Et la V ème République enfanta “Emmanuel Neron Macron”

Que Macron manipule, mente, insulte et méprise, franchement ce n'est pas une surprise. Jamais nous n'avons eu un président, dans le monde, qui méprise et insulte autant son peuple ! Sauf Neron, l'empereur fou de Rome, qui incendia la capitale et fit périr des dizaines de milliers de romains.

Mais je regrette que les opposants d'Emmnel Macron ne soient pas plus virulents sur son bilan. Pourtant, il y a le choix ! Jamais un gouvernement n'a eu autant de "démissions". Jamais un gouvernement n'a eu autant de ministres avec des problèmes de justice. Comme si les gouvernements de Macron avaient été constitués par les SPIP (services pénitentiaires d'insertion et de probation).

Jamais un entourage de président n'a eu autant d'histoires sordides : agressions sexuelles, vols, corruption, détournements de fonds, exhibitions sexuelles....  Avec des champions comme Benalla , Sybeth , Buzyn , Griset, Dussopt, Dupont-Moretti, Bayrou, Elimas, Ferrand, Fabius, de Sarnez, Goulard, Darmanin,...... liste non exhaustive ! Vingt huit ministres concernés. Le président du conseil constitutionnel aussi ! Il y aurait de quoi écrire un livre "Le casier judiciaire de la République".

Mais, dimanche, le "Vox Populi" a parlé. Les candidats de 70 % des français mécontents ont été écartés des arènes de la démocratie par "Neron Macron". Même s'il est détesté par tous ceux qu'il a déçus.

Jamais un chef de l'état de la V ème République n' autant occupé l'espace médiatique à son profit lorsque le pays croule sous les malheurs. Par exemple, en prononçant neuf allocutions sur le Covid-19 en à peine deux ans. Ou en usurpant sa fonction à des fins électorales lors d'échéances mal engagées pour LREM. Avant les dernières élections régionales, il a engagé un tour de France, aux frais de l'état, pour soutenir des listes LREM partisanes et incompétentes.

Plus récemment, il a usurpé sa fonction en retardant, jusqu'à l'extrême limite sa déclaration de candidature.

Emmanuel Neron Macron n'a jamis réussi à se défaire vraiment de l'image d'arrogance, voire de mépris, qui lui colle à la peau depuis ses années de conseiller à l'Elysée, puis au ministère de l'économie. Jouisseur, Emmanuel Neron Macron prend un évident plaisir à exercer seul le pouvoir suprême et à favoriser les grandes fortunes du pays.

Emmanuel Neron Macron, très ami avec Laurent Fabius et son fils Victor Fabius, a octroyé de gros marchés financiers à des cabinets conseils qui emploient  le fils Fabius. Et pas de la menu monnaie, mais des dizaines de milliers d'euros, dont les contrats ont été couverts par le président du conseil constitutionnel Laurent Fabius. Le livre enquête « les Infiltrés », écrit par les journalistes Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre, grands reporters à « l’Obs », a révélé que des cabinets de conseil (dont McKinsey, Accenture, Boston Consulting Group, Capgemini) avaient reçu des sommes fantastiques du gouvernement notamment pour connaître l’état des stocks de masques en France au début de la crise sanitaire.

Ce sont ces mêmes cabinets conseils qui, grassement payés, ont demandé au gouvernement de baisser les APL, et de retire 5 euros sur les APL des étudiants, citoyens vulnérables financièrement.

https://www.nouvelobs.com/politique/20210627.OBS45815/des-milliards-depenses-pour-se-substituer-a-l-etat-enquete-sur-la-republique-des-consultants.html

Le parquet national financier s'est saisi de cette affaire pénalement répréhensible. Mais le candidat Emmanuel Neron Macron a refusé de fournir la moindre explication sur ce qui ressemble à des détournements de fonds, impliquant Victor, le fils Fabius. S'il n'est pas réélu le 24 avril prochain, le citoyen Emmanuel Macron devra rendre des comptes à la justice. Réélu, il bénéficiera de l'immunité présidentielle pendant cinq ans.

https://www.nouvelobs.com/economie/20210623.OBS45630/les-bons-conseils-du-cabinet-mckinsey-au-president-macron.html

Le rapport des économistes, demandé par Emmanuel Macron et rendu le 23 juin, se réfère à quatorze reprises au cabinet McKinsey. Qui recommande l’intelligence artificielle pour améliorer le contrôle fiscal, la qualité de l’emploi et la productivité.

Or, les liens entre Emmanuel Macron et le cabinet McKinsey remontent à 2007. Emmanuel Macron est alors inspecteur des finances, à 29 ans. Il devient rapporteur général adjoint de la commission Attali, dont le rôle était de proposer des réformes économiques au président Nicolas Sarkozy. Emmanuel Macron impressionne l’assistance. Parmi les membres présents,: Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, qui se lie d'amitié avec Macron.

“On se réunissait le soir jusqu’à minuit dans une salle du Sénat avec Attali et Macron, raconte un ancien membre de la commission au quotidien Le Monde. Dans les sièges du public, il y avait trois ou quatre jeunes de McKinsey. Ils faisaient des simulations sur Excel. Leur chef était si brillant qu’on l’écoutait comme s’il était membre à part entière”. Ce chef s’appelle Karim Tadjeddine. Il est passé par les prestigieuses écoles d’ingénieur françaises Polytechnique et les Ponts et Chaussées. Le cabinet McKinsey intervient gratuitement. Une mission appelée “pro bono” dans le milieu (“pour le bien public”) ou “reputation building” (“construction de réputation”) au sein du cabinet.

L'enquête du Parquet national financier a mis à jour une confusion des genres entre le cabinet conseil et Emmanuel Neron Macron et son entourage. Car une fois Emmanuel Macron élu en 2017, de jeunes consultants de McKinsey rejoignent le pouvoir et occupent  les postes clés de directeur adjoint du cabinet du secrétaire d’Etat au Numérique (Mounir Majoubi à l'époque), de chef du “pôle projets” de la République en Marche, de directeur général de la République en Marche. Éric Labaye, le dirigeant de McKinsey qu’Emmanuel Macron avait rencontré en 2007, a été nommé président de Polytechnique par Emmanuel Macron en août 2018. De son côté, l’ancien patron des Jeunes avec Macron, Martin Bohmert, a rejoint le cabinet McKinsey en 2020.

Le parquet national financier tente de déterminer si des sommes ont été versées par le cabinet conseil McKinsey à Emmanuel Neron Macron dans un paradis fiscal, avant sa première élection de 2017. Car rien n'a été mentionné dans la déclaration de patrimoine du même Macron en 2017. Cherchez l'erreur !

Le gâteau des cabinets conseils, grassement payés par les gouvernements de Macron, a bénéficié à Victor Fabius, fils de Laurent Fabius, nommé président du conseil constitutionnel par Emmanuel Neron Macron.

SNCF : des titres de transport gratuits pour les migrants, rien pour les français

Depuis des années, Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne Rhône-Alpes et la SNCF ont signé un accord pour que les citoyens et les demandeurs d'emplois, indemnisés en dessous du Smic, bénéficient de cartes de réduction SNCF pour leurs recherches d'emploi. Ainsi, en théorie, la carte illico solidaire SNCF est gratuite et valable un an pour cette catégorie de personnes. Elle offre une réduction immédiate de 75 % sur les billets de seconde classe des trains TER, et une gratuité pour les demandeurs d'emploi qui se rendent à tes entretiens d’embauche, ou à des entretiens préalables à une formation (uniquement pour les moins de 26 ans).

Les jeunes en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, les jeunes inscrits en Missions locales, etc, peuvent aussi en bénéficier si leur dossier est accepté par la SNCF. Il semblerait néanmoins que le nombre de cartes illico solidaire soit limité. Dans le fief de Laurent Wauquiez, ancien ministre de l'emploi sous Nicolas Sarkozy, on constate que de nombreuses demandes, présentées par des patronymes français, sont régulièrement rejetées par les "nantis de la SNCF" (qui bénéficient de la gratuité illimitée des transports ferrés pour toute leur famille, et même leurs parents) au motif qu'il manquerait une pièce.

Contacté par téléphone ce 11 avril 2022, un agent SNCF gérant les cartes illico solidaires ne dément pas nos informations, mais tempère : "les migrants comprennent moins bien les subtilités de la langue française pour le montage des dossiers. Dès lors, nous faisons preuve d'une relative indulgence...". C'est énorme dans la France de Voltaire, et cela explique peut être le grand nombre de migrants rencontrés dans les trains. Pour eux le trajet est gratuit, via la carte illico solidaire.

