Suite à 10 000 euros de loyer impayé, l’Etat financerait les dettes de Théo Luhaka

Le jeune homme avait été interpellé en février 2017, accusant la police de lui avoir pénétré l'anus avec une matraque télescopique. Théodore Luhaka (dit Théo) financé par le contribuable ? C'est ce que semble révéler le journal Le Point.

Aujourd'hui âgé de 25 ans, le jeune homme accuserait des loyers impayés à hauteur de 10 000 euros pour son appartement de 76 mètres carrés. La trêve hivernale rend toutefois son expulsion impossible.

Pour remédier à cette situation, l'Etat serait donc en train de financer les dettes de Théo Luhaka. C'est la préfecture de Seine-Saint-Denis qui prendrait en charge les dépenses.

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Francais.rt.com

Nos remerciements à Dany Riviera

 

Théo, « symbole des violences policières », est mis en examen pour « escroquerie en bande organisée »

Théo Luhaka a été mis en examen le 31 juillet 2018 pour escroquerie en bande organisée, indique son avocat. Le jeune homme avait fait la une de l'actualité en 2017 quand il avait affirmé avoir été violé au cours d'une interpellation à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Théo Luhaka, doit faire face à une deuxième affaire. Le jeune homme a été mis en examen le 31 juillet 2018 pour escroquerie, a confirmé le parquet de Bobigny. Cette mise en examen intervient après l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour "escroquerie en bande organisée au préjudice d'un organisme chargé d'une mission de service public", "abus de confiance" et "blanchiment".

C'est l'Inspection du travail en 2015, intriguée par des contrats de travail délivrés par une association dirigée par le frère de Théo, qui avait déclenché la procédure judiciaire.

Les enquêteurs s'interrogent sur l'utilisation des subventions liées à des contrats aidés et sur la réalité des emplois occupés.

Théo Luhaka avait fait la une de l'actualité pour une tout autre affaire en 2017. Le 2 février, le jeune homme de 22 ans, avait été gravement blessé lors de son interpellation à Aulnay-sous-bois. Il avait alors affirmé avoir été violé à l'aide d'une matraque. Quatre policiers ont été mis en examen, dont l'un pour viol, dans cette affaire.

Francebleu.fr

France : Théo, le protégé de François Hollande, en garde à vue pour escroquerie

Rappels:

France ridicule. Aulnay-sous-Bois : François Hollande au chevet de Théo

La vidéo de l’interpellation de Théo L. Sa version des faits est fausse.

Lorsque les "artistes" d'extrême gauche soutenaient Théo

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Théo Luhaka, grièvement blessé lors d'une interpellation en 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), et cinq membres de sa famille ont été interpellés et placés en garde à vue ce matin pour un possible détournement de subventions, a appris l'AFP de sources proches de l'enquête. L'enquête, confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, avait été ouverte mi-2016, soit plusieurs mois avant l'interpellation de Théo, grièvement blessé dans la zone rectale. Quatre policiers ont été mis en examen, dont l'un pour viol, dans cette affaire qui avait connu un gros retentissement.

 

 


 

Une information judiciaire a ensuite été ouverte début août 2017 contre X pour "escroquerie en bande organisée au préjudice d'un organisme chargé d'une mission de service public, abus de confiance, blanchiment". L'enquête a débuté après un signalement en 2015 de l'Inspection du travail concernant une association de médiation, "Aulnay Events", présidée par un frère de Théo et basée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Source

 

Lors de l'affaire:

Des dizaines de personnalités se mobilisent contre les violences policières, plusieurs jours après le début de l’affaire Théo. Des sportifs, des comédiens ou encore des journalistes "réclament justice" dans une tribune publiée mercredi dans Libération. "Ils s’engagent pour Adama, pour Théo", est-il écrit en Une, avec les noms de plusieurs signataires, dont Omar Sy, Yannick Noah, Eric Cantona, le groupe IAM ou encore Patrick Bruel.

Liste des signataires pour Théo:

Le 2 février, à Paris, des rappeurs donnaient à Paris un concert de soutien «Justice pour Adama». Ce même jour, Théo L., 22 ans, subissait la barbarie de l’agression policière qui révolte aujourd’hui le pays. C’est pourquoi nous appelons, par une convergence de toutes nos sensibilités et dans un élan solidaire, à soutenir l’exigence de vérité et de justice pour Adama, de justice pour Théo, comme pour toutes les victimes des violences des forces de l’ordre. C’est notre cause commune à toutes et tous : ensemble contre les violences policières et leur impunité.

Cet appel a été lancé et porté par le site QuartiersXXI.

