Marc Bonnant: « La santé, pour quoi faire? »

Marc Bonnant: "Il est troublant de voir les Français préférer la sécurité à la liberté"

Le 27 avril 2020

L'éminent avocat suisse Marc Bonnant, confiné chez lui pour cause de pandémie, confie à Elisabeth Lévy sa préférence pour une vie intense, risquée et aristocratique plutôt qu'une existence sécurisée, indifférenciée et interminable.

Elisabeth Lévy. J’ai été très choquée d’entendre le Premier ministre décréter que préserver la santé des Français était le premier objet de la politique publique, et assurer la continuité de la vie de la Nation le deuxième.

Marc Bonnant. Oui, cette hiérarchie ne me conviendrait pas. Je serais plutôt d’avis qu’il faut viser la continuité de la vie de la Nation, avec sa part de limites, et peut-être avoir un autre rapport philosophique à la mort : savoir l’accueillir, savoir même qu’elle fait l’intensité de nos vies, et que des vies éternelles seraient infiniment ennuyeuses. Au fond, renouer avec l’idéal antique d’une vie qui est intense parce qu’elle est brève est une manière d’apprivoiser l’idée de la mort et de l’accueillir avec une sérénité stoïcienne. Ce serait plutôt ainsi que je pense et ressens l’ordonnancement des choses.

Au fond, cet esprit rebelle qui a fait votre grandeur – et je ne pense pas particulièrement à la Révolution, cet esprit insolite et transgressif est en train de perdre de son éclat

Elisabeth Lévy. On parle de la grippe espagnole qui n’était pourtant absolument pas devenue un enjeu public ou plus près de nous de l’épidémie de grippe qui a tué des milliers de morts en 1968. Dans les deux cas, ce sont des épidémies qui ont fait beaucoup de tragédies individuelles, mais qui ne sont pas devenues des affaires publiques. Est-ce que cela vous paraissait plus humain ?

Marc Bonnant. Non, je pense que tout cela participe de notre rapport à la mort qui s’est beaucoup altéré. Bien sûr, nous la savons inévitable mais nous la voulons plus lointaine et à certains égards nous la nions. Je crois que beaucoup ont l’espérance d’une vie éternelle. Simplement, ces pactes que nous pouvons faire avec le diable ne sont pas la vie éternelle mais la jeunesse éternelle. Négliger pareillement ce qui fait l’intensité de la vie plutôt que ce qui fait la durée de la vie me paraît être une faiblesse de raisonnement.

(…)

A lire aussi: Eugénie Bastié: “Entre l’orgie et la pénitence, je ne sais pas ce qui triomphera après l’épidémie”

Elisabeth Lévy. Alors que le gouvernement a fixé une première date pour le déconfinement, on voit déjà des corporations râler – en général celles qui sont payées par l’État – refusant d’aller travailler si c’est pour prendre un risque. J’en reviens donc à ce dont vous parliez, à savoir cette vie sans risque…

Marc Bonnant. C’est très frappant. Et l’autre chose qui m’interpelle c’est cette nouvelle hiérarchie, à mon sens, qui consiste pour les Français à placer la sécurité au-dessus de la liberté. C’est étonnant pour le peuple que vous êtes, compte tenu de son histoire. Mais aujourd’hui, pour être sécurisé et protégé, c’est naturellement vers l’État que l’on s’adresse.
Au fond, cet esprit rebelle qui a fait votre grandeur – et je ne pense pas particulièrement à la Révolution, cet esprit insolite et transgressif est en train de perdre de son éclat. Encore une fois, cette hiérarchie selon laquelle la durée de la vie importerait plus que son intensité et son contenu étonne, car au fond c’est la jeunesse et l’intensité qui sont importantes, pas la durée. La durée ce n’est rien.

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article complet et vidéo réservés aux abonnés: https://www.causeur.fr/marc-bonnant-coronavirus-reacnroll-176919

Emeutes à Madrid suite à la mort d’un clandestin

Un lecteur nous demande de publier. Merci à lui.  

"Des squatters et gauchistes ultras ont brûlé des voitures et blessé 16 policiers pour protester contre les violences policières et la mort d'un clandestin voleur à la sauvette. Quartier: Lavapies, populaire et tout à fait central à Madrid.
La vérité?
Le clandestin s'est senti mal sur le seuil de son immeuble et le SAMU est intervenu pour le sauver peu après que des policiers sur place par hasard lui aient prodigué les premiers soins. Il est mort d'une crise cardiaque malgré l'intervention rapide et dévouée des services municipaux.
Le responsable madrilène de Podemos a twitté à propos de ce fait divers que "La démocratie a failli". Les services municipaux madrilènes concernés vont déposer plainte contre lui."

