Dijon : des extrémistes de gauche attaquent le convoi de Marine Le Pen (Vidéo)

Marine Le Pen s'est rendue à Dijon alors que la ville est le théâtre depuis plusieurs jours de violents affrontements entre des habitants du quartier des Grésilles et des membres de la communauté tchétchène. La présidente du Rassemblement national a même pris la parole vers 18h.

 

 

Mais des incidents se sont produits à son départ comme le montrent ces images exclusives de Cnews car son convoi a été pris à parti de façon très violente par des manifestants.

Dans une séquence vidéo, on peut voir une foule d'individus cagoulés donner des coups de pied et lancer des projectiles sur le cortège de voitures.

Voice of Europe / Jean-Marc Morandini.com

 

 

Marine Le Pen veut que les mouvements d’ultragauche soient qualifiés de «terroristes» En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/69037-marine-pen-veut-que-mouvements-ultragauche-qualifies-terroristes

12 déc. 2019, 19:58 - Avec AFP

Dans un communiqué, la présidente du Rassemblement national a demandé au gouvernement, qu'elle juge complaisant et laxiste depuis trop longtemps, de qualifier les groupes d'ultragauche de «terroristes». Marine Le Pen a demandé ce 12 décembre au gouvernement de qualifier de «terroristes» les mouvements d'ultragauche qui visent les policiers, déplorant que l'exécutif fasse «preuve de laxisme» à leur égard.
Les syndicats Alternative Police (CFDT) et Unité SGP Police FO avaient fait part la semaine dernière de leur «effroi» et de leur inquiétude après que des policiers ont reçu des courriers anonymes menaçant leurs familles de représailles, des faits «d'une extrême gravité» pour le ministre de l'Intérieur. Certains courriers étaient signés ACAB [un acronyme signifiant «All Cops Are Bastards», «Tous les flics sont des salauds»].
Un collectif anonyme faisant référence au même acronyme a récemment lancé un appel à une «nuit bleue» contre les policiers les 13 et 14 décembre. «Voilà des années que le gouvernement fait preuve de laxisme et de complaisance à l'égard des groupes ultraviolents d'extrême gauche, se refusant à prendre la moindre mesure de dissolution à l'instar de ce qui a été fait pour plusieurs groupuscules de l'ultradroite», déplore dans un communiqué la dirigeante du Rassemblement national (RN).
« Violence terroriste d’extrême-gauche : le gouvernement ne peut plus tergiverser ! » Mon communiqué sur la haine anti-#policiers propagée par les groupuscules d’extrême gauche et leur volonté de les agresser : https://t.co/m33V7lbrW4— Marine Le Pen (@MLP_officiel) December 12, 2019

Marine Le Pen réagit à la photo de Macron. Marlène Schiappa la traite en retour de leader de parti raciste.

Nous parlions de cette affaire déjà ici.

 

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La secrétaire d'État chargée de l'Égalité femmes-hommes a commenté la réaction de la présidente du Rassemblement national à propos de la photo sur laquelle Emmanuel Macron pose aux côtés de deux jeunes, dont un fait un doigt d'honneur.

Le cliché a alimenté les débats tout le week-end. Prise samedi 29 septembre lors d'une déambulation d'Emmanuel Macron sur l'île de Saint-Martin, la photo montre le président posant aux côtés de deux jeunes, dont un fait un doigt d'honneur.

Elle a rapidement été retweetée par Marine Le Pen, qui a dénoncé une image "impardonnable".

 

Invitée de RTL lundi 1er octobre, Marlène Schiappa a estimé que les commentaires de la présidente du Rassemblement national, selon elle à la tête "d'un grand parti raciste, d'extrême droite", n'avaient "aucun intérêt". "Ce qui la choque, ce n'est pas que le président pose à côté d'un jeune, c'est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs", a dénoncé la secrétaire d'État chargée de l'Égalité femmes-hommes. "À chaque fois que le président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s'offusque. Donc cela n'a pas grand intérêt", a-t-elle encore dit.

La réponse de Marine Le Pen

La présidente du RN a réagi sur Twitter. "La meilleure réponse aux abjectes accusations de racisme que diffusent les ministres pour justifier le comportement indigne de Macron est le vote de nos compatriotes d'outre-mer, qui m'ont fait l'honneur de me placer en tête au premier tour des présidentielles."

