Un ministre serbe enlevé en public par un commando albanais: “Sur la route, ils criaient «Allahou Akbar».”

Leur victime est le ministre serbe Marko Djuric chargé de la question du Kosovo dans le gouvernement de Belgrade. Ce grave incident s’est déroulé à Mitrociva, ville du nord du Kosovo divisée entre un secteur serbe et un secteur albanais. 

"Enlevé puis séquestré, le ministre serbe en charge du Kosovo, Marko Djuric a été attaqué hier [26 mars] par une unité de forces spéciales albanaises du Kosovo alors qu’il participait à une réunion publique à Kosovska Mitrovica consacrée « au dialogue interne ».

Il est un peu plus de 17 h 30 lorsque la table ronde présidée par le ministre serbe, Marko Djuric, est interrompue par des explosions de grenades assourdissantes. Dehors se joue un drame. Un commando albanais de cinquante hommes cagoulés et lourdement armés, débarque sur le perron du bâtiment public. Alors que des civils serbes tentent de les retenir à l’extérieur, les ravisseurs forcent le passage à coups de gaz lacrymogènes et de matraques.  S’en suit une scène d’une violence inouïe.

Les élus serbes sont d’abord projetés à terre puis mis en joue par les hommes cagoulés avant d’être frappé à coup de crosse. Les journalistes sont frappés, les caméras jetées. Le ministre Djuric, lui aussi molesté, est délogé manu militari jusqu’au centre de Pristina. Sur toute l’artère piétonne de la ville, l’homme d’État serbe est « traîné, courbé en deux, devant les caméras et sous les insultes des habitants » ont constaté des journalistes de l’AFP.

Expulsé du Kosovo après avoir été séquestré, le ministre serbe est arrivé en fin de matinée à Belgrade où il a été hospitalisé et soigné. « Ils m’ont jeté dans l’un des convoyeurs puis ils m’ont frappé. Ils ont essayé de m’effrayer, ils m’ont planté leurs mitrailleuses dans l’estomac. Un autre a sorti un couteau et m’a menacé. Pendant tout ce temps, certains prenaient des « selfies». Sur la route jusqu’à Pristina, ils criaient «Allahou Akbar». Après cela, ils m’ont conduit dans les rues de la ville puis ils m’ont emmené dans un sous-sol » témoigne Marko Djuric, encore sous le coup de l’agression, les poignets et les mains bandés.

Solidarité Kosovo condamne avec la plus grande fermeté l’attaque perpétrée contre le ministre serbe, Marko Djuric. Solidarité Kosovo exprime également sa profonde solidarité et son soutien indéfectible aux trente victimes serbes blessés au cours de l’agression et plus largement aux Serbes du Kosovo qui se sentent plus que jamais en danger."

Source : Solidarité Kosovo, 27 mars Via Christianophobie.fr

Source2

Suisse: Malgré les menaces de mort contre nos inspecteurs de l’AI, les Kosovars devraient à nouveau recevoir leur AVS et l’AI au Kosovo.

Les Kosovars retournés au pays devraient à nouveau recevoir leur rente AVS ou AI. Le Conseil fédéral a approuvé mercredi une nouvelle convention négociée avec Pristina et donné son feu vert à la signature. Le nouvel accord comporte une clause d'assistance mutuelle pour lutter contre les abus.

Menaces de mort

Le Kosovo est seul Etat de l'ex-Yougoslavie avec lequel il n'existe plus d'accord depuis le 1er avril 2010. En décembre 2009, le gouvernement avait décidé de ne plus le reconduire après que des enquêteurs chargés sur place de débusquer des abus avaient reçu des menaces de mort.

(...)

