Le parquet de Paris a requis aujourd'hui 5.000 euros d'amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination pour avoir évoqué une "invasion migratoire".
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Jawad relaxé, 3 mois de prison, même avec sursis, pour Pierre Cassen, cela fait désordre…
Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…
On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.
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Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.
Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.
Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.
Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.
Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.
Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.
Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.
Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.
Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.
Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.
Pierre Cassen
Loire-Atlantique : douze ans de prison pour avoir abattu son cambrioleur
Un homme de 62 ans a été jugé coupable du meurtre de son cambrioleur par la cour d'assises de Nantes, vendredi 15 décembre 2017.
Batdaf : “On est toujours plus muselés en France [vidéo]
A propos de la condamnation scandaleuse de Génération Identitaire pour avoir manifesté contre l'islamisation :
Source
Réinformation. La France condamne un site sous présidence suisse.Communiqué DE “RIPOSTE LAIQUE”
En condamnant notre président suisse, la Cour d’Appel de Paris confirme que la France veut imposer ses lois liberticides au monde entier
Notre avocat Stéphane Haddad vient de nous informer. La Cour d'Appel de Paris a confirmé, ce jour, l'ahurissante condamnation de notre président suisse de l'époque, Alain Jean-Mairet, par la 17e chambre du Tribunal Correctionnel de Paris, suite à un signalement de la Licra, instruit par le Parquet.
Rappelons le crime de notre président suisse : avoir autorisé, sur un site répondant de la juridiction helvétique, la publication d'un article de Salem Ben Ammar, citoyen tunisien hostile à l'islam, très critique sur les pratiques de la religion musulmane. La justice française, en s'estimant légitime pour sanctionner un site suisse, présidé par un Suisse, s'auto-proclamait justice du monde, comme l'expliquait, lors des 10 ans de Riposte Laïque, un autre avocat de Riposte Laïque, Frédéric Pichon (à partir de 4').
https://www.youtube.com/watch?
Bien évidemment, Riposte Laïque va se pourvoir en cassation, tellement serait grave une telle jurisprudence.
Il n'empêche que la justice se mord la queue, concernant la réalité des responsables de Riposte Laïque.
Résumons la situation.
Le 28 octobre 2016, la vice-présidente du Tribunal de Grande Instance de Paris, Caroline Kuhnmunch, par ailleurs ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, condamnait, en prenant de grandes libertés avec le droit, les éditions Riposte Laïque, présidées par Ghislaine Dumesnil, à cause d'un article publié par RL, sur deux caissières voilées d'H et M. La sanction sera lourde, près de 9.000 euros. Bien sûr, appel a été fait, mais il a fallu que les éditions Riposte Laïque acquittent la lourde amende, l’appel n’étant pas suspensif dans un référé.
Là où les choses se compliquent quelque peu, c'est que, au grand dam du Parquet de Paris et des prétendus antiracistes, la 17e Chambre, le 3 mai 2017, relaxait Pierre Cassen, estimant que rien ne prouvait, depuis octobre 2012, qu'il exerce encore des responsabilités à la tête de Riposte Laïque, alors que le Parquet réclamait 6 mois de prison avec sursis contre lui, et les pseudo antiracistes 21.000 euros, rien de moins !
Le Parquet, qui a multiplié les procédures contre notre fondateur, allant jusqu'à demander une perquisition chez lui (son ordinateur et son téléphone seront confisqués), a décidé de s'acharner contre Pierre Cassen, et de faire appel.
Là où les choses se compliquent sérieusement, c'est que, à Versailles, le 19 juin, le préfet Clavreul, président de la Dilcra à l'époque, réclamait 40.000 euros de dommages et intérêts à Pierre Cassen, comme directeur de publication du site Riposte Laïque ! Le verdict sera rendu le 18 octobre prochain.
Et Pierre Cassen, pourtant relaxé par la 17e Chambre, est sollicité pour répondre à nombre d'interrogatoires, sur la vague de plaintes à répétitions qui déferlent sur Riposte Laïque, alors que le président actuel de l'association suisse, responsable du site, vit en Israël, et s'appelle Guy Sebag.
