Seine-Saint-Denis: Aspergée d’un liquide inflammable dans un bus, une femme grièvement brûlée

Un couple a été victime d’une terrible agression dans un bus à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) ce samedi soir. Aspergée d’un liquide inflammable, cette femme de 54 ans a été grièvement brûlée, tout comme son compagnon. Une enquête pour tentative d’homicide a été ouverte et un suspect a été interpellé.

Il était 19h10 lorsque les faits se sont produits. Un bus de la ligne 145 qui relie Pantin à Villemomble, se trouvait à l’arrêt Salengro-Auffret à Noisy-le-Sec lorsqu’un homme a aspergé une femme de 54 ans d’un liquide inflammable, à l’intérieur du véhicule. Il a mis le feu et la victime a été grièvement brûlée.Le compagnon de la victime qui a tenté d’éteindre les flammes a lui aussi été blessé, tout comme le chauffeur du bus qui a utilisé un extincteur, permettant de maîtriser le feu.

La quinquagénaire a été brûlée au niveau du visage, du cuir chevelu et du cou, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Cette dernière devrait sortir de l’hôpital ce dimanche. Son épais manteau l’aurait protégé de blessures bien plus graves indique franceinfo.

Un homme placé en garde à vue

Un suspect âgé de 41 ans a été interpellé [...]

article complet: https://actu17.fr/noisy-le-sec-aspergee-dun-liquide-inflammable-dans-un-bus-une-femme-grievement-brulee/

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Une musique orientale accompagne la vidéo de Djina sur Twitter pour fêter cet acte de pure barbarie!

France : 8 policiers de Seine-Saint-Denis placés en garde à vue pour détention de stupéfiants et violences

Huit policiers appartenant à la brigade territoriale de contact de Pantin (Seine-Saint-Denis) ont été placés mercredi en garde à vue à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), notamment pour violences volontaires et détention de stupéfiants, a-t-on appris de sources concordantes.

Les fonctionnaires sont soupçonnés de "violences volontaires par personnes dépositaires de l'autorité publique, faux en écritures publiques, arrestation arbitraire, et détention de stupéfiants", a indiqué à l'AFP le parquet de Bobigny, confirmant une information de M6.

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7sur7.be

Seine-Saint-Denis : Les travailleurs sociaux du service des mineurs étrangers menacés de mort par les migrants dont ils s’occupent. “Vous allez tous br**** en enfer”. Ils font valoir leur droit de retrait

Les travailleurs sociaux ont brièvement fait valoir leur droit de retrait, décrivant un service toujours sous tension, face à l’afflux de jeunes exilés.

(…) L’auteur, anonyme, y dénonce le « racisme », les « discriminations » dont il estime pâtir. Dans la marge, la menace affleure au détour d’une phrase : « Vous allez tous brûler en enfer ».

Le feuillet, arraché à un grand cahier d’écolier, a été trouvé jeudi, à Bobigny, placardé à l’entrée de la Cellule départementale d’accueil des mineurs non accompagnés (CAMNA) de Seine-Saint-Denis. Il citait le nom d’une cadre du service. Un second message similaire a été collé derrière le bâtiment. Lundi, déjà, une autre missive, plus courte, a été découverte par le personnel.

Droit de retrait

L’incident a conduit les travailleurs sociaux à faire valoir, le temps d’une heure ce vendredi, leur droit de retrait – qui permet aux salariés, estimant être face à un danger grave et imminent, de cesser le travail.

« Ce n’est pas la première fois que ça arrive, tempère une éducatrice. Des menaces, des agressions, on connaît ça de temps en temps. Le problème, c’est qu’on fait face à une charge de travail très supérieure à ce qu’elle devrait être. Il y a un ras-le-bol général. On est frustrés de ne pas pouvoir aider correctement les jeunes qu’on nous confie. Certains dorment dans des hôtels pourris ! » Et elle ajoute : « Je ne cautionne pas ce qui est écrit sur la porte, mais je peux le comprendre. »

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Le Parisien

Via FDesouche

Seine-Saint-Denis : un homme jeté du sixième étage pieds et poings liés par son colocataire malien

Le drame s’est produit mercredi 11 novembre, dans la matinée. Comme le rapporte Le Parisien, le corps d’un homme âgé de 47 ans a été retrouvé sans vie au pied du foyer Adef à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Selon les précisions du quotidien, la victime avait les pieds et les poignets attachés par des liens. Les premiers éléments de l'enquête ont permis de confirmer qu'il s'agissait bien d'un pensionnaire de cette résidence sociale.