Source et article complet

Rappel

Le Kosovo est rongé par la corruption

KOSOVO : Le calamiteux «bébé» de la diplomatie suisse

A l’occasion des dix ans de la république autoproclamée du Kosovo, les médias occidentaux et suisses en particulier y sont allés de leur pommade… sachant que la ministre suisse des AE de l’époque fut en pointe du combat pour la reconnaissance de cette «république» arrachée à la Serbie par l’OTAN. Quelques voix, tout de même, détonnent dans le concert de louanges. Ainsi celle de Gabriel Galice, président du GIPRI:

Suite

Catalogne et Kosovo : la Serbie dénonce «l’hypocrisie» et le «deux poids deux mesures» de l’UE

Le président serbe Aleksandar Vucic a critiqué la position de l'UE sur le référendum catalan jugé «illégal», rappelant que Bruxelles avait reconnu la déclaration d'indépendance du Kosovo en 2008, alors qu'elle n'avait pas fait l'objet d'un vote.

Le référendum sur l'indépendance de la Catalogne organisé le 1er octobre a suscité de nombreuses réactions à travers le monde. Certains ont soutenu la démarche des indépendantistes, d'autres, comme la Russie, ont préféré ne pas prendre parti. Certains, enfin, ont condamné un scrutin jugé illégal, à l'instar de l'Union européenne. Lors d'une conférence de presse donnée le 2 octobre, le président serbe Aleksandar Vucic a dénoncé une incohérence dans la position adoptée par Bruxelles.

«La question que chaque citoyen serbe se pose aujourd'hui en regardant l'Union européenne est la suivante : comment se fait-il que, dans le cas de la Catalogne, le référendum d'indépendance ne soit pas valide, mais qu'à ses yeux la sécession du Kosovo, pourtant organisée sans référendum, le soit ?», s'est-il interrogé, comme le rapporte la chaîne de télévision serbe B92.

En effet, la Commission européenne s'est alignée sur la position du gouvernement espagnol, considérant que le référendum catalan était illégal, car non-constitutionnel. Ce refus européen d'entendre les revendications d'indépendances catalanes n'a pas échappé à Belgrade. Dans le cas de l'indépendance du Kosovo proclamée en 2008, l'Union européenne avait appuyé les démarches de sécession de l'ancienne province autonome serbe.

Le contraste, selon Aleksandar Vucic, est d'autant plus flagrant que l'Union européenne a affirmé que la répression violente par la police espagnole le jour du référendum relevait d'une «affaire interne» dans laquelle elle ne voulait pas faire ingérence. Or, dans le cas du Kosovo, Bruxelles avait rapidement pris position, jusqu'à adopter une résolution demandant aux Etats européens de reconnaître le Kosovo indépendant. «C'est le meilleur exemple du deux poids deux mesures et de l'hypocrisie dans le domaine de la politique internationale», a martelé Aleksandar Vucic.

Le Kosovo : un précédent majeur dans les relations internationales

Le Kosovo, province serbe majoritairement peuplée d'Albanais, a déclaré son indépendance en 2008 après une longue et meurtrière guerre débutée en 2009. Au cours du conflit, les Etats-Unis et l'OTAN étaient intervenus sans mandat de l'ONU à l'appel des rebelles albanais qui luttaient pour l'indépendance contre le gouvernement yougoslave de Belgrade, attaché à l'unité du pays. Si une grande partie de la minorité serbe du Kosovo a fui le pays par peur des représailles des milices albanaises, un certain nombre demeurent toujours dans le nord du pays.

La question du Kosovo constitue depuis près de dix ans un précédent en matière de politique internationale, auquel sont particulièrement sensibles les pays où des mouvements séparatistes agissent. Ainsi, le pays n'est par exemple pas reconnu par la Grèce, la Tunisie, la Roumanie... ou l'Espagne, qui a préféré faire le choix de la cohérence plutôt que de se plier à la résolution européenne de 2010.