Source et vidéo en espagnol

L’agriculture française se meurt, l’Union Européenne l’achève

Par Marie de Rossi, ingénieure dans le secteur agroalimentaire en France, 

Après avoir poussé à la faillite les éleveurs de porcs et producteurs de lait français il y a quelques années, Bruxelles pourrait porter un coup fatal à l’agriculture tricolore si elle continue de céder à tous les lobbies écologistes.

« J’espère que les États généraux de l’alimentation ne seront pas une grande foutaise comme la COP21. » Invité sur France Inter le 14 août dernier, le célèbre critique gastronomique et rédacteur en chef de « Marianne » Périco Légasse a eu du mal à cacher son inquiétude au sujet de la table ronde organisée par Emmanuel Macron jusqu’en novembre. Le but de cette mobilisation orchestrée par le gouvernement ? Sortir les nombreuses petites exploitations agricoles françaises de l’impasse — voire du gouffre. Et il y a urgence : si rien n’est fait, en 2018, près de 20 000 d’entre elles pourraient disparaître.
C’est que, ces dernières années, les difficultés se sont accumulées pour les agriculteurs tricolores. La France a connu successivement une crise dans le secteur porcin et une autre dans le secteur laitier. Deux événements majeurs qui ont démontré les faiblesses — et la dangerosité — d’un système à bout de souffle mais n’ont pas apporté de réformes notables.

Des crises alimentées par les décisions européennes

En février 2014, le secteur porcin français est en péril : dérégulation du marché commun, hausse du coût de l’alimentation des cochons et embargo russe sur la viande porcine européenne mettent à genoux les éleveurs français. Les exportations s’effondrent et les dettes s’accumulent pour les exploitants agricoles.
Paris avait pourtant tenté de batailler avec la grande distribution et Bruxelles, en fixant, au début de la crise, un prix d’achat de la viande de porc à 1,40 euro le kilo. Une décision censée permettre aux éleveurs de profiter d’un montant correct et de se maintenir la tête hors de l’eau. Mais les prix sur le marché ont continué de fondre, et bon nombre d’industriels refusent alors d’acheter les produits français en préférant s’approvisionner autre part, comme en Allemagne.

Pourtant, dans la tempête, certaines enseignes de grande distribution comme Leclerc et Intermarché assuraient qu’elles continueraient tout de même de se fournir au prix initial de 1,40 euro le kilo, alors que celui-ci est descendu à 1,07 euro. Un choix souverain, patriotique et solidaire que goûte modérément la Commission européenne, qui lance une enquête pour entrave à la concurrence étrangère et menace les grandes surfaces de leur infliger une amende à hauteur de 5 % de leur chiffre d’affaires. Une décision qui enfonce encore davantage les éleveurs français.

Quelques semaines plus tard éclate en France la crise du lait, provoquée là encore par une dérèglementation excessive du marché européen. Chute des prix, un taux de cessation d’activité dans les exploitations françaises qui avoisine les 10 %, des milliers de producteurs au bord de la faillite… les répercussions ne se sont pas fait attendre.
Pour Périco Légasse, tout le schéma économique de l’agroalimentaire en Europe est à revoir ; le libéralisme financier défendu par Bruxelles a inévitablement conduit les grandes entreprises à exercer de fortes activités de lobbying sur les parlementaires. Conséquences : baisse des prix, moins de réglementations, allègements des conditions de traçabilité des produits européens… Les agriculteurs français sont confrontés à une véritable concurrence déloyale qui mine leur chiffre d’affaires.

La fin du glyphosate coûterait 976 millions d’euros

Le secteur agricole pourrait ne pas être au bout de ses peines. En cause : la mesure d’interdiction du glyphosate au sein de l’UE que pourrait prendre Bruxelles d’ici quelques mois, alors qu’une pétition, lancée sous forme d’initiative citoyenne européenne (ICE), pour forcer la Commission à se pencher sur la question a recueilli le million de signatures requis en juin dernier. L’exécutif européen s’était pourtant déjà prononcé indirectement sur l’avenir du désherbant, en renouvelant sa licence en 2016, et ceci juste avant que l’Agence européenne pour la sécurité des aliments (EFSA) précise que le glyphosate n’est pas cancérogène, comme le prétendent ses détracteurs. Une conclusion de l’EFSA partagée par quasiment l’ensemble des instituts scientifiques indépendants dans le monde.