Premiers signataires : Jeanne Added - Auteur compositrice interprète. Alivor - rappeur. Daniel Allouche - boxeur. Mehdi Alloune - boxeur. Sameer Ahmad - rappeur. Akhenaton - rappeur. Arthur H – chanteur. Virginie Aussietre - Chargée de production. Fred Alpi - chanteur-guitariste. BABX - chanteur. Black M - chanteur. Marine Bachelot Nguyen - auteure et metteure en scène. Eric Bellinger - chanteur compositeur. David Bobée - metteur en scène, directeur du Centre dramatique national de Normandie. Julie Bonan - actrice. Rachida Brakni – comédienne et metteuse en scène. Eric Cantona - acteur. Jil Caplan - chanteuse. Casey – rappeuse. Cenza - rappeur. Cerna - rappeur. Marc Cheb Sun - auteur. China Moses – chanteuse. Chinese Man - hip hop funk. Christine & The Queens – chanteuse. Samuel Cueto - photographe. C2C – DJ. Gerty Dambury – auteure, comédienne et metteure en scène. Décoloniser les arts – collectif. Deluxe - groove. Vincent Delerm - auteur-compositeur-interprète. Nadir Dendoune - écrivain. Alice Diop - auteure réalisatrice. Eva Doumbia - metteure en scène. Rokhaya Diallo - auteure réalisatrice. D’ – auteur, rappeur, réalisateur. Disiz - rappeur et acteur. Nicolas Duvauchelle – acteur. Elephanz - musiciens, chanteurs. Elom 20ce – rappeur. Annie Ernaux – auteure. Feadz - DJ. Fianso – rappeur. Fik’s Niavo – rappeur. Flynt - rappeur. Fresh Gordon – rappeur. Edgar Garcia - Directeur de Zebrock. Georgio – rappeur. Grain d’Sable - rappeur. Grand Corps Malade – slameur. Gringe - rappeur, acteur. Cyril Gueï – comédien, réalisateur. Hervé Haine – chanteur, musicien. Camille Hardouin - chanteuse. Hocus Pocus - rappeurs. IAM - rappeurs. Imany - chanteuse. Jeff le Nerf – rappeur. Jow L. – rappeur, graffeur. JR O Chrome (sexion d’assaut) - rappeur. Mathieu Kassovitz – acteur et réalisateur. Kavinsky – DJ. Kohndo – rappeur. Krista - rappeuse. Ladj Ly – réalisateur. La’Myia Good - chanteuse et actrice. Lola Lafon - écrivaine. La Jonction – rappeurs. La Rumeur – rappeurs. Albin de La Simone – auteur, compositeur, interprète. Le Doc – rappeur. Samuel Légitimus - metteur en scène. LEJ - Chanteuses. Gilles Lellouche - acteur et réalisateur. Le Sous-Marin - rappeur. Lilly Wood and the Prick – chanteuse. Lino - rappeur. Liqid – rappeur. Edouard Louis – écrivain. Mademoiselle K – chanteuse. JP Manova – rappeur. MC Métis – rappeur. Missy Ness – DJ. Mokobe – rappeur. Yannick Noah - chanteur. Harek Nadja - réalisatrice. Nodja — rappeur. Nasme - rappeur. Nekfeu – rappeur. Nnoman Cadoret - photographe. Nodey - DJ. Noruff – rappeur. Samia Orosemane – humoriste. Julien Pitinome - photographe. Pone - DJ. Olivier Rabourdin – acteur. Ramzy Bedia - acteur. Ryaam - rappeuse. Rocé – rappeur. Océane Rosemarie – auteure, comédienne. Aurelie Saada - chanteuse. Safir - rappeur. Saïdou – rappeur. Saké – rappeur. Eros Sana - Photojournaliste, Directeur de publication de Fumigène Magazine. Lyes Salem – acteur et réalisateur. Scred Connexion – rappeurs. Scylla – rappeur. Singe des Rues – rappeurs. Sitou Koudadjé – rappeur. Maboula Soumahoro - cofondatrice du festival Black History Month, historienne. Sound Pellegrino - label House. Skalpel (Première ligne) – rappeur. Skud - rappeur. Archie Shepp - saxophoniste. Stresh – DJ. Omar Sy – acteur. Tekilatex – rappeur. Serge Teyssot Gay – guitariste. Roland Timsit - comédien, metteur en scène. Jean-Pierre Thorn - cinéaste. Tonytoxic — rappeur. Petr Vaclav - réalisateur, scénariste. Vîrus – rappeur. Wira – rappeur. Cathy Yerle – chanteuse, musicienne. Rhita Zaoujal – karatéka. Yassin Zaoujal – athlète de haut niveau. Zebda – chanteurs

Autres signataires:

Zahra Ali – SOAS University of London. Hourya Bentouhami – maîtresse de conférence, université de Toulouse Jean-Jaurès. Yann Cherruault – rédacteur en chef d’International Hip Hop. Sonia Dayan-Herzbrun - sociologue, professeure émérite à l’université Paris Diderot/Paris 7. Marielle Debos – politiste, Université Paris Nanterre. Laurence De Cock - historienne. Emmanuel Devaux - journaliste. Didier Fassin – professeur de sciences sociales, Institut d’études avancées de Princeton
. Eric Fassin – sociologue, professeur à l’université Paris-8. Sébastien Fontenelle - journaliste. Joao Gabriell - auteur. Franck Gaudichaud – enseignant-chercheur (Université Grenoble Alpes). Vincent Gay - sociologue. Samir Hadj Belgacem - Sociologue et politiste, Affilié à l’équipe ETT (ENS/EHESS/CNRS). Michel Kokoreff - sociologue. Geoffroy de Lagasnerie – sociologue. Silyane Larcher - Chercheure au CNRS en science politique. Mathilde Larrere, historienne. Mehdi Maïzi (chroniqueur rap). Nasima Moujoud - maitresse de conférences en anthropologie, université Grenoble Alpes. Ugo Palheta - sociologue, maître de conférences à l’université Lille-3. Paul Pasquali - chercheur au CNRS (sociologue). Chafik Sayari - journaliste. Joan W. Scott - Institute for Advanced Study, Princeton, New Jersey US. Pierre Tévanian - professeur de philosophie, collectif Les mots sont importants. Sylvie Tissot - Université Vincennes-Saint Denis-Paris 8. Fabien Truong – université Paris 8. Laetitia Tura - Photographe

L’affaire Théo : code #anus

Theo-1

   
Michel Garroté  --  Rappel des faits (aussi ridicules et scabreux qu'ils soient) : Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat de police VIGI, revient sur l’affaire Théo dite "code #anus". Les circonstances de l’arrestation de ce jeune, il y a un an, avaient défrayé la chronique au point de précipiter le chef de l’État (c'était donc le scooter-man François Hollande) au chevet de l'anus de la victime. Un an après, Europe 1 diffuse une vidéo qui permet de relativiser la soi-disant violence des forces de l’ordre lors de l’arrestation.
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A  noter qu'il y a un an, I-Média mettait en doute la version de #Theo reprise par l'ensemble de la presse. Les journalistes avaient alors occulté le rapport de l'IGPN [cf. @jylgallou pic.twitter.com/vFCSxMd5jB. Hervé Grandchamp @hervegg 30 janvier 2018].
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La vidéo des caméras de surveillance vient donc d'être diffusée (en janvier 2018). Maintenant, les mêmes médias qui ont accusé les policiers de "viol", diffusent la vidéo comme si de rien n'était. C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN), puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qui s’est vraiment passé.
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La vidéo montre les coups portés par la police à Théo L. qui se débat vigoureusement, la grande difficulté des policiers à le menotter ; et, le coup de bâton télescopique qui a provoqué la blessure du jeune homme : un geste très bref, extrêmement rapide. Sur la vidéo, il apparaît clairement que Théo L. perd sa veste de survêtement et son bas de jogging lui tombe sur les cuisses, laissant voir son caleçon (désolé pour tout ces détails vestimentaires, mais ils sont nécessaires pour comprendre les faits).
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Quelques jours après les faits, le jeune homme - dans un gros mensonge - déclarait à propos du policier qui l’a blessé : "Il baisse mon pantalon et il enfonce la matraque dans mes fesses". Les policiers poursuivis ont toujours contesté le fait d'avoir baissé le bas de jogging de la victime et le fait d'avoir enfoncé une matraque dans les fesses de Théo.
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Les images permettent de confirmer leur version. Confronté à la vidéo par la juge d’instruction, Théo L. a modifié son récit. Il reconnaît que son pantalon de survêtement - trop grand - était mal attaché et qu’il a glissé tout seul. Pour les besoins de l’enquête, la vidéo a également été soumise à l’expertise de deux formateurs de la police, spécialistes en maniement du bâton télescopique de défense. Ils estiment que l’action peut s’expliquer par la volonté du policier d’exercer un point de pression "au niveau des parties charnues des fesses" (et non pas de l'anus), geste préconisé pour "créer une déstabilisation physique et maîtriser le récalcitrant".
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Selon ces deux formateurs de la police, cette action est proportionnelle et justifiée. L’un des instructeurs conclut que le policier n’avait ni la capacité, ni l’intention de percuter "une zone aussi précise que l’anus". Dans le rapport de l’IGPN, qu’Europe 1 a pu consulter, les enquêteurs estiment sur ce point que si le geste du policier est à l’origine de la blessure de Théo L. à l’anus (ou au niveau des parties charnues des fesses ?), l’élément intentionnel pouvant caractériser un "viol" n’est pas établi. On nage donc en plein délire et la réalité franco-française, une fois de plus, dépasse la fiction...
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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La vidéo de l’interpellation de Théo L. Sa version des faits est fausse.

