Une personne a bouté le feu à un arbre de Noël dans la commune d'Unterseen (BE) lundi matin.
Le matin du premier jour de l'An, un sapin est parti en fumée à Unterseen (BE).
(...)
Nos remerciements à notre lectrice
Le matin du premier jour de l'An, un sapin est parti en fumée à Unterseen (BE).
(...)
Nos remerciements à notre lectrice
La Confédération doit encore trouver cinq des 18 sites prévus pour l'accueil de réfugiés. En Suisse romande, Dailly (VD) est définitivement hors course.
Les autorités craignaient un attentat, comme l'explique la Basler Zeitung.
Tout a commencé il y a plusieurs jours lorsqu'un immigrant en situation illégale en Suisse romande a été signalé par le Bundesnachrichtendienst (BND), le service de renseignement allemand. Lors de son interrogatoire, le jeune homme a nommé le «Zibelemärit» comme cible d'un attentat, ce qui a été confirmé par deux sources à la Basler Zeitung.
(...)
Rappels:
Caritas exhorte la Suisse à s’engager pour les droits des migrants
Genève: Environ 300 manifestants en faveur des migrants
Christian Hofer: Le 20 Minutes passe sous silence que cette décision a été prise par un extrémiste de gauche devenu Directeur de la police de Zurich et dont les enfants baignent dans la scène anarchiste.
**********
La semaine dernière, la police municipale de Zurich annonçait qu'elle ne donnerait plus systématiquement la nationalité des auteurs de délits dans ses communiqués. (...) Mais cette décision, prise après un postulat du PS et des Vert'libéraux adopté en 2015, fâche Hans-Jürg Käser, directeur de la police bernoise et président de la Conférence des directrices et directeurs des départements cantonaux de justice et police.
Pour Hans-Jürg Käser, «on accroît le ressentiment des gens quand ceux-ci ont le sentiment qu'on leur cache des choses». En indiquant la nationalité des délinquants, «cela ne veut pas dire que tous les étrangers sont des criminels», explique-t-il. Mais les statistiques le montrent: la part des étrangers dans nos prisons est largement supérieure à la moyenne. «Nous devons faire face à cette réalité», souligne-t-il.
(...)
NDLR. La "crise" des Rohingyas fait l'objet d'un parti pris politique et médiatique unilatéral scandaleux. Pour montrer la complexité de la situation, son évolution historique et les causes de la situation actuelle nous rediffusons ci-dessous une analyse d'un spécialiste déjà reprise sur notre site:
NDLR. D’un côté, écoutez « L’édito » du 16.9.2017 du journaliste militant bien-pensant J.-M. Béguin (c’est vite écouté 2′ 11) et ensuite lisez l’article d’un vrai connaisseur qui cherche à approcher la vérité! Cela en dit long sur la bien-pensance journalistique et la nécessité de la lutte contre le fameux monopole du Service dit public.
1. L'édito de Jean-Marc Béguin du samedi 16 septembre 2017 intitulé :" où sont les gentils bouddhistes?"
2. L'article d'un connaisseur du sujet sur LesObservateurs.ch repris du site également de Réinformation Polémia: " Rohingyas : idéologieS et approche victimaire", de Philippe Raggi :
le lien, ici
Le texte de
Philippe Raggi, chercheur en géopolitique au sein du CF2R (Centre français de recherche sur le renseignement).
♦ L’ennui avec une idéologie, quelle qu’elle soit, c’est que son approche de la réalité est rarement conforme aux faits. Lénine disait qu’il n’y avait que deux idéologies, l’idéologie bourgeoise ou l’idéologie socialiste (1). En cela, comme sur d’autres points d’ailleurs, il avait tort. Il y en a une troisième : l’idéologie de l’islam militant ou islamisme. Ainsi Jules Monnerot avait-il bien raison de dire que l’islam serait le communisme du XXe siècle (2). Cette affirmation se révèle et se constate tous les jours, l’actualité nous en donnant des éléments à flot constant. Pour l’illustrer, nous nous pencherons sur ce qui se passe en Asie du Sud-Est, précisément au Myanmar, ancienne Birmanie.
Le grand public a découvert ces dernières années, et plus encore ces derniers mois, une minorité dont elle ignorait jusqu’alors l’existence : les Rohingyas. Minorité ethnique et religieuse, elle est une de celles qui composent l’ensemble des habitants du Myanmar, avec la majorité birmane bouddhiste.
