La propagande pro migrants sur Youtube provient de la société zurichoise FCB: “Google nous a aidés”

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici.

On s'aperçoit à présent que cette idée digne d'une dictature provient d'une société zurichoise, fière de sa trouvaille. L'Europe se fait envahir, piller, et certains Européens sont très contents d'y participer activement...

Mais si ce sont réellement de simples publicités mises automatiquement avant les vidéos, je vous conseille d'installer un adblock qui devrait faire taire leur propagande.

******

FCB Zurich a voulu combattre les préjugés dont sont victimes les migrants, aux côtés de l’association Refugees Welcome, dans une campagne intitulée « Search racism. Find Truth » (« Cherchez le racisme. Trouvez la vérité »). Ainsi, dès qu’une recherche sur YouTube est associée au racisme ou à la xénophobie, des pre-rolls mettant en scène des réfugiés apparaissent à l’écran. Leur particularité : impossible de les zapper.

Chaque spot redirige vers un site dédié, regroupant toutes les vidéos des personnes ayant participé à l’opération.

Source

fcb

"Nous n'avons pas de clients d'extrême droite"

Dennis Lück et FCB désiraient faire quelque chose contre les incitations de la droite et ont eu une idée très simple mais ingénieuse qui est devenue virale. Dans une interview avec persoenlich.com Lück parle de la façon dont il est intervenu en tant qu'agence de publicité dans les discussions socio-politiques.

Comment Google et Youtube ont - ils réagi?

Google nous a aidés, par exemple, à titre consultatif, quand on en est venu au ciblage. Nous avons non seulement ciblé des chaînes Youtube mais aussi des vidéos individuelles. Le fait quue nous ayons atteint cet objectif est un miracle sur le plan médiatique. Pendant des semaines, deux employés étaient occupés 24H sur 24 à trouver de nouvelles vidéos provocatrices.

Avez - vous déjà pensé à la suite?
La campagne est d'abord conçue pour une période de deux mois. Nous allons voir ce qui se passe dans les prochains jours et en fonction de la réponse, nous allons étendre l'action.

Texte complet en allemand Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Médias hypocrites: «La Suisse et le terrorisme islamique sont plus liés qu’il n’y paraît»

Christian Hofer: Bien évidemment, nos médias passent sous silence que ce problème provient principalement de l'immigration maghrébine. En réalité, sans cette immigration, la Suisse n'aurait qu'extrêmement peu de lien avec le terrorisme. On ne peut que rire en lisant que "Moezeddine Garsalloui" est Fribourgeois alors qu'il est originaire du Maghreb et qu'il a bénéficié de l'asile politique. La Suisse a donc accueilli, payé, hébergé, nourri une racaille selon la même tradition humanitaire que la gauche nous agite aujourd'hui pour des milliers de musulmans provenant de pays qui méprisent le christianisme. Mais ne vous inquiétez pas: "ils vont s'intégrer et payer nos retraites". Et demain nous gagnerons tous au loto aussi...

Quant aux convertis qui constituent une très petite minorité, ils défendent des références strictement allogènes qui n'ont rien à voir avec notre pays.

Dans les deux cas, le multiculturalisme et l'immigration sont la racine du problème. Il n'est nul besoin de répéter qui est le responsable de cette propagande depuis des décennies, jusqu'à insulter ceux qui voudraient s'y opposer.

Plus encore, ce média ose parler de "naïveté" alors que les médias romands n'ont eu de cesse de traîner l'UDC dans la boue tout en diffusant de la propagande pro immigration ou pro islam.

******

«Le djihad comme destin, la Suisse pour cible?», à paraître mardi, constitue une analyse du risque et des enjeux du terrorisme dans notre pays. Jean-Paul Rouiller, ancien cadre des renseignements suisses, et François Ruchti, journaliste à la RTS, rassemblent les pièces d’un puzzle loin d’être complet. Leur enquête minutieuse retrace les parcours, les rôles d’une dizaine de personnages clés, surtout en Suisse romande, et leur implication dans la djihadosphère internationale.

