«Le You» et «Aze2dine», des rappeurs bruxellois, suspectés d’avoir acheté une mineure française 2.000 euros pour la prostituer

Sept suspects, dont des rappeurs bruxellois, ont été placés sous mandat d’arrêt. Une mineure, signalée disparue en France, a pu être retrouvée, nous confirme Stéphanie Lagasse, porte-parole du parquet de Bruxelles. « Le dossier révèle que d’autres jeunes filles, ressortissantes françaises, auraient également été victimes de ces faits », précise-t-elle.

Selon nos informations, la victime recherchée en France a été revendue au prix de 2.000 euros…

Jusqu’à présent, sept suspects ont été arrêtés, dont deux rappeurs bruxellois qui se font appeler « Le You » et « Aze2dine ».

Au début de cette année, une Française âgée de 16 ans a été « vendue » par son petit ami à cette bande pour la somme de 2000 euros. Une semaine plus tard, cette jeune fille a été retrouvée en Belgique, non loin de Bruxelles. Entre temps, elle était contrainte de se prostituer par le biais d’un site internet.

Selon le parquet, les suspects (dont l’organisateur de la prostitution de la jeune fille) ont tous été placés sous mandat d’arrêt « du chef d’exploitation de la prostitution d’une mineure de plus de 16 ans avec la circonstance qu’il s’agit de l’activité principale d’une association et traite des êtres humains« .

Selon le parquet, il y aurait en France d’autres jeunes filles victimes de cette bande. Une enquête est en cours afin d’identifier ces dernières.

RTBF

 

Aze2dine

https://youtu.be/-QPfnHvXpjc

 

Aze2dine et Le You

https://youtu.be/1Lqtr9DgcDY

 

Via Fdesouche

Bruxelles : Les pompiers seront escortés par la police la nuit du Nouvel An. « Une situation digne d’un état de guerre »

Bruxelles  – Le SLFP dénonce une situation « digne d’un état de guerre ».

Pharmacie saccagée et pillée, poubelles et voitures en feu, pompiers agressés, etc : les images de la nuit de la Saint-Sylvestre 2019 à Bruxelles avaient fait le tour des réseaux sociaux, y compris à l’étranger. Pour éviter pareils incidents cette année, la bourgmestre de Molenbeek, Catherine Moureaux, a déjà annoncé mi-décembre des mesures de sécurité supplémentaires sur son territoire le soir de la Saint-Sylvestre, mardi prochain. Les poubelles seront ainsi déplacées. La présence des agents de quartier de la police sera renforcée. Mais ce n’est pas tout.

Selon nos confrères de la DH, une autre mesure a été prise pour éviter les débordements dans la capitale : celle d’escorter les pompiers par des policiers.

(…) « On va devoir devoir escorter des pompiers qui vont pourtant porter secours aux gens, est-ce normal ? Pas du tout ! Nous sommes en Belgique, pas dans un état de guerre ! Les politiques doivent à un moment donné, se demander comment on en arrive à une telle situation, à devoir escorter nos sauveteurs », s’exclame le président du SLFP Pompiers.

(…) « Les pompiers ont reçu une formation il y a quelques jours pour ‘bien réagir face aux agressions’. Est-ce normal d’en arriver là ? Je pose à nouveau la question à nos politiques. Bientôt, nous devrons intervenir pour sauver des vies avec des gilets pare-balles », termine celui qui redoute déjà le premier bilan de ce Nouvel An.

(…)

La Libre.be

Via Fdesouche

Bruxelles : Des émeutes éclatent dans une école, un élève arrêté administrativement (Vidéo)

L'intervention de la police à l'Athénée Andrée Thomas à Forest pour un groupe d'élèves retranchés dans le réfectoire s'est terminée vers 13h mardi. Un élève un peu plus turbulent que les autres a été arrêté administrativement et libéré dès son arrivée au commissariat.

[...]

 

 

 

La police a été appelée vers 11h30. Elle estime que le groupe protestataire était composé d'environ une cinquantaine d'élèves. [...]

D'après les premiers éléments, de petites frictions, dont une la veille en fin de journée, ont éclaté au sujet des règles décidées par la nouvelle direction. Il semblerait que les horaires d'examen aient constitué l'élément déclencheur des événements de mardi.

[...]

