Agressions sexuelles à Brest : « Au risque d’être taxé de raciste, nous sommes confrontés à une culture qui maltraite les femmes »

Il y a une semaine, une femme était contrainte à un acte sexuel dans des toilettes publiques. Un fait divers choquant qui interroge toute la société, femmes, élus, forces de l’ordre.

« Mais où va-t-on ? C’est l’escalade à Brest ! » Jeudi, l’ambiance est loin d’être sereine sur la place de la Liberté. « J’y pensais depuis quelque temps mais là, c’est décidé, je vais m’inscrire au cours d’autodéfense, reprend Valérie, 36 ans. Si personne n’a pu empêcher ce viol en pleine ville, alors c’est aux femmes d’assurer elles-mêmes leur sécurité. Quitte à répondre par la violence à la violence ! »

La semaine dernière, une femme était contrainte à une fellation dans les toilettes publiques situées à proximité de la place. Une heure plus tard, l’agresseur présumé récidivait au domicile d’une seconde victime. Un fait divers qui relance le débat de la sécurité à Brest. D’autant que les toilettes avaient déjà été fermées en mars dernier, après une série d’agressions à l’intérieur.

Un climat d’insécurité au quotidien

L’élue d’opposition Bernadette Malgorn (Rassemblement pour Brest) s’indigne. Elle pointe un « climat d’insécurité insupportable ». Une opinion que partage Hélène, 48 ans, mère de deux jeunes filles : « Il est absolument hors de question que je laisse mes filles rentrer seules, à pied, le soir.

Déjà, le jour, elles sont assaillies de propositions indécentes, elles ne cessent de se faire harceler par des hommes. Moi-même j’ai été suivie, plusieurs fois, par des gars qui espéraient, insistants, que je les invite chez moi. »

Depuis son entrée sur la scène politique brestoise, Bernadette Malgorn appelle de ses vœux la création d’une police municipale. « Et la vidéoprotection ? ajoute-t-elle. Pourquoi a-t-on équipé le tracé du tramway et du téléphérique si ce n’est pas efficace ? »

Le débat est depuis longtemps tranché par la majorité. François Cuillandre, le maire, ne cesse de rappeler son inefficacité. « Notre position est très claire, développe Yann Guével, adjoint au maire en charge de la tranquillité publique. Il y a beaucoup de caméras en centre-ville. Il y a les caméras privées et celles du tram. Quand la police nous demande les bandes, on répond favorablement. » Alors, pourquoi ne pas en déployer davantage ? « On en a sur le tram… Est-ce que ce serait utile d’en mettre ailleurs ? Où on s’arrête ? Et combien ça coûte ? »

Plus de caméras ou plus de policiers ?

L’installation de seize cabines de toilettes publiques, décidée en décembre 2008, a coûté 960'000 €. Aujourd’hui, il n’est pas question de les fermer. « Si on devait y arriver, ça poserait des soucis, parce qu’on en a besoin en centre-ville », estime Yann Guével.

« On ne peut pas fermer tous les endroits où il y a une infraction », estime aussi le commissaire Bruno Gallot, nouveau patron de la police brestoise. Éric Kerbrat, du syndicat SGP-FO Police, est du même avis : « Ça devient grave si on en arrive à fermer des toilettes publiques. D’autant que ça aurait pu arriver ailleurs. » Il plaide plutôt pour une augmentation des effectifs policiers.

Il en a fait la demande auprès du cabinet du ministre de l’Intérieur, à Châteaulin, le mois dernier, la justifiant par « l’augmentation des règlements de comptes entre bandes interethniques, dans divers quartiers de Brest ».

Le fait divers de la semaine dernière questionne aussi sur la place des femmes dans la ville. « Au risque d’être taxée de raciste, ce qui serait faux, nous sommes, aujourd’hui, confrontés quotidiennement à une culture qui maltraite les femmes, à une religion qui les rabaisse, qui les prive de leurs droits et de leur liberté, lance Dominique, 62 ans. Peut-être faut-il prendre le mal à la racine en posant les bases d’une éducation en profondeur, d’un enseignement alliant savoir-vivre, respect, histoire et humanisme. Une éducation qui serait dispensée à ceux qui en manquent cruellement, des jeunes des quartiers défavorisés aux nouveaux arrivants en France. »

Yann Guével assure que la Mairie n’a pas attendu la semaine dernière pour prendre des dispositions. Les caméras sont déjà présentes dans le tramway « pour sécuriser les passagers et particulièrement les femmes ». Par ailleurs, l’éclairage public est en cours d’amélioration et l’arrêt à la demande existe désormais dans les bus.

Source et article complet

Via Suavelos.eu

La gare de Linz est devenue la gare de la peur

Photo : La population autrichienne se plaint de déjections et d'ivresse généralisée. Les femmes de la région ne veulent plus entrer dans la gare 

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Cette gare est devenue le point de rencontre des "réfugiés". Pendant la journée, ils se saoulent et le soir, ils agressent sexuellement les femmes qui passe dans la gare de Linz.

