Belgique. Multiculturalisme: Fusillade entre communautés tchétchène et turque ou afghane.

La fusillade qui a éclaté samedi en début d’après-midi à Saint-Josse a fait 3 blessés, a indiqué le parquet de Bruxelles. Les jours de l’une des victimes sont en danger. Les circonstances exactes des faits ne sont toujours pas connues mais d’après des témoins, il s’agirait d’un règlement de compte entre les communautés tchétchène et turque ou afghane.

«Un homme a été atteint par 3 balles et est en danger de mort. Un deuxième homme a été blessé à la hanche et un troisième n’a subi qu’une éraflure», a indiqué samedi après-midi un porte-parole du parquet. Les 3 victimes ont été transportées à l’hôpital.

Une enquête a été ouverte.

La rue de la Ferme, théâtre de la fusillade, a été fermée par la police et un hélicoptère de la police fédérale survole les lieux.

Source

Genève: Un requérant d’asile afghan condamné pour tentative de meurtre lors d’une rixe entre Afghans.

A noter le ton victimaire du journaliste, pleurnichant sur le sort de ce pauvre Afghan venu jusqu'en Suisse pour mentir, poignarder et agresser.

Dès lors, on comprend mieux comment ces journalistes jubilent lorsque leurs protégés acquièrent notre passeport, faisant ainsi passer les exactions de ces racailles pour des agressions provenant de "Suisses".

Quant à l'altercation, elle se joue entre... Afghans: Pas un seul instant le journaliste ne se pose des questions sur la sécurité des Suisses, alors qu'ils accueillent ces gens dangereux, leur offrent le couvert, l'habitat et les soins. Pas un seul instant, le rédacteur ne s'offusque de cette violence ethnique importée. Nous n'existons tout simplement pas... sauf lorsqu'il s'agit de financer l'asile et de nous culpabiliser.

D'autant plus que tout s'envenime à la suite de ces fameux "regards", caractéristique redondante de l'immigration pour agresser à la moindre occasion le sale kouffar.

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Il a laissé sa jeunesse sur les chemins de l’exil, quelque part entre la Turquie et la Grèce, après avoir fui les exactions de son pays, l’Afghanistan. Son adresse genevoise avant la prison : un foyer pour requérants d’asile.

La veille des faits, il est déjà entré en collision ludique avec des compatriotes parlant le persan dari, l’une des deux langues officielles de son pays d’origine. Lui a grandi en apprenant le pachtoune, du côté de Jalalabad, non loin de la frontière pakistanaise. L’échange de regards confirme la différence ancestrale. Les insultes pleuvent, rythmées par les pirouettes des voitures électriques qui se tamponnent mutuellement.

On décide de s’expliquer hors de la piste, en se retrouvant vers le manège Breakdance. L’altercation monte d’un cran. (...)

«l’agresseur s’est acharné, il a mis six mois à reconnaître l’usage du couteau au cours de l’instruction, continuant à soutenir aujourd’hui qu’il n’était pas le sien, qu’il ne l’a jamais sorti de sa poche.»

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Vienne. Un Afghan ordonne à une vieille dame autrichienne de le respecter car il est un homme: “Tu me dois du respect.” (Vidéo)

"Tu es une femme. Tu dois avoir du respect."

Des menaces à peine voilées dans un pays qui pensait que ce genre de parole appartenait au passé.

Des adolescents afghans qui causent d'énormes problèmes à la Gare de l'Ouest de Vienne déclarent à une vieille dame viennoise "qu'elle n'est qu'une femme et qu'elle doit donc montrer plus de respect envers eux."

 

 

 

Source Source2 Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Séquence qui sera évidemment absente de nos médias romands. Cela risquerait de réveiller les femmes de gauche encore pourvues d'une quelconque logique. Le visage de la femme à la fin de la vidéo vaut tous les discours. Et c'est avec de pareils sauvages que l'Européen doit désormais coexister.

Voici "l'enrichissement progressiste" que la gauche a fait entrer en Europe alors que les féministes n'hésitent pas à montrer leur mépris de l'homme blanc, hurlant à la misogynie à la moindre occasion.

