Les immigrants nous apportent une nouvelle sorte de tuberculose

Les immigrants nous apportent une nouvelle sorte de tuberculose

L'institut de microbiologie médicale de l'Université de Zurich vient seulement d'informer, deux ans après, qu'elle avait découvert en 2016 à Chiasso un nouvel agent multirésistant de la tuberculose chez huit immigrants africains. Cela avait déclenché la création d'un système d'alarme européen. Par la suite, les autorités médicales européeenes ont enregistré 21 cas supplémentaires auprès d'immigrants venant de la Corne de l'Afrique et du Soudan.

https://bazonline.ch/wissen/medizin-und-psychologie/neuer-tuberkulosekeim-bei-fluechtlingen-entdeckt/story/23637060#mostPopularComment

Traduction (Claude Haenggli) : Le centre de référence pour les microbactéries de l'Université de Zurich a découvert en février 2016 un germe résistant de la tuberculose qui était exceptionnel même aux yeux des spécialistes. Cet agent présentait une combinaison nouvelle de résistances contre quatre antibiotiques différents, qui n'ont jusqu'ici jamais été décrites. Dans les mois suivants, ce germe dangereux a été trouvé chez d'autres patients, tous ayant émigré de la Corne de l'Afrique vers l'Europe.

Claude Haenggli, 9.1.2018

Migrants et maladies infectieuses : le lien est fait mais il ne faut pas le dire

Les bien-pensants éludent la question plutôt que photographier le moment historique avec honnêteté intellectuelle et dénoncer les dégâts de la politique scélérate de l’immigration.

DE LORENZA FORMICOLA.

En Allemagne la peur est revenue au sujet de toutes ces maladies qui étaient éradiquées ou rarissimes en Occident. Depuis le cas du demandeur d’asile yéménite logé dans une église à BUNSDORF pour lui éviter l’expulsion et qui aurait contaminé  cinquante bambins avec la tuberculose, cette maladie est remontée dans la classification des maladies les plus contagieuses. Mais elle n’est certes pas la seule à remonter.

Suite sur RR

Allemagne : un réfugié Yéménite, malade de tuberculose, était en contact avec plus de 50 enfants.

Un réfugié malade était en contact avec environ 50 enfants.

Le risque de tuberculose à la crèche de Bünsdorfer est apparemment plus grand qu'on ne le pensait. A présent c'est clair : la maladie pulmonaire dont souffre le réfugié du Yémen est une forme contagieuse. C'est ce qu'a communiqué le bureau de santé du district lors d'une séance d'information de la paroisse.

En outre, il a été révélé que bien plus des 18 enfants de la crèche pourraient être infectés. L'Office d'Etat pour les étrangers ne peut pas expliquer quand et où l'homme de la péninsule arabique a pu être infecté. Lors de l'examen médical du réfugié, aucune maladie n'avait été décelée.

A partir de la fin janvier jusqu'à la fin mai, la paroisse avait accordé à l'homme du Yemen la protection de l'Eglise dans le bâtiment de la mairie. Pendant ce temps, il rendait fréquemment visite à la crèche évangélique voisine.

Lorsqu'au début du mois de juin, il est devenu clair qu'il souffrait d'une maladie soumise à déclaration (Nd Schwarze Rose: dont le signalement aux autorités est obligatoire), l'administration du district a ordonné des examens sur les enfants et sur le personnel de la crèche. La tuberculose est causée par des bactéries et est extrêmement rare. Depuis 2012 il n'y a eu que 20 cas à Rendsburg-Eckernförde.

(...)

« La tuberculose est une catastrophe pour les patients et pour la communauté », a déclaré le pasteur Thiès Feldmann.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Allemagne – Des maladies infectieuses exotiques ou oubliées se propagent avec l’arrivée des migrants

Un Yéménite débouté de sa demande d’asile et qu’une église du nord de l’Allemagne avait hébergé et protégé pour tenter d’empêcher son expulsion, a contaminé plus de cinquante enfants. L’homme était porteur d’une souche de tuberculose hautement résistante aux antibiotiques.

Abrité de janvier à mai 2017 par l’église de Bünsdorf, le réfugié était en contact fréquent avec les enfants d’une garderie, dont certains n’avaient pas trois ans. Il a été admis à l’hôpital de Rendsburg en juin et diagnostiqué d’une tuberculose ultra résistante – une maladie qui fait un retour fracassant en Allemagne.

