Commando à Marseille: “On n’avait aucune chance”, assure un policier qui est intervenu

DOCUMENT BFMTV - L’un des agents des forces de l’ordre qui ont poursuivi les malfaiteurs de la cité de la Busserine raconte son expérience. Il évoque la peur et le caractère inhabituel de cette intervention.

Marseille : Le commando cagoulé et armé de fusils d’assaut aurait enlevé un homme à la Busserine (Vidéo de l’attaque)

Plusieurs malfaiteurs arrivés à bord d’au moins trois véhicules noirs, sont subitement entrés dans le quartier de la Busserine (XIVe) à Marseille ce lundi après-midi.

Les fait surréalistes se sont produits en plein jour, vers 17 heures. Les malfaiteurs ont débarqué à bord de plusieurs voitures noires, dont une Renault Mégane RS, et en sont descendus, tous vêtus de noir, armes à la main. Les auteurs étaient armés notamment d’un fusil kalachnikov et au moins une arme de poing.

Ces derniers qui ont tirer en l’air à de nombreuses reprises avec leurs fusils d’assaut et armes de poing, auraient enlevé un homme avant de prendre la fuite, selon une source proche de l’enquête citée par La Provence.

Un commando armé et très préparé

Sur cette vidéo amateur d’un témoin que nous nous sommes procurés, les malfaiteurs cherchent autour d’eux sans toutefois s’en prendre à quelqu’un.

Seul un habitant du quartier a été légèrement blessé, prenant un coup de crosse de la part d’un des malfaiteurs.

 

 

 

Le Procureur de la République Xavier Tarabeux a également indiqué qu’un équipage de police aurait été visé par des tirs, non loin du quartier des Arnavaux, sans qu’un policier ne soit blessé.

Les policiers bloqués par les véhicules des malfaiteurs

Un premier équipage de la BAC (brigade anti-criminalité) arrivé sur place quartier de la Busserine, s’est retrouvé bloqué par l’un des véhicules des malfaiteurs où se trouvaient deux hommes munis d’une kalachnikov et d’une arme de poing, qui ont tiré en l’air selon Le Parisien.

Un second équipage de policiers qui se rendaient sur le lieu des faits, s’est retrouvé bloqué par un autre véhicule des auteurs, où se trouvait cette fois quatre individus qui ont « mis en joue » les fonctionnaires.

L’un des policiers a ouvert le feu, brisant la vitre du véhicule des malfaiteurs qui a rapidement pris la fuite.

Actu17.

 

 

Marseille : la gare Saint-Charles évacuée après l’arrestation d’un Tchétchène portant un sac d’où dépassaient des fils électriques.

Selon "La Provence", un militaire de l’Opération Sentinelle a interpellé un individu d’origine tchétchène portant un sac dont dépassaient des fils électriques et des batteries.

La gare de Saint-Charles a été brièvement évacuée samedi en début d’après-midi suite à une alerte donnée par un soldat de l’Opération Sentinelle. Selon La Provence, qui révèle l’information, le militaire a repéré un homme muni d’un sac dont dépassaient des fils électriques et des batteries.

L’individu, qui refuserait de donner son identité, serait d’origine tchétchène, selon le quotidien régional. Il assure que son sac ne contient pas d’explosifs, mais la brigade de déminage a tout de même été appelée pour des vérifications.

Source

Immigration: A quoi ressemblent les quartiers Nord de Marseille

Immigration de masse, saleté, violence, multiculturalisme, peurs...: Marseille démontre ce qu'est le futur de la Suisse voulu par les mondialistes.

A noter qu'il n'y a plus de prénoms français dans les quartiers Nord de Marseille. Mais le Grand Remplacement n'existe pas bien entendu...

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"Libérez-nous de cette prison !", implore Houda, locataire dans un immeuble insalubre des quartiers Nord de Marseille investi depuis cet été par plus d'une centaine de migrants en errance. Une cohabitation explosive qui "empire" dans une quasi-indifférence, estiment les habitants.

