Dijon, Troyes : Tchétchènes armés contre Arabes armés et Allah pour tous !

Nice et Dijon ce week-end, mais aussi Troyes en avril ou Rouen en mai… ces dernières semaines ont été marquées par une recrudescence de mobilisations ou d’expéditions punitives menées par des membres de la communauté tchétchène. Vendredi soir, la capitale de la Bourgogne a ainsi été le théâtre de scènes surréalistes avec des dizaines d’hommes «patrouillant», parfois cagoulés, armés de barres de fer, couteaux, marteaux, tournevis et battes de baseball. [...]

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15 juin 2020

https://www.youtube.com/watch?v=olcKHUrEwPo

 

https://www.youtube.com/watch?v=8saocgJlQUg

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Affrontements à Dijon : tirs contre la Police

 

Berlin : Affrontement entre clans en pleine rue à coups de machette

Christian Hofer : La problématique de ces clans est connue depuis longtemps par les autorités allemandes. Mais elle a été passée sous silence afin d'éviter toute accusation de racisme.

 

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Les autorités pensent qu'il s'agit d'une rixe entre clans. Une vidéo montre des scènes de violence.

Berlin. Plusieurs bagarres en peu de temps dans les environs de la Neuköllner Fuldastrasse ont mis les services de sécurité de Berlin en état d'alerte.

Les affrontements sont explosifs - notamment parce qu’il s’agit en partie de querelles de clan. Les experts de la scène ont déclaré que les soi-disant juges de paix s'étaient depuis longtemps penchés sur la situation pour éviter que les conflits ne s'aggravent davantage.

Selon la police, entre 40 et 50 personnes ont participé à une bagarre de masse mardi après-midi. Plusieurs personnes ont été blessées et 60 policiers étaient présents.

 

https://www.youtube.com/watch?v=buk_3lOlVlw

 

Des vidéos montrent des scènes de violence. On peut notamment voir plusieurs hommes qui s'attaquent. Deux d’entre eux arrachent des panneaux de signalisation et frappent leurs adversaires. Un homme tient une machette à la main.

 

https://youtu.be/UV3PCa6IJi0

 

Bagarre de masse à Neukölln : la police a dû fermer la rue

On a dénombré plusieurs victimes. Un homme de 22 ans a subi des blessures à la tête, aux bras et au torse. Une personne de 36 ans a été blessée à la tête et aux jambes. Un garçon de 28 ans s'est plaint d'une irritation des yeux et un garçon de 13 ans a été blessé à la tête.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Morgenpost.de

 

 

Allemagne : Leila mariée de force par sa famille pour faire venir un Arabe criminel en Europe. Elle est violée et battue par son nouveau mari.

Cologne : Mariée de force par sa famille, violée, battue et emprisonnée par son mari criminel: Leilas (nom modifié), l’histoire est un exemple bouleversant des terribles machinations des clans nés en Arabie au centre de l’Allemagne.

Sur "Stern TV", la femme âgée de 25 ans a parlé de ses années de torture.

Leila croyait qu'elle partait en vacances

Il y a cinq ans, Leila a été amenée par sa famille d'Allemagne au Liban. Elle pense qu'il s'agissait de vacances. Mais en réalité, Leila se rend à son propre mariage - sans le savoir.

"Le jour de son arrivée, l'homme est venu avec sa famille. Et puis on ne m'a pas demandé, ils m'ont simplement dit: "Aujourd'hui, tu es unie par les liens sacrés du mariage." On m'a présenté comme une marchandise. Il est venu me juger puis pour dire : "Oui, je veux" ou "je ne veux pas," déclare Leila.

Le trafic de drogues est la première chose qu'ils font

L'homme décide du mariage - et Leila apprend de quelle famille il est originaire. "Quand j’ai entendu le nom, c’était si effrayant pour moi. C'était vraiment mauvais. Et je n'ai jamais pensé que ma famille s'associerait avec une telle famille."

