Chemnitz (All.) : un Érythréen tente de mettre le feu à une station-service

Chemnitz - Cette tentative aurait pu avoir des conséquences explosives ! Teame S. (24 ans), originaire d'Erythrée, a voulu mettre le feu à la station-service Star dans le district de Markersdorf.

Au tribunal de district de Chemnitz, l'homme a manifesté des remords : il était saoul (près de trois pour mille) et ne se trouvait pas dans son état normal.

[...]

"J’avais des problèmes psychiques et je me sentais seul. Je suis désolé", a affirmé l’Érythréen, qui gagne actuellement sa vie en tant que stagiaire et ne possède pas de casier judiciaire.

La juge a décrété une peine d’emprisonnement de 18 mois et 100 heures de travail pour tentative d'incendie criminel.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de


Rappels :

Le chef du renseignement allemand doit démissionner, selon Merkel. Il avait dénoncé les fausses informations de Chemnitz et contredit Merkel.

Allemagne. Chemnitz : L’un des agresseurs était un migrant délinquant qui aurait dû être expulsé depuis longtemps.

Allemagne : 3 habitants de Chemnitz sur 4 ne se sentent pas en sécurité lorsqu’ils sortent le soir, selon une enquête

Chemnitz. Angela Merkel « a créé les fake news de chasse à l’homme » [Interview]

Allemagne. Chemnitz : le parti d’Angela Merkel et la gauche soutiennent les antifas face aux patriotes allemands.

L’activiste palestinien berlinois Fuad Musa appelle tous les migrants d’Allemagne à se rendre « par dizaines de milliers » à Chemnitz et en Saxe pour « protéger » les migrants contre les « Nazis »

Allemagne. Chemnitz : L’un des agresseurs était un migrant délinquant qui aurait dû être expulsé depuis longtemps.

Encore une information qui ne sera pas divulguée par notre presse dont le seul réflexe est de traiter de nazis les opposants à l'immigration criminelle.

On notera que l'expulsion n'a pas pu s'effectuer car l'Office des migrations allemand était surchargé. Cela signifie que la mort de cet Allemand est directement imputable à la politique de Merkel ainsi qu'à la justice qui a été indulgente devant une pareille racaille.

 

**********

 

Selon le journal "Bild", Farhad Ramazan Ahmad est l'aîné de trois enfants de parents kurdes qui ont émigré en Turquie peu après sa naissance.

Il serait venu en Allemagne en 2015, où il avait des proches à Fulda et à Dortmund selon le rapport.

À partir de 2016, il a vécu à Chemnitz. Comme le journal "Welt" l'a signalé, la demande d'asile d'Ahmad avait été rejetée.

Ahmad aurait dû être expulsé

Ahmad avait justifié sa demande en prétextant la guerre en Irak. Et cela, bien qu'il ait vécu déjà pendant de longues années en Turquie.

Les autorités avaient des doutes concernant son récit. Ils ont également découvert que le jeune homme de 22 ans avait déjà demandé l'asile en Bulgarie. L'Etat de l'UE se déclarait prêt à reprendre Ahmad. Mais cela ne s'est pas produit.

Dans une interview de la journaliste allemande Anne Will, le Premier ministre de Saxe Michael Kretschmer parle du surmenage de l'Office fédéral allemand de l’immigration et des réfugiés (BAMF) en 2016.

Peu après le rejet de sa demande d'asile, Ahmad a commencé à causer des infractions. Vol, trafic de drogue, voies de fait. Il s'en sortait toujours avec des peines pécuniaires ou des condamnations avec sursis.

Selon le journal « Bild », Ahmad a rencontré le soir du 26 août des amis dans un bar, dont Yousif A. et S. Alaa, qui sont mutuellement responsables de la mort de Daniel H.. À 23h31, Ahmad a téléchargé une dernière image sur les médias sociaux. Peu de temps après, Daniel H. est mort. Depuis, on n'a plus aucune trace d'Ahmad.

Focus.de

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

Köthen, nouveau Chemnitz ? Des milliers d’Allemands manifestent après la mort d’un jeune homme

Plusieurs milliers de personnes ont défilé contre l'immigration à Köthen, dans l'est de l'Allemagne où un Allemand de 22 ans est mort à la suite d'une bagarre avec deux Afghans. Les autorités locales craignent de nouvelles violences.

Environ 2 500 personnes ont manifesté dans la soirée du 9 septembre à Köthen, dans l'est de Allemagne, à la suite de la mort d'un jeune homme dans une bagarre avec deux Afghans. Une mobilisation qui fait craindre aux autorités une répétition de Chemnitz.

La rassemblement à la mémoire de la victime de 22 ans a eu lieu dans la ville de Köthen, dans l'Etat régional de Saxe-Anhalt, où le drame s'est produit la nuit précédente. Dans une atmosphère souvent tendue, les participants ont crié «Résistance ! Résistance !» pour dénoncer les demandeurs d'asile, responsables à leur yeux d'une hausse de la criminalité, et la politique migratoire du gouvernement.

«Aujourd'hui est un jour de deuil mais nous allons transformer la tristesse en colère», a lancé un orateur à la foule, avant d'ajouter : «Oeil pour oeil, dent pour dent !». La police locale a estimé leur nombre total à 2 500. La rassemblement s'est dispersé dans le calme en milieu de soirée.