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Tuberculose ! Paris, le camp de migrants des Jardins d’Éole a été évacué

Les quelque 2000 occupants du camp situé dans les XVIIIe et XIXe arrondissements doivent être relogés, a annoncé la maire de Paris, Anne Hidalgo. Plusieurs cas de tuberculose y ont été diagnostiqués.

Des migrants attendaient depuis plus d'une heure devant ce campement de fortune. Le camp de migrants situé dans Les Jardins d'Éole, dans le nord de Paris, a été démantelé lundi peu après 7 heures. Une quarantaine de bus ont été mobilisés pour répartir les près de 2000 migrants présents dans une soixantaine de centres mobilisés en Ile-de-France. L'opération, ralentie par l'affluence des migrants, a pris fin en fin de matinée.

Source et suite de l'article ici

IMMIGRANTS ILLÉGAUX PAR CENTAINES DE MILLIERS EN ALLEMAGNE : CRI D’ALARME D’UN MÉDECIN !

Une femme médecin allemande envoie ce message d’alerte au monde :

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Hier, à l'hôpital, nous avons eu une réunion sur la façon dont la situation ici et dans les autres hôpitaux de Munich est insoutenable. Les cliniques ne peuvent pas gérer les situations d'urgence, de sorte qu'ils commencent à les envoyer tous vers les hôpitaux.

Beaucoup de musulmans refusent d’être traités par du personnel féminin et, nous, les femmes, refusons de nous occuper de ces spécimens, en particulier d'Afrique. Les relations entre le personnel et les migrants vont de mal en pis. Depuis le dernier week-end, les migrants qui arrivent dans les hôpitaux doivent être accompagnés par la police avec des unités K-9.

Beaucoup de migrants ont le SIDA, la syphilis, la tuberculose et de nombreuses maladies exotiques que nous, en Europe, ne savons pas comment traiter. S’ils reçoivent une prescription à la pharmacie, ils apprennent qu'ils ont à payer comptant. Cela conduit à des réactions violentes incroyables, surtout quand il s’agit de médicaments pour les enfants. Ils abandonnent alors leurs enfants au personnel de la pharmacie avec l’injonction : "Alors, soignez-les vous-mêmes ici!"  La police doit non seulement garder les cliniques et les hôpitaux, mais aussi les grandes pharmacies !

Nous avons déclaré ouvertement : Où sont tous ceux qui avaient accueilli devant les caméras de télévision, avec des signes dans les gares ?! Oui, pour le moment, la frontière a été fermée, mais un million d'entre eux sont déjà ici et nous ne serons certainement pas en mesure de nous débarrasser d'eux.

Jusqu'à présent, le nombre de chômeurs en Allemagne était de 2,2 millions. Désormais, il sera d’au moins 3,5 millions. La plupart de ces gens sont complètement inaptes au travail. Une toute petite minorité d’entre eux ont un minimum d’éducation. Qui plus est, leurs femmes ne travaillent généralement pas du tout. J’estime qu’une sur dix est enceinte. Des centaines de milliers d'entre eux ont apporté les nourrissons et les petits enfants de moins de six ans, beaucoup émaciés et maltraités. Si cela continue, et que l'Allemagne ré-ouvre ses frontières, je retourne en République tchèque. Personne ne peut m'obliger à supporter  cette situation, même avec le double du salaire que j’aurai là-bas. Je suis venue en Allemagne, pas en Afrique ou au Moyen-Orient.

Même le professeur qui dirige notre département nous a dit combien il était triste de voir qu’une femme de ménage nettoie tous les jours pendant des années pour [seulement] 800€, et que des jeunes hommes dans les couloirs viennent attendre main tendue, exigeant  tout gratuitement, et quand ils ne l'obtiennent pas, ils piquent une crise.
Je n’ai vraiment pas besoin de ça ! Mais je crains que si je reviens, bientôt ce sera la même chose en République tchèque. Si les Allemands,  ne peuvent pas gérer cela, en Tchéquie ce sera le chaos total. Personne n'ayant fait l’expérience d’être en contact avec eux n’a la moindre idée de leur comportement sauvage, et en particulier les Musulmans venant d'Afrique. Ils se comportent comme étant supérieurs à notre personnel, en ce qui concerne les accommodements religieux.

Pour l'instant, le personnel de l'hôpital local ne s’est pas effondré par  contamination des maladies qu'ils ont amenées ici, mais, avec autant de centaines de patients chaque jour cela est juste une question de temps.

