Danemark : Des migrants accusés d’avoir abusé sexuellement de 4 jeunes filles. Pour la mère de l’un des migrants, le racisme est à l’origine de leur arrestation.

Christian Hofer : Il existe des différences entre la source danoise et anglaise quant aux chiffres des accusés et des victimes. Le média danois parle d'au moins 4 filles et d'un groupe de 8 jeunes migrants dont 6 ont été incarcérés.

Le site en anglais parle de 5 filles et d'un groupe de 6 jeunes migrants dont 5 ont été incarcérés.

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Six garçons issus de l'immigration sont accusés de viol ou de tentative de viol sur au moins 4 jeunes filles à Hørsholm, Nivå et Kokkedal, rapporte le média danois BT.

La police de Nordsjællands enquête actuellement sur un certain nombre de viols présumés de filles à Nivå, Kokkedal et Hørsholm qui dateraient de l'année dernière. En attendant, les parents locaux ont peur et surveillent attentivement leurs enfants.

Les garçons plaident non coupables. Certaines filles auraient pratiquer le sexe oral et d'autres auraient été violées.

"Il n'y a pas eu de viol. Si vous êtes avec une fille chez elle, ce n'est pas un viol, ce n'est pas comme si vous attrapiez une fille à l'extérieur et que vous la forciez à avoir une relation sexuelle. Elles ont menti et les accusations sont exagérées », explique le père de l'un des garçons.

L'une des mères de ces garçons soutient que le «racisme» se cache derrière ces accusations.

"Je pleure quand je pense à lui. Je n'ai que lui. Il est vraiment doux et poli, et il ne dérange personne. (..) Tout à coup, la police est venue l'arrêter. Maintenant, je veux comprendre pour quelle raison. Je pense que c'est étrange. Peut-être qu'elle [la victime] est raciste ou a quelque chose contre les étrangers », déclare la mère.

Six garçons sont détenus depuis juin et se trouvent dans un établissement fermé pour jeunes.

Selon les médias danois, tous les suspects portent des noms turcs ou arabes.

Source Source2

 

 

 

 

 

Danemark : une étude montre que 10 violeurs sur 12 sont des étrangers ou leurs descendants

Un examen de toutes les condamnations pour viol au Danemark depuis un an et demi montre que 10 des 12 personnes reconnues coupables de violence armée sont des étrangers, des immigrés ou des descendants.

 

 

 

« C’est complètement horrible. Et cela dit quelque chose qui ne va pas chez certaines communautés d’immigrants au Danemark », a déclaré le ministre de l’Intégration et de l’Immigration, Inger Støjberg (V), à BT.

Le chiffre provient d’un examen unique BT a fait de toutes les condamnations pour viol de Janvier 2016 pour mai 2017. L’examen est le premier du genre, et au cours des semaines à venir, BT mettra l’accent sur les personnes qui commettent des viols au Danemark .

Inger Støjberg. Inger Støjberg. Photo: Mads Claus Rasmussen
Les crimes d’agression où les victimes et les auteurs ne se connaissent pas ou ne se connaissent que très marginalement, est le type de viol qui est moins prononcé au Danemark. Pour une période d’environ un an et demi, 12 personnes ont été reconnues coupables du type de viol. Parmi ceux-ci, 10 immigrants ou descendants d’immigrants sont. Ils proviennent, entre autres, de la Macédoine, de la Somalie, de la Bulgarie, de l’Irak et de l’Érythrée. Tous les acteurs dans les cas d’agression sexuelle sont des hommes, selon la revue.

Le fait que BT compte sur l’origine ethnique de la personne condamnée se fonde sur des informations contenues dans les jugements relatifs au pays d’origine du condamné et sur la question de savoir si les personnes auraient pu figurer dans la phrase.

Bien qu’Inger Støjberg trouve l’information «horrible», elle n’est pas surprise:

« C’est quelque chose que nous avons vu pendant de nombreuses années que les taux de criminalité sont beaucoup plus élevés dans les milieux immigrés que chez les Danois. Et quand je vois ces viols très violents – y compris la violence d’assaut – c’est un signe clair que vous n’avez pas pris le Danemark. Et vous avez également une vision complètement confessée des femmes quand vous commettez des viols comme elles ici », explique Inger Støjberg.

« Ils ne se sentent pas comme faisant partie de la société »
Dans l’examen des condamnations de viol par BT, il semble que plusieurs des auteurs des agressions soient arrivés au pays ces dernières années, alors que deux des 12 condamnés ont séjourné illégalement au Danemark. En moyenne, ils ont 23 ans et environ la moitié des personnes condamnées ont été touchées en attaquant leurs victimes.