Une contre-manifestation de 200 personnes de la gauche radicale s'est également tenue dans cette ville de 26 000 habitants. «Au-delà de l'émotion légitime, il convient de rejeter toute tentative de faire de Köthen un deuxième Chemnitz», a mis en garde le chef du gouvernement régional, Reiner Haseloff.

L'Allemand de 22 ans est décédé d'un arrêt cardiaque. Parmi les deux Afghans de 18 et 20 ans interpellés, le second est soupçonné de «coups et blessures volontaires graves ayant entraîné la mort». Et ce même si, en parallèle, le parquet a précisé après autopsie que l'arrêt cardiaque n'avait pas été directement causé par les coups portés. 

Selon le quotidien local Mitteldeutsche Zeitung, la victime souffrait préalablement de problèmes cardiologiques. Les autorités n'ont donné aucune précision sur les raisons de l'altercation.

Vu le précédent de Chemnitz, les autorités ont multiplié les appels au calme à la population, le ministre de l’Intérieur de Saxe-Anhalt, Holger Stahlknecht, lui demandant de rester «pondérée».

Il y a tout juste deux semaines, un Allemand de 35 ans avait été tué de plusieurs coups de couteau à Chemnitz, également dans l’ex-RDA. Un meurtre que la police soupçonne plusieurs demandeurs d'asile irakiens et syrien d'avoir commis.

Angela Merkel contestée dans son propre camp

L'extrême droite allemande, en plein essor dans les sondages, s’est déjà saisie de cet homicide pour organiser plusieurs manifestations dans la ville. Objectif : dénoncer la hausse de l’insécurité et, au-delà, la politique migratoire de la chancelière Angela Merkel jugée trop laxiste. Cette mobilisation, marquée par des violences, a ébranlé le pays, relancé le débat sur l'immigration et provoqué une nouvelle crise gouvernementale.

Elle oppose la chancelière de centre droit à son ministre de l'intérieur, Horst Seehofer, président du parti bavarois très conservateur CSU, qui a soutenu les manifestants anti-migrants de Chemnitz alors qu'Angela Merkel a dénoncé la «haine» qu'ils véhiculaient.

Le patron du Renseignement intérieur allemand, Hans-Georg Maassen, hiérarchiquement sous les ordres de Horst Seehofer, s'est immiscé dans la joute cette semaine en contestant la réalité des «chasses» aux étrangers à Chemnitz, pourtant condamnées par Angela Merkel.

Cette sortie alimente, dans le camp de la chancelière, le soupçon que le Renseignement intérieur agit en service commandé du ministre de l'Intérieur pour déstabiliser Angela Merkel. Horst Seehofer a répété ce 9 septembre avoir «pleine confiance» dans Hans-Georg Maassen, tout en indiquant attendre de sa part le 10 septembre un rapport étayant ses propos.

Source

Allemagne : 3 habitants de Chemnitz sur 4 ne se sentent pas en sécurité lorsqu’ils sortent le soir, selon une enquête

Une enquête menée par la mairie montre que trois habitants de Chemnitz sur quatre ne se sentent pas en sécurité le soir. Et les jeunes sont particulièrement victimes de crimes violents.

Dans une enquête menée par la municipalité, 44% des quelques 2 700 participants ont déclaré se sentir en danger ou très peu en sécurité dans la ville pendant la journée. En soirée, trois quarts des sondés font part de leur crainte.

« Depuis deux ans maintenant, ma femme n’ose plus aller seule à la gare centrale », écrit un lecteur irrité de la Freie Presse. Beaucoup de jeunes femmes auraient sur elles du gaz poivré pour se protéger d’éventuels agresseurs. « Cela est devenu la norme ces dernières années », déclare le lecteur.

(…)

 

Source

Allemagne: le patron du renseignement dément des chasses collectives et contredit Merkel. “Il y a de bonnes raisons de croire qu’il s’agit d’une fausse information intentionnelle.”

La presse romande tente laborieusement de se couvrir en se positionnant en chercheuse de vérité puisque le scandale n'est plus escamotable.

Et ceci afin de protéger ses arrières alors que les journalistes romands n'ont pas hésité à marteler cette "chasse aux migrants" sans aucune preuve tangible durant de nombreux jours.

 

**********

Le président du renseignement intérieur allemand, Hans-Georg Maassen, a estimé aujourd'hui dans la presse qu'il n'y avait pas eu de "chasses collectives" contre les étrangers lors de violences perpétrées par l'extrême droite fin août à Chemnitz, contredisant ainsi la chancelière. Il a également assuré dans le quotidien Bild qu'il n'y avait "pas de preuves que la vidéo circulant sur internet" montrant des agressions commises contre des personnes d'apparence physique étrangère "soit authentique".

"Il y a de bonnes raisons de croire qu'il s'agit d'une fausse information intentionnelle pour éventuellement détourner l'attention de l'opinion publique du meurtre à Chemnitz" d'un homme de 35 ans tué à coups de couteau et pour lequel deux réfugiés, un Irakien et un Syrien, ont été placés en détention provisoire. "Je partage les doutes concernant les comptes rendus dans les médias sur des chasses collectives de l'extrême droite à Chemnitz", a également souligné le président de l'Office de Protection de la Constitution. "Nous n'avons pas d'informations fiables à l'Office de Protection de la Constitution selon lesquelles de telles chasses collectives ont eu lieu", a-t-il ajouté.

