Christian Hofer: et il sera à la charge des autochtones pour son traitement médical: Ne vous étonnez pas que les caisses maladie explosent lorsqu'on connaît le tarif des psychiatres. C'est en tout cas un plein succès pour l'Algérie qui peut ainsi se débarrasser de ses crapules sur notre dos et au détriment de notre sécurité.
Quant à savoir ce qu'un "requérant d'asile algérien" fait chez nous, il serait temps de faire un procès à notre administration qui nous impose des délinquants dont le pays n'est même pas en guerre.
Quant à la décision de la "justice", on constate que cet organe ne veut guère nous protéger même si les magistrats savent pertinemment ce qu'ils ont en face d'eux. Ces gens sont triplement coupables, en reconnaissant l'agressivité de l'individu mais en ne l'expulsant pas, en sachant qu'il récidive alors qu'il pourra déambuler dans nos rues après la prison. Et enfin, en ne respectant pas la volonté populaire. Il y a clairement mise en danger de la vie d'autrui par ceux qui prétendent nous protéger.
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Un requérant d'asile algérien a été condamné mardi pour avoir violemment agressé deux noctambules dans la rue.
(...) Sous l'influence de l'alcool et de la marijuana, Khaled a soudain sorti un marteau d'un sac et s'est rué sur Roger, qui est parvenu à esquiver le coup et a repoussé d'un coup de pied son agresseur, le projetant au sol. Les deux amis de l'Algérien semblent avoir tenté de le calmer, mais celui-ci, hors de lui, s'est alors saisi d'un couteau et s'est jeté sur Roger, lui perforant le thorax. Blessé, le souffle coupé, il s'est effondré. Alors que son ami Luis, incrédule, s'est agenouillé au-dessus de lui pour lui prêter secours, il a reçu un coup de lame dans le dos. Alertée, une patrouille de police arrivée sur les lieux a pris en chasse Khaled qui a fui, en prenant soin de jeter dans sa course une boulette de cocaïne et deux joints.
Incarcéré, il a menti pendant quatre mois aux enquêteurs. Il a déjà trois autres condamnations depuis 2013.
Le Ministère public a donc demandé une peine privative de liberté de trois ans ferme contre Khaled, avec déduction des jours de détention provisoire et d'exécution de peine anticipée déjà effectués, ainsi qu'un traitement médical obligatoire et un suivi obligatoire, y compris une fois sorti de prison.
Après délibération, la Cour n'a pas retenu l'intention d'homicide dans l'acte répréhensible de Khaled, mais elle a souligné sa culpabilité lourde, son orgueil déplacé et ses pulsions agressives: «Son attitude est détestable et inquiétante».
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