Vaud – Des crèches lausannoises enseignent “la démocratie” aux petits de 2-3 ans.

Cenator: Il y a quelques jours, lors d'un débat sur l'abaissement de l'âge du droit de votre réclamé par la gauche, nous croyions faire une boutade en disant, bientôt ils vont racoler dans les crèches. Désormais, la réalité a rattrapé la fiction!

*****

Un «projet de citoyenneté» a été lancé par trois crèches de la capitale vaudoise. Une trentaine d’enfants vont cohabiter dans un village créé à Sauvebelin pour apprendre les rudiments de la vie en société.

Publié: 23.11.2020, 15h28

[...]

La démocratie doit s’apprendre dès le plus jeune âge. C’est la conviction de trois crèches lausannoises qui ont lancé «un projet de citoyenneté», avec lequel une trentaine d’enfants de 2,5 ans à 3 ans doivent apprendre à cohabiter dans leur propre société civile.

Pour y parvenir, un village Educalis – du nom du groupe qui chapeaute les crèches – a été créé à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne. Chaque enfant y joue un rôle (chef de village, policier, infirmier, architecte, etc.).

Des votations sont également organisées, comme lundi lorsque les enfants ont dû choisir le drapeau de leur village. «Nous voulons leur transmettre les bons réflexes de la démocratie», explique Olivier Delamadeleine, le directeur du groupe Educalis, interrogé par Keystone-ATS.

Avec la vie au village et l’organisation de votations, les bambins apprennent à évoluer en société. «Ils sont confrontés à la vraie vie. Ils doivent composer avec le monde autour d’eux et gérer des émotions comme la frustration, par exemple quand ils perdent une votation», poursuit Olivier Delamadeleine.

Source: https://www.24heures.ch/voter-a-3-ans-le-pari-de-trois-creches-lausannoises-513854596155

*******

Rappel:

4e partie, LA PLUS INQUIÉTANTE : « l’Eco-crèche »

Cris d’enfants, la parole de certains n’est pas encore compréhensible.

Viktorie Škvarková, éducatrice : Le temps s’arrête, les enfants qui crient de joie.

On a fait du feu pour les enfants. Nous sommes dans la nature, à Plan-les-Ouates, dans le canton de Genève.

Viktorie Škvarková explique que son éco-crèche est ouverte depuis à peine 3 semaines.

Viktorie Škvarková est une Tchèque qui parle très mal le français, peine à s’exprimer, fait des fautes importantes de syntaxe, de prononciation, de sens des mots, etc. Nous avons cité ses paroles aussi textuellement que possible. Par contre, sa page Facebook et la page web de sa crèche sont rédigées avec soin… et dans un français impeccable.

RTS : Vous laissez les enfants cueillir des fleurs ?

Viktorie Škvarková : Des fleurs, oui, des mûres aussi, ou d’autres fruits, mais ils doivent demander s’ils veulent manger quelque chose. Ils connaissent déjà. On s’arrête là presque chaque jour (devant ce qu’ils peuvent cueillir).

Viktorie Škvarková : L’ortie, c’est la reine des plantes comestibles. Il y a du fer, il y a du protéine, on peut manger que ça (sic).

RTS : Vous, vous avez grandi en forêt ?

Viktorie Škvarková : En tout cas dans la nature, oui. Ça m’a marqué pour toute la vie, bien évidemment. Dès qu’on grandit dans la nature, c’est pour toute la vie. Ça passe par le cœur. Dès qu’on il y a un endroit ou quelqu’un qu’on aime, on a aussi tendance à le protéger. Donc c’est aussi ça que j’aimerais offrir aux enfants. Qui, naturellement, dès qu’ils se retrouvent dans la forêt, ils vont avoir l’envie de la protéger plus tard.

RTS : On protège ce qu’on a aimé quand on était petit.

Viktorie Škvarková : Exactement !

Viktorie Škvarková : Il y a des pierres, il y a des pives, il y a des bâtons, il y a des troncs d’arbres. C’est ça les jouets. Plein de jouets qui sont naturels. Donc, il y a pas des jouets qui étaient fabriqués par l’adulte.

RTS : En plastique… ?