Bien sûr, les migrants ont le droit de se déplacer, dans la mesure où ils ne commettent pas d'agressions dans les trains. Mais, les français survivant avec en moyenne 500 euros, dans le cadre de l'ASS (Allocation spécifique de solidarité) ou le RSA, ont eux aussi le droit de se déplacer avec une égalité de traitement tarifaire identique aux migrants accueillis en masse par la République française.

Nous reproduisons, ci-dessous, le courrier adressé par un Ardéchois au directeur du service de gestion des cartes illico solidaire SNCF, dénonçant les anomalies de ce service et les traitements de dossiers bâclés, ou menés à la tête du client. L'homme écrit :

"Monsieur le Directeur,

Vous êtes beaucoup plus souple avec les musulmans ou les immigrés que vous ne l'êtes avec les français qui doivent survivre avec l'ASS. C'est ce type de comportement de “nanti de la SNCF” qui va contribuer à un 3 ème tour de la présidentielle dans la rue.

Pour la demande de renouvellement de ma carte, dont les références sont mentionnée plus haut :

- Je ne vous ai pas adressé une attestation de paiement pôle emploi contrairement à ce que vous écrivez (j'imagine que vous n'avez même pas lu le document), mais l'attestation de renouvellement de l' ASS au 15 mars 2022.

- Je vous adresse en pièce jointe une photocopie de la carte d'identité, document qui ne m'avait pas été demandé lors des précédents renouvellements, puisque vous l'avez dans le dossier, probablement informatisé.

- A défaut de carte illico solidaire, je ne me rendrais pas à un entretien d'embauche à Clermont Ferrand le 14 avril, et j'utilise votre courrier pour en justifier auprès de Pôle-Emploi.

Avec vous, les “nantis de la SNCF”, on a la France qui gagne, la France en marche, et vous contribuez au redressement du Pays.

Salutations."

En cette semaine sainte, marquée par le chemin de croix et les élections, on assiste aux difficultés d'un français moyen, lâché par son pays, victime de nantis obtenant la retraite à 50 ans ou 55 ans, dans une République En Marche. Merci Monsieur le Président.

La SNCF doit accorder les mêmes avantages tarifaires à tous les voyageurs vivant sous le seuil de pauvreté, qu'ils soient caucasiens, musulmans, africains, asiatiques, etc

Francis GRUZELLE

 

Macron a accueilli 1,8 à 2 millions de migrants supplémentaires

A deux mois de l'élection présidentielle, le député européen Brice Hortefeux, invité de la matinale de Sud Radio, voici quelques jours, a affirmé : "la France n’a jamais accueilli autant de migrants sur son territoire et j'estime qu’il y en a 1,8 million de plus qu’au début du quinquennat d’Emmanuel Macron". Eric Zemmour, pour sa part, avance le chiffre de 2 millions.

L'ancien ministre de l'intérieur Brice Hortefeux a détaillé l'invasion migratoire : "la réalité du bilan de la politique migratoire d’Emmanuel Macron. c’est que, un, il n’y a jamais eu autant d’étrangers sur notre territoire, dans notre histoire. Ça ne s’est jamais produit. Au total, sur le quinquennat, cela fera globalement 1,8 million de migrants supplémentaires sur notre territoire, autour de cela. Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000, les demandeurs d’asile autour de 100.000, vous avez les clandestins à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite. Donc vous arrivez à ce que je vous dis. Il n’y aurait pas eu la crise du Covid, on serait à 2 millions."

Nous avons vérifié. Et ça tombe bien puisque le bilan annuel des chiffres clés de l’immigration du ministère de l’Intérieur est tombé la semaine dernière.

Inter titre : Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000 par an.

C’est vrai. Brice Hortefeux connait ses chiffres. En 2021, 271.675 titres de séjour ont été délivrés, soit une hausse de 21,9 % par rapport à 2020 (année Covid).

Inter tire : Les demandeurs d’asile sont autour de 100.000 par an.

C’est vrai. 104.577 premières demandes en guichets uniques ont été déposées, contre 81.531 en 2020, soit une hausse de 28 %. Y a bon la France, ses allocations familiales, ses logements gratuits, ses APL, ses aides diverses. Il faut bien utiliser les impôts des contribuables !

Vous ajoutez à tout ça les clandestins, à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite…

C’est là que ça se complique. Qui dit clandestin, dit personne en situation irrégulière, qui souvent se cache, et qui par définition est difficile à compter. Donc les chiffres fournis par le ministère de l'intérieur sont très inférieurs à la réalité et ne reflètent pas la réalité de l'invasion migratoire.

Ce que l’on sait, c’est que près de 200.000 migrants clandestins sont arrivés dans l’Union européenne l’an dernier, le chiffre le plus élevé depuis 2017, selon Frontex, l’agence européenne des frontières.

Inter titre : 600 000 à 700 000 clandos selon le ministre Darmanin

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a indiqué dans le journal Le Parisien qu’il estimait à 600.000 à 700.000 le nombre de clandestins. Durant la période du gouvernement Hollande, le nombre de clandestins en France était estimé à 300.000 personnes.

Les chiffres du ministre de l'intérieur confortent l'estimation d'Eric Zemmour qui défend, bec et ongle, le chiffre de 2 millions de migrants supplémentaires depuis le début du quinquennat de Macron. Eric Zemmour connait ses dossiers dans le cadre de sa campagne de reconquête.

En 2020, environ 320.000 personnes bénéficient de l’AME (Aide médicale de l’État), selon le gouvernement Castex. Ce chiffre parle de lui-même.

Inter titre : 2021 : 52 000 migrants "pagaient" pour traverser la manche

En 2021, 52.000 migrants ont tenté la traversée clandestine de la Manche vers la Grande-Bretagne, dont 28.000 ont réussi à rallier les côtes anglaises, selon le ministère de l’Intérieur. 1 002 migrants naufragés au large de Calais et mis à l’abri en 2021 contre 341 en 2020, soit une augmentation de 194 %, selon l’Ofii (Office français immigration intégration).

 

Nos sources

– Caisse Nationale d'Assurance Maladie

_ Ministère de la Santé

Ined

– Insee

– Nations Unies

– Organisation internationale pour les migrations

– Ministère de l’Intérieur

– Pew Research center

– Global migration data analysis centre

La Montagne

Emmanuel Macron, pourquoi n’arrivez-vous pas à dire « joyeux Noël » aux Français ?

Moi, je dis « joyeux Noël » à tous ceux que j'aime et même à tous ceux que je ne connais pas. Macron, lui, ne peut pas. Pourtant, il est le président de tous les Français et pas seulement des musulmans. Encore que, nombreux sont ceux qui, parmi eux, déposent des cadeaux au pied du sapin de Noël.

 

 

Le chef de l'Etat n'a donc pas pu, pas voulu, prononcer les mots « joyeux Noël ». Tous les autres chefs des grands Etats n'ont eu aucune difficulté à le faire. Boris Johnson a dit « joyeux  Noël » aux Britanniques. Donald Trump et Joe Biden en ont fait de même pour les Américains. Même Erdogan, pieux musulman s'il en est, a imité leur exemple.

[...]

Atlantico.fr

Un collectif de mosquées met en garde Macron contre l’«escalade délétère» visant les musulmans

Un collectif de mosquées et associations musulmanes de l’Ile-de-France a mis en garde jeudi 8 octobre Emmanuel Macron contre «l’escalade délétère que prend le traitement de l’islam et des musulmans» en France, qualifiant de «flou» le concept de «séparatisme».

 «Depuis plusieurs mois, les musulmans de France sont de plus en plus la cible des pires stigmatisations et invectives de la part de personnalités politiques et de certains médias qui ont fait de l’islamophobie un fonds de commerce, favorisant ainsi les amalgames et la suspicion de toute une frange de la société française», déplore ce collectif, dans une lettre ouverte, également transmise à l’AFP.

[...]

«Ce dont nous avons besoin, c’est un dialogue constructif, loin de toute suspicion, et non d’une mise à l’index continue à travers l’utilisation de concepts généraux flous comme ‘islam radical’, ‘islam politique’, ou plus récemment encore ‘séparatisme’.», ajoute le collectif, six jours après le discours d’Emmanuel Macron aux Mureaux visant à s’attaquer au «séparatisme islamiste».  […]

Selon le collectif, cette initiative est soutenue par des fédérations comme le RMF (proche du Maroc) d’Anouar Kbibech, ex président du Conseil français du culte musulman, le Milli Görüs turc, ou encore l’association Foi et Pratique (ultra-rigoristes du Tabligh).