 

Sébastien Chenu, député élu dans le Nord et porte-parole du RN, avait répondu à la secrétaire d'État un peu avant auprès de BFMTV.com : "Marlène Schiappa devrait cesser de s'égarer, d'insulter ses adversaires politiques et rester mesurée dans ses arguments avant de dire des bêtises grosses comme elle".

La sortie de la ministre ne devrait néanmoins pas entraîner de dépôt de plainte de Marine Le Pen ou du Rassemblement national. "A priori, nous ne déposerons pas plainte, la jurisprudence en la matière semblant défavorable et n'ayant pas le goût de l'effort inutile", a expliqué M. Chenu.

Actu.orange.fr

Marine Le Pen soumise à une expertise psychiatrique pour avoir tweeté des images de Daesh

La présidente du Rassemblement national a été mise en examen en mars dernier pour avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur Twitter.

 

Marine Le Pen à Fréjus : “Il n’y a plus d’argent pour les retraités, les handicapés et les familles mais il y en a pour l’immigration.” (Vidéos)

Pour sa rentrée politique, Marine Le Pen a taclé la politique de l’Union Européenne en matière d’accueil de migrants.

Ce week-end, le Rassemblement national faisait sa rentrée à Fréjus. Et Marine Le Pen a frappé fort dans son discours ce dimanche 16 septembre, dénonçant « la folle politique immigrationniste » de l’Union européenne, rapporte Europe 1. « Aujourd’hui, les préfets n’ont plus qu’une seule activité, l’implantation de migrants », a-t-elle rajouté.

"Il n'y a plus d'argent pour le logement mais il y en a pour l'immigration. Il n'y a plus d'argent pour les retraités, les handicapés et les famille mais il y en a pour l'immigration. Il n'y a plus d'argent pour équiper la police mais il y en a pour l'immigration."

 

"En 30 ans il n'y a jamais eu d'argent pour les SDF français qui meurent dans la rue. Aujourd'hui on trouve sans problème des dizaines de milliers de places pour héberger les clandestins."

 

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Valeurs Actuelles

France : “On va les écraser.” Des habitants menacent Marine Le Pen venue s’opposer à l’établissement d’un centre pour migrants. (Vidéo)

L'accueil a été très houleux pour Marine Le Pen, en visite à Châteaudouble, dans le Var, ce mercredi après-midi. Ce village de 477 âmes doit accueillir un centre d'accueil et d'orientation hébergeant 72 migrants.

Sur les coups de 13h45 ce mercredi, Marine Le Pen est arrivée à Châteaudouble, petite commune varoise qui doit accueillir un centre de demandeurs d'asile. Mais l'accueil n'a pas été celui escompté: la présidente du Rassemblement national a été accueillie sous les huées d'une cinquantaine d'habitants du village. Ces derniers ont brandi des pancartes "Non au RN" et crié "casse-toi" à la visiteuse.

Une pelleteuse a même été installée pour lui barrer l'accès à une partie du village, si bien qu'elle a renoncé à visiter le centre d'accueil et d'orientation (CAO) qui doit accueillir 72 migrants.

"On va les écraser !" - voilà les images que vous ne verrez pas à la télé. Ici, la réalité des braillards haineux qui veulent empêcher Marine Le Pen et le Rassemblent National de défendre les habitants de Châteaudouble face à l'immigration incontrôlée et désormais imposée !

 

 

 

Sur Twitter, le maire de Fréjus David Rachline a qualifié les manifestants de "nervis d'extrême gauche", et demandé des explications au préfet du Var qui les a laissé "mettre en danger" Marine Le Pen et d'autres élus. Il affirme avoir porté plainte contre X pour entrave par menaces et tentatives de violence à la liberté d'expression et de circulation. Il publiera jeudi une lettre ouverte pour demander des explications au préfet sur l’absence totale de dispositif de sécurité.

Objet de la discorde: Philippe Portal, sous-préfet du Var, a annoncé le 29 juin que les locaux de l'ancienne maison de retraite de ce village de 477 habitants, fermée en 2016 par manque de résidents, seraient transformés en centre d'accueil et d'orientation afin d'accueillir 72 migrants. Ceux-ci devraient poser leurs bagages dans la commune à la mi-septembre, ces jours-ci donc, selon franceinfo. 

"Ce petit village de Châteaudouble est symbolique de ce qui se passe dans toute la France aujourd'hui", a déclaré Marine Le Pen, qui était arrivée en tête dans le village au premier tour de l'élection présidentielle de 2017 avec 30,25% des suffrages exprimés. "C'est un petit village de 470 habitants dans lequel, sur ordre de l'Union européenne, on installe 72 migrants, sans avoir demandé son avis à la population, sans avoir demandé son avis au maire. C'est comme si demain on imposait 12 millions de migrants en France en l'espace d'une nuit", a-t-elle insisté.