Devant la barre H de la cité des Kalliste (15e arrondissement), la misère s’étale au grand jour. Des migrants font leur lessive dehors grâce à une canalisation d'eau détournée, des déchets s'amoncellent, des câbles électriques pendent le long de la façade, des prostituées attendent le client devant la cage d'escalier, des trafiquants de drogue guettent...

"On n'en peut plus, la situation ne fait qu'empirer, mais tout le monde se renvoie la balle", confie Houda, une coquette jeune femme de 22 ans étudiante en BTS, qui a "l'impression d'être abandonnée". Les cinq membres de sa famille vivent dans un appartement vétuste, suintant d'humidité.

Depuis 2011, le bâtiment, décrépi, est promis à la démolition dans le cadre d'un programme de rénovation urbaine de la mairie. Le bailleur social, Marseille Habitat, dont la ville est le principal actionnaire, a acquis un à un les appartements de cette co-propriété privée, mais 15% des propriétaires refusent de vendre au prix proposé, a expliqué l'adjointe au logement du maire de Marseille, Arlette Fructus (LR), vice-présidente de Marseille Habitat.

"Mes parents ont acheté près de 200.000 euros leur T5 et la mairie leur propose 30.000 euros !", s'exclame Hamid Benyhia qui s'occupe de sa mère depuis que son père de 85 ans est hospitalisé à la suite d'une chute dans l'escalier plongé dans le noir par une énième coupure d'électricité.

Treize familles, locataires ou propriétaires, cohabitent dans un climat explosif avec des migrants dirigés depuis cet été pour certains par des marchands de sommeil dans les appartements vides, acquis par le bailleur social. La mairie a recensé 141 occupants illégaux dans 39 logements, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux, tous les appartements n'ayant pu être visités, reconnaît Mme Fructus.

"On ne sait pas où aller, on arrive au moins à se coucher un peu ici. C'est un ami qui a eu pitié de moi qui m'a indiqué l'endroit", raconte un jeune migrant ivoirien qui dormait auparavant à la gare Saint-Charles. "On ne peut pas se payer un logement, on attend d'avoir des papiers", poursuit l'homme, arrivé il y a quatre mois en France.

Le week-end dernier, une rixe au couteau entre migrants a éclaté. Sur place, les pompiers ont relevé les risques d'incendies en raison des branchements sauvages sur les compteurs qui provoquent des surchauffes.

 

Marseille3

 

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"C'est affreux ! La nuit, ils cassent des murs pour entrer dans les appartements, se branchent sur notre compteur électrique et nous menacent", s'exaspère Houda. A Noël, les habitants sont restés pendant deux semaines dans le noir. Enedis est intervenu une vingtaine de fois en trois semaines, mais aussitôt résolu, le problème resurgit, souligne la mairie.

La mère de Houda, inquiète pour sa fille cadette, a refusé que celle-ci continue de travailler comme vendeuse et rentre tard. "Dès que la nuit tombe, on ne sort plus et on fait en sorte qu'il y ait tout le temps quelqu'un dans l'appartement pour éviter qu'on le squatte", raconte Houda.

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Source Via Laurent Leisi

Marseille: Un couple arrêté avec une Kalachnikov et un lance-roquette

Ils ont été interpellés lors d’un banal contrôle routier à Port-de-Bouc, dans les Bouches-du-Rhône, à une quarantaine de kilomètres de Marseille…

Ils ont fait l’objet d’un banal contrôle routier : un couple âgé d’une vingtaine d’années a été interpellé ce mardi à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) avec à bord de son véhicule un lance-roquettes armé d’une roquette et une Kalachnikov et des munitions, rapporte l’AFP.

Connu pour violences conjugales

Le jeune homme, qui était notamment connu pour des violences envers sa compagne, a été arrêté en sa compagnie lors d’un banal contrôle routier. Il n’était pas censé être en contact avec elle.