"Ce sont des prédateurs, cette gare est devenue le terminus de la peur", a déclaré une femme autrichienne épouvantée par les hordes de migrants qui ont transformé en "terre franche" ce qui est en réalité la gare de Linz en Autriche. Un endroit devenu le terrain des réfugiés. Cette femme, interviewée par le Daily Mail, en explique les raisons : "Wifi gratuit, fast food, boissons bon marché et salles d'attente chauffées".

Le "terminus de la peur" est devenu le point de rencontre des migrants refoulés d'Allemagne, qui se trouve à quelques kilomètres de Linz. Comme l'explique le quotidien britannique, cet endroit est devenu pour les femmes une "no-go zone", un lieu à éviter.

En fait, leur mentalité est comparable à celle observée à Cologne : les réfugiés sont saoûls et ils molestent les femmes. Ce sont des prédateurs sexuels, bourrés d'alcool qui cherchent à voler des baisers, qui insultent, qui lancent des commentaires obscènes et molestent chaque passante. La femme interviewée par le Daily Mail est tellement terrifiée qu'elle n'a pas voulu que son nom soit cité.

"Comment je me sens ? C'est terrible. Ce sont des prédateurs, ils sont saoûls et sont partout. Venir ici la nuit ? Je préférerais plutôt prendre un billet pour l'enfer".  En plus, cette femme doit, jours après jour, justifier ses propos : "Je suis une bonne personne, je ne suis pas une nazie. Mais ils n'ont pas le droit de se comporter ainsi dans ma ville. Ou n'importe où. Comment osent-ils transformer ma gare en terre de peur".

Une situation honteuse qui reste en l'état car la police et presque toutes les autorités se sont refusé à identifier les migrants qui posent problèmes. Que ce soit en Allemagne ou en Autriche,  ces migrant sont considérés comme venant de pays non dangereux. Et effectivement, la plupart viennent d'Algérie, de Tunisie et du Maroc...

Un père, fatigué de voir sa fille terrorisée, a adressé une lettre au gouverneur local, Josef Puehringer : "Ma fille qui a 16 ans est terrorisée quand elle doit traverser la gare de Linz, surtout le soir".

 

Source en italien (trad. D. Borer)

 

Agressions de Cologne : 73 inculpés, dont « une large majorité » de migrants, malgré les mensonges de certaines presses

La police allemande a déjà inculpé 73 suspects soupçonnés de vols ou d’agressions à l’encontre de femmes se trouvant aux alentours de la gare de Cologne durant la nuit du 31 décembre 2015.

Le procureur de la ville, Ulrich Bremmer, a indiqué lundi 15 février à la Deutsche Presse Agentur qu’il s’agissait dans « une large majorité » de demandeurs d’asile ou d’individus entrés illégalement en Allemagne.

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Sans entrer dans les détails, M. Bremmer a ajouté que, parmi les deux groupes les plus représentés, figuraient 30 ressortissants du Maroc et 27 de l’Algérie, rapporte l’agence Associated Press. Trois individus allemands ont également fait l’objet de ces inculpations, précise-t-on, tout comme des citoyens en provenance d’Irak, de Syrie, de Tunisie de Libye, d’Iran et du Monténégro.

Le Monde

Agressions sexuelles par des réfugiés: Les polices suisses ne prévoient aucun dispositif spécial pour Carnaval

Outre-Sarine, on craint les débordements des migrants. Les polices relativisent et ne prennent pas de mesures spéciales.

«La thématique des rapports hommes-femmes ainsi que les règles d’un comportement jugé approprié en Suisse sont abordées lors des cours d’allemand»

Les agressions de dizaines de femmes lors de la soirée de Nouvel-An à Cologne, et dans une moindre ampleur à Zurich, suscitent en Suisse alémanique la crainte de nouveaux débordements lors des carnavals. On pointe du doigt les migrants arrivés ces derniers mois. A Lucerne, le Département de la santé et des affaires sociales a envoyé la semaine dernière des flyers aux requérants d’asile pour leur expliquer les règles de bonne conduite, notamment en matière sexuelle. Le message est explicite: on y voit par exemple le dessin d’une main tripotant un fessier féminin, barré d’une grosse croix rouge.