C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN) puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qu’il s’est vraiment passé.

Un coup furtif. L’enregistrement témoigne d’abord de la grande confusion lors de ce contrôle d’identité qui dégénère. Les quatre fonctionnaires de la brigade spécialisée de terrain (BST) d’Aulnay ne semblent pas maîtriser la situation. La vidéo montre leurs coups portés à Théo L., qui se débat vigoureusement, leur grande difficulté à le menotter et le coup de bâton télescopique qui a provoqué la très grave blessure du jeune homme. Un geste très bref, extrêmement rapide, comme une estocade. Aussitôt, Théo L. se retourne et s’effondre de douleur, son caleçon toujours en place, transpercé par la matraque, selon les constatations des enquêteurs.

 

marine le pen

 

 

Le pantalon baissé. Sur la vidéo, il apparaît clairement que, dans l’échauffourée, Théo L. perd sa veste de survêtement et son bas de jogging lui tombe sur les cuisses, laissant voir son caleçon. Quelques jours après les faits, le jeune homme déclarait à propos du policier qui l’a blessé : "Il baisse mon pantalon et il enfonce la matraque dans mes fesses". Les fonctionnaires poursuivis ont toujours contesté avoir baissé le bas de jogging de la victime. Les images permettent de confirmer leur version. Confronté à la vidéo par la juge d’instruction, Théo L. a fait évoluer son récit. Il reconnaît désormais que son pantalon de survêtement trop grand était mal attaché et qu’il a glissé tout seul, souligne Le Parisien.

 

Rappel: La propagande d'extrême gauche en faveur de cette racaille:

Mélenchon_Théo

 

Acte de torture. En revanche, le jeune homme maintient dans différentes interviews que le policier lui a "volontairement" enfoncé la matraque dans les fesses. Il dénonce même un "acte de torture". Le policier auteur du coup de matraque a lui aussi été confronté à la vidéo dans le bureau de la juge d’instruction. Il reconnaît le geste mais nie toute intention volontaire de pénétration.

"Proportionnelle" et "justifiée". Pour les besoins de l’enquête, la vidéo a également été soumise à l’expertise de deux formateurs de la police, spécialistes en maniement du bâton télescopique de défense. Ils estiment que l’action peut s’expliquer par "la volonté du policier d’exercer un point de pression au niveau des parties charnues des fesses", geste préconisé "pour créer une déstabilisation physique et maîtriser le récalcitrant". Selon eux, cette action semble "proportionnelle" et "justifiée". L’un des instructeurs conclut que le gardien de la paix "n’avait ni la capacité, ni l’intention de percuter une zone aussi précise que l’anus".

Dans le rapport de l’IGPN qu’Europe 1 a pu consulter, les enquêteurs estiment sur ce point que "si le geste du gardien de la paix (est) à l’origine de la blessure" de Théo L. à l’anus, "l’élément intentionnel pouvant caractériser le viol (n’est) pas établi".

Une confrontation à venir. Depuis un an, les quatre policiers de la BST impliqués sont mis en examen : trois sont poursuivis pour violences volontaires aggravées, le 4ème pour viol aggravé. Celui-ci est toujours suspendu. Une confrontation générale devrait avoir lieu dans les prochaines semaines dans le bureau de la juge d’instruction à Bobigny. Plusieurs expertises doivent également être rendues, dont une sur le geste du policier et une autre, médicale, sur l’étendue des séquelles pour Théo L., qui pourrait rester blessé à vie.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Rappels:

France ridicule. Aulnay-sous-Bois : François Hollande au chevet de Théo

Lorsque les "artistes" d'extrême gauche soutenaient Théo

théo

 

Genève: Des jeunes manifestent… en soutien au jeune Théo

Pendant ce temps, la famille de Théo est soupçonnée d’abus de confiance et escroquerie et l'enquête a bien noté que Théo avait été agressif sans que cela ne gêne ces extrémistes, les policiers gravement brûlés n'ont bénéficié d'aucun soutien et les Français victime d'agressions de la part de diversité ne sont jamais défendus: voilà le véritable visage de la gauche: la haine de l'homme blanc.

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Un rassemblement était organisé par SolidaritéS Jeunes, jeudi soir, pour protester contre la violence policière faite à Théo, un jeune Français.

Une soixantaine de personnes, principalement des jeunes, se sont rassemblées jeudi soir derrière le consulat de France à Genève pour protester contre les violences policières et soutenir Théo. «Police partout, justice nulle part!», ont scandé les participants.

 

Source et article complet

La famille de Théo au coeur d’une enquête financière : 678 000 euros de subventions

C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au coeur d’une affaire financière. Une enquête ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant le viol présumé de Théo lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.

(…)
Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile de France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Michaël Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département… L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit Contrat aidés.

S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSAFF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.

Selon nos informations, les investigations des policiers du SPPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Michael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salarié en CDI, dont les membres de sa famille.

(…) Le Parisien Via Fdesouche.com

Nos remerciements à Monsieur Scheller

Marine Le Pen appelle à l’interdiction des manifestations contre les violences policières

Dans la matinée du 18 février, la présidente du Front national, Marine Le Pen, avait appelé à l'interdiction des rassemblements hostiles aux forces de l'ordre, dont celui de la place de la République. «Je demande aux autorités compétentes d'interdire ces manifestations à haut risque», avait déclaré la candidate à l'élection présidentielle dans un communiqué.