De l’avis d’un grand nombre de spécialistes, un revirement de la part de Bruxelles serait catastrophique pour les agriculteurs européens en général, et français en particulier. D’après une étude conduite en 2012 par Envilys, société d’expertise et de conseil en agronomie et environnement, « le glyphosate est utilisé en France sur 38 % des surfaces cultivées en blé et colza, 26 % de celles cultivées en orge et 25 % de celles cultivées en tournesol. » Un « poids considérable » qui s’explique notamment « par son efficacité agronomique qui permet de lutter contre le développement des résistances et la saturation des sols », si bien qu’« il n’existe pas d’alternative technique réelle au glyphosate pour éliminer durablement les plantes vivaces ». Des substituts à ce désherbant se trouvent, mais pour un bilan écologique et économique plus lourd à supporter.

Le think thank « Fondation Concorde » a évalué l’impact que pourrait représenter l’interdiction du glyphosate et son constat est sans appel : « Le total général du coût associé à la fin du glyphosate pour les seules activités agricoles est de 976 millions d’euros », sans compter les conséquences sur l’environnement. En effet, les techniques de substitution au glyphosate pourraient être bien plus risquées que son emploi. Parmi celles-ci : le recours à des molécules plus dangereuses utilisées de manières plus intensives — car moins efficaces — et la résurgence du « labour profond », « de moins en moins pratiqué, car […] considéré comme trop préjudiciable à la fertilité des sols ». Une décision qui entrainerait par ailleurs le retour en trombe des tracteurs et, donc, des émissions de CO2 désastreuses pour la planète.

En somme, l’interdiction du glyphosate ne ferait que renchérir inutilement les coûts de production supportés par les agriculteurs, déjà soumis à un marché européen dérégulé et crisogène.

Marie de Rossi

 

« A mort le flic » : Vont-ils oser mettre en prison le policier Sébastien Jallamion ?

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Par Cyrano

Il y a encore trois ans, Sébastien Jallamion était un policier sans histoire, en exercice depuis vingt ans, respecté par tous ses collègues. Sa vie a basculé lorsque les égorgeurs de l’Etat Islamique ont décapité le guide français Hervé Gourdel, et que Sébastien a décidé de réagir à cette exécution sur une page Facebook privée, en pointant la responsabilité du calife Baghdadi dans cette exécution barbare. C’est alors que le cauchemar a commencé.

Dénoncé par une collègue musulmane, harcelé par sa hiérarchie, suspendu 2 ans de la police, puis radié définitivement, traîné devant les tribunaux comme un malfrat, condamné bien plus lourdement que les voyous multi-récidivistes, mystérieusement agressé et défiguré dans les rues de Lyon, voilà un homme qui, depuis trois années, subit une véritable descente aux enfers, et un harcèlement permanent des autorités policières, judiciaires et fiscales, qui paraissent ne poursuivre qu’un seul but : tuer, par tous les moyens, le policier Sébastien Jallamion.

Le livre « A mort le Flic », que Sébastien a rédigé et que Riposte Laïque a décidé d’éditer dans l’urgence, se lit comme un roman policier. En 19 actes, écrits sobrement, comme un véritable rapport de police, l’auteur nous explique les différentes étapes qui conduisent à l’ahurissant dernier chapitre.

Sébastien a été condamné par la Cour d’Appel de Lyon à 5.000 euros d’amende, que les juges appellent 200 jours amende à 25 euros. L’explication est simple : s’il est incapable, le 4 juillet (voir mise en demeure) d’acquitter les 5.000 euros, il ira 200 jours en prison, rien de moins ! Et quand on sait par qui sont fréquentées les prisons françaises, et le sort qu’on réserve aux policiers « infidèles », c’est à une véritable condamnation à mort physique à laquelle se livre l’Etat français, après avoir tué socialement un de ses policiers.

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Encore plus grave, à quelques jours de l’échéance, notre ami voit tous ses comptes bancaires bloqués, comme si l’administration faisait tout pour empêcher qu’au dernier moment, il puisse, bien qu’il n’ait pas le moindre centime d’avance, trouver une solution pour acquitter l’amende exorbitante exigée.

