Géorgie (États-Unis) : de nouveaux résultats de vote retrouvés, les deux tiers de ces votes oubliés étaient pour Trump

Les autorités de Géorgie ont déclaré qu’une erreur humaine a conduit à l’oubli de 2 600 votes dans le comté de Floyd, ce qui réduira probablement l’avance de l’ancien vice-président Joe Biden sur le président Donald Trump lors de l’élection présidentielle de 2020. […]

Il a déclaré que l’ “incroyable bévue” venait du fait que quelqu’un n’avait pas chargé le décompte des votes d’une carte mémoire sur une machine. […]

Les résultats de vote retrouvés comprenaient 1 643 nouveaux votes pour Trump et 865 nouveaux votes pour Biden, ce qui a donné un coup de pouce au président. M. Sterling a déclaré que les nouveaux votes ne changeraient pas les résultats de l’élection présidentielle en Géorgie, car cela ne suffirait pas à changer le résultat.

“Il semblerait que plus de 800 voix aient été apportées au président, mais le différentiel dans l’état était de 14 155 voix, ce qui le ramènerait à 13 300 voix ou quelque chose comme ça, je crois”, a déclaré M. Sterling.

The Blaze

Via Fdesouche

Etats-Unis : 69% des musulmans ont voté Biden contre 17% pour Trump

Contrairement aux précédents scrutins, ils sont plus d’un million de musulmans ayant pris part aux élections présidentielles du 3 novembre aux Etats-Unis. Une forte participation qui a bénéficié à Joe Biden. Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden.

Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden. […]

Lors de la campagne électorale, Joe Biden a promis de réviser «cette infâme interdiction faite aux musulmans», comme il l’avait qualifié en juillet dernier. Tiendra-t-il sa promesse une fois installé aux commandes des Etats-Unis ? En attendant cette abrogation du «Muslim ban», force est de constater que la main tendue de Biden aux membres de cette communauté s’est avérée payante pour lui. […]

yabiladi

Via Fdesouche

Un postier du Michigan témoigne : “on nous a ordonné de mettre les bulletins de vote par correspondance de côté pour qu’ils soient tamponnés manuellement avec la date du jour précédent”

“Dites-nous où vous travaillez.“

“Je travaille à la poste de Traverse City. Plus spécifiquement la branche de Barlow.”

“Votre patron vous a dit à vous et à vos collègues quelque chose qui vous a choqué ce matin. Qu’était-ce ?“

“Nous avons reçu une directive ce matin nous ordonnant de collecter tous les votes par correspondance que nous trouverions dans des boîtes à lettre, des boîtes de collecte, tout ce qui sert à récolter du courrier en général, et d’ensuite les séparer afin qu’ils puissent les tamponner manuellement avec la date du jour précédent. Afin que ce soit clair aujourd’hui nous sommes le 4 novembre.”

 

 

[…]

[…] l’inspecteur général nous informe qu’il est maintenant au courant de cette affaire, que ça tombe dans sa juridiction, ils évaluent si ils vont enquêter […]

Via Fdesouche

Moscou ne laissera jamais la Biélorussie devenir une deuxième Ukraine !

Publié le 10 août 2020 - par

Au Bélarus (Biélorussie en France), Lukashenko bénéficie d’un indéniable soutien populaire, mais de là à ce qu’il soit élu avec 80 %, faut pas pousser ! Pourtant la question d’un éventuel trucage de la réélection de Lukashenko à la présidence du Bélarus n’est pas la vraie question. Celle-ci est “Le Bélarus souhaite-t-il une révolution orange à l’ukrainienne ?”.

Le “Maydan” ukrainien, on en connaît parfaitement les conséquences directes en Russie où quasiment chaque famille a au moins un parent en Ukraine : pays exsangue, en proie à la violence de milices affichant clairement leur idéologie néo-nazie, économie en faillite, salaires impayés, etc. etc. Les pays occidentaux qui ont financé et organisé cette révolution à Kiev se sont bien vite désintéressés de l’Ukraine, voyant que leur but initial – utiliser l’Ukraine pour affaiblir voire attaquer la Russie – ne pouvait être atteint.

Aujourd’hui il est évident que ces mêmes pays occidentaux, à l’exclusion toutefois semble-t-il des États-Unis, a choisi le Bélarus pour créer un nouvel angle d’attaque contre la Russie. Et puis ces pays occidentaux n’aiment vraiment pas Lukashenko qu’ils appellent “le dernier dictateur d’Europe”. L’occasion est donc belle, d’une part d’y mettre en place une “démocratie” (!), d’autre part de tirer une balle dans la Russie dont le Bélarus est, malgré les jérémiades de son Président, un “allié privilégié” sur le plan économique et une place stratégique, zone tampon avec l’Europe.