Dhnet.be

Nos remerciements à pierrebxl

 

Pays-Bas : Agression violente d’une contrôleuse de 63 ans par un resquilleur

Le samedi 28 septembre, une contrôleuse a eu une brève discussion avec un passager qui ne possédait pas de billet valide. Elle lui a dit qu'il devait acheter un billet à son arrivée à Bréda. Au lieu de cela, l'homme l'a agressée sur le quai.

Quand la femme descend sans méfiance, le resquilleur marche juste derrière elle. Puis, tout à coup, il la frappe de plein fouet à l'arrière de la tête, après quoi il s'enfuit.

 

 

https://youtu.be/hKaa1XdLVHY

 

Des images nettes

Heureusement pour les enquêteurs, les images de l'auteur sont si nettes qu'il devrait être possible de le reconnaître. Il a descendu l'escalier mécanique à partir du quai et a traversé le hall de la gare jusqu'à la rue par la sortie principale.

 

Homme légèrement basané, parlait avec un accent flamand
Environ 1,65 mètre de long, mince et élancé
Âgé d'environ 25 ans
Cheveux courts, noirs ; rasés sur les côtés et le dos
veste de survêtement blanche, pantalon noir, chaussures noires.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Opsporingverzocht.avrotros.nlHln.be

 

Espagne : près de 500 migrants secourus en mer en un jour. Bruxelles propose des incitations financières.

Les services de secours espagnols ont annoncé aujourd'hui avoir secouru en une seule journée en Méditerranée près de 500 migrants qui tentaient de gagner les côtes espagnoles à bord de 30 embarcations de fortune. Le service public de sauvetage en mer a indiqué sur Twitter que 484 personnes au total avaient été secourues dans le détroit de Gibraltar et en Mer d'Alboran, séparant l'Espagne du Maroc.

Selon un décompte de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) en date du 18 juillet, 18.653 migrants sont arrivé en Espagne par mer depuis le début de l'année. Ils sont principalement originaires d'Afrique sub-saharienne - et notamment de Guinée, du Mali, de Mauritanie - ainsi que du Maroc.

(...)

6 000 euros pour l’accueil d’un réfugié

L’exécutif européen suggère d’accorder aux Etats membres volontaires un « soutien financier total pour couvrir les coûts d’infrastructures et de fonctionnement » pour créer des « centres contrôlés », où devraient être distingués demandeurs d’asile légitimes et migrants économiques à expulser.

Quant aux pays qui seraient prêts à accueillir des demandeurs d’asile sur leur sol à partir de ces centres, la Commission propose une aide tirée du budget de l’UE, qui atteindrait 6 000 € par personne transférée, soit la même somme que celle qui était attribuée dans le cadre du plan de « relocalisation » en vigueur entre 2015 et 2017, dont le caractère obligatoire avait profondément divisé les pays de l’UE.

Le Figaro Le Parisien

Bruxelles: Célébration du ramadan dans une église

C'est par des chants que des représentants de différentes religions ont partagé le premier repas du ramadan. Musulmans, chrétiens, juifs ou athées étaient rassemblés en l'église catholique Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage à Bruxelles pour célébrer ce moment de paix. Pour le président de l'association Al Mowan, à l'origine de cette initiative, il s'agit d'envoyer un message de solidarité. "Nous avons choisi ce moment du ramadan le mois sacré, le mois du partage et du pardon pour partager un moment convivial avec toutes les communautés, toutes les personnes porteuses de cultures, pour montrer au monde entier que les musulmans ne sont pas tous des terroristes et que tout le monde est prêt à faire un effort pour une belle cohabitation" explique Lahcen Hamouch.

 

 

 

De nombreuses personnes ont répondu présents à cet appel. Le succès de cette soirée est salutaire selon l'abbé Jacques Hanon. Ce genre d’initiative permet d’affirmer "une force commune quand on est ensemble pour répondre à ces replis, à ces peurs, à ces craintes", insiste-t-il.

Représentant la communauté juive, Evelyn Haberfield estime que la table est le meilleur symbole pour se rassembler. "Il n' y a pas de meilleure occasion pour se parler et partager que d'être assis à une table avec d'autres personnes de tous les horizons et de partager un repas, il n' y a rien de plus agréable", souffle-t-elle. C'est finalement par des chants soufis que les participants ont rompu le jeûne.

Source via 

Belgique: Scène de vie au marché de Bruxelles… (Vidéo)

Jour du marché au centre de Bruxelles. Filmé par , journaliste de droite.