C'est également la position adoptée depuis toujours par la Russie, notamment parce qu'elle révèle l'ambivalence de la position occidentale dans le dossier criméen. «Nos partenaires occidentaux ont créé le précédent du Kosovo de leurs propres mains», avait déclaré Vladimir Poutine devant le parlement russe en 2014. Il avait alors souligné que la situation au Kosovo et en Crimée était «exactement la même», mais que la diplomatie occidentale, dans sa grande majorité, avait choisi de traiter les deux cas de manière différente.

Source

Les Balkans sont la base européenne du djihad

Balkans-4

   
Michel Garroté  --  Depuis août 2016, des camps d’entraînement ont été ouverts notamment par l’EI dans le Kosovo. Les plus importants sont situés à la frontière avec la Macédoine, dans le district de Decani ; d’autres, plus modestes, sont dans les environs de Prizren et Pec. De nombreux Kosovars ont rejoint ces camps, où d’anciens soldats de l’Armée de Libération du Kosovo enseignent à leurs membres le maniement des armes et le Coran. Dans la Bosnie voisine, les mêmes causes ont engendré les mêmes problèmes : le pays compte près de 100'000 disciples du wahhabisme, dont plus de 4'000 sont des militants radicaux, qui prennent les armes pour le djihad partout et à n’importe quel moment.
-
A ce propos, dans Causeur, la politologue Ana Pouvreau écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans ce dernier quart de siècle, les six ex-républiques yougoslaves -- Bosnie-Herzégovine, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie) -- sont devenues des Etats indépendants, de même que l’ancienne province serbe du Kosovo, qui a proclamé son indépendance en 2008 (cf. l'ouvrage sur lequel se base Ana Pouvreau : "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude ; plus de détails en bas de page). Ce processus s’est déroulé au prix de centaines de milliers de victimes. Les estimations, quant au nombre de morts, oscillent entre 100'000 et 200'000. L’intégration euratlantique de ces nouveaux Etats se poursuit tant bien que mal.
-
La Slovénie (2004) et la Croatie (2013) ont déjà intégré l’Union européenne (UE), tandis que le Monténégro, sans faire partie de l’UE, est devenu le 29ème Etat-membre de l’OTAN en 2017. La demande d’adhésion à l’UE de la Bosnie-Herzégovine a été acceptée en 2016. La Serbie, quant à elle, désormais séparée du Monténégro depuis 2006 et amputée de sa province kosovare, peine à intégrer l’UE. Il en est de même pour la Macédoine en raison du blocage de la Grèce. Au-delà de ces évolutions, les auteurs décrivent à quel point - aux antipodes des promesses de prospérité, de stabilité et de sécurité, chères aux partisans de ces multiples indépendances - la plupart de ces nouveaux Etats sont fragiles. Certains seraient même en passe de devenir des 'Etats faillis'.
-
La corruption endémique des nouvelles élites politiques de la région, l’expansion exponentielle de groupes criminels et l’instabilité chronique due à l’échec de l’éradication de la pauvreté de même que la persistance des revendications territoriales ethniques voire claniques, font le lit de courants délétères de plus en plus susceptibles de plonger les Balkans dans le chaos et de se propager au reste de l’Europe. Vulnérabilisée par l’explosion de trafics en tous genres -- acheminement vers l’Europe de l’Ouest de l’héroïne en provenance d’Afghanistan, trafics d’êtres humains, trafics d’armes, détournement de l’aide internationale, malversations diverses, etc. -- mais aussi par la persistance des revendications irrédentistes (albanaises, hongroises, etc.), la région serait devenue, en quelques années, un réel 'trou noir' en Europe. Le déversement de milliards d’euros d’aide internationale ne semble pas résoudre le problème.
-
Au contraire, la région prête le flanc, depuis plusieurs années déjà, à l’entrisme des islamistes radicaux. La présence de camps d’entraînement terroristes en Bosnie-Herzégovine et la radicalisation de centaines d’individus, au sein des populations locales kosovares et bosniennes, par le biais de prédicateurs wahhabites et d’organisations caritatives, ont d’abord fait le lit d’Al Qaeda, dès les années 1990, puis celui de l’Etat islamique depuis 2014.
-
En conclusion, l'ouvrage "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", certes très critique vis-à-vis de l’action de la communauté internationale dans les Balkans, permet d’apporter, en contrepoint aux scenarii généralement optimistes concernant l’avenir de la région, qui prévalent en Occident, une grille de lecture très différente. La confrontation de ces points de vue divergents devrait être bénéfique à l’effort d’analyse prospective qui s’impose en ce qui concerne cette région d’une grande importance géostratégique et dont l’évolution aura prochainement un impact considérable sur le reste de l’Europe, conclut Ana Pouvreau, citant "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad" (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour Les Observateurs
-
https://www.causeur.fr/yougoslavie-balkans-troude-terrorisme-djihad-146475
-
"Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude, Editions Xenia, 2017, 242 pages, 19€.
-