La chancelière Angela Merkel a dénoncé avec véhémence "ces chasses collectives", "la haine dans la rue" qui n'ont "rien à faire dans un Etat de droit". Depuis, le président de la région de Saxe où se situe Chemnitz, Michael Kretschmer, a également soutenu qu'il n'y avait pas eu de "foule en colère, de chasse collective, de pogroms" à Chemnitz.

Le meurtre de Daniel H. dans la nuit du 26 août avait déclenché des violences de la mouvance néo-nazie et d'extrême droite dans cette ville de l'ex-RDA, des échauffourées qui ont suscité un immense choc dans une Allemagne en pleine ébullition depuis l'afflux de plus d'un million de réfugiés depuis 2015.

La police avait fait état de plusieurs personnes agressées dont au moins un Syrien, un Bulgare et un Afghan et une vidéo postée sur Twitter, reprise par les télévisions allemandes notamment, montrait des violences dans la rue contre des personnes à l'apparence étrangère. L'un des journalistes ayant posté cette vidéo a confirmé à Bild l'avoir réalisée ce jour là à Chemnitz.

Le Figaro

 

Rappels. Florilège de ce que notre presse romande a publié:

- L'appel de Merkel contre «la haine» (20Minutes.ch)

- Des «chasses à l'étranger» qui ont émaillé ces derniers jours les rassemblements organisés par l'extrême-droite à Chemnitz (20Minutes.ch)

- Allemagne : L'inquiétude grandit face à l'extrême droite. "Les «chasses collectives» contre les étrangers organisées par des sympathisants d'extrême droite dimanche dans les rues de Chemnitz, constituent un choc pour le pays.". (20Minutes.ch)

- Angela Merkel dénonce des «chasses» à l'étranger (Tribune de Genève)

- Marc Allgöwer, Responsable rubrique Monde du 24 Heures "Des chasses à l’homme et autres ratonnades ont suivi le meurtre de Daniel H."

- L'extrême droite dans la rue contre Merkel "de nombreux sympathisants de groupes néonazis qui se sont livrés selon les autorités à des «chasses collectives» contre les étrangers dans la rue" (24 Heures)

etc.

 

Concert contre « la haine » à Chemnitz, retransmis par Arte : « Je plante la lame de mon couteau dans la gueule des policiers »

Concert de Chemnitz

Manifestation contre la haine

Extrait : « Je plante la lame de mon couteau dans la gueule des policiers »

Cela aurait dû être un concert contre la haine dans les rues de Chemnitz, et puis :

L’apparition du groupe de hip-hop Berlinois K.I.Z. lundi soir lors du concert « Nous sommes plus nombreux » en a fait un concert de la haine !

[Article payant]

[Autres extraits de « Ein Affe und ein Pferd » (« Un singe et un cheval ») du groupe K.I.Z.:

Ta gueule, j’en fais de la bouillie
Boum ! Crève quand je mettrai le gros pétard dans ta capuche

* Je donne des coups de pied dans le ventre de ta femme et bouffe le fœtus

* Si une femme n’est pas nue, je lui balance des billets
Si elle se déshabille, je lui balance des pierres

* Eva Hermann [ancienne présentatrice de télévision] me voit, elle se dit « Drôle d’Allemand ! »
Et je la prends par derrière comme un coureur de relais

Je la baise et lui en fais voir de toutes les couleurs]

(Traduction Fdesouche)

Bild


Après les événements des derniers jours, des artistes comme Die Toten Hosen, K.I.Z. et Kraftklub affrontent le racisme et la xénophobie lors d’un concert de bienfaisance à Chemnitz et manifestent pour la tolérance, le respect et l’humanité. ARTE Concert diffusera le concert en direct à partir de 17h [3 septembre].

Arte


[La vidéo est visible ici : https://www.youtube.com/watch?v=MQsr2ipvc0g

 

Chemnitz. Angela Merkel « a créé les fake news de chasse à l’homme » [Interview]

Après le meurtre d'un allemand par des migrants, la ville de Chemnitz connaît d'importantes manifestations contre l'immigration. La députée allemande Nicole Höchst, membre de l'AFD, la droite conservatrice, revient sur les événements qui secouent l'Allemagne depuis une dizaine de jours.

Depuis une semaine, des milliers d'Allemands manifestent à Chemnitz suite à un meurtre commis par des migrants. Comment expliquez-vous cette mobilisation populaire ?

Ce n’est pas la première victime d'un migrant qui a fait une demande d'asile qui n'a pas été accepté et qui aurait dû quitter l'Allemagne depuis longtemps.

Les Allemands commencent à en avoir marre que le gouvernement et les "élites" s'inquiètent uniquement qu'il n'y ai pas d'amalgame et pas de haine contre tous ces boucher, tous ces tueurs, tous ces violeurs. Ils ne s'inquiètent jamais des victimes ou bien des familles de ces victimes, qu'ils semblent accepter tout comme une offrande sur l'autel de la religion du multiculturalisme.

Il y a des manifestations un peu partout en Allemagne contre les viols, les agressions et les meurtres qui se passent également un peu partout en Allemagne. Cette violence inacceptable se répand comme une vraie épidémie et le peuple commence à en avoir ras le bol.

L'Allemagne est le pays d'Europe qui reçoit le plus de migrants. Comment se passe la cohabitation entre ces nouveaux arrivants et la population ?