 

 

 

 

Source

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Bruxelles menace: “la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie auront intérêt à se montrer beaucoup plus accueillantes avec les migrants.”

Les mauvais élèves en matière de démocratie pourraient être privés des aides européennes. Pour Valéry Lerouge, l'envoyé spécial de France 2 à Bruxelles, cela vise clairement la Hongrie et la Pologne, "deux états qui bafouent certaines valeurs européennes, qui menacent l'indépendance de leur justice, et qui pourtant sont les principaux bénéficiaires de l'argent européen".

 

 

Se montrer plus accueillant et solidaire

Bruxelles n'arrive pas à les remettre dans le droit chemin par la diplomatie, elle va donc les frapper au portefeuille. "Concrètement, explique le journaliste, on pourrait suspendre le financement de certains projets ou chantiers si l'État de droit est menacé. Il suffirait d'une majorité qualifiée d'États membres pour sévir, et non plus l'unanimité". Deuxième moyen de pression : ces subventions ne seraient plus liées au niveau de revenu par habitant, mais, par exemple, au nombre de migrants accueillis. "Autant dire que la Pologne et la Hongrie, mais encore la République tchèque ou la Slovaquie auront intérêt à se montrer beaucoup plus accueillantes et solidaires qu'aujourd'hui", note le journaliste.

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Nos remerciements Victoria Valentini

Bruxelles: Le gouvernement veut tester si les propriétaires sont racistes et les sanctionner.

C'est un phénomène connu sur le marché de la location : certains propriétaires refusent de louer leur bien selon la nationalité ou le sexe de la personne. La région bruxelloise veut sanctionner ce genre de comportements avec la technique du "client mystère".

À Bruxelles, la discrimination semble particulièrement importante. Lors d'un atelier formation dont l'objectif est de sensibiliser une dizaine d'agents immobiliers à ce phénomène, l'un d'entre eux raconte que "des propriétaires qui demandent de faire une certaine sélection pour les candidats locataires, c'est très courant".

Discriminations raciale, sexuelle et sur les revenus

En 2017, environ 150 cas de discrimination en région bruxelloise ont été détectés. Parmi les critères les plus déterminants : les revenus du potentiel locataire, l'origine du genre ou ethnique. Pour tenter d'enrayer ce phénomène, le gouvernement bruxellois vient d'adopter une série de mesures de sensibilisation et de répression.

Céline Fremault, ministre bruxelloise du Logement, explique qu'"il y a toute une série de tests qui ont été pratiqués, des mises en situation réelle avec des faux candidats, ceux qu'on appelle les 'clients mystères'. C'est ce qui se fait en matière d'emploi depuis plusieurs mois à Bruxelles".

"Le client mystère"

Ainsi à l'avenir, deux types de tests auront lieu. Il y a d'abord la mise en situation : il s'agit de mettre en relation les agents immobiliers avec deux profils similaires de locataires, mais quelque peu différents. L'autre méthode, c'est celle du client mystère : une méthode qui permet de constater directement si une infraction est commise.

Selon Nicolas Watillon, vice-président de l'institut professionnel des agents immobiliers, "une amende, c'est toujours excessif. Tout dépend de la gravité des cas. Si un agent immobilier continue dans cette logique malgré tout ce qui a été fait pour l'encadrer, la sanction doit alors être à la hauteur de l'excès".

Ces amendes peuvent aller de 125 à 6200 euros, le nouveau dispositif régional de lutte contre la discrimination sera opérationnel dès début 2019.

Source

Bruxelles fait du chantage à la Suisse et lie la reconnaissance de la bourse à l’accord-cadre.

Le vice-président de la Commission européenne chargé de l'euro, Valdis Dombrovskis, a confirmé mercredi que la reconnaissance d'équivalence de la Bourse suisse par l'UE était liée à l'accord-cadre. C'est aussi pour cela qu'elle n'est garantie que pour une année.