Source

Marseille: le terroriste aurait été remis en liberté à cause d’une saturation du centre de rétention

Tunisien en situation irrégulière, et placé en garde à vue pour vol le 29 septembre à Lyon, l'auteur de l'attaque au couteau de Marseille, qui a fait deux morts et a été revendiquée par Daesh, aurait en théorie dû être reconduit à la frontière.

Le profil de l'auteur de l'attaque au couteau qui a coûté la vie à deux jeunes femmes près de la gare Saint Charles à Marseille le 1er octobre continue de se préciser. Le parcours de ce Tunisien en situation irrégulière sur le territoire français, connu pour divers faits de délinquance retient l'attention sur un point : pourquoi n'a-t-il pas été expulsé alors qu'il se trouvait encore en garde à vue la veille de son passage à l'acte ?

Les raisons expliquant que le terroriste n'ait pas été expulsé, alors qu'il venait de passer plusieurs heures en garde à vue la veille de l'attaque, serait liée au manque de place dans un centre de rétention, ainsi qu'à un mauvais déroulement de la procédure au niveau de la préfecture du Rhône. Le 2 octobre, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a ainsi annoncé qu'il saisissait l'inspection générale de l'administration pour faire la lumière sur ces manquements présumés.

Arrêté à Lyon le 29 septembre, il passe à l'acte à Marseille le 1er octobre

Interpellé par des agents de sécurité le 29 septembre dans un centre commercial lyonnais pour avoir volé une veste d'une valeur de 39€ dans un magasin C&A, le futur terroriste aurait été remis aux policiers. Après avoir été placé en garde à vue, il aurait présenté un passeport tunisien. Sur le document, son identité : Ahmed H., 29 ans. L'homme se serait présenté comme sans domicile fixe et consommateur de drogues dures, toujours d'après le quotidien.

Alors que l'affaire de vol est rapidement classée, la police aux frontières aurait en revanche été sollicitée pour une expulsion. Seul problème : pour envisager cette mesure, il est nécessaire qu'il soit tout d'abord dirigé vers un centre de rétention administrative (CRA).

Or, ce jour-là, celui de Lyon Saint-Exupéry aurait été saturé. «Il y avait [...] un problème de disponibilité de place en rétention le samedi matin [30 septembre]», explique la source du Parisien. En outre, «la personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l'Obligation de quitter le territoire (OQTF) et le placement en centre de rétention de l'assaillant de Marseille, était absente», selon cette même source. Ahmed H. a donc été remis en liberté dans l'après-midi du 30 septembre.

Le lendemain, il prend un train pour Marseille où, vers 13h30, sur le parvis de la gare Saint Charles, il attaque violemment deux jeunes femmes au couteau en criant «Allah Akbar» selon plusieurs témoins. Il fonce ensuite sur une patrouille Sentinelle composée de trois militaires avant d'être abattu par les soldats. L'attaque a été revendiquée par l'Etat islamique mais le parquet antiterroriste a fait savoir que les éventuels liens entre l'organisation terroriste et cet acte n'avaient pas été établis.

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Marseille : le terroriste de la gare Saint-Charles était connu des services de police “Un Algérien en situation irrégulière.”

L'homme qui a tué deux femmes avant d'être abattu ce dimanche à la gare Saint-Charles serait un Algérien en situation irrégulière connu pour des antécédents de droit commun.

Le profil de l’assaillant de la gare Saint-Charles commence à se dessiner, même si de nombreuses questions demeurent en suspens ce dimanche soir. Le terroriste présumé ne portait aucun papier sur lui lorsqu’il s’en est pris à ses deux victimes. Il a pu être identifié grâce à ses empreintes digitales. Le jeune homme est connu des services de police. Mais lors de ses précédentes interpellations, entre 2005 et 2014, il a donné huit identités différentes.