Viktorie Škvarková : En plastique, non, ça, c’est déjà hors question. Chez nous, on est un éco-crèche, donc on aimerait vraiment éviter le plastique. On cherche toujours des objets de seconde main pour ne pas alimenter la croissance. Parce que tous les objets que le monde a besoin c’était déjà fabriqué (sic). Il y en a même beaucoup trop. Donc on donne seconde vie aux objets qu’on a.

Parfois, les enfants, ils prennent un objet, ils le tiennent toute la journée, et ils viennent le lendemain, et veut retrouver le même. Mais on les apprend auss’ils éphémères qu’eux (sic) : voilà, ton objet, il n’est plus là. Ils doivent apprendre à vivre avec ça.

RTS : A ne pas accumuler des objets.

Viktorie Škvarková : Oui, exactement. Maintenant, il y a des glands qui tombent mais bientôt, on ne les verra plus, ils vont être plus dans la terre, il y aura la neige. L’enfant, il voit, il observe. On aimerait aussi dans le centre de la crèche arriver à permaculture humaine (!), supprimer hiérarchie, « moi je suis mieux que toi ». Donc c’est à ça on aimerait arriver.

RTS : Pour vous, l’esprit de compétition, ça mène à la croissance, et la croissance, ça mène à la destruction de l’environnement ?

Viktorie Škvarková : Exactement, merci, vous avez tout résumé (dit-elle en riant, tant elle est soulagée que le journaliste arrive à sortir une phrase en français correct qui contienne le jargon écologiste qu’elle aimerait maîtriser).
La seule possibilité que l’être humain survit sur cette planète, c’est la décroissance. On prépare les enfants pour un monde, on sait pas comment il va être, le monde. On sait pas si c’est électricité qui va manquer. Ou s’il y aura une grande guerre civile, tout va être inondé, il n’y aura pas d’eau… Je sais pas ce serait pénurie de quoi. Où est-ce que ça va être justement la bataille. Donc ça j’aimerais aussi peti’ à peti’ apprendre aux enfants de se dire, si un jour on est face à ça, qu’il n’y aura plus de magasins qui seront fournis avec tout ce qu’on a maintenant, comment faire ?

RTS : Ils apprennent ici à vivre avec moins, avec peu ?

Viktorie Škvarková : Oui. Avec très peu : regardez autour de nous.

RTS : Vous avez l’impression que demain, on va devoir vivre avec beaucoup moins ?

Viktorie Škvarková : J’espère qu’on va vivre avec beaucoup moins. D’objets, mais beaucoup plus d’amour.

RTS : Et à l’heure de la sieste, comment ça se passe ?

Viktorie Škvarková : Pour l’instant on ferme à midi. Mais dans le futur, on va avoir une roulotte. Qui va accueillir les enfants pour la sieste, une roulotte en bois, sans électricité, sans l’eau, même l’hiver, chauffée à bois, donc l’infrastructure très limitée, exprès. Parce qu’on n’a pas besoin plus. On aimerait vivre juste avec les besoins basiques qu’on a.

RTS : Ça, c’est aussi un exemple que l’enfant observe, et assimile.

Viktorie Škvarková : Oui, évidemment. Il va un jour se souvenir : mais, en fait, quand j’étais petit à la crèche, on n’avait même pas d’électricité dans la roulotte, et puis ça jouait très bien.

RTS : Ils ont le droit de se salir, ici.

Viktorie Škvarková : Alors, déjà le mot salir c’est très relatif. Est-ce que la terre est sale ? La terre où on fait pousser les carottes. La terre de laquelle poussent les arbres. C’est sale ? C’est un message tordu. En tout cas ici il a le droit de mettre les mains dans la terre, de s’asseoir dans une flaque d’eau. Parce que c’est sa maison en quelque sorte. Il vient dans la forêt, c’est ça sa maison.

RTS : Vous n’avez pas peur que ça disparaisse, cette forêt, ces jardins ? Parce que ça risque d’être dur pour des enfants qui ont grandi dans la nature, qui ont aimé ces arbres, de les voir disparaître.

Viktorie Škvarková : C’est le béton qui doit disparaître ! Et on va replanter les arbres et laisser la nature pousser. On ne peut pas faire autrement !

