Sommaruga: «Les droits de l’homme font partie de la Suisse»

«Tout comme la démocratie directe ou le fédéralisme, les droits de l’homme sont indissociables de la Suisse», a souligné jeudi la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga devant le public de l’Institut européen de l’Université de Zurich.

Alors que la participation de la Suisse à la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) est remise en cause, à l’occasion du 40e anniversaire de l’adhésion, la ministre rejette toute idée de séparation.

Evoquant «certaines voix qui se dressent contre les juges étrangers et préconisent un retrait de la convention», Simonetta Sommaruga a évité de citer nommément son collègue Ueli Maurer, qui a fait cette proposition au Conseil fédéral. «Un juge qui veille à la défense des droits de l’homme peut-il vraiment nous être étranger?» rétorque-t-elle.

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Avec l’UE, le Conseil fédéral ne parlera pas « contingent ».

Après 9 février : Le mot-clé de l’initiative UDC acceptée  par le peuple ne figure pas dans le mandat de négociation du Conseil fédéral.

Les commissions du Parlement acceptent les uns après les autres le mandat de négociation du Conseil fédéral avec l’Union Européenne. Et souvent à l’unanimité. Autrement dit, avec l’aide des élus UDC. Même Christoph Mörgeli s’est contenté de s’abstenir en début de semaine. Le texte ne fait étonnamment aucune mention des termes « contingents » ou « préférence nationale », deux notions pourtant centrales dans l’initiative UDC acceptée le 9 février par le peuple suisse.

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Pour ne pas froisser l’UE, les services de la Simonetta Sommaruga renoncent aux contingents pour limiter l’immigration européenne.

« Il faut de la souplesse dans la discussion et un cadre large et créatif, sinon les négociation s’arrêteront très vite » déclare Carlo Sommaruga (PS), président de la Commission de politique extérieure.

Source: Le Matin Dimanche du 9 novembre 2014

Sommaruga: “L’accord de Dublin a toujours été lacunaire et il le sera toujours”

Ou comment le Conseil fédéral a menti aux Suisses en prétendant que Dublin était la solution miracle.

Simonetta Sommaruga réagit après la décision de la Cour européenne sur le renvoi d'une famille de requérants afghans. «Nous continuons d'analyser le jugement». Elle s'exprimait pour la première fois sur la décision de la CEDH prise mardi.

Certains pays ne suivant pas le Règlement Dublin, «collaborer s'avère difficile», a relevé Simonetta Sommaruga, soulignant qu'il ne fallait pas surestimer le jugement rendu. Si le système de Dublin n'est pas fondamentalement remis en cause par ce jugement , la ministre rappelle que «cet accord a toujours été lacunaire et qu'il le sera toujours».

Néanmoins, elle estime qu'aucune alternative n'est valable. «L'Europe ainsi que la Commission européenne doivent continuer de procéder à des améliorations du système de Dublin», a indiqué la cheffe du Département fédéral de justice et police (DFJP).

Situation exceptionnelle

Elle a aussi précisé que les pays européens sont différemment touchés par l'immigration. Il s'agit donc de trouver un équilibre. Selon la conseillère fédérale, un modèle de redistribution est envisageable sur le long terme, mais «cela prendra des années».

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Sommaruga: “Est-ce que chaque Suisse a vraiment besoin d’une voiture?”

NDLR Aucun article en français ne fait mention de ces provocations à l'égard des autochtones, traités ici comme des animaux à parquer, juste bon pour le travail. Le socialisme démontre son visage « progressiste » : réduire nos droits qui ne seraient plus réservés qu’à une élite (espace, confort, transport). C’est l’exacte définition d’une régression sociale.

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga présente l'initiative Ecopop comme étant une mauvaise réponse aux problèmes environnementaux. Selon elle, on vivrait bien même avec plus de personnes en Suisse.

Population condensée dans des villes

La conseillère fédérale socialiste voit justement dans les agglomérations urbaines un grand potentiel. "Les personnes (dans ces agglomérations) partagent certains locaux et possèdent tout de même leur zone privée."

"Cibler les étrangers pour des raisons écologiques est xénophobe."

"Nous devons nous demander comment nous pouvons surmonter notre croissance à long terme», déclare Sommaruga. "Est-ce que tout le monde a besoin d'une voiture?"

Source Traduction C. H.