Les policiers ont rapidement identifié un suspect : un Malien aux multiples condamnations, colocataire de la victime.

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Valeurs Actuelles

Un professeur de Seine-Saint-Denis a montré une vidéo de drapeaux français brûlés au Pakistan en réaction aux caricatures de Charlie Hebdo : “Je pensais les faire réfléchir, mais les élèves se sont levés et ont applaudi”

L’assassinat du professeur Samuel Paty bouleverse le corps enseignant. Après le sentiment de révolte, il y a cette peur de se frotter aux sujets interdits : religion, caricatures et liberté d’expression.

(…) Parmi les thèmes à aborder par les professeurs avec les classes de quatrième : la liberté d’expression. Il raconte : « Naïvement, l’année dernière, pour mon tout premier cours sur ce sujet, j’ai décidé de mettre les pieds dans le plat et abordé le sujet des caricatures de Mahomet. Malheureusement, ça ne s’est pas vraiment passé comme je l’imaginais. » Lui espérait les voir débattre, discuter, échanger, s’ouvrir à d’autres opinions, « penser les libertés au pluriel ». Avant de tomber de très haut. « Quel que soit le profil des élèves, il y a tout de suite eu un consensus pour dire qu’on ne peut pas toucher aux religions. Ça m’a frappé. À partir de là, on se dit qu’il y a du boulot… »

(…) Une élève prend la parole, autour le silence se fait : « Depuis plusieurs années, la liberté d’expression est menacée parce que certains journalistes manquent de respect aux religions et ne prennent pas en compte les lois… Si on dépasse les limites, il y aura des attentats. » Dans la salle, tous acquiescent. Au milieu, le professeur est dépité.

(…) Pour les ramener à la raison et engager une autre discussion, le professeur Jorda (professeur de français en lycée professionnel en Seine-Saint-Denis) dégaine une vidéo de drapeaux français brûlés au Pakistan en septembre 2020 en réaction à la republication des caricatures par l’hebdomadaire, pour leur montrer « où l’intolérance peut mener ». « Je pensais les faire réfléchir, mais la plupart des élèves se sont levés et ont applaudi. » Stupeur.

(…) « Ils ont une vision politique très confuse. Pour eux, Charlie, c’est l’extrême droite. Alors, pour lutter contre eux, tous les moyens sont légitimes. L’insulte comme la violence. Les reprendre sur cette question-là, c’est se ranger du côté des “racistes”. »

(…) « (…) Quand vous rapportez à votre syndicat que votre classe était au bord de l’émeute, entre insultes à la République et propos homophobes, et qu’on vous répond que vous n’auriez pas dû offenser leur croyance, que voulez-vous faire ? Nous ne sommes pas tous des héros. Alors, on abandonne. »

« La peur est très forte depuis vendredi, et nous ne sommes pas rassurés, que ce soit par l’atmosphère ambiante ou par notre hiérarchie si prompte à nous sanctionner. Si vous pouvez ne pas citer mon nom, finalement… », nous intime une professeure interrogée quelques heures auparavant.

Marianne

Via Fdesouche

 

“Je vais faire un carnage” : Mohamed Bekhtaoui, élu de Seine-Saint-Denis, veut “devenir le nouveau Mohamed Merah”

Jugé mardi 6 octobre pour outrage et apologie du terrorisme au tribunal de Bobigny, Mohamed Bekhtaoui, élu de La Courneuve, avait déclaré “vouloir faire un carnage”.

Les faits remontent au 7 avril dernier, à l’occasion de la visite d’Emmanuel Macron au centre d'action sociale (CCAS) de La Courneuve, en plein confinement. Bien décidé à s’entretenir avec le chef de l’Etat, Mohamed Bekhtaoui, élu de l'UPR (Union populaire républicaine), une formation souverainiste dans cette mairie dirigée par le maire communiste Gilles Poux, a alors dérapé. Placé en garde à vue pour ne pas avoir respecté le port du masque une énième fois, et avoir oublié son attestation de sortie, l’élu de 37 ans qui a accumulé les vols, les outrages et les conduites sans permis a alors « vrillé », comme l’indique au Parisien le substitut du procureur.