Cenator : Ainsi donc, Viktorie Škvarková sévit auprès des enfants en bas âge en leur infusant son idéologie débile et néfaste. En apparence, ces enfants vont juste respirer du bon air en jouant dans la nature, mais de près, il en va tout autrement.

Prendre les enfants dès le berceau s’inscrit parfaitement dans le projet de destruction de l’Occident par les idéologies délirantes de la gauche.

A un âge où il est très important que l’enfant apprenne au moins une langue correctement, voici une « éducatrice » qui s’exprime en "petit-nègre", brouillant l’apprentissage le plus important en bas âge.

L’exemple de l’interdiction de s’attacher à un objet est également totalement malsain. Le sentiment d’attachement, la notion de propriété qui s’acquièrent également à cet âge sont totalement perturbés par les folies de cette femme. Comme tous les écolos, elle revendique la pénurie pour accomplir la prophétie de la pénurie.

Et que dire des parents qui marchent dans ce foutage de gueule ? Que deviennent des enfants qui peuvent s’asseoir dans une flaque d’eau et qui ne seront pas changés par la suite ? Comment l’éducatrice va-t-elle langer les enfants dans sa roulotte sans eau ni électricité ?

D’ailleurs, tout son cinéma ne tient pas la route. Il est peu concevable qu’elle ait fréquenté une crèche en Tchéquie, sans eau, sans électricité, dans une roulotte !

Deux raisons pour lesquelles, contre toute raison, des Suisses voteront contre l’initiative NO BILLAG

Par Dominique Schwander

Pourquoi tant d’élus qui ont fait des choses inacceptables sont-ils réélus? Pourquoi des gens votent contre leurs intérêts, contre les interêts du peuple Souverain, contre les interêts de leur Etat-nation? Pourquoi, malgré de nombreux et solides arguments, tous les Suisses ne choisissent-ils pas de voter pour l’initiative NO BILLAG? Tant de gens sont-ils détraqués? Ces gens ne sont pas fous, ils sont manipulés. Le peuple Souverain suisse est de plus en plus manipulé.

En Suisse, l’opinion publique n'est plus l'opinion publique; elle n'est plus le résultat de la réflexion des citoyens. Il y a deux raison principales à cela.

La première raison est que, en général, nous ne sommes plus éduqués à penser, à avoir notre propre pensée, a avoir une pensée critique (soit le processus intellectuel conscient qui consiste, de manière active et efficace, à conceptualiser, appliquer, analyser, synthétiser et/ou évaluer les données), comme cela était exigé dans le passé, tant à l’école, au collège, à l’université, qu’en famille. Nous ne raisonnons plus. Nous ne pensons plus. À l'heure actuelle, en période électorale et lors de votations sur une initiative ou un référendum, les gens ne pensent pas, ne font pas de raisonnement, ne font pas d’analyse, n’évaluent plus les données, ne tiennent même plus compte de la démesure des coûts pour les contribuables, par exemple bien plus de 1 milliard de CHF de redevance collectée par BILLAG. Ils ne font pas une étude rationnelle du problème soumis en votation pour conclure en affirmant: c'est mieux, c'est pire. Les gens ne mènent plus de réflexions, cela pour des raisons viscérales, pour des raisons émotionnelles, parce qu’ils veulent se valoriser et se sentir bons, saints et généreux (avec l’argent des autres bien évidemment), parce qu’ils préfèrent les caractéristiques ou la voix de ceux qui s’adressent à eux. Pire, à une vérité qui dérange, bien trop de Suisses sourds, aveugles ou manipulés préfèrent un mensonge qui rassure, etc.

