes allemandes !

Et puis, cette façon d'aller obéir à des ordres venus d'en haut, malgré qu'ils soient contraires à leurs convictions profondes comme nous l'avons vu aux dernières régionales m'a stupéfait. Il suffit donc de montrer une image de méchant, d'agiter un chiffon rouge, et l'électeur imbécile, tel le taureau déjà affaibli par de multiples blessures et gavé d'intox, se précipite dans le vide électoral sous les applaudissements des actionnaires, des propriétaires et des rentiers.

Tout cela pour dire que si la situation est grave, il reste important de réagir, de dénoncer encore et encore, de soutenir tous ceux qui appellent à la résistance car l'avenir n'est pas écrit. Et puis, quitte à mourir, autant ne pas mourir idiot et rester debout. Protester contre les interdictions de manifester lorsqu'il s'agit de manifestations patriotes, et autoriser celles de la violence des anti-fas, ce triste et lamentable groupe de gauchistes au service de Manuel Valls.

Il faut dénoncer les tordus de la socia-lie, ceux qui vous disent qu'ils vont fermer les mosquées salafistes, expulser les radicaux islamistes alors mêmes que ces ordures d'islamistes ne sont que les produits de cette socia-lie aux ordres de la finance et du grand capital industriel.

Pour conclure, je n'ai jamais su les tenants et les aboutissants des fameux "printemps arabes" qui annonçaient un vent de liberté au Moyen-Orient, ni pourquoi Sarkozy, Bernard Henri Lévy, François Fillon et Alain Juppé, ont bombardé la Libye et enclenché de fait, cette spirale infernale qui a abouti aujourd'hui, à une invasion migratoire. Était-ce le but final finalement ? Je le soupçonne sérieusement !

Personne, aucun journaliste ne les questionne sur ces faits, sur leurs véritables motivations ! Je n'ai d'ailleurs vu aucune excuse de ce genre, ni d'explications dans les livres politiciens de Juppé, Sarkozy et Fillon, et pourtant, tous ces braves gens sont à l'origine de milliers de morts, y compris suite aux attentats en France, et il semble n'avoir pas l'ombre d'un regret.

Quant à BHL, je lui adresse mon plus profond mépris. Il sera dans l'avenir, un homme bien seul.

Gérard Brazon

Le camarade Bideau, grand démocrate devant l’Eternel [audio]

 

Ndlr : Le comédien Jean-Luc Bideau nous a fait ce soir une démonstration magistrale de démocratie socialiste au sujet de l'élection au Conseil fédéral du 9 décembre prochain. RTS/Forum du 02.12.15

En début de journal, Forum nous informe ce soir que le groupe socialiste a finalement décidé d'auditionner les trois candidats proposés par l'UDC pour la course au Conseil fédéral. Cette manière d'accepter les revendications de l'UDC ne passe pas très bien auprès de la base. Tactique contre principe, le débat déchire les élus roses aux chambres. Débat entre Jean-Luc Bideau, acteur suisse et militant socialiste, et Hans Stöckli, conseiller aux Etats socialiste bernois (dès 2'35'', mais ce qui précède est intéressant...)

France : La démocratie totalitaire

La démocratie est, non seulement la principale "ennemie de la propriété privée", mais aussi de la loi. Les squatters qui occupent illégalement le bien d'autrui ont tous les droits et ils sont indélogeables.

Quand la majorité des citoyens, c'est-à-dire plus de la moitié de la population, ne paient pas d'impôts, il est très facile de profiter du vote démocratique pour augmenter les impôts des autres.

Quand, par le fait très politique de l'immigration massive, et des naturalisations démocratiques quasi-automatiques, il est clair la majorité des citoyens, donc plus de la moitié de la population, approuvent la multiplication des mosquées et le port ostentatoire du voile dans les espaces publics, comme affirmation identitaire et revendication politique.

Quand la majorité des citoyens, c'est-à-dire plus de la moitié de la population, vivent sous la menace d'un appauvrissement constant, du fait de l'incompétence et de l'amateurisme de Hollande, l'audacieux inutile, comme de l'impuissance la république socialiste, il est très facile de profiter du vote démocratique pour spolier et condamner les riches, c'est-à-dire ceux qui ont travaillé et qui ont économisé longtemps pour avoir un bien.

Quand la majorité des citoyens, c'est-à-dire plus de la moitié de la population, occupent un logement en tant que locataire, il est très facile de profiter de la tolérance démocratique pour refuser de payer son loyer.

Quand la majorité des citoyens, c'est-à-dire plus de la moitié de la population, vivent en délicatesse avec la loi et les règlements, il est très facile de profiter de la tolérance démocratique pour s'en prendre aux forces de l'ordre et défier la justice démocratique déliquescente, naturellement soumise aux délinquants.

La république socialiste de l'incompétence politique, et de l'amateurisme de Hollande, est parmi les sociétés les plus bienveillantes, face à la puissance montante du djihad qui travaille activement à la détruire.

L'acharnement de Hollande, l'audacieux inutile, à effacer toute forme de démocratie véritable, aussi bien que toute liberté d'expression, contre la France profonde, est la marque distinctive de la haine de la nation et de la patrie. Hollande, l'audacieux inutile, aura tout fait pour humilier la France qui travaille et pour détruire les classes moyennes et les familles qui se sentent anéanties par la tyrannie idéologique de l'État-PS.