'En fait, nous proposons une équivalence limitée dans le temps jusqu'à la fin de 2018 (...), qui est le résultat d'un manque de progrès substantiels sur l'accord-cadre institutionnel', a déclaré le vice-président de l'UE. La reconnaissance de l'équivalence pourrait toutefois être étendue 'en cas de progrès suffisants', a-t-il ajouté.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Info

 

Emeute de Bruxelles: Voici les photos des 9 émeutiers les plus recherchés après les troubles

La police fédérale diffuse ce jeudi sur son site neuf avis de recherche de suspects à identifier dans le cadre des émeutes qui se sont produites à Bruxelles en novembre dernier à la Bourse, la Monnaie et avenue Louise à Ixelles. Toute personne ayant des informations utiles à leur sujet est priée de contacter les enquêteurs. Mardi, le parquet a fait état de l'interpellation de 31 personnes liées à ces incidents, en précisant que les enquêtes se poursuivaient et que d'autres arrestations étaient attendues.

A la suite des émeutes du 11 novembre à la Bourse après le match de football entre le Maroc et la Côte d'Ivoire, la police a arrêté 17 personnes. Sur les dix personnes majeures interpellées, une a été placée sous mandat d'arrêt, six sont convoquées le 5 janvier devant le tribunal correctionnel et une le 19 janvier. Sept mineurs ont également été interpellés.

 

 

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Sur la place de la Monnaie, quatre jours plus tard, à l'occasion de la venue du Youtubeur français Vargasss92, neuf mineurs et un majeur ont encore été arrêtés.

Le 25 novembre, une manifestation contre l'esclavage en Libye a dégénéré en émeutes sur l'avenue Louise. Trois mineurs et un adulte ont alors été arrêtés.

Quelque seize autres émeutiers ont également été identifiés, mais pas encore arrêtés. Par ailleurs, 14 autres personnes ont été identifiées sur les images des émeutes, mais leur rôle dans les incidents n'a pas été établi.

Source

 

 

 

Émeutes à Bruxelles: les manifestants contre l’esclavage en Libye cassent tout

Lors d’une nouvelle flambée de violences à Bruxelles, le 25 novembre, 20 personnes ont été interpellées par les forces de l’ordre. A l’origine de l’émeute, un rassemblement contre l’esclavage en Libye qui aurait dégénéré.

Une vingtaine de personnes ont été interpellées au cours de l’après-midi du 25 novembre dans un quartier commerçant de Bruxelles, après qu’un groupe de personnes, échappé d’une manifestation, a dégradé des commerces et s’en est pris aux forces de l’ordre, a-t-on appris auprès de la police.

 


La police est déployée en masse ce samedi après-midi dans le centre de Bruxelles. Des dégradations auraient été commises vers 16h.

Selon la porte-parole de la zone Bruxelles-capitale Ixelles, Ilse Van de Keere, une trentaine de personnes, des jeunes hommes, s’est déplacé vers la place Louise et y auraient commis des dégradations dans les magasins.

La porte-parole confirme à RTL avoir déployé des agents anti-émeutes. Une auto-pompe et un hélicoptère ont été envoyés sur place.

Toujours selon la police, 12 personnes ont été interpellées. Ce sont des arrestations administratives qui deviendront peut-être judiciaires.

 

 

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

On ne s'en rend pas immédiatement compte mais les politiciens fédéraux sont des gens méritants. Ils mettent de façon plus ou moins désintéressée leurs immenses compétences au service de notre pays. Leur tâche est le plus souvent ingrate car ils ne disposent pas toujours de la latitude nécessaire pour donner le meilleur d'eux-mêmes, devant parfois tenir plus ou moins compte de l'avis du peuple. Et c'est fâcheux. Il arrive que la populace bornée, confrontée aux soucis du vulgaire, n'ait pas la vision globale des enjeux. Comme le dit Gabin dans le Président, on a une mauvaise vue d'ensemble quand on voit les choses de trop près. Là où le Conseil fédéral et le parlement voient Europe, le quidam voit dumping salarial, chômage, oukases liberticides, crime vagabond et asile à tout va. Comme le dit Gabin toujours : "Nous ne parlons forcément pas de la même Europe". Cette divergence de vue complique bien évidemment les rapports que la classe politique veut entretenir avec l'eurocratie, soucieuse qu'elle est de frétiller dans la cour des puissants. Nous avons pu le constater avec l'initiative du 14 février 2014 visant à lutter contre l'immigration de masse. Le citoyen a égoïstement pensé à lui et choisi de limiter l'accès à notre marché du travail. Horreur ! Comment expliquer cela à Bruxelles ? Comment faire comprendre à l'illustre aéropage que la démocratie directe présente un inconvénient majeur, à savoir permettre au peuple de s'intéresser à ce qui le concerne ? Après une visite à Bruxelles pour prendre leurs instructions, nos politiciens ont tout bonnement choisi d'ignorer la volonté populaire, félonie saluée par la Commission européenne fort satisfaite de voir que ses laquais étaient prêts à trahir pour complaire.