Puisque l'immigration n'est toujours pas régulée ni réglementée et que plus de 600.000 personnes sans titre de séjour valide se trouvent toujours en Allemagne, dont des criminels, la colère monte.

Beaucoup de nos retraités n'ont pas assez d'argent pour mener une humble vie, beaucoup d'enfants sont très pauvres, des familles trouvent difficilement de logements abordables. De plus en plus d'Allemands se retrouvent dans une situation d'insécurité et surtout de concurrence.

Et quand les demandeurs d'asile deviennent criminels en plus, les citoyens perdent la patience avec notre gouvernement.

La chancelière Angela Merkel est critiquée aujourd'hui par les manifestants à Chemnitz. Quelles sont ses responsabilités dans cette affaire ?

Merkel a ouvert des frontières qui restent ouvertes désormais à tout le monde. Même pour ceux sans papiers. Et Merkel va jusqu'au bout car elle ne cesse de souligner qu'elle est la chancelière des réfugiés et des immigrants. Elle semble avoir complètement oublié le peuple allemand.

Merkel cherche à forcer notre patrie a accepter des milliers de personnes d'une culture très différente et elle propage très ouvertement l'islamisation de notre pays. Malheureusement ces immigrants se comportement très souvent plutôt comme des intrus, même des envahisseurs, mais pas comme des hôtes respectables. Eux, ils ont bien compris, que le gouvernement allemand leur a donné le droit de soumettre les Allemands de souche qui sont en voie de disparition, car ils ne se reproduisent pratiquement pas.

Quelle est la réaction du gouvernement pour le moment ?

La chancelière et d'autres politiciens allemands ont créé les "fake news" de chasse à cor et à cri concernant la manifestation spontanée à Chemnitz qui n'a jamais existé comme précisé le procureur responsable. Donc, ils ont tout bêtement menti. La couverture des médias était formidable et tout le monde a rapporté les mensonges. Ce qui est dangereux dans cette situation car personne ne corrige les mensonges de la part du gouvernement ou des médias. Signe terrible d'une démocratie en faillite. Tout cela pour abattre l'AfD qui gagne du terrain avec chaque journée remplie d'agressions, de viols, de meurtres au couteau.

Merkel mène notre pays vers la falaise d'où elle va plonger dans le néant d'un mélange des cultures, dont une ne cesse de soumettre les autres, autorisée par la religion. Merkel nous a entraînés vers l'insécurité, la criminalité, la honte d'un nouveau régime autoritaire qui ne tolère pas d'opposition.

Un État où  les médias se comprennent comme des systèmes de vérité du gouvernement.

Votre parti, l'AFD, est l'un des principaux organisateurs de ces manifestations à Chemnitz. Quelles sont, aujourd'hui, vos revendications ?

L'AfD revendique que l'on ferme finalement les frontières. Que l'on expulse ceux qui n'ont pas le droit d'être en Allemagne. Que l'on mette les migrants criminels hors d'état de nuire. C'est à dire qu'on les expulse ou qu'on les mette en prison.

Nous revendiquons évidemment que notre gouvernement s'occupe prioritairement et d'urgence de son obligation principale: du bien du peuple allemand.

 

Propos recueillis par Jordi Vives

Il y aura un avant et un après Chemnitz

-
Michel Garroté -- A propos de Chemnitz, sur Boulevard Voltaire, Frédéric Sirgant, Professeur d'Histoire, dans une intéressante analyse sociologique et historique, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le 1er septembre 2018, l’Histoire se déroulait à Chemnitz, en Allemagne, en Saxe, où avait lieu une nouvelle manifestation, à l’initiative de l’AfD, pour dénoncer les crimes commis par des migrants. Cette manifestation anti-migrants et anti-Merkel est historique à plus d’un titre. D’abord, elle s’inscrit dans une trajectoire beaucoup plus ample de causes et de conséquences : il y a, bien sûr, la cause immédiate, cet assassinat de Daniel Hillig [cf. photos] il y a une semaine. Qui, lui-même, s’inscrit dans la trop longue chaîne des viols et des assassinats commis en Allemagne par des migrants.
-
Et puis, en remontant trois petites années en arrière, on tombe sur ces arrivées folles, par dizaines de milliers de migrants, à Munich, en septembre. Ce mois de septembre 2015 fut historique et ces événements eurent des conséquences. Les victoires électorales de l’AfD furent les premières. Chemnitz en est une autre. Ensuite, cette manifestation du 1er septembre est spectaculaire par sa tenue. 'Le Monde' a su donner la parole à ces Allemands qui, par milliers, sont descendus pour dire stop : « Vous, journalistes, n’attendez qu’une chose : qu’on hurle comme des nazis. Eh bien, nous sommes des gens civilisés et disciplinés. Ce n’est pas nous qui foutons le désordre ».
-
Enfin, contrairement à la propagande de la gauche et des médias, ce mouvement populaire, aux antipodes des slogans racistes ou xénophobes qu’on aurait bien voulu lui voir scander, témoigne d’une réflexion politique et historique qui se comprend – et se défend : « Tous ces morts, ce sont les victimes de Merkel, de sa politique criminelle. Ce pauvre Daniel tué à Chemnitz la semaine dernière n’est hélas ni le premier ni le dernier de la liste ».
-
Ce quinquagénaire interrogé par 'Le Monde' poursuit : pour lui, Merkel doit être « jugée par un tribunal pénal » et son gouvernement « renversé par une révolution pacifique, comme celle qui a balayé la République démocratique allemande en 1989 ». L’Histoire obéit rarement à ceux qui ne veulent pas voir les mouvements de fond qui l’agitent. Il y aura un avant et un après Chemnitz, en Allemagne et en Europe, conclut, sur Boulevard Voltaire, Frédéric Sirgant, Professeur d'Histoire (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Adaptation de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 4.9.2018
-
http://www.bvoltaire.fr/chemnitz-1er-septembre-2018-merkel-assiste-impuissante-a-la-revolte-contre-son-nouveau-mur/
-

