Notre site a déjà parlé de la série d’agressions commises à Perly, village situé à la frontière française : Série de vols violents dans un village genevois : La police engage une brigade franco-suisse pour l’enquête
Communiqué UDC. Perly : l’UDC dénonce des drames facilement évitables 5.10.2019
Genève : Les habitantes de Perly ne devraient plus se promener seules selon la police
Voir aussi : Conseils de la police : promenez-vous à plusieurs et ne montrez pas vos valeurs
À la suite de ces événements, le Matin Dimanche du 20 octobre 2019 a publié un reportage de Benjamin Pillard, intitulé: « Après l’agression d’une quatrième femme, Perly vit dans la psychose. »
Sous l’intertitre « Lacérée au moyen d’une lame de rasoir », nous lisons ces précisions : « [...] peu avant 23h, une trentenaire a été blessée au moyen d’un objet tranchant type lame de rasoir, alors qu’elle parcourait la centaine de mètres entre son domicile du centre du village et la salle communale où cette mère de famille avait participé à un cours de cuisine. À en croire la victime, son agresseur était un homme masqué par une capuche et l’aurait blessée pour la « punir » de ne pas avoir eu d’argent dans son sac. [...] »
Ce mot de « psychose » est un terme psychiatrisant, utilisé par l’establishment pour dénigrer une peur légitime.
Le journaliste, drillé au politiquement correct, ridiculise les habitantes de Perly qui vivent dorénavant dans la peur. Pour les gauchistes, cette peur ne peut être considérée comme rationnelle. Une bagatelle, comme se faire lacérer gratuitement dans un paisible village, cela ne relèverait que d'une psychose collective. Le trouble mental n’est même plus du côté des criminels mais du côté des victimes. Si par miracle, l’immonde ordure - à coup sûr issue de la diversité - est un jour traduite en justice, on ne serait pas étonné que là, il ait droit à un diagnostic de psychotique et à un appel à la clémence pour des mesures thérapeutiques à la place de la prison.
Ici, comme partout dans les médias romands, le journaliste a décidé de censurer ce que représentent ces lacérations pour cette femme. Et bien entendu, contrairement aux médias britanniques, le visage et le nom du criminel ne seront jamais publiés.
Est-ce que cette jeune mère de famille portera des cicatrices au visage à vie ? Et les trois autres victimes ? Est-ce que les dégâts causés par ces attaques barbares, signées multiculturalisme, poursuivront les victimes à vie ? Pendant que nous nous posons ces questions, d’autres personnes seront de nouveau victimes du vivre ensemble, et un clou chassera l’autre, sans que le ministère de la Vérité autorise un débat de fond, sans censure.
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Le ministère de la Vérité a également le monopole de la psychiatrisation. Les diagnostics psychiatriques fusent après les attentats pour excuser les fils d’Allah. Avoir peur de subir des conséquences du vivre-ensemble est équivalent à une psychose, par contre, parler d’hystérie climatique est un terme répréhensible.
Le 21.10 à l’émission Forum, une déléguée à l’Égalité nous a avisés que le terme d’hystérie climatique devrait être banni car il serait une insulte machiste envers les femmes.
Oskar Freysinger avait en effet cité l’« hystérie climatique » comme explication du recul de l’UDC lors des élections de la veille (40:33).
La Verte Nicole Baur, déléguée à l’Égalité du canton du Neuchâtel (tout un pédigrée) a alors tenu à préciser (44:34) : « J’aurais juste un petit conseil à donner à l’UDC. Peut-être n’utilisez pas le terme hystérie, Monsieur Freysinger, parce que hystérie renvoie à l’utérus, donc on sait très bien que c’est un terme extrêmement machiste. Si vous voulez vraiment séduire des femmes, eh bien, peut-être, changez de vocabulaire. »
Mme Baur fait allusion à l’étymologie du mot, car l’adjectif hystérique a été créé au XVIe siècle pour qualifier des femmes atteintes d’une maladie psychique dont on croyait, alors, que le siège était dans l’utérus, hysteros en grec.
Ce genre d’argument est absurde. Qui se soucie aujourd’hui du fait que séduire signifie étymologiquement « conduire hors du chemin, dévoyer » ?
Ou qu’enfant signifiait à l’origine « qui ne parle pas » ?
Faut-il bannir le mot Occident des cours de géographie, sous prétexte qu’il « renvoie » au soleil couchant, alors qu’on sait très bien que le soleil ne se « couche » pas, c’est la Terre qui tourne ?
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Oskar Freysinger, le grain de sable dans les rouages parfaitement huilés de la RTS
La veille de ce Forum, lors de la grande journée électorale, Oskar Freysinger était invité sur le plateau de la RTS et il a pu dire en direct, face caméra, que l’urgence climatique est un mensonge qui n’est qu’une manipulation de masses à des fins politiques. Freysinger a également mentionné que le droit au débat avait totalement été dénié sur le sujet et que le succès des Verts est dû à la propagande médiatique.