Dans trois des cas de crimes d’agression, les auteurs ont tenté de violer davantage de victimes avant leur arrestation. Un agresseur de 19 ans a tenté de violer trois femmes quelques heures à Rungsted pendant quelques heures. À Copenhague, un Macédonien de 35 ans a été condamné pour effrayer les 22 filles et a tenté d’en violer trois à Copenhague. Enfin, parmi les officiers de l’escouade, il y a aussi un auteur de 15 ans qui a tenté de violer six jeunes filles et femmes différentes entre mars 2015 et octobre 2015 à Lyngby.

En haut de l’article, vous pouvez voir une reconstruction de l’un des 12 quartiers d’assaut.

BT a parlé à plusieurs experts qui donnent leur offre pourquoi les immigrés ou les descendants sont violemment surreprésentés. L’un d’eux est Christian Diesen, professeur de droit procédural à l’Université de Stockholm. Il a étudié la surreprésentation des étrangers dans les affaires de viol en Suède:

« La raison de la surreprésentation est la faible intégration. Ils ne se sentent pas comme faisant partie de la société, se sentent vite dehors et méprisent la société et les autres », explique Christian Diesen, en expliquant:

Christian Diesen estime que la surreprésentation des immigrés dans les statistiques sur le viol est due à une intégration ratée. Christian Diesen estime que la surreprésentation des immigrés dans les statistiques sur le viol est due à une intégration ratée. Montrer plus
«Nous voyons en Suède, en particulier parmi les immigrants qui sont accusés de viol, qu’ils blâment la femme – la victime – en l’appelant un luder et en disant qu’elle s’est comportée d’une manière qu’elle était coupable de cela. Elle y a participé, et au début elle avait des g-string et était rasée au fond.  »

Christian Diesen dit que, dans ses recherches, il a également montré que les immigrés et les descendants sont surreprésentés lorsqu’il s’agit de viols où les victimes et les auteurs ne se connaissent pas ou se connaissent très peu.

La même conclusion est tirée du rapport du Conseil de la prévention pénale intitulé «Violations sexuelles au Danemark» de l’année dernière.

Les chercheurs du rapport constatent que «la relation sociale de la victime avec la personne qui commet une agression sexuelle est significativement différente entre les acteurs d’origine danoise et d’origine ethnique autre que danoise. Les résultats indiquent que les origines ethniques sont plus souvent inconnues de la victime, en ce sens qu’elles ne se connaissent pas depuis plus de 24 heures avant l’incident.

BT.dk

L’Autriche et le Danemark veulent ouvrir des camps pour les demandeurs d’asile déboutés hors du territoire de l’UE

Selon le premier ministre danois, Copenhague est en discussion avec Vienne et « d’autres pays » de l’Union pour la mise en place d’un « nouveau régime européen de l’asile ».

Leurs divisions et la pression des populistes font décidément naître les idées les plus renversantes parmi les dirigeants européens quant au traitement à réserver aux demandeurs d’asile et au refoulement de ceux qui en ont été déboutés.

Mardi 5 juin, le premier ministre danois, Lars Lokke Rasmussen, a annoncé que son pays était en discussion avec l’Autriche – qui assumera bientôt la présidence tournante de l’Union – et « d’autres pays » pour la mise en place d’un « nouveau régime européen de l’asile ». Point central du dispositif : la création de « centres communs de réception et d’expulsion en Europe », mais hors du territoire de l’UE semble-t-il. En clair, des camps de rétention, où se retrouveraient des migrants ne pouvant prétendre à une demande d’asile, ou ne pouvant être rapidement renvoyés.

M. Rasmussen n’a pas mentionné la possible localisation de ces camps. Ils ne seraient pas, selon lui, « sur la liste des destinations préférées des migrants et des passeurs ». Il s’agirait en fait, selon plusieurs sources, de l’Albanie et du Kosovo, candidats à l’adhésion à l’UE. Le premier ministre a évoqué des contacts « avec d’autres dirigeants européens » et se disait « optimiste » quant à la mise en place d’un projet pilote « d’ici à la fin de l’année ». L’idée d’ouvrir des camps dans des pays européens, hors UE, est également portée par le ministre autrichien de l’intérieur, Herbert Kickl, poids lourd du FPÖ (extrême droite) au sein de la coalition au pouvoir à Vienne. Les premières discussions auraient en fait eu lieu à Sofia, en marge du sommet entre les Vingt-Huit et cinq pays des Balkans occidentaux, le 17 mai.

(…) La Commission européenne est embarrassée. Elle considère que les projets en question relèvent d’« initiatives nationales », en soulignant qu’il serait préférable d’avoir une approche européenne, fondée sur les « valeurs » de l’Union.