Le président du Kosovo fier de l’intégration des Kosovars en Suisse

Le président du Kosovo Hashim Thaçi loue la Suisse jeudi dans une interview au quotidien Blick. Il qualifie les relations entre les deux pays d'«excellentes» et se dit fier et heureux que les gens qui se sont réfugiés en Suisse durant la guerre civile en ex-Yougoslavie, fassent désormais partie de la société helvétique.

La Suisse est une «terre d'opportunités», déclare M. Thaçi dans l'entretien au journal alémanique. Les Kosovars en Suisse devraient profiter au maximum de cette «chance».

(...)

Source et article complet

Rappels:

Vaud: Home-Jacking par 4 Kosovars.

Tessin. Le réseau kosovar volait des permis de séjour directement dans nos administrations.

Tessin: Le Kosovar naturalisé qui a tué un père de famille ne sera pas déchu de la nationalité « Un homicide n’est pas une raison suffisante. »

Suisse. Genève: Un meurtrier kosovar, qui devait être expulsé, tente de tuer encore une fois.

Argovie: Le Kosovar avait menacé les policiers avec une hache. Il bénéficiera d’un suivi psychiatrique à la place de la prison.

Suisse. Immigration: Les Kosovars et les Albanais ont renforcé leur présence dans le trafic de drogues

La Suisse touchée par l’islamisation via l’immigration kosovare

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

(photo prise en 2008, à l'occasion de l'ouverture de l'ambassade de Suisse au Kosovo)

L’ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey est à l’honneur au Kosovo aujourd’hui. Lors d’une cérémonie qui est célébrée jeudi après-midi à Viti, une plaque en son honneur sera inaugurée dans cette ville du sud-est du pays.

Motif de ce geste: le rôle qu’a joué Micheline Calmy-Rey, en tant que cheffe du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), pour promouvoir l’indépendance du Kosovo.

(...)

Source et article complet

 

Aujourd'hui, ce pays corrompu est un nid à jihadistes mais notre presse préfère en faire la promotion et féliciter Calmy-Rey. Il est vrai que cette socialiste n'a rien fait pour les Suisses tout en militant exclusivement pour les autres ethnies. Calmy-Rey, ex-ministre du Kosovo!

C'est à cause de cette immigration que l'islam a pu s'établir dans notre pays. Ce qui fait la joie aujourd'hui d'un Gemperli qui peut ainsi avancer ses revendications.

En outre, voici quelques rappels concernant cette communauté:

Suisse. Immigration: Les Kosovars et les Albanais ont renforcé leur présence dans le trafic de drogues

Tessin. Le réseau kosovar volait des permis de séjour directement dans nos administrations.

Fribourg: Le Serbe et le Kosovar avaient violé la jeune fille de 14 ans

Vaud. Football « suisse »: Un joueur de Bosna Yverdon agressé à coups de barre de fer par des joueurs kosovars

Jura: Les Kosovars avaient violé une adolescente de 17 ans. Ils n’ont aucun remords et c’est la Suisse qui paiera l’essentiel des frais.