Cela ne suffisait pas. Le choix populaire du 14 février constituait un tel affront qu'il fallait faire plus pour s'excuser envers Jean-Claude Juncker et ses sbires. La majorité du Conseil fédéral a donc choisi de faire payer la population pour sa décision erronée. Il faut en effet punir ces hommes et ces femmes qui prétendent savoir ce qui est bon pour eux. Le gouvernement va donc nous faire les poches et y soutirer un milliard trois-cents millions de francs qui seront généreusement distribués au sein de l'Union européenne. Bien évidemment, il eût été vulgaire de négocier la moindre contrepartie, pareille largesse se doit d'être désintéressée. Un beau cadeau bien dans l'esprit gauchiste toujours généreux avec l'argent des autres. Le parti socialiste ne s'y trompe d'ailleurs pas, qui applaudit à tout rompre, soulignant la bonne affaire que fait la Suisse.

Au-delà du montant que le contribuable aura à régler, cette affaire met une nouvelle fois en lumière l'inféodation préoccupante de notre classe politique vis-à-vis de Bruxelles. Nos élus, dans leur immense majorité, ont clairement démontré qu'ils préfèrent les intérêts de l'Union européenne aux nôtres, qu'ils placent l'humeur des eurocrates au-dessus de la démocratie suisse. Les mamours entre Doris Leuthard et Jean-Claude Juncker constituent un magnifique bras d'honneur aux citoyens suisses à qui la présidente de la Confédération fait savoir qu'ils sont priés de fermer leur bouche et d'ouvrir leur porte-monnaie. C'est une leçon à un milliard trois-cents millions. C'est une leçon dont il faudra se souvenir en 2019, à l'occasion des élections fédérales.

Yvan Perrin, le 25 novembre 2017

Bruxelles : violents affrontements en plein centre-ville entre la police et des centaines de jeunes (Vidéos)

La police de Bruxelles a été confrontée à des jets de projectiles lors d'une quasi-émeute impliquant des centaines d'individus. Dépassées, les forces de l'ordre locales ont demandé l'aide de la police fédérale. 31 personnes ont été interpellées.

Plusieurs incidents ont éclaté dans le quartier de la Bourse, en plein centre de Bruxelles, ce 15 novembre dans le courant de l'après-midi.

Le site d'information belge Sudinfo.fr rapporte que des centaines de jeunes ont attaqué les forces de l'ordre, notamment avec des projectiles, obligeant celles-ci à se replier. La police bruxelloises, dépassée par le nombre d'assaillants et la gravité de la situation, a demandé l'aide de la police fédérale belge, selon le même média.

 

 

D'après Sudinfo.fr, qui cite la municipalité de Bruxelles, la quasi-émeute serait liée à l'appel à un rassemblement lancé par un YouTubeur français, «star des réseaux sociaux», connu sous le pseudonyme «Vargasss 92». D'après le porte-parole de la police de Bruxelles, un banal contrôle d'identité, place de la Monnaie (devant la Bourse de Bruxelles), serait à l'origine des affrontements.

Le ministre belge de l'Intérieur, Jan Jambon, a confirmé l'envoi de renforts policiers, dénonçant une violence «inadmissible et incompréhensible» dans le centre de Bruxelles.

En fin d'après-midi, Olivier Slosse, porte-parole de la zone de police de Bruxelles Capitale-Ixelles, a fait savoir que 31 personnes avaient été interpellées, parmi lesquelles «Vargasss 92», selon La Libre Belgique.

 

 

En outre, la ville de Bruxelles a fait savoir qu'elle comptait déposer une plainte avec constitution de partie civile contre «Vargasss 92».

 

 

Le 11 novembre 2017, toujours à Bruxelles, la qualification du Maroc pour le Mondial 2018 avait provoqué des violentes échauffourées. La police anti-émeute avait dû recourir aux canons à eau pour disperser la foule.