Le Monde

Le Danemark devient le cinquième pays d’Europe à bannir la burqa et le niqab. Amnesty International fustige la loi.

Le Danemark devient le cinquième pays d'Europe à bannir la burqa et le niqab.

La loi interdisant la burqa et le niqab a été soumis à un vote législatif et elle a été majoritairement approuvée.

On peut dire que la loi va très loin, car techniquement, elle concerne tous les accessoires qui cachent entièrement le visage. Ainsi, des vêtements pour se protéger du froid qui cacheraient le visage ou même un casque de moto avec visière pourraient faire l'objet d'une interdiction.

Bien que les politiciens se soient défendus d'avoir voté une loi avec des visées religieuses, il est très clair que la loi a été adoptée afin d'interdire spécifiquement le port de la burqa et du niqab.

Il faut avoir que les turbans et la kippa (calotte portée traditionnellement par les Juifs pratiquants) ne sont pas touchés par cette interdiction.

D'ailleurs, le gouvernement s'est empressé de faire savoir à la population que ce serait à la discrétion de la police d'appliquer cette loi selon les circonstances. Ainsi, les cas qui concerneront une cagoule ou un casque de moto avec visière devraient être exclus, à moins d'une situation insolite.

La loi sera applicable dès le 1er août.

 

 

Pour Amnesty, l'interdiction des vêtements cachant le visage constitue une violation discriminatoire des droits des femmes

En réaction, Gauri von Gulik, directrice pour l'Europe à Amnesty International, a déclaré :

« Toutes les femmes devraient être libres de se vêtir comme elles le souhaitent et de porter des vêtements qui expriment leur identité ou leurs croyances. Cette interdiction aura un effet particulièrement négatif sur les femmes musulmanes qui choisissent de porter le niqab ou la burqa.

« Si certaines restrictions précises au port du voile intégral peuvent s'avérer légitimes pour des raisons de sécurité publique, cette interdiction totale n'est ni nécessaire ni proportionnée et bafoue les droits à la liberté  d'expression et de religion.

« Si l'intention de cette loi est de protéger les droits des femmes, c'est un échec total. En fait, elle criminalise les femmes pour le choix de leur tenue et va donc à l'encontre des libertés que le Danemark prétend défendre. »

 

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La ministre danoise de l’Immigration estime qu’un grand nombre de migrants « trichent, mentent et abusent de la confiance des autorités » pour obtenir le statut de réfugié

Dans un éditorial, Inger Støjberg, la ministre danoise de l’Immigration a déclaré qu’un « nombre important » de demandeurs d’asile « trichaient, mentaient et abusaient de la confiance du gouvernement danois » pour recevoir le statut avantageux de réfugié politique.

Un autre problème mis en évidence par Stojberg est l’âge des soi-disant mineurs parmi les migrants, dont beaucoup sont des hommes adultes se faisant passer pour des adolescents. « Nous voyons ainsi des jeunes de moins de 18 ans qui se frayent un chemin pour obtenir de meilleurs traitements et plus d’avantages », a-t-elle déclaré, soulignant qu’un mineur non accompagné coûte plus de 500 000 couronnes par an. « En fait, les deux tiers des réfugiés admis au Danemark se sont révélés être plus âgés que l’âge qu’ils ont donné à leur arrivée », a-t-elle ajouté.

(…)

Bt.dk via fdesouche.com

Danemark: Peine doublée pour les délinquants des “ghettos”. Les immigrés extra-Européens dans le collimateur.

Le gouvernement danois a indiqué aujourd'hui qu'il voulait s'attaquer à la criminalité dans les "ghettos" en y sanctionnant les délits deux fois plus sévèrement que ceux perpétrés sur le reste du territoire. L'instauration d'une échelle de peines spécifique pour certaines zones d'habitation à forte population immigrée doit être présentée jeudi par le premier ministre Lars Løkke Rasmussen dans le cadre d'un plan d'action global pour ces quartiers.

Les délits concernés ne sont pas précisément arrêtés à ce stade, mais le ministre de la Justice Søren Pape Poulsen a évoqué dans un entretien au journal Berlingske Tidende "le vandalisme, le vol et les menaces". "Dans ces quartiers, on saura désormais que le marteau de la justice s'abat plus lourdement" qu'ailleurs, a expliqué le ministre, membre du Parti populaire conservateur.

Le quotidien cite des statistiques de la police selon lesquelles 63% des Danois vivant dans ces quartiers sensibles se sentaient en sécurité en 2017, contre 72% en 2016. Au niveau national, ces chiffres étaient de 79% et 81% respectivement. Pour le chef du gouvernement (Parti libéral), l'objectif est "Plus de ghetto en 2030".