Source

Théo : Le Syndicat de la magistrature soutient les « rassemblements contre les violences policières »

Sur Twitter, « le Syndicat de la magistrature s’associe aux rassemblements de demain (samedi 18/02) contre les violences policières ».

impression d'écran

 

Lien vers le message sur Twitter

Rappel:

Avril 2013: l’affaire du « mur des cons ».

mur

En avril 2013, le site d’information Atlantico publie une vidéo montrant un panneau intitulé « le mur des cons », sur lequel sont affichées, dans le local du Syndicat de la magistrature, les photos de diverses personnalités publiques – hommes politiques, intellectuels ou journalistes, majoritairement de droite – de hauts magistrats ou de syndicalistes policiers. On y trouve également des photos de divers parents de victimes, dont le père d’une jeune fille violée et tuée par un récidiviste, qui avait milité en faveur du fichage génétique des délinquants sexuels.

Wikipedia via Fdesouche.com

France: Réponse d’un flic à la tribune d’artistes bobos qui soutiennent Théo aveuglément

Ce mercredi 15 février était publiée dans les colonnes de "Libération" une tribune signée par des dizaines d'artistes pour dénoncer les "violences policières" à la suite de l'affaire Théo, du nom de ce jeune homme d'Aulnay-sous-Bois gravement blessé lors de son interpellation. L'un des policiers mis en cause dans cette affaire est poursuivi pour "viol". Une tribune qui a suscité une certaine émotion dans les rangs de la police nationale…

Depuis quelques semaines, et plus particulièrement mercredi par la police, les femmes et les hommes qui la composent, font l’objet d’une campagne de dénigrement. Une véritable campagne de désinformation au travers d’amalgames qui laisseraient croire que les policiers sont racistes, qu’ils agissent sans commune mesure, qu’ils contrôlent à tout va en stigmatisant une partie de la population.

Ces propos sont intolérables et inadmissibles.

Alors non, Mesdames, Messieurs les artistes, les intellectuels, les élus ou voulant l'être, tous en mal de publicité, la police nationale ce n’est pas cela. Mais qu’y connaissez-vous d’ailleurs, vous qui ne mettez jamais les pieds dans un quartier dit « sensible », vous, qui pour certains, ne connaissez que les fastes et ne connaissez la misère des gens qu’au travers des reportages télévisés que vous vous autorisez à regarder.

La police, ce sont des femmes et des hommes, à l’image de notre société multiculturelle, avec toutes sortes de sensibilités aussi différentes les unes que les autres mais qui, en plus de leurs difficultés et problèmes personnels doivent faire face, au quotidien, à la misère des gens, à la violence et à des agressions de plus en plus violentes.

Alors, comment pouvez-vous dire que la police serait infiltrée par des militants issus d’un parti à la seule fin de mener des exactions de toutes sortes à l’encontre d’une frange de la population ? De telles inepties montrent à quel point vous êtes loin, très loin des réalités quotidiennes de la grande majorité de nos concitoyens et encore plus loin du quotidien d’un policier.

Savez-vous que des dizaines de policiers sont agressés et blessés chaque jour ?

Savez-vous que des centaines de policiers sont insultés chaque jour et font l’objet de menaces ?

Savez-vous que des centaines de policiers ne peuvent habiter là où ils exercent en raison des menaces et risques pour leur famille, leurs enfants ?

Savez-vous que les policiers sont épuisés ?

Savez-vous que les policiers ne peuvent pas concilier une once de vie familiale avec leur vie professionnelle ?

Savez-vous tout simplement que quand vous dénigrez un « flic », vous frappez des milliers de femmes et d'hommes qui derrière l'uniforme ont un cœur ?

Non, bien sûr, tout ça vous ne le savez pas et ne voulez pas le savoir, préférant stigmatiser la police, cela est tellement plus facile pour vous.

Savez-vous au moins que la police est l'un des métiers, si ce n’est le métier, le plus contrôlé ?

N’êtes-vous pas aussi un peu coupable de ce qui se passe aujourd’hui quand vous laissiez, sans la moindre réaction, certains d’entre vous « cracher », « vomir » sur la police, sur la justice, sur la République au nom de la liberté d’expression ?

Ou étiez-vous quand, toujours au nom de cette chère liberté d’expression, certains appelaient dans leurs chansons à tuer du flic, à agresser leurs familles et à pratiquer toutes sortes d’exactions contre les institutions ?

A ce moment-là, cela ne vous choquait pas, vous trouviez même peut-être cela normal… ce n’était que des paroles, disiez-vous…

Alors, NON, de tels propos ne sont pas normaux et ne sont pas admissibles. Pas plus admissibles que les insultes émises par qui que ce soit.

Alors oui, je l’admets, tout n’est pas parfait dans la police, la formation initiale ou continue notamment est à entièrement revoir.

Alors oui je vous l'affirme, il est urgent d'améliorer les conditions de travail des policiers, de réellement instaurer de véritables moyens de fidélisation dans les secteurs difficiles, d'arrêter sous couvert d'injonctions, un jour du Conseil d'Etat ou le lendemain de la Cour des comptes, de bafouer les droits acquis des policiers.

Oui il faut repenser la police dans son organisation ;

Non il ne faudra plus jamais que les effectifs de la police soient impactés par des réductions de budgets ;

Oui il faut que les policiers soient mieux encadrés, mieux formés, mieux rémunérés ;

Oui il faut lutter sans relâche sur les risques psychosociaux qui gangrènent les rangs de la police ;

Oui il faut que les policiers puissent concilier vie professionnelle et familiale.

Mais de tout cela, vous vous en moquez, par étroitesse d'esprit, par lâcheté ou tout simplement par connerie.

Venez vivre une journée avec un équipage du 93 par exemple qui, tous les jours, se fait « caillasser », reçoit des boules de pétanque dans les vitres du véhicule, reçoit toutes sortes d’objets lancés du haut des immeubles, se fait insulter, provoquer et j’en passe et des meilleures.

Venez circuler aux abords des Tarterêts et vous verrez que ce sont les pavés qui remplacent la pluie sur le pare-brise du véhicule de patrouille.

Venez vivre cela et là, vous pourrez poser un œil un peu plus objectif sur ce que vivent les policiers et sur leur comportement.

D’ailleurs, où étiez-vous quand certains criminels tentaient de faire brûler vif des policiers dans leur véhicule ?

Que disiez-vous, pseudo grands penseurs, quand nos collègues CRS étaient transformés en torches humaines lors des manifestations contre la loi Travail ?

Où étiez-vous quand certains d’entre nous, du seul fait d’être policier, étaient assassinés ou gravement blessés ?