Bien entendu, elles se tairont et se montreront bien plus dociles face à la violence de ces migrants qui se fichent éperdument d'un quelconque concept égalitaire, l'excuse du contexte culturel étant déjà prévue.

Cela n'empêchera pas ces femmes de continuer à voter à gauche et à militer pour en accueillir toujours davantage.

 

Canton d’Argovie: Un requérant d’asile afghan avait poignardé son épouse de 56 coups de couteau sans le moindre scrupule

Un requérant d'asile afghan qui a poignardé à mort son épouse en novembre 2015 à Gipf-Oberfrick (AG) devra répondre d'assassinat devant la justice argovienne. Le Ministère public réclame 18 ans de prison contre lui. Selon l'autorité d'enquête, l'homme aujourd'hui âgé de 42 ans a asséné 56 coups de couteau à sa victime, sans le moindre scrupule.

Agée de 30 ans, la femme de nationalité afghane, elle aussi, a été découverte morte dans le jardin d'une maison mitoyenne, le 4 novembre 2015. Son mari a aussitôt été arrêté sans résistance. L'épouse a succombé à ses graves blessures, après s'être vidée de son sang en raison des nombreux coups de couteau au visage, à la nuque et au torse, révélait l'institut médico-légal qui a aussi trouvé des entailles au cou, à la main et à la cuisse.

(...)

 

 

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Suède. Viols diffusés sur Facebook: Les migrants afghans inculpés pour viol

Nous en parlions en primeur déjà ici, bien avant nos médias nationaux.

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Le parquet de Suède a annoncé avoir inculpé trois jeunes hommes soupçonnés d'avoir violé une femme en direct sur Facebook.

Deux de ces hommes, ressortissants afghans âgés de 18 et 21 ans, sont poursuivis pour avoir violé la victime dans un appartement d'Uppsala, à 70 km au nord de Stockholm en janvier.

Un troisième suspect, un Suédois de 24 ans, est poursuivi pour non-empêchement de crime et complicité de viol. Il avait filmé et diffusé les faits «sur Facebook en direct ou très peu de temps après le viol», a précisé l'acte d'accusation.

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Allemagne: La moitié des Afghans qui devaient être expulsés ont réussi à échapper aux forces de l’ordre.

Le gouvernement allemand a admis vendredi que 32 des 50 Afghans qu'il voulait expulser cette semaine par avion ont réussi à échapper aux autorités, si bien que seules 18 personnes ont été renvoyées vers Kaboul.

Selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur, si trois Afghans ont vu leur ordre de reconduite annulé par la justice, les autres ont disparu, se sont réfugiés dans des églises pour échapper à l'administration allemande ou ont mis en avant un problème de santé de dernière minute.

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Genève: Un réfugié afghan de 25 ans poignarde un adolescent

Un Afghan de 25 ans a été arrêté lundi à Genève pour avoir poignardé un mineur à la fête foraine de Plainpalais. Il est prévenu de tentative de meurtre.

Des coups de couteau ont brisé le calme du Luna Park de Plainpalais, lundi dernier, vers 20h30. A l'origine: une dispute qui aurait commencé aux autos tamponneuses, près de la pointe sud de la plaine. Là, un requérant d'asile de 25 ans aurait été visé par un groupe de trois ou quatre compatriotes, tous mineurs. Ils n'auraient cessé de le percuter, tout en l'insultant.

Alors qu'il quittait le Luna Park, la bande est revenue à la charge. Le ton est monté. Pour une raison à déterminer, le plus âgé a sorti un couteau et a donné plusieurs coups à un ado de 15 ans.

Source

Suède : le gang de violeurs afghans ne sera pas expulsé, car leur pays est « trop ​​dangereux »

Nous avions traduit les détails de cette agression ici.

