Cenator: Il y a quelques jours, lors d'un débat sur l'abaissement de l'âge du droit de votre réclamé par la gauche, nous croyions faire une boutade en disant, bientôt ils vont racoler dans les crèches. Désormais, la réalité a rattrapé la fiction!
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Un «projet de citoyenneté» a été lancé par trois crèches de la capitale vaudoise. Une trentaine d’enfants vont cohabiter dans un village créé à Sauvebelin pour apprendre les rudiments de la vie en société.
Publié: 23.11.2020, 15h28
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La démocratie doit s’apprendre dès le plus jeune âge. C’est la conviction de trois crèches lausannoises qui ont lancé «un projet de citoyenneté», avec lequel une trentaine d’enfants de 2,5 ans à 3 ans doivent apprendre à cohabiter dans leur propre société civile.
Pour y parvenir, un village Educalis – du nom du groupe qui chapeaute les crèches – a été créé à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne. Chaque enfant y joue un rôle (chef de village, policier, infirmier, architecte, etc.).
Des votations sont également organisées, comme lundi lorsque les enfants ont dû choisir le drapeau de leur village. «Nous voulons leur transmettre les bons réflexes de la démocratie», explique Olivier Delamadeleine, le directeur du groupe Educalis, interrogé par Keystone-ATS.
Avec la vie au village et l’organisation de votations, les bambins apprennent à évoluer en société. «Ils sont confrontés à la vraie vie. Ils doivent composer avec le monde autour d’eux et gérer des émotions comme la frustration, par exemple quand ils perdent une votation», poursuit Olivier Delamadeleine.
Source: https://www.24heures.ch/voter-a-3-ans-le-pari-de-trois-creches-lausannoises-513854596155
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Rappel:
4e partie, LA PLUS INQUIÉTANTE : « l’Eco-crèche »
Cris d’enfants, la parole de certains n’est pas encore compréhensible.
Viktorie Škvarková, éducatrice : Le temps s’arrête, les enfants qui crient de joie.
On a fait du feu pour les enfants. Nous sommes dans la nature, à Plan-les-Ouates, dans le canton de Genève.
Viktorie Škvarková explique que son éco-crèche est ouverte depuis à peine 3 semaines.
Viktorie Škvarková est une Tchèque qui parle très mal le français, peine à s’exprimer, fait des fautes importantes de syntaxe, de prononciation, de sens des mots, etc. Nous avons cité ses paroles aussi textuellement que possible. Par contre, sa page Facebook et la page web de sa crèche sont rédigées avec soin… et dans un français impeccable.
RTS : Vous laissez les enfants cueillir des fleurs ?
Viktorie Škvarková : Des fleurs, oui, des mûres aussi, ou d’autres fruits, mais ils doivent demander s’ils veulent manger quelque chose. Ils connaissent déjà. On s’arrête là presque chaque jour (devant ce qu’ils peuvent cueillir).
Viktorie Škvarková : L’ortie, c’est la reine des plantes comestibles. Il y a du fer, il y a du protéine, on peut manger que ça (sic).
RTS : Vous, vous avez grandi en forêt ?
Viktorie Škvarková : En tout cas dans la nature, oui. Ça m’a marqué pour toute la vie, bien évidemment. Dès qu’on grandit dans la nature, c’est pour toute la vie. Ça passe par le cœur. Dès qu’on il y a un endroit ou quelqu’un qu’on aime, on a aussi tendance à le protéger. Donc c’est aussi ça que j’aimerais offrir aux enfants. Qui, naturellement, dès qu’ils se retrouvent dans la forêt, ils vont avoir l’envie de la protéger plus tard.
RTS : On protège ce qu’on a aimé quand on était petit.
Viktorie Škvarková : Exactement !
Viktorie Škvarková : Il y a des pierres, il y a des pives, il y a des bâtons, il y a des troncs d’arbres. C’est ça les jouets. Plein de jouets qui sont naturels. Donc, il y a pas des jouets qui étaient fabriqués par l’adulte.
RTS : En plastique… ?
Viktorie Škvarková : En plastique, non, ça, c’est déjà hors question. Chez nous, on est un éco-crèche, donc on aimerait vraiment éviter le plastique. On cherche toujours des objets de seconde main pour ne pas alimenter la croissance. Parce que tous les objets que le monde a besoin c’était déjà fabriqué (sic). Il y en a même beaucoup trop. Donc on donne seconde vie aux objets qu’on a.
Parfois, les enfants, ils prennent un objet, ils le tiennent toute la journée, et ils viennent le lendemain, et veut retrouver le même. Mais on les apprend auss’ils éphémères qu’eux (sic) : voilà, ton objet, il n’est plus là. Ils doivent apprendre à vivre avec ça.
RTS : A ne pas accumuler des objets.