Donc, si on résume l'imbroglio judiciaire, la Cour d'Appel vient de confirmer que les Suisses sont bien responsables de la publication de Riposte Laïque, depuis 2012, puisqu'ils viennent de condamner Alain Jean-Mairet, de manière particulièrement discutable par ailleurs, estimant que la justice française, et ses lois liberticides, s'imposent aux Suisses, et donc au monde entier.
Mais le Parquet de Paris a fait appel de la relaxe de Pierre Cassen, considérant, sans la moindre preuve, qu'il était toujours le directeur de publication de Riposte Laïque.
Et dans le même temps, Caroline Kuhnmunch a condamné, comme directeur de publication, les éditions Riposte Laïque.
Trois directeurs de publication différents poursuivis, cela permet, certes, à la justice française de faire payer trois fois des interlocuteurs différents, mais confirme surtout l’incohérence de ces démarches, la volonté de couler Riposte Laïque par tous les moyens, y compris en imposant les lois liberticides de la France au monde entier.
Condamné pour avoir montré le grand Mufti de Jérusalem avec des Nazis.
Condamné pour avoir montré le grand Mufti de Jérusalem avec des Nazis.
Un jour après les attentats islamistes en Espagne, une juge bavaroise a condamné le journaliste Michael Stürzenberger à six mois de prison, pour avoir publié dans un article deux photos historiques montrant le Mufti de Jérusalem Mohammed Amin Al-Husseini avec des socialistes nationaux du Troisième Reich. Selon le procureur, il s'agissait en la matière de "propos haineux contre l'Islam". Un jugement auquel Stürzenberger s'attendait, mais qui a suscité la protestation du public présent, ce qui a amené la juge à faire la leçon "à ces gens là-derrière qui n'y comprennent rien".
http://info-direkt.eu/2017/08/18/sechs-monate-haft-fuer-islamkritiker-michael-stuerzenberger/
http://www.pi-news.net/eilt-sechs-monate-haft-fuer-pi-news-autor-michael-stuerzenberger/
Traduction (Claude Haenggli) : Stürzenberger a non seulement annoncé qu'il ferait recours, mais aussi qu'il serait porté plainte contre la juge pour injure et perversion de la justice. Il avait écrit jeudi : "Dans des circonstances normales, il ne devrait résulter demain qu'un acquittement sur tous les points, mais aujourd'hui il n'y a plus rien de normal devant les tribunaux, lorsque des citoyens patriotes, conservateurs et critiques par rapport à l'Islam tombent dans les griffes de la justice."
Claude Haenggli, 18.8.2017
Suisse : la justice donne raison à l’islamiste converti Blancho et condamne Jean-Luc Addor
Par Paul Le Poulpe
Notre ami Sébastien a-t-il bien fait de se réfugier en Suisse ? On peut se poser la question, avec le verdict ahurissant délivré par le juge valaisan Christian Zuber, à l’encontre de notre ami Jean-Luc Addor, par ailleurs avocat de Riposte Laïque Suisse et conseiller national UDC du Valais (l’équivalent de député pour la France).
Précisons, par ailleurs, le parcours de Maître Addor.
Les faits qui lui sont reproché sont fort simples. Le 22 août 2014, dans une mosquée, des coups de feu sont échangés entre fidèles d’origine albanaise. Bilan : 1 mort. Jean-Luc Addor émet alors un tweet : « On en redemande ! ». Bien évidemment, pour qui connaît l’humour suisse de Jean-Luc, il faut prendre l’expression au deuxième degré, et comprendre que l’élu UDC veut alerter, par cette formule ironique, les autorités suisses sur les conséquences de l’immigration sur la sécurité publique. « On en redemande » signifie qu’il reproche aux autorités, malgré de nombreux faits divers de ce type, de continuer à accueillir toujours davantage d’immigrés en Suisse, malgré des référendums qui montrent l’opposition de la population à ce phénomène.