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  •  Le viol collectif a eu lieu dans les forêts d’Uppsala, au Sud-Est de la Suède
  • Le garçon a été battu et traîné dans une forêt à l’aide d’un couteau, a dit le procureur
  • La victime, âgée de moins de 15 ans, a été «soumise à une épreuve de plus d’une heure»,
  • Cinq personnes ont été condamnées mais aucune ne sera expulsée de Suède

Cinq adolescents afghans ont été condamnés pour avoir violé un garçon en Suède – mais aucun d’eux ne sera expulsé, parce que leur pays est «trop dangereux».

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Après un procès,

les adolescents ont été reconnus coupables de viol aggravé -mais en dépit des demandes du procureur, ils ne seront pas expulsés de Suède en raison de leur âge et des dangers qu’ils rencontreraient dans leur pays.

Le tribunal a déclaré que les adolescents auraient été «très durement touchés» par l’expulsion en raison de la situation sécuritaire en Afghanistan.

Quatre des accusés ont été condamnés à des peines de prison de 15 mois tandis que le cinquième a été condamné à 13 mois.

(…)

Tous sont arrivés en Suède en tant que mineurs non accompagnés demandant l’asile

(…)

Dailymail via Fdesouche.com

Pédophilie: Le “bacha bazi”, tradition afghane des jeunes esclaves sexuels

Christian Hofer: Voilà le genre de civilisation qu'on nous demande d'accueillir et d'accepter à nos frais et après on s'étonne qu'il y ait des viols et que les femmes soient traitées comme des catins par ces gens.

On demande à notre population de changer, d'être ouverte d'esprit, de percevoir l'immigration comme étant une chance alors que ces gens ne se posent aucune question quant à leurs moeurs. Tout ne doit être fait que dans un seul sens alors que ces peuples sont primitifs et que leur présence nous fait régresser!

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Lashkar Gah (Afghanistan) (AFP) - L'AFP a recueilli les témoignages de plusieurs familles afghanes victimes de "bacha bazi", une tradition locale pluriséculaire qui consiste à prendre pour esclave sexuel un jeune garçon.

"Bacha bazi" signifie jouer avec les garçons en dari, l'une des deux langues officielles afghanes. Cette coutume pédophile constitue pour les observateurs l'une des violations les plus cruelles des droits humains dans ce pays très conservateur, mais c'est aussi une source de conflit et d'insécurité.

- Qu'est-ce que le "bacha bazi" ? -

Chefs de guerre, commandants, policiers, hommes politiques... tout homme riche ou influent peut être tenté de garder chez lui un "bacha" comme symbole de son autorité et de son influence.

Habillés en femme, maquillés et les cheveux parfois teints, ces garçons âgés de 10 à 18 ans sont utilisés comme danseurs et jouets sexuels lors de soirées entre hommes. Cette pratique est largement acceptée dans un pays qui condamne l'homosexualité comme une perversion, interdite par l'islam.

- Est-il répandu ? -

"Les femmes sont là pour l'éducation des enfants, les garçons pour le plaisir", peut-on entendre dans plusieurs régions d'Afghanistan.

Le "bacha bazi", interdit par les talibans quand ils étaient au pouvoir (1996-2001), a connu une forte résurgence ces dernières années. La pratique serait aujourd'hui largement répandue dans les zones rurales pachtounes, dans le sud et l'est du pays, ainsi que dans les régions tadjikes du nord.

- Pourquoi cette pratique ? -

La stricte ségrégation des sexes au sein de la société afghane et le manque de contact avec les femmes ont contribué à son développement, estiment les associations de défense des droits de l'Homme.

Mais la pratique a prospéré aussi en raison de l'absence d'Etat de droit, la corruption, la difficulté d'accès à la justice, l'illettrisme, la pauvreté, l'insécurité et la présence de groupes armés, a indiqué la Commission indépendante des droits de l'Homme en Afghanistan (AIHRC) dans un rapport de 2014.

Elle soulignait que la loi afghane punit le viol et l'homosexualité mais ne contient aucune disposition précise concernant le "bacha bazi", d'où un "vide et une ambiguïté" du système sur le sujet.

"De nombreux adeptes disposent de réseaux au sein des organes de sécurité et jouent de leur influence et de pots-de-vins pour échapper à toute sanction", écrivait-elle.