Viktorie Škvarková : Oui, exactement. Maintenant, il y a des glands qui tombent mais bientôt, on ne les verra plus, ils vont être plus dans la terre, il y aura la neige. L’enfant, il voit, il observe. On aimerait aussi dans le centre de la crèche arriver à permaculture humaine (!), supprimer hiérarchie, « moi je suis mieux que toi ». Donc c’est à ça on aimerait arriver.
RTS : Pour vous, l’esprit de compétition, ça mène à la croissance, et la croissance, ça mène à la destruction de l’environnement ?
Viktorie Škvarková : Exactement, merci, vous avez tout résumé (dit-elle en riant, tant elle est soulagée que le journaliste arrive à sortir une phrase en français correct qui contienne le jargon écologiste qu’elle aimerait maîtriser).
La seule possibilité que l’être humain survit sur cette planète, c’est la décroissance. On prépare les enfants pour un monde, on sait pas comment il va être, le monde. On sait pas si c’est électricité qui va manquer. Ou s’il y aura une grande guerre civile, tout va être inondé, il n’y aura pas d’eau… Je sais pas ce serait pénurie de quoi. Où est-ce que ça va être justement la bataille. Donc ça j’aimerais aussi peti’ à peti’ apprendre aux enfants de se dire, si un jour on est face à ça, qu’il n’y aura plus de magasins qui seront fournis avec tout ce qu’on a maintenant, comment faire ?
RTS : Ils apprennent ici à vivre avec moins, avec peu ?
Viktorie Škvarková : Oui. Avec très peu : regardez autour de nous.
RTS : Vous avez l’impression que demain, on va devoir vivre avec beaucoup moins ?
Viktorie Škvarková : J’espère qu’on va vivre avec beaucoup moins. D’objets, mais beaucoup plus d’amour.
RTS : Et à l’heure de la sieste, comment ça se passe ?
Viktorie Škvarková : Pour l’instant on ferme à midi. Mais dans le futur, on va avoir une roulotte. Qui va accueillir les enfants pour la sieste, une roulotte en bois, sans électricité, sans l’eau, même l’hiver, chauffée à bois, donc l’infrastructure très limitée, exprès. Parce qu’on n’a pas besoin plus. On aimerait vivre juste avec les besoins basiques qu’on a.
RTS : Ça, c’est aussi un exemple que l’enfant observe, et assimile.
Viktorie Škvarková : Oui, évidemment. Il va un jour se souvenir : mais, en fait, quand j’étais petit à la crèche, on n’avait même pas d’électricité dans la roulotte, et puis ça jouait très bien.
RTS : Ils ont le droit de se salir, ici.
Viktorie Škvarková : Alors, déjà le mot salir c’est très relatif. Est-ce que la terre est sale ? La terre où on fait pousser les carottes. La terre de laquelle poussent les arbres. C’est sale ? C’est un message tordu. En tout cas ici il a le droit de mettre les mains dans la terre, de s’asseoir dans une flaque d’eau. Parce que c’est sa maison en quelque sorte. Il vient dans la forêt, c’est ça sa maison.
RTS : Vous n’avez pas peur que ça disparaisse, cette forêt, ces jardins ? Parce que ça risque d’être dur pour des enfants qui ont grandi dans la nature, qui ont aimé ces arbres, de les voir disparaître.
Viktorie Škvarková : C’est le béton qui doit disparaître ! Et on va replanter les arbres et laisser la nature pousser. On ne peut pas faire autrement !
Cenator : Ainsi donc, Viktorie Škvarková sévit auprès des enfants en bas âge en leur infusant son idéologie débile et néfaste. En apparence, ces enfants vont juste respirer du bon air en jouant dans la nature, mais de près, il en va tout autrement.
Prendre les enfants dès le berceau s’inscrit parfaitement dans le projet de destruction de l’Occident par les idéologies délirantes de la gauche.
A un âge où il est très important que l’enfant apprenne au moins une langue correctement, voici une « éducatrice » qui s’exprime en "petit-nègre", brouillant l’apprentissage le plus important en bas âge.
L’exemple de l’interdiction de s’attacher à un objet est également totalement malsain. Le sentiment d’attachement, la notion de propriété qui s’acquièrent également à cet âge sont totalement perturbés par les folies de cette femme. Comme tous les écolos, elle revendique la pénurie pour accomplir la prophétie de la pénurie.
Et que dire des parents qui marchent dans ce foutage de gueule ? Que deviennent des enfants qui peuvent s’asseoir dans une flaque d’eau et qui ne seront pas changés par la suite ? Comment l’éducatrice va-t-elle langer les enfants dans sa roulotte sans eau ni électricité ?
D’ailleurs, tout son cinéma ne tient pas la route. Il est peu concevable qu’elle ait fréquenté une crèche en Tchéquie, sans eau, sans électricité, dans une roulotte !