Bari : Spectacle gay obligatoire à l’école, dans le dos des parents

Ce témoignage nous vient de Bari : comme d'habitude l'idéologie "gender"  avance masquée au travers d'événements culturels tout à fait innocents et cela dans le dos des parents.

Par Daniele Cassano

Il m'est arrivé, en attendant le bus, d'entendre deux jeunes de seize ans se plaindre d'être obligés de participer à un "spectacle de théâtre contre l'homophobie" et de devoir en plus le payer de leur poche (6 euros).

"Si tu n'y vas pas - disait l'un d'eux - la prof te donnera une interro comme punition".

En tant que membre de la section de Bari de La Manif Pour Tous Italie, cette discussion avait immédiatement attiré mon attention, étant au courant que, sous couvert de lutte contre l'homophobie, les objectifs poursuivis étaient tout autres.

Dans la discussion, j'ai appris que l'école que fréquentent ces jeunes garçons est le lycée scientifique G. Salvemini, établissement chef de file d'un projet Erasmus qui jouit d'un financement européen de 220.000 euros. On peut le lire dans la brochure publiée par l'école. Elle illustre le projet "LeGoP – Learning good practices in European countries". Ce projet a sans doute une grande valeur culturelle : elle offre aux étudiants des séjours à l'étranger très constructifs. Mais, dans les dédales de la présentation, bien camouflés au milieu d'objectifs éducatifs irréprochables, comme c'est toujours le cas,  on trouve l'habituelle contribution idéologique pour une "rupture" des stéréotypes sur le "genre". Le  Corriere di Puglia e Lucania (30.09.2014), reprend les termes de la brochure ci-dessus mentionnée : elle définit le projet comme "un travail qui contribuera à éliminer les barrières de toutes sortes, architecturales, linguistiques, physiques, sociales et sexuelles".

En approfondissant les objectifs du programme (toujours en se référant  à l'article du Corriere), on peut lire que, "en partenariat avec le lycée Salvemini ed Elpendù - spécialisé dans l'intégration de personne ayant des exigences spéciales - plusieurs établissement scolaires travailleront ensemble dont Azular Lizeoa en Espagne et que seront étudiées des expériences faites dans le privé (GUREAK en Espagne et GALE en Hollande, pour les activités contre l'homophobie entreprises en particulier dans les écoles). Quand on continue la lecture de l'article, on remarque qu'un des objectifs principaux est de détruire les discriminations basées sur l'orientation sexuelle et de promouvoir l'acceptation et le respect à l'égard des personnes LGBT

En théorie, je n'y voit rien de mal. Mais en pratique, on se rend compte que le GALE est une organisation d'activistes gays qui ont pour but d'inclure du  matériel LGBT dans l’éducation sexuelle à l'école.

Et puis, et puis, il y a eu ce spectacle de théâtre, organisé à l'insu des parents, sans que rien ne soit publié : on n'en trouve trace ni sur le site de l'école, ni sur sa page Facebook. Cette façon d'agir dans l'ombre semble être devenu une constante pour les activistes LGBT.  Le père d'un garçon que je connais et qui fréquente cette école, ne savait rien de ce qui se tramait : il m'a avoué que, s'il avait été au courant, il serait allé le lendemain au lycée pour avoir de plus amples informations et qu'il m'aurait averti. Grâce à ses investigations, on a pu mettre en évidence que l'organisation de ce "spectacle" n'a été communiqué à aucun parent, spectacle qui se déroulait dans l'auditoire pendant les heures de classe et que même la secrétaire de l'école ne possédait aucune information détaillée, puisque l'initiative venait personnellement de la directrice.

Quel était ce "spectacle" ? Si on peut appeler "spectacle" une représentation où on voit des gay s'embrasser, suivie de questions où on demande aux lycéens de parler des sensations, des émotions et des sentiments qu'ils ont éprouvé à la vue de cette scène (une espèce de "chasse à l'homophobe") ?

[...]

A la lumière de tout cela, il est légitime de se demander si on est vraiment en train de lutter contre la discrimination et l'intolérance (et en plus dans une région où il ne semble pas y avoir vraiment de problèmes à ce sujet) ou alors si l'on n'est pas en train de se conformer aux exigences du lobby gay qui voudrait convaincre nos enfants que les rapports homosexuels sont absolument normaux, qu'il n'y a pas de différence entre les sexes féminins et masculins et qu'on peut continuellement changer de genre (donc qu'il faut ignorer son sexe biologique qui doit s'effacer face à la perception que l'individu a de sa propre sexualité). En plus, ce lobby gay pousse au commerce des enfants (sacrifiant leurs droits fondamentaux aux désirs égoïstes de certains adultes) et veut nous convaincre que, pour un enfant, il est égal d'avoir deux pères ou deux mères et que ce qui compte, c'est l'amour.