Tessin: Le Kosovar naturalisé qui a tué un père de famille ne sera pas déchu de la nationalité « Un homicide n’est pas une raison suffisante. »

etc.

 

 

Kosovo, une chrétienté en péril [reportage vidéo]

Le Kosovo-Métochié est une terre où la chrétienté orthodoxe est présente depuis plus de 700 ans. Ce "berceau" du christianisme orthodoxe en Serbie, compte plusieurs monuments placés sur la liste du patrimoine mondial de l´UNESCO mais aussi sur la liste du patrimoine mondial en péril. Le Kosovo, c´est une chrétienté en péril: depuis l´an 2000 on dénombre près de 150 lieux de culte chrétien pillés, détruits, incendiés... Pour les serbes orthodoxes, il s'agit donc d'un enjeux de première importance depuis l'autoproclamation d´indépendance du Kosovo: maintenir la flamme vivace et préserver tout ce qui peut l´être. Ce documentaire est une sorte d´état des lieux de la situation dans laquelle perdurent la tradition et la présence serbe orthodoxe, comment elle se maintient en vie dans ses monastères et rayonne dans ses villages, chez les fidèles. Une communauté soumise à épreuve face à la tentation de radicalisation d´un Islam démographiquement majoritaire au Kosovo.

UNE COPRODUCTION KTO/VICKEN PRODUCTION 2016 - Réalisé par Eddy Vicken et Yvon Bertorello
Documentaire du 10/04/2017 :

https://youtu.be/swvdagfCvEU

Un “Suisse” arrêté au Kosovo octroyait des permis B à des personnes qui n’en avaient pas le droit

Christian Hofer: Évidemment le "Suisse" est un Kosovar.

Qui d'autre irait au Kosovo pour fuir? Est-ce qu'un Suisse voyagerait dans un pays dont il ne connait pas la langue, ni la culture, où il ne possède aucune attache et qui lui est totalement étranger?

Notre administration préfère les engager au lieu de prendre un Suisse de souche! On voit les remerciements.

**********

Scandale à l'office cantonal des migrations tessinois. Un employé octroyait des permis B à des personnes qui n'en avaient pas le droit. Il a été arrêté.

Quatre personnes, en lien avec une enquête ouverte sur de la traite d'êtres humains, de la corruption et des infractions à la loi sur les étrangers, ont été interpellés mardi dans la région de Bellinzone. Un Suisse âgé de 25 ans, précédemment arrêté au Kosovo à la suite d'un mandat d'arrêt, et propriétaire d'une entreprise de constructions actuellement en liquidation, est considéré comme le cerveau de la cellule.

Source et article complet

Nos remerciements à Info

Suisse: Un gang de cambrioleurs de Bosnie, du Kosovo et de Serbie a opéré dans huit cantons

La bande a opéré dans les cantons du Jura, d'Argovie, Berne, Bâle-Campagne, Lucerne, Saint-Gall, Soleure, et de Zurich. Elle s'attaquait essentiellement à des maisons familiales et à des entreprise, dérobant des espèces ou des objets de valeur.

Les sept suspects sont âgés de 29 à 53 ans. Ils sont ressortissants de Bosnie-Herzégovine, du Kosovo et de Serbie, a indiqué lundi le Ministère public du canton de Lucerne. Trois des personnes arrêtées habitaient en Suisse. Les autres venaient de France.

 

Source et article complet

Nos remerciements à 

Attentats de l’Etat islamique: 19 personnes arrêtées au Kosovo, en Macédoine et en Albanie

 

La police kosovare affirme avoir déjoué deux attentats orchestrés par le groupe Etat islamique.

L’une des cibles était le match Albanie – Israël que les autorités de Tirana avaient justement rapproché de la capitale pour des raisons de sécurité.