12916799_1726994530880589_8148533902724355964_o

Un Fribourgeois cadre d’Al-Qaida

Il représente la figure centrale d’une génération de terroristes à l’époque d’Al-Qaida. Le Fribourgeois Moezeddine Garsallaoui a inspiré et organisé la formation armée de Mohamed Merah, auteur des tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban. Son épouse, la Belgo-Marocaine Malika al-Aroud, est la veuve d’un des assassins du commandant Massoud en 2001.

Source

Antiracisme : France TV utilise les techniques de propagande nazies

Aux heures de grande écoute, France Télévision diffuse en boucle sur toutes ses chaines et sur Internet, des clips ”antiracistes” selon une technique de ”vérité reconstituée » digne du Reich nazi et des régimes communistes inédite dans ce pays. On applique les procédés de lavage de cerveau et de diffusion de mensonges de masse. La France est le seul pays occidental où la télévision et la radio d’État – en lien avec l’Éducation nationale – procède à une désinformation idéologique aussi agressive et décomplexée.

Suite sur Riposte Laïque

Des polycopiés distribués aux apprentis de l’Ecole professionnelle de Lausanne (EPSIC) avaient déclenché la colère du PLR en 2015

Ndlr : La propagande de gauche avait déjà sévit à Lausanne en 2015 (info suite à l'affaire du lycée de Fleurier)

3 février 2015 : La direction de l'Ecole professionnelle pour les métiers de l'industrie et de l'artisanat (EPSIC) a décidé de retirer des supports de cours, selon une information de «24 heures». Qualifiés de «propagande socialiste», les polycopiés ont entraîné l'envoi d'une lettre des jeunes du parti à la conseillère d'Etat Anne-Catherine Lyon et le dépôt mardi d'une interpellation au Grand Conseil par le président du PLR Frédéric Borloz.

Centre d’asile pilote: pur instrument de propagande sans utilité face à la situation actuelle

Le centre d'asile pilote mis en place à Zurich est un pur instrument de propagande de l'Etat. Les rapports finaux indiquent que cette exploitation test a été conçue d'A à Z pour fournir les résultats souhaités d'avance et offrir des arguments superficiels en vue de la votation populaire sur la révision de la loi sur l'asile en juin prochain. Ce projet est cousu de fil blanc et ne sert strictement à rien compte tenu de la situation actuelle qui est à mille lieues des hypothèses sur lesquelles se base cette réforme. De surcroît, même cette exploitation test n'a rien changé sur des points essentiels, par exemple en ce qui concerne le nombre de requérants d'asile dont la demande a été refusée et qui quittent de manière contrôlée la Suisse.

Ces centres fédéraux servent notamment à procurer à l'industrie de l'asile des jobs lucratifs assurés pendant des années. L'exploitation du centre pilote zurichois montre en effet que les coûts du personnel augmentent fortement. Tant les collaborateurs du Secrétariat d'Etat aux migrations que les juristes, interprètes, interrogateurs et autres collaborateurs mandatés travaillent de manière à pouvoir présenter rapidement des résultats positifs, mais surtout superficiels. Même le service d'évaluation, la société MacKinsey, a été mandaté par le Département fédéral de justice et police. Les résultats présentés aujourd'hui n'ont donc rien d'étonnant et méritent une analyse critique.

Impossible de faire des déclarations valables sur l'état actuel

La situation dans le centre de test ne peut, par son infrastructure et son personnel, être extrapolée raisonnablement à la situation actuelle. Au lieu des 24 000 demandes d'asile admises comme hypothèse pour la révision de la loi sur l'asile, la Suisse en a enregistré près de 40 000 l'an passé. Et le risque est grand qu'il y en ait encore plus cette année. Même les experts commandités par le DFJP ont dû admettre que le système ne fonctionnerait pas dans ces conditions: "Une augmentation du nombre de demandes d'asile à plus de 29 000 par an dépasserait cependant la capacité de réponse aux variations du système d'asile restructuré. Compte tenu du nombre insuffisant de possibilités d'hébergement, des requérants d'asile devraient alors être envoyés dans les cantons ou logés dans des abris d'urgence." La réalité a déjà largement dépassé les conditions de cette exploitation pilote.

Tapis rouge pour encore plus d'escrocs de l'asile?