Son mari est membre d'un clan criminel.

Ensuite, elle est renvoyée en Allemagne, son mari doit suivre.

"Je pense que c'était prévu parce que je vis en Allemagne et que je suis citoyenne allemande", explique Leila, son mari peut également entrer en Allemagne avec un visa de mariage, et entrer dans le commerce de la drogue des membres de son clan vivant déjà en Allemagne.

"La drogue est la première chose qu'ils font. Et puis il y a le commerce des femmes et le commerce des armes. Quand quelqu'un vient et a besoin de quelque chose, c'est genre, "Combien ? Tiens, tu l'as."

Depuis qu'elle s'est échappée, Leila craint pour sa vie.

Depuis que Leila a réussi à s'échapper, elle a peur pour sa vie : "Je vis dans la peur constante d'être trouvée et donc je n'invite personne chez moi (...)

Express.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Allemagne : un Tunisien, requérant d’asile débouté, agresse des policiers et les menace de mort.

Allemagne : un demandeur d’asile viole l’adolescente de 13 ans qui voulait lui apprendre l’allemand.

Un réfugié syrien chrétien : « Même si vous n’aimez pas l’entendre, une grande partie des réfugiés souhaite islamiser l’Allemagne. Ils auront le dessus dans quelques générations. »

Allemagne. Halle : Des classes avec 100 % d’étrangers. « Kurdes et Syriens se livrent déjà en tant qu’enfants à leurs conflits ethniques. »

Allemagne. Munich : Des musulmans imposent leur prière en pleine rue et ordonnent à un Allemand de partir. (Vidéo)

Allemagne : 18 hommes attaquent le personnel d’un club avec des armes. On suspecte un gang d’Irak. (Vidéo)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

De grandes familles arabes se sont propagées dans toute l'Allemagne et contrôlent des quartiers entiers. Cela est dû aux erreurs des années 80 et 90.

Ils ont crié « Allahu akbar », en accompagnant le cercueil à travers les rues et ont rendu hommage à un individu assassiné, reconnu coupable de vol qualifié, de voies de fait dangereuses, de mauvais traitements, de coercition et d'infractions en matière de drogue.

On estime à 2000 le nombre de membres de grandes familles arabes qui ont assisté aux funérailles cette semaine. La scène évoquait les obsèques de la mafia, de Chicago dans les années 1930 ou de la bande de Gaza. En réalité, les hommes barbus, tatoués et musclés ont marché à travers Berlin.

Les photos pourraient également provenir de Dortmund, Essen, Brême ou Duisbourg. Environ 12 grandes familles arabes, comptant chacune des centaines, voire des milliers de membres, se sont répandues dans les villes allemandes. Ils contrôlent des quartiers entiers, commettent des vols, pratiquent le trafic d'êtres humains et de drogues, pratiquent le racket. Ils reçoivent généralement une aide sociale, mais possèdent des voitures de luxe, des hôtels, des stations-service, des bars à narguilé et des magasins de paris - et élargissent constamment leur sphère d'influence dans de nouvelles villes et villages.

Bienvenue en automne 2018 dans la République fédérale d'Allemagne. Alors que les effets de la "culture d'accueil" de 2015 commencent à montrer des signes de ralentissement, les conséquences des erreurs des années 1980 et 1990 sont déjà clairement visibles. A l'époque, des dizaines de milliers de réfugiés venaient du Liban.

Bien que personne ne sache exactement qui ils étaient, ce qu’ils feraient ici et s’ils avaient été menacés chez eux. Mais à cette époque déjà, l'Allemagne les a laissés pour la plupart naïvement sans contrôle dans le pays.

"Ils vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles et lois."

Une génération plus tard, le résultat de cette politique est évident: les familles arabes nombreuses - qui avaient délibérément abusé de la loi sur l'asile pour amener leurs clans en Allemagne - ont pris le pouvoir dans de nombreuses parties de la ville. Elles vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles, valeurs et lois.