Si l'importance de l'effectif de migrants prévus sous le toit du centre d'accueil et d'orientation suscite aussi scepticisme et réserve chez les habitants, ceux-ci ont fait part d'une opposition plutôt pondérée auprès du Figaro. Ainsi, un couple de retraités estimait que c'était "beaucoup trop", tout en nuançant: "On est pour les accueillir, mais ça risque de perturber la vie de ce petit village tranquille". Le maire a quant à lui déploré avoir été mis "devant le fait accompli" par les autorités.

BFMTV

Portugal : sous la pression de la gauche, un sommet des start-ups annule la venue de Marine Le Pen

Critiqués par la gauche portugaise pour avoir convié Marine Le Pen, les organisateurs du Web Summit ont décidé d'annuler sa venue. Ils avaient dans un premier temps botté en touche en invitant le gouvernement du Portugal, pays hôte, à se prononcer.

L'Irlandais Paddy Cosgrave, fondateur du Web Summit, une conférence technologique annuelle se tenant au Portugal, a annoncé sur son compte Twitter ce 15 août que «la décision correcte pour le Web Summit [était] d'annuler l'invitation de Marine Le Pen». «Sa présence est particulièrement irrespectueuse envers notre pays d’accueil [...] et certains parmi les dizaines de milliers de participants qui nous rejoignent du monde entier», a-t-il avancé dans un autre message. Il n'a toutefois pas expliquer en quoi inviter la dirigeante du Rassemblement national (RN, ex-Front national) serait irrespectueux pour le Portugal ou pour les participants internationaux au sommet.

Dans un message publié le soir du 14 août sur le site Medium, l’entrepreneur irlandais s'était dit prêt à retirer la candidate au second tour de l'élection présidentielle française de 2017 de la liste des conférenciers invités pour ce sommet en novembre si le gouvernement portugais le demandait. «Si nos hôtes au Portugal, le gouvernement portugais, nous demandent d’annuler l’invitation de Marine Le Pen, nous respecterons bien sûr cette demande et nous le ferons immédiatement», avait-il écrit. Paddy Cosgrave avait également justifié l'invitation de la femme politique française, en invoquant notamment la liberté d'expression, même s'il avait estimé que ses «points de vue [étaient] erronés».

Or, le gouvernement portugais a fait savoir le 15 août qu'il n'interviendrait pas dans cette affaire. «Pour cet événement privé, le gouvernement n'a pas d'intervention dans la sélection des orateurs qui relève de la responsabilité exclusive de l'organisation», a déclaré le ministère portugais de l'Economie dans un communiqué. La décision de Paddy Cosgrave, d'annuler l'invitation de Marine Le Pen, a suivi.

Si le gouvernement portugais n'a pas choisi de s'exprimer sur cette affaire, la gauche de ce pays était montée au créneau contre la venue de la dirigeante de parti français. Le 14 août, le Bloc de gauche, allié de l’exécutif socialiste, avait appelé à une prise de position de la mairie de Lisbonne et du gouvernement sur cette invitation, déclarant que les propos de Marine Le Pen «incit[aient] à la haine, à la xénophobie et au racisme».

Au sein même du Parti socialiste, plusieurs voix s'étaient élevées pour dire que la venue de Marine Le Pen était intolérable et qu'il était inadmissible de donner «une tribune au fascisme».

Le Web Summit, qui connaîtra sa troisième édition au Portugal cette année, est l'occasion pour des milliers de start-ups de tenter de séduire les investisseurs.

En 2017, son organisation avait déjà fait l'objet de critiques après un dîner festif tenu au Panthéon national, la dernière demeure de grandes personnalités portugaises dont la chanteuse de fado Amalia Rodrigues et le footballeur Eusébio.

RT

Scandale Benalla : Marine Le Pen charge Castaner à l’Assemblée (Vidéo)

La députée du Pas-de-Calais a fustigé le secrétaire d’Etat qui ne s’est pas encore expliqué devant les députés sur “le scandale d’Etat monstrueux” qu’est l’affaire Benalla.