Le Figaro

Erdogan avertit Emmanuel Macron de ne pas « chercher querelle à la Turquie »

« Ne cherchez pas querelle au peuple turc, ne cherchez pas querelle à la Turquie », a lancé M. Erdogan dans un discours télévisé à Istanbul, en référence aux sévères critiques émises par M. Macron envers Ankara dans le cadre du conflit entre la Turquie et la Grèce à propos de la prospection pétrolière en Méditerranée.

Emmanuel Macron et ses six homologues du sud de l’UE ont exhorté jeudi la Turquie à cesser sa politique de confrontation en Méditerranée orientale et l’ont menacée de sanctions européennes si Ankara continue à contester les droits d’exploration gazière de la Grèce et de Chypre dans la zone.

[...]

« Vous n’avez pas fini d’avoir des ennuis avec moi »

[...]

Ouest-france.fr

Emmanuel Macron veut priver Pologne et Hongrie d’aides européennes, car elles «ne respectent pas les valeurs de l’U.E.»

Alors que Bruxelles cherche à faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au respect des «valeurs» de l’UE, pointant du doigt la Hongrie et la Pologne.

Le Brexit devrait laisser un trou d’environ 10 à 13 milliards d’euros par an dans le budget de l’Union européenne : de quoi raviver les tensions entre les Etats membres et notamment entre les pays occidentaux et les pays de l’Est. A l’occasion d’un premier sommet européen consacré à la question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d’une éventuelle diminution des versements de l’UE aux pays ne respectant pas la ligne politique fixée par les 28 Etats, qui ne seront bientôt plus que 27.

Le chef de l’Etat estime en effet que la Pologne et la Hongrie tirent excessivement profit des règles européennes dans leur propre intérêt. «Ils nous prennent un peu pour des imbéciles», a-t-il déclaré au sujet de Viktor Orban et Mateusz Morawiecki, respectivement Premier ministre hongrois et Président du conseil des ministres polonais.

Si le président français tente bien évidemment de s’imposer comme le porte-voix de la refondation de l’UE sur la scène européenne, son irritation reflète bien les tensions qui s’accroissent depuis plusieurs mois entre Bruxelles et ces deux pays. Alors qu’une procédure contre la Pologne a été déclenchée par la Commission européenne le 20 décembre 2017, l’UE estimant que Varsovie commettait une «violation grave» de l’Etat de droit avec sa réforme judiciaire, Emmanuel Macron a fortement condamné les choix politiques du gouvernement polonais, allant jusqu’à évoquer des sanctions : «Il serait de bon sens de suspendre le versement de fonds […] quand les gens ne respectent pas les valeurs» européennes.

Quant à Viktor Orban, Emmanuel Macron lui a réservé ses propos les plus durs. Si les différends entre Bruxelles et Budapest sur la question des quotas de migrants font régulièrement surface dans le débat politique, le chef de l’Etat français a élargi sa critique de la ligne politique hongroise à la question économique. «Quand on détricote l’Europe, quand on utilise les fonds [européens] pour faire du dumping social et fiscal, on prend les contributeurs nets un peu pour des imbéciles : la solidarité se justifie parce que nous avons des valeurs et des projets communs. Ce n’est pas un self-service», s’est agacé Emmanuel Macron.

La perspective de la sortie du Royaume-Uni de l’UE impose aux 27 pays restants de rogner sur certaines dépenses. Si la Politique agricole commune (PAC) devrait en faire les frais, les fameux fonds de cohésion et les aides territoriales, supposés égaliser les niveaux économiques des différents Etats membres, devraient être les premières dépenses réduites : ils représentent près d’un tiers du budget de l’UE.

Or, la Hongrie et la Pologne comptent parmi les premiers bénéficiaires de ces aides, touchant respectivement 25 milliards et 80 milliards d’euros pour la période 2014-2020.

RT

Via Suavelos.eu

Pour Emmanuel Macron, la radicalisation s’est installée car “la République a démissionné”

Le président de la République Emmanuel Macron était à Tourcoing (Nord) pour un discours consacré à la politique de la Ville. Il a précisé qu'une quinzaine de plans de lutte contre la radicalisation seront présentés.

Emmanuel Macron a estimé mardi que la "radicalisation s'est installée parce que la République a démissionné" dans "nombre de nos territoires en difficulté", promettant "une quinzaine de plans de lutte contre la radicalisation" d'ici au début de l'année 2018. "Je ne confondrai jamais les quelques milliers de radicalisés et les millions d'habitants des quartiers populaires", a déclaré le chef de l'Etat à Tourcoing (Nord) lors d'un discours consacré à la politique de la Ville.

Mais "dans nombre de ces territoires en difficulté, la radicalisation s'est installée et a touché plusieurs milliers de nos jeunes ou de nos moins jeunes. Et elle doit nous conduire aussi à nous remettre en question, de manière indispensable", a-t-il poursuivi. "Cette radicalisation, elle s'est installée parce que la République a démissionné. Et que nous avons laissé dans de trop nombreuses communes, de trop nombreux quartiers, des représentants d'une religion transfigurée, déformée, qui portent la haine et le repli, apporter des solutions que la République n'apportait plus", a souligné M. Macron.

"Parce que nous avons, dans des quartiers, fermé des écoles, supprimé de l'aide pour les plus âgés ou les plus jeunes et que des associations sont arrivées, qui ont proposé des solutions pour tout ça. Avec un visage enchanteur. Mais elles ont proposé à chaque fois en même temps de sortir nos concitoyens de la République et de l'histoire républicaine. C'est cela ce qu'ont fait les associations salafistes, les associations qui ont porté la radicalisation d'un islam et qui ont profondément fracturé nos quartiers", a ajouté le président de la République.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Jeune Athéna

 