Et comble du ridicule, il se trouve un juge d’instruction, à Dijon, qui veut entendre Sébastien Jallamion, et le mettre en examen, suite à la plainte d’un aumônier musulman accusé de proxénétisme. Autrement dit, ils veulent le mettre en prison le 4 juillet, et l’auditionner 3 jours plus tard, à des centaines de kilomètres de là !

http://ripostelaique.com/laumonier-suspecte-de-proxenitisme-khaldouni-ose-deposer-plainte-contre-moi.html

Pour lui venir en aide, à notre façon, Riposte Laïque a donc décidé d’éditer au plus vite ce livre, qui sera disponible en fin de semaine. Il est interdit par la loi de faire des appels aux dons pour régler une amende ou des dommages et intérêts. Bien évidemment, nous allons vous tenir au courant de l’évolution de la situation, dans les heures qui viennent, sachant que les vrais Français ne peuvent laisser ce gouvernement envoyer à la mort un des nôtres sans réagir.

Maître Frédéric Pichon, avocat bien connu des patriotes, a rédigé une belle préface qui commence ainsi : « Pour un avocat, le sort d’un homme confronté au rouleau compresseur inhumain de la justice, au déclassement social et l’opprobre médiatique est une raison suffisante pour se battre. Mais Sébastien Jallamion n’est pas qu’une « bête blessée ». C’est un patriote courageux qui a payé au prix fort le fait de dire tout haut ce que ses collègues de travail de la police nationale constatent tous les jours« .

On ne peut évoquer le sort de Sébastien sans penser à celui de Ghislaine Dumesnil, aujourd’hui présidente des Editions Riposte Laïque, qui, pour avoir protesté contre l’islamisation de la RATP, est devenue la bête noire de cette entreprise, qu’elle a dû quitter pour sa propre sécurité. On ne peut que penser au harcèlement judiciaire que subissent Pierre Cassen et Christine Tasin, que les islamo-collabos veulent abattre par tous les moyens. Tous ceux qui refusent de laisser les soldats d’Allah nous imposer la charia sont victimes de persécutions dignes des pires pays totalitaires. Mais cette fois, cela va plus loin encore, comme si les autorités voulaient que le titre du livre « A mort le flic » devienne une réalité pour Sébastien Jallamion.

En achetant ce livre, vous pourrez contribuer à aider Riposte Laïque à poursuivre son combat, et Sébastien Jallamion à payer, grâce à ses droits d’auteur, l’avocat qu’il va devoir prendre, pour sauver sa peau, tout simplement…

Nous vous tiendrons bien sûr au courant de la suite de cette scandaleuse affaire.

Chers compagnons, solidarité militante et patriotique !

NDRL : nous avions publié l'article sur son agression dans nos colonnes.

Vous pouvez aussi relire les différents articles parus sur cette affaire ICI

 

Pour commander le livre :

http://ripostelaique.com/livres/a-mort-le-flic

Chèque : Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors.

Ou sur Amazon

Publié en premier sur RL

 

Cette Europe liberticide

Une volonté d’interdire la libre expression en France et à Bruxelles 

 

Bruxelles exprime sa frayeur de la possible sortie de l’Angleterre de la liberticide Europe, et de la plus vilaine manière puisque cela passe par les insultes et les menaces d’un Jean Claude Juncker qui annonce la couleur en cas de retrait ! Seul l’article 50 est la porte de sortie d’un pays de l’Union. Mais tout de suite après il énumère deux ans de négociations diverses et variées pour, dit-il, défaire les liens politiques et financiers un à un. Menace encore en affirmant que ce serait le départ de milliers (?) de fonctionnaires  britanniques. (Si chaque pays en a des milliers, imaginez un peu la facture pour les contribuables)

Il va plus loin en annonçant LA « catastrophe » de deux millions de britanniques sans statut (?) (On se demande pourquoi il n’aurait pas le même statut que les américains, les chinois, les japonais, etc.). La City, une des capitales de la finance dans son scénario, se retrouverait coupée d’une grande partie de sa clientèle (?).(L’argent n’ayant jamais eu d’odeur et encore moins de Patrie ou de sentiment nationaux, il y a tout lieu de penser que la City restera et saura utiliser cette situation.)

Ces différentes déclarations cherchent à faire peur.