Allemagne : le Procureur général de Saxe contredit Merkel et déclare qu’il n’y a pas eu de « chasse anti-immigrés » à Chemnitz

Allemagne : Le bureau du Procureur général de Saxe affirme qu’il n’y a pas eu de « chasse anti-immigrés » lors des manifestations à Chemnitz. La chancelière Angela Merkel avait déclaré l’inverse.

Communication du Parquet Général de Saxe : « Au vu de l’ensemble des informations dont nous disposons, les fonctionnaires n’ont découvert aucune photo ou vidéo qui soutiendrait l’existence d’une chasse anti-immigrés ».

Le porte-parole de Merkel a déclaré qu’il ne voulait pas s’engager dans un « débat sémantique ».

(…) Publicomag / JungeFreiheit


Dans l’après-midi du mardi 28 août, Angela Merkel a fermement condamné cette flambée de racisme : « Ce que nous avons vu n’a pas sa place dans un État de droit. Ces images de chasse à l’homme collective et ces manifestations de haine n’ont pas leur place dans un État de droit. » Aux dernières élections, l’AfD, parti anti-immigrés et anti-islam, est devenu la toute première force politique de la ville.

Franceinfo

 

Via Fdesouche.com

Manifestations anti-migrants : Merkel exhorte les Allemands à se mobiliser contre la « haine »

La chancelière Angela Merkel a exhorté lundi les Allemands à se mobiliser contre la "haine" propagée par l'extrême droite qui occupe le terrain, après de nouvelles violences au cours du week-end ayant fait près d'une vingtaine de blessés.

"Ce à quoi nous avons malheureusement assisté au cours des derniers jours, y compris lors du week-end, ces marches d'extrémistes de droite et de néonazis prêts à la violence, n'ont rien à voir avec le deuil d'un homme" mais visent "à lancer un message de haine, contre les étrangers, les responsables politiques, la police et la presse libre", a déclaré devant la presse le porte-parole de Mme Merkel, Steffen Seibert.

"Nous devons le faire clairement savoir", a-t-il ajouté, "chaque citoyen peut le faire en prenant la parole et en prenant position contre la division de notre pays".

Le porte-parole réagissait à un nouveau défilé organisé samedi par plusieurs formations de la droite ultra dans les rues de Chemnitz ayant rassemblé 8.000 personnes pour dénoncer, comme elle le font sans cesse depuis le 26 août, la mort d'un Allemand de 35 ans, tué de plusieurs coups de couteau dans la rue.

(...)

Romandie.com

Allemagne. Chemnitz : le parti d’Angela Merkel et la gauche soutiennent les antifas face aux patriotes allemands.

Des affrontements ont eu lieu en marge de marches pro et anti-migrants dans la ville allemande. Elles étaient organisées dans la foulée des manifestations agitant la ville depuis le meurtre d'un Allemand pour lequel deux immigrés sont soupçonnés.

Le 1er septembre, la police allemande a décompté près de 9 500 personnes présentes dans le cadre de deux manifestations rivales, pro et anti-migrants, organisées dans la ville de Chemnitz, plusieurs jours après le meurtre d'un Allemand, pour lequel sont soupçonnés deux migrants. Selon la police, neuf personnes ont été blessées lors de son intervention pour éviter des affrontements directs.

Quelque 300 personnes ont été arrêtées après que les forces de l'ordre sont intervenues en raison de l'intensité des tensions existant entre certains participants de chacune des manifestations. Les autorités ont en outre signalé 25 infractions de divers types : dégâts matériels, violences, résistance à la police ou encore utilisation d'insignes interdits.

 

 

Organisée par une frange de la droite anti-immigration, dont le parti AfD («Alternative pour l'Allemagne») et le groupe PEGIDA («Les Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident»), une première marche a vu défiler des drapeaux et des affiches représentant des victimes de violences attribuées à des migrants. Les participants étaient réunis autour du slogan : «Nous sommes le peuple» – slogan employé lors des manifestations qui ont entraîné la chute de la RDA à l'automne 1989.

Dans le but de faire face à cette manifestation, un deuxième rassemblement a fait converger près de 4 000 personnes, selon les chiffres de la police. Lancée par la mouvance antifasciste autour du slogan «contre la haine», cette initiative a été soutenue par certains partis allemands, comme l'Union chrétienne-démocrate (CDU) d'Angela Merkel, les sociaux-démocrates (SPD), les Verts ou encore die Linke, le parti de de gauche. De plus, le gouvernement, par la voix du ministre des Affaires étrangères Heiko Maas, a apporté son soutien à cette dernière manifestation, qui sera suivie ce 2 septembre par un concert rock contre la xénophobie, sous le slogan «Nous sommes plus nombreux».