Des antécédents de droit commun

Les enquêteurs estiment qu’il est de nationalité algérienne, âgé d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années. Selon plusieurs sources concordantes, il se trouvait en situation irrégulière sur le territoire national. L’homme n’est connu que pour des antécédents de droit commun, des vols notamment et des infractions à la législation sur les étrangers. Il n’apparaît sous aucune de ses identités d’emprunt dans le fichier des personnes radicalisées. Il n’était pas non plus fiché S et n’était pas connu des services de renseignement.

Un comportement erratique

Selon une source sécuritaire, un téléphone portable retrouvé en sa possession est en cours d’analyse. L’expertise de l’appareil pourrait permettre de comprendre si l’agresseur était en lien avec la mouvance djihadiste. Le comportement erratique de l’assassin intrigue. Comme l’a indiqué le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, l’homme s’en est pris à une première victime avant de faire demi-tour et de s’attaquer à la seconde. Son double crime commis, il s’est rué sur des militaires de l’opération Sentinelle qui s’étaient précipités sur les lieux. Il a été immédiatement abattu.

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Rappel: Daech revendique l’attaque de Marseille

Une voiture fonce sur deux abrisbus à Marseille : une morte, une blessée. Idriss H. arrêté.

Un individu a été interpellé dans le quartier du Vieux-Port après avoir foncé dans deux Abribus dans le quartier de la Croix-Rouge. La piste terroriste n'est pas privilégiée.

Un homme a été interpellé à Marseille après avoir foncé sur deux Abribus, lundi 21 août. Vers 8h10, un véhicule fonce sur un Abribus dans le quartier de la Croix-Rouge, situé dans le 13e arrondissement de la cité phocéenne, blessant gravement au bassin une femme de 29 ans. Son pronostic vital n'est pas engagé. Plus d'une heure après, à 9h20, dans le 11e arrondissement cette fois, la même voiture fonce dans un second Abribus et percute une femme de 41 ans, selon nos informations. Elle a succombé à ses blessures.

Un individu a été interpellé dans le quartier du Vieux-Port, quai de Rive Neuve, au niveau de la rampe Saint-Maurice, dans un véhicule ressemblant à la voiture impliquée, selon La Provence.

"On s'oriente plutôt vers une piste psychiatrique"

L'homme de 34 ans, Idriss H., originaire de l'Isère, conduisait une fourgonnette volée de type Renault Master, selon une source proche de l'enquête. Ce suspect est connu pour huit condamnations de droit commun - grivèlerie et port d'arme - d'après nos informations, mais il n'est pas fiché S. Une opération de police est en cours et les autorités demandent à la population d'éviter la zone.

La piste terroriste n'est pas privilégiée pour l'heure car elle n'est appuyée par "aucun élément", a affirmé le procureur de la République de Marseille. "On s'oriente plutôt vers une piste psychiatrique", a précisé le magistrat auprès de l'AFP. Selon nos informations, des courriers provenant d'un établissement psychiatrique ont été retrouvés sur l'individu.

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Tentative d’attentat à Marseille en avril dernier: Marine Le Pen était bel et bien visée

«Libération» a eu accès à des éléments nouveaux dans l’enquête sur des attaques avortées avant la présidentielle. Les deux suspects, devenus inséparables après leur rencontre en prison, visaient un meeting de Marine Le Pen, des bureaux de vote et des bars.

Il n’en fallait pas plus pour que certains médias, peu soucieux de l’exactitude, intitulent leurs articles consacrés à l’affaire «Attentat contre François Fillon». Si la protection du candidat LR avait été renforcée - de même que celles d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen - les enquêteurs ont acquis aujourd’hui la conviction que Fillon n’était pas directement visé. En revanche, le meeting de la candidate du Front national qui se tenait le mercredi 19 avril à Marseille - à quatre jours du premier tour de l’élection présidentielle - figurait, lui, parmi les cibles de Baur et Merabet.