Elles disent que l’UE fera payer cher son départ de Bruxelles. En clair, nous sommes des amoureux de la démocratie, nous respectons le résultat issu du peuple, la volonté des urnes, mais si, et seulement lorsque tout cela va dans le sens de l’Europe et de Bruxelles, celui des banques et de la finance. Sans compter l’intérêt des multinationales. Démocrate oui, mais faudrait tout de même pas exagérer, depuis quand la populace, les gens d’en bas, les sans dent, les caves, les pue la sueur, la valetaille devraient nous mettre en difficulté ? Nous retirer les « petits fours » de la bouche ? Ah mais, sortez les, ces crasseux !  Allez-vous laver les mains paysans et salariés, allez bouffer vos Mac-Do avec vos sales gosses, manants de l’usine, crados des comptoirs, stop à l’ivraie, allez vomir vos haines patriotiques, allez vous terrer dans vos clapiers, et cessez d’ennuyer les bons grains, ceux qui mangent et en profitent en se rinçant l’œil, en claquant un string de ci de là, en palpant une fesse écologique, et qui en plus, vous jettent, soyez au moins reconnaissant, quelques pièces, quelques miettes. Non mais… Il ne manquerait plus que les caves se rebiffent !

Le pitoyable Junker a même dit que les Britanniques seraient des « déserteurs ». Faut-il penser que les Britanniques pourront traverser la Manche et être accueillis dans les différents foyers des pays de l’Union au même titre que les Syriens qui ont choisi de fuir plutôt que de combattre l’ennemi aux côtés des forces nationales syriennes?  Verrons-nous des Britanniques venir à Paris occuper les écoles, les centres d’hébergement de la maire Hidalgo ? Voire, remplacer les  » profiteurs » de Calais ?  Verra-t-on des Anglais dans des barques, tenter la traverser de la Manche ? Ce serait l’occasion de les donner aux déserteurs et clandestins pour qu’ils fassent le chemin inverse ! On serait gagnant au fond. Nous reverrions les Anglais à Calais, et pas besoin de les virer comme Jeanne savait le faire, puisqu’ils viendraient en réfugiés avec des Église Gallicane à la clef.

Pour ma part, si j’étais un Britannique, je voterai pour sortir de l’Union Européenne. Pourquoi? Basique mon cher Watson:

Quand j’entends Christine Lagarde patronne de l’humaniste FMI, « préteur sur gages » des peuples affamés, dire et affirmer qu’elle a « beaucoup travaillé » et qu’elle n’a rien vu de positif dans la sortie des Anglais, je peux déjà me dire qu’il y a un indice fort qu’il faut se tirer rapidement. Si elle n’a rien vue de positif c’est que c’est bon pour l’Angleterre.

Quand j’entends François Hollande (qui fût prié par Merkel de la mettre en veilleuse) « Nous sommes unis comme nous ne l’avons jamais été » et qu’il « espère que les Britannique s’en souviendront », je me dis que décidément cela sent le roussi pour l’Angleterre.

Quand j’entends le pitoyable, et triste islamophile Barak Hussein Obama, celui qui rend hommage au Roi d’Arabie Saoudite, dire sans honte « être amis, c’est être honnête ». (Souvenons-nous de l’honnêteté des amis américains entraînant les anglais dans une guerre en Irak sous la foi de mensonges) et qui poursuit « Honnêtement, le résultat de cette décision importe beaucoup aux États-Unis. Le Royaume Unis est à la meilleure tête d’une Europe forte » (tête de pont américain?) .

Juncker, Lagarde, Hollande, Obama, cela fait beaucoup d’indices qui signalent que le départ éventuel de l’Angleterre fiche une panique intégrale à Bruxelles. Rien que pour cela, en tant que Britannique, je voterai pour le départ.

Mais voilà, je suis Français et je vis des référendums par pays interposé puisque nous n’aurons pas, et plus sans doute, ce type de référendum en France. Le seul que nous avions eu, celui qui avait donné une réponse claire des Français à 56%, c’est le bonimenteur en chef Nicolas Sarkozy, celui qui ment plus vite que sa langue, qui nous l’a bien mis gentiment, en utilisant de l’huile d’olive Portugaise, pour nous glisser ensuite le traité de Lisbonne. Celui-ci est passé tout seul au Congrès d’ailleurs. Merci encore Monsieur Sarkozy, vous qui osez prétendre être le meilleur des candidats ! Moi je ne suis pas prêt d’oublier votre trahison et celle de vos supplétifs du congrès.

