POLLUTION DES EAUX SOUTERRAINES. LES AGRICULTEURS INJUSTEMENT ACCUSÉS

LES VERTS ET LES SOCIALISTES ENTIÈREMENT RESPONSABLES.

Le dernier rapport NAQUA sur la qualité des eaux souterraines que l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) a publié cet été laisse extrêmement songeur. Les agriculteurs y sont accusés par l’OFEV d’être les principaux responsables de la pollution de nos eaux souterraines.

Cette accusation a été reprise de long en large par les grands médias et par une partie du monde politique, telle la conseillère nationale (PS) Ada Marra qui ne s’est pas privée d’en rajouter, allant jusqu’à accuser le monde agricole d’actes de négligence et de mettre en danger nos ressources aquifères. En cette période pré-électorale dénoncer le bouc émissaire en se présentant comme de vertueux défenseurs de l’environnement tombait donc comme du pain béni.

Oui, sauf que quiconque aurait lu ce rapport de l’OFEV en aurait éprouvé un certain malaise.

Le chapitre sur les nitrates y est en particulier plus que problématique pour ne pas dire plus. Et l’accusation unilatérale portée contre les agriculteurs à tout le moins inadmissible. L’OFEV aurait pu faire preuve d’un minimum de retenue, comme il sied à tout auteur scientifique, il s’est passé ce principe par-dessous la jambe.

De quoi s’agit-il ?

Le problème se présente ainsi. Alors que l’OFEV accuse dans son rapport les agriculteurs de polluer nos eaux souterraines, une autre publication, celle de l’Office fédéral des statistiques (OFS), dit exactement le contraire, et se félicite des excellents résultats du monde agricole en matière de nitrates.

Ces rapports fédéraux nous montrent deux services de l’Etat qui disent exactement le contraire l’un de l’autre. Et alors on de se demande comment c’est possible.

Dans sa publication sur les nitrates l’OFS indique que l’agriculture a considérablement diminué son utilisation de l’azote (dont la dégradation et le surplus se transforme dans l’eau en nitrates). La production de résidus d’azote en Suisse est passée de 150'000 tonnes dans les années nonantes à 100'000 tonnes aujourd’hui, soit une réduction de plus d’un quart.

L’OFS rajoute :

Mais ce n’est pas l’interprétation que fait l’Office fédéral de l’environnement (OFEV).

Et l’on se demande alors d’où vient cette contradiction.

Dans son rapport AQUA 2019 l’OFEV justifie ses accusations contre le monde agricole. Il montre deux cartes, la première qui situe les puits de mesures de qualité de l’eau souterraine en Suisse selon des régions divisées en zones urbanisées, zones agricoles, de forêt, et ainsi de suite. Puis une seconde carte qui montre les puits qui ont enregistré les dépassements de taux de nitrates.

Les stations de mesure en rouge ci-dessous sont celles qui se trouvent dans les zones de grandes productions agricoles.

L’OFEV compare ensuite les stations de mesure en zone de grandes productions agricoles (en rouge ci-dessus) avec les stations où l’on a trouvé les taux de nitrates les plus élevés, stations en rouge et en orange ci-dessous.

Et l’OFEV conclut de ces deux cartes que les zones de grandes productions agricoles sont celles où l’on trouve le plus de dépassements de taux de nitrates. Et que par conséquent c’est l’agriculture la principale responsable de la pollution de nos eaux souterraines.

Oui, sauf que si l’on y regarde de plus près il existe au moins deux grandes exceptions.

La région grisonne qui en gros va de Coire à Bad Ragaz et suit la vallée du Rhin et qui est considérée comme une zone de grandes production agricole (carrés rouges à gauche ci-dessous) et qui est pourtant une région qui montre des dépassements en nitrates minimes (à droite ronds verts et oranges).

À l’inverse, ci-dessous, la région de Bâle-Ville qui n’est pas considérée comme une zone de grandes production agricole (les carrés gris indiquent de la zone urbaine) et qui montre des taux très élevés de nitrates (ronds rouges à droite).

Il existe donc au moins deux cas très significatifs ou une corrélation entre zone de grande production agricole et pollution très élevée aux nitrates n’est pas valable sans autres considérations.

Ce constat aurait dû amener à un minimum de prudence avant d’accuser sans réserve toute la corporation de l’agriculture. Cela aurait été la moindre des choses.

La preuve par le compte de l’azote.

L’injustice de cette accusation est confirmée par les données sur la production de l’azote.