La deuxième raison est que, aujourd’hui, le pouvoir existant, soit le pouvoir économique et la gauche dite libérale dominent les mass médias et l’instruction publique et inculquent aux gens les idées de leurs mass médias, des mass médias qu’ils ont achetés ou pris en otage. Aujourd’hui, les gens jugent tout par ce qu'ils voient à la télévision, entendent à la radio et ce qu'ils lisent dans les journaux, surtout par ce qu'ils voient à la télévision. Ils pensent et votent selon ce qu’ils voient et ce qui est dit à la télévision. Pire, ne pensant à rien et n’analysant plus rien par eux-mêmes, ils ne réalisent plus ce que la télévision et les autres mass médias leur cachent ou leur mentent sciemment. A cause de la domination par la gauche des mass médias, de l’instruction publique, même des églises et du Pape Francisco, les gens ne sont plus formés à être de vrais citoyens avec une conscience, des citoyens se pliant à leurs devoirs, prêts à servir leur Etat-nation, heureux d’apporter à leur patrie. En ne nous éduquant plus, en nous conditionnant tout au long de notre vie, en nous désinformant, en nous manipulant, en nous mentant, en contrôlant la liberté d’expression, en nous prescrivant ce que nous devons penser, le pouvoir manipule et crée ce qu'il appelle l'opinion publique qui en réalité n’est qu’une manipulatrice opinion médiatique du moment, une opinion médiatique créée par l'éducation et par les mass médias qui sont contrôlés par le pouvoir économique mondialiste et la gauche multiculturaliste et supra-nationaliste. On ne trouve vraiment plus aucune information réfléchie et impartiale dans la majorité des mass médias soumis à la gauche et au pouvoir économique. Peut-être que dans certains pays comme la Suisse et l’Autriche mais certainement pas les USA et la France, étant plus formés les citoyens se laissent moins manipuler, trouvent les informations dans des journaux moins partiaux, moins partisans, dans des sites WEB de réinformation, sont plus conscients de leur passé, de la réalité et de leur avenir, analysent et raisonnent mieux. C’est encore à voir.

Croyez-vous qu’un mec comme notre Président Berset, la femme Présidente qui l’a précédé ou la plus critiquée, mais réélue, Sommaruga veulent et ont les capacités de changer les choses, en bien évidemment? C’est aux jeunes et aux entrepreneurs de se battre, de se grouper bien davantage, de manifester, de redresser la situation, de faire changer les choses, de révolutionner l’établissement politique, à la Donald Trump, parce que ce sont eux qui vont payer cher pour toutes les erreurs de nos élus, de nous les électeurs et de nos fonctionnaires. Ce faisant, les jeunes ne doivent pas oublier qu’il est difficile que des manifestation changent les choses. Créer de nouvelles structures et des institutions démocratiques est combien plus ardu et exige beaucoup plus de temps que d’organiser des rassemblements. Rappelez-vous les manifestations du printemps arabe ou de mai 68. Que s'est-il passé ensuite? Le printemps arabe est devenu un automne islamique voir même « un éveil islamique aux conséquences mondiales » comme l’a affirmé Khomeini le réformiste de l’islam. Après mai 68, le néolibéralisme supra-nationaliste de gauche, de vilains oligarques comme Soros, le pouvoir économique et l'économie de marché mondialisée ont pris le pouvoir. Il n’en reste pas moins que, avec clairvoyance et lucidité, nous devons continuer à nous battre contre l’établissement comprenant pouvoir économique mondialiste, lobbies, oligarques de tout poil et la gauche manipulatrice. Que nos batailles soient combattues, gagnées ou perdues, elles nous rassemblent et ratifient toujours les citoyens qui réfléchissent encore. Ne fléchissons pas dans notre combat et ne nous laissons pas être manipulés et désinformés.

A mon avis, il y a sept tactiques principales et habitudes à prendre pour éviter que de puissants intérêts essaient de manipuler le citoyen honnête et travailleur et de manipuler l’opinion publique en devenir d’être  l’opinion médiatique.

