Genève : la gauche veut permettre aux clandestins d’accéder à notre aide sociale

Les employés domestiques et les sans-papiers, qui étaient nombreux à s'être rendus samedi à la patinoire des Vernets pour recevoir un colis contenant un paquet de pâtes, du riz et quelques boîtes de conserve, doivent être la priorité des réflexions. «J'ai créé un groupe de travail dédié à cette question», a noté Thierry Apothéloz (NDLR : Socialiste).

«Nous envisageons plusieurs pistes pour assurer un revenu à cette population pendant la crise», a poursuivi le conseiller d'Etat responsable de la politique sociale du canton. Selon «Le Courrier», un fonds cantonal d'indemnisation pourrait être créé. L'idée serait aussi de permettre à ces gens d'accéder à l'aide sociale.

20min.ch / Lecourrier.ch

Nos remerciements à Wilhou.ch

 


Rappels :

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Sans-papiers à Genève : l’inadmissible légèreté du Conseil d’ Etat

Par François Brélaz, candidat libéral-conservateur au Grand Conseilfrancois_brelaz_2

 

C'était à l'émission Mise au point dimanche soir 26 février. M. Pierre Maudet, Conseiller d' Etat genevois plastronne aux côtés de Mmes Ruth Dreifuss, ancienne conseillère fédérale et Mme Martine Brunschwig-Graf présidente de la commission fédérale contre le racisme. Leur intention : annoncer que le Conseil d' Etat genevois a régularisé plusieurs centaines de sans-papiers ces derniers mois.

Il s'en suit 3 reportages dont un est édifiant car il montre l'inacceptable légèreté des autorités genevoises.

C'est une famille de kosovars sans-papiers. Ils sont en Suisse depuis plus de 10 ans. En 2009 une demande de régularisation est refusée. A 2 reprises l'homme reçoit une interdiction de travailler.

Mais il reste à Genève et continue de travailler, narguant de fait les autorités. Et ce monsieur, avec sa famille, se retrouve dans le lot des régularisés...

Ce n'est pas la première fois que je remarque que les sans-papiers et requérants déboutés jusqu'au boutistes s'en sortent mieux que ceux qui respectent les décisions des autorités et c'est inadmissible.

Concernant ce cas, il serait intéressant de connaître la manière de travailler des autorités genevoises, par exemple, lorsque une interdiction de travailler est notifiée, y a t' il un suivi ?

François Brélaz

Un projet de “city-card” pour intégrer les sans-papiers de Berne

Le mouvement "Wir alle sind Bern" milite pour la création d'une "city-card" à Berne, donnant accès à ce que propose la ville à tous les habitants, dont les sans-papiers, à l'image de ce qui existe à New York.

L'idée part d'un constat: il est difficile pour les sans-papiers d'aller à l'hôpital, d'ouvrir un compte en banque ou de scolariser leurs enfants. Une "city-card" donnerait accès à ces services, indépendamment de la nationalité ou du permis de séjour de l'utilisateur, rapporte mardi la Berner Zeitung.

Cette nouvelle pièce d'identité permettrait ainsi d'intégrer des habitants qui à l'heure actuelle ne peuvent pas entièrement prendre part à la vie de la cité, estime le mouvement "Wir alle sind Bern".

Quels critères d'attribution?

Avant l'introduction d'une telle carte, plusieurs problèmes doivent encore être résolus. Par exemple, comment faire en sorte que tous les habitants de Berne se procurent la "city-card" et non seulement les sans-papiers?

Par ailleurs, quels seraient les critères d'attribution de cette carte de "citoyenneté urbaine"? Et comment faire en sorte que les hôpitaux et autres institutions jouent le jeu?

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6000 à 8000 sans-papiers à Berne

En ville de Berne, un quart des habitants sont étrangers. S'y ajoutent les 6000 à 8000 sans-papiers du canton, qui vivent principalement en ville, selon les estimations du centre de consultation bernois pour les sans-papiers.Une carte de "citoyenneté urbaine" ne donnerait pas le droit de vote au niveau local à ses détenteurs, le canton de Berne interdisant aux communes de le faire. En 2010, les citoyens bernois ont refusé à plus de 70% une initiative cantonale sur le droit de vote des étrangers au niveau local.
Source RTS

Le nombre de sans-papiers estimé à 76’000 en Suisse par la Confédération

La Suisse comptait 76'000 sans-papiers en 2015, selon une étude du Secrétariat d'Etat aux migrations publiée lundi. Une première estimation datant de 2005 parlait de 90'000 personnes.

La plupart des sans-papiers, soit les deux-tiers, sont venus en Suisse sans documents de voyage valables ou comme touristes, précise l'étude.

Un cinquième des cas est constitué de personnes qui n'ont pas quitté la Suisse après l’échéance du permis B ou C ou après le rejet d'une demande d’asile.

La plupart des personnes en situation irrégulière proviennent d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, ainsi que d’Europe de l’Est et la majorité sont en Suisse depuis plusieurs années.