C’est alors qu’un autre personnage, Blancho, entre en action. Sévissant dans le canton du Valais (là où Jean-Luc Addor est élu), il pousse le Conseil Central Islamique Suisse à déposer plainte contre l’auteur du tweet, convaincu que la justice valaisane n’épargnera pas un élu UDC.
En effet, peu importe aux magistrats suisses que le CCIS, comme Nicolas Blancho, aient une réputation aussi sulfureuse que même un journal bien pensant comme « Le Temps » est obligé d’en parler.
https://www.letemps.ch/suisse/2016/05/09/plongee-reseaux-sulfureux-nicolas-blancho-conseil-central-islamique
Mais au fait, qui est vraiment Nicolas Blancho ? Les lecteurs de Riposte Laïque le connaissent bien, puisqu’il a participé au débat mémorable, à Montreux, en 2013, qui avait principalement opposé notre fondateur, Pierre Cassen, à Hani Ramadan. Blancho s’était illustré en imposant six gorilles, qui, disposés dans les différentes allées, intimidaient les participants.
La remarquable Caroline Alamachère, dans son style bien à elle, avait dressé un portrait du personnage, converti à l’islam à une vingtaine d’années, et devenu, grâce à cela, une vedette des écrans suisse.
Jean-Pierre Greter, procureur général ajoint du Valais, hélas suivi par le Juge Zuber, s’est bien évidemment, lors du procès, acharné contre Jean-Luc Addor. L’article auquel celui-ci a réagi ne parlait que d’un crime d’honneur entre Albanais, certes commis dans une mosquée ? Son commentaire, explicité quelques minutes après en indiquant son caractère ironique, ne parlait ni de musulmans ni d’islam ? Qu’à cela ne tienne ! Par un amalgame scandaleux, le procureur, puis le juge ont fait tout un travail de compilation (ou plutôt de police de la pensée) pour documenter l’engagement de Jean-Luc Addor contre l’islamisation de l’Europe et de la Suisse en particulier. Par cet amalgame, c’est donc en réalité non pas pour son commentaire ironique, mais bien pour son engagement politique que Jean-luc Addor se retrouve condamné. A travers ses positions, sont aussi visées celles de l’UDC, dont Jean-Luc est un des meilleurs porte-paroles.
Verdict : le conseiller national Jean-Luc Addor se voit condamner pour discrimination raciale (sic !) à une peine de 60 jours-amende de 300 francs suisses, soit 18.000 francs ! Somme exorbitante, qui se voit assortie d’un sursis de 2 ans !
Par ailleurs, il est condamné à une amende de 3000 francs suisses, et à 1500 francs de frais de justice.
Blancho, qui, dans cette vidéo, comme Marwane Muhammad en France et le CCIF en France, ne cache pas sa volonté de voir la Suisse devenir musulmane, doit bien rigoler de constater que nombre de juges suisses ressemblent de plus en plus aux magistrats français : bienveillants envers les islamistes radicaux, impitoyables avec les patriotes.
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Naturellement, nous apportons tout notre soutien à Jean-Luc Addor, et ne doutons pas que cette scandaleuse décision de « justice » heurtera les électeurs valaisans et les incitera à voter massivement pour lui aux prochaines échéances.
Paul Le Poulpe
MàJ. Notre ami Jean-Luc Addor condamné pour son tweet “on en redemande” !
Pour avoir dit la vérité Eric Zemmour risque la prison, les rappeurs pour avoir insulté la France sont gratifiés
Justice : Riposte Laïque condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon
Les juges Lyonnais ont relaxé le célèbre site d'information en ligne Riposte Laïque et débouté X. de Guiran, directeur de maison d'enfants en Ardèche.
Le célèbre site d'information en ligne #Riposte laïque et son fondateur Pierre Cassen ont retrouvé le sourire en fin de semaine. En effet, après le harcèlement subi par cette association devant la 17 ème chambre correctionnelle de Paris, et la condamnation, le 6 avril, de son éditeur Suisse (ce qui a soulevé une levée de boucliers et d'indignations en Suisse où le député suisse Addor refuse que la justice française soit la police mondiale de la pensée), le tribunal correctionnel de Lyon a relaxé Riposte Laïque et un de ses contributeurs de toutes les poursuites engagées par un directeur de maison d'enfants de l'Ardèche.
