Racisme individuel et racisme systémique. Australie: – Une jeune fille blanche brutalement battue par une bande de voyous racistes simplement parce qu’elle est Blanche

Des images ont été filmées d'une jeune fille blanche, menue, de 16 ans brutalement et gratuitement  agressée par une bande de huit jeunes femmes afro-australiennes dans le métro à Melbourne. Personne ne lui vient en aide. La maman de la jeune fille a coupé la moitié de la vidéo pour des raisons de censure. Dans la partie coupée, la jeune fille était trainée par terre, piétinée et elle recevait des coups de pieds. Hématomes, yeux au beurre noir, traumatismes internes, côtes cassées, et un traumatisme psychologique en sont résultés. C'est pour l'agression de cette jeune fille que les manifestations planétaires auraient dû avoir lieu. Un "plus jamais ça" devrait faire la une de tous les médias.

Mais dans la "réalité médiatique", la manipulation des masses par les "marxo-mondialistes" est devenue si efficace que c'est pour George Floyd, un droit commun, bâti comme une armoire à glace, ayant aussi attaqué et traumatisé des femmes seules à leur domicile, que la planète s'est soulevée durant des semaines. La mort de George Floyd a fait la une de presque tous les médias, la condamnation de cet acte a été planétaire, les politiciens et policiers se sont affichés comme pro-Floyd.

Par contre, en Suisse, la diffusion des images montrant l'agression susmentionnée dans le métro de Melbourne, fait problème, bien que la partie la plus violente ait été enlevée.

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Avi Yemini résume la vidéo:
Avertissement: la vidéo que vous allez regarder est choquante et si quelqu'un a du cœur, il sera brisé en la voyant.

Mais je dois vous la montrer, et vous devez la transmettre, car tout le monde a besoin de voir ce qui est arrivé à cette jeune fille de 16 ans sans défense dimanche 14 juin à la gare de Southern Cross.

Dire que cette bande était si fière de son comportement lâche qu'elle l'a partagé sur Snapchat, cela me donne envie de vomir.

Ce qui est effrayant, c'est que cela s'est passé en plein jour, devant des passants qui n'ont rien fait pour aider l'enfant sans défense.

Comment peut-on voir une telle chose arriver à une jeune fille de 16 ans et refuser d'intervenir ?

La mère de la victime dit que le pire n'a même pas été partagé: quelques instants plus tard, ils ont fait tomber sa fille du banc et l'ont piétinée.

La jeune fille a été hospitalisée avec de nombreuses blessures, dont des côtes cassées.

Terrifiée, elle n'ose pas faire une déclaration à la police par crainte de représailles.

La police dit qu'elle ne peut pas ouvrir une enquête sans déclaration de la victime.

Avi Yemini: Pourquoi vous cache-t-on cette agression violente ?

lien vers la vidéo: https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=Z9FPYyjcgb4&feature=emb_logo

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Les responsables de telles exactions racistes anti-Blancs, ce sont des personnes influentes de la gauche progressiste, comme certains professeurs d'université, des enseignants, qui lavent le cerveau des jeunes avec le marxisme culturel et son pendant, l’antiracisme, comme dans ce cas tout récent:

Par exemple, ci-dessous, une enseignante dit que les enfants ont besoin d'enseignants "marxistes" pour empêcher les "parents d'extrême droite" de laver le cerveau de ses élèves:

https://www.thesun.co.uk/news/11877164/labour-teacher-marxist-brainwashing/

18 juin 2020

autre exemple: https://lesobservateurs.ch/2020/06/26/luniversite-de-cambridge-soutient-luniversitaire-qui-affirme-que-les-vies-des-blancs-ne-comptent-pas-et-la-promeut-professeure/

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D’autres responsables du racisme anti-blanc, dans ce contexte tragique de déclin civilisationnel, sont des responsables d'églises chrétiennes ayant  transformé le christianisme en un parti invasionniste. Le pape actuel semble être la personnalité phare de cette tendance, qui ne sert plus le christianisme, mais promeut l'idéologie marxiste, qui détruit la civilisation des Blancs sur leurs propres terres.

Jorge Mario Bergoglio, alias Pape François, après qu'il ait servi l'idéologie marxiste, offre à présent sa génuflexion au fascisme Noir en pleine terreur Black Lives matter qui balaye l'Occident.

La civilisation chrétienne aurait besoin plus que jamais de leaders qui la défendent, qui s'opposent à l'islamisation, qui redonnent la foi et le morale aux chrétiens.
Elle a besoin d’une Église qui soit capable de défendre efficacement les chrétiens persécutés dans le monde, qui donne envie de vivre sa foi, au lieu de vouloir faire une politique immigrationniste et islamo-œcuménique.

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Mais les principaux coupables et responsables des exactions contre les Blancs, leur civilisation sont des journalistes, qui importent des États-Unis toute cette idéologie néo-marxiste sans une once de critique.
Non seulement ils l'approuvent et gardent un silence assourdissant sur le déchaînement de barbarie contre les Blancs, mais ils encouragent la persécution de ceux qui osent aller à contre-courant, comme par exemple, oser critiquer les mouvements BLM et Antifa. L'hégémonie intellectuelle des journalistes de gauche a conduit les Occidentaux, de paradigmes culpabilisants en paradigmes culpabilisants (antiracisme, climat, féminisme, Black lives mater, etc...), à renier leurs valeurs, leurs raisons d'être fiers d'eux-mêmes et pousse finalement toute une civilisation à sa perte.

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S'il existe, comme la gauche antiraciste l'affirme, une culpabilité systémique et universelle des Blancs envers les Noirs, de même qu'une injustice systémique des Blancs envers les Noirs, cela sous-entend que si un Noir agresse un Blanc, il ne fait que lui faire payer ce dont le Blanc est, par essence, coupable.
Ce genre de raisonnement est une invitation à commettre des exactions envers les Blancs, leurs biens, et tout ce qui émane d'eux. La notion de justice communément admise, qui implique la responsabilité et la culpabilité individuelle, change complètement de sens.

Si les pseudo-victimes Noirs, imaginaires ou par procuration, ont le droit de faire payer les  Blancs pseudo-coupables pour des supposées culpabilités héréditaires, nous en arriverons dans un monde de post-vérité (un terme que la gauche s'est déjà approprié à son avantage), où le sens du bien et du mal serait vidé de sa substance : l'injuste deviendrait le juste, le vrai deviendrait le faux, le juste l'injuste, et toute forme de barbarie pourrait recevoir sa légitimité, un monde "Mad Max", comme le définit Alexandre Del Valle.

Commentaires, traductions: Cenator

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ANALYSE DU RACISME ANTI-BLANC

Nier le racisme antiblanc, c’est affirmer que le Blanc ne connaît pas ce que connaissent les autres hommes. C’est le mettre à part de l’humanité « normale ». Nier le racisme antiblanc revient donc à prouver l’existence du racisme antiblanc. 

Qu’est-ce que le racisme ? Le dictionnaire Littré (1863-1877) ignore le mot. Le Larousse du XXe siècle (1932) définit le racisme comme une « doctrine », le Petit Larousse de 1946 comme une « théorie », celui de 1960 comme un « système ». Le Petit Robert de 1962 revient sur l’idée de « théorie » mais ajoute aussi que le « racisme » peut être un « comportement ». Le Petit Larousse de 1997 y voit une « idéologie », un « comportement » et une « attitude d’hostilité », et le CNTRL, aujourd’hui, un « ensemble de théories et de croyances », voire une « attitude d’hostilité pouvant aller jusqu’à la violence »…

I. Formes générales du racisme

1. Le racisme « primaire » ou « individuel »

Dans le monde animal, les comportements ou les attitudes d’hostilité sont déclenchés par des instincts (souvent de survie) ou des pulsions primaires que l’on rencontre chez tous les animaux, y compris l’homme.  C’est pourquoi, l’éthologie montre que le racisme, comme comportement ou attitude, est fréquent dans le règne animal. Une abeille sera chassée si elle se trompe de ruche. Un bovin sera malmené par son troupeau s’il possède une robe atypique. Un chimpanzé sera attaqué s’il a une « différence », telle la poliomyélite. Les fourmis se prémunissent des « étrangères » en entourant leurs nids de « phéromones territoriales ». Celles qui les ignorent seront découpées en morceaux. Une poule dont vous aurez peint la crête en bleue sera agressée par ses congénères. Un rat qui se « trompe » de communauté sera sauvagement attaqué. Etc.