Dix-neuf personnes ont été arrêtées au Kosovo le 4 novembre, et six autres en Macédoine et en Albanie.

Les suspects étaient en contact avec un certain L.M, peut-être Lavdrim Muhaxheri, un membre du mouvement jihadiste qui s’est proclamé “commandant des Albanais en Syrie et en Irak”. 300 Kosovars auraient rejoint les rangs de l’Etat islamique.

Source

Rappel: Le parti socialiste a milité pour accueillir les Kosovars en Suisse.

Kosovo-et-Métochie : des étudiants albanais exigent la destruction d’une église à Pristina

Un groupe d’étudiants en mathématiques et sciences naturelles de l’Université Hasan Pristina, a fait parvenir un courrier à un média local de Pristina pour exiger que l’église du Christ-Sauveur, en construction depuis les années 1990 et qui se trouve désormais sur le campus de l’Université, soit détruite ou affectée à une autre destination comme une « bibliothèque », précisent-ils. Il est troublant que les autorités de la République autoproclamée du Kosovo n’aient point doté cette Université fondée en 2004, d’une bibliothèque…

Les étudiants mettent en garde : « Nous estimons que la construction n’a été entreprise que pour créer des tensions interethniques. Pour cette raison, nous nous sommes abstenus d’agir mais si la construction reprenait ces prochains jours, nous réagirions comme ont toujours réagi les Albanais du Kosovo ».

Pour ceux des lecteurs qui ignoreraient ce que cela veut dire, ils pourront parfaire leur instruction ici… Ces étudiants s’empressent de préciser qu’ils n’ont rien contre la religion – fondamentalement la religion musulmane… – ou des bâtiments religieux – des mosquées pensera-t-on… –, mais ils sont violemment opposés à la « dégradation » de leur campus… Sur la « dégradation » du bâtiment lui-même, ils demeurent curieusement muets. Je rappellerai aux lecteurs de L’Obs que cette église en cours de construction, sert habituellement de latrines pour les étudiants ou d’autres ressortissants de la République autoproclamée du Kosovo, et qu’on a tout récemment tenté de l’incendier… L’Église orthodoxe serbe avait entrepris, jeudi dernier, de nettoyer cette églises de tous les immondices qui s’y étaient accumulés et d’effacer les stigmates du récent incendie. Ce nettoyage a été immédiatement arrêté par les autorités municipales de Pristina au motif que l’Église n’avait pas reçu d’autorisation d’y procéder…

Source : Balkan Insight, 16 septembre via christianophobie.fr

Brûler les chrétiens et accueillir les musulmans

   
Michel Garroté - Des centaines d’Albanais musulmans ont violemment manifesté dans plusieurs villes du Kosovo - République autoproclamée du Kosovo - et lancé des slogans appelant à « brûler les Serbes et leurs églises ». Des chrétiens orthodoxes ont été empêchés de se rendre dans leurs églises et leurs voitures ont été caillassées. Le bureau du représentant spécial de l’Union européenne de Pristina, au Kosovo, s’est contenté de se dire « préoccupé par ces incidents ».
-
Je suppose que si des chrétiens serbes avaient appelé à « brûler les musulmans kosovars albanais et leurs mosquées », le bureau du représentant spécial de l’Union européenne de Pristina, au Kosovo, se serait sans doute dit horrifié par autant de haine islamophobe et la nouvelle aurait aussitôt été reprise par les médias du monde entier.... La République autoproclamée du Kosovo, musulmane à 95%, est candidate à l’adhésion à l’Union européenne. Allez ! Vive l'Eurabia ! Vive le Califat européen !....
-
Par ailleurs, le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a déclaré à 'The Standard' que le continent européen et le Royaume-Uni sont sous la menace de l’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie alors que l’Etat islamique vient de prendre la décision stratégique d’envoyer de nombreux combattants vers l’Europe.
-
Rob Wainwright assure que les guerriers d’Allah utilisent de plus en plus souvent des documents falsifiés pour leur permettre de pénétrer dans l’Union européenne, des passeports syriens notamment. La décision de l’Etat islamique fait suite aux défaites essuyées sur le terrain en Syrie. Rob Wainwright a ajouté qu’un nombre croissant de ces combattants se font passer pour des réfugiés pour pénétrer sur le sol européen.
-
Selon le directeur d’Interpol, il existe des éléments qdémontrant que des extrémistes radicalisent des migrants dans les points d’accueil des réfugiés en Grèce et dans les Balkans. De son côté, le journal italien 'La Stampa' vient de révéler que de faux passeports fabriqués à l’intention de terroristes de l’État islamique ont été mis fabriqués dans des camps de réfugiés en Grèce.
-
Brûler les Serbes et leurs églises et accueillir les "migrants" musulmans au sein de l'Union Européenne, tel est le vaste programme bel et bien mis en place par les fossoyeurs de l'Europe libre et laïque de culture judéo-chrétienne.... Et nos femmes devront choisir entre femme voilée et femme violée.... Vive l'Eurabia ! Vive le Califat européen !....
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-

