La Suisse se fait gruger: Pas de changements avec les requérants érythréens alors que cela fait 5 ans que les députés suisses souhaitent un accord.

La Suisse aimerait bien obtenir un accord avec le pays africain pour expulser les demandeurs d'asile déboutés. Mais il faudra du temps.

Berne n'en est qu'aux prémices d'un dialogue avec Asmara, a clarifié mardi le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Et des progrès rapides ne peuvent se produire sur un claquement de doigt de parlementaires suisses.

La problématique des requérants d'asile érythréens est un thème récurrent aux Chambres fédérales. Cela fait cinq ans que les députés souhaitent un accord de réadmission qui permettrait à la Suisse d'expulser les demandeurs d'asile déboutés.

Aide au développement ponctuelle

La Suisse lui a déjà fourni une telle aide jusqu'en 2006. Le programme a ensuite été abandonné, car les conditions permettant un contrôle des prestations d'aide n'étaient plus réunies. Du matériel amené à titre humanitaire a par exemple été saisi par des militaires érythréens.

Source

Rappels :

Scandale: L’aide sociale suisse s’en va dans les poches de l’Érythrée: « L’Érythrée a un intérêt direct que les demandeurs d’asile viennent en Suisse»

Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

Suisse: Une Érythréenne naturalisée rejoint la Commission fédérale des migrations et milite pour les siens

Rediff : Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

Article publié en premier le 22.09.2014

Ndlr : Personne n'aura le droit de dire "on ne savait pas"

Environ 90% des Erythréens ayant obtenu l'asile ne travaillent pas car ils sont quasiment inintégrables.

Il n'y a aucun autre pays en Europe qui accueille autant d'Erythréens. Ils sont actuellement en Suisse au nombre de 22'576.  Rien qu'en juin, 1'480 Erythréens ont obtenu l'asile.

La plupart de ces personnes vivent de l'aide sociale.

Article complet en allemand

Aarburg : Une famille érythréenne coûte 25’000 Frs par mois à la commune

Une mère et ses quatre enfants ont été placés dans un appartement protégé en raison de violences domestiques. L'UDC d'Aarburg demande qu'on intervienne.

En effet, 25'000 frs d'aide sociale par mois sont alloués à cette mère et à ses quatre enfants. Ce chiffre à été fourni par l'Aargauer Zeitung au sujet de cette famille érythréenne dont le cas fait parler en Argovie.

Cette famille érythréenne, le mari, la femme et les quatre enfants vivent en Suisse depuis quatre ans et leur demande d'asile a été acceptée de façon définitive.

Comme le père de famille battait sa femme et ses enfants, cette situation a contraint cette femme et ses enfants à trouver refuge dans une maison pour femmes et enfants maltraités. Un arrangement qui coûte 25'000 frs par mois, soit 5'000 frs par personne à la commune d'Aarburg.

C'était le canton d'Argovie qui, pendant 4 ans, finançait la famille. Maintenant, c'est au tour de la commune d'Aarburg de prendre en charge les coûts. Une situation difficile pour cette commune qui a déjà beaucoup de personnes à l'aide sociale. Si au niveau cantonal les personnes à l'aide sociale sont de 2,1 %, à Aarburg cela monte à 5,9%.

[...]

Article entier en italien

Trad. D. Borer

 

 

Suisse: Avis des habitants de Buchs sur les migrants qui arrivent en masse

ND Christian Hofer: Voilà ce que fait notre "Confédération": emmerder nos compatriotes jusque dans les petites villes de 12'000 habitants qui n'ont rien demandé. Bravo la gauche!

"Ils veulent juste profiter de la Suisse"
"Naturellement, cela amène un peu d'insécurité"
"Quand on sera débordés, alors ce sera trop tard"

https://youtu.be/Dj4PCPXQNj8

Via le Facebook de Suzy Desouche

Les Erythréens sont majoritaires parmi les requérants d’asile

Aucun autre groupe de requérant n'est plus important que les Erythréens et ils coûtent très cher.

87% d'entre eux finissent à l'aide sociale.

 

NDLR : Suite en allemand pour les germanophones aguerris et les autres (texte assez facile à comprendre en ayant de bonnes notions d'allemand)

Keine Asylgruppe in der Schweiz ist so gross wie jene der Eritreer. Die Bevölkerung stellt Fragen. Eine Auswahl mit Antworten.