Pour le chef du gouvernement (Parti libéral), l'objectif est «Plus de ghetto en 2030». «Une proportion trop importante» des immigrés vivant au Danemark «sont concentrés dans un petit nombre de quartiers» et se comportent «différemment» du «Danois moyen».

"Je ne crois pas que ce dont ils ont besoin est de davantage de répression. Ils ont besoin qu'on les aide à s'en sortir", a déclaré Keld Albrechtsen, président d'une association de quartier, cité par Berlingske Tidende. Selon le quotidien, le projet de la coalition gouvernementale devrait recevoir le soutien au parlement des sociaux-démocrates (opposition), lesquels ont eux-mêmes présenté au début du mois une réforme visant à réduire "l'immigration non-occidentale".

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Danemark: Un couple attaqué par un homme armé d’une hache. Mohamed Abdelkader Salem al-Tamimi arrêté.

Mohamed Abdelkader Salem al-Tamimi, 29 ans, aurait auparavant volé une banque danoise et attaqué un jeune couple avec une hache dans la ville de Birkerød avant de s'enfuir dans une voiture volée.

Selon TV 2 News, l'arrestation a eu lieu à 22h00 heure locale dans un club de striptease appelé Club 34 à Copenhague, situé à environ 26 kilomètres de Birkerød.

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Le Danemark quitte l’agence des Nations Unies pour les réfugiés – l’accueil des migrants est complètement stoppé

Le Danemark n’accepte plus les réfugiés et les migrants: le pays s’est désengagé du système de quotas de l’organisation des Nations Unies pour les réfugiés – avec laquelle plus de 30 pays dans le monde ont pris des personnes dans les zones de crise, rapporte le «taz» .
Par conséquent, le gouvernement danois justifie la mesure en disant que le pays a besoin d’un « espace de respiration ». Il n’y a plus de possibilité d’accueillir 500 réfugiés de quota chaque année – Copenhague s’est engagée envers l’organisation des réfugiés des Nations Unies.

En 2017, environ 2 800 migrants avaient demandé l’asile au Danemark.

Comme le rapporte le journal, depuis 1978, le Danemark participe au programme de réinstallation de l’ONU. Les réfugiés et les migrants doivent donc être transférés des pays de réfugiés les plus proches des régions en crise vers des pays tiers.

Le parlement danois a maintenant adopté une loi pour ne plus avoir à accepter de réfugiés. En plus de la coalition droite-libérale-conservatrice et du parti populaire danois, les sociaux-démocrates ont rejoint la décision. Selon « taz » ils étaient le seul des partis d’opposition de gauche.

La gauche critique vivement la décision: « Le monde a besoin de plus de coopération internationale et rien de moins », a déclaré Sofie Carsten Nielsen, porte-parole des affaires étrangères des libéraux de gauche danois sur le « taz ». « Si tous les pays se comportent comme nous, nous pourrions oublier les accords internationaux ».

Amnesty International critique également les actions du gouvernement danois. L’organisation des droits de l’homme accuse Copenhague de « l’échec historique ».

Epoch Times via FDesouche.com

Nos remerciements à Loulou

Danemark : une école primaire supprime toute référence à Noël pour ne pas déplaire aux enfants non-chrétiens

Des parents se sont plaints après qu’une école ait annulé son service de Noël pour éviter de « prêcher » aux enfants non-chrétiens.

Le service traditionnel a été annulé parce que tous les élèves ne sont pas chrétiens, a reconnu l’école primaire.

La directrice de l’école Gribskolen, Marianne Vederso Schmidt, a déclaré: « Nous avons pris cette décision parce que nous avons des enfants qui ne sont pas protestants. »

Gribskolen est une école primaire dans la ville danoise de Graested, qui est la ville natale du Premier ministre Lars Lokke Rasmussen.

L’école a été bombardée de plaintes avec au moins 10 parents en colère condamnant ce reniement.

Une mère a déclaré: « Je ne vois pas pourquoi notre tradition doit nous être retirée, simplement parce que des élèves à l’école croient en quelque chose d’autre. »

Express.uk via Altnews.top

Le Danemark pourrait envoyer les demandeurs d’asile déboutés vivre sur des îles désertes

La ministre danois de l'immigration envisage d'envoyer des demandeurs d'asile déboutés vivre sur des îles désertes dans les mers scandinaves.

  • Le ministre de l'immigration, Inger Stojberg, est réceptive à la proposition du parti d'extrême droite.
  • Le plan verrait les demandeurs d'asile déboutés expédiés vers des îles inhabitées.
  • Il y a 300 îles sur le territoire danois et 1 000 demandeurs d'asile déboutés.

Il y a un peu moins de 1 000 demandeurs d'asile déboutés au Danemark qui attendent d'être expulsés. Leur sort est une question politique brûlante dans la nation nordique.