Le centre pilote se vante de pouvoir liquider plus rapidement les demandes d'asile. Mais à quoi peut bien servir une liquidation plus rapide des demandes si les requérants concernés ne sont pas renvoyés systématiquement et rapidement dans leurs pays d'origine? Le principal effet de cette réforme est d'accroître la capacité d'accueil pour les faux réfugiés. Les autorités compétentes n'exécutent toujours pas les décisions prises. Il n'y a rien d'étonnant à ce que le taux de retour dans les pays d'origine noté par le centre de test soit plus élevé qu'ailleurs puisque le forfait de retour offert aux personnes acceptant de partir volontairement y est quatre fois plus élevé (2000 francs). Une bonne raison de plus de venir en Suisse pour y prélever au moins ce joli cadeau. Un facteur essentiel, à savoir le pourcentage de sorties contrôlées de Suisse de requérants d'asile déboutés, n'a pas changé de manière significative. Le fait que l'exécution des décisions prises ne fonctionne pas en Suisse est aussi révélé par la proportion de requérants qui disparaissent dans la nature, donc des départs non contrôlés, soit 53,1% pour le centre test et 41,4% pour la procédure ordinaire.

L'échantillon de personnes n'est pas représentatif

L'évaluation révèle en outre que l'attribution des cas au centre test a été massivement manipulée. La composition des requérants d'asile en ce qui concerne leur origine se distingue en partie fortement de celle de centres ordinaires (exemple: 20% de demandes érythréennes dans le centre test, 37% dans les centres ordinaires). De plus, le centre test traite proportionnellement beaucoup plus de demandes d'adultes solitaires, notamment des hommes, que les centres de procédure normaux. La proportion de cas relativement simples à régler est donc nettement plus importante dans le centre test. Dans ces conditions, il n'est guère étonnant que le nombre d'"admissions provisoires" diminue. Conclusion: le résultat de ce centre test repose sur une base largement manipulée qui n'a plus aucun rapport avec la réalité.

La révision de la loi sur l'asile repose sur de fausses bases

Le concept et le calcul des coûts sur lesquels se fonde cette révision de la loi sur l'asile partent de 24 000 demandes dont 60% devraient être réglés dans six centres fédéraux. Or, en 2015 déjà, la Suisse comptait 39 523 demandes d'asile et la tendance est toujours à la hausse en 2016. D'autres hypothèses fondamentales de ce concept, par exemple que 40% desdits "cas Dublin" pourraient être liquidés rapidement et transmis à d'autres pays signataires de l'accord, sont totalement fausses. En 2015, cette proportion était légèrement supérieure à 6%. Il est évident que la conception de base de cette révision de la loi sur l'asile ne peut pas fonctionner comme cela a été promis et qu'elle entraînera des coûts supplémentaires massifs. L'UDC recommande donc instamment de rejeter massivement le 5 juin prochain la révision de la loi sur l'asile.

Un gonflement de structures centralisées, dont la situation actuelle démontre à l'évidence l'inefficacité, n'apporte rien. Même la Confédération admet dans sa planification actuelle que les hypothèses admises autrefois sont dépassées et elle ne mise manifestement plus sur la révision de la loi sur l'asile et les nouveaux centres fédéraux pour gérer un fort afflux supplémentaire de requérants. Le fait qu'une exploitation test largement manipulée apporte les résultats désirés n'a rien d'étonnant et ne signifie surtout pas que ce modèle résiste à l'épreuve de la réalité.

UDC suisse, 14.03.2016

 

Yuri Bezmenov, spécialiste du communisme “Même si vous démontrez que blanc, c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur logique de comportement.”

Interview qui explique parfaitement les comportements scandaleux de ces femmes:

Henriette Reker, maire de Cologne

Isabelle Simonis, ministre PS

Texte de l’interview de Yuri Bezmenov:

Nous interviewons aujourd’hui Yuri Alexandrovitch Bezmenov. Youri Bezmenov est né en 1939 dans la banlieue de Moscou. Il est le fils d’un officier de haut rang de l’armée soviétique. Il est issu des écoles de l’élite du système soviétique, et il est devenu un expert de la culture et des langues de l’Inde. Il a fait une carrière exceptionnelle au sein de Novosti, qui était, et est encore, l’agence de presse du régime soviétique, agence qui servait également de paravent pour le KGB.