Les Rohingyas sont un sous-groupe du peuple bengalais situé sur le territoire de l’actuel Myanmar suite aux affres de la colonisation britannique. Les Britanniques ayant utilisé les Rohingyas dans la répression contre les Birmans, que ce soit lors de la conquête de ce qui allait devenir le Raj britannique ou au moment de l’indépendance birmane, cette minorité n’a jamais été considérée par la quasi-totalité des habitants de la Birmanie (puis du Myanmar) comme faisant légitimement partie des peuples constituant la « nation birmane ». Des groupes ethniques, le Myanmar en compte de nombreux – pas loin de 130 (3) – et pas toujours en sympathie avec le pouvoir de la capitale actuelle, Naypyidaw (4). En effet, que ce soit avec les Chans, les Chins, les Karens bien sûr, de nombreux conflits ont émaillé les rapports avec le pouvoir en place depuis l’indépendance en janvier 1948, notamment sous la junte militaire entre 1962 et 2011 et ce jusqu’à aujourd’hui.
Les Rohingyas ne parlent quasi exclusivement que le bengali, et ne sont ni intégrés et encore moins assimilés à leurs compatriotes bouddhistes. Depuis longtemps discriminés et persécutés dans le pays (ils n’ont pas le droit de sortir du Rakhine, n’ont pas de papiers d’identité), ils ne sont pas véritablement des citoyens mais ont le statut d’« associés » à la Birmanie ; bref, ils sont dans une situation bien plus difficile comparativement aux autres minorités ethniques ou religieuses, elles-mêmes souvent persécutées.
Géographiquement, les Rohingyas se regroupent à l’ouest du Myanmar, près de la frontière avec le Bengladesh, dans le nord de la province de l’Arakan (Etat de Rakhine), en un territoire ouvert sur le Golfe du Bengale. Ils constituent une des minorités dans ladite province, face aux Arakanais (bouddhistes) majoritains.
Minorité ethnique, les Rohingyas sont aussi une minorité religieuse en ceci qu’ils sont musulmans. C’est là qu’intervient l’approche idéologique du conflit (dont nous parlions au préambule), c’est là que les faits sont travestis, que s’ouvre le Story telling. Alors que l’on nous présente le conflit sous un angle exclusivement religieux (gentils musulmans contre méchants bouddhistes), nous pourrions dire, en utilisant un terme de juriste, que l’islam n’est en définitive pas le « fait générateur » du conflit. En effet, il y a d’autres fortes minorités musulmanes au Myanmar : il y a ceux d’origine indienne et ceux d’origine chinoise (Panthays). Or, que constate-t-on ? Que ces deux autres minorités musulmanes du Myanmar n’ont aucun souci d’intégration et qu’elles ne font pas l’objet de discrimination et de mépris de la part du pouvoir et/ou de la population du Myanmar, qu’il n’y a pas de conflit de la nature dont sont partie prenante les Rohingyas. Ainsi, présenter ce qui s’y passe sous l’angle d’une minorité musulmane opprimée du fait seul qu’elle professe l’islam ne tient pas la route. Par contre, ceux qui ont un intérêt particulier à ce que le conflit soit perçu de la sorte sont les idéologues : les islamistes et les mondialistes.
Les premiers idéologues sont les islamistes, qu’ils soient locaux (Rohingyas, Bangalais), régionaux (du sud de la Thaïlande, de Malaisie, des Philippines et d’Indonésie) et aussi, bien sûr, ceux de la mouvance islamique pro-califat (Al-Qaida, Etat Islamique, Hizb-ut-Tahrir, etc.). Par la mise en avant de cette posture victimaire, « les » musulmans n’apparaissant plus médiatiquement avec le label « barbares terroristes », « oppresseurs » et « sanguinaires » mais comme des opprimés, un statut privilégié qui apitoie l’opinion et exonère de toute analyse (5), tant l’émotion tue la raison. De plus, en appeler à l’action des musulmans du monde contre les responsables au pouvoir à Naypyidaw, permet à ces idéologues, non seulement de permettre l’ouverture d’un nouveau foyer-creuset pour combattants jihadistes, mais encore de mobiliser les musulmans du monde (la Oumma) face à l’ennemi impie en une cause transnationale, globale.