Stojberg, qui représente le centre-droit du parti Venstre dans un gouvernement de coalition, a déclaré: "Je suis toujours prête à chercher de bonnes idées pour améliorer le contrôle des demandeurs d'asile déboutés.

"Bien entendu, c'est une proposition du parti populaire danois" a-t-elle déclaré au quotidien danois Berlingske.

Stojberg a toutefois averti que même si c'était souhaitable, le plan risque de ne pas être réalisable.

"Il peut y avoir des défis pratiques et juridiques qui doivent être considérés en établissant un centre dans un endroit très isolé", a-t-elle dit.

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

 

 

 

Islam: Une Danoise de 17 ans condamnée à huit ans de prison pour des projets d’attentats contre des écoles

Arrêtée alors qu'elle envisageait des attentats à la bombe dans des écoles danoise, la lycéenne s'était radicalisée après sa conversion à l'islam fin 2015. Elle voulait punir les «infidèles» et trouvait l'Etat islamique «excitant».

Les juges ont alourdi en appel la peine de prison de deux ans de Natascha Colding-Olsen, jeune danoise condamnée ce 27 novembre 2017 à huit ans de prison. Radicalisée et apprentie djihadiste, l'adolescente avait projeté deux ans plus tôt, à l'âge de 15 ans de faire exploser des bombes dans deux écoles : l'une où elle était scolarisée et l'autre, une école juive de Copenhague, la capitale.

Lors de son arrestation en janvier 2016, la police danoise avait notamment trouvé une note avec les mots suivants, cités par le média danois Tv2 : «Attaque à la bombe contre les infidèles le 8 janvier [2017].» Sur d'autres billets figuraient «Djihad» ou encore «Allah Akbar». La lycéenne s'était en outre procurée des composants de base nécessaires à la confection d'explosif de type TATP, utilisé dans les attentats de Bruxelles en 2016.

D'après l'agence de presse AP, l'adolescente s'était convertie à l'islam en octobre 2015. Durant le procès, elle a expliqué que se battre pour Daesh était excitant, d'après l'agence de presse Ritzau. 28

Source

Danemark: Copenhague: la police démunie face à la guerre des gangs immigrés

Danemark

Deux organisations criminelles se livrent une bataille sans merci pour le contrôle des territoires de la drogue.

Ces derniers mois, les deux bandes rivales, Loyal to Familia (LTF) et Brothas, ont mené une lutte sanglante, se disputant la suprématie des lieux et le contrôle juteux du marché du hasch. «Ces bandes sont composées en majorité de jeunes d’origine immigrée, beaucoup sans éducation, ayant grandi dans des HLM, explique Dan Bjerregaard, ancien membre de la brigade antigang de la police. Dès leur jeune âge, ils ont vu que ceux qui ont de l’argent, de belles voitures et qui inspirent le respect font partie des bandes. Ils voient ces chefs de gangs comme des modèles à suivre.»

(...)

Source et article complet

 

 

 

 

 

Danemark : le Premier ministre admet l’existence de « sociétés parallèles » musulmanes dans son pays

Le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen a averti que son pays pourrait voir une montée des «sociétés parallèles» musulmanes et de « no-go zones » et il a promis de prendre des mesures contre ce phénomène.

Le Premier ministre danois a déclaré que le problème était devenu tellement répandu au Danemark qu’il envisageait l’intervention de l’Etat dans certains domaines. C’est inhabituel pour le Danemark, qui voit rarement le gouvernement interférer dans le fonctionnement des écoles ou définir des règles spécifiques pour le logement.

« Il s’agit d’être réaliste sur la situation », a déclaré Rasmussen, et il existe des zones qui sont régies par des règles différentes, où les gangs ont le contrôle et la police ne peut pas travailler. Je ne peux pas m’asseoir dessus et rester passif ».

« Nous avons essayé plusieurs approches, mais nous ne pouvions tout simplement pas résoudre le problème », a déclaré Rasmussen et a appelé le parlement danois à «nous engager de manière différente et plus robuste».

(…)

Jyllands-Posten (en danois) / Source (en anglais) Via Fdesouche.com

L’aide contraceptive du Danemark à l’Afrique “pour limiter la pression migratoire sur l’Europe”

Le Danemark a promis plus de fonds pour la planification familiale dans les pays en voie de développement, affirmant que cela pourrait aussi aider à «limiter la pression migratoire sur l'Europe».

La ministre de la Coopération pour le développement, Ulla Tornaes, a déclaré que Copenhague contribuerait à hauteur de 91 millions de couronnes (11 millions de livres sterling).

Elle a déclaré que les grossesses non désirées avaient des coûts humains et sociaux «énormes» dans les pays les plus pauvres du monde.