Vous étiez bien muets à ces moments-là…

Pourquoi n’avez-vous pas appelé au respect des institutions et des policiers ?

Alors je vous le dis, en mon nom, en celui de mon organisation et celui de tous les policiers que je représente, votre tribune dans ce quotidien national est une insulte à toutes ces femmes et ces hommes qui, 365 jours par an, 7 jours sur 7, exercent un métier extrêmement difficile, de plus en plus dangereux, avec abnégation et dévotion, dans le seul but d’assurer la sécurité et la tranquillité de tous nos concitoyens. Et nous ne pouvons que la condamner.

Non seulement elle est une insulte pour les policiers mais, en plus, elle ne peut que faire le lit de ceux que vous condamnez et stigmatisez.

Alors, Mesdames, Messieurs, notez-le bien. La police est républicaine comme tous ceux qui la composent, le recrutement y est très sélectif pour des femmes et des hommes venant de tous les horizons, tout manquement à la déontologie est sanctionné.

Les dizaines de milliers de femmes et d’hommes qui composent la police nationale, les centaines de blessés mensuels et nos nombreux morts méritent certainement autre chose que votre diatribe intolérable qui ne vous honore pas.

Source

Nos remerciements à Λlex Λ

Parmi les nombreux signataires qui soutiennent Théo:

Juliette Fievet, animatrice-journaliste ; Kery James, artiste ; Youssoupha, artiste ; Anne Roumanoff, humoriste ; Fianso, artiste ; Olivier Py, directeur du Festival d’Avignon ; Patrick Bruel, artiste comédien ; Josiane Balasko, comédienne ; François Durpaire, universitaire ; Yannick Noah, capitaine de l’équipe de France de tennis ; Hugues Aufray, artiste ; Mathilda May, comédienne ; Firmine Richard, comédienne ; Jean Benguigui, comédien ; Lassana Diakité, producteur ; Rokhaya Diallo, journaliste, écrivain ; Jordan Lazaro Gustave, cofondateur TextFugees ; Jacob Desvarieux, artiste ; Claudy Siar, animateur-producteur ; Smaïn, comédien ; Eglantine Eméyé, animatrice télé ; Richard Poisson, réalisateur producteur ; Nils Tavernier, producteur réalisateur ; Neg’Marrons, artistes ; Anne Sophie Cayet, enseignante ; Pierre Botton, Ensemble contre la récidive ; Dominique Sopo, responsable antiraciste ; Bernard Montiel, animateur, comédien ; Malik Zidi, comédien ; Sylvain Jaraud, avocat ; Taig Khris, entrepreneur ; Yvan le Bolloch’, comédien-artiste ; C215, artiste peintre ; Ophelie Winter, artiste ; Gaël Le Forestier, producteur animateur ; Lionel Abelanski, comédien ; Fred Musa, animateur radio ; Mokobé, artiste ; Noumouké Sidibé, gérant de société de sécurité ; Juan Massenya, animateur télé ; Sandra Alphonso Machado, chef d’entreprise ; Black Brut, artiste ; Marie Audigier, productrice ; Gilles Camouilly, producteur télé ; Olivier Lamontagne, ingénieur ; Samia Orosemane, humoriste ; Thierry Gustave, PhD professeur ; Bramsito, artiste ; Lassana Dramé, militant antiraciste ; Maroune Zaki, militant associatif ; Lisa Lebahar, productrice ; Jonathan Hayoun, producteur ; Passi, artiste producteur ; Slimane Tirera, DG NewVo Radio ; Achcraf Moukaddi, responsable associatif ; Mehdi Amour, militant associatif ; Bakari Koité, militant antiraciste ; Lucien Jean-Baptiste, acteur-réalisateur ; Marion Girard, avocate ; Muriel Jaecki, avocate ; Céline Balitran, directrice enseignante ; Bruno Salomone, humoriste ; Annabelle Milot, réalisatrice animatrice-actrice ; Hugues Duquesne, humoriste ; Myriam Zaanoun Pernelet, avocate ; Mahor Chiche, avocat ; Nourdine Moukaddi, militant associatif ; Phil Darwin, humoriste ; Ali Bougheraba, comédien ; Redouane Bougheraba, humoriste ; Amirouche Laidi, president du Club Averroes…

France: Bijouterie asiatique pillée et détruite par la racaille immigrée qui manifeste pour Théo. La commerçante en pleine crise de larmes subit un malaise.

Ceci est l'immigration enrichissante en provenance d'Afrique que le socialisme a imposée en France, en victimisant systématiquement cette racaille. Il n'y a aucune recherche de justice, ces gens sont ici pour piller la France et la mettre à genoux, avec leurs complices de gauche.

Absolument rien n'est diffusé dans nos médias. Pendant ce temps, Le Matin continue sa propagande dégueulasse en faveur des migrants.

 

Dans un autre commerce, un Franprix saccagé à Bobigny : le désarroi des propriétaires indiens.

"Quand je suis arrivée sur les lieux, je me suis mise à pleurer, confie, ce mercredi, Neadra, une des filles du propriétaire du Franprix, à Bobigny (Seine-Saint-Denis). On a tout donné, on a consacré une grande partie de notre vie à travailler et c’est dur de voir cela."

Quatre jours après les violences urbaines qui ont frappé Bobigny, en marge de la manifestation réclamant justice pour Théo, les propriétaires du Franprix et leurs trois enfants se remettent très difficilement du saccage de leur commerce. Voici leur témoignage.

La superette qui emploie sept salariés ne peut plus tourner pour le moment. Trois nouvelles caisses qui coûtent chacune autour de 10 000 euros doivent être réinstallées. Le montant de la perte de la marchandise en en cours d'évaluation. La présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, a promis ce mercredi aux patrons du Franprix, de les aider financièrement, à travers un dispositif spécifique.

Source

Théo : la manifestation à Bobigny se transforme en émeute. (Vidéos et photos)

Christian Hofer: A noter que ces vidéos sont absentes de nos médias romands puisqu'elles démontrent la dangerosité de certaines immigrations spécifiques en Europe. Il serait très inconvenant pour nos journalistes de dévoiler ces violences allogènes. Cela pourrait inciter les Suisses à "voter mal".