Contrairement au 6 avril 2016, où la 17ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris avait condamné un citoyen suisse, Alain Jean-Mairet, en sa qualité de rédacteur responsable – à l’époque – du site d’informations Riposte Laïque, édité par Riposte Laïque Suisse, suite à un article écrit par un apostat Tunisien, le tribunal correctionnel Lyonnais a refusé de condamner l'association Riposte Laïque, qui prenait la défense de jeunes pensionnaires d'une maison d'enfants à caractère social de l'Ardèche. Dans un article publié en décembre 2015 et intitulé "orphelinat : la galère de Noël pour les enfants placés", l'association Riposte Laïque dénonçait un fait de société en Ardèche. Comme cela a été expliqué en audience publique devant le tribunal correctionnel de Lyon, le rédacteur de l'article s'est procuré les procès verbaux internes de la Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône. Dans ces documents, le directeur de l'établissement a consigné, année après année, les dysfonctionnements de Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône, notamment l'absence d'eau chaude dans les douches des jeunes pensionnaires pendant plus de deux ans. Sans faire effectuer les réparations nécessaires !
L'article incriminé reprenait de larges extraits des procès verbaux rédigés par le directeur Xavier de Guiran et s'indignait des conditions de vie infligées aux jeunes pensionnaires, placés en ces lieux par des juges des enfants, qui ne sont jamais venus sur place pour vérifier les conditions de vie. Le directeur Xavier de Guiran ajoutait même cette phrase laconique au bout de deux ans : "Les travaux n'ont pas suivi...".
Des jeunes pensionnaires privés d'eau chaude dans les douches pendant plus de deux ans
Furieux que les dysfonctionnements de Maison Pour Vivre de Tournon sur Rhône soient livrés sur la place publique, le directeurs de cette Maison d'enfants à caractère social avait assigné pour diffamation, via une citation directe, Riposte Laïque et l'auteur de l'article devant la 6 ème chambre de la Presse du tribunal correctionnel de Lyon. Au vu d'un dossier digne des "Misérables" de Victor Hugo, les juges Lyonnais ont reconnu le bien fondé de l'article incriminé et publié par Riposte Laïque, qui prenait la défense de tous les jeunes pensionnaires de Maison Pour Vivre, sans distinction de race, puisque cette structure accueille aussi 16 mineurs isolés étrangers. Selon Maître Didier Lacombe, l'un des avocats de la défense avec Maître Frédéric Pichon, "Je confirme que nous avons été relaxés des faits de la poursuite et que les plaignants ont été déboutés de l’intégralité de leurs demandes....".
Dans une France alarmée et tétanisée par le terrorisme, où le Ministre Urvoas se transforme en "moine-soldat" de l'anti-terrorisme, où beaucoup de citoyens se demandent si nos mesures anti-terrorisme constituent un arsenal législatif adapté , où six millions de citoyens vivent sous le seuil de pauvreté, le directeur de Maison Pour Vivre, Xavier de Guiran, aurait été bien inspiré de consacrer les milliers d'euros gaspillés en frais de #Justice et d'avocats au confort quotidien des jeunes pensionnaires de la structure. Car les sommes allouées à cet établissement par les pouvoirs publics sont uniquement destinées aux jeunes pensionnaires et aux salaires des dévoués éducateurs.
Article publié en premier sur fr.blastingnews.com
Jean-Paul Ney, le journaliste condamné pour avoir divulgué l’identité des Kouachi brûle son passeport en direct
"Je vais montrer à la justice et au gouvernement français que je ne suis plus Français"
Peu après le verdict, ce mercredi 12 octobre, il a brûlé son passeport français dans une vidéo - en direct - sur l'application Périscope, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.