  1. Il est très important de toujours garder du recul sur tout ce qui est publié, par écrit ou à travers le télévisuel, et ne pas réagir dans l’émotion, car c’est justement l’effet qui est recherché par les manipulateurs.
  2. Quand les mass médias, en particulier la télévision, semblent essayer de modeler ou de censurer les faits et les opinions plutôt que simplement et honnêtement de les signaler et de les reporter, afin que chacun réfléchisse, raisonne, analyse et décide, méfiez-vous.
  3. Quand plusieurs médias rapportent les mêmes histoires, diffusent les mêmes récits, s'appuient et se fondent sur les mêmes sources, voir en utilisant les mêmes phrases, raisonnent et  décident pour le lecteur et l’auditeur. Quand tout le monde est sur les mêmes longueurs d’onde, quand de nombreux journalistes, mieux dit ces prostituées intellectuelles, fonctionnent au même diapason, c’est  le plus souvent le résultat d'une campagne organisée.
  4. Quand vous avez l’impression, ou que d’autres vous en avertissent, que, au nom de la littéracie médiatique, les efforts suivants sont faits: nous vous dirons à qui faire confiance et à qui ne pas faire confiance, ne les croyez pas
  5. Quand des législateurs et des enseignants au niveau national et local veulent que leur version de l'enseignement de la culture médiatique ou éducation aux médias, aux enfants, aux adolescents, aux parents, aux enseignants et aux élus, soit enseignée dans les écoles publiques et dans les universités. Tous ces gens manipulateurs et désinformateurs essaient de tromper le public en leur faisant croire qu'ils sont des autorités neutres, en cherchant par tous les moyens de leur faire vivre un ensemble d’expériences valorisantes et émotionnelles, alors qu’en réalité ils ont leur propre agenda caché.
  6. Toujours avoir à l’esprit que, lorsque les intérêts de l’établissement politique ou d’une minorité travaillent pour façonner votre opinion, leur véritable objectif  est simplement d'ajouter une autre couche entre vous et la vérité.
  7. Se garder de jouer selon les règles de politiciens corrompus, de médias manipulateurs  et désinformateurs, de leurs pairs et idiots utiles, tous soumis  à un lavage de cerveau.

Ainsi seulement, vous pourrez vous faire vos propres idées et les manipulateurs en seront pour leurs frais.

Dominique Schwander

Elections en Italie : Le Temps nous ressort Mussolini et Adolf Hitler

"L’ombre du fascisme plane sur la campagne électorale italienne" voilà le titre édifiant d'un article du Temps du 18 février. En plus, pour bien mettre de l'huile sur le feu, les journalistes font planer sur Slavini, Meloni et Berlusconi l'ombre de Mussolini !

Je connais bien les positions de Salvini et de Giorgia Meloni. J'ai assisté à la manifestation "Stop invasione" sur la place du Dôme à Milan et à une autre manifestation à Rome où Giorgia Meloni s'est exprimée. Ce qu'ils préconisent n'est que du SIMPLE BON SENS :

- vouloir défendre son pays de l'immigration/invasion que subit l'Italie,

- vouloir stopper cette immigration et renvoyer chez eux les clandestins alors que 5 millions de gens vivent en-dessous du seuil de pauvreté et qu'il y a 3 millions de chômeurs (sans compter tous ceux qui vivent à la limite de la pauvreté)

- vouloir que les Italiens passent avant les clandestins,

- vouloir que les jeunes puissent travailler chez eux avec un salaire décent sans devoir s'exiler

- vouloir que des retraités ayant cotisé et travaillé toute leur vie puissent vivre décemment sans devoir fouiller dans les poubelles des marchés pour survivre alors que des clandestins (à 95% des mâles), jeunes et en bonne santé sont souvent logés et nourris dans des hôtels luxueux,

- vouloir favoriser l'agriculture et la pêche italienne au lieu d'importer des produits que l'Italie peut fournir elle-même

- vouloir que la légitime défense soit reconnue, alors que le pays s'enfonce de plus en plus dans la violence, que les Italiens sont obligés d'accepter des coutumes barbares venues d'un autre âge,

-----------> pour les journalistes du Temps c'est être extrémiste ! Non, c'est du simple bon sens !

L'Italie est au bord de l'implosion. Ces élections sont sa dernière chance. Contrairement au Temps, j'espère de tout cœur que la liste Salvini-Meloni-Berlusconi sorte gagnante. J'ignore s'ils pourront sortir le pays du marasme dans lequel il se trouve, le travail qui les attend est titanesque. Ce dont je suis sûre par contre, c'est que c'est probablement la dernière chance pour l'Italie de s'en sortir.

Danielle Borer

 

 

 

 

La stratégie énergétique 2050, un cheval de Troie UE 2.0

La stratégie énergétique 2050 est pleine d’incertitudes mais une chose est certaine : une fois le nucléaire tué par la politique et les barrages tués par l’importation massive d’électricité allemande subventionnée, la faible productivité actuelle de nos énergies renouvelables suisses va – à court terme – augmenter drastiquement la dépendance de la Suisse au réseau européen au point de ne plus pouvoir se passer d’un accès au marché UE de l’électricité.