Alors les sondages Britanniques nous disent que les pour et les contre sont au coude à coude. Cela ressemble au fumé avarié Autrichien. Je sens que les derniers instants vont nous surprendre. Il va y avoir là aussi, des votes par correspondance, salutaires. Des trouvailles tout à fait démocratiquement européennes qui vont faire mal aux « urnes » de beaucoup de patriotes.

De plus en plus d’Européens, de Français vont finir par se poser des questions? Certains me disent non. Le pouls des Français bat au ralenti. L’asphyxie menace les électeurs, les esprits sont dans la brume, les citoyens subissent chaque jour, le discours médiatiquement correct.

  • L’immigration est une richesse.(Nous, on n’a rien vu arriver, mais il paraît que l’Europe a vu son nombre de millionnaires s’élever. Le loto sans doute…)
  • L’Europe c’est la paix. (Même si on a bombardé la Serbie et monté des coups en Ukraine à travers l’OTAN)
  • L’Europe c’est l’avenir. (Vu l’état de l’Europe économique dans le monde, la misère des citoyens en France, c’est une pitié que de l’affirmer.)
  • L’Europe c’est la liberté. (Moins de liberté d’expression, plus de surveillance du net, refus des dissidents sur les radios-télévisions, poursuite des sites « résistants », confiscation de pages sur les réseaux sociaux, retrait des vidéo sur YouTube et Dailymotion, agression commise impunément par les antifas et autres amis du pouvoir, agression juridique par des hyènes de la pensée correcte, etc. (hors site et réseaux terroristes bien sûr)
  • L’Europe c’est la fin des guerres civiles européennes. (Voir l’Ukraine et la Russie)
  • L’Europe c’est la démocratie. (Voir les dernières élections et les pressions faites par les tenants de Bruxelles)
  • L’Europe c’est la bonté accueillant humainement les déshérités (surtout et en particulier ceux d’ailleurs aimablement remis à la générosité des contribuables. Sans compter la rapide islamisation des pays qui auront à subir l’islam venu des pays les plus rétrogrades, etc.)

Ce message vous le retrouvez en boucle sur toutes les chaînes de radios et de télévisions. Vous le retrouvez dans les commentaires des sociologues et autres philosophes, dans toutes les émissions politiques et autres débats dits sérieux. Vous l’avez dans les téléfilms, les films, les traductions des films et téléfilms made in USA, les émissions pour les « ménagères de 50 ans » l’après-midi. Aux différents 20h. Nous sommes sous perfusions 24h sur 24h ! Débranchez et allez sur les réseaux alternatifs.

Si j’étais Britannique, Anglais, Irlandais, Écossais, Gallois, je passerai mon temps dans toutes les Églises du Royaume, de toutes les variantes existantes du christianisme, je demanderai l’aide de Jéhovah, de Bouddha, de Vishnou, d’Ahura Mazda, pour demander que la lumière soit et éclaire les peuples du Royaume Unis dans l’espoir qu’elle sera là le 28 juin.

Pour nous aussi [...] il y aura des conséquences. Ce sera sans doute l’effondrement de cette Europe liberticide et l’émergence d’une autre Europe, celle des Nations, respectueuse des peuples. Viendra ensuite le temps du jugement des traîtres aux peuples européens.

Gérard Brazon

Le Nouvel Ordre mondial espère la mort de la civilisation blanche européenne

Par Robert Bridge

♦«Si vous ne pensez pas que tout ceci fait partie d’un énorme plan, vous êtes très, très naïf.»

Des Etats-Unis à l’Europe, l’élite occidentale permet à un afflux massif d’étrangers d’entrer dans leurs pays, transformant radicalement le visage des sociétés occidentales dans la perspective de diviser, de conquérir et d’étendre son pouvoir militaire et financier sur une planète inconsciente.

Suite sur Polémia

Un deal Merkel-Erdogan: arrêt de mort pour l’Europe?

Nos lecteurs nous informent (merci à Cenator)

Les chefs européens se rendront, ce dimanche, en Turquie pour discuter affaires: des milliards d'euros en échange du règlement de la crise migratoire. Une UE impuissante convoite un règlement rapide et voit en Recep Erdogan un sauveteur. Pourtant, c'est une grande illusion, selon Deutsche Wirtschafts Nachrichten.

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Pourquoi les eurocrates ne seraient-ils pas responsables de la mort des migrants ?