Le ton est monté dans les couloirs du Palais Bourbon entre Marine Le Pen et Christophe Castaner ce samedi 21 juillet. Sortant de l'hémicycle après la suspension anticipée des débats pour la pause du dîner, la présidente du Rassemblement national (ex-FN) s’en est pris au secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement en train de parler avec des journalistes dans la salle des Quatre Colonnes, alors que selon elle, « tout le monde (le) réclame » dans l’hémicycle pour qu’il s’explique sur l’affaire Benalla.

 

 

 

Marine Le Pen s'exprime également à l'assemblée nationale sur cette affaire face aux politiciens de La République en marche:

 

« Vous allez partir vous planquer en rasant les murs »

« C'est hallucinant (...) Vous êtes en train de faire une conférence de presse, de diffuser vos éléments de langage », lui a lancé la députée du Pas-de-Calais. « Je ne suis pas obligé de me caler sur ces moments rares où vous êtes dans l'hémicycle », lui a rétorqué le délégué général de LREM, sans répondre à sa question sur son absence devant les députés. « Vos amis de LREM refusent de vous convoquer, pourquoi? », a demandé Marine Le Pen, entourée par des caméras, dont celle de BFMTV. « Si je suis convoqué par la commission d'enquête, je viendrai. Et j'apprécierais que vous en fassiez autant si un juge vous convoque », a assuré le secrétaire d’Etat. Ce à quoi Marine Le Pen a répondu : « Comme d'habitude, vous allez partir vous planquer en rasant les murs ».

Source Valeurs Actuelles

Marine Le Pen apporte son soutien aux actions des Identitaires contre les migrants

La présidente du Front national a félicité mardi les membres de Génération Identitaire qui ont mené des actions à la frontière avec l’Italie pour empêcher des migrants de passer. Lors du rassemblement en hommage à Jeanne d’Arc, elle a également repris la théorie de la « submersion » de l’Europe par des migrants.

Marine Le Pen a rendu « hommage », mardi à Cannes (Alpes-Maritimes), aux actions contre les migrants menées dans les Alpes voisines par le mouvement radical Génération Identitaire (GI).

« C’était une belle opération de communication (et) quelque part il faut au moins leur rendre cet hommage », a déclaré la présidente du Front national après avoir déposé une gerbe « A Jeanne pour la France » au pied d’une statue de Jeanne d’Arc, avec plusieurs élus FN.

Elle salue une « grande victoire »
Les militants de GI « ont forcé l’ensemble de l’hémicycle de l’Assemblée nationale à réclamer, y compris sur les bancs de la gauche, que ce soit la police qui protège nos frontières. Eh bien je suis heureuse de ce revirement », a-t-elle ajouté, avant de se rendre à un rassemblement du FN et de ses alliés européens à Nice.

« S’ils (les militants de Génération Identitaire, N.D.L.R.) n’ont réussi que cela, c’est déjà une grande victoire pour eux », a poursuivi la députée du Pas-de-Calais.

La finaliste de la présidentielle a estimé qu’ils n’avaient « pas commis de délit ». « En revanche, les groupuscules d’extrême gauche qui font passer des migrants clandestins en France, eux, commettent un délit et on attend que la fermeté de l’État s’applique », a-t-elle ajouté.

La présidente du FN, qui fête pour la première fois le 1er mai loin de Paris, a expliqué que la réunion des partis nationaux populistes à Nice allait être l’occasion d’une « clarification ».

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Source et article complet Λlex Λ

France. Mireille Knoll, 85 ans, assassinée par un musulman: Le Crif ne veut ni Mélenchon ni Le Pen à la marche blanche

Une marche blanche est organisée à Paris en hommage à Mireille Knoll, octogénaire juive assassinée dans son appartement. Indésirable selon le Crif, tout comme les Insoumis, Marine Le Pen a néanmoins fait savoir qu'elle s'y rendrait.

Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Francis Kalifat a prévenu par un communiqué publié sur son compte Twitter le 27 mars : «Il semble qu’un faux procès soit fait au Crif quand à la venue de Jean-Luc Mélenchon au rassemblement en mémoire de Mireille Knoll [octogénaire juive assassinée le 23 mars à Paris] alors soyons clairs : ni Jean-Luc Mélenchon et les insoumis ni Marine Le Pen et le FN seront les bienvenus demain.»

Le Crif fait de la politique, moi, j'ouvre mon cœur

Plus tôt dans la journée, le président de l'organisation communautaire, qui avait appelé à une marche blanche le 28 mars, a également estimé sur le plateau de BFM TV que les membres du Front national et de la France insoumise étaient «parfois des vecteurs d'antisémitisme» en France et que «la haine d'Israël» était «aussi la haine des juifs en réalité».