Elles méprisent l'Etat allemand. Elles menacent les policiers. Et elles se moquent des juges allemands qui prononcent les peines habituelles avec sursis. 

Pendant des mois, le journaliste Olaf Sundermeyer a effectué des recherches dans le milieu pour un documentaire. Même Sundermeyer - en principe un expert de l'extrémisme de droite - arrive à la conclusion que les autorités ont détourné les yeux pendant des années et ont minimisé.

Dans le talk-show de Markus Lanz, il a récemment déclaré que les renseignements criminels étaient déjà au courant des problèmes à la fin des années 90. Lors d’une réunion nationale, ils avaient toutefois décidé à l’époque de ne pas lancer une campagne de grande envergure contre les clans arabes, car il aurait fallu procéder à une "attribution ethnique".

Par crainte d'être considérées comme xénophobes, les autorités allemandes ont permis aux clans criminels de perdurer durant des décennies. On peut imaginer à quel point ces familles ont dû en rire.

Aujourd'hui, les clans sont si grands, puissants et en connectés qu'ils pourraient difficilement être combattus avec les moyens et les lois existants, déclare Sundermeyer. En outre, ils recrutent constamment de nouvelles forces parmi les centaines de milliers de migrants qui ont afflué en Allemagne ces dernières années.

 

Tagesanzeiger.ch

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Nos remerciements à notre lectrice

 

 

A lire également :

Berlin : l’enterrement d’un chef de clan rassemble les criminels musulmans

 

Allemagne multiculturelle: Trois adolescents afghans agressés par six Arabes dans une gare en pleine journée

Christian Hofer: Importation de l'hyperviolence grâce à la gauche, peur dans les villes européennes à n'importe quelle heure et à n'importe quel endroit, viols, conflits ethniques, destruction de notre civilisation, de notre mode de vie et de nos libertés...

La société multiculturelle si enrichissante accouche en réalité d'une société de peur et de violence où chacun craint désormais d'être la cible de ces réfugiés déifiés par la gauche. Une régression de notre civilisation sur tous les plans, où la liberté et la sécurité des Européens ont été sacrifiées sur l'autel des droits de l'homme. Il ne faut pas s'étonner que chacun ne pense plus désormais qu'à soi.

Il ne faut pas s'étonner que plus personne ne réagisse alors que les Arabes trainent derrière eux une réputation de violence extrême (bien entendu la gauche ne parle jamais d'extrémisme pour un extra-Européen), la justice allemande se basant sur des textes de loi totalement dépassés pour une telle racaille. Or qu'adviendrait-il d'un Allemand qui oserait réagir? Des coups, des menaces de mort sur toute sa famille, le fait d'avoir peur de sortir et de se retrouver nez à nez avec ses agresseurs ou les amis de ceux-ci. Pendant ce temps, Merkel ose briguer un autre mandat...

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Dimanche trois adolescents ont été battus à la gare routière de Gütersloh par un groupe d'individus plus important. Mais les passants n'y ont pas prêté attention.

A 16 heures, des Afghans âgés entre 15 et 17 ans se trouvaient à la gare routière centrale de Gütersloh. Soudain, un groupe de six individus d'origine arabe aborda les jeunes.

Durant les 30 minutes qui suivirent, les coups se succédèrent aux insultes. Les trois jeunes Afghans ont été légèrement blessés.

Les jeunes afghans ont déclaré aux policiers que de nombreuses personnes sont passées devant eux sans réagir. Personne n'a appelé les secours ou n'a aidé d'une quelconque manière. Au lieu de cela, certains curieux saisissaient même leur smartphone et filmaient l'agression.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Le « Mourir ensemble »