Près de 9 sur 10 travaillent

Environ 86% des sans-papiers adultes travaillent et sont financièrement indépendants, détaille le Secrétariat d'Etat aux migrations. La moitié de ces personnes sont employées dans des ménages privés. La construction et l'hôtellerie-restauration sont aussi des secteurs très concernés.

Les cantons comptant le plus de sans-papiers (plus de 8 pour mille habitants) sont Zurich (28'000), Genève (13'000), Vaud (12'000) et Bâle-Ville (4000).

 

Source : rts.ch

 

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Note de Cenator :

 

Personnellement, je ne crois pas une seconde à ces chiffres, pour la simple raison que, durant les dix dernières années, la grande majorité des requérants d’asile déboutés sont restés en Suisse.

Il se peut tout à fait que leur nombre soit supérieur à 76'000 rien que dans 2-3 cantons.

 

D’autre part, effectivement, des clandestins travaillent mais il faut voir dans quels secteurs.

Un nombre non négligeable « travaille » dans la drogue, dans d’autres formes d’activités criminelles comme les cambriolages, la prostitution, … et une minorité de femmes d’Amérique du Sud comme femmes de ménage.

 

Les villes romandes offrent gîte et couvert à cette population et une nuée d’associations et de services publics « pour migrants » leur viennent en aide pour leur offrir des cours de langue, des aides pour la scolarisation de leurs enfants, des soins médicaux gratuits, et même, dans certains cas, des subsides pour l’assurance maladie. C’est un business juteux aux frais des contribuables.

 

Jean Raspail a raison. Tant que la population ne se révoltera pas, la gangrène va continuer de nous ronger et le mal est déjà si avancé qu’il ne nous reste que peu de temps avant l’agonie.

L’expulsion manu militari de toute cette population d’illégaux, le retrait du droit d’asile aux parasites, suivi du blocage total de l’invasion musulmane, devrait devenir rapidement l’objectif n° 1 de toute personne souhaitant la survie de notre pays, et plus largement de notre civilisation.

Si nos lois nous empêchent d’agir pour nous défendre et si la possibilité de changer nos lois nous est supprimée, il nous faudra agir autrement.

Le PS français accusé de vouloir accorder “la nationalité automatique aux clandestins”

Le député Guillaume Larrivé, orateur du groupe Les Républicains sur le projet de loi sur le droit des étrangers, a accusé le Parti socialiste de vouloir accorder "la nationalité automatique pour les clandestins", via un amendement déposé sur le texte.

Cet amendement N.363 (voir texte ci-dessus) "propose une chose folle: élargir le droit du sol, c'est-à-dire l'accès à la nationalité, en réalité à la Terre entière", a accusé M. Larrivé au micro de RMC.

Cet amendement, qui n'a pas encore été examiné, tend à insérer dans le projet de loi que "les enfants nés à l'étranger de parents étrangers, arrivés sur le territoire français avant l’âge de six ans et ayant depuis lors résidé habituellement en France, acquièrent la nationalité sur déclaration à leur majorité".

Il vise à "unifier les droits des enfants, notamment au sein d'une même fratrie. En effet, lorsque des parents arrivent sur le territoire français, munis d’un titre de séjour, avec un ou plusieurs enfants en bas-âge, et qu'ils ont par la suite des enfants sur le territoire français, la situation de leurs enfants est différente, notamment au sein même de la fratrie, ce qui n’est pas satisfaisant", selon l'exposé des motifs.

"Selon le Parti socialiste, il faudrait que lorsqu'un immigré entre clandestinement en France, qu'il fait venir ses enfants clandestinement en France, ses enfants deviendraient automatiquement français dès l'âge de 18 ans. C'est une folie. La nationalité française automatique pour les clandestins, c'est le projet du Parti socialiste, ça n'est pas notre projet", a poursuivi le député de l'Yonne.

Le groupe Les Républicains a proposé "une soixantaine d'amendements. Malheureusement, les socialistes les rejettent et ont des idées qui sont malheureusement dangereuses pour la France", a dit M. Larrivé.

"Depuis trois ans, l'immigration vers la France a augmenté dans des proportions très, très fortes, par exemple le regroupement familial a augmenté en trois ans de 55%, le nombre de visas délivré par nos consuls a augmenté de 32%", a dit M. Larrivé.

La France accueille environ 200.000 nouveaux immigrants réguliers chaque année, chiffre à peu près stable depuis dix ans. Il n'existe en revanche pas de chiffre officiel sur le nombre d'immigrés clandestins.

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Merci à Pierre H.

Après clandestins, puis sans papiers, maintenant on les appelle touristes sociaux !

Encore une décision de la Cour européenne – Cour européenne de justice – qui ne donnera sans doute lieu à aucune application ( quoique ?) en plus de porter un nom qui est normalement utilisé à un tout autre domaine.

Explication : nous apprenons que la Cour européenne de justice vient de statuer que les Etats membres de l’Union (28 Etats) « n’étaient pas tenus d’octroyer des prestations sociales à des citoyens d’autres Etats membres ne se rendant sur leur territoire que dans le but de bénéficier de l’aide sociale. » La Cour européenne se prononce ainsi contre le « tourisme social. »

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