Les deux hommes ont en outre effectué des recherches sur des bars marseillais. Enfin, il semble qu’une attaque contre des bureaux de vote marseillais le dimanche du premier tour de la présidentielle ait été envisagée. Pour se figurer les itinéraires possibles, Baur et Merabet avaient affiché une carte de la ville sur les murs de l’appartement. En garde à vue, Mahiedine Merabet, délinquant endurci et familier des interrogatoires, demeurera mutique. Clément Baur, lui, concède l’existence d’une action terroriste, même s’il en minimise au maximum la portée.

Source et article complet

Rappels:

Se pensant hors antenne, Macron reconnait que Mohamed Saou est un islamiste radical. Marine Le Pen réagit et est… censurée.

Pour Emmanuel Macron, si les jeunes s’islamisent, c’est de notre faute! (Vidéo)

Témoignage: Une femme marin-pompier à Marseille dévoile la violence des musulmans

DEVENIR POMPIER EN TERRITOIRE MULTICULTUREL

En choisissant le métier de marin-pompier, j’ai décidé d’être au service des autres, de la population. C’est par passion que je suis donc allée poser ma candidature au CIRFA et que j’ai fait comme tout militaire mes classes, puis une école de spécialisation.

Les marins-pompiers sont spécifiques a la ville de Marseille ( hormis les marins-pompiers des ports embarqués sur des bateaux ), cette ville où règne le multiculturalisme. A dire vrai, je n’y pensais pas. Pourquoi aurais-je dû ? A l’école de Saint Mandrier, on nous a appris qu’il fallait agir de la même façon envers tous les êtres humains, sans distinction de couleur, de religion, de mœurs. Et pourquoi cela aurait-il posé problème ? Nous étions là pour les aider, leur porter secours, en tant qu’êtres humains.

« UN GRAND FRACAS S’EST FAIT ENTENDRE : UN FRIGO AVAIT ÉTÉ JETÉ SUR NOTRE AMBULANCE »

La pratique fut néanmoins une autre affaire. Dans certains quartiers de cette ville nous n’étions pas les bienvenus. Lors d’une intervention pour porter secours à un homme âgé, tombé dans son appartement, un grand fracas s’est fait entendre. Un frigo avait été jeté sur notre ambulance depuis un balcon de l’immeuble où nous étions. Le toit complètement enfoncé, des vitres explosées, le brancard bloqué à l’intérieur et du matériel cassé et inutilisable… Nous avons dû appeler des collègues pour prendre le blessé en charge puis d’autres pour nous ramener. Quand une équipe est revenue chercher le VSAV (Véhicule de Secours et d’Assistance aux Victimes), celui-ci venait d’être enflammé par des habitants du quartier.

Quand nous passions vendre les calendriers, chaque année, les insultes fusaient, certains n’ouvraient pas la porte. Le plus souvent des femmes voilées à qui leurs maris interdisaient d’ouvrir. Des bouteilles voir des sceaux d’eau balancés depuis des fenêtres très courageusement…

« NOUS ÉTIONS LÀ POUR LEUR BIEN ET MÊME LÀ IL FALLAIT SE SOUMETTRE »

On peut se dire que c’est propre à certains quartiers. Un autre exemple me vient a l’esprit. Nous partons pour porter secours a une femme, qui saigne abondamment suite à une césarienne. Arrivés à l’appartement, le mari refuse que mes collègues entrent dans l’appartement. Il finit par accepter mais ne veut pas que mes collègues touchent sa femme. Celle ci ne veut pas retirer son niqab, ni rien. Impuissants, nous décidons de la transporter sans attendre. Dans l’ambulance, elle refuse que mes collègues masculins prennent ses constantes. Je suis au volant. Il faudrait que je me gare, descende, laisse ma place de conducteur et prenne celle du secouriste ? Elle refuse même de donner son nom et des informations médicales… Devant mon agacement son mari menace de porter plainte pour non assistance à personne en danger si je n’obtempère pas. Je le fais… En deux ans passés au bataillon, j’ai pu constater l’échec du multiculturalisme, jusque dans l’intervention des secours. Nous étions là pour leur bien et même là il fallait se soumettre. J’ai quitté au bout de 2 ans seulement.