« Mohamed Merah m'a ouvert les yeux »

Selon le rapport d’un brigadier-chef rapportant ses propos dans les colonnes du Parisien, Mohamed Bekhtaoui aurait alors déclaré : « Je vais devenir le nouveau Mohamed Merah. J'ai eu de la chance de le côtoyer, il m'a ouvert les yeux. Je vais faire un carnage ». Avant de lancer à plusieurs reprises « Allahou akbar » devant le policier, convaincu que sa garde à vue est « une mascarade pour l'empêcher de réussir en politique ». Selon les précisions du quotidien, l'expert psychiatre a relevé « une fragilité psychologique ». Le substitut du procureur a réclamé six mois de prison aménageables. Relaxé pour l'apologie du terrorisme, il a en revanche été condamné à 140 heures du travail d'intérêt général pour les outrages.

Valeursactuelles.com

Neuilly-sur-Marne (93) : une infirmière lynchée par 2 jeunes à qui elle demandait de porter le masque : Flagrant délit de censure sur les origines

 

 

Les deux mineurs soupçonnés d’avoir frappé une infirmière mardi dans un bus à Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis, ont été relâchés jeudi et placés sous contrôle judiciaire à l’issue de leur garde à vue, selon une source judiciaire à BFMTV.

Le parquet, qui a requis leurs mise en examen pour violences aggravées, avait demandé leur placement en détention provisoire.

Agés de 16 ans, les adolescents sont suspectés d’avoir asséné des coups à une femme qui leur avait demandé de porter un masque dans le bus.

(…)

BFMTV

 

 

Via Fdesouche


Note : Evidemment, notre presse ne mentionne pas le pedigree de la racaille, comme ici ou ici ou encore ici. Elle se borne à publier docilement le communiqué de l'AFP. Par contre cette presse publie... l'année de naissance de cette racaille, information de la plus grande importance comme chacun le sait.

Pour rappel, c'est cette même presse qui pense donner des leçons aux Observateurs.ch.

Seine-Saint-Denis : une dizaine de racailles sème la panique dans une rame du RER avec des fusées et des mortiers (Vidéo)

Multiculturalisme en France.

Plusieurs feux d'artifice ont été allumés au milieu des passagers. Les passagers ont peur.

 

 

 

 

Nos remerciements à Tancrède 

France : Un Afghan demandeur d’asile armé d’un couteau menaçait la police.

Un homme qui menaçait des policiers avec un couteau a été tué par balles par les fonctionnaires mercredi dans le parc de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) fermé au public en raison du confinement, a-t-on appris de sources concordantes.

L'homme était porteur d'un couteau mesurant une trentaine de centimètres. L'individu, de nationalité afghane, et âgé de 25 ans, a donc été repéré au cours d'une patrouille « classique ». Ils lui ont d'abord demandé de quitter les lieux avant de faire usage de gaz lacrymogène lorsque ce dernier refusait d'obtempérer. Il s'est ainsi éloigné mais est revenu, menaçant les policiers avec son couteau. C'est à cet instant qu'un fonctionnaire a sorti son arme de service et blessé mortellement son agresseur.

[...]

Selon nos informations, le suspect, prénommé Mohammad, était inconnu du renseignement territorial et de la police. Il avait un statut de demandeur d'asile, valable jusqu'au 26 avril, et était domicilié à Saint-Denis. Il avait fait une première demande en Autriche, en 2018, qui lui avait été refusée.

Le Matin / Le Parisien

 

France. Un médecin : « on vit un enfer dans les hôpitaux en Seine-Saint-Denis, il faut l’armée dans les rues »

Selon Stéphane Gaudry, la situation est bien plus critique en Seine-Saint-Denis que dans le reste de l’Ile-de-France.