Il est passé à l’Ouest en 1970 après été avoir été totalement dégouté du système soviétique, et il l’a fait au péril de sa vie. C’est certainement l’un des plus grands experts mondiaux en matière de propagande soviétique, de désinformation et de manipulation. Quand les soviétiques parlent de subversion idéologique , qu’entendent-ils par là ?

La subversion idéologique, c’est un processus qui n’a rien d’illégal ou de caché. C’est une action menée au grand jour. Il suffit pour s’en rendre compte de se déboucher les oreilles, d’ouvrir les yeux, et cela devient évident. Il n’y a aucun mystère. Cela n’a rien à voir avec l’espionnage. Je sais que travailler dans le renseignement, cela fait plus romantique, c’est plus vendeur auprès du public. C’est sûrement pour ça que les producteurs d’Hollywood aiment tant les films du genre James Bond.

Mais en réalité, l’action principale du KGB n’est pas du tout de faire du renseignement. Selon moi, et selon l’avis de beaucoup d’autres transfuges qui ont le même profil que moi, seuls 15% du temps, de l’argent et des effectifs sont consacrés à l’espionnage en tant que tel. Les 85% restants sont consacrés à un processus très lent, que l’on appelle soit subversion idéologique ou manipulation de l’opinion, - xxxxxxxxxxx dans le langage du KGB - ou guerre psychologique . Cela signifie essentiellement : changer la perception de la réalité de tous les américains, au point que malgré la profusion d’information, plus personne n’est plus capable de tenir un raisonnement correct afin de défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son pays. C’est un processus de lavage de cerveau généralisé, qui va très lentement, et qui comprend 4 phases.

La première phase est celle de la démoralisation . Cela prend entre 15 et 20 ans pour démoraliser un pays. Pourquoi tant d’années ? Parce que c’est le nombre d’années minimum requis pour éduquer une génération d’étudiants du pays visé, et pour l’exposer à l’idéologie adverse. En d’autres termes, l’idéologie marxiste-léniniste est actuellement injectée dans les esprits malléables d’au moins 3 générations de jeunes américains, sans rencontrer de résistance, sans être contre-balancée par les valeurs de base de l’Amérique ou par un patriotisme américain.

L’essentiel de l’activité du département était de compiler d’énormes quantités d’information sur des personnes qui étaient ensuite instrumentalisés pour influencer l’opinion publique. Éditeurs, écrivains, journalistes, acteurs, éducateurs, profs de sciences politiques, députés, hommes d’affaires… La plupart de ces gens étaient divisés en deux groupes : ceux qui soutenaient la politique du régime soviétique étaient promus à des postes de pouvoir. grâce à la manipulation de l’opinion et des média. Ceux qui refusaient l’influence du communisme dans leur pays, leur réputation était ruinée. Ou ils étaient exécutés. Physiquement. Révolution oblige.

Ainsi, dans une petite ville du Sud-Vietnam, plusieurs milliers de Vietnamiens ont été exécutés en une seule nuit, après que la ville ait été prise par les Viet-Cong, au bout de seulement deux jours. Et la CIA n’a jamais compris comment les communistes avaient pu aller si vite, pour repérer chacun d’entre eux, connaître leurs domiciles là où les trouver, les arrêter, tout cela en une seule nuit. en à peine quelques heures, avant le lever du jour, et les embarquer dans des camions, les conduire hors de la ville et les exécuter.

La réponse est très simple : bien avant que les communistes occupent la ville, il existait un réseau complet d’informateurs, des vietnamiens habitant la région, qui savaient absolument tout des personnes en mesure d’influencer l’opinion publique, jusqu’aux simples barbiers ou aux chauffeurs de taxi. Tout ceux qui étaient favorables aux États-Unis ont été exécutés. Même chose à Hanoï [Vietnam], pilotée par l’ambassade soviétique. et je faisais la même chose à New-Dehli. À ma grande horreur, j’ai découvert, dans les dossiers des personnes qui allaient être exécutées, le nom de journalistes pro-soviétiques qui étaient mes amis personnels

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img5/Thomas_David_missing.png

Pro-soviétiques !?
Oui, absolument ! Ils défendaient un idéal communiste, ils avaient fait plusieurs voyages en URSS. Et pourtant, le KGB avait décidé que, révolution oblige, pour mener à bien les changements politiques drastiques de l’Inde, il fallait les éliminer. - Pourquoi cela ? Parce qu’ils en savaient trop… Simplement parce que les idiots utiles, les gens de gauche qui sont idéalistes, qui croient en la beauté du système soviétique, communiste, socialiste… quand ils ouvrent les yeux sur la réalité, ils deviennent les pires ennemis du système.