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Le Tweet de Marine Le Pen: “Macron réagit à un attentat islamiste commis par un étranger, aux côtés de celle qui a ouvert l’Europe à une vague migratoire sans précédent”

Macron réagit à un attentat islamiste commis par un étranger, aux côtés de celle qui a ouvert l'Europe à une vague migratoire sans précédent. Désastreux aveuglement ! MLP 

 

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Le Front national ne pourra pas utiliser le nom “Rassemblement national” [MàJ: Le FN affirme avoir acquis la marque]

Mise à jour du 13 mars:

Le Front national aurait trouvé un accord avec le déposant de la marque à l'Inpi, contrairement à ce qu'affirmait dimanche le président revendiqué de cette association.

RECTIFICATIF: Contrairement à ce qu'écrivait "Le HuffPost" dans un premier temps sur la foi des déclarations d'Igor Kurek et faute d'avoir pu joindre Frédérick Bigrat, il n'est pas certain que Igor Kurek puisse empêcher le Front national d'utiliser la marque Rassemblement national. Le parti de Marine Le Pen et le déposant officiel de la marque "Rassemblement national" à l'Inpi, Frédérick Bigrat, affirment qu'un accord a été scellé entre les deux parties le 22 février 2018. Dans un communiqué non signé relayé par le Front national et attribué à l'association Rassemblement national, un individu qui se présente comme le président en activité de l'association "Rassemblement national", actuellement en cours de dissolution, conteste la légitimité d'Igor Kurek pour s'exprimer sur la question et confirme que le Front national s'est rendu propriétaire de la marque "Rassemblement national" qui doit désormais être avalisée par les adhérents du parti. Igor Kurek a promis une action en justice contre le Front national pour l'utilisation de la marque.

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Inimaginable. Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti d'extrême droite, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.

En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.

Il s'agit d'Igor Kurek, un gaulliste et ancien proche de Charles Pasqua, désormais à la tête d'un mouvement souverainiste, le "Rassemblement pour la France", mais aussi donc d'un "Rassemblement national". Et comme l'explique très clairement le communiqué publié par le compte Twitter aux 300 abonnés du "RN" (dont Marine Le Pen), le Front ne pourra pas utiliser son nouveau nom.

"La réalité: c'est que le Rassemblement national (RN) existe déjà... et continuera d'exister en présentant notamment des listes aux municipales de 2020", est-il notamment écrit dans le texte, qui précise aussi: "Le RN est de droite gaulliste et républicaine, le FN est d'extrême droite. Le FN ne sera jamais le RN et le RN ne sera jamais le FN."

Comme le relate L'Opinion, ce Rassemblement national d'Igor Kurek est une association loi de 1901, enregistrée dans les règles à la préfecture de Paris et qui a donc déjà présenté des candidats à des élections. Le journal précise aussi que le nom et son logo ont été déposés au nom de Kurek en 2013... principalement pour nuire à Florian Philippot, alors numéro 2 du FN.

Et le RN ne se prive d'ailleurs pas d'ironiser sur cette situation ubuesque: "Le rassemblement national de l'amateurisme de la première opposante auto-proclamée", débute effectivement le texte. Pas sûr que le FN apprécie l'ironie de la situation.

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Marine Le Pen propose que le FN devienne le «Rassemblement national»

 La présidente du mouvement d'extrême droite, qui a clôturé le Congrès de refondation du parti ce dimanche après-midi à Lille, va désormais soumettre ce nouveau nom au vote des militants.

La marque «FN» appartient désormais au passé. Alors que le Congrès de refondation du mouvement d'extrême droite s'est tenu ce week-end à Lille, Marine Le Pen a confirmé que le parti allait changer de nom... Et elle a révélé la nouvelle appellation qu'elle va soumettre au vote des militants: «Rassemblement national», qui avait déjà été le slogan du FN aux législatives de 1986. «J'ai beaucoup réfléchi et j'ai beaucoup consulté», a-t-elle dit lors de son discours de clôture, sans jamais prononcer les mots «Front national».

Durant de longues minutes, la députée a détaillé les raisons qui avaient motivé le choix de cette «dénomination». «Le nom sur lequel nous allons voter dans quelques semaines doit (...) porter un message politique, et même clairement indiquer le contenu de notre projet politique pour la France: le mot “national” me semble devoir y figurer impérativement car la nation représente chacun d'entre nous», a-t-elle expliqué. «Ceci relève pour nous de l'évidence mais ce n'est pas suffisant», a-t-elle ajouté.