Déclarés coupables de "recel de violation du secret de l'enquête." Jean-Paul Ney et Pierre Martinet, un ancien de la DGSE, avaient publié sur les réseaux sociaux les éléments d'identification des frères Kouachifigurant dans un dossier interne à la police, ainsi qu'une fiche concernant Chérif Kouachi.
Dans la soirée du 7 janvier 2015, Jean-Paul Ney avait notamment tweeté un cliché de la carte d'identité de Saïd Kouachi, en écrivant: "On vous tient enfants de putain". Le procureur de la République à Paris, François Molins, avait déploré ces fuites, qui avaient ruiné "tout espoir de surprise" dans la traque des frères Kouachi.
Avant de brûler son passeport en direct, celui qui a fait sa vie en exil, avait publié un tweet dans lequel il déplorait la décision de justice.
Source
Suisse : pour la première fois, les données sur les personnes condamnées sont publiées selon la nationalité
L’Office fédéral de la statistique (OFS) publie pour la première fois des chiffres sur la nationalité des personnes condamnées. Ces chiffres font la distinction entre les personnes qui séjournent longtemps en Suisse (Suisses et étrangers titulaires d’un permis B ou C) et les autres catégories d’étrangers. Simultanément paraît un rapport de méthode qui montre les possibilités de comparaison de la criminalité par nationalité, et ses limites.
Suisses et étrangers titulaires d’un permis B ou C: nombre de personnes condamnées et taux de condamnation pour un crime ou un délit du code pénal (CP), selon la nationalité, l’âge et le sexe(doc excel)
Autres étrangers (non titulaires d’un permis B ou C): nombre de personnes condamnées pour un crime ou un délit du code pénal (CP), selon la nationalité, l’âge et le sexe (doc excel)
Via Fdesouche.com
Bâle : Peine moins lourde que prévue pour un pédophile
Un homme a écopé jeudi à Muttenz (BL) de 15 mois de prison avec sursis pour actes d'ordre sexuel avec des enfants, pornographie illicite et dénonciation calomnieuse.
Merci à Pierre H.
Condamnation pour racisme anti-blanc : une victoire de principe de l’AGRIF
Le 29 mars 2016, la Cour d’Appel de Lyon a condamné à trois mois de prison ferme le dénommé Hakan O., alourdissant ainsi la peine prononcée en première instance, pour injures à caractère racial, prononcées lors d’une altercation dans un TER en 2014 avec un usager qui s’interposait dans un contrôle de billet tournant mal. « Sale Français, sale blanc » ont été les mots adressés au plaignant. La singularité de ce procès en appel est qu’il est d’une part l’un des rares à reconnaître enfin l’effectivité du racisme anti-français et anti-blanc, réalité occultée avec obstination par la classe politico-médiatique, et que d’autre part la LICRA s’est portée partie civile, « pour la seconde fois dans ce type de dossier », précise son communiqué sur www.licra.org.
Si l’on peut se réjouir du fait que des magistrats soient enfin obligés de reconnaître et condamner comme l’exige la loi les faits, pourtant innombrables et incontestables depuis des décennies, de racisme anti-français et spécifiquement anti-blanc, les contorsions rhétoriques de la LICRA pour justifier son implication ne peuvent que susciter un sourire tristement ironique : depuis l’origine, la LICRA, avec d’autres associations, a été l’incarnation du pseudo-antiracisme à sens unique, c’est-à-dire du processus de culpabilisation incessant des Français en tant que Français et spécifiquement des Français de souche, supposés racistes, donc coupables, et jamais reconnus comme victimes potentielles d’un racisme qui viendrait, ô scandale, d’immigrés ou d’étrangers, exempts par on ne sait quel miracle ontologique du péché de haine raciale. Plus de trente ans après la création de l’AGRIF, après les campagnes et procès que nous avons menés, parfois vilipendés, pour ce qui n’était qu’une exigence de justice élémentaire que nous étions pourtant les seuls à réclamer, la LICRA semble découvrir la réalité de la France actuelle et les joies du « vivre-ensemble » rabâché en proportion de son inexistence. A quoi doit-on ce timide et tardif revirement ? Peut-être à certaines influences, décillées par le cruel retour au réel. Le fait est que la LICRA entend ménager la chèvre et le chou : « Si le racisme anti-blanc est un phénomène relativement marginal au regard des autres formes de racisme ou de l’antisémitisme, il doit en revanche faire l’objet de la même rigueur et de la même réprobation ». Reconnaître une réalité, certes, mais la minimiser, correction idéologique oblige. « La récupération de ce type d’affaire, par l’extrême-droite ou par des officines communautaristes, répond évidemment à une volonté d’instrumentalisation politique qui ne doit en rien empêcher le combat antiraciste ». Nous aurons l’élégance d’y voir, outre une piteuse tentative de concilier le dogmatisme idéologique et la nécessité du réel, un hommage du vice à la vertu : où donc est l’extrême-droite dont il est question ? De quelles officines parlent-ils ? Qui instrumentalise de manière éhontée la question du racisme depuis bientôt quarante ans ?