- Qui sont ces garçons ? -

Les "bachas" ont pour la plupart entre 10 et 18 ans. Ils sont parfois enlevés et parfois vendus par des familles pauvres à leurs agresseurs, selon l'AIHRC. Les 13 familles rencontrées par l'AFP ont évoqué un enlèvement.

"Les victimes, régulièrement violées, souffrent souvent de graves traumatismes psychologiques", pointait l'AIHRC dans son rapport. "Elles présentent des signes de stress et de perte de confiance en soi", de "désespoir" et "un désir de vengeance".

De nombreux adolescents ayant eu à souffrir de cette pratique la perpétuent une fois devenus adultes, entretenant ce cycle de violence. Mais "faute de services adéquats pour prendre en charge ces enfants qui furent confrontés aux pires abus, il est difficile de savoir exactement ce qu'ils deviennent par la suite", regrette Charu Lata Hogg, chercheur à l'institut britannique Chatham House.

- Quel impact sur la sécurité ? -

Les talibans se sont servis du "bacha bazi" en retournant contre les forces de sécurité afghanes de jeunes esclaves sexuels exploités, selon des responsables afghans.

L'existence de cette pratique au sein de la police afghane accentue l'insécurité dans des provinces déjà instables, comme Uruzgan dans le sud du pays.

En outre, cela mine le soutien pour les forces afghanes soutenues et formées par l'Otan.

Dans un rapport publié fin 2015, le Congrès américain prévenait que "le comportement de prédateurs sexuels des soldats et policiers afghans est susceptible de miner le soutien américain et afghan à ces forces et de mettre en péril" les dizaines de milliards investis par Washington pour renforcer les forces de sécurité afghanes.

Cette pratique renforce aussi la détermination des talibans à imposer la loi islamique dans le pays et alimente leur insurrection.

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Vienne: Étudiante violée par des réfugiés afghans mineurs. Ils ne font preuve d’aucun remords.

Le réfugié de 16 ans à propos du viol: "Je n'ai enfreint aucune loi". L'étudiante abusée: "J'ai pensé que j'allais mourir".

Les trois jeunes Afghans n'ont laissé paraître que peu de remords au Tribunal de District de Vienne. Ceux-ci auraient violé le 22 avril 2016 une étudiante sur la place Praterstern.

L'idée n'était venue "de personne", ont déclaré les deux accusés, âgé de 17 ou 18 ans. Le plus jeune - 16 ans - a admis que le crime était une idée de lui, mais en minimisant en même temps: «Je n'ai enfreint aucune loi."

Les jeunes, qui avant leur arrestation logeaient en tant que réfugiés mineurs non accompagnés dans le centre fédéral et étaient pris en charge par Caritas, avaient tout d'abord consommé de l'alcool à la gare de Praterstern. Puis, ils ont attendu une victime appropriée. Ils ont suivi la jeune femme et ils l'ont brutalement violée.

"Si aujourd'hui quelqu'un veut raconter quelque chose de différent, c'est simplement faux", exposait la procureur Katharina Stauber au début des débats.

Les adolescents ont suivi une étudiante d'origine turque de 21 ans (présente à Vienne à la suite d'un programme d'échange entre étudiants) depuis la gare jusqu'aux toilettes publiques d'une sortie de métro située à Lasallestraße.

Au moyen d'une pièce de monnaie, le plus jeune a ouvert la porte des cabinets que l'étudiante avait verrouillée derrière elle. Selon l'acte d'accusation, ils ont agressé très brutalement leur victime. La femme a été mise à terre. Puisqu'elle résistait, ils ont frappé sa tête à plusieurs reprises contre la cuvette des toilettes. Les Afghans l'ont maintenue au sol, ils ont couvert sa bouche et son nez. "Elle a cru qu'elle allait étouffer" a déclaré la procureur.

Hématomes sur tout le corps

La femme violée à plusieurs reprises portait des ecchymoses sur tout le corps, traces de strangulation à la gorge et des saignements au niveau des épaules et sur le bras droit. "Les conséquences psychologiques sont encore bien plus graves" (...).