Pour bien comprendre il faut ici se rappeler son cycle. En simplifié l’azote c’est les engrais que l’on introduit dans la production agricole, azote qui se transforme en protéines végétales dont l’homme se nourrit ou en protéines animales (le bétail consomme des protéines végétales et les transforme en protéines animales que nous consommons). L’azote qui est perdu lors de la production (ex. par ruissèlement dans les champs) se retrouve dans les eaux sous forme de nitrates, de même l’azote que l’homme consomme sous forme de protéines est rejeté sous forme de nitrates dans les eaux usées que les stations d’épuration en principe dénitrifient.

Le compte de l’azote peut être ainsi assez précisément évalué, on peut quantifier l’azote qui entre dans notre système de production-consommation de denrées alimentaires et l’azote qui en ressort, autrement dit la quantité de nitrates que nous rejetons dans notre environnement.

Et ici le constat est sans ambiguïté, il montre l’injustice qu’il y avait à désigner les agriculteurs suisses comme les seuls et uniques responsables et à les prendre en boucs émissaires de la dégradation de nos eaux souterraines.

- Depuis 1990 la surface des terres agricoles en Suisse (sans les surfaces naturelles) a baissé de près de 12 %.

- Depuis 1990 la quantité de bétail a diminué de 15 %.

- Depuis 1990 la quantité d’azote utilisé par l’agriculture Suisse a diminué de 16 %.

Alors que notre population est passée de 6.7 à 8.4 millions d’habitants et a augmenté de 26 % !

Désigner les agriculteurs suisses d’aujourd’hui comme les principaux et seuls responsables de la pression sur nos eaux souterraines était donc particulièrement injustifié.

Faut-il rappeler à l’OFEV que la pollution de l'eau par les nitrates est une pollution avec une grande inertie en raison de la lenteur et de la complexité du cycle de l'azote dans les sols. Et que si comme il le dit, les taux de nitrates ne baissent plus, on peut tout de même poser la question de savoir si ce n’est pas en raison de cette inertie naturelle et d’une pollution héritée du passé et non pas en raison des comportements des agriculteurs d’aujourd’hui.

À tout le moins, il restait encore beaucoup de questions à poser avant de s’en prendre uniquement aux agriculteurs de notre pays et à les désigner comme les principaux coupables.

Une approche politiquement biaisée.

Lorsqu’on lit le rapport de l’OFEV on constate que s’il cherche à incriminer les agriculteurs d’autres acteurs semblent en comparaison curieusement épargnés. La carte qui suit en donne un exemple.

Cette carte documente la pollution des eaux souterraines à raison cette fois de ce que l’on nomme les phytosanitaires, en gros les herbicide et les pesticides, qui sont reconnus cancérogènes pour l’homme contrairement aux nitrates dont le problème reste (jusqu’à preuve du contraire) uniquement celui de l’eutrophisation de nos eaux.

Comment en effet ne pas voir que les principales stations qui ont mesuré des dépassements extrêmement importants de substances phytosanitaires se trouvent toutes à proximité de voies importantes de communication ou de nœuds de transports. Bien évidemment pour pouvoir attribuer la pollution au transport il aurait fallu ici étudier les versants d’écoulements à proximité des puits concernés. Mais le fait est là. Comment retrouve-t-on précisément ces excès près des voies autoroutières et ferroviaires d’importance alors que le secteur routier a l’interdiction d’utiliser tout herbicides et le ferroviaire partiellement ? Une question qui aurait dû être un peu plus posée.

Tous les points rouges sont proches d’une autoroute à grand trafic, parfois cumulé à des voies ferroviaires. La région de Brig comporte une gare de triage importante et la voie qui conduit au tunnel du Simplon. Ici on semble avoir évité de s’en prendre à l’accroissement des transports.

De telles questions se posaient également pour les COV, en gros les résidus d’hydrocarbures, par ailleurs, eux-aussi, autrement plus problématiques pour la santé de l’homme que les nitrates, hydrocarbures qui ont été essentiellement retrouvés dans les eaux souterraines proches des concentrations urbaines et industrielles.

Le même constat pouvait être fait à propos ce que le rapport désigne sous la notion doucement euphémisante « d’indicateurs d’eaux usées » mais qui concerne tous les produits chimiques organiques de synthèse, tels les tensio-actifs, les résidus de médicaments, les édulcorants artificiels, les produits anticorrosifs, les agents complexant, les composés chimiques de l’industrie spécialisée, et on en passe, et que l’on retrouve dans les eaux souterraines lorsque les stations d’épurations ne peuvent les traiter ou que les systèmes de canalisations sont surchargés ou défaillants. Des indicateurs que la Suisse ne relève à l’échelle nationale que depuis 2013.