C’était la première fois que sur notre média public, et bien malgré lui, que la possibilité était donnée à une personne, s'exprimant clairement, d'exposer une autre opinion que le dogme climatique officiel. Cet accident n’aurait jamais dû arriver, et il a certainement causé bien de l’agitation dans les coulisses. La RTS a parfois déploré que sur les réseaux sociaux il existe de nauséabonds climatosceptiques, comparables aux négationnistes des chambres à gaz, mais c'est absolument inédit que la RTS laisse l'accès au micro à de telles déclarations.
« Heureusement » qu’après l’intervention fracassante d’Oskar Frexsinger, il y a eu l’interview de Virna Conti, présidente des Jeunes UDC Genève, pour réparer le bug. Virna Conti a expliqué qu’en fait, l’urgence climatique n’a rien à voir avec le clivage gauche-droite mais est un clivage générationnel. Elle croit dur comme fer qu’elle a saisi avec acuité ce qu’est l’urgence climatique. Elle a rassuré les téléspectateurs : même des Jeunes UDC ont participé aux manifestations pour le climat. UDC, Verts, même combat. La relève UDC est assurée.
Il est bien normal que la maturation des esprits prenne du temps. Ce n’est pas que nous manquions d’indulgence face à ces fraîcheurs, mais notre époque est trop marquée par le jeunisme... et c’est bien dans ce sol que la révolution thunbergienne a pu prendre racine.
Cette jeunesse aurait bien besoin de « vieux », non pas comme Dubochet, qui fait office de sage pour la jeunesse qu’il crétinise, mais de personnes irremplaçables comme, par exemple, Yves Nidegger, pour expliquer ce qui se joue dans les coulisses de la religion climatiste.
L’hystérie climatique a coûté 12 sièges à l’UDC, sans que cette dernière n'ait eu la possibilité de s’exprimer clairement, et dans des conditions honnêtes, à ce sujet.
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Compte tenu de ces circonstances défavorables, l’UDC avait deux stratégies possibles pour les élections lorsqu’elle a constaté l’ampleur planétaire de cette nouvelle forme de révolution de couleur :
A) Limiter les dégâts et proposer aux électeurs des solutions alternatives aux taxes en attendant que l’hystérie s’essouffle.
B) Partir en guerre de communication, en contournant la censure, et faire des vidéos (Youtube, les réseaux sociaux), donner des conférences et exposer partout la vérité, dénoncer le mensonge du réchauffement anthropique.
Certes, l'option B aurait pu empêcher que Virna Conti croie qu’il n’y avait rien de politique dans les mouvements climatiques, mais même ainsi, l’UDC n’aurait pas pu faire le poids face à la déferlante de l'hystérie climatique.
De leur côté, les Verts ont tout l’establishment avec eux, de l’argent quasiment sans limite, la totalité des médias, l’enseignement, des facilités de toutes sortes, ils représentent le clergé qui a su imposer une nouvelle religion d’État.
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Monsieur Montabert a écrit : « […] Les jours qui s'annoncent vont être sombres pour la Suisse. Les Verts ne sont pas des écologistes sympas mais des extrémistes aussi à gauche que les communistes. Les taxes, les amendes, le flicage des poubelles et les interdictions vont pleuvoir. Les automobilistes vont souffrir, l'énergie va être rendue hors de prix, ce qui provoquera récession économique et appauvrissement généralisé. […] »
La montée en puissance du marxisme culturel se joue partout dans la civilisation occidentale, de l’Australie au Canada, en passant par la vieille Europe. Mais ce qui se passe en Suisse Romande avec la confiscation totale des médias par la bienpensance, associé à une très haute densité de population étrangère (dans certaines villes en Suisse Romande, moins de 20% de la population a des grands-parents suisses de souche), l'enseignement est totalement infesté par la gauche et cette situation est encore bien plus grave qu’ailleurs. Nous vivons une forme d’endoctrinement intensif de gauche sans goulag, avec une jeunesse bien plus sous influence que ne l’était la jeunesse sous le joug du communisme… avant la chute du mur.
Cette jeunesse ne sachant pas ce que signifie « penser par soi-même », ou pire encore, tout simplement « penser, réfléchir ».
Déjà bien avant ce tsunami vert, le totalitarisme des médias était parvenu à mettre en échec chaque initiative allant à l’encontre des intérêts de l’establishment... et les initiatives de l’UDC qui avaient été acceptées n’ont pas été mises en œuvre par la suite. Que va-t-il se passer maintenant ?
La diabolisation continuelle de l’UDC par les médias et le matraquage gauchiste a fini par porter ses fruits.
Les jeunes actuels sont totalement inconscients du travail de sape continuel visant à détruire la civilisation occidentale depuis mai 68.
L'arnaque d'un prétendu réchauffement climatique anthropique va-t-elle réussir à finir le job ?
Cenator