Via Fdesouche.com

https://www.youtube.com/watch?v=4MPfFphT8jI

https://www.youtube.com/watch?v=SsoSuwlLbgI

https://www.youtube.com/watch?v=RzX8Ssb04BE

https://www.youtube.com/watch?v=35MxoKiCkCI

https://www.youtube.com/watch?v=BLUAuc_ccn8

 

 

 

⚡️VIDÉO - La police recule face à une charge dans les rues de #Bobigny (@Soheeb_M) pic.twitter.com/eHMqz4MxeP

— Anthony Gonzalez (@AnthoGonzalez56) 11 février 2017

 

 

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France anale – Cirque politique et révolte populaire

    
Michel Garroté - Je dois avouer, que ce qui se passe, actuellement, en France, me dépasse. En cinquante ans, ce pays, qui conservait encore, un minimum de dignité (au moins apparente), a littéralement sombré dans les abysses, à tous les caniveaux, et, dans tous les domaines.
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Dernier exemple en date : François Hollande, sous le feu des caméras de télévision, mobilisées pour la circonstance, rend visite, à l'hôpital, à Théo, un gentil black, qui se serait fait frictionner (ou déchirer), l'anus et le rectum, par un sex toy, déguisé en matraque, et, manié par un flic psychopathe d'extrême-droite (homophobe et raciste).
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C'est gravissime. Toute la France est en émoi. D'ailleurs, on frise l'émeute. L'ONU pourrait même, selon certains, voter une résolution contre le terrorisme policier et les matraques sans vaseline. La grosse affaire restera, longtemps, dans les "annales"...
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A propos de cette France-au-fond-du-trou (de balle), Olivier Damien, Docteur en droit et Commissaire divisionnaire honoraire, écrit notamment, sur 'Boulevard Voltaire' (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : N’est-il pas beau de voir tous ces hommes politiques, tous ces journalistes, tous ces intellectuels se poser en parangons de vertu et porter l’anathème sur un des leurs ? N’est-il pas succulent d’entendre, à longueur de journée, tous ces donneurs de leçons nous rappeler les codes de la morale, de l’éthique et de la déontologie ?
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N’est-il pas risible de voir combien notre vie publique est subitement peuplée de gens aussi honnêtes, désintéressés et si profondément attachés aux valeurs de la République ? Car c’est bien à ce spectacle pitoyable que nous assistons depuis plusieurs jours. C’est à la mise à mort médiatique et politique programmée et orchestrée d’un homme.
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Comment se fait-il, en effet, que les éléments à charge réunis par les journalistes du Canard enchaîné aient été portés à la connaissance du public, et de la justice, juste après la primaire de la droite et du centre qui a désigné François Fillon ? Pour qui a déjà enquêté, il est évident que ce dossier n’a pas été monté en quelques jours. Qu’il mijotait depuis des mois, certainement dans l’attente du moment propice à sa divulgation.
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Comment ne pas s’interroger, également, sur la portée d’un événement qui, non seulement disqualifie le vainqueur des primaires de la droite, mais qui, presque certainement, empêchera, faute de temps, la droite parlementaire de présenter un autre candidat crédible et fédérateur susceptible de l’emporter en mai prochain ? Alors, le temps de la révolte citoyenne n’est-il pas venu ?, ajoute Olivier Damien (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, le chroniqueur de droite Christian Lambert, écrit notamment, sur 'Les 4 Vérités' (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La France est un pays d’exception qui a trouvé le moyen, pour une élection présidentielle, de faire en sorte qu’il y en ait trois. La première, ce fut la primaire de la droite ; la deuxième, ce fut la primaire de la gauche ; la troisième, ce sera l’élection présidentielle proprement dite.
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C’est ainsi qu’après la primaire de la droite, beaucoup pensaient que Fillon était élu. Il n’y avait qu’à attendre. Il ne l’était évidemment pas. Il avait été seulement désigné comme le candidat de la droite, parmi six autres, qui se sont publiquement écharpés. Il est aujourd’hui très discrédité par une campagne de calomnie médiatique qui ne vient peut-être pas de la gauche.
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En réalité, ces candidats de droite étaient plus que sept, en comptant les candidats hors primaires, Nicolas Dupont-Aignan, Michèle Aliot-Marie, Henri Guaino et je dois en oublier. À gauche, même spectacle vidéo-sonore, en pire. Ils furent, eux aussi, sept à se présenter, dont l’un tint avec véhémence des propos incompréhensibles, ce qui le rendait plutôt sympathique : un certain Jean-Luc Bennhamias.
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Plus distrayant fut l’ancien Premier ministre de notre pauvre Hollande, Manuel Valls, qui désormais s’est transformé en une sorte de cible, comme celles que les enfants bombardent dans les foires avec de grosses boules pour gagner une pochette-surprise. Un jour, il a reçu un kg de farine sur le nez ; un autre jour, il a été giflé par un excité et il en semblait tout content. Espérons qu’on en restera à la farine, à l’exclusion d’autres projectiles non farineux et malodorants. Enfin, au centre, danseuse bien connue, François Bayrou entend se rappeler au souvenir de chacun en se présentant lui aussi, dans le but, dit-il, de couler Fillon.
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Ce n’est pas tout. À la gauche de la gauche est apparu fugitivement sur les écrans, mais en pleine lumière, une certaine Nathalie Arthaud, à qui franchement on ne pense pas tous les jours. Elle s’est proclamée, elle aussi, candidate à l’élection présidentielle pour éliminer tous les autres, des « bourgeois nantis et profiteurs », a-t-elle dit. Elle seule est de nature à défendre le peuple, une vraie Sans-culottes, comme au bon temps de la Convention, comme le fut, il y a peu, NKM, qui, elle aussi, assurait qu’elle était une Sans-culottes.
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Ça nous en fait donc déjà deux, ce qui offre des perspectives encourageantes. Et voici que l’on me dit : Vous en oubliez un, un certain Poutou, qui, lui, se situerait à la gauche de l’extrême-gauche, c’est-à-dire à la gauche du camarade Mélenchon, candidat avec la bénédiction du Parti communiste à la nostalgie stalinienne, un parti « démocratique » ayant pour but la dictature du prolétariat rendue possible grâce aux syndicats, dont la CGT communiste.
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Tout cela est grotesque. Nous avons pour cette élection présidentielle plus d’une vingtaine de politiciens qui promettent tout ce que l’on veut, et le salaire universel, et la drogue dépénalisée, et le soleil tous les jours. À ma connaissance, on ne voit nulle part ailleurs, à ce degré-là, un tel spectacle. On notera encore que, dans ce déluge verbal, pas un mot n’est prononcé sur le financement des jeux du cirque (des dizaines et des dizaines de millions d’euros). Croit-on que les chefs d’entreprise, voire des pays étrangers, vont remettre aux candidats des sommes pareilles sans s’assurer un « retour sur investissement » ?
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Comment croire aux annonces de ces lauréats de la rhétorique politique qui pourraient pratiquement tous tenir les propos suivants : « Monsieur, après cette campagne électorale, qu’allez-vous faire ? Je vais prendre pendant six mois un repos bien mérité. Et après ? Après, je repars en campagne électorale pour 2022. Et vos promesses ? Votre question est aussi oiseuse que sans objet. Les promesses, nul ne devrait l’ignorer, sont des formules rituelles, à l’exception de celles qui annoncent une hausse des impôts et l’élargissement du droit d’asile. L’essentiel, vous le savez bien, est d’être élu ».
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Ceci confirme ce qui se constate partout : la démocratie est dévoyée. Elle s’est transformée en une sorte de foire d’empoigne périodique, où s’agitent des clans masqués, étiquetés et subventionnés par l’argent public, que l’on appelle partis, qui ont fini par diriger l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Le citoyen n’a plus, pratiquement, aucun recours. 86% des électeurs le savent, qui n’ont plus confiance dans les partis politiques. Ce qui est sûr, c’est qu’on en a encore pour trois mois de ce cirque, qui probablement maintiendra la confusion et le chaos pour les cinq prochaines années, ajoute Christian Lambert (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, dans Les Echos, le philosophe Roger-Pol Droit écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les élections présidentielles engagent le destin de la France. Celles-ci plus encore que les précédentes, parce que le pays se porte mal, dans presque tous les domaines - économique, social, financier, diplomatique... Son redressement ou son déclin dépend des prochaines années, de la politique qui sera conduite. La campagne devrait donc se préoccuper avant tout de l'emploi, de la dette, des finances publiques, de la fiscalité, évoquer l'Europe, la mondialisation, la défense nationale, la sécurité... Il ne devrait être question que des mesures à prendre pour rendre au pays dynamisme, compétitivité, prospérité, sérénité, influence. Au lieu de ces débats urgents et vitaux, à quoi assiste-t-on ? Attaques personnelles, déballages d'affaires anciennes, rumeurs sexuelles. Ce qui occupe le devant de la scène : des raclures de caniveau maquillées en considérations sur le vice et la vertu, de la fange déguisée en souci éthique.