«Je me plierai à la décision» des adhérents, assure Le Pen

«À l'heure où la France vit une recomposition politique, (le nouveau nom) doit - et c'est peut-être le plus important - exprimer une volonté de rassemblement. À l'heure où une immense majorité de Français sont émus de voir leur pays se fracturer, il doit aspirer à la réunion de toutes les énergies, à l'unité et à la solidarité nationale. Le nom doit être plus encore qu'un projet: ce doit être un cri de ralliement, un appel à nous rejoindre lancé à tous ceux qui ont la France au cœur (...)», a-t-elle martelé.

Rappelant que le logo historique du parti resterait inchangé - la flamme -, Marine Le Pen a insisté sur le fait que le nouveau nom du mouvement devrait désormais être approuvé par les militants. «Parce que nous avons toujours eu au cœur de notre projet le respect du peuple et de son vote - le référendum -, parce que nous nous sommes battus à la présidentielle sous la devise “Au nom du peuple”, je n'imagine pas d'autre voie que d'organiser un vote de tous les adhérents, et je me plierai à leur décision», a-t-elle affirmé.

Après le «parti de contestation» et le «parti d'opposition», Le Pen veut un «parti de gouvernement»

Véritable serpent de mer du FN depuis plusieurs années, la question du changement de nom a été récemment remise à l'ordre du jour par le double revers de la présidentielle et des législatives. Longtemps réfractaire à cette idée, Marine Le Pen s'y est finalement résignée dans l'espoir de briser le plafond de verre qui la sépare du pouvoir. En effet, la patronne du parti espère ainsi rompre définitivement avec l'image de son père et pouvoir «mettre en œuvre des alliances», car «gagner sans alliance est ardu» dans la Ve République.

«Vous le savez, (le nom Front national) est pour beaucoup de Français, même de toute bonne foi, un frein psychologique. Vous le savez parce que vous l'avez entendu, vous l'avez très probablement compris parce que vous avez rencontré des électeurs. C'est pour certains un frein psychologique pour nous rejoindre ou tout simplement pour voter», a-t-elle regretté, expliquant que le «parti de contestation» d‘hier était aujourd'hui un «parti d'opposition» et qu'il avait vocation à devenir demain un «parti de gouvernement».

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Pour Marine Le Pen, les tweets racistes contre Jeanne d’Arc 2018 sont “honteux”

"Ce n'est pas un biopic de Jeanne d'Arc, ce sont des valeurs d'engagement. Et cette jeune fille répond à tous les critères", s'est agacé la présidente du Front national.

La présidente du Front national, Marine Le Pen, a qualifié dimanche sur BFMTV de "honteux" les tweets racistes contre une jeune métisse choisie pour incarner Jeanne d'Arc aux prochaines festivités annuelles célébrant l'héroïne d'Orléans. "C'est honteux ! Il faut que tout le monde comprenne que ces fêtes qui se déroulent chaque année sont là pour exprimer les valeurs que défendait Jeanne d'Arc", a-t-elle déclaré.

 

Jeanne d'Arc

 

 

"Ceci n'a rien à voir avec la couleur de la peau". "Ce n'est pas un biopic de Jeanne d'Arc, ce n'est pas un film (sur) Jeanne d'Arc, ce sont des valeurs d'engagement, ce sont des valeurs de foi. Et cette jeune fille, en l'occurrence, répond à tous les critères et ceci n'a évidemment strictement rien à voir avec la couleur de la peau", a souligné la finaliste de l'élection présidentielle.

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Source et article complet

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappel:

Sarkozy : Métissage OBLIGATOIRE pour la France

 

 

 

 

 

Hommage à Johnny Hallyday: Marine Le Pen indésirable… La famille de Johnny n’a pas voulu d’elle

Vexée, Marine Le Pen ! Alors qu’elle avait prévu de se rendre ce samedi matin à l’hommage populaire pour Johnny Hallyday, la présidente du Front national a appris qu’elle était persona non grata par la famille du rockeur défunt.

La pilule est amère : « Est-ce que cela s’adresse également à mes électeurs ? Car ils sont nombreux à faire partie du public qui a soutenu Hallyday tout le long de sa carrière », réagit l’ex-candidate à la présidentielle, contactée par notre journal, qui était vendredi à la cérémonie d’hommage national organisée pour l’écrivain Jean d’Ormesson. La députée est d’autant plus agacée que «Johnny avait fait un spectacle à Fréjus à l’invitation de David Rachline », le maire FN de la ville, en juillet 2016.