« A LA MOINDRE PROTESTATION, VOUS ÊTES RACISTE »

Ce ne sont là que quelques exemples mais le résultat est frappant et sans appel. Là où nous avons eu de tels soucis ce n’était pas avec les Européens. Je passe sur les dégradations de véhicules, les incendies volontaires dans les quartiers ou la police ne vient plus, le vol de matériel parfois… Et à la moindre protestation, vous êtes raciste bien-sûr… De quoi démotiver les corps d’armée.

Lucie

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Marseille. Un participant à une conférence rappelle que des migrants ont été responsables de terrorisme: Réponse des bien-pensants “On s’en fout des attentats” (Vidéo)

Conférence organisée par la gauche pro-immigration à  Regardez leur réaction quand on rappelle le bon sens et quelques vérités !

Réponse de ces bien-pensants au fait que des migrants soient responsables d'attentats:

"On s'en fout!"

Source

https://youtu.be/5HG1TVPCdX8

 

Marseille: L’association Smile 13 qui veut imposer le burkini à la piscine est christianophobe

Christian Hofer: On rappelle que cette association de femmes musulmanes désirait organiser une journée "burkini", maillot de bain islamique, dans un parc aquatique privé du sud de la France.

Cette association Smile 13 a «privatisé» le Speed Water Parc pour la journée du 10 septembre, avec la consigne aux participantes de «ne pas venir en deux pièces» mais avec un costume de bain cachant le corps «de la poitrine aux genoux». «Le parc autorise exceptionnellement Burkini/Jilbeb (tunique) de bain», est-il également écrit sur l'affiche de l'association Smile 13. Sur Facebook, elle explique que cet habillement imposé s'explique par la présence de «maîtres nageurs hommes». «Les enfants garçons sont autorisés jusqu'à 10 ans», est-il également précisé.

Le 20 Minutes en profite d'ailleurs pour parler de "la pauvreté des quartiers Nord de Marseille" afin de nous faire larmoyer sur le sort des musulmans (en oubliant tous les Français de souche qui sont dans la misère et qu'ils ne bénéficient pas de la discrimination positive ni des généreux subsides gouvernementaux envoyés par milliards dans ces quartiers sensibles). Si ce journal avait fait correctement son travail sans tomber dans la victimisation bancale, il aurait pris soin de regarder consciencieusement le réseau social qu'il cite:

En visionnant le Facebook de cette association Smile 13, on découvre que les prescriptions islamiques vont au-delà du simple burkini puisque celle-ci publie des indications discriminatoires très claires - et exactes sur le plan de l'islam - à l'encontre des non musulmans et plus spécifiquement des chrétiens:

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En particulier, cette association qui veut profiter d'une structure construite et élaborée par les "sales kouffars" ne se prive pas pour cracher sur eux... le jour de Noël! Cela étant une citation d'une sourate du Coran. Difficile d'incriminer le non musulman d'une lecture trop sélective, d'une partialité ou d'une mauvaise compréhension du Coran à ce stade puisque ce sont les femmes musulmanes elles-mêmes qui le soulignent et le revendiquent. On se régale par avance de savoir quelle excuse le système va trouver! 

Toujours le 25 décembre 2015, on relève encore le fameux "hadith empli de tolérance" qui interdit aux musulmans de nous féliciter pour la fête de Noël et plus généralement les fêtes chrétiennes (image du bas).

Le jour suivant, cette association se fait encore remarquer en répondant à un commentaire et en soutenant que l'islam détient la vérité, alors que les "non musulmans sont dans le faux".

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Tout cela démontre que la cohabitation entre musulmans et non musulmans est tout simplement une fable: qu'importe que vous leur offriez le gîte et le couvert, que vous les acceptiez dans votre pays, que vous combattiez le "racisme" et fassiez l'éloge de l'islam: vous ne serez jamais pour eux que des mécréants.