En Seine-Saint-Denis, c’est plus compliqué, la diffusion du virus est beaucoup plus rapide ici à cause d’une part de la promiscuité des habitants et du non-respect du confinement mais d’autre part, des facteurs de risque qui sont plus fréquents. Par exemple, l’obésité, le diabète ou encore la tension artérielle.

Le médecin le constate tous les jours, avec un nombre de contaminés et de décès sans cesse croissant dans le département. Le nombre important de patients entraîne un « dépassement des moyens ». Il indique que les « moyens sont déjà dépassés en Seine-Saint-Denis. Tout le monde est en difficulté mais encore plus ici ».

Heureusement, une solidarité s’est mise en place entre les hôpitaux de la région et des patients de Seine-Saint-Denis sont pris en charge ailleurs.

Ici on n’accueille pas de patient de l’extérieur du département car nous n’avons pas de places. C’est saturé. Par contre, il y a des dizaines de malades que nous envoyons en dehors du département.

Pour Stéphane Gaudry, les caractéristiques du département sont une raison mais il insiste sur une seconde qui est pour lui inacceptable : « les habitants ne respectent pas le confinement, maintenant il faut l’armée dans les rues. Ce n’est plus possible ».
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Actu.fr

via

France : des mineurs de Seine-Saint-Denis avaient aspergé les serveuses d’essence avant de leur mettre le feu

Les prénoms (Samba et Aboubakary) ainsi que le lieu (Seine-Saint-Denis) sont caractéristiques de la violence que subit la France depuis des décennies à cause de l'immigration.

 


 

Des planches en bois condamnent toujours la devanture du Transilvania à l'angle des rues Heurtault et Schaeffer à Aubervilliers. Par une vitre poussiéreuse, on distingue l'intérieur du bar entièrement calciné, ses chaises en désordre, figé comme il était le 11 juin 2017. Ce soir-là, trois individus cagoulés entrent dans le Transilvania des bidons d'essence à la main et déversent leur contenu sur les serveuses puis mettent le feu. Mihai, qui essayait de repousser les incendiaires est gazé, et brûlé lui aussi.

Une dizaine de clients voient les deux jeunes femmes se transformer en torche humaine. L'une d'elles, Doïna, 21 ans, est morte après deux mois de coma. Lidia, brûlée sur 85 % du corps conserve de graves séquelles. Le bilan aurait pu être encore plus lourd. Les consommateurs et le reste du personnel doivent leur survie à un voisin qui avait défoncé la grille à coups de marteau, leur permettant de s'échapper.

Ce mardi, Lidia, 19 ans à l'époque, fera face aux quatre accusés jugés devant la cour d'assises des mineurs de Seine-Saint-Denis. Ils sont poursuivis pour assassinat en bande organisée.

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Défigurée par l'incendie

Pour les neuf parties civiles, ce procès s'apparente à un chemin de croix. Toutes sont d'origine roumaine. Elles travaillaient ou étaient de simples clients dans ce petit bar-restaurant tenu par Iuliana, une compatriote. Ils sont depuis retournés en Roumanie et reviennent pour la première fois en France depuis le drame. Au centre des parties civiles, Lidia, la serveuse rescapée. « C'était une jeune femme très belle », précise son avocate, Me Charlotte Patrigeon. L'incendie l'a défigurée.

Les victimes vont revoir un visage familier. Aboubakary, 26 ans en 2017, était un habitué du Transilvania. « Bouba » serait le commanditaire de l'expédition punitive. Défendu par Me Steeve Ruben, il nie en bloc. Les deux mineurs de 16, 17 ans auraient, pour le premier, été le chauffeur qui dépose les incendiaires devant le bar. « Il conteste les faits », indique son avocat, Me Frédéric Beaufils. Celui de 17 ans, en revanche, reconnaît avoir participé à l'incendie.

Chez les majeurs, seul Samba, 20 ans, admet avoir déversé de l'essence dans le bar. « Il nie l'intention homicide », souligne son avocate, Me Chloé Arnoux.

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Leparisien.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Seine-Saint-Denis : La jeune interne en médecine de 27 ans a été tuée de 14 coups de couteau

Le corps sans vie d’une jeune interne en médecine de 27 ans a été découvert ce lundi après-midi par la police, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Les premiers résultats de l’autopsie ont montré que la victime avait été victime d’un véritable acharnement.