Pour Simonetta Sommaruga, l’initiative Ecopop est xénophobe

La conseillère fédérale a lancé mardi la campagne du gouvernement contre ce texte, en votation le 30 novembre, qui limiterait drastiquement l'immigration. Elle n'a pas mâché ses mots.

Elle ne s'est pas privée de reprocher aux promoteurs des relans de xénophobie . L'initiative considère que les personnes sont un problème. «Que cela soit voulu ou non, ce principe est xénophobe». 

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Sommaruga: “Nous avons un devoir de solidarité avec l’Italie et ses migrants”

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga a pris un ton plutôt conciliant vis-à-vis de l’Italie au sujet des migrants qui transitent par Rome, Milan, Naples ou Palerme et qui débarquent ensuite nombreux en Suisse. A l’issue de la réunion des ministres européens de l’Intérieur, à laquelle elle a été invitée jeudi au Luxembourg, elle a exprimé sa solidarité avec le gouvernement italien, qui «doit faire face à d’énormes flux migratoires. Nous avons un devoir de solidarité.»

La Suisse n’entend pas se dérober à sa responsabilité de pays d’accueil, et Berne serait même prêt à discuter d’une clé de répartition pour envoyer les réfugiés dans différents Etats liés par l’Accord de Dublin.

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Sommaruga: “Le Conseil fédéral ne s’est pas éloigné du peuple”

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«Comme le Conseil fédéral a perdu quelques votations, cela ne signifie pas qu'il ne sent plus le pouls de la population», déclare la conseillère fédérale socialiste bernoise dans une interview diffusée samedi par le Bund et le Tages-Anzeiger. «C'est une caricature qui vise à creuser un fossé».

 

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Asile: Des islamistes font régner leur loi dans les structures suisses

Notre population est désormais en danger car Simonetta Sommaruga veut nous imposer sa "tradition humanitaire" qui n'est autre qu'une immigration musulmane imposée par la gauche sous couvert d'humanisme hypocrite.

Un réfugié iranien placé dans le centre du col de Jaun, dans l’Oberland bernois, raconte y avoir été insulté dès que les résidents se sont aperçus qu’il portait une chaîne avec une croix. Des jets de bouteilles de bière ont suivi. A Zurich, c’est un Tunisien converti au christianisme qui a été passé à tabac et envoyé aux soins intensifs. Un Camerounais homosexuel a aussi subi menaces et harcèlement.

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Ces incidents ne seraient pas rares, mais il seraient rarement rapportés à la police ou aux responsables des centres d’hébergement. Jusque récemment, les heurts étaient surtout marqués par des confrontations politiques ou des rivalités ethniques. A Amnesty International, Denise Graf constate que la «pression sur les chrétiens, les athées et les homosexuels dans les centres de requérants s’est intensifiée – surtout à cause de l’arrivée de partisans de l’islam radical en provenance de Syrie»

«La pire situation est celle des chrétiens convertis, qui sont considérés comme hérétiques par leurs compatriotes musulmans radicaux. S’ils ne renoncent pas à leur conversion dans les 48 heures, ils sont des proies à traquer», affirme un représentant d’Aseba, une association évangélique qui a soutenu plusieurs demandeurs d’asile chrétiens en difficulté. [...]

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Asile: Sommaruga prône la tradition humanitaire

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Quant à lier les accords de réadmission à l'aide au développement, comme le propose l'UDC qui envisage une nouvelle initiative populaire, Mme Sommaruga juge que cela n'est pas toujours facile, ni possible. Et de donner pour exemple l'Algérie, un pays au moins aussi riche que la Suisse qui ne reçoit donc pas d'aide au développement.

 

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Tradition humanitaire

 

Mme Sommaruga n'a pas coupé les cheveux en quatre pour commenter la position de l'UDC, dont l'objectif est d'en finir avec l'asile. Ce serait "honteux, contraire à la dignité humaine et à la tradition suisse", a-t-elle affirmé en réponse à une question de journaliste.

 "Cette tradition humanitaire constitue une partie de notre identité suisse" (NDLR Alors que les jeunes socialistes ne se privent pas pour boycotter notre drapeau: ils se servent de notre histoire lorsque cela les arrange!), a-t-elle insisté. Tout comme la neutralité. En tant que dépositaire de la convention de Genève sur les réfugiés, la Suisse a un rôle particulier à jouer.

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