Nice-1

   
Michel Garroté - Dans un article paru sur le Figarovox et intitulé "Terrorisme : du 'vivre ensemble' au 'mourir ensemble'", Me Gilles-William Goldnadel décrit - avec brio - l'état de résignation qui saisit la France après les attentats. Une résignation qui repose d'abord sur le silence politico-médiatique, ensuite sur un laxisme judiciaire poussé à bout. Gilles-William Goldnadel, avec Alexandre Del Valle, Bat Ye'or et Michel Gurfinkiel, fait partie des rares chroniqueurs qui, depuis des années, nous mettent en garde contre le danger qui vient, et qui, maintenant, hélas, est bien là : la terreur islamique.
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Les mises en garde de Gilles-William Goldnadel, Alexandre Del Valle, Bat Ye'or et Michel Gurfinkiel ont débuté dans les années 1980. En effet, depuis trente ans, ces chroniqueurs tirent la sonnette d'alarme. Mais la caste politico-médiatique parisienne persiste dans le déni, l'autoflagellation et le nihilisme. La France d'après guerre avait une opportunité unique de contribuer à bâtir une Europe démocrate-chrétienne, basée sur la culture judéo-chrétienne ; à bâtir une société libre et laïque de culture judéo-chrétienne.
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Mais la France, ou plutôt ses dirigeants, ont préféré opter pour une société ultra-laïcarde et anti-chrétienne. La France, ou plutôt ses dirigeants, ont préféré imposer leur américanophobie (les Américains sont tous obèses et débiles), leur "politique arabe", leur "anti-sionisme" (avec une israélophobie obsessionnelle), leur compromission avec les communistes pro-soviétiques et leur politique immigrationiste, ouvrant ainsi toute grandes les portes du pays à des arabo-musulmans qui, aujourd'hui, se comportent souvent en colons arrogants et/ou en soi-disant "victimes". Les conséquences et le résultat de tout cela en 2016 sont désastreux : car en effet, sur la France - gangrénée par la terreur islamique - plane désormais le spectre du califat.
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A propos de tout cela, Me Gilles William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il semblerait que l'égorgement du père Hamel dans son église normande, cet holocauste symbolique du désir d'éradiquer l'ancienne religion des indigènes, l'exultation exaltante de déraciner le vieil arbre noueux, ait plongé la France médiatique et virtuelle dans une manière de résignation assumée. La France post-chrétienne proscrit le sabre mais manie le goupillon. Elle encense, à défaut du vivre, le mourir ensemble. Sur le chemin du calvaire du peuple français à présent routinier, il se pourrait qu'un clou enfoncé dans les chairs chasse l'autre.
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Me Gilles William Goldnadel : Saint-Étienne-du-Rouvray fait oublier Nice, qui abolit le reste. Rien d'autre à faire qu'à subir en silence compassé. La multiplication des massacres, l'addition des victimes, nous commanderait d'interdire toute discussion, source de division. Cette division que rechercherait paraît-il ceux qui nous égorgent. Je ne suis pas sûr que telle soit la stratégie de nos bourreaux. Il me semble plutôt que ces stratèges si subtils cherchent à nous tuer pour nous tuer, pour nous faire trembler, ramper, pleurer, implorer, supplier, et nous imposer le repentir d'exister.
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Me Gilles William Goldnadel : Mais à supposer que cette stratégie soit celle-là, je perçois mal ses dangers et limites. Nul péril en effet, car pour qu'il y ait guerre civile, il faut, comme en amour, être deux. Si je vois bien les guerriers de l'islam radical, je ne perçois nulle part les troupes de Charles Martel. J'aperçois bien quelque Ganelon, mais point de Roland à l'horizon lointain. Et ce ne sont pas quelques détestables graffitis ou un lardon devant une mosquée, sur lesquels la presse se jette avec d'autant plus de voracité qu'elle n'a rien d'autre à se mettre sous la dent, qui donne quelque chair à la menace brandie. Quant aux limites à respecter pour éviter cette guerre civile ou religieuse fantasmée, doivent-elles nous faire interdiction de critiquer ceux qui se tiennent pour nos élites ou encore la religion organisée ou inorganisée que nos bourreaux invoquent avant de trucider ?