On dira que ce racisme animal est un racisme « primaire » ou « individuel ».

2. Le racisme systémique

Quelle est la différence entre une « théorie », un « système » ou une « doctrine » et une « attitude d’hostilité » pulsionnelle ? Elle est énorme. La théorie est un système de pensée organisé, une construction intellectuelle, qui fait appel à des concepts ou des notions plus où moins abstraits, c’est-à-dire à des capacités qu’aucun animal ne possède, sauf l’homme.

Un racisme comme « système » (un système raciste ou un racisme systémique) est un racisme pensé. C’est un système d’avilissement dont le but est d’inférioriser l’autre. Le racisme systémique ne se situe pas au niveau de la pulsion, du préjugé irrationnel ou de l’acte irréfléchi. C’est une construction intellectuelle fondée sur des postulats qui mènent, lorsqu’on les accepte, à des conclusions « logiques » qui désactivent les consciences et entraînent le passage à l’acte. Par exemple, la Bible pose que Cham était pervers. Puis elle montre, exemples à l’appui, que les Cananéens, descendants de Cham, perpétuent depuis toujours l’idolâtrie et les mauvais comportements de leur ancêtre. Enfin, elle dit que les Cananéens sont le Mal et qu’il faut choisir entre l’expression du mal ou le règne de Dieu. Au final, elle justifie l’extermination des Cananéens, qui sera bientôt chose faite.

Généralement, un système d’avilissement commence par désigner sa cible, le « groupe out » (Desmond Morris), celui dont on ne fait pas partie. Puis il « prouve » les aspects déviants, pathologiques, malsains de ce groupe. Il avilit le passé du groupe out et alerte sur son présent. Il donne ainsi au groupe out une « nature », forcément mauvaise, commune à tous ses membres, qui est soit à l’état latent, soit pleinement « opérationnelle ». Tout dans le groupe out doit donc être rejeté : sa culture, ses traditions, sa manière de vivre ou de penser. Le groupe out, par nature pervers et malfaisant, doit être surveillé, enfermé ou détruit.

Le racisme primaire perd ses limites naturelles lorsqu’il est adossé au racisme systémique. Il change de nature. Tous les êtres humains (et tous les mammifères) possèdent  des mécanismes inhibiteurs de l’agressivité. Un être normal, doté d’une conscience, ne tue pas. Or le système d’avilissement libère les consciences en justifiant le meurtre. Il shunte un mécanisme inhibiteur essentiel qui interdit normalement les massacres de masse.

II. En Europe, Noirs et Arabes ne subissent aucun « racisme systémique »

1. Les allochtones et le racisme primaire

Les allochtones peuvent connaître en Europe, de manière totalement anecdotiques, certaines manifestations de racisme primaire (insultes, discrimination au logement…).

Les discriminations à l’emploi si souvent évoquées sont quant à elles un mythe. Nous rappelons en effet que le patronat demande constamment, depuis des décennies, qu’on laisse entrer davantage de travailleurs immigrés. Pour ne pas les faire travailler ? Soyons sérieux ! On le sait, ce n’est pas la race qui pose problème au patronat, mais le manque de compétences de certains allochtones. Les Asiatiques, quant à eux, plus compétents, ne se plaignent pas de discrimination à l’emploi.

Concernant les discriminations au logement, accabler le racisme des « Blancs », encore et toujours,  revient à masquer la complexité du problème. Soulignons, d’autre part, que les logements de banlieues, autrefois habités par des Autochtones, sont aujourd’hui habités principalement par des allochtones. Doit-on parler d’une forme d’épuration ethnique, ou de privilège allochtone au logement à loyer modéré ?

2. Pas de racisme systémique

On pourra ici où là, ne le nions pas, pointer du doigt de rares comportements authentiquement racistes de la part des Blancs. Mais ces comportements sont toujours pulsionnels et « primaires ». Il n’y a pas actuellement en Europe de système de pensée raciste qui accable un groupe non-blanc et auquel un Blanc puisse se référer pour se justifier. Il n’y a pas de racisme systémique, encore moins de « racisme d’Etat », qui avilisse et infériorise les allochtones :

  • Aucune théorie n’essentialise les Noirs, les Arabes ou les Asiatiques ;
  • Aucune doctrine ne ramène les Noirs ou la négritude (ni les Arabes ou les Asiatiques) a une nature perverse, déviante et malsaine ;
  • Aucun système de pensée ne dit que cette nature devrait être éradiquée ;
  • Aucune idéologie n’infériorise les Noirs, les Arabes ou les Asiatiques ;
  • Aucune construction intellectuelle ne légitime leur avilissement ;
  • Aucune idéologie n’est donc susceptible de désactiver la conscience des Blancs jusqu’à justifier le passage à l’acte raciste.

Le raciste primaire blanc doit mesurer ses actes à l’aune de sa propre conscience. Il lui sera impossible d’invoquer un système de pensée qui légitime ou excuse ses actes altérophobes. Ce système de pensée n’existe tout simplement pas. Dans l’émission Quotidien de Yann Barthès (février 2019), « l’historienne » noire américaine Nell Irvin Painter, a pu dire impunément : «le Blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…». Avec fausseté, elle a même pu inciter les Blancs à effacer leur blancheur en se métissant. Jamais un Blanc ne pourrait publiquement dire cela des Noirs. La chose est tout simplement inimaginable. De plus, ce serait inaudible pour les Blancs eux-mêmes, qui la condamneraient avec vigueur, justement faute d’avoir été conditionnés en amont par un hypothétique système d’avilissement des Noirs. Dans l’émission de Barthès, au contraire, le public, essentiellement blanc, a applaudi la pseudo-historienne. C’est que les gens qui faisaient partie de ce public avaient depuis longtemps été conditionnés par le système d’avilissement des Blancs.

De tout cela, il ressort qu’il n’existe pas de racisme systémique contre les Noirs. La preuve, s’il en fallait une, nous est donnée par les Noirs eux-mêmes : les Noirs qui vivent chez les Blancs font tout pour y rester, et ceux qui n’y vivent pas font tout pour y venir. Regardons les faits, tout le reste n’est que rhétorique malsaine.

Par contre, on pourra aisément décrire les éléments structurant qui charpentent un racisme systémique subi par les Blancs.

III. Le racisme antiblanc

Le système d’avilissement des Blancs repose sur la réécriture de leur passé et la dénonciation de leur présent. On établit une corrélation entre ce passé et ce présent ce qui permet de dénoncer la permanence des comportements et de prouver ainsi que ceux-ci découlent d’une nature malsaine qu’on associe subtilement à une culture, à une généalogie et à une couleur de peau. L’objectif est de démontrer que le Blanc n’est pas un homme comme les autres. Ce qui le différencie du reste de l’humanité est justement le racisme atavique dont il fait preuve, mais aussi, plus généralement, son hostilité envers les autres. Le Blanc doit donc être contraint, son identité doit être effacée. Sa rédemption ne peut se faire que par le métissage, c’est-à-dire sa destruction en tant que Blanc.

1. Le Blanc n’est pas un homme comme les autres

Le discours antiraciste politiquement correct est un discours discriminant. Quand il dénonce le racisme, ce n’est jamais celui des Noirs ou des Maghrébins, par définition victimes du racisme, mais toujours celui des Blancs. La propagande antiraciste gouvernementale se situe dans la même logique stigmatisante à l’égard des Blancs seulement (voyez par exemple la campagne « Tous Unis contre la Haine »). L’attribution du racisme aux Blancs seulement, associée à l’affirmation que le « racisme antiblanc n’existe pas » fait du racisme le caractère spécifique des Blancs.

Pour mieux nous en persuader, l’antiracisme politiquement correct, va carrément nier les réalités qui le dérangent.  Ainsi, quand un rapport de l’INED (2016), révèle qu’un Blanc sur sept dit avoir déjà été victime de racisme, l’institution s’empresse d’ajouter « ce n’est pas parce qu’on se fait insulter dans la rue que ça relève du racisme » (Patrick Simon, socio-démographe à l’INED) !