Les migrants ne sont pas les fautifs de ce déferlement massif, ils sont les victimes d’un plan ONU – UE. Nous souhaitons vous brosser, ce qui nous apparaît comme la réalité qui vous est habilement dissimulée.

Il est tellement facile de culpabiliser les citoyens européens en jetant des appels pathétiques dans les médias pour accueillir à bras ouvert des centaines de milliers de sans-papiers. A l’heure des JT en Belgique et en France,  des harcèlements inexcusables sont présentés par des commentateurs larmoyants refoulant leurs sanglots. Du matraquage orienté qui dépasse largement l’information honnête et factuelle.

C’est de la pure propagande du prêt à penser. Ces chaînes mentent à l’opinion et veulent inculquer leurs idées de bobos dégoulinant de bienpensance.

Pourquoi ces médias ne montrent-ils jamais l’envers du décor ? Pourquoi ne pas montrer toutes les vérités y compris celles pas très reluisantes et adroitement cachées par nos élus.

C’est le bal des hypocrites européistes.

Les citoyens européens n’ont donc pas la liberté de penser et de décider pour eux-mêmes ? Nous constatons que nous sommes sous la coupe d’une dictature.
Que fait-on pour nos SDF ? Que fait-on pour les indépendants qui sont dans la misère avec des pensions minuscules ?

Les eurocrates sont-ils conscients que la majorité ne pense pas comme eux et que les peuples sont souverains ? Ces grands pontes de l’UE, grassement payés, vivent dans leur bulle dorée et sont totalement incapables de diriger l’Europe.

Tout est orchestré et programmé dans le dos du peuple. Nous sommes surpris que bien peu de gens ne s’en rendent compte !
Européens, Si vous ne faites pas arrêter cet envahissement en urgence, vous contemplerez avec effroi l’effondrement de l’Europe, de ses valeurs, de sa culture, de ses lois. Et vos enfants hériteront de guerres civiles sanglantes et inéluctables.

Dans peu de temps vous assisterez au délitement considérable de la sécurité, vos n’oserez plus sortir de chez vous. Ce qui est d’ailleurs déjà le cas dans de nombreuses zones de non-droit dans les états européens.
Demandez donc ce qu’en pensent les gens habitant Calais et aux environs, ou dans certaines îles grecques ou italiennes.

N’avez-vous pas vu la manipulation des images des télévisions complices ? En avant et gros plan quelques femmes éplorées et des enfants. Et les discours de nos élus manipulateurs contiennent toujours le mot « enfants dans la détresse» pour vous attendrir. En arrière-plan de très nombreux hommes, ils sont totalement majoritaires. 95 % des illégaux sont des hommes seuls.

Les médias intoxiquent avec d’énormes tromperies. Quelle place est réservée à l’éthique journalistique et à la défense de l’exactitude des informations ?
Posons-nous la question : comment se fait-il que depuis 6 mois, un flot ininterrompu d’irréguliers se précipitent en Europe via l’Espagne, à partir du Maroc, via l’Italie, principalement en provenance de Lybie, via la Grèce en provenance de Turquie, de Syrie ou d’Irak, sans oublier en Europe de l’Est par la voie des Balkans ?

La majorité des migrants ne fuient pas les zones de « guerres », mais sont tout simplement attirés par le buffet social européen. Il y a des gens de toute nationalité qui viennent de partout y compris de l’Afrique Sub-Saharienne.

Il semble évident qu’un signal a été déclenché directement ou indirectement par des émissaires de l’ONU et des taupes de l’UE. Nous n’avons pas connaissance des détails, mais probablement tous les réseaux occultes inaccessibles aux citoyens lambda ont été sollicités.
Personne n’aura jamais de preuves formelles sur l’ensemble de ces manipulations. Toutefois, nous avons connaissance de documents onusiens prônant le remplacement des populations européennes.

Les résultats sont là ! Visibles !

Tous ces migrants sont évidemment dans une grande misère, ils ont été rackettés par les passeurs et ils découvrent qu’ils n’arrivent pas dans l’eldorado promis. L’immense majorité vivotera désormais dans la misère. A qui la faute ?

L’UE et ses hauts dirigeants sont responsables de ce qui est arrivé et de ce qui continuera.

Nous nous attendions à des actions fortes pour canaliser et contrôler ce torrent migratoire.
Au contraire les appels à migrer sont déclinés dans toutes les langues et dans tous les communiqués officiels européens sans l’accord des peuples européens.