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Me Gilles William Goldnadel : Mes lecteurs subtils auront deviné quelque malice sous la question, car j'observe que ceux qui nous menacent de la guerre civile en cas de division ont la méchante tendance de proscrire toute réflexion critique des causes du malheur présent. Un esprit chagrin irait même jusqu'à se demander si ce ne serait pas pour se protéger de toute funeste prospection. C'est ainsi que tout débat sur l'islam et ses troupes demeurent sous jalouse surveillance. Ici encore, la prophylaxie est de règle, au risque de voir le remède plus dangereux que le mal. Le lendemain du drame de Saint-Étienne-du-Rouvray, la matinale de notre chaîne radiophonique nationale insistait lourdement sur des manifestations d'hostilité aux musulmans qui demeuraient pourtant très virtuelles. France 2 pour ne pas être en reste interviewait une famille musulmane qui se plaignait simplement de « regards ».
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Me Gilles William Goldnadel : Le surlendemain, France Inter faisait son deuxième sujet avec cette crainte , automatiquement ressassée après chaque tuerie, que ressentirait la communauté musulmane d'être « stigmatisée ». Je rappelle que lors du dernier sondage (Ipsos) sur le « regard » de la communauté nationale sur les musulmans, Le Monde ( 28 /1/15) disait son étonnement de voir leur image améliorée malgré les grands attentats parisiens. Autrement dit, et au risque de décevoir ceux qui semblent l'espérer pour reprendre la main, les Français sont parfaitement capables de distinguer une majorité pacifique d'une minorité problématique et semblent immunisés contre le risque de globalisation ethnique ou religieuse.
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Me Gilles William Goldnadel : On voudrait à tout prix changer cet état de fait, les faire amalgamer ou stigmatiser alors qu'aucun discours public n'utilise cette thématique et qu'eux n'y songent pas obsessionnellement, qu'on ne procéderait pas autrement. Qui divise ? Quant à la mise en question de l'immigration massive incontrôlée, elle demeure du domaine de l'indécent indicible. Le mantra répété en boucle consistant à asséner que les assassins seraient français ou binationaux, pas question de réfléchir sur le fait que la majorité sont issus de l'immigration islamique récente. Interdiction donc de réfléchir sur les ratés programmés de l'intégration, les dangers avérés des migrations, ou la nécessité existentielle de combattre sans frein l'immigration illégale et invasive.
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Me Gilles William Goldnadel : Enfin, l'ensemble du corps politique, premier ministre compris et jusqu'au très estimable Mr Boubakeur , s'accordant à reconnaître l'urgence impérieuse de reconstruire l'organisation du culte musulman en France, il est difficile de pouvoir soutenir sans rire que ce qui nous arrive n'a strictement et absolument aucun rapport avec l'islam. On me permettra à ce stade de faire observer respectueusement à Manuel Valls que le « pacte » qu'il appelle de ses vœux sera autrement plus difficile à obtenir que lorsqu'il s'agissait du concordat des juifs ou de la séparation avec l'église catholique. Et Dieu sait pourtant que ce fut difficile. Les premiers considèrent que « la loi du pays est leur loi ». Les seconds doivent « rendre à César ce qui appartient à César ». Pas grand-chose à voir avec ceux qui doivent mettre la charia au-dessus de tout.
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Me Gilles William Goldnadel : Il est des pactes qui doivent ressembler à des décrets impérieux. Je me permets moi-même, au risque de diviser, de m'étonner de la surprenante soustraction opérée ce dimanche par la centaine de personnalités musulmanes françaises réclamant dans le JDD cette réorganisation de l'islam de France : « après l'assassinat de caricaturistes, après l'assassinat de jeunes écoutant de la musique, après l'assassinat d'un couple de policiers, après l'assassinat d'enfants, de femmes assistant à la célébration de la fête nationale, aujourd'hui l'assassinat d'un prêtre célébrant la messe ».