Indignés face à une telle propagande idéologique, nous déclarons que nous sommes disponibles pour rencontrer les responsables scolaire de ce projet et que nous prendrons soin de démontrer les conséquences négatives qui vont se répercuter inévitablement sur les jeunes gens contraints d'assister à des spectacles de ce type.

Nous continuerons à nous opposer dans chaque ville à ces projets, à cette idéologie qui s'insinue en silence,  [...] sans que les parents puissent ou non l'approuver en toute connaissance de cause, des parents qui ne sont jamais mis au courant de ces thématiques.

Daniele Cassano – La Manif Pour Tous Bari

Source en italien (trad. Danielle Borer)

Allemagne : manifestation contre l’endoctrinement “gender” à l’école

Mille personnes environ se sont rassemblées dans le centre de Stuttgart pour protester contre la décision du gouvernement qui prévoit d'introduire des cours sur les droits LGBT.

Les participants, pour la plupart des parents, s'étaient munis de ballons roses et bleus sous le slogan "Stop à l'endoctrinement". Ils accusent le gouvernement de promouvoir la "sexualisation des enfants" à l'école.

Source en italien

On ne naît pas homosexuel, on le devient !

La preuve définitive en a été apportée par Judith Butler et la théorie du Gender ! Judith Butler, dans son livre "Gender Trouble", met en question les "confusions des identités", reprenant à son compte la formule de Simone de Beauvoir, "On ne naît pas femme, on le devient". On ne peut accepter la mystification de la propagande LGBT à propos des "enfants homosexuels". La lutte pour la laïcité à l'école, contre l'idéologie des "ABCD de l'égalité",met en valeur la "conscience sociale" des parents d'élèves. La tyrannie idéologique des "ABCD de l'égalité" et de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l'école intéresse les familles et les parents d'élèves qui ont tenté de les soulever, lors d'essais de concertation avec différents ministres de l'Éducation nationale socialiste, sans succès, pour écarter les "ABCD de l'égalité".

Il est politiquement incorrect de considérer comme anormale la propagande LGBT à propos "l'homosexualité pour tous", ce qui correspond à une nouvelle forme de maladie mentale dite "homophobie". Aussi, malgré le prosélytisme des activistes de l'Inter-LGBT à l'école, la propagande LGBT veut nous faire croire qu'aucune "intervention d'association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel".

Judith Silberfeld cite un communiqué de l'Inter-LGBT : "Non, aucune intervention d’association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel. Cela peut simplement l’aider à mieux vivre et mieux réussir sa scolarité, en particulier s’il/elle subit des violences en raison de son homosexualité… Oui, ces interventions sont importantes et servent à prévenir les violences et à informer. Parce que les enfants homosexuels ont envie, eux aussi, d’être tranquilles à l’école, et de ne pas se faire insulter, frapper…"Voilà, la messe est dite : "les enfants homosexuels", "Qu'est cela ?" aurait dit Molière. "Les enfants homosexuels" n'existent pas avant l'irruption des pervers à l'école socialiste et les exploits pernicieux de David Dumortier.

"L'observatoire de la théorie du genre" conteste la volonté des activistes idéologues du lobby LGBT d'introduire "l'enseignement à "l'égalité de genre" dès l'école élémentaireLe concept de genre définit les relations entre femmes et hommes en termes de rapports sociaux au-delà des attributs biologiques… L'identité de genre est "construite" par l'environnement social… De là, masculinité et féminité ne seraient pas des notions "naturelles" inhérentes à l’individu, mais des attributs culturels, fruits d'un processus social au cours duquel l'individu acquiert les caractéristiques du masculin ou du féminin." Judith Butler affirme que le genre est une "construction" sociale qu'il faut "déconstruire".

L'enseignement religieux de la "théologie" du Gender à l'école interroge les parents d'élèves. Dans le Nouvel Observateur, Judith Butler déclare : "On croit que "la définition" du sexe biologique est une évidence. En réalité, elle a toujours été "l'objet de controverses"… Le sexe biologique existe… "sa définition" nécessite "un langage et un cadre de pensée"… qui peuvent être contestées et qui le sont… Ce qui intéresse la "théorie du genre"… c'est que nous n'avons jamais une relation simple, transparente, indéniable au sexe biologique… Ainsi Judith Butler nous autorise à penser, sur le fondement de la théorie du Gender, ce qui suit : On croit que "la définition" de l'homosexualité est une évidence. En réalité, elle a toujours été l'objet de controverses…

L'homosexualité existe… "sa définition" nécessite "un langage et un cadre de pensée" qui peuvent être contestées et qui le sont"… de même que la "théologie" du Gender à l'école.