Parfois, toujours en partant du principe que le racisme est la spécificité des Blancs, on rapportera timidement des actes racistes commis par des membres d’autres groupes, mais pour aussitôt en accuser les Blancs. On parlera alors de racisme « à rebours » ou de racisme « inversé », manière de signifier que le racisme des non-Blancs n’est qu’un (juste ?) retour à l’envoyeur, qu’il n’a pas d’existence autonome et qu’il n’est qu’une conséquence du racisme des Blancs.

Prouver que le Blanc est différent, que le racisme est chez lui un comportement inné, qu’il est dans sa nature profonde, et que le Blanc, moralement inférieur, ne fait en quelque sorte pas partie de l’humanité normale, demandait qu’on revisite toute son histoire pour le prouver. Il fallait qu’un Ministère de la Vérité réécrive le Passé pour le rendre cohérent avec le système d’avilissement. C’est ce qui fut fait.

2. L’histoire des Blancs n’est pas comme celle des autres

L’histoire revisitée est fondée sur le « silence sélectif » (Bruno Gheerbrant). On parlera abondamment de la traite négrière transatlantique pratiquée par les Européens, mais il sera de bon ton de taire la traite négrière transsaharienne, pratiquée par les Arabes, pourtant bien plus cruelle et bien plus longue (pratiquée depuis le VIIIe siècle, la dernière caravane d’esclaves noirs signalée passe à travers le Sahara en 1929). On accusera les Espagnols du génocide des Indiens en Amérique, mais sans trop souligner que ce prétendu génocide fut exclusivement causé par le choc microbien. On donnera tous les détails sur les méfaits de la colonisation mais on oubliera ses côtés positifs pour les pays colonisés.

L’essentiel est d’écrire et de diffuser une histoire « à charge », une histoire qui accable, une histoire de procureur et d’accusateur public qui permettra de juger et de condamner les Blancs, et seulement les Blancs. A titre d’exemple, on construira une histoire falsifiée sur :

  • Les Croisades ;
  • L’expulsion des musulmans et des Juifs d’Espagne ;
  • Le génocide des Indiens par les Espagnols ;
  • La création du « ghetto » en Europe ;
  • La traite négrière ;
  • Le code noir ;
  • L’esclavage (à l’exclusion donc de celui subi par les Blancs, ou pratiqué par les Noirs ou les Arabes)
  • L’extermination des Indiens de la « conquête de l’Ouest » ;
  • La colonisation ;
  • L’affaire Dreyfus ;
  • Le nazisme ;
  • La Collaboration ;
  • La guerre d’Algérie ;
  • Etc.

La corruption du récit historique, par négation, oubli ou amoindrissement volontaire des faits qui disculpent les Blancs, et/ou par négation, oubli ou amoindrissement volontaire des faits qui accusent les non-Blancs, « prouve » l’infériorité morale des Blancs. Si l’on s’en tient à cette histoire officielle, puisqu’elle est enseignée à l’Ecole avec la bénédiction du régime et de l’Etat, on ne peut qu’éprouver de la honte à être Blanc. Comment ne pas se persuader qu’effectivement « le racisme est un problème de Blancs » (Reni Eddo-Lodge) ? De ce point de vue, pour le Blanc qui n’a pas suffisamment d’esprit critique ou de connaissances, être Blanc est une calamité honteuse. Par contre, puisqu’ils sont épargnés par l’histoire officielle, les Noirs ou les Arabes, par exemple, jouissent d’un véritable privilège de non-culpabilité. Par essence, le Blanc est coupable et le Noir est innocent. Ce « privilège noir » conditionne la revendication indigéniste, dans le présent cette fois-ci.

3. Le Blanc d’aujourd’hui est comme le Blanc d’hier

Le Blanc a-t-il changé ? Non, répondent les antiracistes, soutenus par le régime en place.

Il est comme le Blanc d’hier car il éprouve la même hostilité envers les autres que le Blanc d’autrefois (la xénophobie) et le même racisme récurrent. Qui aujourd’hui est, en effet, contre l’immigration, qui est contre le droit de vote des étrangers, qui discrimine à l’emploi, qui discrimine au logement, qui insulte, agresse et tue les non-Blancs, qui applaudit Marine Le Pen, qui est islamophobe, qui est un « policier-blanc », qui profane les cimetières et les mosquées, qui refuse de reconnaître sa culpabilité et sa dette morale envers l’humanité normale, bref qui est « nauséabond » si ce n’est le Blanc ? Aussi, l’imagerie de la propagande d’Etat et des ligues antiracistes (subventionnées par l’Etat) présente-t-elle toujours le « raciste type » sous les traits d’un Blanc, le plus souvent blond. La chose est intemporelle : c’est toujours le même Blanc et c’est toujours le même racisme.

Et on nous le prouve « scientifiquement » ! La CNCDH (Commission consultative nationale des droits de l’Homme) produit chaque année un « rapport » sur le racisme en France. Son tableau sur les « indices de tolérance » montre l’évolution du racisme à l’égard  des Juifs, des musulmans et de l’islam (sic !), des Maghrébins et des Noirs (un tableau ici ). Contrairement à ce qu’il semble, les autochtones blancs figurent dans ce tableau, mais du côté obscur : c’est bien l’indice de leur tolérance que l’on mesure et que l’on surveille ! Le rapport 2014 de la CNCDH, mentionné par Wikipedia, établit que 87 % des Français manifestent des préventions contre les Roms, 82% contre les gens du voyage, 56 % contre les musulmans, 46 % contre les Maghrébins, 41 % contre les Asiatiques,  31 % contre les Juifs et 23% contre les Noirs. De quels « Français » s’agit-il si ce n’est des Blancs, implicitement accusés par « l’étude » ?

4. Le racisme des Blancs doit être endigué

L’Etat républicain valide le système d’avilissement des Blancs que nous venons d’exposer, d’autant qu’il est à l’origine de l’historiographie qui infériorise les Blancs. Nous verrons pourquoi un peu plus loin.

Possédant la souveraineté, l’Etat se devait de traduire cette adhésion en actes. L’intervention étatique s’exercera sur différents plans : législatif et judiciaire, universitaire et scolaire, médiatique, politique, associatif…

L’implication de l’Etat et du régime dans la construction du système d’avilissement des Blancs prend ainsi différentes formes :

  • Hégémonie de l’Histoire falsifiée et des silences sélectifs dans l’Enseignement ;
  • Lois mémorielles qui sanctuarisent cette histoire et empêchent de la contester ;
  • Couverture médiatique des actes racistes commis par des Blancs, silence sur les autres ;
  • Loi « antiracistes » ;
  • Tribunaux spécialisés (17e chambre du Tribunal correctionnel de Paris) chargés de faire appliquer les lois antiracistes et de limiter la capacité des Blancs à se défendre ;
  • Création de ligues antiracistes, subventionnées par l’Etat, pratiquant la délation et « forçant » l’intervention du juge ;
  • Lois facilitant les « actions de groupe » des « minorités» contre les Blancs ;
  • Propagande gouvernementale racisée ;
  • « Front républicain » ;
  • Etc.

Par son action, l’Etat justifie et renforce cette impression que seul le racisme des Blancs existe, que le racisme des autres n’existe pas et que le Blanc n’est donc pas tout à fait un homme comme les autres.

Mais l’Etat nous donne aussi la feuille de route antiraciste : le Blanc doit être éduqué (par l’Ecole), il doit être surveillé (par les ligues) et il doit être puni (par la loi).

5. De quelques manifestations du racisme antiblanc

Nous l’avons dit : le système d’avilissement libère les consciences. Autrement dit, on s’autorisera envers les Blancs ce qu’on s’interdira envers tous les autres (la non-réciprocité révèle le racisme).

Par exemple, les Blancs peuvent subir légalement une discrimination à l’emploi (discrimination « positive » – sic !), l’inverse étant puni de fortes amendes. On se souvient ainsi qu’Anne Lauvergeon, alors présidente d’Areva, a pu déclarer ouvertement, sans être sanctionnée, qu’elle discriminait à l’emploi le « mâle Blanc » (« à compétences égales, et bien, désolé, on choisira la femme ou on choisira la personne venant d’autre chose que le mâle blanc, pour être clair ». Propos tenus lors du journal télévisé de France 2 le 16 octobre 2009). L’AGRIF a été débouté de sa plainte au prétexte, précise le tribunal républicain, que la position d’Anne Lauvergeon relevait « incontestablement d’un débat public d’intérêt général ». A travers la discrimination des Blancs à l’emploi nous voyons la convergence de plusieurs facteurs qui  coopèrent en « système » et se soutiennent mutuellement : le patronat oligarchique, le système judiciaire, l’idéologie politiquement correcte ambiante (le « débat public d’intérêt général »), les médias-Système (qui soutiennent), le monde politique (qui se tait)…

Les dirigeants républicains donnent d’ailleurs l’exemple sans entraîner de manifestations, de procès ou de campagne de presse. Ainsi peuvent-ils dire à la fois que les races n’existent pas mais qu’il y a trop de Blancs dans l’intelligence artificielle (Macron), dans l’attribution de la légion d’honneur (Castaner), à la télévision (Delphine Ernotte) ou au sommet de la société civile (Eva Joly). Ce racialisme est admis, pourvu qu’il soit orienté contre les Blancs.