Camps d’entraînement de l’EI au Kosovo et en Bosnie

EI-4

   
Michel Garroté - On peut lire sur LSB (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) que cinq camps d’entraînement ont été ouverts par l’EI dans le Kosovo. Les plus importants sont situés à la frontière avec la Macédoine, dans le district de Decani ; d’autres, plus modestes, sont dans les environs de Prizren et Pec. Près de 70 familles kosovares ont déjà rejoint ces camps, où d’anciens soldats de l’Armée de Libération du Kosovo enseignent à leurs membres le maniement des armes et le Coran. Dans la Bosnie voisine, les mêmes causes ont engendré les mêmes problèmes.
-
Ce pays de 4 millions d’habitants a envoyé près de 200 de ses ressortissants au sein de l’EI en Syrie ; en 2013 et 2014, 156 hommes, 35 femmes et 25 enfants ont quitté la Bosnie pour l’EI, 47 en sont revenus. Et la présence potentielle d’un camp d’entraînement djihadiste à Osve, révélée par le journal anglais « Sunday Mirror » en juillet 2015, a fait la une de la presse européenne. Il y en a d’autres, comme Gorna Maioca, au nord du pays. Ce sont d’anciens villages serbes ou croates, vidés de leur population par la guerre civile, où se sont réinstallées des communautés musulmanes ultra-conservatrices, dirigées par des prédicateurs radicaux.
-
L’épuration ethnique, effectuée à l’époque avec l’indifférence bienveillante de l’UE, se retourne ainsi contre elle en transformant les contrées reculées de la Bosnie en pépinière djihadiste. Le cancer islamiste se propage dans toute la région, de la Bosnie à l’Albanie en passant par la Macédoine, le Kosovo et le Montenegro. Partout, les Etats sont trop faibles et trop corrompus pour lutter contre le fléau, tandis que l’UE n’a d’yeux que pour le Levant et la Libye, où la situation est très préoccupante. Cependant, les indices alarmants s’accumulent.
-
En juin 2016, l’agence de presse Reuters citait un rapport de l’ONG Atlantic Initiative, basée à Sarajevo (Bosnie). Selon celle-ci, 80 adolescents bosniaques, âgés de 13 à 14 ans, sont entraînés par l’EI en Irak et en Syrie. Avec le risque toujours présent qu’ils reviennent en Europe pour y semer la mort. Pire, selon les services de sécurité bosniaques eux-mêmes, le pays compte près de 100 000 disciples du wahhabisme, dont plus de 4 000 sont des militants radicaux, prêts à prendre les armes pour le djihad à n’importe quel moment. En Bosnie et pas seulement (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/des-camps-islamiques-au-kosovo-et-en-bosnie.html
-

Granit Xhaka voulait abandonner la Suisse pour le Kosovo, il ne le pourra pas

D'entrée, l'international suisse Granit Xhaka explique ne pas avoir eu le choix. Selon lui, la FIFA interdit tout changement aux joueurs ayant disputé l'Euro 2016.