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Un suspect identifié et activement recherché

Pour l’heure, aucun suspect n’a été interpellé par les enquêteurs du Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93). L’auteur présumé de cet homicide a toutefois été identifié, il est déjà connu des services de police.

Âgé de 32 ans, il est l’ex-compagnon de la victime. Un témoin l’aurait aperçu prendre la fuite vers 5 heures du matin dans la nuit de dimanche à lundi, après avoir entendu du bruit et une dispute dans l’immeuble.

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Une autre femme tuée au couteau par son compagnon au Havre

Audrey était interne en deuxième année en pédiatrie à l’hôpital Jean-Verdier de Bondy. Si l’hypothèse d’un meurtre par son ex-compagnon venait à se confirmer, il s’agirait du 107ème féminicide depuis le début de l’année, en France.

La mort d’Audrey fait tristement écho à celle de Johanna, au Havre, tuée elle aussi lundi de 14 coups de couteau en pleine rue, devant ses trois enfants, par son conjoint qui a été interpellé.

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Dans la police judiciaire de Seine-St-Denis, les musulmans décident de bannir la viande de porc et interdisent aux femmes de préparer les grillades

En Seine-Saint-Denis, les musulmans décident qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire et avec quelle viande.

 

 

 

Via Fdesouche.com

France. Immigration clandestine : entre 8% et 20% d’illégaux en Seine-Saint-Denis

Selon un rapport parlementaire, les illégaux pèsent entre 8 % et 20 % de la population dans ce département. Les autorités ne parviennent pas à ajuster leurs politiques publiques. Les élus en appellent à Matignon.

«Le premier ministre va nous recevoir. Il a donné son accord de principe.» Le sénateur LR Philippe Dallier est plein d'espérances. Le 14 juin dernier, cet ancien maire des Pavillons-sous-Bois (22 ans de mandat) avait écrit à Matignon, avec 14 des 17 autres députés et sénateurs - de droite comme de gauche - de Seine-Saint-Denis «pour que l'État assume pleinement ses responsabilités dans ce département sinistré entre tous», selon lui. Ce qu'ils réclament est simple: le gouvernement doit donner une suite au rapport des députés François Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LaREM) qui dénonce la «République en échec» dans le 93.

Déposé le 31 mai à l'Assemblée, ce document décrit l'incroyable dégradation du climat social, économique, sécuritaire de la Seine-Saint-Denis. Taux de pauvreté: 28 % (le double de la France métropolitaine). Taux de chômage: 12,7 % (trois points au-dessus de la moyenne nationale et quatre points au-dessus de la moyenne d'Île-de-France).

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France. Seine-Saint-Denis: Mariama, 20 ans, la policière musulmane qui volait des armes

La jeune adjointe de sécurité de Seine-Saint-Denis a avoué avoir dérobé en août 2017, sur son lieu de travail, deux pistolets Sig Sauer et deux chargeurs pleins. Elle a été mise en examen en février.

Du commissariat à la prison. C’est le parcours de Mariama, 20 ans, adjointe de sécurité affectée en Seine-Saint-Denis. Cette jeune policière a été mise en examen le 8 février pour vol aggravé criminel et association de malfaiteurs. Elle a avoué lors de sa garde à vue avoir dérobé, durant la nuit du 25 au 26 août 2017 à la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, deux pistolets Sig Sauer et deux chargeurs pleins. Une « commande » de son frère et d’un ami qui lui aurait permis de toucher 300 € et de signer le dernier chapitre d’une courte carrière entourée de soupçons.

En septembre 2015, Mariama entre dans la police comme cadet de la République, un dispositif qui permet aux jeunes gens sans diplôme de pouvoir intégrer l’institution. Un an plus tard, la voilà adjointe de sécurité dans une brigade de jour au commissariat de Pantin (Seine-Saint-Denis).

Mais, très vite, elle est soupçonnée de consulter les fichiers de police pour informer son frère et ses amis d’une cité d’Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne). Pas de preuves formelles mais assez de doutes pour qu’elle soit déplacée début 2017 vers la guérite de l’entrée de la direction départementale à Bobigny.