Soulignons que dans ce conflit les armes ne sont pas que d’un seul côté. Les Rohingyas ne sont pas que des victimes, tuant et détruisant eux aussi ; et ce, avec autant de sauvagerie, de haine que les extrémistes birmans bouddhistes, civils ou militaires. Les Rohingyas ne sont pas épars et sans structures combattantes. Ils ont des groupes armés, mobiles et entraînés. Enfin, ce conflit n’est pas circonscrit aux seules limites du territoire birman de l’Arakan. Un certain nombre de combattants Rohingyas sont des jihadistes militants, en liaison étroite avec le Harakat al Jihad al Islami du Bengladesh voisin, ayant été entraînés par l’ISI (les Services pakistanais), souvent passés par les madrassas pakistanaises et ayant connu le théâtre afghan. Des liens ont été observés, par ailleurs, notamment entre les insurgés des trois provinces du Sud thaïlandais et les musulmans birmans des organisations Rohingya Solidarity Organization (RSO), Arakan Rohingya Islamic Front (ARIF) et de l’Arakan Rohingya National Organization (ARNO). Il est à noter, au passage, que la plupart de ces groupes islamistes armés ont leur siège au Bengladesh et qu’ils bénéficient de la bienveillance des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne.
Les autres idéologues sont les mondialistes. Ces derniers utilisent, eux, un autre ressort idéologique : les « droits de l’homme », ceci pour de simples mais colossaux intérêts financiers. Ces mondialistes appartiennent à deux groupes qui ne sont pas sans liens : des intérêts privés et des intérêts étatiques. Les premiers étant de grands groupes pétroliers (notamment britanniques et américains, tels Exxon, British Petroleum, mais aussi Shell, etc.). En effet, on constate que le groupe Total, présent au Myanmar depuis 1992, subit depuis deux décennies des attaques incessantes via des ONG anglo-saxonnes, des organisations « humanitaires » poussées et financées par les groupes pétroliers ; le but de ces actions aux paravents « droits de l’hommistes » étant d’évincer Total de sa licence d’exploitation des ressources en hydrocarbure (gaz et pétrole) au Myanmar et en particulier du champ gazier off-shore de Yadana (dont Total est opérateur à hauteur de 31,2%) (6), une éviction qui se ferait au profit de ses concurrents (7). Les autres mondialistes étant les Etats-Unis dans une action visant non pas Naypyidaw directement en tant que tel, mais bien plutôt la Chine, pilier du régime birman, en un jeu de billard à plusieurs bandes. Rappelons qu’un pipeline a été construit, reliant le Yunan (Kunming) aux rives du Golfe du Bengale (port de Kyaukphyu, dans la province de l’Arakan) ; un pipeline financé par les Chinois et qui compte beaucoup en tant que voie d’acheminement énergétique pour Pékin. Il est aisé de comprendre que des troubles dans la région, un conflit armé et un pipeline endommagé et/ou rendu inopérant, un pays (le Myanmar) mis au ban des nations pour ses exactions directes ou indirectes sur une partie de sa population, gêneraient la République Populaire de Chine.
* * *
Ces deux types d’idéologues, par-delà leurs motivations respectives, ne peuvent donc qu’applaudir si ce n’est pousser à la mise en avant de ce conflit (au détriment d’autres sur la planète), car, pour l’un, il mobilise au niveau mondial non seulement la Oumma, mais la tendance islamiste radicale et jihadiste en un nouvel abcès de fixation et de trouble régional ; et, pour l’autre, il permet d’avancer des intérêts économiques et de déstabiliser un rival de poids, ceci par le biais d’organisations relais aux intentions « humanistes » qu’ils financent et qu’ils manipulent (8).
Jusqu’alors louée par les capitales occidentales, Aung San Suu Kyi se voit reprocher aujourd’hui de ne rien dire sur ce conflit. Il faut dire que l’ancienne égérie des mondialistes – coqueluche des « droits de l’hommistes », enfant chérie de l’hyper-classe et lauréate du Prix Nobel de la Paix – qui avait été utilisée pour diminuer le pouvoir de la junte dans les années 1990-2010, étant birmane et bouddhiste, ne peut se désolidariser de la majorité de son peuple composé à 88% de bouddhistes. Par ailleurs, elle sait l’importance de Pékin et de l’aspect vital du pipeline chinois. Elle mesure également l’influence au sein de la population des bouddhistes nationalistes, qu’ils soient du Mouvement 969 du moine Ashin Wirathu ou de la Fondation philanthropique Buddha Dhamma dirigée par le moine Tilawka Biwuntha. Ainsi, Aung San ne défendra-t-elle jamais la cause des Rohingyas et son éclat d’icône de la démocratie bâtie dans les années 1990 sera vraisemblablement de plus en plus terni dans les médias mainstream. Il est donc fort à craindre que ces affrontements ne cessent, compte tenu du fait qu’ils sont nourris et souhaités tant en interne, par des extrémistes bouddhistes et militaires ainsi que des Rohingyas, qu’à l’extérieur du pays, par des idéologues islamistes et mondialistes.