Tel est l’enjeu de politique extérieure de la votation du 21 mai 2017. Car la Commission européenne a été très claire en 2010 : pas de nouveaux accords sectoriels en dehors d’un traité d’intégration institutionnelle comprenant reprise automatique des évolutions du droit européen et soumission de la Suisse à la jurisprudence de la Cour européenne de justice. En clair, pas d’intégration, pas d’électricité.
Le Conseil fédéral le sait bien, lui qui marche sur des œufs en ce moment sur le sujet de l’accord institutionnel en cours de négociation en adoptant la ligne de communication d’Alan Greenspan lorsqu’il était président de la Réserve fédérale US : «Si vous m’avez compris, c’est que je me suis probablement mal exprimé».

A suivre les plus récentes communications du Conseil fédéral, en effet, la «redéfinition de notre accès au marché unique» que représenterait un accord institutionnel aurait simultanément «toutes les chances d’être adoptée cet automne» et « aucune chance devant le peuple». Feignant d’oublier que la Suisse ne veut pas du marché unique européen, ni redéfini ni autrement, elle l’a dit en 1992, elle l’a répété en 2014, plébiscitant à chaque occasion un rapport bilatéral et non multilatéral avec nos voisins.

Accord avec l'UE qui cache son nom
Gageons que jusqu’au soir du vote du 21 mai 2017 sur la stratégie énergétique, le Conseil fédéral continuera à bercer chacun dans le confort de ses propres convictions en déclarant tout et son contraire sur le sujet de politique extérieure le plus important du moment. Puis, il tombera le masque en annonçant en cas de oui que les feux sont au vert pour un accès au marché européen de l’électricité sans lequel il faudrait bientôt se doucher à froid. Et que l’accord d’intégration européenne nécessaire à cet accès est fort heureusement, selon lui, dans la boite. Et le peuple avec.

S’il fallait choisir une raison majeure de voter non le 21 mai, ce pourrait être celle-là.

.

Yves Nidegger / source

Journal 24H: «Les votations sont une victoire pour la politique migratoire d’Angela Merkel»

Gero Neugebauer, politologue à l’Université libre de Berlin (FU), analyse les résultats des trois élections régionales de dimanche dans le Bade-Wurtemberg, le Rhénanie-Palatinat et la Saxe-Anhalt. Cette interview a été réalisée ce lundi dans le cadre d’une rencontre avec l’Association de la presse étrangère (VAP).

Les candidats de la CDU ont-ils été punis pour avoir critiqué Merkel?

Oui. Au lieu de convaincre les électeurs de ne pas voter extrême droite en expliquant la position de la chancelière, ils les ont finalement poussés à le faire en brouillant les pistes. Merkel peut dire: «S’ils ne s’étaient pas opposés à moi, ils auraient gagné.» Je pense que les prochains candidats conservateurs éviteront ce genre de stratégie suicidaire.

Ceci est une victoire pour le politologue servilement relayé par le 24H.

Ceci est une victoire pour le politologue servilement relayé par le 24H.

La défaite du camp conservateur est donc une victoire de Merkel?

C’est une victoire de la politique migratoire de Merkel. Les résultats de l’extrême droite la laissent complètement indifférente.

Une candidature pour un quatrième mandat en 2017 est-elle remise en cause?

Je ne vois personne pour l’instant qui s’aventurerait à lancer ce débat.

Source

Le peuple votera sur cinq sujets dont l’asile en juin

Le Conseil fédéral a présenté le menu des prochaines votations mercredi. La révision de la loi sur l'asile sera en jeu.

Les Suisses devront se prononcer sur cinq objets lors des votations fédérales du 5 juin. Au programme: la loi sur l'asile, le revenu de base inconditionnel, le service public, le financement des transports et la procréation assistée. Le Conseil fédéral a présenté le menu mercredi.

Le peuple devra dire s'il veut de la révision de la loi sur l'asile, portée par la ministre de la justice Simonetta Sommaruga. L'UDC s'y attaque par référendum. Au Parlement, la réforme a été soutenue par tous les autres partis.