En 2014, dernière année de mesures compilées, ces substances (toxiques pour l’homme) ont été retrouvées dans 200 des 530 stations de mesures d’eaux souterraines ! Elles ont été retrouvées dans les eaux souterraines à proximité des rivières et des fleuves, indiquant par-là qu’il y a donc bien une relation avec les insuffisances des stations d’épurations [1].

Dans 200 des 530 stations de mesures !

Et l’on voudrait nous faire croire que le premier problème des eaux souterraines de notre pays serait celui posé par les agriculteurs… C’est juste une plaisanterie !

Un principe de prudence corrompu par l’intérêt politique des Verts et des Socialistes.

Le principal problème posé par la pollution de nos eaux souterraines se trouve dans la limite de nos capacités de contrôles. S’il existe 100'000 composés chimiques recensés sur le marché et potentiellement toxiques pour l’homme l’OFEV ne peut en mesurer que 60, il en reste donc 99'940 non mesurés. Et un contrôle de toutes ces substances nous est à jamais matériellement impossible, le coût de mesure de toutes ces substances serait impossible à financer à teneur des moyens dont nous disposons. De même que les stations d’épurations seraient incapables de toutes les traiter.

Pour illustrer ce problème on renvoie au cas récent de l’agence européenne de surveillance qui vient de déclarer potentiellement cancérogène un composé que précisément nous ne mesurions pas, le chlorothalonil, et qui vient d’être interdit [2].

Un enfant de dix ans comprendrait alors ici la nature et l’urgence des constats qui sont faits.

Les nitrates sont en voies d’être maitrisés du mieux que nous pouvons. Et le principal problème auquel nous avons à faire face aujourd’hui est alors celui de la croissance de ces autres composés chimiques dus à nos activités quotidiennes et que nous rejetons en permanence dans nos eaux. Croissance de composés chimiques dans nos eaux dont la progression est liée à notre croissance démographique.

Le simple bon sens et ce constat, un minimum de prudence, auraient dû démontrer ici que si nous voulons préserver la qualité de nos eaux souterraines avec les moyens dont nous disposons, il était impératif de limiter dès aujourd’hui la pression humaine sur notre territoire.

Mais ça ce n’est pas la politique que les Verts et les Socialistes veulent imposer à notre pays. Leur programme politique est diamétralement contraire aux mesures de limitation démographique qui seraient nécessaires pour protéger notre sol et nos eaux souterraines. Ils défendent une ouverture migratoire totale et une Suisse à plus de 10 millions d’habitants !

Leur dogmatisme, leur manque de réalisme, est une véritable catastrophe pour notre pays.

Concernant le rapport de l’OFEV (dont on doute qu’il n’y ait aucun souverainiste dans leur service) on aura presque tout dit lorsqu’on dira qu’il confirme ce qui est dit ici puisqu’il conclut lui-même que «notre principale ressource en eau potable subit une pression croissante » (p.128) que « l’extension des zones urbanisées et des voies de communication réduit la protection assurée par le sol, qui sert de filtre lors de la recharge des eaux souterraines » (p.131) mais qu’à aucun moment il ne suggère ou ne laisse entendre que cela puisse avoir un quelconque lien avec notre croissance démographique démentielle.

Vous l’aurez compris, une fois de plus. Chut, circulez il n’y a rien à voir. Les dogmes règnent en maîtres sur le territoire helvète.

Vous pensiez que gouverner c’était prévoir. Alors il faudra vous faire à l’idée que ce n’est actuellement plus le cas en Suisse.

Michel Piccand

Addendum.

On remercie les Verts et les Socialistes pour le chlorothalonil.

L’affaire du chlorothalonil montre toute l’inconséquence véritablement criminelle des Verts et des Socialistes à vouloir à la foi l’abolition des frontières, l’explosion démographique de notre pays à 10 voire 12 millions d’habitants, et puis à venir ensuite jouer les offusqués lorsque l’agriculture recourt à des procédés de production intensive.