Dans le fond, l'acharnement de Hollande, l'audacieux inutile, vise à effacer la civilisation occidentale chrétienne, au profit des laïcards séniles du GOF et de la Libre Pensée insensée ! Il est clair que les succès du moment, qu'il remporte en poursuivant cette tâche de déconstruction des valeurs du pays réel, se limitent à l'espace médiatique des copains, les idéologues profiteurs corrompus de la mystification socialo-populiste, et les donneurs de leçons que sont les intellos-bobos-collabos friqués, qui nuisent dans tous les médias.

Avec Hollande, l'audacieux inutile, la civilisation occidentale chrétienne doit disparaître. C'est pourquoi il doit absolument légitimer la victoire de son plus funeste ennemi. Que la république socialiste de Hollande veuille détruire la vraie démocratie, c'est naturel pour un nostalgique du totalitarisme soviétique. Le problème est le même que celui des émeutes de la faim. Le premier mouvement des émeutiers est de mettre le feu aux boulangeries, et aux stocks de nourriture, après avoir voulu piller les magasins. En voulant humilier les chefs d'entreprise et surtaxer les moyens de production, Hollande a mis le feu à l'augmentation du chômage.

Hollande, l'audacieux inutile, a cru que l'intérêt des salariés et des chefs d'entreprise devait être tous deux absolument incompatibles et que la survie des salariés dépendait de l'humiliation de l'esprit d'entreprise.

Que Hollande, l'audacieux inutile, ait été, dans son offensive contre les chefs d'entreprise, le plus stupide parmi les présidents déplorables de la république, cela ne fait que confirmer son incompétence.

Malgré cela, le Barbier de Serville veut nous faire croire que Hollande, l'audacieux inutile, serait un fin politicien, d'une puissance cérébrale inouïe, sachant se montrer parmi les meilleurs manœuvriers qui soient.

Pauvre Barbier de Serville, qui se croit plus malin qu'un autre dans ses bavardages à la télé. Dans la réorganisation et les licenciements au sein de L'express, il devrait pouvoir bénéficier de la priorité absolue.

En suivant la pente de la destinée de Hollande, l'audacieux inutile, il est naturel et plus que probable que sa réélection imaginaire sera frappée, non seulement d'une honte infinie, mais aussi de l'humiliation de sa défaite justifiée en 2017. Face à ses partisans comme à ses adversaires, le pauvre Valls déploie un misérable luxe de raisons pour dépeindre toute forme de défense de l'UMPS contre la Ligne Bleu-Marine, la seule vraie protection des citoyens contre la gabegie fiscaliste et la tyrannie idéologique de l'État-PS. La Ligne Bleu-Marine, c'est mieux, moins coûteux et plus efficace, que la Ligne Maginot, contre l'invasion immigrationniste et l'ennemi de l'étranger. Cette ligne de défense Bleu-Marine, contre l'invasion immigrationniste, est jugée par les socialistes en général comme immorale, bien sûr superflue et inutile, souvent même comme dangereuse.

C'est le problème de la résistance contre la destruction de la civilisation occidentale chrétienne, celle qui perd confiance en elle-même sous les coups de boutoir des activistes et idéologues du lobby GOF-LGBT.

Quand la civilisation occidentale chrétienne cesse de se croire capables de survivre, du fait d'une crise interne aggravée par la menace d'un ennemi intérieur socialo-populiste tellement fort, Hollande croit qu'il faut choisir la soumission, à la façon des adeptes de la tyrannie du Wellbeckistan. Ce qui distingue la tyrannie du Wellbeckistan, c'est son ardeur à étaler au grand jour sa croyance en sa future domination politico-religieuse, qui doit rester cachée, et en l'issue fatale qui en résultera pour l'Occident chrétien de toujours.

La stratégie de la tyrannie du Wellbeckistan fait qu'il n'y a pas de secret honteux à vouloir cacher ce zèle, cette croyance et cette détermination ordinaire à parvenir à la domination politique et religieuse. Surtout quand la tyrannie du Wellbeckistan sait parfaitement que la civilisation occidentale chrétienne est condamnée par la décadence morale et spirituelle. C'est avec un zèle destructeur que le lobby GOF-LGBTQ met à forger, avec ses activistes forcenés, une tendance médiatique prolifique destinée à mystifier la jeunesse occidentale.

Les faux arguments des activistes du lobby GOF-LGBTQ, soutenus par Hollande et l'idéologie des "ABCD de l'égalité", se présentent comme aptes à établir le "bon droit usurpé" des adversaires névropathes et pervers de la vie sexuelle normale. C'est-à-dire, contre le droit naturel de la famille hétérosexuelle normale.

C'est pourquoi Hollande, l'audacieux inutile, est le plus prédisposé à nourrir le dossier accablant de ses propres insuffisances, alors que la stratégie de la Ligne Bleu-Marine prône le référendum et le retour à la vraie la démocratie. C'est pour cela que la Ligne Bleu-Marine nous encourage à entrer en résistance.

Dr Thierry-Ferjeux MICHAUD-NÉRARD

Une communauté européenne si démocratique

Nos lecteurs nous communiquent (merci à PM)

«Je ne pensais pas que le TTIP aurait pu être plus effrayant, mais j’ai parlé à la responsable de l’UE en charge de celui-ci. Avec seulement huit mots elle a dévoilé ce qui ne colle pas avec cet accord et pourquoi il doit être combattu»

Par John Hilary – Le 16 octobre 2015 – The Independent

J’ai eu récemment la chance rare de pouvoir jeter un œil derrière la façade officielle de l’Union européenne lorsque j’ai rencontré la commissaire au commerce dans son bureau à Bruxelles. J’y étais pour parler du Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement [TTIP, Transatlantic Trade and Investment Partnership NdT], cet accord commercial si controversé, en cours de négociations entre l’Union européenne et les États Unis.

Suite en français

 

 

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