C’est donc devant sa télé que la présidente frontiste devrait suivre les obsèques. Car malgré tout, Marine Le Pen aimait les chansons de Johnny Hallyday, et même le personnage de la star : « Je suis née en 1968, alors je fais partie de ces Français qui toute leur vie ont été bercés par ses chansons, confie-t-elle au Parisien. Il a été un chanteur du peuple et adulé par le peuple. Il touchait tous les âges et toutes les classes sociales. C’est incontestablement un monument qui s’en va. Il y aura un avant et un après Johnny ».

Parmi ses chansons préférées, elle retient « L’Envie », « une chanson puissante portée par cette incroyable voix », mais aussi « Marie » et les « Portes du pénitencier ».

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Le désordre au FN est consternant d’immaturité

FN-7

   
Michel Garroté  --  Donc, Florian Philippot vient de quitter le FN. Revenons sur les derniers épisodes de ce feuilleton. Louis Aliot, vice-président du Front National et compagnon de Marine Le Pen, a annoncé qu'il quittait la présidence de son association "Idées et Nation". Dans un "souci d'apaisement et pour mettre fin à un faux procès", c'est Edouard Ferrand, eurodéputé FN (proche de Louis Aliot), qui présidera le Club "Idées & Nation".
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Marine Le Pen a pressé, mercredi 20 septembre 2017, Florian Philippot, vice-président du Front National, de trancher rapidement  le conflit d’intérêts qu’il a créé, selon elle, avec son association "Les Patriotes", lancée en mai. "J’ai demandé à Florian de choisir. Je vais le rencontrer. S’il n’accepte pas, je choisirai pour lui".
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Résultat de ce conflit interne : Florian Philippot et certains de ses partisans ont annoncé, jeudi 21 septembre 2017, leur départ, pur et simple, du Front National. Ce désordre au FN est consternant d’immaturité.
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Sur son blog du Figaro, Ivan Rioufol écrit notamment (c'était peu avant le départ de Philippot ; extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le PS n’en finit pas de mourir. Cette fois, c’est son hôtel particulier de la rue de Solférino (Paris, VIIe arrondissement) qui va être mis en vente. Il avait été acheté en 1980 et avait été le théâtre des grandes heures de la gauche triomphante.
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Ivan Rioufol : La page qui se tourne prend acte de la faillite du socialisme. La bataille des idées a été gagnée par la droite, et singulièrement par le FN. C’est Marine Le Pen qui, en effet, a réussi à imposer dans le débat public l'évocation des sentiments nationaux et patriotiques, longtemps caricaturés par la bien pensance [ndmg - ce qui n'empêche pas Ivan Rioufol d'écrire que le désordre qui s’affiche au FN, en dépit de sa victoire idéologique, est consternant d’immaturité ; voir ci-dessous].
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Ivan Rioufol : C’est cette même réhabilitation du souverainisme qui est portée par la révolution conservatrice de Donald Trump. Mardi, devant l’assemblée générale de l’ONU, le président américain s’est fait le défenseur de l’Etat-Nation, à rebours de l’idéologie progressiste qui avait cru pouvoir enterrer ce concept jugé dépassé. "Nous demandons un grand réveil des Nations", a-t-il notamment déclaré. Partout s‘observe ce retour aux singularités des peuples et des cultures.
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Ivan Rioufol : Ce phénomène est un mouvement de fond qu’Emmanuel Macron ne prend pas en considération. Le président français s’est montré, devant les Nations unies, en héritier appliqué d’un progressisme angélique qui perpétue une vision de plus en plus dépassée.
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Ivan Rioufol : En cela, Macron est le véritable défenseur du monde ancien, qui croit encore en une impossible gouvernance mondiale. Reste ce paradoxe : alors que la gauche s’effondre - et spectaculairement au Venezuela, dont le régime est louangé par Jean-Luc Mélenchon - la droite n’arrive pas à emprunter la voie royale du renouveau des Nations souveraines.
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Ivan Rioufol : Le désordre qui s’affiche au FN, en dépit de sa victoire idéologique, est consternant d’immaturité. Le parti apparait comme un panier de crabes, où les querelles personnelles ont pris le pas sur les débats d’idées. Mercredi, Louis Aliot, vice-président du parti, a quitté la présidence de son courant, "Idées et Nation", pour inciter Florian Philippot à en faire autant avec son association "Les Patriotes".
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Ivan Rioufol : Cependant, l’autorité de Marine Le Pen, entamée après sa prestation à la veille du second tour, est compromise [ndmg - Comme écrit plus haut, Florian Philippot et certains de ses partisans ont annoncé, jeudi 21 septembre 2017, leur départ, pur et simple, du Front National ; de ce fait, "l’autorité" de Marine Le Pen est encore plus compromise qu'auparavant].
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Ivan Rioufol : De son côté, Laurent Wauquiez (LR) donne le sentiment de peiner à s’ancrer dans la droite forte qu’il dit vouloir représenter. Sur BFMTV et RMC, il a admis que Trump lui faisait peur "parce qu’il y a des moments où il est excessif" et parce que "ses positions sur le climat ne sont pas normales".
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Ivan Rioufol : Mais si le président américain affole le Système, c’est justement parce qu’il désigne les vrais dangers, à commencer par la Corée du nord. Quand Macron assure, martial : "Nous ne reculerons pas" en parlant de l’accord sur le climat, il reste dans la mascarade qui gruge une partie de la droite. Pendant ce temps, les Français s’impatientent, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Voilà pour ce qu'en pense Ivan Rioufol.
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Pour ce qui me concerne, le FN a toujours été un panier de crabes où les querelles personnelles prennent systématiquement le pas sur les débats d’idées. Ce n'est donc pas nouveau, selon moi. Le FN, c'était et ça demeure, le clan Le Pen, avec ses excès, ses divisions et ses caprices. Et le clan Le Pen a toujours voulu, et veut encore, rester un parti d'opposition et  d'immaturité. Cela porte d'ailleurs un nom : lepénisme.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 21.9.2017
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Source mentionnée :
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/09/le-ps-nen-finit-pas.html
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Tentative d’attentat à Marseille en avril dernier: Marine Le Pen était bel et bien visée