Touché par les commentaires venant du Kosovo et d'Albanie et le traitant de traître, il s'est montré ferme sur ce sujet: «Mon frère Taulant joue pour l'Albanie et j'en suis fier.» Il explique aussi avoir effectué toutes les démarches nécessaires pour jouer pour le Kosovo, étudiant précisément chaque document.

Après avoir rappelé son attachement au Kosovo et précisé que le règlement de la FIFA lui interdisait de jouer pour lui, le milieu de terrain a exprimé son attachement à la sélection suisse.

C'est à mon tour d'apporter quelque chose à la Suisse. 300'000 Albanais habitent dans ce pays, c'est un honneur pour moi de les représenter dans l'équipe nationale suisse.

Source et article complet

Titre manipulateur du 20 Minutes: “Un résident suisse tente de corrompre des policiers au Kosovo”

Christian Hofer: Le résident suisse étant bien entendu un... Kosovar. Mais le seul but des journalistes est toujours et encore de lier la Suisse ou ses autochtones aux délits. Et ils ne reculent devant aucun amalgame.

Au contraire, une réaction logique serait de se demander ce que fait cette fripouille en Suisse puisqu'il est clair qu'il doit aussi pratiquer de pareilles magouilles dans notre pays. De quel droit est-il dans notre pays alors que le Kosovo n'est pas en guerre?

On rappelle que la gauche suisse promettait le départ des Balkaniques à la fin de la guerre: il n'en a rien été!

**********

20 minutes.ch

Les autorités kosovares ont placé en détention un homme qui voulait échapper à une amende pour infraction à la circulation en graissant la patte à des agents.

Un Kosovar qui vit en Suisse a essayé d'acheter des policiers, vendredi vers 15h à Gjakova.

Source et article complet

La Serbie veut un détenu, la Suisse le libère

Prévenu de terrorisme, il retourne en France où il a demandé l’asile.

G. a été très étonné d’être arrêté dans les rues de Genève ce printemps. La Serbie recherche depuis 2012 cet ancien combattant de l’Armée de libération du Kosovo (UCK) afin de le juger pour terrorisme. Sous le coup de cette demande d’extradition serbe, il a été aussi surpris d’avoir été libéré provisoirement au début du mois. Il est donc reparti en France, où il avait demandé l’asile avant son interpellation.

Source

Suisse : exemple d’intégration “réussie”

Shaqiri envisage de jouer pour le Kosovo

C’est un mini-séisme qui frappe la sélection suisse. Du haut de ses 54 sélections avec la Suisse, Xherdan Shaqiri envisage aujourd’hui de jouer pour le Kosovo, sa terre natale, dont l’équipe a récemment été reconnue par la Fifa. « Si le sélectionneur du Kosovo me veut comme capitaine ? Bien sûr que j’y réfléchis beaucoup », a confié mercredi Shaqiri, qui dispute actuellement l’Euro 2016 avec la Nati.

Januzaj pourrait ouvrir la voie

Une sortie qui intervient après que Valdimir Petkovic, le sélectionneur de la Suisse, ait choisi de donner le brassard de capitaine à Stephan Lichtsteiner, et de nommer Granit Xhaka et Valon Behrami comme vice-capitaines. Désormais reconnue par la Fifa, le Kosovo a l’occasion de former une équipe compétitive. Même si des internationaux natifs de la république d’Europe de l’Est ont déjà joué pour une autre sélection, ils peuvent désormais prétendre à évoluer avec leur pays d’origine. Le premier à se lancer pourrait être le Belge Adnan Januzaj, qui a déjà annoncé son intention de jouer pour le Kosovo.

Source