Mais elle a ajouté que la limitation de la croissance de la population en Afrique était également importante.

Lors d'une conférence à Londres mardi, Mme Tornaes a déclaré que 225 millions de femmes dans les pays les plus pauvres du monde n'ont actuellement pas accès à la planification familiale.

"Les grossesses indésirables ont des coûts humains énormes dans les pays en développement - de très jeunes femmes qui doivent abandonner leur éducation de base, la mortalité maternelle".

Le ministre a déclaré "cela a également des coûts sociaux importants, où l'étape de développement de nombreux pays est limitée par une forte croissance démographique".

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rappel:

Nicolas Meda, ministre burkinabé, milite pour la contraception en Afrique afin de favoriser l’économie. « Nous sommes incapables de produire pour nous-mêmes. »

Le Danemark supprime le délit de blasphème, une loi vieille de 334 ans

Le Danemark, qui revendique un fort attachement à la liberté d'expression, a abrogé ce vendredi le délit de blasphème, une disposition vieille de 334 ans qui sanctionnait les insultes publiques envers les religions.

La décision a été adoptée par l'ensemble du parlement monocaméral (photo de son siège), à l'exception des sociaux-démocrates.

"La religion ne doit pas dicter ce qui est permis et ce qu'il est interdit de dire publiquement", a déclaré Bruno Jerup, le député d'opposition à l'initiative de l'abrogation.

L'article 140 du code pénal danois sur le blasphème prévoyait une peine maximum de 4 mois de prison mais les tribunaux n'y ont eu que très rarement recours.

En près de 80 ans, la justice du pays scandinave avait poursuivi 4 fois seulement en son nom, la dernière fois en février.

Un Danois qui avait brûlé le Coran dans une vidéo publiée sur Facebook devait être prochainement jugé mais son procès n'aura pas lieu du fait de la suppression du délit du code pénal, a annoncé le parquet.

En 1938, 4 personnes avaient été condamnées pour des écrits antisémites. En 1946, 2 personnes avaient écopé d'une amende pour avoir célébré un simulacre de baptême au cours d'un bal masqué. Enfin en 1971, 2 responsables de la radio publique avaient été sanctionnés pour avoir diffusé une chanson évoquant la sexualité d'une femme et son refus de toute autorité divine.

Le parquet a abandonné les poursuites dans 12 cas, dont le plus connu est celui des caricatures du prophète Mahomet publiées dans "Jyllands-Posten" en 2005 puis dans 17 quotidiens danois en février 2006.

Source

Immigration: “Le Danemark devrait construire une clôture de barbelés à la frontière allemande” clame le Parti Populaire Danois.

Le parti populaire nationaliste danois veut mettre en place une barrière de barbelés avec capteurs de mouvement à la frontière du Danemark avec l'Allemagne.

Le parti a récemment visité la frontière entre la Hongrie et la Serbie afin d'étudier les méthodes de sécurité frontalière, rapporte le journal Politiken.

En plus de la clôture construite le long de sa frontière, le modèle hongrois comprend le détention des demandeurs d'asile dans des camps pendant des périodes de temps illimitées, tandis que leurs demandes sont examinées.

Le modèle utilisé par la Hongrie, partageant une frontière avec la Serbie (qui n'appartient pas à l'UE), devrait être copié par le Danemark, déclare Anders Vistisen, président du Parti populaire danois (DF) au Parlement européen.

(...)

Le pays scandinave a récemment été encouragé par l'UE à éliminer progressivement les contrôles aux frontières qu'il a mis en place à ses frontières avec l'Allemagne au cours des six prochains mois.

Une situation dans laquelle l'UE accorderait au Danemark l'autorisation d'ériger une clôture de barbelés à la frontière est "impensable", a déclaré Frank McNamara, expert en contrôle des frontières du thinktank European Policy Centre.

"Les institutions de l'UE sont contre les barrières frontalières. Ils l'ont dit encore et encore. Et l'UE est généralement contre le modèle hongrois.

(...)

Anders Vistisen a déclaré au journal qu'il était conscient que la clôture risque de compromettre les règles de l'UE, mais que le Danish People’s Party est prêt à risquer un procès sur cette question.

"Les règles de Schengen ne sont pas suivies pour le moment", a-t-il déclaré, en référence aux contrôles d'identité actuels sur la frontière entre le Danemark et l'Allemagne.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Danemark: un imam accusé d’appeler à tuer des juifs dans une mosquée de Copenhague

La Communauté juive du Danemark a porté plainte contre un imam qu’elle accuse d’avoir appelé au meurtre des juifs dans un prêche ayant suscité la condamnation unanime de la classe politique.