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Suède: 5 adolescents afghans violent collectivement un garçon dans une forêt

Dans une forêt en Suède, un garçon a été violé collectivement pendant plus d'une heure par cinq Afghans. Il était sous la menace d'un couteau. 

  • Le viol collectif brutal s'est déroulé dans la forêt à Uppsala, dans le Sud-Est de la Suède
  • Selon le procureur, le garçon a été battu puis trainé dans les bois sous la menace d'un couteau.
  • La victime, âgée de moins de 15 ans, a été soumise durant plus d'une heure à un long calvaire.  

L'un des assaillants a filmé les séquences de l'agression qui s'est déroulée durant la nuit du 24 au 25 octobre, et a posté les images sur les médias sociaux, a-t-on affirmé.

L'enfant, également ressortissant de l'Afghanistan, est allé porter plainte à la police et les cinq suspects ont été arrêtés pour des accusations de viol sur enfant selon les informations diffusées en Suède.

Tous les cinq auraient nié les accusations, l'un prétendant qu'il n'était pas présent.

Deux autres prétendent qu'ils ne se souviennent pas de ce qu'ils faisaient alors que les deux derniers accusés ont fait « quelques concessions ».

Les documents judiciaires mentionnent que les adolescents, âgés de 16 et 17 ans, « ont infligé des violences » à la tête et au corps de l'enfant avant de « saisir la victime, couvrant sa bouche et en le trainant ou en le portant dans une zone boisée.»

À ce stade, les documents de la cour disent que chacun des accusés a effectué des agressions sexuelles graves sur l'enfant. Celui-ci a également été mordu dans le dos et ils lui ont craché dessus.

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Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Allemagne: Maria, tuée et violée par un réfugié afghan

Rappel: Pour Berset, le multiculturalisme et synonyme d'un pays où il fait bon vivre

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Maria L. Aucune manifestation pour nos femmes violées et tuées par l'immigration.

Fribourg – La police a arrêté un réfugié de 17 ans venant d’Afghanistan dans l’affaire de meurtre de Maria L. (19 ans). Il est suspecté d’avoir violé et assassiné l’étudiante au début du mois de Novembre, ont annoncé la police et le procureur samedi lors d’une conférence de presse.

Il est possible qu'il soit aussi l’assassin de la joggeuse Carolin G. (27 ans), qui a été violée et assassinée à Endingen au début de novembre. L’enquête est ouverte.

Carolin G.

Le corps de Maria L. avait été retrouvé le 16 octobre au bord de la Dreisam derrière le stade « Schwarzwaldstadion » de Fribourg. L’étudiante en médecine était sur son vélo, revenant d’une fête étudiante quand elle a été violée et tuée sur les rives de la Dreisam.

La police a trouvé sur le corps de la victime de nombreuses traces d’ADN mâle et des cheveux appartenant à un homme. C’est ensuite que des caméras de surveillance placées non loin de la scène du meurtre ont permis aux autorités de confondre le violeur et de l’arrêter.

L’assassin présumé est d’origine afghane, s’est rendu en Allemagne en tant que réfugié non accompagné en 2015, a déclaré le procureur Dieter Inhofer. A Fribourg, il vivait dans une famille. Jusqu’à présent, il n’était pas connu des services de police.

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Autriche: Les réfugiés afghans mentent sur leur âge et encaissent 150’000 euros

Le cas de trois Afghans à Salzbourg montre comme à quel point il est facile d'exploiter le système social. Ils sont venus en 2014 à Salzbourg et se sont présentés en tant que réfugiés mineurs non accompagnés (sans parents ou tuteurs). Depuis, ils ont reçu 50'000 euros chacun. Or, il est apparu que chacun d'entre eux était plus âgé.

Selon la police, les trois Afghans âgés à présent de 19, 20 et 21 ans sont arrivés en 2014 en Autriche. Sur la route vers l'Europe, les passeurs leur avaient conseillé de paraître plus jeunes, parce qu'ils pourraient recevoir plus d'avantages. Le trio a suivi le conseil et, en quête d'asile, ils se sont finalement présentés en tant que mineurs non accompagnés d'adulte.