On applique donc les vieilles recettes en suscitant des vocations de révolutionnaires chez les jeunes Bélarussiens nourris au MacDo et à Facebook qui, reconnaissons-le quand même, ont des craintes justifiées quant à l’avenir de leur pays où tout est loin d’être rose. Svetlana Tikhanovskaya, épouse d’un opposant politique en prison, se déclare candidate en s’associant à deux autres jeunes femmes, c’est idéal pour les manipulateurs occidentaux : candidate femme donc, c’est moderne, c’est féministe, ça change d’un ancien directeur de kolkhoze ! Que celle-ci n’ait aucun programme n’a aucune importance, on vire le dictateur et on verra ensuite, on pourra toujours envoyer les gros bras de Soros et du FMI remettre le pays à flots (!).

On a donc d’un côté l’ancien directeur de kolkhoze, usé par des décennies de pouvoir, mais ayant tout de même un bilan positif (système de santé, éducation, sécurité en particulier), de l’autre une inconnue sans programme mais soutenue par les pays occidentaux. Comme en Ukraine.

D’ailleurs cette Tikhanovskaya semble être le parfait “idiot utile” des manipulateurs occidentaux puisqu’on apprend ce soir (source privée, information non encore publique à l’heure où j’écris cet article) que les services secrets du Bélarus (le KGB) l’ont mise sous protection après avoir intercepté des messages parlant de son élimination dans un but évident de provocation ! Eh oui, le KGB de Lukashenko protège l’opposante ! À Kiev il y eut les snipers qui tiraient dans la foule, à Minsk l’assassinat de la candidate de l’opposition, dans les deux cas le but est de montrer ensuite du doigt le pouvoir en place, de générer des émeutes pour finalement arriver à la chute du régime sous les applaudissements des démocraties occidentales (!).

Et à Moscou ?

Il est bien entendu hors de question pour la Russie de laisser le Bélarus devenir une “seconde Ukraine” aux portes de la Fédération. Et soyons clairs, l’intérêt des Bélarussiens n’est bien évidement pas que leur pays se retrouve dans la situation de l’Ukraine !

À Moscou, on savait il y a déjà quelques temps que cette élection ne serait pas comme les autres. Des informations faisaient état d’interventions discrètes de certaines ambassades (République tchèque par exemple) pour provoquer un mouvement de protestation lors de l’élection. Par ailleurs les états d’âme de Lukashenko au sujet de l’union du Bélarus et de la Russie agacent le Kremlin, alors que gaz et pétrole sont vendus au Bélarus à des prix défiants toute concurrence et que des “prêts” (des dons ?) sont accordés régulièrement. Le Kremlin a-t-il décidé de donner un avertissement à Lukashenko en lui envoyant une équipe de mercenaires en sachant qu’ils seraient interceptés ? Une manière de dire “On en a marre de vos conneries, après votre réélection, on passe aux choses sérieuses” ?

Ceci pourrait expliquer la reconnaissance immédiate de la victoire de Lukashenko par Moscou, on verra dans les semaines à venir si les négociations sur l’union entre les deux pays se concrétisent enfin.

Alors bien sûr, tout ceci n’est guère démocratique ! Mais la “démocratie”, on la voit chaque jour en Europe par exemple. On la voit en Ukraine encore plus près de chez nous. Il est regrettable que certains crétins se laissent manipuler et servent de chair à canon aux pays occidentaux, mais si les Ukrainiens pouvaient revenir en arrière, il n’y a aucun doute que le “Maydan” n’aurait pas lieu. Agissons donc au Bélarus pour éviter une chute totale du pays, avec les conséquences que cela aurait vis-à-vis de la Russie : Les forces de l’OTAN ne seraient plus en Pologne, mais à Brest, aux frontières directes de la Russie.