Philippe Raggi
9/09/2017
Notes :
Correspondance Polémia – 12/09/2017
Image : 300.000 Rohingyas ont fui de Birmanie : l’ONU dénonce un nettoyage ethnique.
Depuis deux jours, les nerfs des habitants de Wileroltigen (BE) sont à vif. En apprenant que des gens du voyage venant de France avaient prévu de s'installer sur une place située à côté de l'A1, plusieurs villageois y ont répandu du purin et des excréments, écrit mardi «Der Bund».
Ils ont aussi bloqué l'accès à la place avec du béton.
Nous en parlions déjà ici et ici.
**********
Les affaires sociales de Nidau avaient demandé en 2012 au Secrétariat cantonal de la migration de retirer l'autorisation de séjour d'Abu Ramadan en raison des aides sociales que le Libyen touchait.
Les autorités cantonales avaient alors envoyé promener la commune, explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 24 août 2017.
[...]
Quelques centaines d'Erythréens ont manifesté vendredi après-midi pacifiquement sur la Place fédérale à Berne. Ils ont protesté contre le président Isayas Afewerki et un rapprochement de la Suisse avec les autorités de leur pays.
Un objet suspect a entraîné mardi soir la fermeture momentanée de la place fédérale à Berne ainsi que des rues attenantes. Les forces d'intervention ont emporté ce qui s'était rapidement révélé être un sac à dos dans un endroit sécurisé, ont-elles indiqué sur Twitter.
Le contenu du sac découvert plus tôt dans la soirée n'est pour l'heure pas clair, a précisé un porte-parole de la police cantonale bernoise à l'ats. Des vérifications sont en cours. Une personne liée à l'affaire a été interpellée.
La police ne pouvait pour l'instant donner davantage de détails.
Les anarchistes et les jeunes révolutionnaires ont organisé une manifestation.
La police veille à ne pas envenimer la situation.
Le gouvernement bernois demande 12,7 millions de francs afin de respecter les contrats en cours. Les citoyens avaient refusé un crédit de 105 millions en mai.
Vous noterez que les Blancs soignent encore l'Africaine qui hurle agressivement. N'attendez aucun remerciement de cette femme.
Source
Nos remerciements à Wilhelm
Christian Hofer: Ce même expert d'opérette n'aurait jamais fait la moindre remarque si cela avait concerné d'autres ethnies.
Lorsque ces provocations se succèdent, la gauche, les médias et notre administration minimisent et certains mêmes osent accuser les... Suisses.
**********
L'étudiant de commerce Lukas Bernhard a d'abord pensé à une blague. Lors de la pause, un collègue l'a informé que quelqu'un démolissait sa voiture. Lorsque le jeune homme de 18 ans, s'est rendu dans la rue où sa Golf GTI noire était garée, il a failli avoir un choc. « Un homme vêtu de noir avec une capuche et des gants frappait sauvagement sur ma voiture, » dit-il.
Lorsqu'il a voulu parler à l'individu, celui-ci a pris le large. « Il était sur la route avec le vélo et il a ainsi pu m'échapper. » déclare l'étudiant de l'Établissement d'enseignement professionnel à Berne.
Résultat du vandalisme: une lunette arrière brisée et des rétroviseurs détruits. Bernhard a déposé une plainte que la police a confirmée.
Pour l'apprenti mécanicien de camion, l'origine du coupable est claire: "C'est certainement un extrémiste de gauche", dit-il. La raison de la supposition: Sur la vitre arrière de son véhicule, le mot Confédéré en majuscule et police de caractère Lonsdale brillait. « Avec l'autocollant, je voulais montrer que je suis fier de mon pays et un vrai Suisse », a déclaré Bernhard. En tant que militant de droite, il se sent victime de discrimination.