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Est-ce nouveau ? Evidemment non. Déstabiliser les adversaires, discréditer l'ennemi par tous les moyens est vieux comme les élections. Lisez Aristophane : la démocratie grecque, au temps de Périclès, connaissait bien le maniement des rumeurs et des coups bas. Lisez Cicéron pour connaître par le menu les vilénies des hommes politiques romains pour se torpiller les uns les autres. Voyez à Venise, à Florence, à Paris, de la Renaissance à la Fronde, le catalogue des diffamations savamment calculées, habilement diffusées. On oublie trop souvent que la naissance même des journaux quotidiens ne fut pas liée d'abord au souci d'informer, mais au besoin de feuilletonner des bruits toxiques et d'ourdir des cabales politiques. La presse servait à susciter des scandales. Ce n'est pas Balzac qui démentira. Ni Stendhal, ni Zola. Ni les tabloïds.
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Inutile, donc, de jouer les effarouchés. La boue fait toujours partie du jeu. Répéter « Ô tempora ! Ô mores ! » ne sert donc à rien, parce que les lamentations ne changent pas la donne. « Le bois dont l'homme est fait est si noueux qu'il est impossible d'y tailler des poutres bien droites » notait Kant. A peu de choses près, les êtres humains demeurent les mêmes, les moeurs politiques également. Ce qui change, toutefois, ce sont les contextes. Le nôtre est saturé de médias et de réseaux sociaux, qui accélèrent et intensifient les processus. Naguère, les venins effusaient à petite vitesse, sur de courtes distances. Nous voilà immergés dans des caisses de résonance considérables , où les propos se transmettent, se réverbèrent, se transforment avec une rapidité vertigineuse.
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Et cela dans un pays fragilisé, dépressif, les nerfs à vif. Dans une France qui peut sombrer dans le chaos ou bien devenir de nouveau un pays puissant. Qui a entre ses mains le choix de son avenir, alors que dans le monde s'aiguisent les tensions et s'opèrent de vastes redistributions des cartes. Ce contexte, son urgence et sa gravité rendent dangereuse cette campagne désaxée. A d'autres moments, on l'aurait jugée seulement bouffonne, minable ou grotesque, selon les goût de chacun. Elle devient tragique. Parce que des débats superflus occultent massivement les vrais. Les dossiers qui occupent tout portent sur les candidats, leurs familles, leurs moeurs. Il n'est certes pas inutile de savoir quelle personne sera à la tête de l'Etat, dans un régime aussi fortement présidentiel que la Ve République. Mais il est infiniment plus important de savoir quelle politique les Français veulent choisir.
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Il est presque gênant d'avoir à le rappeler : les propositions politiques des différents candidats sont l'essentiel. Seuls importent leurs objectifs, programmes et calendriers. Certains n'en ont pas encore, d'autres les ont affichés. Quel que soit le choix final opéré par chaque citoyen, quelle que soit la prochaine décision de l'ensemble des électeurs, il n'y a à considérer que ces dossiers. Tous les autres sont superfétatoires. Sans doute les révélations financières ou sexuelles peuvent-elles se révéler intéressantes, croustillantes, amusantes, ennuyeuses... selon les cas et selon les points de vue. Et il n'est pas étonnant que ces questions annexes alimentent les bavardages de comptoir. Mais il devient préoccupant qu'elles accaparent la presse. Car le danger, dans l'état présent de la France, est que son avenir se décide massivement à partir d'impressions et d'émotions, de rejets et de dégoûts, d'engouements et d'illusions. Et non de débats de fond, conclut Roger-Pol Droit (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, sur Liberté Politique, le chroniqueur de droite François Billot de Lochner écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans la course à la présidentielle, François Fillon n’est pas bien parti. Pourquoi ? Est-ce parce que la meute hurlante des chiens de garde du Système le saigne en abondance et va finir par le tuer ? Parce qu’il s’affirme « à contre-courant », ce que le dit Système ne peut tolérer ? Parce que sa tête de gendre idéal est une insulte au Système ? Ces raisons sont-elles les bonnes raisons ? Non, sans doute, ou pas seulement ces raisons : les vraies motifs de son possible échec sont à rechercher ailleurs.
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Première raison : lorsque l’on veut donner l’image du gendre idéal, il faut être un gendre idéal. Il ne faut donc pas se comparer aux innombrables politiciens qui ne sont pas des gendres idéaux, quand bien même ils sont gendres. Il faut être en revanche dans la posture de l’homme irréprochable. Les Français le sentent intuitivement : de Gaulle n’aurait jamais employé Tante Yvonne, même s’il avait pu le faire en toute légalité. Légalité et moralité sont deux choses différentes. La majorité des électeurs gagnent moins de 2000 euros nets par an : à tort ou à raison, nombre d’entre eux n’accepteront jamais un système dans lequel l’épouse d’un homme politique peut gagner le double de leur salaire, ce système fut-il légal. Ainsi, Fillon ne pourra récupérer des centaines de milliers de voix de droite, désormais un peu plus écoeurées par la classe politique. C’est ainsi. Or, ces voix lui manqueront cruellement au printemps prochain.
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Seconde raison : Pénélope est évidemment une femme importante, mais les vrais sujets du jour sont-ils là ? L’erreur de François Fillon est de n’avoir pas compris que les Français veulent un chef de guerre, qui affiche une détermination sans faille à renverser la table pour redresser la France. Or, la posture de François Fillon a plutôt consisté à essayer de redresser sa table branlante en donnant des gages à la meute déchaînée du Système. Il s’est donc, d’une certaine façon, soumis au Système, qu’il fallait probablement brusquer avec force et courage, attaquer sans relâche, démolir autant que possible : les Français de droite auraient apprécié. Fillon s’est posément ajusté au Système, de façon défensive : il ne s’est pas révélé être un chef.
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Troisième raison : en quelques semaines, certaines positions du candidat ont pu sembler contradictoires ou malhabiles, donnant, là encore, le sentiment que l’homme était inféodé à un Système auquel il voulait donner des gages, alors que le dit Système se moque des gages comme de sa dernière chaussette, puisque son seul et unique objectif est de tuer politiquement cette candidature. Fillon renouvelle de façon éclatante l’incroyable erreur de Sarkozy : ma droite étant assurée, j’ouvre à gauche. Cela peut lui valoir d’être sorti sèchement de la vie politique, tout comme l’a été Sarkozy, qui semble d’ailleurs n’avoir toujours rien compris, démontrant à l’envi que l’aveuglement des dirigeants politiques actuels prend des proportions effrayantes. Car aujourd’hui, il n’est pas du tout sûr que la droite de Fillon soit si bien assurée. Elle est même, à ce jour, assez peu assurée. Or, Fillon ne mordra jamais sur la gauche, mais Macron mordra très certainement sur la droite.
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De tout cela, il résulte que Fillon peut perdre au premier tour de la présidentielle : son score pourrait  tourner autour de 20% seulement, quand Marine caracolera certainement entre 25 et 30% des suffrages, et Macron entre 20 et 25% peut-être. Si tel est le cas, Fillon devra s’en prendre prioritairement à lui-même, le déchaînement du Système n’ayant été, finalement, que le coup de pied de l’âne, ajoute François Billot de Lochner, (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/peuple-de-droite-moment-de-revolte-venu,311892
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http://www.les4verites.com/politique/le-cirque
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http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0211787798096-presidentielle-une-campagne-desaxee-et-dangereuse-2063777.php
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http://www.libertepolitique.com/Actualite/Editorial/Fillon-va-t-il-perdre
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« Pauvres jeunes persécutés »: Tremblay-en-France: un poste de police vandalisé et une école incendiée (Vidéo)