Boris Guenadevitch Karpov

source: https://ripostelaique.com/moscou-ne-laissera-jamais-la-bielorussie-devenir-une-deuxieme-ukraine.html

 

Fédérale 2019 : Vague verte dans certaines communes vaudoises

La situation des élections fédérales en ce moment :

Argovie: le PS et le PDC gagneraient chacun un siège au National

Fribourg: Les sortants Christian Levrat (PS) et Beat Vonlanthen (PDC) devant

Vaud : Pierre-Yves Maillard (PS) en tête

NeuchâteL: deux PLR en tête pour le Conseil des Etats

Genève: duo vert-rose en tête aux Etats

BS: Eva Herzog (PS) quasiment élue au Conseil des Etats

Vaud: Le duo rose vert au coude à coude aux Etats

BE: Regula Rytz (Verts) et Hans Stöckli (PS) en tête aux Etats

Vague verte dans les petites communes vaudoises

Les premiers résultats laissent entrevoir une forte poussée des Verts. A Veytaux, la liste obtient 16,42% contre 8,41% il y a quatre ans. A Montagny-près-Yverdon, elle passe de 6,34% à 15,18%. Encore plus impressionnant, à Bussy-Chardonney, les Verts récoltent 22,26% des voix contre 6,37% en 2015!

Pour le Conseil des Etats, la Verte Adèle Thorens-Goumaz fait même la course en tête, devant sa colistière Ada Marra (PS) et le PLR Olivier Français.

[...]

20min.ch

 

Elections cantonales: Une candidate de Genève en Marche tente de vendre des bulletins de vote déjà signés par la communauté balkanique.

L’affaire démarre dans la nuit de dimanche à lundi. Cette militante de Genève en Marche, également candidate au Grand Conseil, contacte par WhatsApp un de ses colistiers.

Elle lui propose de mettre son nom sur des bulletins de vote vierges, mais signés par leur propriétaire, qu’elle a obtenus auprès de personnes issues de la communauté balkanique. Son tarif? Cinquante francs par voix achetée.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Christelle B.

Le pape piétine allègrement le vote des Italiens

Après les élections législatives italiennes du 4 mars, donnant une belle majorité aux anti-immigration, le Vatican persiste et signe dans ses tragiques errements pro-immigrationnistes.

On aurait pu espérer un retour à la raison, mais il n’y a pas plus entêté que le Vatican, qui nie le ras-le-bol de l’Italie, envahie massivement par des gens qui ne lui veulent pas du bien et qui transforment le pays en terrain d’entraînement pour guérilla urbaine (voir les événements de Florence ces jours-ci). Mais le pape nie la violence des migrants, avançant que les Italiens aussi peuvent avoir envie de tuer leur belle-mère. Relativiser est son fonds de commerce. L’islamisation de l’Europe est une chance, a-t-il dit.

Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint Siège, a réaffirmé dès le mardi 6 mars la volonté du Vatican de « continuer son travail d’éducation » c’est à dire de sensibilisation sur l’intégration des réfugiés, afin de « faire changer la conscience collective sur l’accueil des migrants. » nous affirme ce bon journal La Croix qui n’en rate pas une :

https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Pape/elections-italiennes-Vatican-veut-continuer-travail-deducation-2018-03-07-1200918882

C’est vrai que François a très bien commencé, dès le début. Un des thèmes principaux de son règne, c’est l’accueil des migrants. Il n’a eu de cesse d’aller de déclaration en déclaration pro-migrants et d’avoir des gestes de collaboration avec l’islam. On aurait pu croire que la défense des chrétiens d’Orient serait son cheval de bataille, mais non.

Il a lavé des pieds de musulmans hilares le jeudi saint. Il a brandi lors d’une catéchèse le gilet de sauvetage d’une migrante, déclarant que c’était une relique.

Il est allé à Lampedusa ouvrir grand ses bras à l’immigration. De Lesbos, il n’a ramené que des musulmans, mentant en disant que les papiers des chrétiens n’étaient pas prêts. Il a demandé qu’on accueille les si gentils Rohingyas, peuple belliqueux s’il en est. Il a demandé les plus larges visas humanitaires possibles pour tous les migrants, et le regroupement familial le plus large également.

Le 21 août dernier, il a pondu un texte, dans lequel il demande la régularisation de tous les sans papiers, leur accès à l’emploi, à la nationalité, la libre circulation, le droit du sol, enfin tout :

https://francais.rt.com/international/42394-pape-rempart-pour-migrants-ou-coupe-des-realites

D’ailleurs il faut dit-il cesser d’utiliser le mot « clandestin », trop stigmatisant selon lui.

Mieux encore, selon lui le migrant a le droit d’importer avec lui sa culture. Et enfin, la sécurité personnelle du migrant doit passer avant la sécurité nationale, dit-il, oubliant que sans sécurité nationale il n’y a pas de sécurité personnelle.

https://www.huffingtonpost.fr/pierre-lellouche/le-pape-na-pas-de-lecons-a-donnert-a-leurope-sur-les-migrants_a_23158450/?utm_hp_ref=fr-pape-francois

Sur la sécurité personnelle des non-musulmans, le Pape fait bien entendu l’impasse.