Dans la rue, les choses sont moins feutrées. L’excellent ouvrage de Bruno Gheerbrant sur le Racisme antiblanc (en PDF ici) catégorise différentes formes de racisme de rue : « attaques descriptives », « attaques physiques et présentielles », « attaques psychologiques ».

Il n’est pas possible de faire ici une recension exhaustive du racisme antiblanc dans le « quotidien ». Signalons encore, toutefois, les attentats terroristes musulmans visant des chrétiens, c’est-à-dire dans l’imaginaire raciste, des « croisés », c’est-à-dire des Européens blancs. Signalons également, vue leur importance, les actes antichrétiens (quasiment trois par jour en 2018), et notons l’extrême faiblesse des réactions politiques et le manque de couverture médiatique.  Ici encore, racistes, médias, justice et politique font système.

IV. Pourquoi le racisme antiblanc ?

[...]3. Pour les Blancs

Les défenses immunitaires des Blancs ont été totalement neutralisées par les stéréotypes racistes qui les accablent et le système qui les avilit. De nombreux Blancs sont détruits psychologiquement. Persuadés de leur infériorité morale innée de nombreux Blancs s’accusent, s’excusent et se soumettent (ethnomasochisme). Les peuples blancs, sidérés, sont devenus des proies.

Les conséquences de l’antijaphétisme sont donc désastreuses pour les Blancs. Cependant, l’antijaphétisme, qui pose le Blanc pour mieux le détruire, le « construit » aussi dans le même mouvement. Autrement dit, il crée le Blanc et lui donne une conscience identitaire en tant que tel. Cette conscience peut être cause de souffrances morales et d’autodestruction si l’on ne s’extrait pas de la description avilissante du Blanc. Mais elle peut être aussi cause de fierté si un sentiment de révolte et d’injustice force le Blanc à ouvrir les yeux.

Aujourd’hui, l’antijaphétisme arrive à son terme. Soit les Blancs se révoltent et regagnent leur droit à l’existence, soit les Blancs se soumettent et présentent la gorge. Méfions-nous de la perfidie de l’Etat républicain, mais bénissons les stupides revendications indigénistes : si elles ne nous réveillent pas, c’est que nous sommes déjà morts.

Conclusion

Il n’y a pas de racisme systémique contre les populations non-blanches. Il n’y a, ici ou là, que des traces anecdotiques de racisme individuel.

Par contre, le racisme antiblanc se manifeste à la fois sous la forme d’un racisme individuel et d’un racisme systémique. Le système raciste en question est fondé sur le postulat raciste que le Blanc est un homme moralement inférieur, vivant en marge de l’humanité normale. Ce système coordonne sur cette base un ensemble d’éléments interagissant entre eux : une historiographie avilissante, des institutions d’Etat (université, Enseignement, Justice…), un arsenal juridique, des médias, des ligues antiracistes subventionnées et des indigénistes faisant figure de Harkis du régime. L’antijaphétisme est donc un racisme d’Etat, le seul qui soit, un racisme institutionnel, un racisme légal, un racisme structurel qui détermine l’imaginaire et le destin de la société multiraciale.

Quel est l’avenir de la population autochtone dans cette société ?

Elle n’en n’a aucun !

Le système d’avilissement et d’infériorisation implique que la population autochtone blanche disparaisse pour qu’une concorde multiraciale puisse s’installer. Nous sommes de trop chez nous. Par essence, un système raciste va toujours au bout de sa logique : l’anéantissement physique fera écho à l’anéantissement moral.

Pour conclure, nous avons voulu présenter ici une analyse globale de l’antijaphétisme d’Etat. Elle est forcément sommaire et imprécise. D’autres que nous devraient se pencher sur cette question et l’approfondir. Face au racisme systémique qui entend nous détruire, il n’y a pas cinquante solutions : il faut certes se rassembler, s’organiser et poser notre droit à l’existence. Mais pour commencer, il faut d’abord se doter de solides bases théoriques.Tout est à faire...

Article complet: https://metainfos.fr/2020/06/25/analyse-du-racisme-anti-blanc/

Le racisme anti-Blanc existe, contrairement au racisme anti-Noir

Cenator: Nulle part au monde, une civilisation n'est arrivée au point d'être aussi peu raciste envers ses minorités que ne l'est la civilisation occidentale actuelle. Plus personne n'est agressé en Occident parce qu’il est Noir, et ceci depuis des décennies. Alors que la situation inverse, des Blancs agressés par des Noirs, et même battus à mort par l'utilisation d'une violence et d'une cruauté indicible, est en augmentation. Et cela, sans parler du génocide "à petit feu" des Blancs par des Noirs en Afrique du Sud, génocide se déroulant avec le silence complice des médias et des politicards occidentaux.
Malgré cela, il est interdit de parler de la violence anti-Blancs, et surtout de la montrer, malgré que la bien-pensance ne cesse de nous parler du racisme systémique que les Noirs continueraient de subir de la part des Blancs.
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Riposte Laïque, par : Blancs agressés sauvagement par des Noirs, 1e partie:
Blancs agressés sauvagement par des Noirs : 22 vidéos-chocs ! (2e série)

Ces richesses qui portent le flambeau du vivre-ensemble ne supportent pas l’histoire de notre civilisation

Cenator.

Comme nous l’écrivions en 2018 après le déboulonnage de la statue de Louis Agassiz à Neuchâtel, la gauche suisse suit scrupuleusement l’agenda de la gauche américaine.

La chasse aux sorcières continue : à présent, la gauche neuchâteloise réclame que l’on retire la statue de David de Pury.

Malheureusement, la repentance de l’homme blanc ne s’arrête pas à la chasse aux personnages emblématiques de notre histoire et aux donateurs généreux qui ont bâti la Suisse à une époque où l’esclavage faisait partie de la culture occidentale. Depuis 2019, c’est au tour des symboles chrétiens de passer à la trappe. À Lausanne, la place St-Laurent sera rebaptisée place du 14 juin par les socialo-communistes qui dirigent la ville. Les féministes s’excitent déjà sur l’appellation de la place St-François, qu’elles rebaptisent inofficiellement place SaintE-FrançoisE. De tels changements sont aussi une forme de purge, nous rappelant les diverses révolutions bolchévique, maoïste, etc., qui ont toutes tenté, comme ces décérébrés, de réécrire l'histoire.

Ces vagues d’émeutes d’Antifa et de Black Lives Matter qui balaient actuellement toute notre civilisation ont d’autres points communs, en innovant même : l’autoflagellation des Blancs et le racisme anti-Blancs ont remplacé la chasse aux bourgeois et les autocritiques du temps de Mao, et font volontairement encore mieux. Aujourd’hui, les coupables imaginaires se bousculent au portillon.

Voici quelques exemples de ces émeutes anti-Blancs :

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À Londres, sous prétexte de protester contre la mort de George Floyd, des manifestants ont souillé le monument à la mémoire de Churchill, l’ancien Premier ministre britannique, en sprayant les mots « était un raciste » sous son nom :

Watchtower
George Floyd Protesters in London Deface a Statue of Churchill. Churchill was a Racist?

https://www.youtube.com/watch?v=F0PmVKFdknc

Il y a tout de même eu un homme pour perturber (sic !) la manifestation de Black Lives Matter et jeter à terre les panneaux des protestataires :

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À Leeds, c’est la statue de la reine Victoria qui a été souillée par des inscriptions de Black Lives Matter :

https://www.youtube.com/watch?v=Apk2iNIlFno

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À Richmond, Virginie, des manifestants ont abattu une statue de Christophe Colomb, l’ont recouverte d’un drapeau américain en feu et l’ont traînée sur le sol avant de la jeter dans un lac :

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Une pétition circule pour faire enlever les statues du roi Léopold II de Belgique :

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S’il est désormais permis de détruire des monuments historiques de la civilisation chrétienne, sera-t-il possible aussi de détruire des monuments à la gloire de Che Guevara, de Castro ou de Marx ? Pas du tout : les Occidentaux continuent au contraire à inaugurer de nouveaux monuments pour Marx, idole toujours indéboulonnable de la gauche. 