«Libération» a eu accès à des éléments nouveaux dans l’enquête sur des attaques avortées avant la présidentielle. Les deux suspects, devenus inséparables après leur rencontre en prison, visaient un meeting de Marine Le Pen, des bureaux de vote et des bars.

Il n’en fallait pas plus pour que certains médias, peu soucieux de l’exactitude, intitulent leurs articles consacrés à l’affaire «Attentat contre François Fillon». Si la protection du candidat LR avait été renforcée - de même que celles d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen - les enquêteurs ont acquis aujourd’hui la conviction que Fillon n’était pas directement visé. En revanche, le meeting de la candidate du Front national qui se tenait le mercredi 19 avril à Marseille - à quatre jours du premier tour de l’élection présidentielle - figurait, lui, parmi les cibles de Baur et Merabet.

Les deux hommes ont en outre effectué des recherches sur des bars marseillais. Enfin, il semble qu’une attaque contre des bureaux de vote marseillais le dimanche du premier tour de la présidentielle ait été envisagée. Pour se figurer les itinéraires possibles, Baur et Merabet avaient affiché une carte de la ville sur les murs de l’appartement. En garde à vue, Mahiedine Merabet, délinquant endurci et familier des interrogatoires, demeurera mutique. Clément Baur, lui, concède l’existence d’une action terroriste, même s’il en minimise au maximum la portée.

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Rappels:

Se pensant hors antenne, Macron reconnait que Mohamed Saou est un islamiste radical. Marine Le Pen réagit et est… censurée.

Pour Emmanuel Macron, si les jeunes s’islamisent, c’est de notre faute! (Vidéo)

France: Suite à une plainte du maire de Nice, Marine Le Pen perd son immunité

La justice française instruit une plainte en diffamation engagée contre Marine le Pen par le maire de Nice, Christian Estrosi.

L'élu Les Républicains reproche à la présidente du Front national d'avoir affirmé, lors d'une émission d'iTELE (devenu CNEWS) et d'Europe 1, en réponse à une question d'un journaliste, qu'il était «un peu complice» des djihadistes.

L'eurodéputée d'extrême droite avait auparavant mis en cause ses liens supposés avec l'Union des organisations islamiques de France, proche des Frères musulmans.

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Poutine répondait aux questions sur l’ingérence russe et sur la visite de Marine Le Pen à Moscou [vidéo]

A l'issue de sa première rencontre avec Emmanuel Macron, le président russe est revenu sur la visite de Marine Le Pen à Moscou durant la campagne. Il a estimé qu'il aurait été «étrange» de ne pas la recevoir, réfutant toute volonté d'ingérence.