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Me Gilles William Goldnadel : S'agissant de personnalités averties, compte tenu du contexte spécifique des relations entre juifs et arabes, j'ai du mal à me persuader que cette soustraction des victimes juives de Toulouse ou de Paris relève seulement de la plus fâcheuse des distractions. Autre proscription sous peine de divisions: la critique du système judiciaire ou de certains de ses membres. Ici encore nos prêtres cathodiques en ont fait une sorte de tabou inviolable. Ici encore notre chaîne radiophonique nationale et publique, au lendemain du crime, se faisait l'écho du malaise de juges qui se sentiraient eux aussi, décidément, « stigmatisés ».
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Me Gilles William Goldnadel : Ainsi donc, il serait interdit de faire remarquer que le système judiciaire français est non seulement en panne, mais à présent paralysé. Interdit de faire observer, sous peine de je ne sais quelle autre stigmatisation , que Madame Taubira lui a porté le coup de grâce. Que durant une demie décennie la gauche esthétique a ralenti le programme de construction carcérale et lui a substitué l'inepte loi sur la contrainte pénale. Que non seulement cette dernière n'est pas appliquée, mais qu'en outre les juridictions croulent sous le nombre de peines non exécutées. Que désormais la justice pénitentiaire n'est plus en mesure d'assurer tous les trajets entre prisons et tribunaux et que des détenus sont libérés faute d'escorte ! (Le Figaro, Paule Gonzales 10 juillet & Le Monde, Jean-Baptiste Jacquin 24 juin).
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Me Gilles William Goldnadel : Mais il est interdit, plus encore, de faire remarquer que le débat sur la nécessité de réformer le droit est le plus commode des débats. Que celui de voir respecter l'État de droit est le plus indigent. Le bel Etat de droit que voilà célébré par ses thuriféraires vétilleux, de la Ligue des droits de l'homme au Parti Communiste : celui de l'état d'urgence qui tolère Nuit Debout et des lois républicaines piétinées sous les pieds des immigrés illégaux qui foulent impunément les rues quand ils ne manifestent pas publiquement en leur beau milieu. À l'heure où l'État n'est plus le danger mais le premier rempart contre la barbarie à barbe, gardons-nous d'écouter ceux qui devraient faire vœu de silence et d'humilité.
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Me Gilles William Goldnadel : Tout aussi mal séant est de faire remarquer que le tueur de Nice était un étranger bénéficiant d'un permis de séjour. Que dans un système judiciaire normal celui qui était connu pour des faits de violence et de vol et qui venait d'être condamné à la prison avec sursis pour agression avec arme, n'aurait plus dû se trouver à Nice le 14 juillet. Interdit de faire remarquer que si des juges n'avaient pas, contre l'avis éclairé du parquet, libéré un certain Adel Kermiche pour lui mettre au poignet une breloque dérisoire, une petite flamme de vie lumineuse brillerait encore. Et pourquoi diable, ne serait-il pas possible de le faire remarquer ?
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Me Gilles William Goldnadel : Pas pour morigéner un magistrat, pas pour le révoquer, pas même pour lui réclamer des comptes personnels. Pour tenter seulement de briser ses confortables certitudes ou seulement ses réflexes idéologiquement conditionnés. Mais les cerbères de cette idéologie peuvent encore mordre. En tous les cas ils aboient. La présidente du Syndicat de la Magistrature, Clarisse Taron, croit voir dans les critiques de la juge qui a ordonné la mise en liberté de l'égorgeur du prêtre « une mise à l'index de la justice » et même selon Médiapart (27 juillet) une « curée médiatique » (sic). Le syndicat du mur des cons, combien de divisions ?, conclut Me Gilles William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/08/01/31001-20160801ARTFIG00135-terrorisme-du-vivre-ensemble-au-mourir-ensemble.php
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France. Boulogne: ils brûlent le drapeau français en hurlant «La France aux Arabes»