Elle vise à accélérer les procédures grâce à la centralisation de tous les acteurs dans des grands centres fédéraux. Le but est de trancher 60% des demandes en 140 jours au maximum.

Pour l'UDC, cette réforme ne fera qu'accentuer les abus au droit d'asile et l'attractivité de la Suisse. Pas question en outre d'accepter que tous les requérants d'asile bénéficient d'un avocat gratuit tout au long de la procédure pour assurer l'équité du nouveau traitement accéléré des demandes.

Service public

L'initiative «En faveur du service public», lancée par des journaux de défense des consommateurs, veut contraindre les entreprises liées à la Confédération à faire primer un service abordable et de qualité pour le public sur la réalisation de bénéfices. En clair, la Confédération ne pourrait plus poursuivre des buts lucratifs ou fiscaux pour les prestations de base du service public.

En ligne de mire essentiellement, les CFF, La Poste et Swisscom. L'initiative se dresse aussi contre les salaires élevés des dirigeants d'entreprises publiques.

Elle est rejetée par le Conseil fédéral et les Chambres. Elle affaiblirait aussi bien le service universel que l'efficacité et la compétitivité des entreprises concernées.

Revenu de base

Autre initiative populaire au menu, celle sur le revenu de base inconditionnel. Pour les initiants issus de milieux intellectuels, il n'y a plus assez de travail pour tous et l'Etat social n'arrive plus à remplir sa tâche. Une allocation universelle constituerait une nouvelle solution.

Berne devrait verser, sans travail en retour, un montant mensuel qui pourrait être fixé à 2500 francs par adulte et 625 francs par mineur. Les sommes et les modalités de financement devraient toutefois être réglés dans une loi. Tant le Conseil fédéral que les Chambres rejettent ce texte, jugé dangereux et idéaliste.

«Vache à lait»

L'initiative populaire «pour un financement équitable des transports», dite «vache à lait», veut reverser l'entier du produit de l'impôt sur les huiles minérales à l'infrastructure routière, soit environ 3 milliards de francs. Seule la taxe prélevée sur les carburants d'aviation ne reviendrait pas aux automobilistes.

La moitié de l'enveloppe en question va actuellement dans la caisse générale de la Confédération. Une attribution que contestent les partisans du texte, majoritairement issus du lobby routier et des rangs de l'UDC et du PLR: l'argent de la route doit aller à la route.

Les Chambres n'ont rien voulu savoir. La perspective d'un trou d'1,5 milliard de francs dans les caisses de la Confédération a notamment été massivement critiquée.

Procréation assistée

Enfin, les Suisses devront voter à nouveau sur la question de la procréation médicalement assistée. Le diagnostic préimplantatoire, que 61,9% des Suisses ont accepté d'inscrire dans la constitution en juin 2015, permet aux couples porteurs d'une maladie génétique grave de ne plus la transmettre à leur enfant.

Malgré les garanties établies dans la loi d'application du Parlement afin de proscrire ou limiter fortement la possibilité de sélection d'embryons, le Parti évangélique suisse a lancé le référendum contre ce texte. Des organisations actives dans le domaine du handicap ont également récolté des signatures. Elles craignent que la loi ne permette une application presque sans réserve du diagnostic préimplantatoire.

Source

Débat sur l’asile: les partis du centre ont montré leur vrai visage

Par Adrian Amstutz

Le débat du 9 octobre au Conseil national sur l'asile a surtout révélé une chose: les citoyennes et les citoyens qui demandent une solution aux problèmes de l'asile et qui exigent une procédure d'asile équitable, mais rigoureuse n'ont pas d'autre choix que de voter UDC le 18 octobre prochain. Malgré leurs déclarations grandiloquentes avec lesquelles ils ont meublé l'actualité de la pause estivale, le PLR et le PDC ont voté systématiquement avec la gauche contre toutes les propositions de l'UDC visant à durcir le droit de l'asile.