En outre, selon la police, des groupes de contre-manifestants au rassemblement de droite ont tenté de l’infiltrer.

Le meurtre d'un Allemand de 35 ans à Chemnitz, le 25 août, lors d'une attaque au couteau pour laquelle sont soupçonnés deux immigrés (un Syrien de 23 ans et un Irakien 22 ans), a provoqué une série de manifestations et de débordements dans cette ville d'Allemagne de l'Est qui compte près de 245 000 habitants.

L'immigration est un sujet politique au cœur des débats en Allemagne, depuis qu'Angela Markel a décidé d'ouvrir les portes de son pays à un million de migrants en 2015. La question migratoire n'est d'ailleurs plus l'apanage de la droite, le leader du groupe de gauche radicale au Parlement allemand, Sahra Wagenknecht, ayant récemment annoncé sa volonté de durcir la politique d'immigration allemande.

RT

 

Rappel: un premier article sur Lesobservateurs.ch du 2.9.2018:

Allemagne. Chemnitz : la marche blanche contre les assassinats au couteau bloquée par les extrémistes de gauche

Allemagne: La ville de Chemnitz au bord de la crise de nerfs avec l’immigration

Les citoyens de Chemnitz sont au bord de la crise de nerfs. Plusieurs jours que les gens descendent dans la rue pour protester contre la politique migratoire de Merkel.

Jeudi soir, le chef du gouvernement régional de Saxe Michael Kretschmer, membre de la CDU d'Angela Merkel, y a convié à un dialogue citoyen. Le rendez-vous était fixé de longue date. Mais les événements récents lui ont donné subitement un tout autre relief.

«Dégage!»

Près de 500 habitants ont fait le déplacement, la salle est comble et il fait chaud. Dehors, environ 800 personnes manifestent à l'appel d'un mouvement de la droite radicale Pro Chemnitz, dont trois représentants siègent au conseil municipal.

De loin on entend à espaces réguliers des «dégage!» criés à l'attention du responsable politique. Et dans la salle, les esprits sont tout aussi échauffés.

La maire sociale-démocrate Barbara Ludwig, également présente, en fait particulièrement les frais. Elle est copieusement conspuée à plusieurs reprises pendant sa prise de parole. «A Chemnitz nous oscillons entre l'amour et la haine», constate-t-elle.

(...)

20Minutes.ch

La Croix

 

Rappels :

Allemagne. Chemnitz : Un gardien de prison diffuse l’avis de recherche du migrant suspecté de meurtre pour alerter la population. « Les autorités mentent et les médias manipulent! »

« Migrants ». Le « Wir schaffen das » de Merkel est responsable des troubles de Chemnitz

Chemnitz (All.) : déploiement d’agents de sécurité à la piscine publique après des agressions sexuelles de jeunes filles par des migrants

 

Allemagne. Chemnitz : Un gardien de prison diffuse l’avis de recherche du migrant suspecté de meurtre pour alerter la population. “Les autorités mentent et les médias manipulent!”

Nous parlions de cette affaire déjà ici et ici.

**********

Quelques centaines de personnes brandissant des drapeaux allemands ont commencé en début de soirée à se regrouper dans le calme, à l'appel d'un groupuscule local d'extrême droite "Pro Chemnitz".

La manifestation se déroule en marge d'un "dialogue citoyen" organisé par les autorités locales avec des habitants de la cette cité de Saxe en ébullition depuis le week-end dernier.

Plusieurs centaines de policiers ont été mobilisés pour l'occasion, dans la crainte d'incidents similaires à ceux qui ont émaillé les précédents rassemblements du même type dimanche, avec des "chasses collectives" à l'étranger dans la rue, puis lundi lorsque des échauffourées entre sympathisants de l'extrême droite et de la gauche radicale avaient fait 20 blessés.

L'élément déclencheur est survenu au cours du week-end, lorsqu'un Allemand de 35 ans a été tué à coups de couteau en marge d'une fête locale. La police a arrêté deux suspects, un Irakien et un Syrien de 22 et 23 ans accusés d'avoir agi après une "altercation verbale".

- Comité Auschwitz -

Le vice-président du Comité international d'Auschwitz, Christoph Heubner, a tiré jeudi la sonnette d'alarme face aux manifestations de Chemnitz.

"Les survivants d'Auschwitz dans le monde entier perçoivent les événements de Chemnitz de manière dramatique, ils sont de plus en plus inquiets face aux tentatives de groupuscules d'extrême droite de prendre le contrôle de la rue", a-t-il dit jeudi dans un communiqué.

Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme a quant à lui parlé d'une évolution "choquante".

Un gardien de prison, employé par le ministère saxon de la Justice, a révélé jeudi soir être à l'origine d'un scandale sur la fuite de documents judiciaires confidentiels concernant l'enquête sur l'homicide au couteau qui a mis dimanche le feu aux poudres.

Dans un communiqué rendu public par son avocat, l'homme, Daniel Zabel, a dit avoir voulu ainsi faire en sorte que "le public sache ce qui s'est passé", accusant les médias de "manipuler" la vérité et les autorités de "mentir" à la population. 