Dans un hôpital à proximité du Rhin, les migrants ont attaqué le personnel avec des couteaux après avoir amené un bébé de 8 mois proche de la mort, qu’ils avaient traîné à travers la moitié de l'Europe pendant trois mois. L'enfant est mort en deux jours, malgré les meilleurs soins reçus dans l'une des cliniques pédiatriques les plus réputées d’Allemagne. Le médecin a dû subir une intervention chirurgicale et deux infirmières ont été mises dans l'unité de soins intensifs. Personne n'a été puni.

On interdit à la presse locale d'écrire à ce sujet, donc nous avons été informés par courriel. Que serait-il arrivé à un Allemand s’il avait poignardé un médecin et les infirmières avec un couteau? Ou s’il avait répandue sa propre urine infectée par la syphilis au visage d'une infirmière et lui avait ainsi transmis son infection ? Au minimum il irait tout droit en prison et plus tard au tribunal. Avec ces personnes - jusqu'à présent - rien n'a été fait.

Je demande donc : Où sont tous ces gens qui les réceptionnent et les accueillent dans les gares ? Assis tranquilles à la maison, profitant de leurs subventions d’associations « à but non lucratif » ( !) et impatients de voir arriver d’autres trains [plein d’immigrés clandestins] qui leur permettront de jouer à nouveau leur rôle d’« accueillants » et récupérer leur part de fric.

Si cela ne tenait qu'à moi, je rassemblerais tous ces « accueillants » et les amènerais ici au service des urgences de notre hôpital, comme préposés dans un bâtiment dévolus aux seuls immigrés clandestins, de façon à ce qu’ils puissent s’occuper d’eux, eux-mêmes, sans police armée, sans chiens policiers, qui sont aujourd'hui dans tous les hôpitaux en Bavière, et sans aide médicale.

Source non identifiée

Via

Le dépistage de la tuberculose chez les migrants pourrait être amélioré

Environ 2 cas de tuberculose sur 3 déclarés en France concernent des personnes nées à l’étranger et fraîchement immigrées. Dans un article paru mardi dans le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire (BEH), Guillaume Rieutord de l’hôtel-Dieu, aidé de médecins travaillant au Centre d’accueil, de soin et d’orientation (Caso), ont analysé rétrospectivement les 2 904 dossiers des patients étrangers accueillis au Caso entre le 1er janvier et le 31 décembre 2012, et ont observé un faible taux de dépistage, tout en dressant des pistes d’amélioration.
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Cinq cas de tuberculose parmi les CRS en mission à Calais

Plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s'est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l'épidémie.

Ces cas sont d'autant plus inquiétants que les policiers des CRS (Compagnies républicaines de sécurité) vivent en groupe et se déplacent environ 200 jours par an. Actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de migrants venus d'Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s'introduire clandestinement au Royaume-Uni.

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Via fdesouche

Un médecin dénonce : “A Chiasso on assiste à une explosion des cas de gale et de tuberculose”

Comme à Milan et dans de nombreuses autres villes italiennes, au Tessin aussi on enregistre une augmentation des maladies infectieuses, augmentation proportionnelle à l'afflux croissant du nombre de clandestins qui arrivent illégalement au Tessin. Un médecin de Chiasso, qui bien entendu a voulu garder l'anonymat, nous raconte ce que le personnel médical vit ces jours :

- Est-il vrai que ces derniers temps on a enregistré une augmentation de cas de gale à Chiasso ?

- Pas une augmentation, non, je parlerais plutôt d'une véritable explosion. Le mois passé, nous avons diagnostiqué en moyenne 3 cas de gale par jour, c'est vraiment beaucoup. Au point que de nombreux médecins sont obligés d'envoyés leurs patients chez des confrères parce qu'ils n'arrivent plus à gérer tous les cas qu'ils reçoivent. Mais ce qui est encore plus préoccupant, ce sont les cas de tuberculose en nette augmentation.

- Tuberculose ?

- Oui. Chaque jours, nous faisons entre 3 et 4 tests de Mantoux (ndt, tests de détection de la TBC). Dans mon cabinet, nous trouvons 1 à 2 cas positifs par mois.

- Comment vivez-vous cette situation ?

- Sincèrement, je suis préoccupé. J'ai un fils et l'idée qu'il puisse, à cause de moi, attraper une de ces maladies me fait peur.

- Quelles sont les précautions à prendre ?