Source

Bruxelles: Après les émeutes des Marocains, le Mrax lance un appel à rapporter “les provocations policières”

Christian Hofer: C'est dire à quel point la gauche et ses officines protègent systématiquement les exactions des racailles africaines en Europe, jusqu'à légitimer des attaques racistes contre les Européens. Et loin de pointer leurs violences ou de trouver cela anormal, ce sont les... Européens qui sont accusés.

Ces Marocains peuvent donc détruire une ville européenne en toute quiétude et déposer plainte contre... les Européens pour racisme.Oui on en est là.

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A la suite des émeutes qui ont éclaté samedi soir dans le centre de Bruxelles après la qualification du Maroc pour la Coupe du monde de football, le Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (Mrax) a lancé un appel dimanche matin sur sa page Facebook aux témoins des "provocations de la police".

Le message a été supprimé un peu moins de trois heures après sa diffusion. "La communication n'était pas suffisamment claire sur un sujet aussi délicat", a expliqué Carlos Crespo, le président du Mrax, à l'agence Belga. "Suite aux troubles à l'ordre public de la police hier soir à la Bourse, il est important que toutes les personnes présentes qui ont filmé des provocations de la police partagent leurs vidéos auprès d'associations luttant contre l'oppression policière", indiquait dimanche midi la page de l'association.

Ce message a très vite suscité des réactions indignées sur les réseaux sociaux, plusieurs internautes se demandant notamment si un tel appel à témoins entrait effectivement dans les compétences de l'association de lutte contre le racisme. Une position que défend M. Crespo. "A partir du moment où nous avons des indications sur des violences policières ou sur un comportement inapproprié envers des minorités, nous pouvons intervenir", justifie-t-il.

Carlos Crespo explique que le Mrax a reçu plusieurs signalements de violences policières dans le centre de Bruxelles et que ce sont ces informations qui ont décidé le mouvement à lancer son appel à témoins.

Le président de l'association estime que sa publication "n'était pas conforme au message" qu'elle souhaitait faire passer. "Il aurait été plus sage d'attendre un peu", reconnaît M. Crespo. "La communication n'était pas suffisamment clair sur un sujet aussi délicat", admet-il, ce qui a incité le mouvement à la retirer. Le Mrax "condamne avec force toutes les violences contre les policiers", ajoute M. Crespo. Il souhaite maintenant que l'enquête puisse se mener dans un climat serein afin que toute la lumière soit faite sur les événements survenus samedi soir. "Nous resterons attentifs", prévient-il.

Les rixes qui ont éclaté samedi soir à Bruxelles ont impliqué quelque 300 personnes et fait 23 blessés, dont 22 policiers. Deux voitures ont été incendiées, plusieurs magasins ont été pillés, tandis que des installations prévues pour les Plaisirs d'hiver ont été saccagées.

Aucune interpellation n'a eu lieu, mais la Ville de Bruxelles a promis des sanctions. Plusieurs habitants du centre-ville se sont plaints de l'intervention tardive et insuffisante de la police. Le ministre de l'Intérieur Jan Jambon a demandé à l'Inspection générale de la police fédérale et de la police locale (AIG) l'ouverture d'une enquête sur les circonstances dans lesquelles s'est déroulée l'intervention.

Source Via Fdesouche.com

Voiture brûlée, magasins saccagés : la qualification du Maroc pour le mondial dégénère à Bruxelles. 22 policiers et un civil blessés (VIDEOS)

Le parvis de la Bourse est, à Bruxelles, le lieu où les supporters de football célèbrent les victoires internationales.

Vingt-deux agents de police ont été blessés lors d'émeutes qui ont éclaté dans le centre-ville de Bruxelles samedi soir, selon un nouveau bilan communiqué dimanche matin par Olivier Slosse, commissaire de la zone de police Bruxelles-Capitale IxellesAprès la qualification pour la Coupe du monde, du Maroc qui a défait la Côte d’Ivoire samedi soir, entre 200 et 300 personnes se sont rassemblées à la Bourse.

 

 

 

 

Des petits groupes ont commencé à dégrader les installations du Marché de Noël qui sont en construction. La présence policière a alors été renforcée. Des policiers, en tenue de protection, équipés de boucliers et matraques ont été déployés sur les lieux. L’ambiance était relativement tendue. Quelques projectiles ont été lancés vers la police. Des barrières ont été secouées. Une personne sur le parvis de la Bourse a été atteinte par un projectile. Elle a dû recevoir des soins. Une auto-pompe a été positionnée dans le centre de Bruxelles.