C’est l’été – Lady Diana – Princesse de cœur ou reine du cul

Nicolas-Gauthier-1

   
Michel Garroté  --  "Le président américain Donald Trump a reproché jeudi aux élus du Congrès d'avoir abaissé les relations avec la Russie à un niveau historiquement bas et dangereux". -- "Selon un baromètre YouGov du mois d'août réalisé pour Le HuffPost et CNews, la cote de popularité d'Emmanuel Macron chute très lourdement, passant de 43% d'opinions favorables à 36% en un mois". -- "Le prince Philip, époux d’Elizabeth II, tire sa révérence à 96 ans". -- "Lady Diana : le cœur et l’argent du cœur. Princesse du cœur, peut-être ; mais pas vraiment la reine du cul, semble-t-il".
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Voilà, en vrac, les infos trouvées sur la toile ces jours-ci. "Y'a à boire et à manger", comme dirait l'autre. Je continue d'admirer Trump, qui, tous les jours, affronte les chacals en meute qui veulent sa peau. Et il a raison de reprocher aux élus (irresponsables) du Congrès d'avoir abaissé les relations avec la Russie à un niveau effectivement bas, et, surtout, dangereux. Côté Macronnet, je me délecte d'apprendre qu'il n'a plus que 36% d'opinions favorables. Il se croyait au pinacle. Le voici qui semble descendre aux abysses. Déjà.
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Puis il y a le Prince Philip : le Sire tire sa révérence à 96 ans. Chapeau : en ces temps où la fumisterie est hissée au rang de vertu théologale, ce bon vieux Philip aura oeuvré sept jours sur sept jusqu'à près de 100 ans. Qui dit mieux ? A propos des Windsor, j'ai eu droit à un moment de jubilation en lisant le billet humoristique de Nicolas Gauthier (photo en haut du présent article), journaliste et écrivain, à propos de Lady Diana dont on fêtera, le 31 août, le vingtième anniversaire de la disparition (attendons-nous pire : les médias vont encore en faire des tonnes).
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Or donc, dans un remarquable billet d'humour intitulé "Princesse du cœur, peut-être ; mais pas vraiment la reine du cul, semble-t-il", Nicolas Gauthier, journaliste et écrivain, écrit, sur Boulevard Voltaire (voir lien vers source en bas de page) : Un jour viendra le temps des « faux prophètes », lit-on dans l’Évangile selon saint Matthieu. Nous n’en sommes pas loin. Faux philosophes avec BHL. Faux curés avec l’abbé Pierre. Faux économistes avec DSK. Faux écolos avec Nicolas Hulot. Faux-culs avec François Fillon. Et fausse noblesse avec Lady Diana dont on fêtera, le 31 août, le vingtième anniversaire de la disparition.
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Nicolas Gauthier : Soit l’occasion d’un nouveau scandale à venir. Ainsi, la chaîne anglaise Channel 4 s’apprête à diffuser un documentaire, 'Diana : In Her Own Words', consacré à celle que les tabloïds avaient jadis surnommée « la princesse du cœur ». Et là où tout cela devient très shocking, c’est que ce même documentaire reprend des images d’archives enregistrées de 1992 à 1993, à l’occasion desquelles la princesse de Galles s’épanchait sur ses petits malheurs conjugaux, évoquant des « rapports sexuels réduits au strict minimum » avec son époux princier. « Princesse du cœur », peut-être ; mais pas vraiment la reine du cul, semble-t-il.
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Nicolas Gauthier : Toujours transportée par les mêmes élans de pudeur, elle s’y plaignait encore du manque de réconfort prodigué par la famille royale, la reine Élisabeth II au premier chef, devant ses déboires intimes. Comme si les Windsor avaient pour vocation d’être une cellule de soutien psychologique experte en câlinothérapie.
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Nicolas Gauthier : Du coup, l’inénarrable Charles Spencer, petit frère d’icelle, a tenté en vain d’interdire la diffusion du documentaire incriminé. Voilà qui ne manque pas de menthe sur le gigot. Car si tout cela a été filmé, c’est donc bien que Lady Diana était consentante. À en croire les images, elle n’était pas ligotée sur une chaise avec un pistolet pointé sur la tempe. Et quand, en 2004, la chaîne américaine NBC les a diffusées, Charles Spencer n’a pas joué les vierges effarouchées, à ce que l’on sache.
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Nicolas Gauthier : Sacré Charlie qui, dès la mort de sa grande sœur, avec laquelle il était notoirement en froid, a voulu s’improviser tuteur de ses deux neveux, William et Harry. Proposition sèchement refusée par une Très Gracieuse Majesté l’ayant illico prié de repartir à ses frasques, entre divorces et maîtresses ; mais il en fallait plus pour décourager le tonton farceur. D’où des obsèques à grand spectacle, auxquelles se pressa le gratin du show-biz mondial, ravi d’applaudir un Charles Spencer s’en prenant à la presse et à la famille royale. Comme si la défunte ne l’avait pas utilisée, cette même presse, afin de mieux sur-vendre ses très superficielles et récentes actions humanitaires. Comme s’il confondait familles Windsor et Kardashian, alors que la reine, elle, estimait, en bonne Anglaise, que le chagrin privé a justement vocation à le demeurer. À ce sujet, prière de voir ou de revoir le magnifique film du pourtant très républicain Stephen Frears, The Queen, dans lequel il rendait un poignant hommage à Élisabeth II.
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Nicolas Gauthier : Le summum du bon goût ? Elton John couinant son « Candle in the Wind » en pleine abbaye de Westminster ; ce qui fit dire à sa seigneurie Keith Richards, des Rolling Stones : « Elton John, cette vieille dame tout juste bonne à chanter pour des princesses mortes… ». Mais quand il n’y en a plus, il y en a encore et Charles Spencer se surpassa bientôt en voulant ouvrir une sorte de Diana Park dans sa propriété d’Althorp (95 balles l’entrée, tout de même), où le chaland pouvait marcher sur les traces de la disparue, même si elle n’y passa en tout et pour tout que quelques semaines de vacances. Ne manquait plus qu’un grand huit en Mercedes avec chauffeur affichant deux grammes dans chaque œil, et terminus dans une réplique du pont de l’Alma.
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Nicolas Gauthier : De fait, le véritable drame de Diana Spencer, c’est qu’elle voulait bien épouser un futur roi, mais sans avoir à supporter les inévitables contingences de la charge. Le jour au palais de Buckingham et la nuit en boîte. Le cœur et l’argent du cœur. Elle voulait être de son temps et, comme Paris Hilton, que chaque jour soit son anniversaire. Être dans le vent, en quelque sorte ? Soit une ambition de feuille morte. C’est réussi. Car c’est bel et bien du vent, même paré de strass, qui sera célébré à la fin de ce mois. Vive Camilla !, conclut Nicolas Gauthier (voir lien vers source en bas de page).
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Ainsi s'achève ce petit florilège d'infos glanées sur la toile ces jours-ci. L'abîme qui sépare les grands enjeux géopolitiques du temps présent des petites préoccupations politico-médiatiques demeure vertigineux. C'est l'été, certes, mais tout de même, quelle différence entre, d'une part, les réalités affrontées par Donald Trump, et d'autre part, les ridicules petits soucis politiciens !
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.bvoltaire.fr/lady-diana-coeur-largent-coeur/
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Pour Macron, le dialogue a contribué à la stabilité de la Libye et à la lutte contre le terrorisme

Et cela alors que la presse vient de donner une image catastrophique de la situation en Libye: La Libye en proie au chaos depuis la chute de Kadhafi

Quant au terrorisme, il n'y a jamais eu un seul dialogue possible, les efforts de "déradicalisation" s'étant soldés par un gouffre à fric. Aujourd'hui tous les services de renseignement occidentaux redoutent le retour des jihadistes et les appels à la mort des non musulmans continuent à se propager.

Enfin, c'est le même président qui réclame de la part des chrétiens le pardon devant l'égorgement d'un prêtre. En clair notre soumission.

 

 

