Nos lecteurs nous prient de publier.
A noter que Nyon est une ville où les loyers sont chers et les appartements vacants rares.
Mais la priorité pour cette commune consiste à subvenir aux besoins de personnes venues profiter de nos largesses via le dictat pseudo humanitaire et sa cohorte de mensonges. Et ceci alors que l'on sait pertinemment que ce ne sont pas des réfugiés mais des migrants économiques pour 97% d'entre eux. Ces "migrants" vont donc bénéficier de soins, de nourriture, d'un logement, d'un entretien totalement gratuits alors que de nombreux Helvètes se serrent la ceinture. Tout va bien pour la Commune de Nyon.
Bien entendu, ce tout-ménage, produit avec l'argent des contribuables, mélange allègrement migrants et réfugiés afin de créer la confusion. On peut d'ailleurs se demander si la commune est en droit d'utiliser les deniers publics pour imposer sa vision avant une votation.
Enfin, pour cette ville, la Suisse aurait des "responsabilités à prendre" pendant que les pays riches musulmans refusent d'accueillir leurs propres coreligionnaires. On se trouve ici devant la fameuse obligation morale culpabilisatrice alors que les mêmes bien-pensants se terrent lorsque leurs protégés agressent les autochtones.
A Nyon, c'est les autres avant les nôtres.
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Pourquoi faut-il voter oui le 24 septembre
L'objet qui sera soumis au vote communal cet automne porte sur la mise à disposition d'un terrain en faveur de l'EVAM pour y construire un centre d'hébergement pour migrants.
Ne nous trompons pas de débat, il s'agit de répondre aux vraies questions que soulèvent ce vote: voulons-nous prendre nos responsabilités en matière d'asile et nous montrer solidaires du reste du Canton?
Voulons-nous accueillir les migrants avec humanité et dans des conditions décentes?
Voulons-nous poursuivre cette traditions d'accueil propre à la Suisse ou nous enfermer sur nous-mêmes?
Nyon doit s'engager pour recevoir les réfugiés avec dignité et respect. Aidons-les à se reconstruire et à prendre un nouveau départ.
Le 24 septembre, votons oui