(...) Les jeunes hommes ont reçu de l'argent: ils ont perçu des prestations de la sécurité sociale, de l'assurance maladie et des services de base - tels que le loyer, la nourriture, des vêtements et de l'argent de poche. Ainsi ils ont encaissé chacun depuis 2014 jusqu'à il y a quelques semaines 50'000 euros par personne.

Cependant, les gestionnaires avaient mis en doute l’âge des jeunes Afghans, c’est pourquoi un expert a été consulté. Et celui-ci a constaté à présent que les Afghans étaient déjà âgés de 17 ou 18 ans à leur arrivée et qu'ils avaient obtenu la majeure partie de l'argent à tort.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Un “enfant migrant” qui prétendait avoir 16 ans pour entrer en Grande-Bretagne s’affiche sur un site de rencontre en ayant 22 ans.

Un « enfant migrant » qui a déclaré avoir 16 ans quand il est arrivé au Royaume-Uni depuis la Jungle de Calais se vante d'avoir 22 ans sur un site de rencontre et porte une barbe sur son profil LinkedIn

  • Haris Stanikzai était parmi les 14 premiers enfants arrivés provenant de la Jungle de Calais
  • Il a déclaré aux autorités du Royaume-Uni qu'il avait 16 ans mais qu'il ne possédait aucun document
  • Son profil LinkedIn affirme qu'il est dans sa troisième année de formation de comptabilité
  • Un profil sur un site de rencontre sur Internet présente Stanikzai comme étant âgé de 22 ans

Un enfant migrant, qui est arrivé en Grande-Bretagne la semaine dernière, se vantait sur son profil de rencontre en ligne d'avoir 22 ans et possédait un profil LinkedIn où il prétend avoir passé trois ans à l'université.

Haris Stanikzai, originaire d'Afghanistan, a déclaré aux responsables du Bureau de l'Intérieur qu'il avait seulement 16 ans et est arrivé à Londres le 17 octobre pour vivre avec son oncle Jan Ghazi.

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Cependant, plusieurs photographies affichées sur les médias sociaux mettent en doute son âge, en particulier son profil LinkedIn qui prétend qu'il a passé trois ans en tant qu'étudiant à l'Université de Jahan à Kaboul où il étudiait la comptabilité et la finance. 

Après son arrivée en Grande-Bretagne, Stanikzai  a déclaré qu'il avait 16 ans - mais on lui a communiqué une date «officielle» de naissance qui lui donne 17 ans.

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Haris a déclaré au Mail: "J'ai 16 ans." Son oncle Jan Ghazi rajoute: "Je ne sais pas le jour et le mois exact de sa naissance, mais il est mon neveu et je sais, je peux voir qu'il a 16 ans."

Si un réfugié ne possède pas de certificat de naissance, un agent de contrôle du Bureau de l'Intérieur peut l'authentifier comme un enfant en fonction de son "apparence physique et de son comportement."

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Calais : une journaliste de France 5 aurait été violée cette nuit par des migrants afghans

Une journaliste de France 5 s’est fait violer dans la jungle cette nuit (lundi à mardi). Vers 2 h 30, un caméraman et une rédactrice qui effectuaient un reportage ont croisé le chemin de 3 personnes d’origine Afghane.

Sous la menace de couteaux, les hommes ont volé les téléphones portables et la caméra et l’un d’entre eux a violé la journaliste de 42 ans. La journaliste est à l’hôpital. La police judiciaire de Coquelles mène l’enquête.

Radio 6

Italie. Peur dans la population: Deux réfugiés afghans attaquent les passants et endommagent les voitures, les vitrines de magasins.

Christian Hofer: A noter que Caverzerani est un lieu d'accueil pour réfugiés où les migrants ont déjà semé le chaos, critiquant la qualité des repas, se battant entre ethnies différentes.