L’idéologie du vivre-ensemble s’est imposée, malgré l’évidence qu’en pratique, c’est tout le contraire qui est en train de se dérouler. 
Le nazisme a voulu faire table rase d'une partie de l’histoire de l’Allemagne pour créer l’homme nouveau, un "pur aryen". Le communisme a tenté de réécrire l’histoire à la sauce de l’Union soviétique victorieuse. Et à présent, le néo-marxisme culpabilise les Blancs pour leur passé d’esclavagistes, faisant l’impasse sur le fait que cette pratique a existé, partout et toujours, au sein des civilisations humaines.
Par ailleurs, et très malhonnêtement, ces "culpabilisateurs de Blancs" omettent de relever que ce sont les Blancs qui ont aboli l’esclavage dans la majeure partie du monde.

Nous avons décidément perdu en Occident la guerre culturelle que les marxistes mènent contre notre civilisation.

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Angleterre : les manifestations de BlackLivesMatter ont été violentes

La police de Londres a reçu pour consigne de se montrer politiquement correcte. Elle s’est laissé agresser sans réponse, et elle a choisi non seulement de laisser vandaliser la statue de Churchill, mais ensuite de poursuivre celui qui avait osé jeter à terre les panneaux hostiles à Churchill !

(sous-titres en français disponibles)

https://www.youtube.com/watch?v=zedirBi7dMY

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Formidable vidéo de Tommy Robinson au sujet des vandales qui ont souillé la statue de Churchill durant les émeutes en faveur de Floyd :

https://3speak.online/watch?v=tommyrobinson/axduhdmb

RTS : Racisme anti-Blancs – ou lorsque nos médias font du zèle pour annoncer la couleur de peau de la victime

RTS info: Vif émoi après le meurtre d'un joggeur noir par deux hommes blancs aux Etats-Unis (ndlr: la nouvelle est également diffusée partout dans la presse romande).

Deux hommes blancs accusés d'avoir tué un joggeur noir de 25 ans dans l'Etat américain de Géorgie fin février ont été arrêtés, a annoncé jeudi la police. L'arrestation survient après le vif émoi suscité aux Etats-Unis par la vidéo du drame qui vient d'être diffusée sur les réseaux sociaux. [...]

vidéo et article complet: https://www.rts.ch/info/monde/11308752-deux-hommes-blancs-arretes-pour-le-meurtre-d-un-joggeur-noir-en-fevrier.html

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Cenator : Le 8.05.2020, la RTS, avide de scandales mettant en cause les USA et de prétendus Blancs racistes, se jette sur cette information alors que bien plus d’inconnues que de certitudes entourent encore ce fait divers.
Dans un premier temps, les deux
McMichael ont été acquittés car ils n’ont rien fait d’illégal, mais la machine antiraciste s’est alors mise en marche… sans égard pour le droit mais toute acquise au « lynchage », les médias jetant sans cesse de l’huile sur le feu.

Les USA sont en année électorale et les opposants à Trump font flèche de tout bois, ils ont besoin de scandales, d’émeutes de Noirs, pour enflammer la communauté et pour pouvoir ensuite accuser Trump, et les Blancs républicains, forcément suprémacistes, de haine raciale.

Les Démocrates s’appuient sur une base électorale qui se complaît dans la posture victimaire. Le principe même du marxisme culturel consiste à monter des groupes sociaux les uns contre les autres, à créer artificiellement des méchants et des victimes, exploiter la haine raciale entre Blancs et Noirs afin de pouvoir crier au racisme et se poser en justiciers pour résoudre le problème.

En fait, la mort du « joggeur noir » n’était en rien un crime raciste et la justice n’aura pas de peine à le reconnaître.


Que s’est-il réellement passé ?

Stefan Molyneux, dans sa vidéo, décortique cette terrible tragédie en reprenant les faits à sa disposition, pour trouver une autre vérité que la soupe servie par la majorité des médias, lesquels parlent d’horribles assassins, de deux suprémacistes blancs qui ont tué de sang-froid un innocent joggeur parce qu’il était Noir.

LA VÉRITÉ SUR AHMAUD ARBERY

Vidéo avec sous-titres automatiques. Cliquez sur la roue dentée pour activer les sous-titres en anglais. Puis cliquez sur la flèche ( > ) à droite du mot «Anglais» pour activer la traduction automatique, enfin sélectionnez Français.

https://www.youtube.com/watch?v=vcB6l3r0E04


Arbery, le prétendu joggeur, se trouvait à une distance d’un semi-marathon de son domicile, où il n’y a pas de service de bus. Rien ne permet de penser qu’Arbery faisait du footing, car il portait des vêtements et des chaussures qui n’étaient pas du tout adaptés à la course à pied (chaussures de trekking montantes, short cargo long, ni eau ni snack pour courir 26,4 km, et en plus, il courait dans le sens de la circulation).

Gregory McMichael, policier à la retraite, avait été avisé qu’il y avait eu des cambriolages dans le quartier. De plus, McMichael et Ahmaud Arbery se connaissaient, car l’ancien policier avait mené l’enquête lorsqu’Arbery était venu à l’école avec une arme en 2018 et avait fait tout un foin pour se laisser désarmer. Il avait été condamné avec sursis, avec 5 ans de probation. Peu de temps après, il avait été arrêté pour vol à l’étalage (un téléviseur), mais le sursis n’était pas tombé.
McMichael n’a rien fait d’illégal. La loi de l’Etat de Géorgie permet le port d’arme et permet
aux citoyens d’interpeller une personne en cas de sérieux soupçon d’infraction. Mais Ahmaud Arbery a essayé d’arracher l’arme des mains de McMichael. Ainsi, la loi ne pouvait plus le considérer comme une personne désarmée. C’est Ahmaud Arbery qui a attaqué physiquement Gregory McMichael. Dans ces circonstances, tirer sur une personne qui veut enlever l’arme de force, c’est de l’autodéfense. Gregory McMichael ne pointait pas son arme sur Ahmaud Arbery lorsqu’il lui a crié à plusieurs reprises de s’arrêter pour lui parler. Ahmaud Arbery a ignoré ces interpellations.

Au départ de tous ces événements, McMichael avait été averti par des voisins de la présence d’Arbery. Ce dernier avait pénétré dans une maison en construction et était parti en courant lorsqu’il s’était aperçu qu’il avait été repéré. Il y avait donc violation d’une propriété privée. Gregory McMichael et son fils Travis avaient pris leur véhicule pour rattraper Arbery. Une fois le fuyard rattrapé, ils ont arrêté leur véhicule de façon à lui barrer la route et Gregory McMichael l’a interpellé. Arbery a contourné le véhicule en courant pour se retrouver en face de McMichael père et il l’a attaqué en premier, lui donnant plusieurs coups de poing. Puis il a essayé de lui arracher son arme, qui n’avait jamais été pointée contre lui. C’est alors que les coups de feu sont partis et qu’Arbery a perdu la vie. Gregory McMichael, ancien policier détective, connaissait parfaitement ses droits.

Arbery a pris une décision tragique pour échapper à la prison. Probablement il pensait arracher l’arme, neutraliser McMichael et s’en tirer ainsi. Son évaluation erronée de la situation lui a été fatale.

Le narratif fabriqué en fait un crime de suprémacistes blancs ont tiré par haine raciale sur un sportif noir en plein jogging, comme un chasseur tire sur un lapin.

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Il ne fait aucun doute que la RTS ne reviendra jamais sur cette affaire pour en montrer les véritables tenants et aboutissants et corriger l’information fausse diffusée initialement.
Le nombre de fake news diffusées par la RTS devrait donner lieu à une avalanche de plaintes pour désinformation. Et la RTS devrait être obligée d’apporter un correctif à l’antenne pour chacune d’elles.
Par ailleurs, il devrait en être de même pour toute entorse au devoir de neutralité de la RTS, aux débats biaisés et aux émissions orientées.

