Un eurodéputé italien de la Ligue écrase les notes de Moscovici avec sa chaussure (Vidéo)

Après le rejet du budget italien par la Commission européenne, Angelo Ciocca, eurodéputé de la Ligue, a exprimé son mécontentement à sa façon, en écrasant, avec sa chaussure, les notes du commissaire européen Pierre Moscovici.

Un eurodéputé de la Ligue, Angelo Ciocca, a écrasé, avec sa chaussure, les notes de Pierre Moscovici, à l'issue de son discours du 23 octobre à Strasbourg annonçant le rejet du budget italien par la Commission européenne. Sur Twitter, le député italien a partagé une vidéo de la scène : «A Strasbourg, j'ai piétiné (avec une semelle faite en Italie!!!) la montagne de mensonges que Moscovici a écrite contre notre pays !!! L'Italie mérite le respect.»

 

 

 

Le commissaire européen Pierre Moscovici a également réagi sur le même réseau social, expliquant avoir pris l'eurodéputé pour un «agent du Parlement», ajoutant : «Ceux qui écrasent des textes et des décisions à coup de chaussure ne respectent ni les règles, ni les institutions, ni la démocratie.». Sur Europe 1, le 24 octobre, l'ancien ministre de l'Economie français a en outre qualifié Angelo Ciocca de «fasciste».

Le 23 octobre, la Commission européenne a rejeté le projet de budget 2019 de l'Italie, qui dispose de trois semaines pour réviser sa copie. Une première historique pour l'Union européenne.

RT

 

Pierre Moscovici qualifie le gouvernement italien de « xénophobe »

Le commissaire européen Pierre Moscovici a qualifié mercredi le gouvernement italien de "résolument eurosceptique et xénophobe" et l’a accusé de tenter de "se défaire" de ses obligations européennes

"Les Italiens ont (…) aussi fait le choix d’un gouvernement résolument eurosceptique et xénophobe qui, sur les questions migratoires et budgétaires, tente de se défaire des obligations européennes", a affirmé le commissaire européen Pierre Moscovici lors d’un forum à l’OCDE.

Pierre Moscovici, qui avait déjà qualifié l’Italie de "problème" de la zone euro, avait estimé la semaine dernière que le projet de budget élaboré par le gouvernement italien paraissait "hors des clous de nos règles qui sont communes".

Ce budget prévoit un déficit de 2,4% du PIB pour les trois prochaines années, et non 1,6% en 2019 comme envisagé auparavant.

Cette nouvelle déclaration de Moscovici s’ajoute à une longue liste d’échanges musclés entre Rome et Bruxelles au cours de ces derniers jours.

SudOuest.fr

Moscovici s’inquiète de l’existence de «petits Mussolini» en Italie, Salvini l’invite à «se laver la bouche»

14Se sentant visés par le commissaire européen qui, inquiet de la progression du populisme en Europe, a évoqué la possible existence de nos jours de «petits Mussolini», les ministres italiens Matteo Salvini et Luigi Di Maio ont répliqué avec vigueur.

Le Point Godwin était proche. Lors d'une conférence de presse le 13 septembre, Pierre Moscovici a estimé qu'«aujourd'hui, il exist[ait] un climat qui ressembl[ait] beaucoup aux années 1930» :

«Quand je dis que j'ai peur», explicite le vice-président de la Commission, c'est en réaction au discours de Jean-Claude Juncker qui a fait un parallèle entre la période actuelle et l'insouciance de 1913, à la veille du premier conflit mondial. Pierre Moscovici, «fils d'un juif de Roumanie, venu trouver l'asile en France» dont la «mère a été cachée par des justes en Lozère» comme il l'a rappelé, pense davantage aux années 30.

Evoquant la montée de partis populistes et critiques vis-à-vis de l'Union européenne, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires a tenu un discours anxiogène : «Bien sûr, il ne faut pas exagérer, il n'y a heureusement pas de bruits de bottes, il n'y a pas d'Hitler, [mais] des petits Mussolini, ça reste à vérifier.»

Dans son monologue, l'ancien ministre français de l'Economie et des Finances a également semblé s'en prendre à Matteo Salvini, à travers les propos suivants : «[L'Italie est] le pays qui a le ministre le plus nationaliste alors que son pays a plus que tout autre besoin de la solidarité européenne.» L'ancien cadre du Parti socialiste français a en outre qualifié la situation économique de l'Italie de «problème» au sein de la zone euro et a demandé au gouvernement italien un «budget crédible» pour l'année.

