Taxis-UBER, une victoire pour l’UDC !

Communiqué de presse de l'UDC :

 L’UDC prend acte avec satisfaction de la décision du Conseil d’Etat d’appliquer ce qu’elle revendique depuis plus de 2 ans. Elle avait à l’époque déposé toute une série d’amendements à la loi sur les taxis et les voitures de transport avec chauffeur (LTVTC), refusés alors par la plénière. Il aura fallu l’éviction de Pierre Maudet de l’inspection du travail et de la police du commerce pour faire entendre raison au Conseil d'Etat sur les revendications de l’UDC.

Lors du traitement par le Grand Conseil de la loi sur les taxis et les voitures de transport avec chauffeur (LTVTC) en 2017, l’UDC avait déjà soulevé les mêmes problèmes que le Conseil d’Etat découvre aujourd’hui à l’occasion d’un changement de Conseiller d’Etat. Opposée à la complaisance de M. Maudet envers Uber, l’UDC avait dénoncé que de nombreux chauffeurs provenaient de l’étranger et n’étaient pas en règle ou avaient obtenu des permis de travail sur de fausses indications.

En 2018, suite aux nombreux scandales dévoilés, où l’on apprend que des chauffeurs continuent à travailler à Genève avec un statut précaire, et sans bénéficier de toutes les autorisations nécessaires, notamment pour le compte de la société Uber, l’UDC avait déposé la motion 2480 « pour une mise en œuvre effective de la loi sur les taxis et les voitures de transport avec chauffeur (LTVTC) et le respect par les transporteurs et diffuseurs de courses des conditions sociales des chauffeurs et de la législation sur les étrangers ». Une motion qui à ce jour est toujours en suspens devant la commission des transports, cette dernière n’ayant toujours pas achevé ses travaux sur ce sujet.

Pour l’UDC, il est totalement inadmissible que le canton de Genève, sous l’empire du Conseiller d’Etat Maudet, se soit montré complaisant envers des sociétés ubérisées et n’ait rien fait pour faire respecter les dispositions des travailleurs dans un cadre légal offrant une égalité de concurrence entre tous les acteurs de la profession.

Suisse Romande: Des taxis Uber soupçonnés de radicalisation

Vingt chauffeurs de voitures de transport (VTC) exerçant en Suisse romande sont ciblés par une enquête de la police fédérale. Plusieurs d'entre-eux utilisent l'application Uber, via notamment des sociétés de location de véhicules.

Ils sont fichés S en France et une procédure pénale est menée par la Division protection de l'Etat, terrorisme, organisations criminelles, révèle «Le Temps».L'affaire pourrait donc bien concerner le domaine du terrorisme djihadiste.

 

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Milan : un réfugié refuse de payer son taxi “Je suis à la charge du système de santé italien.”

Rappel : Pauvreté : des millions d’Italiens n’ont plus d’argent pour se faire soigner. Le système de santé se dégrade.

 

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A Milan, un réfugié somalien de 25 ans a refusé de payer les 42 euros de taxi après un contrôle médical à l'hôpital. Finalement, le chauffeur de taxi n'a pas porté plainte.

L'incident incroyable est arrivé la nuit dernière à Milan. Un réfugié somalien a appelé un taxi pour aller de l'hôpital - où il avait été admis - jusqu'au Mémorial de la Shoah Safra Square, où il vit dans les locaux gérés par la Communauté de Sant'Egidio.

Sauf qu'au moment de payer les 42 euros de la course, l'homme a refusé de payer le chauffeur de taxi parce qu'il pensait que l'argent était « à la charge de l'hôpital. » Le chauffeur de taxi a appelé la police, mais a finalement choisi de ne pas signaler le jeune.

L'homme de 25 ans, réfugié somalien vivant à Milan dans la Communauté de Sant'Egidio, revenait d'une visite à l'hôpital Gaetano Pini. Après avoir été libéré, l'homme a décidé d'appeler un taxi pour rentrer chez lui. Tout s'est bien passé, du moins jusqu'à ce qu'il soit arrivé à destination.

Là, le chauffeur de taxi a demandé au jeune homme de lui payer 42 euros. Demande à laquelle le Somalien a opposé un refus catégorique, affirmant que la somme « devait être payer par l'hôpital. » A ce moment, le chauffeur de taxi a appelé la police qui est intervenue immédiatement sur la place Safra pour comprendre ce qui se passait.

Le réfugié somalien a réitéré aux agents qu'il n'avait pas l'intention de payer la course, déclarant obstinément que la somme était prise en charge par le système national de santé. Face à la volonté exprimée par le jeune, la police a demandé au chauffeur de taxi de fermer les yeux et, finalement, l'individu n'a pas été dénoncé.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Un chauffeur de taxi musulman refuse de prendre un passager handicapé avec son chien-guide parce que c’est contraire à sa religion

  • Le chauffeur de taxi musulman a refusé de prendre un couple d'aveugles parce qu'ils avaient un chien-guide
  • Il a refusé de conduire Charles Bloch et Jessica Graham en raison de la présence de l'animal
  • Il a déclaré: «Moi, je ne prends pas le chien» avant de leur dire que c'était pour des raisons de «religion»
  • M. Bloch, 22 ans, a informé le chauffeur que cela était une infraction à la Loi sur les personnes handicapées mais le chauffeur de taxi a démarré et est parti


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Libye – Italie : Le « taxi » pour Palerme du capitaine Brenden

 

Ndlr : cette immigration serait-elle voulue et organisée ? On a le devoir de se poser la question

 

Les données officielles montrent que près de 20 000 migrants sont arrivés en Italie par mer depuis janvier, contre seulement 10 000 pendant la même période de 2015. Près de 90 % ont débarqué en Sicile.

Nos reporters sont montés à bord d’un bateau de sauvetage norvégien qui a amené 900 migrants au port sicilien de Palerme.

Le bateau norvégien « Siem Pilot » travaille sous l’autorité de Frontex, l’agence chargée des frontières de l’UE [...]

La nuit dernière, les migrants ont été sauvés à seulement 30 milles des côtes de Libye par des bateaux militaires européens ultra-modernes qui ont parcouru 750 milles pour les recueillir.

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Nyon: Agressée par un requérant d’asile, elle n’ose plus sortir la nuit

En 2013, un requérant d'asile a agressé la conductrice d'un taxi. Il lui aurait violemment saisi le cou avec ses mains, l'empêchant de crier et de respirer. Il risque 3 ans d'emprisonnement ferme.

Selon le Parquet, la culpabilité est «lourde» et les faits sont «très graves». L'homme, qui n'a fait preuve d'aucune prise de conscience», se serait rendu coupable de brigandage, de séquestration et de mise en danger de la vie d'autrui. Le verdict sera lu vendredi.

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Chauffeur de taxi agressé: «Ils ont détruit ma vie»

«Ils ont détruit ma vie. Je ne comprends pas. Je n'ai rien fait.» Milo, un retraité de 66 ans ajoutant un petit revenu de chauffeur de taxi à mi-temps à sa rente AVS, s'est retrouvé sur le banc d’infamie du tribunal correctionnel de Lausanne. Sa faute: avoir frappé l'un des deux agresseurs qui l'avaient attaqué pour le voler en janvier 2013.

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