Thierry Ferjeux Michaud -Nérard, 17 novembre 2014

 

Journal Le Temps : “Osons la fluidité des genres”

Dans «Une Nouvelle Amie», François Ozon joue avec l’idée du travestissement. Un brillant numéro de funambule entre norme et «perversion»

Cinéaste trop raffiné pour faire des films ouvertement gay, Ozon n’a-t-il pas toujours préféré ses personnages féminins? Dans cet ordre d’idées, Une Nouvelle Amie est sans doute son film à la fois le plus honnête et le plus surprenant, qui se joue des genres tant cinématographiques que sexués.

Sauf qu’en illustrant en flash-back cette sorte d’idylle brisée comme une vulgaire publicité d’assurance vie, le cinéaste nous rappelle déjà ce que la normalité peut avoir de désespérant. Quelques semaines plus tard, en arrêt de travail, Claire surprend David déguisé en femme. David lui explique qu’il a toujours aimé se travestir, même s’il n’est pas homosexuel.

Et si les sexes n’étaient pas aussi clairement définis qu’on le croit? Le désir plus trouble?

Quant à Ozon, il dépasse ici toute théorie du genre pour exalter un continuum sexuel dans lequel tout le monde aurait enfin sa place. Réalité ou utopie?

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La théorie du genre n’est pas une rumeur

Alors que toute la classe politique de gauche ainsi que les syndicats et la quasi totalité de la presse se sont échinés à vouloir nous faire croire que la théorie du genre « n’existait pas » ou « n’était qu’une rumeur véhiculée par des excités « d’extrême droite », Olivier Vial, responsable de l’observatoire de la théorie du genre explique l’origine de cette idéologie fumeuse, dangereuse, qui a déjà fait les preuves de sa nocivité dans les pays nordiques.

Suite

Gender: De la vulgarité pour combattre “les préjugés”

Déstabilisant. Elles ont entre 6 et 13 ans, elles sont mignonnes comme tout dans leurs robes de princesses mais jurent comme des charretiers!

http://youtu.be/biB_9IUI7oM

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Une campagne choc pour dénoncer les "stéréotypes sexistes", imaginée par la marque FCKH8*, qui finance des associations luttant contre la discrimination en tout genre.

Source

La folie du “gender” en Suède : déconstruire le concept de masculinité

Une blogueuse suédoise, Tanja Bergkvist, s'est demandé jusqu'à quel point la folie du "gender" allait envahir son pays. Elle a mis en ligne une vidéo qui a eu tellement de succès que les médias locaux ont voulu l'interviewer.

Cette femme, Dr en mathématiques, a rencontré des militantes du parti féministe suédois qui lui gender-suedeont expliqué à quel point il est indispensable de déconstruire le concept de masculinité chez les hommes et de créer l'homme nouveau, représenté par le splendide sponsor du mouvement de l'idéologie du genre, un homme vêtu de rose de pied en cap, socquettes comprises. 

Ces militantes ont voulu lui démontrer ensuite, la théorie élaborée par des "scientifiques"  de la théorie du genre, qui se plaignent de l'importance excessive donnée au fait que les spermatozoïdes sont actifs alors que les ovules subissent la fécondation. Selon eux, c'est de là que découleraient tous les stéréotypes du féminin et du masculin...

Elles réservent aussi un chapitre important à l'éducation : l'école, en Suède a, dès la crèche, une responsabilité légale en ce qui concerne "l'égalité des genres". C'est pour cette raison que les enseignants doivent suivre un programme pour pouvoir réprimer les stéréotypes. "C'est important" - affirme une professeure interviewée - "de ne pas faire ce que ma mère a fait avec moi".

D'après cette théorie, l'école doit habituer les enfants à être ce qu'ils veulent et à aimer "ce" qu'ils pensent être le mieux : une personne, un animal, une chose lointaine, une personne du même sexe ou uniquement soi-même.

Quel est le formidable instrument pédagogique utilisé ?  Les petits élèves doivent tous s'arrêter à la fin de la classe pour laisser sortir les fillettes en premier....

Dans la logique du gender, tout est codifié par genre : un jeu sera trop féminin, un autre trop masculin (il existe un Département qui fournit un étiquetage des jeux spécifique par sexe).

Comment est-ce possible ? Et bien, simplement parce qu'en Suède on dépense les deniers publics pour analyser le genre de chaque objet. Par exemple, 70'000 euros ont été investis pour savoir si la trompette est un instrument musical de genre égalitaire ou non...

Une véritable folie que la blogueuse a décidé de dénoncer parce que, comme elle le dit, sa grand-mère aurait trouvé tout ça complètement cinglé.

(...)

Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)

VIDEO en anglais, sous-titrée italien