Le terme "Confédéré" possède des relents bruns
Selon Urs Urech, un expert de l'extrémisme de droite, le terme « Confédéré » est utilisé dans les cercles d'extrême droite pour distinguer « ethniquement les purs suisses » des Suisses naturalisés. Dans ce contexte, il serait fortement marqué ethniquement et provoquerait une "exclusion par délimitation"
"Il envoie le message :" Nous sommes les meilleurs des Suisses, vous avez acquis le passeport seulement par le biais de la naturalisation ", déclare Urech. En ce sens, il serait considéré comme une personne étant discriminante et blessante.
(...)
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Les cantons doivent-ils dépenser des millions pour mieux accueillir les requérants d'asile mineurs non accompagnés? Oui, a estimé le Grand Conseil bernois, qui a voté récemment un crédit de 105 millions de francs à cet effet.
Mais un référendum des milieux proches de l'UDC a abouti: les Bernois se prononceront donc le 21 mai sur ce crédit.
La campagne a véritablement démarré: après la conférence de presse des partis soutenant le crédit, puis vendredi celle du comité référendaire, les partis jeunes, qui regroupent toutes les formations sauf l'UDC, se sont à leur tour exprimés lundi.
Le Grand Conseil bernois avait largement dit oui à ce crédit de 105 millions pour les quatre ans à venir, censé assurer aux requérants mineurs un accueil adapté.
Berne, comme d'autres cantons, a décidé de les héberger dans des centres spécialisés. Il y va de la protection de l'enfance, telle que définie par l'ONU et que la Suisse s'est engagée à garantir, selon le Grand Conseil.
Or, les montants alloués par la Confédération ne suffisent pas à accueillir convenablement ces mineurs non accompagnés, raison pour laquelle Berne veut engager des millions supplémentaires, à l'instar d'autres cantons.
L'UDC s'y oppose, jugeant que les solutions bernoises sont trop luxueuses, qu'elles grèvent les caisses de l'Etat et saignent le contribuable, alors que le canton ne cesse de lancer de nouveaux programmes d'économies.
Le comité référendaire estime que ces mineurs non accompagnés doivent être traités comme des adultes: dans leur pays d'origine, ils seraient "mariés depuis longtemps" et "gagneraient leur vie", selon les référendaires, on peut donc les intégrer dans les centres pour requérants adultes.
"Faux!", rétorquent tous les autres partis, qui soulignent que la plupart de ces jeunes resteront en Suisse, et qu'il faut donc tout faire pour faciliter leur intégration.
Alain Arnaud/kkub
Bien sûr, l'accord ciblerait avant tout les ressortissants irakiens jugés en Suisse pour soutien ou appartenance à une organisation terroriste, soit les djihadistes. Et la porte-parole de citer ces trois anciens prévenus liés à la cellule de l'organisation Etat islamique de Schaffhouse, dont deux ont été libérés au cours des dix derniers jours.
(...) Un homme originaire d'Afrique de l'Est est poursuivi pour viols. Ses victimes présumées sont sa nièce et son épouse. Le procès s'est ouvert mardi au Tribunal de Moutier.
«Ma nièce avait des besoins sexuels immenses. Il nous est arrivé de nous mettre à deux pour tenter de la satisfaire.»
Nos remerciements à Wilhelm ✙ ن
L'UDC prend acte avec soulagement de la décision indépendante d'annulation par les organisateurs de la manifestation de protestation du 18 mars 2017 à Berne contre la non-application de l'initiative contre l'immigration de masse.
Il s'est avéré ces dernières semaines que le gouvernement de gauche de la ville de Berne n'avait ni la capacité, ni la volonté d'imposer le droit et l'ordre face aux extrémistes et aux casseurs de gauche proche des milieux peuplant l'ancien manège (Reitschule) de la ville fédérale. Il n'aurait pas été tolérable pour les habitants et les arts et métiers de la ville fédérale ainsi que pour les agents de police engagés d'offrir à ces voyous gauchistes une nouvelle occasion de se défouler par des excès de violence.
En renonçant dans ces conditions à leur droit démocratique fondamental de mettre sur pied une manifestation pacifique, les organisateurs ont fait preuve de leur sens de la responsabilité.
Parallèlement, cette affaire est un nouveau témoignage de l'indigence des politiciens de la gauche bernoise qui non seulement tolèrent depuis des années ces agissements violents d'extrémistes de gauche, mais qui en sont même devenus entre-temps les otages. L'UDC de son côté continuera de se battre avec tous les moyens politiques à sa disposition pour faire respecter la volonté du peuple et pour que la Suisse puisse à nouveau contrôler elle-même l'immigration sur son territoire.
Source
Nos remerciements à Info