A Noël, il a dit qu’à Bethléem, Marie, Joseph et Jésus étaient comme tous les migrants. Oubliant que leur déplacement, selon l’histoire, était effectué pour le recensement. Marie et Joseph par là loin de se comporter comme des migrants, qui commencent par une violation des lois, obéissaient tout simplement aux lois de leur pays.

Il serait trop long de citer tous les actes et toutes les paroles de François, il les enfile comme des perles.

Mais cette fois François fait très fort dans l’irrespect du peuple italien et de son vote. Vox populi, vox Dei dit-on. Bien que cet adage ait été détourné, il signifie bien aujourd’hui que la voix du peuple doit commander et qu’elle est égale à celle de Dieu. Mais le Vatican n’en a cure. Rendre à César ce qui est à César, c’est à dire le respect des votes des citoyens italiens, est le cadet de ses soucis.

Le Vatican continue de soutenir contre vents et marées le parti le plus opposé au christianisme, le parti démocrate, ancien parti communiste, celui qui a perdu ces élections et a donc reçu une belle gifle. Il le soutient, dans l’irrespect total de la démocratie et du verdict des urnes, parce qu’il est pro-immigration :

https://gloria.tv/article/XF2RT4Q8bmuX36MQgaNzUTBBs

Et que ce parti soit pour tout ce que l’Eglise rejette importe peu à François. Peu lui chaut la doctrine de l’Eglise, la foi qu’elle proclame, sa transmission. Ce qui importe pour lui, c’est l’immigration. François en veut toujours plus. En digne émule de Soros. Même si cette immigration risque de casser le pays, de casser l’Eglise.

Le peuple italien, lui, ne veut plus de l’immigration. Les Italiens ont voté majoritairement pour deux partis anti système et anti immigration. On ne sait pas encore comment l’Italie va être gouvernée, mais ce qui est certain c’est que le prochain gouvernement devra se résoudre à écouter le peuple. Car c’est lui qui souffre, partout en Italie. Tout le monde a en mémoire le crime atroce perpétré par un migrant nigérien sur une ado italienne :

https://www.facebook.com/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.suavelos.eu%2Fpollenza-un-nigerian-demembre-une-italienne-de-18-ans-et-met-les-morceaux-dans-des-caddies%2F

L’Italie ne sera bientôt plus l’Italie. La Sicile déjà n’est plus la Sicile, comme en témoigne Alexandre Delle Valle, d’origine sicilienne. Qui pense que ce pape ne mesure pas ses propos.

https://www.alexandredelvalle.com/single-post/2018/02/03/Interview-integrale-dAlexandre-Del-Valle-par-Damocles (à partir de ’39)

François ferait bien de cesser de scier la branche sur laquelle le Vatican est assis. Car lorsque l’Italie sera devenue musulmane, il n’y aura plus de place pour le Vatican en Italie. Avignon sera également musulman et peut-être pas très accueillant non plus…

Où le Vatican ira-t-il mendier une petite place ? En Arabie Saoudite ? Et surtout, où les restes des peuples européens de culture chrétienne trouveront-ils refuge après avoir été remplacés, décimés, génocidés ?…

Ces questions ne semblent pas troubler François plus que cela. Le pasteur se moque bien de son troupeau.

Sophie Durand

Source

Elections en Italie : Le Temps nous ressort Mussolini et Adolf Hitler

"L’ombre du fascisme plane sur la campagne électorale italienne" voilà le titre édifiant d'un article du Temps du 18 février. En plus, pour bien mettre de l'huile sur le feu, les journalistes font planer sur Slavini, Meloni et Berlusconi l'ombre de Mussolini !

Je connais bien les positions de Salvini et de Giorgia Meloni. J'ai assisté à la manifestation "Stop invasione" sur la place du Dôme à Milan et à une autre manifestation à Rome où Giorgia Meloni s'est exprimée. Ce qu'ils préconisent n'est que du SIMPLE BON SENS :

- vouloir défendre son pays de l'immigration/invasion que subit l'Italie,

- vouloir stopper cette immigration et renvoyer chez eux les clandestins alors que 5 millions de gens vivent en-dessous du seuil de pauvreté et qu'il y a 3 millions de chômeurs (sans compter tous ceux qui vivent à la limite de la pauvreté)

- vouloir que les Italiens passent avant les clandestins,

- vouloir que les jeunes puissent travailler chez eux avec un salaire décent sans devoir s'exiler