Par Peter Keller (Die Weltwoche)

Mittlerweile stellen sie ein vertrautes Bild in der Öffentlichkeit dar: Eritreer tippen auf ­ihrem Smartphone herum, telefonieren an­geregt, ­surfen, wischen über den Bildschirm. Sie verhalten sich nicht anders als ihre Schweizer Alters­genossen. Dass sie in der Bevölkerung für Diskussionsstoff sorgen, liegt an ­einer simplen Irritation: Wie ist es möglich, dass Menschen, die angeblich nur ihr nacktes Leben retten konnten, sich solche Handys leisten können?

Selbstverständlich haben nicht «alle» Eri­treer ein Smartphone. Aber auffallend viele. Wie kommen mittellose Wirtschaftsflücht­linge zu diesen nicht ganz billigen Geräten? «Wollen Sie die offizielle Antwort . . . oder eine ehrliche?», fragt der Chef einer kantonalen Migrations­behörde maliziös zurück. «Faktisch zahlen Sie mit Ihren Steuern die Handys und deren Kosten. Viele Eritreer erhalten ­Sozialhilfe.» Damit liessen sich diese Smartphones locker bezahlen.

Eine relativ grosse Gruppe, ergänzt der Migrationsexperte, verfüge über italienische SIM-Karten. Wie die Leute an diese herangekommen seien, könne er nicht sagen. Den Einwand, mit einer ausländischen SIM-Karte im Handy fielen die Telefonkosten viel zu teuer aus, lässt er nicht gelten. «Die Leute nutzen frei zugängliche WLAN-Netze.

Dort können sie gratis surfen und über Whatsapp kostenlos telefonieren.» Das sei auch der Grund, warum sich viele Eritreer gruppenweise in Bahnhöfen oder ­Geschäftszentren aufhielten: Dort könnten sie sich problemlos in öffentliche WLAN-Netze einwählen. Mittlerweile sei die eritreische Bevölkerungsgruppe hierzulande recht gross, fügt der Asyl­experte an. «Man kennt sich, man hilft sich.» Zumindest die Abos liessen sich auf ­diese Weise einfach bei einem der Anbieter ­abschliessen. Womit man bei einer weiteren Gruppe sei, jener, die zwar unter Angabe einer Adresse – des Asylzentrums – ein Handy ­erwerbe, «aber mit ­irgendeinem Fantasie­namen». Manche Telekomgeschäfte prüften die Personalien zu wenig genau und forschten erst nach ein paar Monaten bei ausbleibenden Zahlungen nach. «Aber dann ist es zu spät. Sie können das Geld abschreiben.»

Wie sie kommen, warum sie kommen
Nicht wenige glauben, die Flüchtlinge würden nachts von ortskundigen Begleitern über die grüne Grenze geschleust. Quasi mitten durch die Tessiner Wälder oder über abgele­gene Bergpfade. Tatsache ist aber, dass 90 Prozent der Asylbewerber bequem im klimatisierten Zug aus Mailand in die Südschweiz anreisen – mit gültigem Billett: Man will schliesslich nichts riskieren bei der Fahrt ins Asylwunschland Schweiz.

In den Jahren 2011 bis 2014 stellten ins­gesamt 17 249 Personen aus Eritrea ein Asyl­gesuch in der Schweiz. Im vergleichbaren Land Österreich, das ebenfalls rund acht Mil­lionen Einwohner und gemeinsame Grenzen mit Italien hat, waren es im gleichen Zeitraum lediglich 106 Gesuche. Die Erklärung ist einfach: Die Anerkennungsquote für Eritreer ist in der Schweiz im Gegensatz zu den umliegenden Nachbarstaaten enorm hoch. Das hat mit Gerichtsentscheiden und mit der Praxis von Simonetta Sommarugas (SP) Beamten zu tun. «Ein grosser Teil dieser eritreischen Asyl­suchenden kommt aus grosser Not in die Schweiz und ist auf unseren Schutz angewiesen. Viele von ­ihnen erhalten daher Asyl oder eine vorläufige Aufnahme und dürfen länger hier bleiben: Die Schutz­quote lag 2014 bei rund 85 Prozent», schreibt das Staatssekretariats für Migration. Das sind europäische Spitzenwerte.

Polizeikreise gehen von einem mafiösen ­Verteilsystem aus. Die Wirtschaftsmigranten würden zielsicher in jene Länder geschleust, in denen die Aufnahme oder der illegale Auf­enthalt besonders erfolgversprechend sei. In Frankreich bilden laut Eurostat (2013) Kongolesen die grösste Gruppe der Asylsuchenden, in Österreich sind es Russen, in Deutschland Personen aus Serbien, in Italien Nigerianer.