Salvini et Di Maio montent au créneau

Qu'il se lave la bouche avant d'insulter l'Italie, les Italiens et leur gouvernement légitime

Il n'en fallait pas moins pour faire réagir le vice-président du Conseil des ministres italien, ministre de l'Intérieur et leader de La Ligue, parti populiste de droite anti-immigration. Matteo Salvini a ainsi rétorqué à Pierre Moscovici dans un communiqué, cité par l'agence Reuters : «Le commissaire européen [Pierre] Moscovici, au lieu de censurer sa France qui rejette les immigrés à Vintimille, qui a bombardé la Libye et qui enfreint les critères européens, attaque l'Italie et parle sans réfléchir de nombreux petits Mussolini en Europe. Qu'il se lave la bouche avant d'insulter l'Italie, les Italiens et leur gouvernement légitime.»

L'autre vice-président du Conseil des ministres, Luigi Di Maio, chef de file du du Mouvement 5 étoiles (M5S) et ministre du Développement économique, du Travail et des Politiques sociales, a lui aussi exprimé son indignation face aux propos de Pierre Moscovici. «L'attitude de la part de certains commissaires européens est inacceptable, vraiment insupportable. Du haut de leur Commission européenne, ils ne devraient pas être autorisés à dire qu'en Italie il y a de nombreux petits Mussolini», a-t-il martelé. «Cela montre que ce sont des gens totalement déconnectés de la réalité», a poursuivi Luigi Di Maio, lors d'un point presse.

Le ministre a également averti la Commission européenne que celle-ci n'aurait probablement plus que quelques mois d'existence. En effet, Luigi Di Maio fait le pari que les citoyens renverront chez eux, lors des prochaines élections européennes du 26 mai 2019, «une bonne partie des eurocrates». Les européennes sont bel et bien lancées.

RT

Le Figaro

Moscovici: « La Suisse se trouve sur la liste grise en raison des votations populaires. »

Pierre Moscovici est un socialiste et le fils de Serge Moscovici. Ce dernier a été militant du parti communiste roumain et l'un des fondateurs du parti des Verts en France. Ce qui explique aisément la collusion entre les extrémistes de gauche et les pseudos écologistes, ce parti n'étant qu'un paravent pour les crédules.

La position de l'UE n'est ni plus ni moins qu'un chantage, comme nous l'avions dénoncé ici.

On apprend dans cette interview que Leuthard désire conclure l'accord-cadre pour... 2018 sans jamais avoir consulté le peuple suisse! On comprend mieux pourquoi cette femme veut à tout prix quitter le Conseil fédéral au plus vite après nous avoir trahis à de nombreuses reprises.

A relever que pour une fois, Rochebin démontre une attitude pertinente et de véritable journaliste.

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Source
Nos remerciements à Jean-Pascal Cattin