- vouloir que des retraités ayant cotisé et travaillé toute leur vie puissent vivre décemment sans devoir fouiller dans les poubelles des marchés pour survivre alors que des clandestins (à 95% des mâles), jeunes et en bonne santé sont souvent logés et nourris dans des hôtels luxueux,

- vouloir favoriser l'agriculture et la pêche italienne au lieu d'importer des produits que l'Italie peut fournir elle-même

- vouloir que la légitime défense soit reconnue, alors que le pays s'enfonce de plus en plus dans la violence, que les Italiens sont obligés d'accepter des coutumes barbares venues d'un autre âge,

-----------> pour les journalistes du Temps c'est être extrémiste ! Non, c'est du simple bon sens !

L'Italie est au bord de l'implosion. Ces élections sont sa dernière chance. Contrairement au Temps, j'espère de tout cœur que la liste Salvini-Meloni-Berlusconi sorte gagnante. J'ignore s'ils pourront sortir le pays du marasme dans lequel il se trouve, le travail qui les attend est titanesque. Ce dont je suis sûre par contre, c'est que c'est probablement la dernière chance pour l'Italie de s'en sortir.

Danielle Borer

 

 

 

 

S’engager pour la Suisse et non pas pour soi-même!

Par Albert Rösi, conseiller national,  président de l'UDC Suisse

Les résultats des dernières élections dans les cantons de Soleure, du Valais et de Neuchâtel appellent une autocritique et un point de la situation. Ne pas penser à soi, mais toujours agir pour la cause, donc pour la Suisse et ses citoyennes et citoyens, et y travailler avec acharnement, voilà l'unique recette du succès. Depuis les élections fédérales de 2015 je dois constater que notre parti s'enfonce trop souvent dans l'autosatisfaction et le confort. Le dur travail sur le terrain et la conduite rigoureuse des sections locales et cantonales sont négligés de manière inadmissible. Certes, nous avons encore progressé en 2016 dans quelques cantons comme ceux de St-Gall, de Thurgovie, de Fribourg et de Schaffhouse. Mais nous avons aussi stagné, voire perdu du terrain dans d'autres cantons. Ce fut le cas dans ceux d'Uri, de Schwyz, d'Argovie et de Bâle-Ville. Cette tendance négative s'est poursuivie en 2017. En Valais et à Soleure nous avons perdu des suffrages alors que l'UDC y avait atteint un niveau relativement bas. Quant à l'UDC Neuchâtel, elle s'est littéralement effondrée lors des dernières élections cantonales (une perte de 5,4 points-%). Conséquence du quorum électoral de 10% dans le canton de Neuchâtel, nous n'y comptons plus que 9 sièges (-11). De plus, un élu a changé de parti, de sorte que l'UDC Neuchâtel n'occupe plus que 8 sièges.
Il va de soi que les cantons se distinguent entre eux et qu'on ne peut pas toujours les comparer directement. Toutefois, en observant les développements de longue durée et les différents districts et régions, on relève de nombreux parallèles qui permettent de tirer des conclusions claires. Comme le disait le célèbre écrivain bernois Jeremias Gotthelf: "Ce qui va briller dans toute la patrie doit commencer à la maison." Appliquée à notre parti, cette sentence signifie à mon avis que nous devons commencer par mettre de l'ordre dans notre maison, donc penser à nouveau en priorité aux citoyennes et aux citoyens et non pas à nous-mêmes, pour convaincre les électrices et les électeurs de nous donner leur voix. Que faut-il concrètement pour atteindre cet objectif?

  • Une application rigoureuse du programme politique et des objectifs de l'UDC. Nous tenons les promesses que nous faisons! A cet effet, nous nous basons – dans les cantons comme au niveau fédéral – sur les valeurs décrites dans le programme politique de l'UDC Suisse. L'UDC veut renforcer les piliers de notre Etat que sont l'indépendance, la démocratie directe, la neutralité et le fédéralisme. La responsabilité individuelle est la garante de la liberté et de la prospérité. Ce n'est que grâce à ces principes et à ces vertus que la Suisse a réussi à conquérir une position de pointe au niveau économique et qu'elle parvient à la défendre. Voilà le seul système qui place les citoyennes et les citoyens – et non pas les politiques et les fonctionnaires – au cœur de l'Etat. Je saisis cette occasion pour le rappeler une fois de plus (http://www.udc.ch/positions/programme-politique/).
     