macron

La caste pipole de M. et Mme Macron

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Michel Garroté  --   A propos du couple Macron, j'ai lu, avec délectation, la récente chronique d'Ivan Rioufol que voici (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La photo officielle du président de la République ne cache rien de l’ambition du jeune homme qui s’est identifié à Julien Sorel : Le Rouge et le Noir fait partie des trois livres (avec Gide et de Gaulle) disposés sur le bureau présidentiel. Macron pose debout, un bout de fesse sur la tranche du bureau de Charles de Gaulle, les mains crispées sur les bords du meuble [ndmg - j'aime bien la formule "un bout de fesse" et je me dit  : quid de l'autre bout de fesse du petit Macron, alias Emmanuel Sorel ?].
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Ivan Rioufol : Se dégage de cette image travaillée l’impression d’un personnage fier et heureux de caresser les attributs d’une réussite domptée et familière. Le portait me fait penser à ces clichés de riches intérieurs où des personnages bien nés et désinvoltes posent négligemment leur coude sur le rebord de la cheminée, un verre à la main : un monde dépassé. C’est de ce piège rétrograde pour happy few que Macron doit sortir [ndmg - "doit sortir" ; je doute qu'il en sorte, même avec ses deux bouts de fesses et ses happy few...].
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Ivan Rioufol : Un chef de l’Etat ne peut se laisser caricaturer à ce point dans le symbole d’une réussite économique, en oubliant que toute une partie de la France en colère se fiche bien qu’on lui parle de PIB et du respect des 3% de déficit. Un sondage paru dans le JDD montre que les Français sont à 61% préoccupés par la montée de l’islamisme radical dans leur pays, tandis que le chômage n’inquiète que 36% des sondés. Ils sont également 62% à estimer que la France doit accueillir moins d’immigrés, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Plein de pognon pour Miss Macron ?
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Pour l'instant (extraits adaptés et "stylisés" ; voir lien vers source en bas de page), le "cabinet" de Brigitte Macron est formé de deux collaborateurs et de deux secrétaires. A ces quatre personnes viennent s'ajouter cinq personnes chargées de dépouiller son courrier au "service de la correspondance" de l'Elysée. Et Brigitte Macron devrait bientôt avoir un "budget officiel".
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De plus, les "missions" dont elle sera chargée seront précisées "après l'été". Lors des "dîners en ville", la caste politico-médiatique parisienne murmure que Brigitte Macron bénéficiera d'un "budget annuel" de 600'000, sans oublier les "frais de gestion" et de création de son éventuel "site internet personnel" (fin des extraits adaptés et "stylisés" ; voir lien vers source en bas de page).
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Miss Macron dans la presse pipole : un vrai délire.
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Quant à la presse féminine, pipolisée et stéréotypée (jardin intérieur, dimension psychologique, beauté extérieure...), elle est -- malgré elle  --  révélatrice, au plan sociologique et historique. Ainsi peut-on lire, à propos de Brigitte Macron, dans un média bobo que (extraits adaptés et commentés ; à lire jusqu'au bout tellement la presse pipolo-magnaque est "drôle" ; voir lien vers source en bas de page), "sa veste zippée" le soir de la victoire d’Emmanuel Macron, "son tailleur bleu" à l’investiture, ces "sacs à main qu’elle ne quitte plus", Brigitte Macron ne "jure" que par Louis Vuitton, et qu'elle est "séduite" par les créations de son directeur artistique, Nicolas Ghesquière.
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La Première Dame fait aussi venir le [petit] styliste Mathieu Berthe­­lat Colin, ancien­­ne­­ment chargé de commu­­ni­­ca­­tion pour la marque Zadig & Voltaire. Le jeune homme est styliste free­­lance depuis 2011 et a prin­­ci­­pa­­le­­ment travaillé à la télé­­vi­­sion pour 'Bache­­lor' [Qui paie le styliste, euh, ce blanc-bec : Vous toutes et tous, via l'Elysée, avec vos impôts ? Ou Madame Macron de sa poche ?].
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Et à chaque fois, ses looks font mouche. Ce n’est pas un secret, Brigitte Macron est proche de la famille Arnault, et plus particulièrement de Delphine Arnault, la directrice générale adjointe de la maison française. L’année dernière, celle qui n’était pas encore Première dame s’affichait même au défilé Louis Vuitton, à Paris, aux côtés de grandes stars du cinéma comme Léa Seydoux. Mais pourquoi l’épouse du président est-elle si accro à la griffe au monogramme ?
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Dans une enquête publiée par 'Capital.fr', on apprend que lorsqu’elle enseignait à Paris, au lycée privé Franklin, Brigitte Macron était la professeure de français de Frédéric et Jean, les plus jeunes fils de Bernard Arnault. Puis Brigitte Macron a rencontré Delphine Arnault en 2014. Enfin la Picarde Brigitte Macron a sympathisé avec Delphine lors d’un déjeuner à New York à l’été 2014.
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Delphine Arnault et Brigitte Macron étaient accompagnées de leurs conjoints respectifs, Emmanuel Macron et Xavier Niel. Depuis, l’épouse du président porte du Vuitton à chacune de ses sorties officielles » [ndmg - Delphine Arnault, Brigitte Macron, Emmanuel Macron, Xavier Niel, que du "petit peuple"...].
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Et si effectivement, la Première dame arbore régulièrement des jolis looks signés LV, en revanche, il s’agit systématiquement de "prêts" [ndmg - ce ne serait pas l'Elysée qui paie la note ; et ce serait Brigitte Macron qui règle­rait les émolu­ments ; mais on en voudrait bien la preuve, juste pour éviter les malentendus...].
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La First Lady a aussi fait quelques infidélités à Louis Vuitton. On l’a récemment vue en veste Balmain - ce qui a enchanté son créateur, Olivier Rousteing, sur Instagram - ainsi qu’en robe Courrèges (fin des extraits adaptés et commentés  ; voir lien vers source en bas de page). Voilà pour Macron, Vuitton, Rousteing, Balmain, Arnault, Niel, Seydoux, Berthe­­lat Colin, Ghesquière, toutes et tous cités dans la presse féminine, pipole et stéréotypée, une vraie radioscopie sociologique et historique de la France d'en Haut.
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Gauche caviar et misère du peuple :
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Dans ce contexte très "gauche-caviar", j'aimerais, pour ce qui me concerne, rappeler que 65% des Français estiment qu’"il y a trop d’étrangers en France". 60% des sondés déclarent que, "aujourd’hui, on ne se sent plus chez soi comme avant". 61% des personnes interrogées jugent que "d’une manière générale, les immigrés ne font pas d’efforts pour s’intégrer en France".
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Concernant l’islam, 74% des Français partagent le sentiment que l'islam "cherche à imposer son mode de fonctionnement aux autres". 85% jugent l’islamisme comme "un problème de plus en plus préoccupant". Visiblement, le peuple français a d'autres préoccupations que celles d'Emmanuel Sorel, Brigitte Macron, Louis Vuitton & Consorts. Voilà pour ce qui me concerne... Pour ce qui nous concerne ?
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Michel Garroté pour Les Observateurs, 13.7 2017
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/07/macron-sortir-du-piege-des-hap.html
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http://www.lexpress.fr/actualite/politique/brigitte-macron-un-vrai-statut-et-un-vrai-budget-pour-l-etat_1926383.html#xtor=AL-447
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http://www.elle.fr/People/La-vie-des-people/News/Voila-pourquoi-Brigitte-Macron-est-toujours-habillee-en-Louis-Vuitton-3497963#
-http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/brigitte_macron_a_engage_un_styliste_et_ce_n_est_pas_l_elysee_qui_paie_397210
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Douce France – Emmanuel Macron, Edouard Philippe, législatives…