Cette mauvaise foi n’empêchera pas l’AGRIF de se réjouir d’une victoire judiciaire sanctionnant les coupables d’un racisme tout aussi intolérable que les autres, racisme qu’elle a été la première et très longtemps la seule à combattre.
Pierre Henri
Alain Jean Mairet, citoyen suisse, condamné à 8.000 euros d’amende par un tribunal français
Par Christine Tasin
Nous avions attiré votre attention il y a peu sur les enjeux du verdict que devaient rendre aujourd’hui les juges de la 17ème Chambre.
C’est fait.
Sans complexe, les juges de la 17e Chambre se sont déclarés compétents pour juger un citoyen suisse responsable d’une association suisse, le site Internet Riposte laïque, au motif que les articles du dit site sont accessibles en France…
Sans complexe, le tribunal a déclaré recevable la plainte d’une association française, la Licra, contre un citoyen suisse responsables d’une association suisse.
Quid de la Licra suisse en Suisse ? Alain Jean Mairet, qui, à l’époque des faits était le Président de l’association Riposte Laïque Suisse, et donc le directeur de publication de Riposte laïque, basé à Neuchâtel, est donc condamné à verser 8000 euros en tout – amende de 5000 euros, 2000 euros de dommages et intérêts à la Licra (qui a beaucoup souffert en effet dans ce dossier… ) et 1000 à la même Licra de frais de justice-. Bien évidemment, l’avocat de Riposte Laïque, Maître Stéphane Haddad, a fait appel sur le champ.
Ce qui s’est passé aujourd’hui a une importance capitale.
C’est le symbole de la victoire du politiquement correct, de la police de la pensée, de la mort de la liberté d’expression à l’échelle mondiale.
C’est, aussi, le symbole de la mondialisation, de la disparition des nations, de leur indépendance et de la souveraineté populaire.
C’est, aussi, le procès d’Internet, procès à deux vitesses, pour ne pas changer. Ici la Licra porte plainte contre de paisibles Suisses, là la Licra ne porte pas plainte contre les videos d’imams saoudiens ou canadiens appelant à tuer les infidèles ou à lapider les femmes… videos pourtant disponibles en France… La Licra a-t-elle jamais porté plainte contre Qaradawi, qui, dans un livre et des videos accessibles en France, a maintes fois appelé les musulmans à finir le travail d’Hitler ? Qaradawi, pourtant, fut un temps, venait même tous les ans au salon du Bourget organisé par l’UOIF…
Qui, dorénavant, empêchera un citoyen italien ou irlandais, fort de la loi interdisant le blasphème chez eux, de traîner au tribunal un Pascal Hilout ?
Qui, dorénavant, empêchera un Saoudien de traîner au tribunal une Zineb El Rhazaoui et de la lapider pour critique de l’islam et apostasie ?
Qui, dorénavant, empêchera l’ayatollah Khamenei de traîner au tribunal nos politiques et journalistes ouvertement homos pour les condamner à être pendus ou jetés du haut du quatrième étage ?