  • Rester près des citoyennes et des citoyens et travailler inlassablement sur le terrain. Celui qui ne connaît pas les soucis quotidiens du peuple, qui ne cherche pas la discussion et des solutions, qui ne pose pas des affiches, qui ne s'engage pas dans des campagnes de votation et électorales, celui-là est superflu. Notre démocratie directe vit de l'engagement personnel et désintéressé de chacun d'entre nous; voilà le fondement d'un pays qui a du succès.
  • Dans les cantons de Soleure, de Neuchâtel et du Valais, des intérêts personnels l'ont emporté sur les intérêts du parti et, ce qui est plus grave, sur les intérêts des citoyennes et des citoyens. On s'est combattue et dénigré mutuellement au lieu de s'engager ensemble dans l'intérêt des citoyens.

Les succès de ces dernières années nous ont rendus paresseux. Surestimant leur force, des partis cantonaux ont cru que le succès dans l'urne était un cadeau du ciel. Une lourde erreur! Seul un combat politique permanent et désintéressé, seul un travail dur et stratégiquement fondé conduisent au succès. Ce constat vaut aussi bien pour les campagnes électorales cantonales que pour l'actuelle campagne de votation contre la loi sur l'énergie. Le 21 mai prochain le souverain est appelé à voter sur un projet capital pour l'avenir du pays.

Nous nous engageons pour un approvisionnement énergétique qui a fait ses preuves, qui est avantageux et fiable. Voilà pourquoi nous disons NON à une loi qui impose une économie planifiée et place les citoyens sous tutelle. Mais pour faire refuser ce projet, nous avons besoin de l'engagement de tous: descendez dans la rue, distribuez des prospectus, convainquez vos voisins, vos collègues et les membres de votre famille. Faites distribuer le prospectus énergétique dans votre village – je compte sur vous!

Quant aux partis cantonaux, je les invite à faire une analyse sans fard des élections passées et à préparer et prendre des mesures bien définies et mesurables pour atteindre leurs objectifs.
Je suis personnellement convaincu que notre parti n'a pas épuisé son potentiel électoral, loin de là. Et ce constat vaut pour toutes les régions du pays. Retroussons nos manches et mettons-nous au travail!


Valais: Malgré les fraudes avérées, le gouvernement a été validé

Le Grand Conseil valaisan a validé lundi matin l'élection du gouvernement cantonal. Il a rejeté par 105 voix contre 23 un recours de l' UDC contre le scrutin en raison d'irrégularités.

Une heure de débat nourri a occupé les parlementaires. A l'exception de l'UDC, tous les groupes ont estimé que l'importance des fraudes dénoncées ne changerait pas le résultat. Ils ont tous soutenu la nécessité de valider le scrutin.

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Allemagne – Une élection – Trois séismes

AfD-1

   
Michel Garroté  --  En Allemagne, le parti conservateur (CDU) d'Angela Merkel a nettement remporté dimanche une élection régionale en Sarre, pulvérisant dans l'immédiat les espoirs des sociaux-démocrates de Martin Schulz (SPD) de faire chuter la chancelière à l'automne. La CDU rassemble 40,7% des suffrages [premier séisme], le SPD 19,6%. Le parti d'Angela Merkel fait même cinq points de mieux que lors du précédent scrutin. Le SPD perd un point par rapport à 2012. La droite patriotique, l'AfD, fait son entrée dans le parlement de Sarre, avec 6,2%. Elle est désormais présente dans 11 parlements régionaux sur 16 [deuxième séisme]. Le taux de participation a été très élevé : 70% [troisième séisme].
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Maroc: les islamistes arrivent en tête des élections! Ils devraient diriger le futur gouvernement!

Les islamistes du PJD, à la tête du gouvernement de coalition depuis cinq ans au Maroc, ont remporté le plus grand nombre de sièges aux élections législatives de vendredi, selon des résultats provisoires diffusés par le ministère de l'Intérieur.

Le Parti justice et développement (PJD) a obtenu 99 sièges, contre 80 à son principal rival, le Parti authenticité et modernité (PAM, libéraux), selon des résultats provisoires portant sur 90% des voix.

Près de 90 sièges, sur les 395 que compte la Chambre basse du parlement, reste à pourvoir, et le reste des résultats seront connus samedi. Mais le PJD dispose déjà d'une confortable avance sur le PAM, et devrait très vraisemblablement diriger le futur gouvernement.

