Immigration: A quoi ressemblent les quartiers Nord de Marseille

Immigration de masse, saleté, violence, multiculturalisme, peurs...: Marseille démontre ce qu'est le futur de la Suisse voulu par les mondialistes.

A noter qu'il n'y a plus de prénoms français dans les quartiers Nord de Marseille. Mais le Grand Remplacement n'existe pas bien entendu...

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"Libérez-nous de cette prison !", implore Houda, locataire dans un immeuble insalubre des quartiers Nord de Marseille investi depuis cet été par plus d'une centaine de migrants en errance. Une cohabitation explosive qui "empire" dans une quasi-indifférence, estiment les habitants.

Devant la barre H de la cité des Kalliste (15e arrondissement), la misère s’étale au grand jour. Des migrants font leur lessive dehors grâce à une canalisation d'eau détournée, des déchets s'amoncellent, des câbles électriques pendent le long de la façade, des prostituées attendent le client devant la cage d'escalier, des trafiquants de drogue guettent...

"On n'en peut plus, la situation ne fait qu'empirer, mais tout le monde se renvoie la balle", confie Houda, une coquette jeune femme de 22 ans étudiante en BTS, qui a "l'impression d'être abandonnée". Les cinq membres de sa famille vivent dans un appartement vétuste, suintant d'humidité.

Depuis 2011, le bâtiment, décrépi, est promis à la démolition dans le cadre d'un programme de rénovation urbaine de la mairie. Le bailleur social, Marseille Habitat, dont la ville est le principal actionnaire, a acquis un à un les appartements de cette co-propriété privée, mais 15% des propriétaires refusent de vendre au prix proposé, a expliqué l'adjointe au logement du maire de Marseille, Arlette Fructus (LR), vice-présidente de Marseille Habitat.

"Mes parents ont acheté près de 200.000 euros leur T5 et la mairie leur propose 30.000 euros !", s'exclame Hamid Benyhia qui s'occupe de sa mère depuis que son père de 85 ans est hospitalisé à la suite d'une chute dans l'escalier plongé dans le noir par une énième coupure d'électricité.

Treize familles, locataires ou propriétaires, cohabitent dans un climat explosif avec des migrants dirigés depuis cet été pour certains par des marchands de sommeil dans les appartements vides, acquis par le bailleur social. La mairie a recensé 141 occupants illégaux dans 39 logements, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux, tous les appartements n'ayant pu être visités, reconnaît Mme Fructus.

"On ne sait pas où aller, on arrive au moins à se coucher un peu ici. C'est un ami qui a eu pitié de moi qui m'a indiqué l'endroit", raconte un jeune migrant ivoirien qui dormait auparavant à la gare Saint-Charles. "On ne peut pas se payer un logement, on attend d'avoir des papiers", poursuit l'homme, arrivé il y a quatre mois en France.

Le week-end dernier, une rixe au couteau entre migrants a éclaté. Sur place, les pompiers ont relevé les risques d'incendies en raison des branchements sauvages sur les compteurs qui provoquent des surchauffes.

 

Marseille3

 

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"C'est affreux ! La nuit, ils cassent des murs pour entrer dans les appartements, se branchent sur notre compteur électrique et nous menacent", s'exaspère Houda. A Noël, les habitants sont restés pendant deux semaines dans le noir. Enedis est intervenu une vingtaine de fois en trois semaines, mais aussitôt résolu, le problème resurgit, souligne la mairie.

La mère de Houda, inquiète pour sa fille cadette, a refusé que celle-ci continue de travailler comme vendeuse et rentre tard. "Dès que la nuit tombe, on ne sort plus et on fait en sorte qu'il y ait tout le temps quelqu'un dans l'appartement pour éviter qu'on le squatte", raconte Houda.

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Source Via Laurent Leisi

7 commentaires

  1. Posté par Tommy le

    La ruine, la crasse et la saleté sont l’ apanage des musulmans et/ ou des africains depuis l’époque de Tintin au Congo.

  2. Posté par Yolande.C.H. le

    @Dupond
    Même à Lausanne, dans des tours où logeaient des gens de professions libérales, des gens ayant d’autres cultures s’y sont installés: dégradation rapide, trafics, déchets jetés par les fenêtres, obligeant à construire des protections pour protéger les passants au pied de l’immeuble.

  3. Posté par G. Guichard le

    Ce sont des enclaves FLN. Et la violence c’est parce qu’il y a encore quelques habitants non FLN. Le communisme ne veut voir qu’un seule tête!

  4. Posté par Dupond le

    Ces logements ont été construit a la hate afin de loger les PN en 62 expulsés d’algérie et en attendant qu’ils fassent construire et passer a la propriété . Les PN sont partit et deferre s’est empréssé d’y loger des arabes ,puis guérini les compléta avec les comoriens . Ces batiments n’avaient pas vocation a durer dans le temps et de plus habités par des résidants indifferents a la bonne tenue du lieu …..Ils sont devenus apres le départ des PN des cloaques ou plus rien ne fonctionne . La population est dans la misere et ne survie que grace aux aides sociales et au deal pour les plus chanceux . Ils sont plus a plaindre qu’a blamer car ils sont les victimes d’un gouvernement socialo de l’époque qui s’imaginait que toutes ces communeautés nouvelles évolueraient dans le sens du progres et oublieraient leurs anciennes coutumes qui pensent qu’en pays chrétiens tout leur est du et qu’il suffit de demander pour obtenir !!! la France est en faillite ,les laborieux sont démotivés par les impots sans cesse en augmentation alors que le pays n’arrive pas a juguler l’imigration de masse et couteuse pour le con tribuable ….

  5. Posté par Yolande.C.H. le

    On se demande ce que faisaient les autochtones à l’époque pour avoir des quartiers où il faisait bon vivre.
    Qu’est-ce qui les différenciait de ces résidents d’aujourd’hui?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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