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Prince Edouard Philippe, nouveau Premier ministre (de gauche) :
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Le jeune président français Emmanuel Macron (même pas quadra) a chargé Edouard Philippe, député-maire de 'Les Républicains' (LR) du Havre, et, juppéiste de la première heure, de former un gouvernement, qui sera connu le mercredi 17 mai. En 2014, Edouard Philippe avait écopé d’un "blâme" de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique qui avait constaté "quelques négligences" dans sa déclaration de patrimoine. "Aucune idée", avait écrit  Edouard Philippe en réponse aux questions sur la valeur de son bel appartement parisien.
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Bref, le juppéiste de la première heure Edouard Philippe est donc un homme sérieux, intègre et nouveau, comme l'avait promis le candidat Macron (Edouard Philippe est passé par le Parti socialiste et son aile rocardienne avant de rejoindre Alain Juppé lors de la création de l’UMP en 2002). Le très "centriste de gauche" Edouard Philippe devient ainsi un "Premier ministre de droite", nous dit-on (la belle blague).
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Edouard Philippe - Bienvenue et terre d'islam :
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Pour mémoire, Edouard Philippe avait inauguré, au Havre, le 28 septembre 2013, une mosquée radicale proche des Frères Musulmans. Avec Emmanuel Macron et Edouard Philippe, c'est La République (islamique) En Marche. A ce propos, notons que Jean-Paul Delevoye, proche conseiller de Macron, a déclaré, dans une interview parue mi-mai sur lavie.fr, que l’Europe a besoin de 50 millions d’immigrés (musulmans évidemment).
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De plus, il y a quelques mois, le député-maire Edouard Philippe a reçu au Havre un élu des frères musulmans marocains, Mohamed El-Bachir Abdellaoui, du parti islamiste PJD (Parti Justice et Développement), pour signer un protocole de jumelage entre Le Havre et la ville de Tanger, où cet islamiste occupe le poste de maire.
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Edouard Philippe - Aux affaires :
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Pour mémoire, En 2004, lorsque Alain Juppé est condamné à 18 mois de prison avec sursis dans l'affaire des emplois fictifs du RPR, son bien aimé Edouard Philippe rejoint le secteur privé. Trois ans plus tard, Edouard Philippe intègre le cabinet d'Alain Juppé lorsque ce dernier est nommé ministre de l'Ecologie de François Fillon, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Lorsque Alain Juppé quitte son portefeuille en 2008, Edouard Philippe rejoint de nouveau le privé et devient directeur des affaires publiques d'Areva.
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Edouard Philippe et Bilderberg :
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Encore pour mémoire, le groupe Bilderberg  qui a la réputation de poursuivre l'objectif de "promouvoir le système capitaliste" et qui regroupe 130 personnes venant de 20 pays (élites politiques, industrielles, financières, académiques et médiatiques) est bien connu d'Edouard Philippe. A ce propos, rappelons-nous que les invités du Bilderberg ont pour consigne de garder secrets les propos échangés lors des débats.
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L’édition 2016 a accueilli - sous la présidence du Français Henri de Castries, PDG du groupe d’assurances AXA - un ancien chef des services secrets britanniques, Sir John Sawers, et, un ancien directeur de la CIA, le général David Petraeus. A noter que parmi les rares Français, on ne comptait que deux responsables politiques : le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius et le député-maire du Havre Edouard Philippe.
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Edouard Philippe - La déchéance du Havre :
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Toujours pour mémoire, Edouard Philippe - comme le révèle Géraldine Maraîcher, ex-collaboratrice à la mairie du Havre, sur LSB - a été incapable de proposer, voire même de soutenir, certaines initiatives pour développer l’emploi dans cette partie de l’estuaire de la Seine (le Havre), où l’industrie est largement en déclin. Alors qu’il promettait des milliers d’emplois dans le développement industriel des énergies marines, le projet d’usine Aréva qu’il a soutenu est mort-né. Les deux passages dans le privé dont il se targue n’ont duré que quelques mois.
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Géraldine Maraîcher : Dans un cabinet d’avocats ou chez Aréva pour un emploi réservé, il n’a pas su acquérir l’expérience et la stature qui lui auraient permis de relever les défis auxquels est confrontée l’agglomération du Havre. Cependant, c’est en politique qu’Edouard Philippe s’est montré visionnaire en finançant à hauteur de plusieurs centaines de milliers d’euros, et pendant plusieurs années, les activités de conseil de Jacques Attali au Havre. A noter que depuis l'élection de Edouard Philippe comme maire, le Havre a perdu 1'533 places en trois ans dans le classement par ville en niveau de vie. Soit un décrochage de 500 places par an, précise Géraldine Maraîcher. Voilà, en gros, pour ce qui concerne Edouard Philippe.
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Retours de vestes :
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Ils sont maintenant 28 élus LR et UDI à avoir signé l’appel à saisir « la main tendue par le président de la République » : Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-Louis Borloo, Thierry Solère, Bruno Le Maire, Benoist Apparu, Fabienne Keller, Arnaud Robinet, Delphine Burkli, Gérald Darmanin et Christian Estrosi entre autres.
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Le Show des Législatives :
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Selon un sondage Kantar Sofres, au 1er tour des législatives le 11 juin, seuls 24% des électeurs choisiraient un candidat de 'La République En Marche - La République / Modem'. Derrière, 22% voteraient pour un candidat de "Les Républicains / UDI" ; et 21% pour le 'Front national'. Les candidats de la 'France insoumise' recueilleraient 15% des voix et ceux du 'Parti socialiste' 9%.
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Ces macronistes qui ne le sont pas :
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Et selon un sondage Ipsos/Sopra Steria, parmi les électeurs d’Emmanuel Macron au second des présidentielles, 43%, disent avoir voté pour Macron "pour faire barrage à Marine Le Pen". Toujours selon ce sondage Ipsos/Sopra Steria, 33% des électeurs de Macron disent avoir voté pour lui, pour le renouvellement qu’il représente ; seulement 16% pour son programme et ; 8% pour sa personnalité.
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A noter également que 61% des sondés ne souhaitent pas donner à Macron une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Ils ne sont que 15% à le souhaiter "tout à fait". Et 24% à le souhaiter "plutôt". Les élections législatives des 11 et 18 juin  --  qui détermineront en grande partie la teneur du quinquennat d’Emmanuel Macron et sa capacité ou non à présider  --  pourraient donc se révéler très difficiles pour le nouveau chef de l’Etat.
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Le don Quichotte Manuel Valls :
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A noter aussi qu'aux législatives, Valls concourra sous sa propre étiquette, 'Majorité Présidentielle' (rires dans la salle), sans avoir à affronter de candidats 'La République en Marche' ou 'PS' car ils ne proposeront pas de candidats dans sa circonscription, l'Essonne. "Il n'est ni investi, ni soutenu", raconte Christophe Borgel, en charge des élections au 'PS'. Sans candidat 'REM' et 'PS' face à lui, Valls a donc des chances d'être élu député de l'Essonne en juin. Il affrontera toutefois Farida Amrani, candidate de 'La France Insoumise'.
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A ce propos, la semaine passée, j'avais lu avec amusement (sur Le Salon Beige) que Manuel Valls, ancien Premier ministre, ancien ministre de l'intérieur, ancien candidat malheureux aux primaires de la gauche (à deux reprises), mais surtout grand spécialiste de l'utilisation de gaz lacrymogène face à la la Manif pour Tous, risquait d'être exclu du 'PS', selon les dires du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis (au final il n'a pas été viré).
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Cela n'aurait pourtant pas été une surprise pour Valls qui avait soutenu la candidature d'Emmanuel Macron, alors qu'il s'était engagé à faire campagne derrière le vainqueur des primaires socialiste, le pauvre Benoît Hamon.
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Cela s'était d'ailleurs compliqué lorsque l'on avait vu la déclaration de Jean-Paul Delevoye, responsable de la Commission nationale d’investiture du parti 'La République en Marche' : "À ce jour, il [Valls] n’est pas dans les critères d’acceptation de sa demande d’investiture. Et donc dans ce cas très précis, Et donc dans ce cas très précis, la commission nationale d’investiture [de 'La République en Marche'] ne peut pas analyser la candidature de M. Valls".
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Une revanche d'Emmanuel Macron sur Manuel Valls ? Selon BFMTV, la candidature de Manuel Valls pour 'La République en marche' aux législatives a failli être tuée dans l'œuf par l'équipe d'Emmanuel Macron, faute, officiellement, de remplir les critères pour les demandes d'investiture. Cette fin de non-recevoir pour l'ancien Premier ministre avait été vue comme la dernière vengeance d'Emmanuel Macron et avait illustré la relation tumultueuse entre les deux hommes, toujours selon BFMTV.
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"Je n'ai pas fondé une maison d'hôtes", avait lâché Macron en pleine campagne présidentielle, déjà à l'adresse de Valls [ni maison d'hôtes, ni auberge espagnole ou catalane]. Au moment de la primaire à gauche, après l'annonce de la renonciation de François Hollande, Emmanuel Macron, ayant rassemblé ses troupes, avait déjà déclaré : "S'il y a un traître, s'il y a quelqu'un qui a flingué Hollande, c'est Valls". Voilà, en quelques lignes, pour ce qui concerne Manuel Valls
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Ce que pense réellement Emmanuel Macron :
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Macron pense que - je le cite - "Je veux que sur le non-respect des droits et des valeurs de l’Union européenne, des sanctions soient prises. On ne peut pas avoir une Europe qui  --  lorsque vous avez un pays membre qui se comporte comme la Pologne ou la Hongrie, sur des sujets liés à l’université, aux réfugiés, à nos valeurs fondamentales  --  décide de ne rien faire". (...) La "France, républicaine par nature, qui est la nôtre, a des ennemis".
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Macron : "Les républicains ne peuvent jamais faire l’économie de les nommer. Ces ennemis si divers ont tous en commun d’être des rêveurs - mais des rêveurs parfois criminels -, des puritains, des utopistes du passé. Ils croient détenir une vérité sur la France. Ce n’est pas seulement un danger, c’est un contresens. La seule vérité qui soit française, c’est celle de notre effort collectif pour nous rendre libres, et meilleurs que nous sommes".
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Macron : "Cet effort qui doit nous projeter dans l’avenir. Ces ennemis de la République prétendent l’enfermer dans une définition arbitraire et statique de ce qu’elle est et de ce qu’elle devrait être". (...) "Je suis favorable à une loi qui ouvrira la procréation médicalement assistée aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. Je m’engage à ce que les enfants issus de GPA nés à l’étranger voient leur filiation reconnue à l’état-civil français", estime Macron.
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Macron au crible d'un philosophe :
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Le philosophe français Franck Jullié a analysé, sans complaisance et sans pitié, les soi-disant "convictions" [tu parles...] de Macron et voici ce qu'il en pense : "Avec Emmanuel Macron, la France inaugure une nouvelle étape de la Révolution, le passage du monde de Kant à celui de Nietzsche. On sait que Nietzsche reprochait à Kant de ne pas avoir achevé la destruction de la métaphysique car il a maintenu - par ses trois Critiques - le statut de la raison comme instrument légiférant.
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Franck Jullié : Avec Nietzsche, ce sont les forces les plus profondes - et non seulement la raison obscurcie - qui doivent prendre le pouvoir, les forces dionysiaques. La France  --  plutôt que de se repentir de son antichristianisme, de son fanatisme socialiste, de sa culture pornographique  -- a confirmé par cette élection présidentielle son endurcissement spirituel", ajoute Franck Jullié.
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N'oublions pas le cas Fillon :
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Sur Le Salon Beige, Guillaume Thieulloy écrivait, il y a peu, à propos de Fillon et de 'LR' : "Voici quelques semaines, François Fillon s’était félicité que son éventuelle majorité comprenne à la fois Sens commun et François Baroin. Quoi que l’on pense de son programme, cela signifiait manifestement qu’il avait autour de lui des 'conservateurs', comme Sens commun, et des 'progressistes', comme François Baroin".
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Guillaume Thieulloy : "Le mouvement Sens commun regroupe, en effet, des militants attachés à la conception classique de la personne humaine, tandis que François Baroin, notoirement "proche" du Grand Orient, dont il est l’une des principales voix au sein des LR, défend les « immortels principes » de 1789", précisait Guillaume Thieulloy sur LSB.
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Macron, encore lui :
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Sur Causeur.fr, l'avocat Régis de Castelnau écrivait récemment : "Emmanuel Macron a donc été élu – et investi – président de la République. Emmanuel Macron doit en premier lieu son élection à une forme de coup d’État, qui a impliqué la haute fonction publique, les médias et le grand capital. Ensuite, à l’absence de réaction des forces politiques et démocratiques devant cette manipulation qui a pourtant abouti à retirer à l’élection présidentielle 2017 son caractère de sincérité et de légitimité. En troisième lieu, on a assisté à une prise de pouvoir totale de la haute fonction publique d’État et de ses réseaux, qui a porté l’un des siens à la présidence".
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Régis de Castelnau : "Le financement opaque de cette campagne, et l’évidence qu’il y aurait à réintégrer tous les débours exposés par l’État et les grands médias en appui direct de la candidature de Macron, devraient rendre impossible la validation de son compte de campagne. La loi de 1990 sur le financement public de la vie politique a considérablement étoffé et durcit le droit électoral. Pour deux raisons : la première est la nécessité d’assurer la transparence et l’équité dans la conquête des suffrages ; la deuxième est que le financement de l’État est proportionnel aux résultats électoraux".
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Régis de Castelnau : "Assurant ainsi la légitimité des élus et la justice dans le financement des partis, les scrutins doivent être irréprochables. Ce n’est, semble-t-il, pas le cas de ceux de l’élection présidentielle de 2017. La catastrophe politique du mandat de François Hollande, sur lequel beaucoup d’entre eux avaient misé, leur a montré qu’il n’était plus possible de laisser les manettes à des Harlem Désir, des Jean-Vincent Placé, des Cécile Duflot, des Bruno Le Roux, pour ne parler que des pires".
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Régis de Castelnau : "Exit l’ancienne classe politique, il a donc fallu mettre les mains dans le cambouis et, avec la promotion d’un jeune inconnu, faire semblant de tout changer pour que surtout rien ne change. En ne s’embarrassant guère de scrupules démocratiques. Et c’est là que le bât blesse vraiment, la confiscation de cette élection pourrait avoir des conséquences imprévues. Le temps viendra de l’étude détaillée de cette étrange victoire", ajoutait récemment l'avocat Régis de Castelnau sur Causeur.fr.
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https://www.lesalonbeige.fr/pour-manuel-ca-sent-le-gaz/
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http://www.bfmtv.com/politique/legislatives-la-revanche-d-emmanuel-macron-contre-manuel-valls-1160951.html
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http://www.lesalonbeige.blogs.com/
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http://www.causeur.fr/emmanuel-macron-investiture-president-passation-44321.html
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L’analyse d’un psychiatre italien sur Macron [vidéo]

Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

https://youtu.be/NNDgsw39m9s

Emmanuel Macron, otage du vote islamiste ?

Par : Mohamed Louizi

Avertissement :

Le décryptage qui suit ainsi que ses illustrations, en annexes, pourraient aider à faire un choix électoral (ou pas), le 7 mai prochain, au second tour des élections présidentielles. J’en suis conscient. J’assume ce que j’écris, comme je l’ai toujours été, y compris dans les prétoires. Je suis responsable de ce que je dis. Je ne suis comptable ni de ce que d’autres en feraient, ni des possibles instrumentalisations. Je rassure mes lecteurs que toutes les informations sont vérifiables à 100%. Plus de cinquante notes bibliographiques renvoient aux sources directes. Aucune source n’est un « fake news » d’origine russe. Les illustrations comportent d’autres informations complémentaires.

Suite

Marine Le Pen comme moindre mal ?

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Michel Garroté - Pourquoi un tel spectacle - ridicule et dégradant - auquel participent tous les prétendants à la Présidence (au trône ?) de la République française ? Bonne question, pas vrai... A ce propos, je lis avec amusement, que Hollande se donne comme « ultime devoir » (tu parles...) d’empêcher la victoire de Marine Le Pen. Ah oui ? Et comment ? En mobilisant la caste politico-médiatique parisienne de gôche (CPMPG pour les intimes) au profit de Maqueron ? Bref, laissons de côté Flanby-la-fraise-des-bois et sa Scooter-stupidity et - hop - parlons d'autre chose (écrivons sur autre chose...).
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Je suis "plutôt d'accord", avec le billettiste chrétien de droite Philippe Maxence, lorsqu'il écrit, dans le média catho conservateur L'Homme nouveau (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La politique repose sur la vertu de prudence, sur ce discernement pratique au regard des circonstances par rapport au but à atteindre. Mais la prudence n’est pas la pusillanimité. Il ne faudrait pas que cette dernière nous entretienne en fait dans un état permanent de noyé, toujours sauvé in extremis, sur un certain nombre d’aspects concrets - des impôts à l’école en passant par la liberté d’entreprendre - qui empêchent de poser les fondements d’une véritable politique de civilisation, explique Philippe Maxence.
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Philippe Maxence précise : Les dernières affaires qui ont touché la vie politique française, les derniers épisodes de la montée en puissance de certains candidats ou le flot incessant de mensonges qui se déversent constamment depuis ces bouches d’égout que sont, hélas, certains journaux, ne sont réellement importants que dans le cadre d’un système politico-médiatique qui pourrait être en train de sombrer, ajoute Philippe Maxence (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Mais venons-en au thème de la présente analyse :
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"Marine Le Pen comme moindre mal ?".
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A ce propos, le chroniqueur et auteur catholique-conservateur français Bernard Antony  --  qui considère Marine Le Pen comme un moindre mal et c'est son droit  --  estime, dans le cadre des présidentielles (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), que la vie de chacun est souvent remplie d’occurrences où s’impose le choix d’un « moindre mal ». Cela arrive fréquemment en politique, et quelquefois douloureusement. Ainsi notre grand ami, Jean-Baptiste Biaggi, grand héros de la guerre de 1940 et de la résistance, disait-il : « Il y a des moments de l’histoire où le plus difficile n’est pas de faire son devoir mais de savoir où est son devoir ».
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Jean-Baptiste Biaggi évoquait là les dilemmes terribles qui avaient assailli bien des patriotes en 1940 dont beaucoup optèrent pour ce qu’ils ne jugèrent pas toujours comme la voie la meilleure mais, tout au moins, la moins mauvaise. Le choix du moindre mal en politique nécessite évidemment au préalable de savoir où est le plus grand mal, où est le pire pour notre pays, pour nos valeurs, pour les nôtres. Ce qui j’ai m’amène à considérer deux très grandes menaces.
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Premier "pire" :
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La plus facilement et immédiatement discernable est la menace de l’islam, théocratie totalitaire et même en quelque sorte quintessence du totalitarisme, tant, dès la création du concept de l’oumma par Mahomet, l’islam a réalisé une société où tous les domaines de la vie s’enchevêtrent.
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Chacun y est à la fois observateur et observé, dans la conformité à l’orthopraxis individuelle et collective. Bien avant « Big Brother », l’islam avait inventé « l’oumma ». À bien des égards, l’islam totalitaire, en pleine expansion par-delà ses divisions, représente ce que j’appellerais « le pire, le plus immédiat ».
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Deuxième "pire" :
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le racisme anti-humain sous couvert "d'antiracisme" :
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« Transgression » et « dépossession » sont les maîtres-mots du néo-totalitarisme du racisme anti-humain qui aura sans cesse progressé sur l’entre-deux siècles sous le couvert du grand mensonge de l’idéologie nihiliste dite « antiracisme ». Ainsi, une deuxième très grande et récente menace pèse sur notre civilisation (l'antiracisme et en réalité le racisme anti-humain) et sur l’humanité. Après le nazisme, après le communisme, surgit et enfle sans cesse une nouvelle monstruosité totalitaire déjà suffisamment avancée (le racisme anti-humain) mais dont le plus grand nombre ne peut prendre conscience.
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Car le fondement même du racisme anti-humain est dans la plus grande invisibilité possible, et il n’a donc - évidemment - pas sécrété un « Coran », un « Manifeste du parti communiste », un « Mein Kampf » ou un « petit livre rouge ». Certes il n’est pas théorisé en tant que tel et il a d’abord été au fil des ans développé par une conjonction de faits économiques, de réalisations scientifiques et techniques, et, selon le vocabulaire marxiste, par une superstructure idéologico-utopique, ajoute le chroniqueur et auteur catholique-conservateur français Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.hommenouveau.fr/1934/editorial/notre-quinzaine---ne-nous-laissez-pas-brsuccomber-a-la-tentation--.htm
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/elections-bernard-antony-consid%C3%A8re-marine-le-pen-comme-le-moindre-mal.html
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Macron – Baudruche ou Coqueluche ?