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Sarkonul – Le Retour

Sarkozy-12

   
Michel Garroté - Je n'aime pas Sarkozy et je préfère le dire d'emblée. Je l'ai "soutenu" en 2007. J'ai invité mes lecteurs à voter contre Hollande - et donc à contrecoeur "pour" Sarkozy - en 2012. Je n'aime pas Sarkozy parce qu'il nul (il y a encore plus que lui, c'est vrai), inculte, arrogant et dangereux (sa guerre irresponsable, aux conséquences désastreuses, en Libye).
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J'aurais souhaité ne plus avoir à écrire à son sujet. Seulement voilà : il veut redevenir locataire de l'Elysée et il vient de l'annoncer. Alors j'en remets une couche : je n'aime pas Sarkozy. En 2017, je n'inviterai pas mes lecteurs à voter pour lui comme je l'ai fait en 2007 (avec naïveté) et en 2012 (à contrecoeur).
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Sarkozy veut donc - de nouveau - être président de la République (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : A Londres, la BBC liste les raisons pour lesquelles la victoire n’est pas encore acquise. Un tweet, un livre, et voici l’ancien chef de l’Etat français de retour dans la course présidentielle. Le 22 août, Nicolas Sarkozy a annoncé sur Twitter être candidat à la primaire à droite. Et si “son énergie ne fait aucun doute”, écrit la BBC ce mardi, “Nicolas Sarkozy devra faire face à plusieurs obstacles pour regagner l’Elysée”. Le site d’information britannique en dresse une liste de cinq.
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En 2012, le républicain avait laissé un pays “qui n’était pas heureux”, où le chômage frôlait de nouveau les 10 %, où le déficit gonflait et où la compétitivité restait un rêve lointain, estime la BBC. L’ancien chef de l’Etat se présente comme le candidat du centre droit. “Mais, malheureusement pour lui, il n’est pas le seul à avoir eu cette idée”, souligne la BBC. La primaire à droite qui se tiendra en novembre compte désormais 13 concurrents ; dont François Fillon et Alain Juppé, qui, aux yeux du site britannique, représentent des concurrents sérieux.
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La justice : “La liste des affaires dans lesquelles l’ancien président est impliqué est longue et complexe”, explique la BBC, qui en cite deux : le dépassement du plafond légal de dépenses électorales en 2012 et l’affaire des écoutes. Cependant, remarque le site, “les rouages de la justice française tournent très lentement”. Une expression “qui ne veut rien dire”, estime la BBC ; n’empêche que, lors de son mandat, de nombreux Français n’aimaient pas le style de Sarkozy “et ne l’aiment toujours pas”. L’élection de 2017 risque de voir une réédition du match Hollande-Sarkozy. Un danger pour la BBC, qui qualifie ce cas de figure comme le “pire réquisitoire contre la politique française” et un terrain fertile pour Marine Le Pen (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.courrierinternational.com/article/vu-du-royaume-uni-presidentielle-les-cinq-obstacles-que-va-devoir-affronter-nicolas-sarkozy
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Elections municipales à Rome : une candidate pro-immigration sur le point de prendre la ville

 

Virginia Raggi (photo) a remporté le premier tour de la course à la mairie de Rome

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RT France : Le résultat de Virginia Raggi pourrait-il témoigner de la montée des idées eurosceptiques en Italie ? 

D. C. : Non, pas du tout. Le mouvement Cinq étoiles ne fait que peu d’égard à la politique étrangère et son euroscepticisme est très modéré. Sur la politique étrangère, les aspects les plus marquants du mouvement c’est sa position favorable à l’immigration, l’idée d’une économie soutenable, une économie verte, une collaboration avec la société civile. Il y a très peu de points en commun avec les mouvements qui se disent eurosceptiques. Je ne pense pas que la victoire de Raggi pourrait augmenter l’influence des idées eurosceptiques en Italie.

[...]

Article complet ICI

Autriche : Le verdict est tombé.

 Les urnes ont révélé le vainqueur: Avec des résultats extrêmement serrés, 50,2 % contre 49,8 %, la société autrichienne semble, aujourd'hui plus que jamais, coupée en deux. D'un côté, les territoires ruraux et péri-urbains, les banlieues, les catégories populaires dont les emplois sont directement menacés par la concurrence de la main d’œuvre immigrée, de l'autre les populations des centres-villes, les populations aisées, ceux qui vivent pleinement dans la mondialisation.

Il n'en reste pas moins qu'avec les 900 000 votes par correspondances nous sommes en droit d'imaginer le pire.