Des prêches de l’imam controversé de Brest

Elle émet ensuite le désir de quitter la police. Elle s’inscrit sur des sites de rencontres réservées aux pratiquants musulmans et explique être particulièrement gênée parce qu’elle est obligée de quitter son voile avant de pénétrer dans les locaux du commissariat. Ses collègues la voient garder son gros blouson à capuche sur la tête pour cacher ses cheveux malgré la chaleur de l’été.

La policière apprend l’arabe et télécharge des prêches de l’imam controversé de Brest. Elle envisage de se marier avec « un bon musulman » et de s’installer en Algérie ou en Arabie saoudite. En attendant elle s’isole, comme elle l’expliquera dans ses auditions : « Je n’ai plus d’amis, depuis que je me suis mariée religieusement, début décembre 2017. J’ai coupé les ponts. Je reste juste chez moi, chez mes parents ou ma belle-sœur. »

Lorsque deux armes disparaissent des locaux de Bobigny pendant une nuit d’août 2017, la jeune femme est brièvement placée en garde à vue par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) et suspendue. Les enquêteurs se rendent compte qu’elle s’était renseignée sur le prix des pistolets Sig Sauer, les armes qui équipent la police.

Plus incroyable encore, ils découvrent qu’elle voulait commettre une faute grave pour se faire licencier… Sur son téléphone, les bœufs-carottes ont trouvé le message d’un mystérieux « Broly ». Le nom d’un personnage de dessin animé qui était en fait son petit frère Salif, lui disant que si elle travaillait seule, on la soupçonnerait immédiatement.

 

policière ripou

 

Un panier-repas contre les armes

Le 5 février dernier, elle est de nouveau placée en garde à vue à la DRPJ de Versailles (Yvelines) en compagnie de son frère, d’un ami, d’un militaire et d’un complice de ce dernier. Mariama passe des aveux un peu confus où elle tente de minimiser le rôle de son frère. Le soir du vol, elle explique être sortie de sa vigie pour prendre les clés des coffres à armes et munitions.

« Je suis entrée dans la salle avec le code. J’ai ouvert les coffres, j’ai pris les deux Sig au hasard et des chargeurs. » Mariama les cache alors dans les poches de son blouson. Et comme prévu dans le scénario, un de ses complices se fait passer pour son petit ami et lui ramène son panier-repas, opportunément oublié. Ils procèdent à l’échange : la gamelle contre les armes.

La policière raconte qu’elle avait très peur et qu’elle a finalement accepté son rôle après avoir été rassurée et mise sous pression. « J’ai touché 300 €… Je ne voulais pas le faire. Je regrette énormément mon geste, confie-t-elle. Je ne sais pas ce que sont devenues les armes. Je sais juste qu’elles ont été vendues. »

Un militaire impliqué dans le trafic

En plus de la jeune adjointe de sécurité, les quatre autres suspects, âgés de 19 à 31 ans, ont été mis en examen début février par le juge d’instruction. Salif a vendu les deux armes à Mehdi, caporal-chef au 152e régiment d’infanterie de Colmar (Haut-Rhin), qui voulait acheter une arme dans son quartier à Ozoir-la-Ferrière.

Ce soldat de 28 ans, passionné d’armes à feu, a revendu, pour 800 € l’un des pistolets à Lamine, un trafiquant de drogue de 31 ans qui vit dans le XVIIe arrondissement de Paris. Mais cette seconde arme n’a pas été retrouvée. L’affaire a éclaté lorsque Mehdi s’est fait accidentellement tirer dessus par un ami dans la forêt d’Ozoir en essayant le pistolet volé…

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

Vivre-ensemble. Saint-Denis : expédition punitive dans le tramway T8

Il était 19 h 40 jeudi quand une bande a pénétré dans une rame du T8 avant de se déchaîner sur un homme d’une vingtaine d’années.

Scène d’une rare violence dans un tramway jeudi soir à Saint-Denis. Une dizaine d’individus munis de battes de base-ball et d’un marteau s’en sont pris à un passager.

Il était 19 h 40 quand la bande a pénétré dans une rame du T8, à la hauteur de la rue de la Poterie. Ils se sont alors déchaînés sur un homme d’une vingtaine d’années en le frappant à coup de marteau, de batte de base-ball et en l’aspergeant de gaz lacrymogène.