 

 

 

 

 

 

La police a décidé de refouler les personnes présentes sur le parvis de la Bourse sur les boulevard du centre en direction de la gare du Midi pour ramener le calme. Des petits groupes ont néanmoins continué à se rassembler sur le boulevard Lemonnier, nécessitant une présence policière. L’autopompe a dû être mise en service.

La police n'a encore procédé à aucune interpellation, mais les images caméras seront saisies et exploitées afin d'ouvrir des dossiers judiciaires à ce sujet, a annoncé le commissaire. Le retour au calme a été constaté vers 00h30 dimanche matin, les appuis de la police fédérale et d'autres zones de police locale ont alors quitté les lieux.

Des centaines de supporters marocains se sont aussi réunis dans les rues de Paris, sur les Champs-Elysées, mais les scènes de liesse, encadrées par les forces de l'ordre, n'ont pas donné lieu à des débordements, selon le quotidien Le Parisien.

Source

Belgique: une centaine de jeunes d’origine étrangère ont saccagé un train et menacé les passagers

Kevin Eli, le conducteur du train entre Ottignies et Bruxelles ce mercredi soir, n’avait « jamais vu ça en 10 ans » de carrière. « C’est tout simplement scandaleux, maladif et indescriptible », écrit-il sur Facebook.

Mercredi, une centaine de jeunes ont provoqué des incidents et actionné le signal d’alarme mardi soir sur un train entre Ottignies et Bruxelles. Le train a été évacué à Boitsfort. Six suspects ont été identifiés mais ils n’ont pas été arrêtés.

Vers 21h30, la police a reçu plusieurs appels concernant une centaine de jeunes qui importunaient des voyageurs sur le quai et dans un train. La situation a dégénéré lorsque, vers 22h, un des fauteurs de trouble a actionné le signal d’alarme, entraînant le freinage d’urgence. Le train s’est alors immobilisé à l’entrée de la gare de Boitsfort.

« Je n’ai jamais vu ça en 10 ans. Des centaines de voyageurs ont dû être évacués par une trentaine d’agents (y compris des unités spéciales) dans un tunnel. Une dame, blessée pendant l’évacuation, avec trois enfants, a été sérieusement menacée par « un tiers » parce qu’elle ne voulait pas quitter sa place. Les voyageurs étaient en panique, deux personnes ont fait un malaise dans le train. Il y avait une odeur nauséabonde de cannabis partout dans le train, les extincteurs au sol… »

"À Ottignies, des jeunes sont montés dans le train à la suite de la nocturne à Walibi. Tout s'est bien passé jusqu'à Boitsfort en direction de Bruxelles. Je roulais à 120 km/h quand mes freins d'urgence se sont enclenchés. J'ai directement fait le lien avec les jeunes. Nous étions dans le tunnel de la gare, pas encore sur le perron. J'ai tout de suite rencontré mon accompagnateur de train".

"Nous étions coincés dans le tunnel"
"C'était le chaos dans les voitures I-6. Plusieurs jeunes d'origine étrangère nous ont rendus la tâche très difficile. Ils nous ont ri au nez. Je suis retourné à la locomotive, mais j'ai remarqué que les signaux d'urgence étaient encore allumés. Le contact avec le monde extérieur, la police, le contrôle de circulation... était quasi impossible car nous étions coincés dans ce tunnel. Personne, sauf mon mon accompagnateur de train et moi, savions ce qui se passait et pourquoi le 2142 ne bougeait plus."

"Nous sommes retournés dans le train. La seconde fois, mon accompagnateur de train a été menacé par un groupe de jeunes. Ils lui ont jeté quelque chose à la tête. J'ai essayé de l'aider mais j'ai été repoussé par un autre groupe. Les jeunes devenaient de plus en plus agressifs. Une importante rixe a même éclaté entre deux groupes. Le chaos. J'ai appelé le 101 et j'ai eu un contact rapide. J'ai juste eu le temps de dire conducteur de train, gare de Boitsfort, train, urgence, envoyez le police et la liaison s'est interrompue."