Concrètement, le PLR et le PDC ont voté comme suit main dans la main avec la gauche:

  • non à la proposition d'obliger les requérants d'asile de déposer leurs documents de voyage, leurs papiers d'identité et leurs empreintes digitales
  • non au droit de participation des communes et des cantons à la planification et à l'autorisation de nouveaux centres d'accueil pour requérants
  • non à la proposition de gérer les centres d'accueil comme des installations fermées avec un contrôle des sorties
  • non à la proposition d'installer les requérants d'asile récalcitrants dans des centres fermés
  • non à la proposition de mettre fin au droit d'asile lorsque la personne concernée n'a plus besoin de protection
  • non à la proposition d'enlever le statut de réfugié à une personne qui fait des vacances dans son pays d'origine (alors que le PDC l'avait explicitement demandé cet été)
  • non à la proposition de limiter dans le temps l'aide d'urgence aux personnes en séjour illégal pour les pousser à quitter le pays
  • non à la proposition de couper l'aide d'urgence aux personnes qui ne répondent pas à leurs obligations de participer à la procédure
  • non à la proposition de décharger plus longuement les cantons et les communes de l'aide sociale accordée aux personnes de l'asile
  • oui à des avocats gratuits sans condition pour tous les requérants d'asile aux frais des contribuables (alors que le PLR avait refusé cela lors de la procédure de consultation)
  • oui à l'expropriation de particuliers pour permettre l'exploitation de nouveaux centres d'asile, ce qui équivaut à une atteinte massive aux droits fondamentaux.

Franchissant sans entrave le parlement, le projet Sommaruga invalide tous les principes démocratiques, fédéralistes et politiques suisses dans le domaine de l'asile. Et pourquoi? Pour que le monde entier apprenne que l'on peut entrer sans aucun problème illégalement en Suisse pour ensuite y bénéficier gratuitement de tous les avantages, du logement à l'avocat, en passant par le médecin et le dentiste.

 

Source

Ces votes du peuple qui dérangent tant nos élus !

Par Claude -Alain Voiblet

Refuser la construction de minarets, de renvoyer les criminels étrangers ou de limiter l’immigration, sont autant de décisions politiques, soutenues par le peuple et les cantons, qui imposeraient à nos gouvernants de changer leur politique ! Pour autant le Conseil fédéral et les chambres fédérales ne veulent pas de ces décisions incontestables du souverain !

Au lieu de renvoyer 18000 criminels étrangers par année, nos autorités renvoient péniblement 500 personnes ; au lieu de limiter l’immigration de masse, elles mettent en place les conditions pour un nouveau vote du peuple permettant de changer cette décision ! Ce n’est pas ce que nous attendons de représentants du peuple mais nous exigeons d’eux qu’ils respectent la démocratie directe et les décisions du souverain.

Comment nos élus peuvent-ils d’un revers de main balayer ces décisions ? En invoquant la Cour européenne des droits de l’homme, le droit étranger et les juges étrangers ! Cela n’est plus acceptable pour notre pays qui, rappelons-le, est un Etat indépendant et souverain. La sauvegarde de l'indépendance du pays est une mission de notre Etat, un pays est vraiment indépendant lorsqu’il fixe lui-même ses propres règles.

La Suisse va signer avec l’UE un accord qui vise à reprendre de manière dynamique - donc automatique - le droit UE par notre pays. Cet accord nous contraindra à reprendre le droit étranger et à accepter des juges étrangers en restreignant l'autodétermination et la démocratie directe.

Il diminuera notre indépendance en donnant la priorité au droit international sur notre Constitution permettant ainsi de ne plus appliquer les décisions du peuple !

Pour contraindre nos gouvernants à s’exécuter devant les décisions du souverain, l’UDC a lancé une initiative «Le droit suisse au lieu de juges étrangers» car il est temps que les décisions du peuple soient respectées par ses représentants !

Au bénéfice d’un forfait fiscal, ils témoignent de leur inquiétude

En cas de oui le 30 novembre, la moitié des personnes rencontrées quitterait la Suisse.

Elle avoue franchement «dormir très mal en ce moment». Comme d’autres étrangers au bénéfice d’un forfait fiscal que nous avons rencontrés, Nicole Bru s’inquiète de l’issue de la votation du 30 novembre: elle craint «une mauvaise surprise». Elle souligne: «Fiscalement, j’ai joué complètement le jeu.»

Suite