Les agresseurs ont pris la fuite à l’arrêt Delaunay-Belleville. Quatre ont pu être interpellés par la police. La victime a été transportée à l’hôpital Rothschild à Paris. Son pronostic vital n’est pas engagé.

Source

France. Multiculturalisme: Un bus incendié par des individus cagoulés en Seine-Saint-Denis

Christian Hofer: A noter que le journaliste du 20 Minutes reprend une vidéo de @tprincedelamour, un militant de droite patriote très connu et qui répertorie jour après jour les atrocités dont les migrants, l'immigration en général et la gauche sont coupables, informations qui sont tout simplement absentes de nos médias.

Cela signifie que les journalistes savent pertinemment ce qui se passe en Europe mais qu'ils filtrent les informations selon leurs affinités politiques comme cela a été démontré dans cet article.

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Un bus de la RATP a été incendié en Seine-Saint-Denis, samedi soir, par au moins deux personnes qui avaient au préalable fait descendre les passagers et la conductrice.

 

Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 21h30 dans une rue de la cité des 4000 de La Courneuve, les auteurs, deux ou trois individus selon les sources, «sont montés dans le bus, ont menacé la conductrice et les quelques passagers qui s'y trouvaient avec un bidon d'essence, avant de les faire descendre et d'incendier le véhicule», a détaillé une source policière.

Source et article complet

France. Seine-Saint-Denis: Lorsqu’un journaliste est agressé par la racaille immigrée. (Vidéo)

Christian Hofer: La même racaille qui a été surprotégée par ces journalistes bien-pensants au nom du multiculturalisme et du vivre-ensemble.

Il est vrai que cela est beaucoup moins enrichissant lorsqu'on est vraiment confronté à la racaille que l'on protège. Le choc entre la réalité et l'idéologie socialiste n'est visiblement pas au goût du journaliste. Pourtant le grand danger de la France est le FN, je ne comprends pas...

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Ce mercredi soir, sur M6, Bernard de la Villardière présente Dossier Tabou, une enquête sur l'islam pour laquelle il est allé sur le terrain. Dans C à vous, le journaliste révèle avoir été agressé à cette occasion.

Dans Dossier Tabou, diffusé ce mercredi soir sur M6, Bernard de la Villardière enquête sur l'islam, sur les imams, dont 70% à 80 % viendraient de l'étranger, sur les écoles musulmanes, dont certaines sont dirigées par des salafistes, et sur les prisons, qui sont devenues de hauts lieux de radicalisation.

https://youtu.be/wNeXaY5WEOc

A Sevran, en Seine-Saint-Denis, ville que de nombreux mineurs ont quitté pour faire le djihad, Bernard de la Villardière et son équipe ont été malmenés par une bande de jeunes.

Source et article complet 

France. Seine-Saint-Denis : l’imposture du centre de déradicalisation

Terrorisme. 

Il y a un peu plus de deux ans, la Maison de la prévention et de la famille représentait le parfait exemple de l'action du gouvernement pour lutter contre la radicalisation. Encensé par le ministère de l'Intérieur, dont il recevait les subventions, ce centre était piloté par la militante Sonia Imloul. L'objectif était simple et tout le monde le trouvait louable : soutenir psychologiquement les familles des jeunes partis faire le djihad, et assurer le suivi de ceux qui se radicalisent en France.

Dans un livre intitulé Cellule de déradicalisation. Chronique d'une désillusion, aux éditions Michalon, un ancien employé de ce centre, Julien Revial, raconte l'envers du décor. L'Express a consulté cet ouvrage et en relate l'essentiel. Sonia Imloul, la directrice, affirme parfois qu'elle est juriste, une autre fois psychologue, encore une autre policière, en fonction des besoins de la situation. Julien Revial raconte l'emballement médiatique autour de cette structure en laquelle tout le monde veut croire. "Un mois après notre emménagement, nous avions déjà reçu cinq organes de presse et seulement deux familles" raconte-t-il. Le gouvernement ne dit rien : "pour eux, nous étions un laboratoire médiatique bien utile".

Source et article complet ici