Was sie kosten
Die Aufnahme der Eritreer kostet viel Geld. Gemäss einer Studie aus dem Jahr 2014 liegt die Sozialhilfequote bei den erwerbsfähigen und als Flüchtlinge anerkannten Eritreern bei 87 Prozent. Sie bekommen die gleichen Sozialhilfeansätze (der Skos) wie Schweizer. Ein ­Beispiel: ­Eine Familie mit zwei Kindern erhält in der Zürcher Gemeinde Dietikon total Fr. 4911.30 im Monat. Steuerfrei. Mehr als Fami­lien im Niedriglohnbereich zur Verfügung ­haben.

Die SVP Zürich rechnet vor, dass jährlich mehr als 100 Millionen Franken Sozialkosten für Personen aus dem Asylbereich ­anfallen. Tendenz rasant steigend – was auch mit der Service-Mentalität der Migrationsämter zu tun hat. Wie eine Anfrage der SVP-­Kantonsrätin Barbara Steinemann ergeben hat, wurden zwischen 2010 und 2014 insgesamt 2402 von 2450 Reiseanträgen eritreischer Flüchtlinge bewilligt. «Dabei handelt es sich nicht um einen Einkaufsausflug zu Aldi Deutschland», sagt Steinemann. «Eine Reise dauert gemäss Definition mehrere Tage.» Es handle sich um ein Massengeschäft. «Wie viele Flüchtlinge in ihr Heimatland reisen, kann der Zürcher Regierungsrat gar nicht überprüfen.»

 

Source "Die Weltwoche"

Merci à Anne-Marie

Genève est totalement saturée de migrants

Dans un communiqué publié ce lundi 8 juin, l'Hospice général, qui s'occupe à Genève des requérants d'asile, relève que les structures d'hébergement actuelles sont totalement saturées. L'institution d'aide sociale s'est donc vue «contrainte de recourir à l'ouverture de deux nouveaux abris de protection civile (PC)»

Afflux d'Erythréens et de Somaliens

L'institution rappelle dans son communiqué que le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM) a prévu l'arrivée de 29 000 requérants d'asile en Suisse pour 2015. Pour le moment, ces prévisions se confirment. Entre le début d'avril et la fin de mai, le nombre de nouveaux migrants a plus que triplé, passant de 224 à 731 par semaine. Ces personnes proviennent majoritairement d'Erythrée et de Somalie.

Le fait d'héberger des requérants d'asile sous terre, dans des abris de protection civile, a soulevé des protestations dans certains milieux, à gauche, qui jugent ces conditions d'accueil indignes.

Source

Réfugiés érythréens : une chance pour la Suisse ?

Par Roger Köppel

 

3'000 Syriens...

"Près de 90% des réfugiés érythréens vivent aujourd'hui en Suisse exclusivement de l'aide sociale. Le même drame se profile maintenant pour les Syriens avec la bénédiction du Conseil fédéral.

L'asile en Suisse accumule les problèmes. La procédure est trop longue. Les requérants d'asile déboutés restent malgré tout. Beaucoup refusent le rapatriement. Le taux de personnes qui restent est de 60%.

Les coûts sociaux explosent dans les communes parce que l'attribution des contingents est centralisée, au mépris de ce qui est supportable.

Les requérants d'asile ne font qu'accroître eux-mêmes le ressentiment qui couve lorsqu'ils abusent de l'hospitalité pour commettre des délits et provoquer des bagarres. À vrai dire, ce n'est pas leur faute.

Les responsables sont les autorités qui ne s'attaquent pas au mal par la racine. Les autorités, la gauche et les médias qui lui sont favorables balaient la critique en jouant la carte du racisme. Ils taxent de xénophobes les gens qui souffrent d'une mauvaise politique de l'asile. Les politiques ne veulent pas résoudre les problèmes qu'ils ont eux-mêmes créés.

La ministre de la Justice, Simonetta Sommaruga, aime à donner des leçons de haute morale. Ces réprimandes visent à intimider les critiques pour que personne ne parle de ces dysfonctionnements."

.
Source : Roger Köppel, Die Weltwoche, 03.06.15

L’échec de Sommaruga

Par Adrian Amstutz, conseiller national et chef du groupe parlementaire, Sigriswil (BE)