L’imam Mundhir Abdallah officie à la mosquée Masjid Al-Faruq dans le quartier populaire de Nørrebro à Copenhague, déjà pointée du doigt par le passé dans la presse danoise pour sa proximité présumée avec des courants de l’islam radical.

Lors de la prière du vendredi 31 mars, l’imam a cité un hadith (parole du prophète Mahomet) édictant que « le jour du jugement ne viendra que lorsque les musulmans combattront et tueront les juifs ».

« Les juifs se cacheront derrière des rochers et des arbres mais les arbres et les rochers diront: ‘Oh musulman, oh serviteur d’Allah, il y a un juif derrière moi, viens le tuer' », a poursuivi l’imam selon la traduction du prêche de l’arabe en anglais par l’institut américain Middle East Media Research Institute (MEMRI), à partir d’une vidéo diffusée sur YouTube.

Le responsable de la Communauté juive du Danemark, une organisation revendiquant 2.400 membres, a demandé à la police d’ouvrir une enquête pour incitation à la haine.

« Nous craignons que des personnes faibles et influençables puissent interpréter ce genre de prêches comme un appel manifeste à viser les juifs par des actes de violence ou de terreur », a déclaré Dan Rosenberg Asmussen au journal Politiken.

La ministre danoise de l’Immigration et de l’intégration, Inger Støjberg, a dénoncé sur son compte Facebook des paroles « horrible, antidémocratiques et abominables ».

Selon la radio publique DR, l’auteur des attentats de Copenhague perpétrés le 14 février 2015, Omar al-Hussein, avait visité la mosquée Al-Faruq la veille des faits. Ce Danois d’origine palestinienne qui avait prêté allégeance à l’organisation Etat islamique avait ouvert le feu sur un centre culturel à Copenhague où se tenait une conférence sur la liberté d’expression, tuant un cinéaste, puis abattu un fidèle juif devant une synagogue avant d’être tué par la police.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/05/11/97001-20170511FILWWW00315-danemark-un-imam-accuse-d-appeler-a-tuer-des-juifs.php

Via CivilWarInEurope

Le Danemark accuse la Suède de laxisme avec la criminalité issue de l’immigration. La Suède se fâche.

Christian Hofer: Non seulement cette déclaration donne raison à Trump au sujet de la Suède, contrairement aux inepties de la journaliste du 24H, mais encore la seule réponse de la police de Malmö est d'accuser le Danemark alors qu'il s'agit encore une fois de trafic d'armes balkaniques, en clair... d'immigrés. Pas un seul mot d'accusation à l'encontre des Kosovars et des Albanais... le cirque peut continuer.

Les politiciens européens savent pertinemment que ces trafiquants balkaniques ne seront pas touchés par la nouvelle loi sur les armes puisque les Balkans regorgent d'armes cachées à la suite de la guerre. Mais en toute hypocrisie, ils vont spécifiquement sanctionner les utilisateurs légaux.

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La hache de guerre est déterrée entre le Danemark et la Suède, les deux voisins scandinaves en paix depuis plus de trois siècles.

En cause, l'escalade de la violence à Malmö, troisième ville suédoise au sud du royaume, en proie à des règlements de comptes entre bandes rivales sur fond de trafic de drogue et d'armes et qui ont fait 15 morts et 60 tentatives de meurtres en 14 mois.

Malmö n'est qu'à 25 km de Copenhague, la capitale danoise, de l'autre côté du détroit de l'Oeresund. D'où l'inquiétude des politiques au Danemark craignant une propagation de la violence dans leur pays.

Convoqué mercredi à ce sujet à la commission des affaires juridiques du Parlement par l'opposition social-démocrate, le ministre conservateur de la Justice Soeren Pape Poulsen, s'est déclaré vivement préoccupé, qualifiant la situation à Malmö de "profondément choquante et complètement folle".

"Je remercie Dieu de nous avoir épargnés une situation pareille au Danemark", a-t-il souligné, provoquant l'ire des autorités suédoises.

D'autant qu'il lie ces vagues de violences à la politique d'immigration suédoise jugée "trop accommodante, voire laxiste".

En effet, tout sépare les deux voisins en matière d'immigration. Historiquement, la Suède a toujours mené une politique migratoire ouverte et généreuse, ayant accueilli ces dernières années le plus grand nombre de demandeurs d'asile, per capita, en Europe.

Tout à l'opposé, le Danemark pratique une politique migratoire rigoureuse, l'une des plus restrictives de l'UE.

Résumant l'inquiétude des députés danois, le ministre a dit "comprendre leurs préoccupations" face à cette montée de la violence dans cette cité portuaire, principale porte d'entrée des migrants en Suède, toute proche du Danemark.