Faut-il leur rappeler que l’aubergine bio à 8.20 le kg ne sera jamais accessible à une grande partie de notre population, à moins de subventionner la consommation de produits bio directement au citoyen. Bonne idée après tout, en prélevant par exemple les subventions destinées à la culture, au théâtre et au cinéma, à Erasmus, à la RTS, etc. pour les transférer directement au citoyen-consommateur et pour permettre à tous les Suisses de se nourrir sainement. Ce qui devrait quand même être une priorité.

On remercie donc ici les Ada Marra, les Lisa Mazzone, les Adèle Thorens, les Robert Cramer, les Carlo Sommaruga, et on en passe, tous ces socialistes et ces Verts et leurs acolytes du PDC et du PLR, qui ont violé toutes nos institutions et notre démocratie pour nous obliger à vivre dans une société en explosion démographique constante avec les conséquences de surexploitation sur les ressources de notre pays qui en découlent.

Et à ceux qui voudraient nous faire croire que l’on pourrait très bien nourrir en bio toute notre population on rappellera que depuis l’explosion migratoire, l’importation de denrées alimentaires de l’extérieur n’a cessé de croitre dans notre pays au point que nous devons désormais importer plus de 40% de notre alimentation de pays où rien ne garantit de manière crédible que les aliments produits à meilleurs coûts le sont par des agriculteurs plus respectueux des normes environnementales que les agriculteurs de Suisse… (qu’ils aillent donc lire ce qui est marqué sur les bidons à Algésiras… et trouvent des cartes qui recensent les stations d’épurations et leurs fonctionnement dans ces régions…)

C’est littéralement à s’arracher les cheveux de bêtise !!

La seule manière de limiter la pression sur nos eaux est de limiter notre croissance démographique, il n’y en a pas d’autre.

Plus il y aura de monde sur notre territoire et plus l’accumulation de résidus toxiques dans nos eaux souterraines sera élevée.

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[1] Le rapport de l’OFEV tire cette même conséquence sur les stations d’épurations : « Plus la part d’eaux usées (traitées) dans un cours d’eau est élevée et plus l’infiltration est importante, plus ces indicateurs d’eaux usées atteignent des concentrations élevées dans les eaux souterraines. » Rapport OFEV p.106.

[2] Le chlorothalonil est un fongicide utilisé sur le blé, l’orge, la tomate et la pomme de terre, il est utilisé dans l’agriculture qui fournit les denrées alimentaires de base, précisément dans des productions où le rendement a dû être augmenté pour répondre à l’augmentation démographique de notre pays.

Les métabolites du chlorothalonil sont des cancérogènes de catégorie 1B avec un potentiel génotoxique.

L’administration fédérale vient de demander l’arrêt immédiat de son usage dans l’agriculture, la mesure a pris effet dès la rentrée.

RAPPORT OFEV

État et évolution des eaux souterraines en Suisse 2019.

https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/eaux/publications/publications-eaux/resultats-observatoire-eaux-souterraines-naqua.html

Des députés Verts et PS quittent la salle du Conseil national, en refusant de saluer le président du Parlement hongrois en visite à Berne

Une majorité de députés PS et Verts a quitté le Conseil national mercredi lors des salutations au président du Parlement hongrois en visite à Berne pour protester contre le gouvernement hongrois. Le président de l'UDC a lui loué la politique migratoire de la Hongrie.

L'action de la gauche a duré environ une minute lors des salutations de la présidente du Conseil national Marina Carobbio (PS/TI). La situation est redevenue normale par la suite.

La décision de quitter la salle du Conseil national est une action totalement spontanée, ont expliqué les présidents de groupe Roger Nordmann (PS/VD) et Balthasar Glättli (Verts/ZH) à Keystone-ATS, revenant sur des informations du 'Blick' et du 'Tages-Anzeiger'. Cette protestation vise la politique et le régime populiste du président hongrois Viktor Orban.

Si Balthasar Glättli a quitté la salle, ce n'est pas le cas de Roger Nordmann qui comprend néanmoins la réaction de ses collègues. Malgré des opinions divergentes, il faut pouvoir discuter et donner ses arguments, selon le socialiste vaudois.

Quant au chef du groupe des Verts, il n'a pas eu envie d'applaudir le représentant de la Hongrie. Protester silencieusement en laissant son siège vide lui a semblé plus poli que de rester dans la salle sans applaudir.

UDC reconnaissante

A la pause de midi, le président du Parlement hongrois a participé à une rencontre officielle avec le groupe parlementaire Suisse-Hongrie présidé par le conseiller national Andreas Glarner (UDC/AG). Le président de l'UDC Albert Rösti a profité de l'occasion pour calmer les esprits.