- Nous portons toujours des masques et des gants. Nous installons les réfugiés dans des salles séparées des autres patients et nous désinfectons tout ce qu'ils touchent. Nous ne pouvons risquer de provoquer une contagion, chose qui, malgré tout, est déjà arrivée.

- Vraiment ?

- Oui. Deux infirmières ont contracté la tuberculose. Vous pouvez imaginer comment elle doivent se sentir....

Que se passe-t-il en cas de contagion par la TBC ?

- C'est un sérieux problème. Cela signifie subir un traitement par antibiotiques pendant 6 mois (tout en priant pour que le bacille ne soit pas trop résistant) et une hospitalisation en isolement pendant le temps où la personne reste contagieuse. Outre le problème physique, se superpose une épreuve psychologique.

- Est-ce que la gale représente un danger aussi grave ?

- Par chance, ce n'est pas mortel. Mais c'est une maladie très désagréable car elle provoque des éruptions cutanées particulièrement prurigineuses qui s'infectent facilement.

- Que peuvent faire les autorités pour limiter les risques de contagion ?

-  Ils doivent interdire aux requérants de circuler librement dans Chiasso, car il existe un risque constant de contaminer d'autres personnes. Il faudrait que des médecins soient chargés d'examiner les requérants directement dans le centre d'accueil pour empêcher qu'ils sortent, et, évidemment, limiter l'afflux de clandestins, peut-être même en refouler quelques uns : avec mes collègues nous nous demandons pour quelles raisons on accueille de nombreux toxicomanes, des Algériens ou des Tunisiens, qui, en plus de représenter un danger, nous coûtent très cher. Il suffit de penser aux doses de méthadone qu'on doit leur donner et aux traitements pour sevrage auxquels on doit régulièrement faire face. Il n'est pas difficile de se rendre compte que ces personnes auront bien du mal à s'intégrer au Tessin.

Source en italien (trad. D. Borer)

 

 

Un migrant atteint d’une tuberculose contagieuse est venu faire un petit tour en Suisse….

Ci-dessus, le Salaam Palace à Rome

[...]

Les médecins ne peuvent plus s'approcher de l'immeuble "All'Anagnina", tour de Babel depuis des années, refuge de centaines de migrants, les "invisibles", qui transitent par Rome après avoir débarqué sur les côtes du Sud et prêts à reprendre à tout prix le voyage en direction du nord de l'Europe, même épuisés, même malades. Les médecins de la Croix-Rouge et d'autres associations ont été chassés de l'endroit en raison "de problèmes de communication" nous a-t-on dit.

(En juin dernier, un migrant qui dormait au Salaam Palace est mort, ce qui avait déclenché l'alerte sur les conditions sanitaires critiques à l'intérieur de la structure où résident 800 personnes.)

 

N.S., 36 ans, est une des nombreuses personnes ayant trouvé à se loger au Salaam Palace. L'Erythréen a été hospitalisé le 13 décembre. Diagnostic : Tuberculose pulmonaire contagieuse. Pourtant, le 25 décembre, il est parti du service des maladies infectieuses, provocant la panique. Il est revenu il y a deux jours et depuis son lit d'hôpital il a déclaré : "Je suis allé en Suisse avec un ami, je ne savais pas que ma maladie était aussi grave...."

 

 

Les lacunes des contrôles sanitaires

Cet homme est parti de l'hôpital, a fait le voyage en voiture jusqu'en Suisse et retour. L'histoire de N.S. nous montre les lacunes des contrôles sanitaires des migrants qui gravitent autour de Rome. L'hôpital (Policlinico Gemelli) a tout de suite averti les autorités compétentes et a lancé l'alerte : le syndic Ignazio Marino a demandé aux forces de l'ordre de retrouver l'homme "pour une question de santé publique et pour mettre sous traitement l'Erythréen". Les médecins ont quand même réussi à atteindre le malade par téléphone qui a promis : "Je reviens vite. Je suis seulement allé en Suisse avec un ami en voiture. Je ne savais pas que la maladie était si grave". Mais il n'est revenu à l'hôpital que plusieurs jours après. [...]

 Les risques

Depuis quelques semaines, la Croix-Rouge et les médecins volontaires ne peuvent plus s'approcher de l'immeuble où vivent environ 800 migrants. L'assistance sanitaire avait été suspendue (le flux migratoire devant diminuer durant l'hiver), mais des volontaires continuaient à aller soigner les personnes malades. Puis quelque chose s'est mal passé et plus aucun médecin n'y met les pieds.