Je dirai même plus, nous pouvons avec certitude être sûr que cette élection présente tous les stigmates européistes et totalitaire. Elections pièges à cons disaient-on autrefois ! Nous nous retrouvons de nouveau, comme en France lors des Régionales, devant un vote contre un candidat de la droite nationale qui n'était même pas foncièrement anti européen, ni même anti euro. Cette élection marque la volonté de refuser y compris par les urnes, un changement de pouvoir politique radicalement différent et en dehors des partis habituels qui s'étaient partagés le pouvoir en alternance ou en communauté d'intérêts. Oui, j'ai des doutes profonds sur ces 900 000 votes par correspondance. Oui je crois qu'il peut y avoir eu magouilles ! Comment, je ne sais pas ! Pourquoi me semble plus évident.

De nouveau, comme en France, des électeurs auraient votés contre et non pour leurs idées. Pas si simple car ces 900 000 votants par voie postale sont du pain béni pour les eurocrates. S'ils n'étaient pas foncièrement contre les racines chrétiennes de l'Europe, Bruxelles pourrait faire dire une messe et pourquoi pas honorer Allah. Cette défaite n'est pas la fin des espoirs patriotes. Elle n'est pas une victoire du camp de Bruxelles, elle est encore moins une victoire des écologistes. Elle est la marque d'un processus infernal qui souhaite interdire de parole plus de la moitié des peuples d'Europe. Elle est la volonté d'ouvrir les frontières à l'immigrant, aux déserteurs syriens et irakiens, aux djihadistes islamistes et au chaos qui ne manquera pas de venir à terme. Qui seront les vainqueurs? À ce jour, on peut dire que les vaincus sont les patriotes. Ils ont un genou à terre, mais n'ont pas renoncé à se battre.

L'Autriche est l'exemple. Elle nous démontre ce qu'il ne faut pas faire en France. Se diviser, se nier, refuser de parler ensemble, vouloir cultiver son pré carré, satisfaire son ego et refuser de mettre en commun nos forces.

Marine Le Pen devra, et sans doute le fait-elle déjà, tirer les leçons de cette élection autrichienne. Elle devra comprendre que tous les systèmes à deux tours ont cette faculté de rendre les combats individuels inutiles ! Comme pour les régionales, le système électoral fait que le Front National perdra les élections futures au deuxième tour. C'est le jeu disent certains qui ne comprennent pas que la chandelle s'appelle France et que le jeu final est de l'éteindre.

À ce jour, et à titre personnel, je n'imagine pas le Front National de Marine Le Pen remettre en question la ligne politique de Florian Philippot. Son tropisme chevénementiste  devient évident pour beaucoup de militants. Cette volonté de faire la cueillette des "jeunes pousses" sortis tout juste de la puberté chez les adhérents du parti de Jean Pierre Chevénement commence à en gêner  plus d'un. Ces nominations de "jeunes pousses" comme Secrétaires Départementaux et sans l'avis des militants, posent un souci de fond. Beaucoup se posent des questions sur la direction prise par le navire Amiral et son Commandant. Ce refus d'être accompagné par les vaisseaux patriotes de moindre tonnage comme le SIEL de Karim Ouchick inquiète !

À Bezier, lors des journées voulues par Robert Ménard, la question se posera et il faudra bien qu'au terme de cette réflexion patriote, qu'une ligne se dégage et se positionne à la fois sur le Front National qui méprise ces journées patriotes et sur l'idée d'une création d'une sorte d'UDI patriote suffisamment puissante pour faire comprendre à la ligne Le Pen-Philippot qu'elle aura besoin de forces d'appoint. Pour gagner, il faudra au FN des alliés fidèles et décidés à la manière des 300 Spartes qui permirent à la Grèce, par leur courage et persévérance, de gagner contre la Perse impériale.

En attendant, et malgré les cris de victoire des traîtres aux Nations, ce ne sont pas les patriotes Autrichiens qui ont perdu la bataille électorale, c'est le système Bruxellois qui, à chaque fois, à travers ses communications, ses interventions, ses discours alarmistes, les peurs qu'il diffuse, ses appels aux "heures sombres", révèle un peu plus dans ses élections nationales, sa perfidie profonde et sa défense des nantis de la Finance aux électeurs européens. Ceux-ci finiront bien par comprendre en majorité ce qu'est ce système antidémocratique. Espérons, si ce n'est pas trop tard, qu'ils sauront renverser la table.

Demain, souhaitons que les Anglais, par leur référendum, seront le second coup de tonnerre dans le ciel de Bruxelles. Sinon, et hélas, un orage violent viendra fatalement noyer les bureaux de Bruxelles et sortir des Palais nationaux, les autorités d'opérettes, ces dirigeants vendus et corrompus.

Gérard Brazon