La police danoise a réalisé depuis la mi-2016 des analyses et des évaluations des menaces concernant la situation alarmante au sud de la Suède, constatant qu'il existe un risque de propagation au Danemark.

Des risques néanmoins faibles. "La police n'a pas constaté jusqu'à présent d'effet de contagion", a reconnu M. Poulsen, même si elle a enregistré près de 60 fusillades au Danemark depuis l'automne dernier, notamment entre membres de bandes.

Face à ce tableau sombre peint de sa ville par le gouvernement danois, la maire social-démocrate de Malmö Katrin Stjernfeldt Jammeh s'est déclarée choquée.

"J'ai avalé mon café de travers en entendant à la radio de telles inepties", écrit-elle sur son compte Facebook.

Et de contre-attaquer: "nous savons que le trafic de contrebande des armes, de la drogue, de l'alcool vient du Danemark à la Scanie (dont Malmö est le chef-lieu) et au reste de la Suède".

"Nous savons aussi que plusieurs bandes organisées de motards et autres débarquent en Suède en venant du Danemark", ajoute-t-elle.

"La solution n'est pas de dire encore des choses futiles, mais de coopérer plus et mieux, et d'échanger les expériences" entre les autorités locales et gouvernementales des deux pays "pour la sécurité et le bien-être des habitants de la région .

Et le chef de la police de Malmö, Stefan Sintéus, de soutenir la maire en affirmant que le terreau de violences dans la ville est nourri par le trafic des armes des Balkans que l'on achète à des prix aussi bas que 30 euros pièce et qui sont importées via le Danemark.

Malmö est devenu, dit-il, un "dépôt d'armes distribué ensuite dans le reste du pays". La police en a saisi quelque 600 l'année dernière, espérant freiner la spirale de la violence.

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Islamisme: Sommaruga veut s’inspirer du modèle danois de lutte contre la radicalisation “C’est une approche douce.”

Simonetta Sommaruga était ce vendredi à Aarhus. La deuxième ville du Danemark fait référence dans la lutte contre le djihadisme.

Lancé il y a dix ans en marge des attentats de Londres, le modèle Aarhus fait aujourd’hui figure de référence dans toute l’Europe. Il est basé sur la coopération entre la police et les services sociaux de la mairie afin de dissuader les jeunes de partir faire le djihad.

Le programme est axé sur le dialogue. Policiers et travailleurs sociaux sont à l’écoute des jeunes qui acceptent de venir discuter de leur situation. Un mentor les aide à réintégrer l’école, à suivre une formation, à trouver un emploi, un logement; bref, à retrouver une vie normale de citoyen ordinaire. Cela sans contrainte, car le programme repose sur une base volontaire.

«Avec les jeunes, on parle de football autour d’un café, ou bien de musique, pour détendre l’atmosphère. Mais on aborde aussi leurs problèmes et leurs motivations pour faire le djihad.

Approche douce

Le modèle d’Aarhus passe donc par une approche douce. «Traiter les djihadistes de terroristes et les mettre en prison n’est pas la solution. L’alternative serait de les laisser s’évaporer dans la nature avec le risque de se radicaliser encore plus», confie Joergen Ilum, l’ancien directeur de police de la région. «Mais nous ne les accueillons pas avec des fleurs, et s’ils ont commis des actes répréhensibles, ils seront poursuivis en justice», assure-t-il, tout en reconnaissant la difficulté d’obtenir des preuves pour leur participation active au conflit afin de les amener devant les tribunaux.

Pour de nombreux experts, le modèle d’Aarhus est le meilleur et devrait donc être étendu à d’autres villes. Pourtant, le programme connaît des échecs. Ainsi, des participants au programme de déradicalisation sont repartis en Syrie. C’est le cas de Mohammed Dirawi, un élève danois modèle de 19 ans, d’origine palestinienne, tué en 2015 au combat en Syrie dans les rangs de Daech. «Le modèle d’Aarhus a des failles, reconnaît Allan Aarslev. Il n’est qu’une partie de la solution.»

L'alternative, c'est la prison
A Copenhague, d’ailleurs, l’enthousiasme pour ce programme n’est pas partagé. Naser Khader, porte-parole du parti conservateur de la coalition au pouvoir, n’hésite pas à parler d’échec. «Lorsque 15 jeunes reviennent de Syrie après avoir combattu avec l’Etat islamique, on ne doit pas leur offrir des entretiens avec des psychologues ou un emploi. Ils doivent être poursuivis pour avoir combattu avec une organisation terroriste», martèle-t-il. L’ancien ministre de la Justice Soeren Pind a également des doutes. «Nous ne savons pas si ce modèle fonctionne, d’autant qu’Aarhus a fourni les djihadistes les plus radicalisés du pays.»

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