Il a précisé avoir photographié le mandat d'arrêt dans la prison où venait d'être envoyé le principal suspect irakien et l'avoir transmis notamment au groupuscule d'extrême droite "Pro Chemnitz", qui l'a ensuite diffusé sur les réseaux sociaux.

(...)

Le suspect irakien du meurtre de Chemnitz est arrivé en 2015 en Allemagne en provenance du Kurdistan irakien. Il avait déjà été condamné à plusieurs reprises pour violences et détention de drogues. 

Censé être expulsé, il avait fait appel de cette décision et obtenu gain de cause en 2016, affirme le quotidien Bild. Samedi, l'extrême droite de Chemnitz prévoit une "marche funèbre" en l'honneur de la victime des coups de couteau.

 

Romandie.com

Nos remerciements à UnOurs

 

Rappels :

Chemnitz (All.) : déploiement d’agents de sécurité à la piscine publique après des agressions sexuelles de jeunes filles par des migrants

Chemnitz (All.) : un demandeur d’asile syrien de 18 ans viole une jeune fille de 15 ans dans la cave d’un immeuble, la victime a été battue et a dû subir une opération chirurgicale

Chemnitz : la gauche ne supporte pas que l’on manifeste contre le meurtre d’un innocent par des migrants

Chemnitz (All.) : un Allemand poignardé à mort par un Syrien et un Irakien, au moins 2000 manifestants expriment leur colère et réclament le départ de Merkel (Vidéo)

Allemagne : le mandat d’arrêt contre l’un des meurtriers présumés de Chemnitz publié sur le Net. Ce serait un demandeur d’asile toléré.

L’organisation d’extrême droite « Pro Chemnitz » a publié sur Internet le mandat d’arrêt supposé d’un suspect irakien dans l’affaire Daniel H. qui a été tué à Chemnitz.

Dans ce document qui semble authentique […], on peut lire les noms des deux suspects [Alaa Sheikhi et  Yousif Ibrahim Abdullah] ainsi que des détails sur les circonstances du crime. On ignore comment les extrémistes de droite se sont procuré le document.
[…]

 

[Célibataire, déjà condamné à de multiples reprises et sous le coup d’un sursis, l’accusé [Alaa Sheikhi], en sa qualité de demandeur d’asile toléré [ainsi appelle-t-on les demandeurs d’asile dont la demande a été rejetée mais qui sont malgré cela autorisés à rester en Allemagne] ne dispose pas de liens sociaux d’une telle solidité qu’ils pourraient contrecarrer durablement son envie naturelle de prendre la fuite]

Le ministère public de Dresde enquête. « Nous pensons que le document est authentique », a déclaré un porte-parole. […]

Horst Seehofer (CSU), ministre fédéral de l’Intérieur, a vivement condamné la publication du mandat d’arrêt supposé. Cette affaire est « totalement inacceptable ». […]

Pour Martin Dulig (SPD), vice-président du land de Saxe, la publication du mandat d’arrêt est un scandale.

[…]

(Traduction Fdesouche)

Spiegel

Syndrome de Chemnitz – Réveil patriotique en Allemagne

-
Michel Garroté -- Le journaliste Claude Haenggli pose la bonne question (voir lien vers source en bas de page) : Cinq jours après le massacre de Chemnitz, il n’y a toujours pas d’information officielle sur le déroulement des faits. Le crime a-t-il été encore plus brutal qu’admis jusqu’à présent ? Est-ce pour cela que les faits sont tus ? Au lieu d’informer, le complexe politico-médiatique pourchasse les tentatives de faire la lumière dans cette affaire.
-
Le sulfureux Réseau Libre (texte remanié ; voir lien vers source en bas de page) signale qu'à lire l’article de Libétorchon titré "Après les émeutes racistes de Chemnitz, l’Allemagne inquiète", on ne peut s’empêcher d’avoir une forte envie de vomir. Quand des européens de souche se font violer, égorger, chaque jour en Allemagne, Italie, France etc., ce torchon crie au "pas d’amalgame".
-
Et quand les patriotes se réveillent en Italie ou en Allemagne (en Francarabia les patriotes signent des pétitions sur change.org, ça ne gêne personne), Libétorchon commence à paniquer.
-
Car si pour le moment les patriotes ne s’en prennent qu’aux acteurs directs de l’insécurité, les clandestins, demain ils pourraient bien s’en prendre à ceux qui les protègent et leur permettent de commettre leurs crimes : gouvernements, élus et médias. Il pourrait donc bien y avoir des chasses aux pisse-copies après les chasses aux clandestins (pour l'instant, les réactions patriotiques en Allemagne ne sont pas suffisantes pour inverser la vapeur et renverser la Grosse Bertha Merkel).
-
On notera que cette fois les gauchistes aveuglés et fanatiques critiquent la faiblesse de la police « face aux milliers de militants d’extrême droite ». Quand c’est « face aux pauvres réfugiés », dès que la police donne un coup de matraque c’est le scandale.
-
Quand aux soit-disant « saluts nazis » dénoncés par le torchon, on ne peut que se demander s’ils ne sont pas justement des provocations visant à dénaturer la saine réaction des manifestants devant l’invasion en cours (fin du texte remanié ; voir lien vers source en bas de page).
-
Note de Michel Garroté : Oui, il y a, en effet, des provocateurs, envoyés par des entités gouvernementales, et, pas seulement en Allemagne. Et s'il y a quelques néo-nazis ça et là, le BND et le BKA sont forcément au courant et on se demande pourquoi ces quelques néo-nazis ne sont pas arrêtés par la police et livrés à la justice.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 30.8.2018
-
https://lesobservateurs.ch/2018/08/30/agression-au-couteau-suivie-de-meurtre-a-chemnitz-que-cachent-les-autorites/
-
https://reseaulibre.org/site/2018/08/29/reveil-patriotique-en-allemagne-les-bobos-ont-la-petoche/
-

Chemnitz (All.) : un Allemand poignardé à mort par un Syrien et un Irakien, au moins 2000 manifestants expriment leur colère et réclament le départ de Merkel (Vidéo)

Nous en parlions déjà ici.