Racines judéo-chrétiennes : l’étrange Pape François

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Quand il entend parler des racines chrétiennes de l’Europe, le Pape François redoute, je cite le Pape, une vision triomphaliste ou vengeresse, colonialiste. Quant à l’islam, je cite encore le Pape, il pense sur le fond que la coexistence entre chrétiens et musulmans est possible. Si une femme musulmane veut porter le voile, elle doit pouvoir le faire, estime encore le Pape. Voilà pour ce que pense le Pape François.
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Comme j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire, soit les propos du Pape ne sont pas clairs ou mal traduits, soit les médias ne comprennent rien ou font exprès, soit le Pape parle beaucoup trop et faire mieux de parler moins, ou même, pour un temps, de se taire. La multiplication de ces cas ou le Pape parle, qui causent à chaque fois désordre et inquiétude chez les fidèles, devrait pousser le Vatican à améliorer - et surtout à coordonner - sa communication.
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Le Pape dit qu'il faut parler avec tout le monde pour apprendre à se connaître. Le Pape dit aussi, sans plus de précisions, qu'il fait l'objet de calomnies. A quoi tout cela mène-t-il ? A beaucoup de confusion et rien d'autre. Le Pape n'a toujours pas de directeur de la communication et c'est ce bon vieux Père Lombardi qui est obligé de recoller les morceaux.
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Côté "migrants" (car tout est lié, n'est-ce pas ?...), L'ONU demande, ce mercredi 18 mai 2016, un demi-milliard de dollars pour loger 2 millions de réfugiés. 500 millions de dollars pour loger 2 millions de "réfugiés", alors que nous sommes endettés jusqu'au coup. L'Eglise va-t-elle contribuer financièrement à cette étrange collecte, va-t-elle loger des "réfugiés" dans les appartements du Vatican, dans les évêchés, dans les cures des paroisses ?
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De son côté, le chroniqueur catholique de droite Bernard Antony répond aux errements négationnistes de Pierre Moscovici (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je lis avec intérêt les bons textes sur ce sujet qui fait débat actuellement mais aussi avec consternation les élucubrations émises par des négationnistes de la réalité de notre identité de civilisation (Note de Michel Garroté - selon Pierre Moscovici, l'Europe ne serait pas judéo-chrétienne, elle n'aurait pas d'héritage judéo-chrétien...).
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Bernard Antony : Le fait chrétien européen, plus que millénaire, malgré toutes les destructions des guerres de religion et des révolutions se manifeste partout du Cap nord à Gibraltar, de l’Atlantique à la Mer Noire dans les pierres de la multitude des églises, humbles chapelles, cathédrales splendides et monastères depuis « l’Europe de Saint Benoît ». Les racines chrétiennes de l’Europe comportent naturellement l’héritage greco-latin en grande partie préservé et transmis par les monastères d’Orient et d’Occident.
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Bernard Antony : Elles incluent évidemment la continuité judéo-chrétienne, le christianisme étant la religion du Messie prophétisé dans l’Ancien Testament, et venu apporter son Évangile à toute l’humanité. Avec les Juifs, fidèles à la Torah, les chrétiens partagent fondamentalement la morale universelle du Décalogue livré par Dieu à Moïse.
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Bernard Antony : La reconnaissance de la réalité objective des racines chrétiennes de l’Europe n’exclut donc pas du tout celle du fait religieux et donc culturel juif. Le ministre Pierre Moscovici, qui a été plus marqué par son idéologie de jeunesse communiste révolutionnaire que par son identité juive, s’emberlificote là-dedans.
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Bernard Antony : Cela dit, je crois que ce serait une erreur de n’agir principalement que pour la reconnaissance de ces racines. Somme toute, cela risquerait de se limiter à un combat d’objectivation de l’histoire plutôt que d’agir pour la bien plus nécessaire défense et actualisation des valeurs chrétiennes du Décalogue et de l’esprit évangélique dont il faut sans cesse témoigner.
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Bernard Antony : SCela passe notamment aujourd’hui par la solidarité avec les chrétiens persécutés d’Afrique et d’Asie par le communisme, l’indouisme et surtout avec différents degrés dans l’hostilité, la persécution ou la barbarie par la théocratie totalitaire islamique dans l’application de la charia, avec trop souvent les entreprises de conquête et de terreur jihâdiste.
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Bernard Antony : L’Europe s’est en effet construite sur ses valeurs de civilisation mais aussi dans sa résistance séculaire aux déferlements des conquêtes islamiques, arabes ou ottomanes, arrêtées au fil des siècles, à Poitiers, à Las Navas de Tolosa, à Lépante, à Vienne, conclut Bernard Antony Véron (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 18 mai 2016
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http://www.bernard-antony.com/2016/05/racines-chretiennes-de-leurope.html
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Racines chrétiennes de l’Europe : réponse à Pierre Moscovici

FIGAROVOX/TRIBUNE - Pierre Moscovici, commissaire européen en charge de l'économie, a déclaré le 8 mai qu'il ne «croyait pas aux origines chrétiennes de l'Europe». Pour Maxime Tandonnet, la négation de l'histoire, de la connaissance des faits et du passé est devenue l'un des piliers de l'Europe moderne.

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Moscovici, socialiste et commissaire Européen: « l’Europe n’est pas chrétienne, je ne crois pas aux racines chrétiennes de l’Europe »

moscovici

 

Tafta

 

Source via Fdesouche.com

A noter son pedigree:

Son père est le psychologue social Serge Moscovici (1925-2014) qui, adolescent pendant la Seconde Guerre mondiale, milita au Parti communiste roumain avant de fuir son pays en 1947 pour se réfugier en France. Il participa également à la fondation du mouvement des Verts. Sa mère, d’origine polonaise, est la psychanalyste Marie Bromberg. Proche du Parti communiste français elle signa le manifeste des 1211.

Source

«Les dépenses en faveur des réfugiés relancent l’économie» : l’effroyable cynisme de Moscovici

Pierre Moscovici (photo) a estimé que les dépenses publiques en faveur des réfugiés avaient «un effet de relance sur l'économie européenne». Suffit-il de venir de l'extérieur de l'UE pour bénéficier de mesures interdites aux autochtones ? s'interroge Alexis Théas.

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