"Le Salaam Palace est une concentration de personnes à risque d'un point de vue sanitaire et il n'y a aucun contrôle sur qui y entre et qui en sort" a déclaré Francesco Russo, président de l'Institut de Médecine Solidaire, spécialisé dans les soins aux migrants.

N.S. est retourné à l'hôpital et a repris le traitement antibiotique qu'il ne pourra stopper que quand il ne sera plus contagieux.

Mais combien d'autres comme lui continuent à vagabonder à travers Rome (et ailleurs, ndt) ?

 

Source en Italien (résumé par D. Borer)

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Gorizia: épidemie de Tuberculose dans le village de tentes des clandestins

gorizia1

 

 

NDR : La province de Gorizia est située dans le sud-est de la région Frioul Vénétie julienne, à la frontière avec la Slovénie et donne sur la Mer Adriatique.

Parmi les Afghans accueillis - avec nos impôts - à Gorizia, dans un village de tentes installé près des habitations, il y a plusieurs cas de tuberculose. Les rumeurs de ces derniers jours ont été confirmées, avec un retard coupable, par l'agence sanitaire locale.

On parle de dizaines de cas et l'association, après avoir démenti la nouvelle pendant des jours, confirme à présent que le patient 1 infecté par la maladie est un clandestin admis à l'hôpital Cattinara de Trieste.

Les Afghans vont et viennent dans le centre ville au risque que l'épidémie s'étende. Mais la Croix Rouge se veut rassurante.......

Le village de tentes est composé de sept grandes tentes pouvant accueillir nonante clandestins. Et on la nomme "protection civile"....

Même devant un risque d'épidémie, le gouvernement continue : d'autre immigrés sont en train d'arriver, Afghans pour la plupart.

Le syndic Romoli a demandé que l'on déménage la structure. "Ce village de tentes installé au centre ville doit être démonté le plus vite possible" a souligné Romoli. Il a exprimé sa forte préoccupation sur des retombées négatives et préjudiciables pour la ville, provoquées par le choix insensé d'installer une structure d'accueil en plein centre de Gorizia.

 Romoli présentera une demande de démantèlement urgent au ministre de l'Intérieur, Angelino Alfano, à la présidente de la région, Debora Serracchiani et au préfet de Gorizia, Vittorio Zappalorto.

(...)

"Ce village de tentes a toutes la caractéristiques pour se transformer en centre d'accueil permanent - a attaqué le sydic - à la lumière de ce que l'on constate, le flux de clandestins en direction de Gorizia ne semble pas se stopper car, grâce à des messages envoyés à l'étranger,  des centaines de personnes fuyant leurs pays risquent d'être attirés dans notre ville".

Et le syndic de renchérir : "Je me demande vraiment comment on a pu penser à une solution aussi folle et surtout, comment elle a pu être avalisée par la Région dont le rôle devrait être d'éviter une telle concentration de clandestins sur un seul site, qui en plus est installé près d'écoles et d'habitations privées : cela n'est pas une action humanitaire mais une scélérate irresponsabilité imposée au habitants de Gorizia. Et à ce propos, j'insiste sur le fait ne n'avoir  été informé qu'au dernier moment quand la Région avait déjà tout organisé, et cela par un simple coup de fil".

(...)

Source en italien

 

 

Mare Nostrum : “Trop de policiers contaminés par la tuberculose”

 

"Il semblerait qu'on ne s'occupe pas des forces de l'ordre employées dans l'opération Mare Nostrum" a affirmé le secrétaire du CONSAP (Concessionaria Servizi Assicurativi Pubblici), Giorgio Innocenti [...] au ministère de l'Intérieur.

"Le nombre de policiers, contaminés par la TBC ou ayant des résultats positifs au test de Mantoux augmente de façon préoccupante".

Selon lui, la prophylaxie pour protéger les policiers de la maladie est non seulement insuffisante mais encore bien en-dessous des standards de protections en vigueur dans les autres pays.

"Nous demandons plus de contrôles pour que nous puissions continuer notre travail" a conclu Alberto Mancini, un policier [...] qui a contracté le virus de la TBC.

Hier, 90% des policiers qui auraient dû accueillir le bateau Urania avec à son bord 500 migrants, se sont déclarés malades. [...]

"Les policiers ne se sentent pas soutenus - affirme le sydicat - ils ont peur pour eux et pou leurs familles".

[...]

La questure de Palerme a démenti que 90% des policiers se soient portés malades............

 

Article en entier en italien, 8 oaoût 2014 (trad. D.Borer)