Rappelons encore que la RTS ne parle JAMAIS de la couleur de la peau des criminels lorsque ces derniers ne sont pas des Blancs. Et la RTS pratique également le filtrage d’informations lorsqu’elle ne rappelle pas que les prisons suisses sont submergées de musulmans, de non-Blancs, et de pigmentés de toute la palette… Tout ce beau monde non-Blanc ayant largement profité des largesses imbéciles des prestations sociales des Blancs, ces derniers votant « suicidairement » pour la Gauche.

Il faut encore savoir que le crime raciste, le crime de haine est gravement punissable aux USA, classé comme un crime fédéral, mais cela ne s’applique que si les criminels sont des Blancs. Les cas de Blancs massacrés par des Noirs (deux fois plus nombreux que l’inverse) ne sont pas considérés comme des crimes racistes !

Pour vaincre cette tendance mortifère pour les Blancs et leur civilisation, il faudrait, comme le dit si bien Gramsci, gagner l’hégémonie culturelle, c’est à dire arriver à faire entendre à la majorité de la population des informations non biaisées, en lieu et place des désinformations actuelles.

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Lien vers la vidéo montrant la fusillade mortelle contre Ahmaud Arbery à Brunswick

Attention, images pouvant heurter la sensibilité, réservées aux plus de 18 ans !

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Écoute, homme blanc – le mythe de la suprématie des Blancs

Vidéo avec sous-titres automatiques. Activer les sous-titres, puis la traduction automatique, comme ci-dessus.

https://www.youtube.com/watch?v=1qeZGq5a2aA

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voir aussi: La vérité sur George Zimmerman et Trayvon Martin :

https://youtu.be/bF-Ax5E8EJc

La vérité sur Michael Brown et les émeutes de Ferguson :

https://youtu.be/9pr1oE34bIM

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Un couple de personnes âgées blanches est assassiné mais il n’y a pas de couverture médiatique, tandis que le narratif au sujet du jogger s’effondre ?
(sous-titres en anglais, français)

https://www.youtube.com/watch?v=4bUSYAhyI-o

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Manipulation de l’opinion par les images :

Pierre Ménès et le racisme anti-Blancs : les médias contre-attaquent

Publié le 18 septembre 2019 | Étiquettes : , , ,

Pierre Ménès, habitué à dire ce qu’il pense, a estimé sur CNEWS, le 7 septembre 2019, que "le vrai problème, en France, dans le foot, c'est le racisme anti-blancs". Ce commentaire faisait suite aux récents propos de Lilian Thuram sur la “nécessité d'avoir le courage de dire que les Blancs pensent être supérieurs et qu'ils croient l'être".

Pierre Ménès n’en n’est pas à son premier coup d’essai, il avait déjà évoqué le racisme anti-blancs en 2010, lors de la Coupe du monde. Mais cette fois, ses propos ont engendré un véritable emballement médiatique. Petit florilège.

Encore un qui fait le jeu de la “fachosphère”

Les articles dans la presse généraliste s’intéressant uniquement à ces déclarations, ne sont pas si nombreux. Le vocabulaire employé tourne toujours autour des mêmes termes, “polémique”, “controverse”, ou même, “dérapage” et “propos déplacés” pour Voici ! En clair, il faut comprendre que Ménès a dit des gros mots.

Quitte à décrédibiliser son propos, autant aller jusqu’au bout. Plusieurs articles, de L’Obs à Quotidien, évoquent par la suite, la fameuse “fachosphère” et “l'extrême droite” qui se frotteraient les mains de cette sortie. Un sujet les fait bien plus réagir, celui de la possible existence ou non, du racisme anti-blancs.

De toute façon, le racisme anti-blancs, ça n’existe pas

Petits comme grands médias ont axé l’essentiel de leur production dans cette “affaire”, sur la question du racisme anti-blancs, et se sont tous empressés de montrer son absence de bien-fondé.

Quotidien nous fait un “fact-checking” (sic) des propos de Ménès, en allant interroger les joueurs d’un club de football, et comme dans ce dernier, cela se passe bien, ils sont formels, il n’y a pas de racisme anti-blanc dans le football ! Le journaliste nous rappellera de toute manière, "[qu']il n’y a aucune réalité scientifique et sociologique sur le racisme anti-blanc”. Ceci dit, rien d’étonnant quand on se rappelle l’intervention dans leur émission, de l’écrivain américaine Neil Irvin Painter.

Mais nombreux sont les autres médias à suivre Quotidien dans sa démarche, Mediapart nous parle de “l’impossibilité de penser le racisme en tant que système” ; LCI de “Lilian Thuram au cœur des critiques : peut-on vraiment parler de “racisme anti-blanc” ?” ; RTL du ““Racisme anti-blanc” : pourquoi cette expression est-elle contestée ?” ; et bien d’autres…

Pas certain de les avoir entendus pour autant dénoncer le complexe de supériorité attribué à tous les Blancs par Thuram… Comme dirait So Foot, “belle flûte Ménestrel” !

Contrairement à beaucoup, nous avons choisi une formule gratuite qui permet de mettre nos informations à la disposition de tous, indépendamment de leurs moyens. L’Observatoire est totalement indépendant, libre de toute publicité, de toute subvention, de tous actionnaires. Ce qui nous permet de donner une voix à ceux qui sont rarement entendus. Ce qui nous différencie de nombreux médias à un moment où la loyauté de l’information devient cruciale. Votre contribution, modeste ou importante, sert directement à régler la partie technique du site et à rémunérer nos rédacteurs. Chaque don bénéficie d’un reçu fiscal de 66%. Un don de 100 € ne vous coûtera que 33 €. Merci de votre soutien.

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Lilian Thuram accusé de racisme "anti-blanc"

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Rokhaya Diallo parle du racisme "anti-blanc"

Du même tonneau: http://www.lallab.org/8-raisons-de-ne-pas-utiliser-le-terme-racisme-anti-blanc/

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Exclusif. Notre étude Ifop-“Valeurs actuelles” le révèle. Pour près d’un Français sur deux — et près de sept sur dix à droite ! — le racisme anti-Blanc est une réalité “assez répandue”.

 

C’est un pavé dans la mare du politiquement correct. Pour 47 % des Français, gauche et droite confondues, “le racisme anti-Blanc est un phénomène assez répandu en France” (voir notre tableau ci-dessous). Notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles révèle un mal profond, volontairement ignoré par le pouvoir, selon qui le racisme serait (forcément) à sens unique.

« Si les électeurs de gauche se disent moins convaincus que ceux de droite, plus d’un quart d’entre eux (28 %) considère cependant ce phénomène comme “assez répandu”, ce qui est loin d’être négligeable », relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop.

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article complet:

Racismes – A propos des mâles blancs

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Michel Garroté -- Or donc, la suprématie blanche, le mâle blanc, sont sur le déclin. Soit. La suprématie blanche, ça n'a jamais été mon truc. Le mâle blanc, ça me fait penser à Polanski, DSK, Weinstein & CO. Ce n'est donc pas non plus mon truc. Cela dit, je prends acte du fait que le racisme anti-blanc, lui, non seulement n'est pas sur le déclin, mais bien au contraire, il est très tendance, à la mode, politiquement correct.
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On n'a plus le droit de dire "nègre" et pour ce qui me concerne c'est très bien qu'on n'ait plus le droit de dire "nègre" (il faut dire "black", même en français ; terminée la "négritude" défendue jadis par un black, membre de l'Académie française, terminée et personnellement cela ne m'empêche pas de dormir qu'elle soit terminée).
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Mais on a le droit d'alléguer que telle ou telle personnalité de droite serait "néo-nazie". Je signale, tout de même, que la (fausse) accusation de "néo-nazi" peut avoir de terribles conséquences pour la personnalité injustement incriminée, pour son emploi, pour sa carrière politique et pour sa famille.
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Je signale également qu'à force de voir des "néo-nazis" partout et de jouer avec le feu, on va finir par provoquer un retour au nazisme chez certains blancs (Uwe Mundlos, Uwe Böhnhardt et Ralf Wohlleben) et certaines blanches (Beate Zschäpe) extrémistes et sans cervelle.
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Et si cette personnalité traitée de soi-disant "néo-nazie" a recourt à la justice, il n'est pas impossible qu'elle soit déboutée. A ce propos, je publie, ci-dessous, des extraits (adaptés) de deux analyses, l'une de Gilles-William Goldnadel ; et l'autre de lagrif.fr (l'Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'Identité Française et Chrétienne).
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Gilles-William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Beaucoup d'encre, beaucoup de salive auront été dépensées pour commenter le commentaire présidentiel présidant à sa philosophie sur les banlieues françaises : « deux mâles blancs ne vivant pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça ». Mais l'essentiel est ailleurs. Il est, d'abord, dans l'évocation expresse de la différence chromatique.
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J'évoque souvent ce paradoxe pervers qui fait qu'il n'y a pas plus obsédé par la différence raciale qu'un antiraciste dévot qui interdit par ailleurs d'évoquer la race tout en en parlant sans cesse de manière compulsive. Mais il y a une condition expresse à cette évocation sans complexe du blanc : en parler négativement. Il ne serait pas arrivé au cerveau du président d'évoquer la couleur d'un Français blanc pour le complimenter, par exemple, pour un exploit sportif.
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Mais pour dénier à deux hommes blancs la compétence à statuer sur les banlieues, la chose était possible sans commettre une transgression médiatiquement, intellectuellement et politiquement insupportable. le mâle blanc, quand on en parle, on en parle toujours en mal. Toujours coupable, jamais victime. Quand on le voit, quand on l'imagine en blanc, quand on le montre, c'est ce flic qui enfonce une matraque dans le séant d'un noir (ce que le flic n'a d'ailleurs pas fait), ce ne sont pas deux policiers qui se font lyncher à la Saint-Sylvestre à Champigny-sur-Marne par des racailles qu'on montre.
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Le mâle blanc, c'est aussi, dans l'inconscient (ou conscient) médiatique, le macho. C'est lui la bête noire des nouvelles féministes. Et tant pis pour les femmes de Cologne ou les petites anglaises violées de Telford par des mâles pakistanais. Sous la formule "mâle blanc", on entend le racisme inconscient (ou conscient) anti-blanc ou anti-occidental, Gilles-William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Lagrif.fr écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Emmanuel Macron a rejeté le « plan banlieue » proposé par Jean-Louis Borloo. On l’en féliciterait s’il n’avait assorti son refus de l’exécrable allégation révélatrice de ce que son cerveau est idéologiquement lavé par l’antiracisme, ce racisme en sens contraire selon notre expression. Rappelons qu’il a eu en effet usé de l’argument selon lequel un rapport sur les banlieues qui serait le sien et celui de Borloo serait voué à l’échec du fait de leur appartenance sexuelle et raciale. Lisons, et pesons bien ces mots : « Deux mâles blancs qui ne vivent pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça ». Passons sur la construction un peu chaotique du propos.
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Ce qui est d’abord consternant, c’est que Macron ne parle pas sur le fond autrement que madame Anne Lauvergeon, alors présidente d’Areva, émettant lors d’un colloque à Deauville en 2009 réservé aux femmes dirigeantes, les mots que voici exactement retransmis : « À compétence égale, eh bien, désolée, on choisira euh ! la femme, ou on choisira la personne venant euh ! de… ben autre chose que le mâle blanc pour être claire ». Dans cette brillante profession de foi féministe et anti-blanche, Dame Lauvergeon ne s’aperçut même pas de son humour involontaire dans l’insistance de son propos : « pour être claire ».
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Certains émirent qu’elle se sentait peut-être un peu noire après avoir trop bu, et qu’il y avait quelque contradiction à vouloir être claire juste après avoir prôné la discrimination contre les « mâles blancs ». On a vu depuis que la compétence de madame Lauvergeon à la tête d’Areva pouvait être très discutable. Mais ce qui ne l’était pas pour elle, c’était son principe de "féminocratie" et son étrange aversion pour le recrutement de « mâles blancs », nonobstant sa vie familiale.
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Houria Bouteldja a dû frémir d’aise en entendant cette réflexion du président de la République en totale conformité avec le concept de « racisation » qu’elle introduit toujours plus dans le débat politico-social ne dissimulant même plus son racisme anti-blanc islamo-gauchiste. Et c’est « en même temps », comme il dirait, que monsieur Macron prétend combattre le communautarisme. Si intelligent soit-il sur d’autres plans, notre chef de l’État est hélas lui aussi gangréné par l’idéologie totalitaire de l’antiracisme, ce racisme en sens contraire, lagrif.fr (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Sources :
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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/05/28/31003-20180528ARTFIG00106-goldnadel-en-parlant-du-male-blanc-macron-acte-inconsciemment-le-scenario-de-la-partition.php
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http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=97:de-lauvergeon-a-macron-la-constante-et-significative-phobie-du-male-blanc&Itemid=385
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Nantes. «Sales putes de Blancs! » La manifestation contre l’esclavage en Libye tourne à l’émeute ethnique

25/11/2017 – 20h45 Nantes (Breizh-info.com) – « Sales putes de Blancs! ». Les Nantais auront eu  ce samedi 25 novembre en fin d’après-midi, un bel aperçu de la société multiculturelle apaisée et du vivre-ensemble triomphant. Près de 250 personnes, presque toutes d’origine africaine, ont fait une manifestation sauvage et bloqué les transports en commun au coeur de Nantes, à Commerce puis jusqu’à Chantiers Navals vers 18h00. Pendant ce temps, la police était presque complètement absente et plusieurs personnes (blanches) ont été lynchées par les manifestants.

Suite

France – La pensée obonohamidounienne

France-15

   
Michel Garroté  --  Dans le prolongement - historique et sociologique - de "Nique la France", Danièle Obono, une starlette black de "La France insoumise", a signé une pétition en faveur d’une chanson pissant abondamment sur la France. Et la même Obono est apparue couverte d’un foulard islamique au Parlement français.
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De son côté, Hamidou Anne  --  un black qui pratique le racisme anti-français et le racisme anti-blanc  --  explique que la France blanche et chrétienne est finie, car l’avenir du monde, c'est le métissage.
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Si j'ai bien compris cet étrange discours obonohamidounien tendance blackistan, la France n'est plus de race blanche, elle n'est plus de culture grecque et latine et elle n'est plus de religion chrétienne, désolé pour le défunt général de Gaulle et navré pour la toujours vivante Nadine Morano.
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En y réfléchissant un tout petit peu, je me dis que, peut-être, en 2017, la France, effectivement, n'est ni de race blanche, ni de culture grecque et latine, ni de religion chrétienne. Si l'on se promène dans la rue à Paris, si l'on y prend le métro ou le RER, rien n'indique que la France serait de race blanche, de culture gréco-latine ou de religion chrétienne.
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Le Français d'aujourd'hui, même lorsqu'il est "français de souche", n'est pas automatiquement "pur blanc" ; il n'a rien de gréco-latin ; et, il n'a rien, ou plus rien, de chrétien. Le Français "souchien" du métro parisien, en 2017, ressemble plutôt à un bonobo albinos, voire à un mulâtre bonobo. Rien, dans son look, ne transpire la moindre culture grecque ou latine. Et, aucun signe apparent, n'indique une quelconque appartenance chrétienne, juive ou judéo-chrétienne.
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Mais alors, serait-ce que la pensée obonohamidounienne voit juste ? Après tout, les Français de race blanche n'ont-ils pas renoncé - librement et volontairement - à "se reproduire" (du contraceptif au préservatif) ; n'ont-ils pas ouvert leur porte aux arabo-musulmans et aux blacks ; n'ont-ils pas renoncé - sans y être forcés - à toute appartenance gréco-latine et judéo-chrétienne ?
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"L’avenir du monde, c'est le métissage", dixit les obonohamidouniens. Toujours côté anti-français, certains ne disent-ils pas que "l’avenir du monde, c'est l'islam" ? L'islam métissé ou le métissage islamique, tel serait donc le choix proposé aux "souchiens post-gaulois", aux primates blancs, aux gueules enfarinées du métro parisien ? Allez ! Devenez métislamiques ! Tournez la page de cette foutue "France que j'aime" ! Foutue dans tous les sens du terme...
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 20.10.2017
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A Paris, le racisme et ses nuances

Les organisateurs du festival interdit (en partie) aux Blancs se défendent en invoquant «le droit d’avoir un espace pour se sentir en sécurité». Ils se sentent mal parmi les Blancs et désirent rester entre eux? C'est leur droit le plus strict, mais alors qu'ils aillent au bout de leur logique et retournent en Afrique, loin du terrible oppresseur blanc. Si ils restent malgré tout c'est qu'ils sont dans une logique de colonisation, car seul un colonisateur peut être à la fois favorable à l'immigration et opposé à la mixité.
Nous aussi nous ne réclamons rien d'autre qu'un espace pour se sentir en sécurité. Ça s'appelle l'Europe.