'Nous vous sommes très reconnaissants d'avoir rempli vos obligations en vertu de l'accord de Dublin et d'avoir fermé vos frontières', a déclaré le conseiller national bernois. Il est important que l'Union européenne et la Suisse puissent réduire le nombre de requérants d'asile. Ce groupe de travail a été créé dans ce but, les intérêts des deux pays étant les mêmes.

source: /ATS

 

 

Suisse : Les Verts veulent moins de démonstrations de la Patrouille suisse

Les Verts exigent la suppression des loopings de la Patrouille suisse lors des manifestations civiles par une intervention au Parlement. Ce faisant, le parti s'attaque à un symbole de l'armée de l'air helvétique.

Par l'intervention de leur présidente Regula Rytz lors de la session de juin, Les Verts exigent que l'escadrille de voltige de l'armée suisse ne vole qu'à l'occasion d'événements militaires, et qu'elle le fasse avec des normes de sécurité plus élevées.

Ils estiment en effet que cette formation militaire de vol acrobatique est trop souvent engagée pour des événements civils, des démonstrations onéreuses qui ne correspondent pas à la mission première de l'armée suisse.

Carte de visite de l'armée?

"Le rôle de de l'armée de l'air n'est pas de réaliser des chorégraphies - qui plus est dangereuses - pour amuser la galerie dans les manifestations civiles, et pour servir de carte de visite", affirme la conseillères nationale genevoise Lisa Mazzone, vice-présidente des Verts suisses.

La Patrouille suisse, un outil de propagande pour l'armée? Non, un outil de promotion pour la Suisse toute entière, rétorque le démocrate-chrétien valaisan Yannick Buttet, également vice-président de la Société suisse des officiers.

Un symbole attaqué

"La Patrouille suisse doit être mise en avant lors d'événements populaires, et pas seulement lors d'événements liés à l'armée. Tous les pays industrialisés mettent en avant les compétences de leurs pilotes, il n'y a pas de raison que la Suisse déroge à cette règle", estime le Valaisan.

Ce débat autour de la Patrouille suisse revêt une dimension hautement sympolique. La patrouille et ses pilotes étant chers à de nombreux Suisses, la discussion promet d'aller bien au-delà des considérations financières et sécuritaires avancées par les Verts.

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Un élu Vert veut interdire les voitures à essence en Suisse

Pour faire appliquer l'accord de Paris sur le climat, qui veut limiter le réchauffement climatique à 2 degrés maximum par rapport aux niveaux préindustriels d'ici à 2030, l'élu Balthasar Glättli (Les Verts/ZH) a son idée.

Il a déposé une motion demandant que les voitures à essence et à diesel soient bannies de nos routes d'ici à 2025. A partir de cette date, seules les automobiles électriques devraient ainsi être autorisées.

Source

Migrants. Les Verts et le PS posent leurs exigences: “La Suisse doit soutenir l’Italie, conseiller juridiquement les migrants et accepter ceux qui ont déjà de la famille chez nous”

Christian Hofer: La gauche attaque par tous les moyens notre démocratie et veut contourner Dublin qui a été pourtant voté par le peuple.

En clair, les problèmes causés par l'Italie, Merkel et l'UE deviendraient les nôtres, à notre charge!

Pire, tous nos faits et gestes seraient inspectés par des instances pro immigration comme l'ONU. Une ingérence inadmissible alors même que notre pays est à bout de souffle avec cette immigration, et cela avec des conseillers juridiques leur offrant notre pays sur un plateau. C'est tout simplement une énorme provocation pour le contribuable suisse qui n'a pas son mot à dire alors que les cantons sont en danger sur le plan financier justement à cause de cette immigration.

La gauche essaie encore une fois de contourner notre souveraineté en imposant un flux massif, comme cela s'est produit avec les Balkans.

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Le groupe parlementaire des Verts va déposer une interpellation urgente réclamant un débat lors de la session d'automne, indique-t-il dans un communiqué publié samedi. Il parle de sa «préoccupation sur la crise humanitaire à Côme (I)», critique le silence des autorités et exige une meilleure protection des requérants d'asile.

Le groupe PS de son côté insiste sur le droit de déposer des demandes d'asile en Suisse, qui doivent ensuite être traitées avec sérieux. Ils souhaitent dans la foulée la création d'un groupe d'experts, intégrant des personnes issues de la société civile, et chargé de surveiller que les droits des migrants, qui ont tenté d'entrer en Suisse, restent garantis.