C’est pourquoi mes instructeurs, au KGB, insistaient tout particulièrement sur ce point : Ne vous préoccupez jamais des gauchistes. Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut. Telles étaient mes instructions. Essayez de pénétrer les média conservateurs bien établis, essayez d’atteindre les producteurs de films riches à millions les intellectuels, les milieux soit-disant académiques, entrez en contact avec les cyniques, les égo-centriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter : ceux qui n’avaient plus aucuns principes moraux, les gens avides de pouvoir, ceux qui se prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants. Voilà les profils que le KGB cherchait à recruter .

Mais pour éliminer les autres, ne sont-ils pas utiles ?
Non, ils ne sont utiles que dans la phase de déstabilisation du pays. Par exemple, tous les gens de gauche ici, tous ces professeurs, et ces magnifiques défenseurs des droits à l’égalité, sont instrumentalisés dans ce processus de subversion, et ce uniquement pour déstabiliser le pays. Quand cette étape sera achevée, ils ne seront plus nécessaires. Ils en savent trop. Quand leurs illusions tomberont, une fois un pouvoir marxiste en place, ils seront bien évidemment scandalisés, car ils s’imaginent que ce sont eux qui vont prendre le pouvoir. Cela n’arrivera jamais bien sur. Ils seront alignés contre un mur et exécutés. Ils seraient les adversaires les plus acharnés d’un régime marxiste-léniniste.

C’est ce qui s’est passé au Nicaragua : vous vous souvenez quand la plupart des anciens communistes ont été jetés en prison, ou quand l’un d’entre eux a changé de camp pour s’opposer aux sandinistes. C’est aussi arrivé à Grenade, quand Maurice Bishop, du parti marxiste, a été exécuté par un autre, plus marxiste que lui. Même chose en Afghanistan quand Taraki a été assassiné par Amin, lui même assassiné par Karmal avec l’aide du KGB. Même chose au Bangladesh, avec Mujibur Rahman, un leader de gauche très pro-soviétique, assassiné par ses propres amis communistes de l’armée. Le mécanisme se répète chaque fois à l’identique. Une fois qu’ils ont servi, les idiots utiles sont soit exécutés jusqu’au dernier - je parle des idéalistes marxistes - ou exilés, ou jetés en prison, comme à Cuba, ou beaucoup d’anciens marxistes sont en prison.

Fondamentalement, l’Amérique est coincée par cette démoralisation . Si vous commenciez maintenant, à la minute même, à former une nouvelle génération d’américains, cela prendra quand même de 15 à 20 ans pour inverser la tendance, pour inverser cette perception idéologique de la réalité, et revenir à la normale et aux idées patriotiques.

Le résultat ? Vous pouvez observer le résultat. La plupart de ceux qui ont fait leurs études dans les années 60, de ceux qui ont quitté l’école, et la plupart des pseudo- intellectuels occupent à l’heure actuelle des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration, dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif.

Vous êtes coincés avec eux. Et vous ne pouvez pas vous en débarrasser. Ils sont contaminés. Ils sont programmés pour penser et réagir à certains stimulus d’une façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que blanc, c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur perception de base et leur logique de comportement.

En d’autres termes, chez ces gens, le processus de «démoralisation» est total et irréversible. Pour débarrasser la société de ces personnes, il faut de nouveau attendre 15 à 20 ans, pour éduquer une nouvelle génération d’étudiants, leur inculquer des idéaux patriotiques et en faire des gens de bon sens, qui agissent dans l’intérêt de la société américaine. Et ces personnes qui ont été programmées , et qui sont en place, favorables aux idéaux communistes, ce sont ces mêmes personnes qui seraient voués à être massacrés dans un tel système. La plupart d’entre eux, oui. Simplement parce que avec le choc psychologique qu’ils éprouveraient en découvrant ce qu’est VRAIMENT leur magnifique société d’égalité et de justice , ils se révolteraient, c’est bien évident. Ils seraient extrêmement mécontents, frustrés. Et un régime marxiste-léniniste ne peut tolérer ce genre de personnes. Ils rejoindraient à coup sûr le camp des dissidents et des opposants. Et à la différence des États-Unis actuels, il n’y a pas de place pour les dissidents dans un régime marxiste-léniniste. Ici, vous pouvez devenir très célèbre, comme Daniel Ellsberg, ou démesurément riche comme Jane Fonda, en répandant des opinions dissidentes ou en critiquant la politique du Pentagone. Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement pfft’, écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un shock terrible pour eux.