Dans la rue Félix-Adam, dimanche matin, un petit groupe a mis le feu au drapeau tricolore, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre en marge de la braderie des commerçants.

Dimanche dernier, aux alentours de 9 h, quatre jeunes hommes et deux femmes, passablement éméchés, traînent à proximité de la braderie des commerçants, rue Félix-Adam. Alors que les bonnes affaires battent leur plein, le groupe embrase un drapeau français, hurlant à plein poumons « La France aux Arabes ! ».

Source

 

Les migrants vus par les Arabo-musulmans



Dans Jeune Afrique, Fawzia Zouari écrit notamment, à propos des migrants tels qu’ils sont vus par les Arabo-musulmans (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Côté immigrés maghrébins, inquiétude et peur dominent. On croit dur comme fer au principe du « celui qui arrive le dernier ferme la porte à clef » : « Il faut se méfier de ces gens-là (les réfugiés moyen-orientaux). Ils vont nous poser des problèmes », geint « l’épicier arabe » des banlieues européennes. « Ma parole ! Ils prendront notre place et grignoteront sur nos droits. » Et, tout naturellement : « La France, par exemple, leur ouvre la porte alors que les Français eux-mêmes n’ont ni boulot ni logement ».

Fawzia Zouari : Côté citoyens arabes, c’est un concert d’indignations contre les gens du Golfe : « Vous vous dites les gardiens de la foi et invoquez l’hospitalité comme principe de l’islam mais ce sont les chrétiens qui accueillent vos frères, les habillent, leur font de la place. Les musulmans, ce sont eux et pas vous ! ». L’Europe n’est pas épargnée pour autant. Il y a ceux qui pensent qu’elle ne fait que récolter ce qu’elle a semé – « Les guerres du Golfe, les Printemps arabes, c’est elle. Et c’est normal qu’elle subisse aujourd’hui Daesh ou les réfugiés ».

Fawzia Zouari : Le journaliste Rachid Ali, animateur vedette de l’émission Questions audacieuses sur Al-Hayat, s’amuse pour sa part à pointer les contradictions des musulmans eux-mêmes : « Pourquoi les réfugiés syriens ne se dirigent-ils pas vers les pays musulmans les plus proches d’eux ? Pourquoi préfèrent-ils mourir en mer en tentant d’atteindre les rives des pays que leurs imams et prédicateurs religieux condamnent et déconseillent de fréquenter ? Pourquoi vont-ils dans cette Allemagne gérée par une femme mécréante ? ».

Fawzia Zouari : Enfin, les propos, entre humour et mépris, tel que cet appel lancé par un internaute à l’adresse des candidats à l’exil : « Je vous avertis : vous allez devoir respecter les lois, ne pas jeter vos paquets de cigarettes par terre, ne pas fumer dans les lieux publics, informer la police de tout délit, fût-ce le vol d’un chat, attacher votre ceinture de sécurité, asseoir votre enfant à l’arrière de la voiture et faire sagement la queue même sur des kilomètres. Mais je pense que si vous aviez été capables de respecter toutes ces règles, vous n’auriez pas ouvert la porte aux marchands de religion ni livré vos pays aux mercenaires », conclut Fawzia Zouari (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

Michel Garroté, 8 octobre 2015

http://www.jeuneafrique.com/mag/269398/societe/les-refugies-vus-par-les-arabes/

   

Genève: Elle déjoue un vol, les voleurs arabes l’insultent et la menacent

Une jeune femme empêche une vieille dame de se faire voler par trois malfrats.

Furieux de voir son butin lui échapper, l'homme situé derrière la dame âgée arrache les écouteurs de la jeune femme. Se tenant à quelques centimètres de son visage, il l'insulte et la menace en arabe pendant une trentaine de secondes. Ses deux complices font de même.

Finalement, c'est grâce au témoignage de la courageuse jeune femme et aux images de vidéoprotection des TPG, que les policiers parviendront à identifier les trois inconnus, des délinquants dont la seule activité connue est le vol.

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