Il suffit d’entendre les discours des principaux complices de cette invasion : Jean-Claude Junker, Martin Schulz, Donald Tusk, respectivement Président de la Commission Européenne, Président du Parlement Européen, Président du Conseil Européen. Ce sont eux qui, de facto, acceptent ce trafic d’êtres humains organisés par les passeurs.
Il y en a d’autres aussi influents et complaisants : Merkel et Hollande. Merkel parce qu’elle fantasme sur la Grande Allemagne utilisant des travailleurs à bas coûts et Hollande, le clientéliste qui pense à sa réélection.

Ne trouvez –vous pas qu’il y a par le manque flagrant de réactions des autorités, contre les passeurs, un accord tacite ? Ce ne sont pas les quelques passeurs arrêtés – pour donner le change – qui pourront convaincre qui que ce soit.

Ne croyez-vous que la justice devrait retenir une complicité au moins « passive » ? Et donc, qui d’après vous porte la responsabilité de tous les morts en mer ou ailleurs ?

Ne nous avait-on pas dit que les bateaux des passeurs seraient bloqués dans les zones territoriales libyennes.

RIEN NE S’EST PASSE. Pourquoi ?

Monsieur Fabius s’étrangle parce que la Hongrie contrôle et refoule les sans-papiers. Ce Monsieur oublie-t-il que tous les états de l’UE ont l’obligation de contrôler les frontières de l’espace Schengen, c’est ce que répondent, à juste titre les autorités hongroises.

Un autre point nous paraît hautement suspect. Les informations qui filtrent nous apprennent que chaque illégal a dû payer entre 6.000 et 20.000 euros aux passeurs. D’où vient cet argent ?

Et si ces montants sont à eux… ceux-ci représentent une fortune pour un Africain, ou une personne issue des autres pays. Avec 6.000 euros en poche, un africain créerait son business dans son pays.
Il est clair qu’il y a des précisions qui ne seront jamais dites. Est-ce que Daesh ne trempe pas dans la combine en distribuant des fonds ?

Avez-vous été consulté par un référendum européen pour que vous puissiez donner votre avis sur cet envahissement ? Or pour ce problème crucial, les citoyens européens devraient être consultés.
Bien sûr que non, les eurocrates tremblent de peur lorsqu’ils entendent le mot « référendum ». Ils ont bien trop peur de perdre leur influence, mais surtout de perdre leurs salaires somptuaires et tous les autres avantages de dignitaires.

Et puis pourquoi demanderaient-ils l’avis des citoyens ? Ils se fichent d’eux comme de leur première chemise.
Les eurocrates sont des tyrans, évidemment.

Il n’est plus acceptable de subir leur diktat.
Ces gens doivent être destitués ! L’Europe telle qu’elle est n’a plus de sens.
Notre point de vue est simple : certes il faut accueillir les VRAIES personnes martyrisées de manière digne et leur attribuer le statut de réfugié avec tous les soutiens possibles.
Mais toute autre immigration, doit être choisie. Seraient migrants chez nous, des personnes qui en feraient la demande depuis leur pays. Les dossiers pourraient être étudiés sur place en utilisant les moyens des consulats et ambassades.
L’Australie applique une politique bienveillante pour toute personne qui est choisie et accueillie à condition qu’elle jure de respecter les lois australiennes.

Européens réveillez-vous. Il est grand temps de réaliser une révolution interne et de destituer ces eurocrates !

Brisez cette Europe-là, elle vous vous plonge dans un funeste avenir !

JACQUES D’EVILLE

Source

Merci à Pierre H.

L’Europe va-t-elle mourir de l’immigration?

Par Alexandre Latsa, journaliste français indépendant, résidant à Moscou.

Il y a une totale schizophrénie dans le comportement de la grande majorité de nos élites, qu’elles soient nationales et surtout supranationales.
Elles imposent à l’Europe et à ses populations d’absorber et de subir une immigration à haut risque, immigration créée en grande partie par leur propre politique extérieure, à savoir la folle politique européenne et occidentale en Irak, en Libye ou en Syrie.

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L’Europe bientôt reconnue en état de mort clinique

L’Europe, pour ceux qui ne s’en sont pas aperçus, est désormais en état de mort clinique. Entre la plausible faillite grecque et le triomphe de Cameron en Grande-Bretagne, sans compter les prochaines disputes sur l’immigration ou la guerre civile en Macédoine, le fantasme d’une Union politique prospère et pacifique a définitivement sombré.

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