Aux États-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances : la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès. Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxistes] n’a plus aucune d’importance. Une personne démoralisée n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus. Même si je la bombardais d’information, de preuves authentiques, de documents, de photos, même si je l’emmenais de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’il reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra qu’alors il comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation.

L’étape suivante est la déstabilisation : dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus. Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux : économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans des domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite.

L’étape suivante est l’insurrection. Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement.

Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce que l’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment. La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré : Maintenant, la situation en Tchécoslovaquie est normalisée.
Et c’est ce qui arrivera aux États-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le paradis sur terre , si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement Big-Brother à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que voulez, peu importe que ces promesses sont tenues ou non. Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes. Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation.

Mais la situation n’est PAS sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle, La plupart des politiciens américains, la plupart des médias, et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix. C’est faux. Les États-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sur, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse. ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens ou non, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur… Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet. A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre, - à moins que l’Amérique ne se réveille - avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier. A moins d’aller en Antarctique, avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.

Et que faire alors ? Que recommandez-vous aux Américains ?
La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il faut un effort national de grande ampleur pour éduquer les gens dans le sens des valeurs patriotiques, et ensuite expliquer le réel danger du système socialiste, communiste, quel que soit son nom, le danger de l’état providence, du système Big Brother . Si les gens ne réussissent pas à saisir l’imminence de ce danger et de cette évolution, rien n’aidera les Etats-Unis. Vous pouvez dire au revoir à vos libertés. à la liberté des homosexuels, aux droits des détenus etc… Toutes vos libertés disparaitront, elles seront carbonisées en quelques secondes. Et vos précieuses vies avec. Deuxièmement, au moins une partie de la population est convaincue que le danger est réel. Ils doivent FORCER le gouvernement, - et je ne parle pas d’envoyer des lettres, des pétitions, ou d’autres nobles et belles activités de ce genre - , je parle bien de forcer le gouvernement à arrêter d’aider le communisme.

Annick Jeanmairet, journaliste à la RTS: “On se met aisément à la place de la militante socialiste qui pleure”

ND Christian Hofer: Encore une fois, de la propagande de gauche par une journaliste de la RTS qui prend en otage le simple péquin par le biais d'une manipulation émotionnelle (oui eux ils ont le droit). C'est donc ce genre de personne qui perçoit son salaire via une redevance devenue obligatoire. Il n'y a aucune neutralité à attendre d'une telle télévision. 

Exit toutes les magouilles du PS, ses envois d'armes à des extrémistes, les coucheries d'un président minable traitant les femmes avec le plus grand des mépris, les petites combines avec les Républicains afin d'évincer le FN, la responsabilité du parti socialiste dans les attentats, son multiculturalisme forcené, la censure sur le Net, la propagande haineuse contre le FN jusqu'à associer un parti démocratique à des assassins, le gazage de manifestants pacifiques et les arrestations arbitraires lors de la Manif pour Tous, la situation catastrophique à Calais via une immigration clandestine violente dont le PS se fiche totalement... Non pour les médiocres, il suffit de quelques larmes pour que ce PS redevienne la victime éternelle "empreinte de sincérité". Sortez vos mouchoirs! On devrait donc larmoyer sur cette même gauche qui festoyait lorsque M. Blocher avait été éliminé via un complot PDC/PS des plus minables, l'empathie n'étant évidemment réservée qu'aux personnes de leur sérail.