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Michel Garroté - Qui soutient Emmanuel Macron ? Certains disent que Macron est désormais la coqueluche de François Hollande, Ségolène Royal, Alain Minc, Jacques Attali, Bernard Kouchner et Pierre Bergé. Mais d'autres disent que Macron n'est qu'une baudruche. Peut-être Macron est-il les deux : coqueluche et baudruche.
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A ce propos, l'éditorialiste de droite Eric Letty (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les « grands médias » nous présentent ce dernier comme l’homme qui monte et sur lequel reposent les espérances de la gauche d’accommodement. On nous refait, en somme, le coup du « troisième homme », comme naguère avec Bayrou et comme hier avec Juppé. Macron, c’est en quelque sorte le Juppé de la deuxième chance. Or, on a vu ce que « pesait » réellement le maire de Bordeaux, que les journalistes et les sondeurs nous présentaient comme le probable vainqueur de la primaire de la droite.
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L’électorat de Macron, c’est peu ou prou celui de Juppé. Or, même avec l’appui de plusieurs centaines de milliers de voix venues de la gauche, ce dernier a échoué ; et sans cet appui, il n’aurait même pas figuré au deuxième tour face à Fillon. Certes, ce dernier s’est pris les pieds dans la pelote de Pénélope ; mais Macron aussi est éclaboussé par une « affaire » : deux journalistes l’accusent d’avoir dépensé 80% de l’enveloppe annuelle accordée à son ministère au titre des frais de représentation, soit 120'000 euros en huit mois, principalement pour les besoins de sa communication personnelle.
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Surtout, sur qui peut-il compter ? Le centre droit et le centre gauche, dont il drague les électeurs en affirmant n’être ni de droite, ni de gauche ? Mais la France n’est pas au centre et il n’y a guère de chances ou de risques qu’elle le devienne en ce moment, alors que le pays ressemble à une cocotte sous pression d’où les passions sont prêtes à s’échapper comme d’une boîte de Pandore quand le couvercle sautera. Depuis douze ans au moins, les Français n’ont cessé de marquer par leurs votes la défiance que leur inspirent l’eurocratie, la technocratie et les oligarchies qui prétendent leur dicter leur avenir.
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Et ils éliraient un produit de la haute finance internationale, partisan avéré du primat de l’Europe de Bruxelles contre les nations, enfant prodige d’Attali, ancien secrétaire général de l’Élysée sous Hollande ? Même Cohn-Bendit affirme qu’il pourrait voter pour lui : c’est à cette aune que se juge la « jeunesse » des idées de Macron. Qui peut d’ailleurs dire précisément quelles idées agite le dernier espoir de la gauche bofric (bourgeoise-friquée) ? Pour l’instant, Macron se cantonne à ce qu’il sait et aime faire : la com’ et le flou ; mais comme les autres, il va devoir sortir du bois et préciser son programme. C’est là qu’il sera attendu, ajoute Eric Letty (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Comment François Hollande soutient Emmanuel Macron

   
Michel Garroté - Le site Internet de gauche 'Le Vent se lève' (mentionné par le site Internet 'Eurocalifat'  : voir lien en bas de page) écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le Président François Hollande, jusque là réservé sur la question du candidat auquel il apporterait son soutien, a choisi son camp. L’Elysée et le Quai d’Orsay ont en effet organisé en sous-main le déplacement d’Emmanuel Macron au Liban, l’occasion pour ce dernier de se donner une stature internationale et d’organiser quelques levées de fonds.
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Emmanuel Macron a bénéficié d’une aide active de l’Élysée, du Ministère des Affaires étrangères et de l’Ambassade de France au Liban lors de son déplacement à Beyrouth des 23 et 24 janvier, selon plusieurs sources concordantes. La visite de l’ancien ministre de l’économie et actuel candidat à l’élection présidentielle au Liban a été rythmée par plusieurs temps forts, grâce à quelques coups de pouce de l’État français.
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Il a pu donner une conférence à l’École supérieure des Affaires de Beyrouth, lundi 23 au soir, devant un parterre de personnalités françaises présentes au Liban. Initialement réticent à donner une tribune à un homme politique en campagne, le directeur de l’école fondée dans le cadre d’un partenariat entre la France et le Liban, Stéphane Attali, aurait finalement accepté d’organiser cette conférence suite à un appel du ministère français des Affaires étrangères, selon une source anonyme. L’ambassadeur de France au Liban, Emmanuel Bonne, était assis au premier rang.
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A noter également, l’introduction de la conférence par le journaliste Emmanuel Chain, qui n’a pas tari d’éloges envers la candidat à l’élection présidentielle. Alors même qu’il a produit le documentaire « Emmanuel Macron, la stratégie du météore », diffusé il y a quelques semaines sur France 3, une chaîne du service public.
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Emmanuel Macron a également pu rencontrer le Président libanais Michel Aoun, le Premier ministre Saad Hariri et le patriarche maronite Béchara Raï grâce à l’intervention de l’Élysée, selon cette même source. L’ambassade de France a également joué un rôle puisque le candidat à la présidentielle a été logé au sein de la Résidence des Pins, résidence officielle de l’ambassadeur de France.
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Il a également participé à deux repas de levée de fonds. Une place dans l’un de ces dîners aurait coûté de 10'000 à 15'000 euros selon une source, un chiffre surprenant, étant donné le plafond légal de 4'600 euros de dons individuels pour une campagne présidentielle et de 7'500 euros pour un parti politique. Le premier réunissait des personnalités politiques libanaises, tandis que l’assistance du second était composée de dirigeants des milieux économiques, selon plusieurs sources.
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Ces repas, qui auraient accueilli une centaine de convives chacun, ont eu lieu dans une galerie d’art du quartier de Mar Mikhaël. Ils devaient initialement se dérouler au domicile de Jean Riachi, banquier d’affaire libanais, avant un changement de programme pour des raisons d’image, selon une source anonyme. Jean Riachi, camarade de promotion d’Emmanuel Chain à HEC, aurait joué un rôle central dans l’organisation de la visite d’Emmanuel Macron au Liban, grâce à l’entremise de l’ambassade, poussée par le Quai d’Orsay.
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Cette visite a permis à Emmanuel Macron de continuer à lever les fonds nécessaires pour sa campagne, ainsi que de se donner une stature internationale jusque là absente. Elle met surtout en lumière l’engagement direct de l’administration Hollande pour ce candidat, alors que le Président de la République n’a pas encore pris position concernant l’élection présidentielle à venir.
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On sait depuis octobre qu’Emmanuel Macron dispose de réseaux au Liban, grâce à l’aide du franco-libanais Bernard Mourad. L’ancien directeur général adjoint du pôle médias du groupe SFR et banquier d’affaire chez Morgan Stanley avait alors rejoint le mouvement En Marche. L’État français lui aura donc permis d’étendre ses réseaux libanais.
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Ce soutien de l’Élysée à Emmanuel Macron était, au sein de nombreux milieux, un secret de polichinelle. Alain Marsaud, député LR de la 10ème circonscription des Français de l’étranger, qui comprend le Liban, était tout à fait au courant de l’aide fournie à Emmanuel Macron. Il a choisi de laisser la visite se dérouler, afin de pouvoir révéler le scandale et attaquer le Président de la République.
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Emmanuel Macron ne cesse de répéter que son mouvement « En Marche » ne bénéficie pas de fonds publics. Le mensonge apparaît de plus en plus flagrant : le soutien de l’Elysée à l’ancien Ministre de l’économie semble indéniable. S’ajoutant à nos informations, le livre Dans l’enfer de Bercy (éd. JC Lattès) des journalistes Frédéric Says et Marion L’Hour, qui sort aujourd’hui, montre que Macron s’est servi de fonds publics pour lancer son mouvement.
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Ces faits mettent en lumière le soutien du président à un candidat qui n’est même pas issu du Parti Socialiste, sa propre formation politique, et ce, grâce aux moyens de la République.
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La responsable communication de Macron jointe au téléphone par 'Le Vent se lève' affirme ne pas connaître le directeur de l’école d’affaires, aussi ne peut-elle pas répondre de ses intentions. Elle qualifie les accusations portées à l’encontre d’E. Macron de « fantaisistes ». « Je ne sais pas qui a pu vous dire ça » ; « Nous démentons tout traitement exceptionnel » a-t-elle déclaré. Elle ajoute qu’il ne peut pas y avoir eu de repas sauf à en organiser un à 4h du matin. Il y a eu seulement des cocktails dans la galerie d’art Agial. La presse était présente d’après elle.
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Emmanuel Macron n’était selon elle pas logé à la résidence des Pins, mais à l’hôtel. Il a averti les autorités françaises comme il le fait à chaque déplacement, la préfecture en France, les ambassades à l’étranger. Les seules facilités mises à disposition par les pouvoirs publics sont pour loger sur la base aérienne en Jordanie qu’il visite aujourd’hui, c’est obligatoire d’être contrôlé par le ministère de la défense pour ça. Elle dément aussi « complètement » l’aide pour les rencontres. « On s’appuie sur nos propres contacts » : pour les rencontres, c’est organisé par Mme Bariza KHIARI présidente du groupe d’amitié franco-libanais au Sénat. De son côté - sur francetvinfo - l'Elysée, dément avoir organisé "en sous-main la venue de Macron au Liban", ajoute 'Le Vent se lève' (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Hébédidon, bonjour l'ambiance...
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://lvsl.fr/exclusif-lelysee-a-organise-deplacement-macron-liban
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https://eurocalifat.wordpress.com/2017/01/30/apres-la-berezina-de-valls-hollande-soutient-macron/
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