Les problèmes rencontrés dans le chaos de l’asile sont le fruit d’erreurs commises. La politique d’appel d’air menée par la conseillère fédérale PS a créé de nombreuses incitations négatives et produit de nouveaux dysfonctionnements, qui attirent chaque année en Suisse, aux côtés des vrais réfugiés, des dizaines de milliers de faux réfugiés. Ce sont avant tout de jeunes hommes voyageant seuls en provenance d’États sûrs qui viennent à la recherche d’une vie meilleure. La reconnaissance rapide ou l’admission provisoire enjolivent les statistiques de traitement des cas et permettent de communiquer des succès de façade, que nos cantons et communes devront en fin de compte payer cher avec l’argent des contribuables. En effet, ces gens ont pour objectif clair de rester en Suisse et de peser sur nos institutions sociales. La conseillère fédérale Sommaruga a jusqu’à présent réussi à imposer cette politique socialiste.  Les gagnants sont les requérants illégitimes.  Les perdants sont la population suisse et les vrais réfugiés.  La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga a échoué.  Après les élections d’octobre, un changement à la tête du DFAE est indispensable. Le nombre de requérants d’asile a plus que doublé depuis la reprise du DFAE par Eveline Widmer-Schlumpf puis dernièrement par Simonetta Sommaruga. Depuis que cette dernière est en fonction, le nombre de demandes déposées n’est plus jamais passé en-dessous des 20 000 par an. En 2015, le Secrétariat d’État aux migrations table sur 29 000 demandes. Ce serait la valeur la plus élevée depuis 15 ans. Les chiffres montrent que les bandes de passeurs réagissent vite aux signaux envoyés par les différents conseillers fédéraux. Malgré l’Accord de Schengen/Dublin, la Suisse accueille toujours bien plus de requérants que la plupart des États de l’UE. Les coûts y relatifs explosent et dépassent largement le milliard de francs par an, uniquement au niveau fédéral.
.
Erythrée et Sri Lanka
Contrairement à ce qu’on peut lire dans les médias, la plupart des demandeurs d’asile ne viennent pas de Syrie, mais d’Erythrée et du Sri Lanka. Comme chacun le sait, le problème érythréen a été déclenché par la funeste décision rendue par l’ancienne Commission de recours en matière d’asile en 2005, selon laquelle il fallait accorder l’asile à tous les déserteurs érythréens. Sur pression de l’UDC, une révision de la loi selon laquelle le refus de servir n’est plus un motif d’asile a ensuite été acceptée par le Parlement et par le peuple lors d’une votation sur référendum le 9 juin 2013.  Pourtant, dès la campagne électorale, la conseillère fédérale Sommaruga a averti que la modification de loi resterait lettre morte. Puisque le refus d’accomplir le service militaire ne fonde plus la qualité de réfugié, les ressortissants érythréens sont désormais reconnus comme réfugiés sur la base de la simple sortie illégale de leur territoire national. Cela prouve que la direction et l’orientation politique du DFAE sont déterminantes, que ce soit en faveur ou en défaveur d’une solution au chaos de l’asile. C’est également ce que confirment les demandes en provenance du Sri Lanka.

Effet d’appel d’air
En été 2013, deux Tamouls renvoyés par la Suisse ont été arrêtés dans ce pays.
Suite à cela, l’ancien Office fédéral des migrations a provisoirement suspendu les retours des Tamouls.
Ce changement de pratique, combiné au taux élevé de reconnaissance, a eu un véritable effet d’appel d’air, suite à quoi 19% de toutes les demandes d’asile déposées par des personnes du Sri Lanka en 2014 ont été adressées à la Suisse.
L’afflux de masse de personnes en provenance d’un pays dont la guerre civile a pris fin doit être jugulé politiquement.
.
Être actifs sur le plan international
Cependant, le Conseil fédéral doit aussi s’engager au plan international pour une politique d’asile crédible. La politique d’asile actuelle de l’Europe conduit à ce que les passeurs incitent de plus en plus de personnes à effectuer la dangereuse – et souvent mortelle – traversée et s’enrichissent de façon phénoménale à travers cette activité criminelle. C’est pourquoi la Suisse doit veiller, conjointement avec l’Europe et l’ONU, à ce que plus personne ne se lance dans cette traversée.
En Europe, le Conseil fédéral doit veiller à ce que l’Accord de Dublin soit enfin mis en œuvre. Si l’on s’en réfère à la pratique actuelle au détriment de la Suisse, celui-ci ne vaut pas même le papier sur lequel il est écrit. L’Italie et la Grèce violent l’accord quotidiennement, soit qu’elles n’enregistrent pas les migrants parvenus sur leur sol et ne les prennent pas en charge comme prévu dans l’accord, soit qu’elles s’en lavent les mains et les laissent poursuivre leur route vers le nord et vers l’est. Les renvois vers l’Italie et la Grèce sont délibérément sabotés par ces pays contractants et les décisions de la Cour européenne des droits de l’homme rendent de tels raccompagnements plus difficiles, voire impossibles. Si l’Accord de Dublin devait à l’avenir continuer d’être vidé ainsi de sa substance au détriment de la Suisse, le Conseil fédéral devra résilier l’Accord d’association à Schengen et Dublin.
Aujourd’hui déjà, il faut réintroduire un contrôle systématique aux frontières, particulièrement celle avec l’Italie, afin de pouvoir empêcher l’immigration illégale des migrants économiques et des touristes criminels dès la frontière.
Ce que les cantons et la Confédération doivent mettre en œuvre, ce n’est pas une politique PS prônant l’accueil sans conditions et la promotion de l’intégration, mais une politique d’asile claire, digne de ce nom, comme l’exigent le Parlement et les cantons. En outre, il y a lieu d’utiliser les fonds d’aide au développement existants sur place, autour des zones de conflit. C’est cela qui aide les personnes véritablement indigentes et persécutées, c’est moitié moins cher et deux fois plus efficace.
.
Adrian Amstutz
.
Source : Journal Franc-Parler, mai 2015
.
Les chiffres des demandes d’asile provenant d’Erythrée montrent que la décision de la Commission suisse de recours en matière d’asile a déclenché une avalanche de requêtes.
L’approbation du durcissement de la loi en 2012 a entraîné une baisse des demandes, tandis que la violation claire de ce même changement de loi par le
DFJP à partir de 2014 a fait définitivement exploser les chiffres.
En 2014, un requérant d’asile sur trois en Suisse venait d’Erythrée. Contrairement aux comptes rendus parus dans les médias, la plupart des requérants d’asile en Suisse ne venaient pas de Syrie (3819) mais d’Erythrée (6923).
.