 

**********

 

Près de 2 000 personnes se sont rassemblées. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans la ville de Chemnitz.

Des milliers de sympathisants d’extrême droite se sont rassemblés lundi 27 août, dans la soirée, à Chemnitz sous haute tension. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans cette ville de l’ex-RDA, dénoncée avec véhémence par Angela Merkel.

 

« Merkel doit partir », scandaient certains manifestants, arborant des drapeaux allemands, du parti d’extrême droite AfD, et des pancartes telles que : « Arrêter le flot de demandeurs d’asile » ou « Défendre l’Europe ! ».

 

 

Mot d’ordre de ce rassemblement organisé par le mouvement Pegida : exiger que le gouvernement allemand garantisse « la sécurité de ses citoyens » après le meurtre d’un Allemand de 35 ans vraisemblablement commis par deux jeunes étrangers, un Syrien et un Irakien.

 

 

Le Monde

Les individus arrêtés sont un Syrien de 23 ans et un Irakien de 22 ans. Ils sont fortement soupçonnés d’avoir tué un Allemand de 35 ans et blessé grièvement deux autres hommes.

Merkur.de

Allemagne – Une violente altercation a eu lieu lors du festival de Chemnitz. Un assaillant a sorti un couteau et blessé grièvement plusieurs personnes, l’une d’elles, un Allemand de 35 ans, a succombé à ses blessures. La fête a été annulée.

Vers 15H, deux groupes d’hommes de différentes nationalités se sont affrontés et la situation s’est vite aggravée. D’après des sources qui n’ont pas encore été confirmées par la police, un groupe hommes est venu en aide à une femme agressée par l’autre groupe d’individus.

 

Lors de la rixe, trois Allemands d’origine russe (33, 35 et 38 ans) ont été grièvement blessés

Deux suspects de 22 et 23 ans ont été arrêtés.

La police n’a pas fourni de détails sur la nationalité des agresseurs.

Bild Stern.de

Via Fdesouche.com

Chemnitz (All.) : déploiement d’agents de sécurité à la piscine publique après des agressions sexuelles de jeunes filles par des migrants

Chemnitz (Allemagne) – Souvent, ce n’est que les regards insistants des jeunes hommes qui agacent les femmes dans les piscines publiques. Mais il s’agit aujourd’hui d’agressions sexuelles qui surviennent.

C’est l’une des raisons pour lesquelles le nombre de visiteurs dans les piscines extérieures, que BILD a signalé hier, est en baisse.

Plusieurs garçons syriens ont harcelé sexuellement dans l’eau deux filles allemandes âgés de 12 ans. Elles ont alerté le sauveteur, qui a appelé la police.

Parce qu’il y a eu un incident similaire il y a un mois, la ville a décidé de renforcer la sécurité dans la piscine publique de Goblenz: à l’avenir, des agents de sécurité patrouilleront les lieux.

(…)

BILD

Via Fdesouche.com

Allemagne. Chemnitz: Graves menaces d’attentats

Les forces spéciales ont évacué une route et ont encerclé une maison. Les agents sont en action après avoir fait état d'une attaque terroriste imminente, au moyen d'explosifs.

Berlin, le 8 octobre, 2016 - Les policiers allemands ont fait évacuer la rue de la ville de Chemnitz, situé en Saxe, à cause d'une «menace grave». Les agents ont placé la ville entière, selon le jargon technique, en «lockdown».

L'alarme contre le terrorisme a été déclenchée après que la police ait reçu les rapports d'une attaque imminente avec des explosifs. C'est ce qui a été rapporté par les policiers cités par les médias.

 

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Source2

Allemagne : Une petite fille de 7 ans violée par un migrant de type « Nord-Africain »

Chemnitz (Saxe). L’agression sexuelle a eu lieu il y a pourtant un mois déjà mais toujours aucune couverture médiatique concernant cet acte horrible.

L’agression a eu lieu dans le « Parc des victimes du fascisme » à côté de l’église de St Jean. Les enfants s’amusaient entre eux dans le terrain de jeux tandis que les mamans discutaient entre elles assises sur un banc public.

18 h 30 : Un homme dans un moment d’inattention de sa mère a réussi à attirer la petite fille de 7 ans derrière un buisson tout en lui bâillonnant la bouche avec sa main et l’a violé.

La porte-parole de la police Heidi Hennig a déclaré : « Le suspect s’est ensuite enfuit en courant en direction de la gare »

D’après les premiers renseignements, l’individu aurait environ 30 ans, une cicatrice sur la joue gauche et serait de type Nord-Africain.

https://youtu.be/zMu3o7_Y9Jw

Morgen Post via Fdesouche.com