Et toute cette haine et cette violence se répercutent évidemment sur les autochtones italiens, totalement effrayés par une agressivité qu'ils ne connaissent pas. Nos gouvernements nous font accepter de force des gens qui ne se privent pas pour nous attaquer, qui se régalent de notre peur et de notre faiblesse, tels des moutons face à des loups invités par les bergers. Et nos dirigeants le savent pertinemment.

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Coups de pieds et coups de poing aux passants, vitrines et voitures endommagées. Scènes de Far West lundi soir à la station de Borgo. Les protagonistes sont deux Afghans, hôtes de la Caverzerani, déjà connus pour une rixe le 26 juillet dans le parc Moretti. En clair, des récidivistes.

Mais cette fois ça a empiré, c’est parmi les passants qui se baladaient tranquillement dans la zone de l'autobus: bousculades et coups de poings. Une jeune fille a déjà formalisé une plainte.

Les deux Afghans ont également essayé d'attaquer la police et les carabiniers. Ensuite, ils ont été transportés par ambulance à l’hôpital, avant leur arrestation.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Allemagne : un réfugié afghan viole un enfant de quatre ans dans un centre pour demandeurs d’asile

La scène s'est produite à Boostedt, au nord de l'Allemagne : un Irakien a découvert son fils de quatre ans dans les toilettes d'un centre pour demandeurs d'asile, en compagnie d'un Afghan de 22 ans qui l'aurait forcé à avoir des rapports sexuels.

Le jeune garçon, de retour auprès de sa famille, explique que cet individu l'aurait obligé à pratiquer une fellation. La famille prévient les autorités, qui interpellent le jeune Afghan. Selon le procureur, des analyses ADN corroboreraient le témoignage du petit Irakien.

Ce n'est pas le premier fait divers de ce type : fin juillet, un érythréen de 40 ans bénéficiant du statut de réfugié avait été arrêté pour avoir violé une femme âgée dans un cimetière en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

Source et suite de l'article

Paris: arrestation d’un Afghan recherché depuis plusieurs jours pour “menace imminente”

Un réfugié afghan, connu sous le nom de TAWOOS HADUKHIL, recherché depuis quelques jours pour une menace imminente d'attentat, a été arrêté vendredi matin à Paris, rapportent plusieurs médias français sur base d'informations de la Préfecture de police de Paris.

Source et article complet ici

Bolzano : un Afghan jette des pierres sur les passants en criant : “Vous mourrez comme les Français à Nice”

 

BOLZANO (Italie)

"Italie de m…, vous, les Italiens, vous mourrez comme les Français, vous devez tous sauter". Voilà les paroles qu'un jeune Afghan hurlait en pleine nuit sur la place Domenicani samedi passé. Il a été arrêté par la police alertée par les habitants.

Le jeune homme, arrivé à Bolzano comme réfugié, était alcoolisé et a commencé à jeter des pierres en direction des passants qui cheminaient sur le trottoir en face de la place. Par chance, il n'y a pas eu de conséquence grave, les piétons ayant eu le temps de se mettre à l'abri.

Le jeune Afghan, qui vient d'avoir 18 ans, était complètement saoul, mais n'a pas manqué d'exprimer par ses déclarations, tout le mépris qu'il voue au pays qui l'a accueilli, en souhaitant aux Italiens de faire la même fin que les victimes du massacre de Nice.

Les Romains disaient "IN VINO VERITAS". C'est ce qu'a dû penser le juge Walter Pelino qui l'a condamné à la peine maximale possible pour un tel délit

Source en italien

 

 

 

 

France: Un mineur afghan tente de poignarder un éducateur

C'est au camping l'Éden à Lattes, qu'un mineur de 15 ans d'origine afghane, a agressé son éducateur, lundi 18 juillet vers 12 h 30.

Parce qu'il ne supportait pas qu'un éducateur lui demande d'enlever ses pieds de la table du déjeuner, un adolescent a tenté de poignarder celui-ci.

Banalisation de la violence

L'adolescent mis en cause a nié en bloc une fois en garde à vue. Les autres éducateurs ont pourtant confirmé les dires de leur collègue.

Source et article complet ici