Ainsi pour cette "journaliste", tout cela est prestement effacé, sans aucune remise en question sur les raisons de ces votes. Bien entendu, pour Annick Jeanmairet, il serait tout à fait incompréhensible que le lecteur pense différemment. "On se met aisément à sa place" déclare-t-elle sans honte, comme si son ton péremptoire possédait une quelconque légitimité. Cela va sans doute briser son petit monde bien-pensant, mais pour toute une frange de la population, cette image était au contraire synonyme d'espoir, celui de ne plus être dirigé par un parti dont les priorités sont à l'opposée du peuple français. Et ces sentiments-là, Madame Jeanmairet semble les mépriser au plus haut point.

On s'étonne aussi de voir un tel article dans un magazine de la Migros. Doit-on comprendre que ce commerce participe désormais à la diffusion des idées de gauche?

19847238

La photo de la semaine

«Dimanche 6 décembre, premier tour des élections régionales en France, fédération PS de Lille, à l’annonce des résultats. A côté de la froide réalité des chiffres, à côté du show souvent vulgaire et pathétique des leaders politiques, il y a cette scène, d’une violente humanité. A une époque où, martèlent les experts, le lien entre la politique et le peuple se distendrait chaque jour un peu plus, cette photo témoigne qu’il existe encore (pour combien de temps?) des militants qui croient à des idées, à une cause, qui sont attachés à un parti.

Certes, la défaite était annoncée. Cela n’enlève rien à la déception de cette militante. On se met aisément à sa place. C’est une déception sentimentale.»

Annick Jeanmairet, journaliste et présentatrice à la RTS.

Source

Irina Bokova (Unesco) : « Il y a un conflit entre ceux qui pensent que l’on peut vivre ensemble dans la diversité et ceux qui rejettent cette idée »

Le 1 novembre 2015, la Directrice générale de l’UNESCO, Mme Irina Bokova, a participé à la 6ème convention nationale du Conseil représentatif des organisations juives de France (CRIF), dans le cadre d’une table ronde sur le thème « L’éducation, rempart contre le racisme et l’antisémitisme? »

La Directrice générale a souligné l’importance de s’engager pour une éducation de qualité, basée sur les droits de l’homme, offrant aux jeunes les capacités d’analyse critique et les perspectives d’avenir qui leur permettront de s’engager face aux idéologies de haines et de rejeter la radicalisation.

« Il n’y a pas de choc des civilisations. Il y a un conflit entre ceux qui pensent que l’on peut vivre ensemble dans la diversité, et ceux qui rejettent cette idée, » a-t-elle conclu, mettant ainsi en exergue le rôle primordial de la culture et de l’éducation dans la prévention des idéologies extrémistes.

Parmi les participants à la table-ronde « L’éducation, rempart contre le racisme et l’antisémitisme? » figuraient M. Alain Chouraqui, président de la Fondation du Camp des Milles et responsable de la Chaire UNESCO « éducation à la citoyenneté, sciences de l’homme et convergence des mémoires », le Pasteur François Clavairoly, président de la Fédération Protestante de France, Mme Emilie Frèche, écrivain, Mme Valérie Pécresse, députée des Yvelines. [...]

Rappelant les actions de l’UNESCO dans le domaine de l’éducation pour la citoyenneté mondiale et pour l’enseignement de l’histoire de la Shoah et d’autres génocides. Irina Bokova a également rappelé la récente désignation de Beate et Serge Klarsfeld en qualité d’Ambassadeurs honoraires et Envoyés spéciaux de l’UNESCO pour l’enseignement de l’histoire de la Shoah et pour la prévention des génocides. [...]

source via Fdesouche.com

RappelIrina Bokova est la fille de Gueorgui Bokov, rédacteur en chef du journal du Parti communiste bulgare

Bruxelles planche sur une « année de la diversité » en 2017

L’année consacrée à la diversité – 2017, selon le cabinet de Rudi Vervoort – portera sur la culture, mais aussi sur la diversité des origines, des orientations religieuses ou sexuelles et célèbrera aussi Bruxelles comme capitale de 500 millions d’Européens, a précisé le ministre-président.

7sur7.be via Fdesouche.com

France: Espaces publicitaires gratuits pour la campagne de lutte contre le racisme, décrétée « grande cause nationale »

Une campagne contre le racisme et l’antisémitisme, organisée par plusieurs associations antiracistes, va bénéficier du label « grande cause nationale » lui permettant des diffusions gratuites sur des radios et télévisions publiques, a annoncé vendredi Matignon.