"Que vas-tu faire?"
"J'ai marché seul le long du train. Je ne trouvais plus mon mon accompagnateur de train. Je craignais qu'il lui était arrivé quelque chose de grave. Un compartiment était plein de fumée. Ça sentait le cannabis. Quand j'ai ouvert la porte, j'ai été agressé par une bande. L'un d'entre eux, dont je n'oublierai pas le visage de sitôt, est venu tête contre tête avec moi. Il m'a ri au nez: que vas-tu faire? Je n'ai plus réagi. Je vous assure, c'était vraiment difficile à vivre. J'ai essayé de rester professionnel et de garder la tête froide."

"Ensuite, j'ai retrouvé mon accompagnateur de train. Nous étions choqués par ce manque de respect. Les agents sont arrivés. Je les ai immédiatement informés sur la situation. Ils sont venus avec moi pour inspecter chaque compartiment. Pendant ce temps, ils ont également fait toutes les vérifications nécessaires. Nous avons enfin pu repartir. Mais pour la deuxième fois, les signaux d'urgence se sont allumés. La situation devenait de plus en plus dangereuse. Vraiment Halloween. J'ai ouvert quelques fenêtres pour permettre aux voyageurs de respirer. Il faisait très chaud et le train était bondé."

"Un désastre"
"Partout dans le train, les signaux d'urgence avait été allumés par le gang ou non. Ça ne s'arrêtait pas, même avec la police à bord. Il a été décidé d'évacuer les voyageurs dans le tunnel. Un désastre. Mon accompagnateur de train et moi étions cassés. Cet homme mérite le respect. Heureusement, nous avons été en mesure de nous soutenir mutuellement. Il a fallu plus d'une heure pour faire sortir les passagers et conduire à vide vers Bruxelles-Midi. Je suis parti de Boitsfort à 01h26. 3,5 heures plus tard! Je suis arrivé à Bruxelles à 01h50 au lieu de 22h27."

"Je n'ai pas pu fermer l'oeil de la nuit. Nous nous sommes sentis humiliés, insultés, menacés et agressés physiquement. Il y a eu heureusement beaucoup de compréhension de la part des voyageurs. Où va-t-on? Qui va payer pour tout ça? Qui va nous dire, à mon accompagnateur de train et à moi-même, que nous devrons oublier cette histoire le plus rapidement possible? Je peux encore écrire davantage sur cette histoire. Mais je le garde pour moi. Je voudrais encore exprimer ma gratitude envers certaines personnes (cct, police, sécurité, sécurail, agents et surtout mon accompagnateur de train)".

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Expo à Bruxelles : l’islam est aussi notre histoire !

L’exposition « L’Islam, c’est aussi notre histoire ! » est une exposition de civilisation qui donne à voir les traces laissées par la civilisation musulmane sur le sol européen en 13 siècles de présence. Elle n’est donc pas une exposition sur la religion islamique. Et elle n’est pas limitée à la seule présence de l’islam en Europe aujourd’hui, même si celle-ci est bien sûr abordée.

Pour faciliter la compréhension de cette présence musulmane sur le continent européen, nous avons regroupé ces traces en trois héritages qui couvrent des périodes historiques et des aires géographiques très différentes même si, bien sûr, des recoupements, des intersections existent parfois.

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Bruxelles : Armé d’un grand couteau, il crie “Allahu Akbar” et qu’il veut “terminer le boulot des nazis”

A. B., l'homme qui a tenu des propos menaçants envers des passagers et crié "Allahu Akbar" dans un train bruxellois, a été inculpé de participation aux activités d'un groupe terroriste et port d'arme prohibée par destination, a indiqué vendredi le parquet de Bruxelles dans un communiqué. Notre source indiquait une autre déclaration faite par le quadragénaire qui aurait dit vouloir terminer le travail commencé par les nazis. Il a été placé sous mandat d'arrêt. L'instruction suit actuellement son cours.

 

 

"On va tous vous tuer"

L'homme, âgé de 43 ans, a crié "Allahu Akbar" dans le wagon d'un train, à l'arrêt de la gare du Midi, lundi 2 octobre vers 07h25. Peu après cela, l'individu a déclaré aux passagers: "Ils vous ont ratés, mais nous, on ne va pas vous rater. On va tous vous tuer." Les services de police des chemins de fer ont interpellé l'intéressé à la sortie du train. Lors de sa fouille, ils ont saisi un couteau de cuisine que le suspect portait à la ceinture. Le couteau n'a toutefois pas été exhibé devant les passagers, avait précisé plus tôt le parquet de Bruxelles. Le casier judiciaire d'A.B. contient plusieurs condamnations correctionnelles.

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