Une instance indépendante, comme le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (UNHCR), fournirait de son côté un rapport régulier sur la situation.

Le groupe PS demande aussi un meilleur conseil juridique aux migrants à la frontière, des traducteurs ainsi que la distribution de justificatifs écrits aux personnes renvoyées, pour qu'elles puissent se défendre face à un refus d'entrée.

Autre point: la Suisse doit soutenir l'Italie dans l'organisation et la prise en charge des camps. Les migrants qui ont de la famille en Suisse mais ont déjà été enregistrés en Italie ne devraient plus être renvoyés vers la Péninsule selon le système Dublin, mais autorisés à gagner la Suisse.

Source et article complet

Lorsque les jeunes Verts autrichiens traitaient de “merdes” ceux qui aiment l’Autriche

autriche

 

Le texte du dessous est clair: "Celui qui aime l'Autriche est une merde". Toute la subtilité et l'intelligence de la gauche mise en exergue avec cette haine du pays qui est une constante pour ce parti.

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Le nouveau président autrichien et membre du parti des Verts a été sous le feu des critiques lundi à la suite d'affiches anti-Autriche publiées par une branche du parti des Verts.

On peut lire au bas de l'affiche diffusée par les jeunes Verts en 2007 que "quiconque aime l'Autriche est une merde".

Alexander Van der Bellen, le nouveau président autrichien issu des Verts, se présente en tant que candidat indépendant mais il est membre de longue date des Verts.

Placardées par la branche des jeunes Verts autrichiens (GAJ) à Vienne, ces affiches étaient supposées être une critique du nationalisme et des déjections canines (qui souillent la ville).

Elles représentaient l'image d'un chien tenant dans sa gueule le drapeau rouge et blanc du pays à la place d'un sac poubelle.

L'affiche était censée être une prise de conscience mêlant le problème de l'encrassement de la ville et le nationalisme autrichien (ND Christian Hofer: ce dernier est ici considéré comme de la "merde" par ces extrémistes de gauche).

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Hu5CWwLxNwA

Lisa Mazzone, Verte genevoise écrase des fleurs pour “défendre l’égalité”

Christian Hofer: On notera "toute la douceur et la sensibilité" de cette Verte vis-à-vis de la nature et de la galanterie. Sans doute est-ce cela la femme moderne selon la gauche, une haine perpétuelle contre l'homme sous l'excuse d'un combat contre le "machisme".

C'est étrange, car lors des agressions sexuelles en Allemagne, les femmes n'allaient pas se réfugier auprès d'autres femmes... Or on se demande bien quel homme pourrait avoir envie de défendre une telle harpie.

Verte, soit disant écolo et ça piétine des fleurs...
Symboliquement cela dit tout !!!

verts

Source

Je vous laisse aussi apprécier le commentaire de Jean RossiaudCoordinateur du Forum pour une nouvelle gouvernance mondialeDélégué des Verts suisses au Parti Vert européen et membre pour les Verts Européens de la Coordination des Global Greens (Vert mondiaux). Le genre de personnage qui essaie de nous imposer des millions de requérants tout en nous culpabilisant sans aucune retenue. Le plus savoureux étant que les immigrés qu'il veut nous imposer sont exactement l'inverse de ce qu'il prône:

"Au conseil municipal aussi les femmes reçu des fleurs : une vision ringarde, rétrograde et machiste du combat des femmes. Certaines ont pensé assez fort pour que je les entende : "des pavés pas des Fleurs pour la lutte des femmes!""

jean

Face aux migrants, les Verts allemands perdent leur idéalisme

650023

“L’idéalisme envers les réfugiés, c’était hier”, titre le quotidien allemand de gauche. Sous la photo d’un bénévole guidant sur l’île grecque de Lesbos l’arrivée d’un canot de migrants sur la côte, Die Tageszeitung écrit : “Etant donné l’afflux massif de réfugiés, la société allemande arrive à sa limite maximale d’accueil.”

Par cette déclaration, reprise par le quotidien, le maire de Tübingen, Boris Palmer (Verts), plaide pour que davantage de pays soient déclarés comme “pays sûrs” et pour plus de reconduites aux frontières. Dans l’entretien qui suit, Palmer annonce que les Verts, parti qui se veut historiquement un défenseur des hommes en souffrance, vont devoir adopter une “vision pragmatique”. (…)

Source via Fdesouche.com