La nuit a été plus calme que les précédentes à Aulnay-sous-Bois mais des incidents ont eu lieu dans plusieurs autres communes de Seine-Saint-Denis, notamment à Tremblay-en-France.

Le poste de police municipale a été dégradé et un début d'incendie, dû à des jets de cocktails molotov, a été constaté.

A quelques centaines de mètres, l'école primaire Georges Politzer a elle aussi été incendiée.

La façade a été détériorée à cause de feux de poubelles. On ignore pour l'heure si les deux incidents ont été causés par les même individus. Par ailleurs, 23 personnes ont été interpellées dans la nuit en Seine-Saint-Denis.

Source

France. Aulnay-sous-Bois: La manifestation contre « les violences policières » dégénère. La racaille tente de brûler une voiture de police.

Des dizaines de personnes manifestaient dans une ambiance tendue le 7 janvier dans l'est de Paris pour apporter leur soutien au jeune Théo, victime d'un viol présumé lors d'une arrestation brutale à Aulnay-sous-Bois. Des échauffourées ont eu lieu.

«Théo, Adama : pas de justice, pas de paix !» Des dizaines de manifestants de tous les âges se sont réunis le 7 février dans le quartier parisien de Ménilmontant pour protester contre les violences policières. Faisant référence à Théo mais également à Adama Traoré, un jeune homme noir mort lors d'une interpellation cet été à Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise), les manifestants s’étaient donnés rendez-vous sur les réseaux sociaux.

(...)

Selon un de ses membres, un véhicule de la BAC a été attaqué par une bande d'émeutiers à coups de parpaings. Les assaillants auraient alors versé de l'essence au travers des vitres brisées pour y mettre le feu, sans y parvenir.

Le 8 février, 17 jeunes seront présentés à la justice dont 11 mineurs. Cinq majeurs comparaîtront en comparution immédiate pour des faits «d'embuscade», un majeur pour des faits «d'attroupement avec arme et de violences volontaires» et les mineurs seront présentés au juge des enfants pour des faits d'embuscade, précise le parquet. C’était la troisième nuit de violences consécutives dans la cité des 3 000.  

Toujours tendu à Aulnay

Dans la nuit du 6 au 7 février, Aulnay-sous-Bois, d’où est originaire Théo, a été de nouveau le théâtre de violents affrontements entre jeunes et forces de l’ordre. Un restaurant KFC a été la cible de jets de cocktails Molotov. Les policiers ont fait usage de leurs armes en tirant à balles réelles en l'air ce qu’a confirmé le syndicat de police Alliance à RT France.

Source et article complet

France ridicule. Aulnay-sous-Bois : François Hollande au chevet de Théo

Le président de la République s’est rendu ce mardi après-midi au chevet de Théo, blessé lors d’un contrôle jeudi, par des policiers qui depuis ont été mis en examen, trois pour violences volontaires, un pour viol. François Hollande lui a adressé un message de soutien.

« Je tenais à venir voir Théo ainsi que sa famille. Il a réagi avec dignité et responsabilité. La justice est saisie et va aller jusqu’au bout. J’ai une pensée pour Théo qui a un comportement exemplaire.» Le Parisien-Aujourd'hui en France a assisté en exclusivité à cette rencontre.

Source

Rappel: France. Lyon : Caroline, amputée des deux jambes à cause de Redouane

Tous les politiciens favorables à l'immigration s'en foutent!