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Bien évidemment, vous ne verrez aucun de nos médias romands en parler, ni remettre en question cette association (cela porterait atteinte au mythe du vivre-ensemble). Il est vrai que cette association s'appuie sur le coran, sur les hadiths. Et relever un tel problème signifierait remettre en question la présence de ces musulmans, irrespectueux envers nos us et coutumes, en question.

Quel peuple serait assez fou pour accepter d'ouvrir ses portes à des gens qui le considèrent comme inférieur, infréquentable et dont la foi serait considérée comme un mensonge? Et plus spécifiquement, qui est le raciste dans l'histoire?

Et pendant que certains musulmans se sentent toujours plus forts en Europe, montrent leur véritable visage, prêts à nous faire la guerre, S. Sommaruga et son parti anti-Suisses nous imposent des dizaines de milliers de ces "migrants" musulmans, à nos frais, en clamant que le véritable problème est le nationalisme...

L'histoire jugera et son jugement sera impitoyable.

L’EI menace d’intensifier les attaques en France et cible Marseille pour la première fois

Dans une vidéo postée sur des réseaux sociaux mercredi soir, l’Etat islamique menace une nouvelle fois la France en promettant de nouvelles actions terroristes sur le territoire.

Marseille, une ville ciblée

Dans cette vidéo, qui aurait été produite par l'Etat islamique dans la province de Ninive, selon SITE, les terroristes font pour la première fois référence à Marseille comme une ville cible pour des actions futures.

Après avoir dit tout le bien qu’ils pensent des attentats de Nice, l’un des deux terroristes francophones que l’on voit sur les images procèdent à la décapitation de deux hommes qu'il accuse d'avoir “espionné” l'EI.

Source et suite de l'article

Euro 2016: des supporters anglais agressés par des musulmans à Marseille

Christian Hofer: On notera le ton totalement partisan du journaliste du 20 Minutes.ch alors que d'autres témoignages font état de provocation de "Marseillais" musulmans. Bien évidemment, le fait que des "jeunes" défendent l'Etat islamique ne choque pas du tout nos bien-pensants. Critiquer le terrorisme musulman est désormais perçu comme étant provocateur en Europe.

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Des incidents se sont déroulés sur le Vieux-Port à Marseille jeudi soir entre supporters anglais et des marseillais. Environ 200 supporteurs anglais ont été dispersés à l'aide de gaz lacrymogène par la police, cette nuit à Marseille. A l'instar des affiches Turquie-Croatie, Allemagne-Pologne ou Angleterre-Pays de Galles et Ukraine-Pologne, la rencontre entre l'Angleterre et la Russie, samedi à Marseille, a en effet été classée à risque par les autorités. Les supporteurs ont également lancé les chaises et tables du bar. "Deux personnes ont été interpellées", annonce sur BFMTV vendredi matin Pierre-Henry Brandet, le porte-parole du ministère de l'Intérieur.

Les témoignages de ce côté-ci de la Manche font état de provocations de la part des jeunes Marseillais qui auraient attaqué les premiers. "Nous avons dû nous défendre, et à ce moment là la police est apparue", a témoigné Simon* sur le site du Telegraph. Les policiers sont arrivés sur place vers 23 h 45.

Selon un témoin interrogé par le journal anglais Express, les violences ont commencé après plusieurs chants faisant référence à l'Etat islamique de supporters anglais: "ISIS (l'Etat islamique), où vous êtes?", ont par exemple chanté des fans.

Source

Marseille: Le personnel municipal menacé de mort par la famille d’une musulmane qui refusait de montrer son visage

Une femme a refusé d'ôter son voile islamique mercredi à Marseille alors qu'elle venait retirer un passeport. Comme les agents du bureau voulaient faire appliquer la loi, son fils et sa fille sont venus menacer le personnel. Très choquées, les 5 femmes agents ont fait valoir leur droit de retrait.