Italie : Train en partance pour l’Europe du Nord pris d’assaut par des clandestins Erythréens

Italie : Tension à la Gare de Bolzano où vendredi est arrivé une centaine de réfugiés dont beaucoup d’Erythréens. Bloqués par les douaniers, les migrants ont pris d’assaut le train suivant. Le Police ferroviaire a tenté de les bloquer et de les retenir mais c’était impossible.

H3FKGKy

PObfNpE

C’est une situation qui se répète chaque jour, les gares sont maintenant transformées en bivouacs avec des associations humanitaires qui distribuent des aides de premières nécessités.

La vidéo est visible sur CE LIEN de Fdesouche.

Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

Environ 90% des Erythréens ayant obtenu l'asile ne travaillent pas car ils sont quasiment inintégrables.

Il n'y a aucun autre pays en Europe qui accueille autant d'Erythréens. Ils sont actuellement en Suisse au nombre de 22'576.  Rien qu'en juin, 1'480 Erythréens ont obtenu l'asile.

La plupart de ces personnes vivent de l'aide sociale.

Article complet en allemand

Seul un clandestin sur quatre peut prétendre à l’asile

L'Office Fédéral des Migrations a publié son rapport sur l'asile pour le mois d'août. Ces statistiques voient un recul des demandes par rapport au mois de juillet : 2'515 demandes ont été déposées dont 46%  par des ressortissants érythréens. L'OFM a admis que cette proportion est due à l'opération Mare Nostrum mise en œuvre par l'Italie. Ces clandestins, à peine arrivés sur les côtes italiennes, vont chercher fortune vers le Nord.

Il est intéressant de constater que seul 25% des demandes ont une issue positive : cela signifie que seul un requérant sur quatre a vraiment droit à l'asile.

Et pour les trois restants, il est légitime de penser que, au vu des récents événements, ils n'ont pas toujours que des intentions pacifiques...

 

Source en italien

Immigration: La police française s’alarme de l’arrivée massive de clandestins

Une réunion de crise s’est tenue à Nice à la suite d’une note confidentielle de la Police aux frontières alertant sur l’entrée en France, via la frontière italienne, d’un grand nombre d’illégaux érythréens.

 

ERYTHREENS GARE DE NICE

 

La pression de l’immigration clandestine devient intenable à la frontière entre la France et l’Italie. C’est ce que révèle un document confidentiel dont Le Figaro a eu connaissance. Il émane de la direction zonale sud de la Police aux frontières(PAF).

PHO948f8788-1be3-11e4-a2e6-00e3c944b74f-805x453

Il s’agit du «compte rendu» d’une «réunion exceptionnelle» qui s’est tenue, le 9 juillet dernier, à la préfecture des Alpes-Maritimes, «provoquée», est-il précisé, par le «phénomène migratoire érythréen». Le préfet des Alpes-Maritimes en personne, Adolphe Colrat, a présidé cette réunion. Elle rassemblait une trentaine d’agents de haut rang, dont des chefs de service de Menton, Nice, Marseille, Toulon, Avignon, et jusqu’aux Alpes-de-Haute-Provence. Des responsables locaux de la gendarmerie, des douanes et de la SNCF étaient également conviés.

Source et auteur