Ne ricanez pas, bobos et autruches. Ce sera demain votre tour, forcément. Rien de ce que je peux imaginer n’est devenu impossible grâce aux juges de la 17ème Chambre. J’ignore qui sont ces juges, si ce sont des bobos islamophiles, si ce sont des convertis à l’islam, si ce sont des sbires zélés de Urvoas, si ce sont des ignorantss qui croient de bonne foi, malgré la démonstration implacable de Sami Aldeeb, que l’islam peut être anodin…
D’ailleurs il semble, d’après les conclusions du tribunal que leur ire est née de ce que, justement, le témoin, comme l’avocat, comme l’accusé, ont maintenu les dires de Salem Bennamar : oui l’islam est une catastrophe et l’islam n’est pas capable de changer, d’évoluer, de s’amender. L’islam est tout entier à jeter.
Forcément, avec la clique de Hollande, ça fait désordre… Absoudre Alain Jean Mairet eût été un aveu, l’aveu que tout ce qui est dit sur l’islam dans Riposte laïque est juste. L’aveu que les musulmans doivent et devront choisir, tôt ou tard, entre l’islam ou la République. L’aveu que la politique d’immigration menée depuis des lustres par nos dirigeants est un suicide organisé et voulu.
Quel juge aurait pu avoir le courage de relaxer Alain Jean-Mairet ? Un être libre, n’espérant pas d’évolution de carrière, se moquant de se faire tirer les oreilles ou d’être muté dans un petit tribunal de province… Il y en a encore, nous en avons rencontré, au cours des différents procès que le clan islamophobe a subi depuis ces 7 ou 8 dernières années… Mais pourquoi avons-nous ce sentiment qu’ils sont de moins en moins nombreux, de moins en moins libres ou de plus en plus politiquement engagés, oublieux de la grandeur et de l’indépendance de leur tâche.
Christine Tasin
Les cantons suisses subventionnent des étrangers illégaux et condamnés
Les caisses des cantons suisses ne sont pas autant vides qu’on le répète aux fonctionnaires: des illégaux condamnés par la justice peuvent le confirmer.
Ils sont des centaines en Suisse à profiter de soutiens officiels, du logement, des repas, des assurances, jusqu’au paiement de leur abonnement aux transports publics et au versement de dix francs quotidiens. Leurs frais de justice sont aussi dévolus aux cantons.
Eric Zemmour : 3000 euros d’amende pour incitation à la haine anti-musulmans
Eric Zemmour a été condamné ce jeudi à 3000 € d'amende pour provocation à la haine envers les musulmans, pour des propos au journal italien Corriere Della Sera en octobre 2014. Il y déclarait notamment que les musulmans «ont leur code civil, c'est le Coran», qu'ils «vivent entre eux, dans les banlieues. Les Français ont été obligés de s'en aller». Le parquet avait requis 10 000 € d'amende.
10 000 euros d’amende requis contre Eric Zemmour pour provocation à la haine envers les musulmans
Il avait notamment déclaré, dans un entretien au «Corriere della Serra», que les musulmans «ont leur code civil, c'est le Coran».
Pakistan: Pendre ou ne pas pendre un condamné en chaise roulante?
[...] les règles pénitentiaires en vigueur stipulent que pour être exécuté, un prisonnier doit se tenir debout sous la potence, et que la longueur de la corde doit être déterminée par sa hauteur dans cette position. Elles ne permettent donc pas de pendre un homme en chaise roulante, souligne-t-elle. La mère d’Abdul Basit, Nusrat Perveen, a confirmé à l’AFP que l’exécution de son fils avait été reportée « en raison de sa maladie ».[...]
Italie : 12 jours de travaux d’intérêt général pour avoir dit à une marocaine « retourne au Maroc »
TERNI : Le président de l’Institut Cesi, Giuseppe Metastasio a puni une jeune italienne pour avoir dit à une marocaine lors d’une dispute « retourne au Maroc ». Il lui a donné 12 jours de travaux d’intérêt général dans un service social pour immigrés.
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