Le Premier ministre Manuel Valls a attribué le « label +Grande cause nationale+ », à la campagne de communication proposée conjointement par plusieurs associations (Licra, SOS Racisme, Ligue des droits de l’Homme et MRAP), indique Matignon dans un communiqué.

Cette campagne devrait être diffusée en novembre, a précisé à l’AFP Gilles Clavreul, délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.

Ce label décerné par le gouvernement permet d’accéder à des espaces publicitaires gratuits prévus pour ce type de campagne, évitant l’achat d’espaces coûteux.

« Ce qu’on souhaite faire surtout, c’est provoquer le choc des consciences et le choc de mobilisation. On ne luttera pas contre le racisme et l’antisémitisme sans une mobilisation d’ampleur de la société », a souligné M. Clavreul.

Le premier label « Grande cause nationale » avait été attribué en avril à un collectif d’ONG sur le thème du « dérèglement climatique ». La campagne doit être diffusée dans les prochaines semaines, à l’approche de la conférence climat (COP 21) de Paris.

Respect Mag

Propagande

Nos lecteurs nous rendent attentifs (merci à Anita)

Hier dans le TJ de 19.30h le bureau de migration a annoncé qu'il produira une série de 13 films pour les montrer dans les pays d'origine des réfugiés afin qu'ils comprennent mieux la Suisse et ses conditions d'asile.  Alors que les pays autour de la Suisse prennent des mesures pour diminuer l'invasion de ces indésirables....

.


.
Source et suite de propagande / 30.07.2015

Propagande dans le magazine communiste « PIF », hors-série été 2015

Fondé en 1969, Pif Gadget est le successeur de Vaillant, le journal de Pif. Pif le chien est né en 1950 dans le journal l’Humanité sous la plume de José Cabrero Arnal, surnommé affectueusement Monsieur Paparnal. Le magazine s’appelle à ses débuts Pif et son gadget surprise puis, quelques mois plus tard, Pif Gadget.

Le 16 juin 2015 est annoncée par voie de presse la parution en kiosque le 24 juin suivant d’un numéro hors-série d’été de 192 pages tiré à 100 000 exemplaires baptisé « Super Pif – spécial été ».

pifSource fdesouche

Suisse: “L’instruction publique fait extrêmement attention à ne pas heurter les minorités”

Six semaines, quatre incidents.

Du côté de la Suisse alémanique, d’abord. La maman d’une écolière s’est dite préoccupée quant au contenu du «Schweizer Zahlenbuch 4», le manuel de référence de mathématiques, truffé de prénoms à consonance balkanique dans les énoncés de problèmes. Inquiétude aussitôt récupérée par les Jeunes UDC, qui ont qualifié la pratique de «lavage de cerveaux multiculturel», arguant que les élèves étrangers ne sont pas majoritaires dans les classes.

En Autriche, la Fédération des associations de parents d’élèves a dénoncé l’usage du langage «non sexiste» (dit épicène) dans les textes scolaires, qui contribuerait à les rendre «illisibles». La semaine dernière, l’hebdomadaire GHI rapportait que certains enseignants genevois recourent, pour aborder le racisme, à une bande dessinée dont le personnage principal s’appelle Dieudonné; rappelant immanquablement l’humoriste français prévenu d’incitation à la haine raciale.

«Quand la Conférence intercantonale de l’instruction publique fabrique des manuels, elle fait extrêmement attention à ne pas heurter les minorités, admet pour sa part Georges Pasquier, président du Syndicat des enseignants romands.

Suite

L’école professionnelle de Lausanne coupable de propagande socialiste?

Dans le cadre d'un enseignement de culture générale, les valeurs politiques de la droite et de la gauche sont présentées, selon le PLR Frédéric Borloz, «sous un angle tendancieux et unilatéral». La gauche veut par exemple partager le pouvoir alors que la droite cherche à le conserver pour déboucher à la fin sur une oligarchie.

La droite veut «donner plus de libertés aux puissants» et «contrôler la nature et les autres humains» alors que la gauche donne à «tous les mêmes libertés» et «respecte la nature et les autres humains», expliquent ces feuilles destinées aux apprentis.

Source