Source

Les femmes socialistes suisses: « La violence sexuelle est ancrée dans nos mœurs. Ce qui s’est passé à Cologne est une récupération raciste »

Christian Hofer: Je vous laisse goûter toute l'immonde inversion de ces femmes qui veulent non seulement dédouaner les réfugiés-violeurs mais de surcroît accuser les hommes européens. On constate ici tout le mensonge de ce genre de personnes ne maîtrisant rien du dogme musulman, ce dernier classifie explicitement la femme comme étant inférieure, le voile étant utilisé afin de la protéger des agressions. On notera encore que ce genre de crimes massifs était totalement inconnu, que cela soit au niveau de l'Allemagne ou dans les autres pays d'Europe. Le jeu consiste ici à mélanger les viols autochtones minoritaires tout en méprisant les chiffres sur les origines des violeurs, le facteur culturel, les messages mêmes ciblant les femmes blanches, la redondance des faits dans plusieurs pays (ici, et ici ou encore ici et ici), les déclarations de certains imams au sujet des femmes occidentales, l'expression même de Taharrush gamea qui est spécifiquement arabe etc. etc. Ont-elles au moins analysé le sort réservé aux femmes dans ces pays avant d'oser une pareille manipulation ? Bien évidemment, elles en profitent pour traiter de racistes ceux qui ont mis en garde alors que ces "femmes" ont laissé entrer des sauvages dans nos pays via leur propagande pro réfugiés:

Elles portent une immense responsabilité dans les agressions sexuelles des Européennes ce qui ne les prive pas pour... donner des leçons de morale et accuser les hommes de notre pays: Toutes les limites ont été ici dépassées dans l'ignominie!

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Les Femmes socialistes suisses rappellent que l'Europe n'a pas découvert le harcèlement sexuel à Cologne. Elles appellent à l'action.

Les Femmes socialistes suisses déplorent la récupération raciste des agressions survenues à Cologne et dans d'autres villes européennes. «L'Europe ne s'est pas réveillée le 1er janvier avec un nouveau problème: le sexisme et la violence sexuelle dans les espaces publics sont malheureusement eux aussi ancrés depuis longtemps dans nos mœurs», lit-on dans un communiqué diffusé jeudi.

Pour Cesla Amarelle, vice-présidente des Femmes socialistes suisses, ce sont les agressions et la violence qui doivent être dénoncées.

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Suède: La police a caché des agressions sexuelles faites par des demandeurs d’asile

D'après un journal, une centaine d'hommes auraient été arrêtés après une quinzaine d'agressions sexuelles lors d'un festival de musique, à Stockholm.

Selon un journal, la police suédoise a reconnu lundi avoir gardé pour elle les informations sur une quinzaine d'agressions sexuelles à un festival de musique qui avaient conduit à l'arrestation de près de 100 hommes, principalement des étrangers. Ces révélations ont été faites après le tollé soulevé par la lenteur avec laquelle la police de Cologne (ouest de l'Allemagne) a rendu publique l'ampleur des violences commises dans la nuit du nouvel an. Dans le cas suédois, les agressions ont été commises pendant les éditions 2014 et 2015 de We Are Sthlm, festival qui se déroule à Stockholm en août et se présente comme le plus grand d'Europe pour les adolescents.

Des demandeurs d'asile mineurs

« Nous aurions certainement dû révéler cette information, ça ne fait pas de doute. Pourquoi ça ne s'est pas fait ? Nous ne le savons tout simplement pas. Nous savons que près de cent hommes ont été à l'époque placés en garde à vue pour avoir agressé une quinzaine de jeunes filles », a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police, Varg Gyllander. Après chacune de ces deux éditions du festival, la police avait affirmé qu'il y avait eu « relativement peu de délits et de personnes interpellées comparé au nombre des participants », a rappelé Varg Gyllander.

Aucune condamnation n'a été prononcée depuis, selon la police. Le quotidienDagens Nyheter, qui a le premier informé du scandale, a affirmé que les agresseurs présumés étaient en majorité des demandeurs d'asile mineurs non accompagnés. « Je ressens une très forte colère en voyant que des jeunes femmes ne peuvent pas aller à un festival de musique sans se faire importuner, harceler sexuellement et attaquer », a réagi le Premier ministre Stefan Löfven devant la presse à Stockholm. Le fait que la police n'ait pas informé le grand public est, selon lui, « un problème de démocratie pour notre pays ».

Source

Plusieurs plaintes pour agressions sexuelles et vols à Zurich

Les plaintes ne sont parvenues à la police que ces 24 dernières heures.

Après l'annonce dans les médias d'agressions sexuelles en masse en Allemagne la nuit du Nouvel An, quelques femmes ont aussi porté plainte auprès de la police municipale de Zurich.

Au nombre de cinq ou six, les plaignantes ont déclaré avoir été volées et en même temps victimes d'attouchements par-dessus leurs habits, indique la police municipale de Zurich.

Elles ont dit avoir été agressées dans la foule par plusieurs hommes à la peau foncée, selon les termes du communiqué diffusé jeudi par les forces de l'ordre.

La police a reçu une partie de ces plaintes dans les 24 dernières heures. Elle s'attend à en recevoir davantage.

RTS

L’image du jour: Les journalistes allemands ne savent pas comment aborder le sujet des agressions sexuelles des migrants sur les Allemandes

Réaction des journalistes qui fait suite à ce scandale dont nous avions parlé ici.

Il est vrai que la presse romande préfère généralement appliquer sa solution miracle: ne pas en parler du tout ou cacher l'origine des délinquants.

Capture d'écran:

allemagne

Source Fdsouche.com