Les cinq agents sont encore sous le choc après ce qui s'est passé mercredi dans un bureau de proximité de la mairie du 13e arrondissement, quartier La Rose, à Marseille. Une femme musulmane entièrement voilée se présente pour retirer un passeport. Comme le veut la législation, l'agent lui demande de retirer son voile pour comparer son visage avec celui de la pièce d'identité. La femme continue de refuser.

Quelques minutes plus tard, la situation dégénère. Une partie de sa famille débarque dans le bureau pour insulter et menacer le personnel. Daniel Sperling, adjoint au maire aux bureaux de proximité à Marseille raconte au micro France Bleu Provence :

"Le fils de 20 ans et la fille de 18 ans nous ont dit que leur mère avait été mise à nu et qu'ils allaient faire sauter le bureau avec des djihadistes."

C'est plus qu'un choc émotionnel, d'autant que le contrôle d'identité a été fait dans le plus grand respect de la personne. La loi est la même tous. Nous devons rester fermes sur les principes de la République".

Les cinq agents (des femmes) du bureau doivent consulter un psychologue, elles ont fait valoir leur droit de retrait et elles n'ont toujours pas repris le travail. Le bureau est fermé, il ne rouvrira que ce lundi. Une enquête est en cours.

France Bleu via Fdesouche.com

Pédophilie, zoophilie soutenues par la mairie de Marseille ?

Ndlr : Attention, les peintures présentées ci-dessous sont très scabreuses et choquantes.

 

Le Mauvais Œil 23 réunit Reinhard Scheibner et Stu Mead, deux artistes vivant en Allemagne et publiés régulièrement par le Dernier Cri.
Entre Pierre Louys , Clovis Trouille, Otto Dix et Elvifrance , les travaux érotiques de ses deux peintres présentent la pornographie, la sexualité adolescente, avec une dose de grotesque proche de l’esprit du défunt magazine Hara- Kiri.

 

Reinhard Scheibner touche à tous les arts : peinture, sculpture, vidéo, dessins, photographies. Ses sujets tournent toujours autour des mêmes thèmes : la pornographie, la déviance, une certaine fascination pour la matière fécale. Mais souvent, ce sont tous ces éléments qui sont combinés dans une seule et même oeuvre. Ce sont donc des fresques représentant des orgies dantesques sans limites. Il n’y a plus d’hommes ou de femmes, d’humains ou de diables mais tout cela est mélangé, au gré des désirs de l’auteur, dont les mutations imaginaires rappellent parfois le Cronenberg période ancienne. L’artiste mêle aussi une pornographie très crue, lorgnant souvent vers le BDSM, avec l’imagerie des contes de fée. Le mélange est évidemment explosif !

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Stu Mead est un peintre et illustrateur américain vivant en Allemagne. Il est avant tout connu pour ses travaux mettant en scène de grands tabous comme la sexualité adolescente, la pédophilie et la bestialité. En France ses livres, parfois coréalisés avec Frank Gaard, sont régulièrement publiés au dernier Cri.

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« On me dit que les IMAGES de Stu Mead évoquent la pédophilie, l’inceste et de nombreuses déviances. Je ne vois rien de choquant dans son art, et j’ai même la conviction qu’il est innocent des reproches les plus sordides que l’on peut formuler à son encontre.
Je vois surtout beaucoup d’humour chez Stu Mead, qu’il s’agisse de l’absurde ou de la coquinerie, c’est un élément central. Le fantastique est une thématique aussi très présente : diablerie, sorcellerie, cérémonies sacrificielles, l’œuvre est traversée de multiples visions, mais plutôt qu’un FILM d’horreur grand guignolesque, elles évoquent la manière d’un Clovis Trouille, cette même retenue ».

Puisque La Marseillaise le dit!

Merci à Délits d'im@ge pour l'info