Merci à Hyperboréen pour cette introduction sur l'article du Temps à lire ICI

“Vous êtes suprémacistes blancs et islamophobes”

Soko-Wismar-Isabel-Berghout-1

   
Michel Garroté -  Non, nous ne sommes pas des suprémacistes blancs, des bonobos albinos et des islamophobes ; les journaleux qui allèguent cela sont une fois de plus d'idiots menteurs ; et ils feraient mieux de dénoncer les suprémacistes islamiques. Nous sommes blancs, certes, l'islam nous inquiète, c'est vrai, mais nous ne sommes pas des suprémacistes blancs, des bonobos albinos et des islamophobes ; nous sommes simplement soucieux face au racisme anti-blanc.
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En 1983, Pascal Bruckner publie : "Le Sanglot de l’homme blanc". En 2011, Gilles-William Goldnadel publie : "Reflexions sur la question blanche". En 2017, Georges Feltin-Tracol publie : "Qu'est-ce que le nationalisme blanc ?". En 2017 : "Un racisme imaginaire. Islamophobie et culpabilité", publié par Pascal Bruckner, aux Ed. Grasset. Poursuivi en justice pour avoir dénoncé l'antisémitisme arabo-musulman, l'historien Georges Bensoussan vient d'être relaxé. Une victoire, certes, mais cet épisode reflète l'évolution d'un antiracisme militant, de plus en plus identitaire, communautariste et liberticide, peut-on lire sur le Figarovox.
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En clair, de 1983 [Pascal Bruckner : 'Le Sanglot de l’homme blanc'] à 2017 [Georges Feltin-Tracol : 'Qu'est-ce que le nationalisme blanc ?' ; et 'Un racisme imaginaire. Islamophobie et culpabilité', de Pascal Bruckner], nous ne faisons que nous défendre face au racisme anti-blanc.
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Petit tour du monde anti-blanc et pro-islam :
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Suède : Des migrants arabes et africains chassent un Suédois et veulent le tuer car il est blanc. Pas un mot dans les médias. Les médias occidentaux et nos journalistes en particulier savent très bien ce qui se passe en Suède. Et les médias européens ne veulent plus diffuser la réalité. Nous sommes prisonniers de leur bon vouloir, de leur mauvaise volonté.
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France : Laura Slimani, une socialiste, traite le maire de Montpellier de « vieux mâle blanc ». A noter que cette femme est "Responsable égalité femmes-hommes". Cela démontre toute l'hypocrisie de ce féminisme de gauche qui n'est en réalité qu'une forme de haine à l'encontre des hommes. Les golems conçus par les socialistes se retournent contre ces derniers, usant de la rhétorique que la gauche leur a fournie, tout en bénéficiant du statut de victimes éternelles qui les exonère d'une quelconque culpabilité.
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France : Gilles-William Goldnadel, dans une analyse intitulée "Caricature 'antisémite' de Macron - encore un faux procès des antiracistes ! ", revient sur la polémique suscitée par la caricature supposée « antisémite » des Républicains à l’égard d’Emmanuel Macron. Il rappelle que les mêmes qui s’offusquent aujourd’hui – L’Obs et Le Monde, principalement – ont publié, eux aussi, en 2014, des caricatures reprenant les mêmes attributs (voir lien vers source en bas de page).
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France : Ariel Melles, sur JSSNews : "Et les dessins antisémites de Plantu, on en parle ? On a beaucoup parlé ces derniers jour de la malheureuse caricature de Macron faite par les LR. Le dessinateur s’est fait assassiné sur place. Et le parti s’est excusé. Et Fillon a dénoncé le dessin. Mais on se souviendra surtout de la horde de journalistes de gauche, vomissant le dessin. Mais alors, pourquoi pas un mot sur les dessins de Plantu. Je n’en prendrait que deux en exemple, mais il y en a tellement d’autres. Pour le premier, les excuses sont toutes vues : 'c’est pas antisémite, tout juste anti-sioniste', ouais ouais…" (voir lien vers source en bas de page).
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Royaume-Uni : "Si vous êtes un mâle blanc, vous êtes une espèce menacée et vous allez bientôt devoir travailler deux fois plus dur." Les récents propos de John Allan, président du conseil d'administration du groupe de distribution britannique Tesco, ne sont pas passé inaperçus. Aujourd'hui, s'est-il plaint, "il vaut mieux être une femme ou avoir des origines ethniques, et si possible les deux". A l'occasion d'une conférence d'aspirants dirigeants d'entreprises, John Allan s'est ému que les hommes blancs soient en danger d'extinction dans les conseils d'administration. "Pendant mille ans, les hommes ont tenu la plupart de ces fonctions, la balance penche maintenant nettement dans l'autre sens et va continuer à le faire dans un avenir prévisible, je pense,  a ajouté John Allan (voir lien vers source en bas de page).
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Afrique du Sud : En Afrique du Sud, il y a risque de conflit racial et de guerre civile, en cas d’expropriation des fermiers blancs. Le président d'Afrique du Sud Jacob Zuma (qui veut instaurer un système de contrôle sur les médias pour répondre au "défi" des "fausses informations"...) demande au parlement de modifier la Constitution afin de pouvoir exproprier les propriétaires blancs de leurs terres sans aucun dédommagement. "Nous devons reconnaître le fait que ceux qui siègent au parlement, notamment les partis noirs doivent s'unir car il nous faut deux tiers des voix pour apporter des amendements à la Constitution, a déclaré le président Zuma. En vertu de la législation en vigueur en Afrique du Sud, les autorités sont obligées de payer une compensation en cas d'expropriation.
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Le parti au pouvoir, l'ANC, subit une pression de la part de la gauche radicale, plus particulièrement des Economic Freedom Fighters (Combattants pour la liberté économique). Leur chef de file, Julius Malema, connu pour ses propos incendiaires en faveur de l'expropriation des propriétaires blancs, a annoncé que son parti était prêt à soutenir l'ANC et a déclaré : "Peuple d'Afrique du Sud, si vous voyez une belle terre, prenez la, elle vous appartient". Si le président sud-africain présente l'expropriation des Blancs sans compensation comme un pas vers la réconciliation raciale, les fermiers blancs évoquent de leur côté une aggravation du conflit ethnique. Le Conseil populaire des Boers-Afrikaners regroupant 40'000 personnes a fait savoir qu'il prendrait l'expropriation sans compensation pour une déclaration de guerre (voir lien vers source en bas de page).
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A noter l'existence des "Suidlanders" qui sont membres d’une ONG sud africaine (Afrikaners) tentant d’anticiper le basculement progressif de l’Afrique du Sud vers une situation d’anarchie, et, surtout, la menace de plus en plus pressante qui pèse sur les Blancs, largement minoritaires, et, comme écrit plus haut, persécutés dans tout le pays (voir lien vers source en bas de page).
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Un acte de légitime défense ethno-civilisationnel :
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Face au racisme anti-blanc, l'analyste Aristide Leucate [dont je ne partage pas toutes les idées] riposte comme ceci : Dossier particulièrement audacieux, sinon osé, en tout cas très politiquement incorrect que celui que nous propose la dernière livraison de la rafraîchissante et coruscante revue de « désintoxication idéologique », Réfléchir & Agir, dossier consacré au « nationalisme blanc ». Georges Feltin-Tracol, son maître d’œuvre, non sans avoir souligné que « le public francophone ignore tout de ce courant de pensée », précise qu’il est spécialement « apparu en Amérique du Nord et dans le monde anglo-saxon vers les années 1980. Le nationalisme blanc, poursuit-il, ne se confond pas avec le suprémacisme. Quand le suprémaciste considère que sa race est supérieure aux autres, le nationaliste blanc défend, lui, la sienne à-côté (et non avec) d’autres groupes raciaux. Les nationalistes blancs se détournent des habituels milieux loufoques ».
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Sont alors passés en revue les auteurs les plus emblématiques de ce mouvement d’idées. Ainsi, le Sud-Africain, Arthur Kemp qui considère que Bâtir le foyer blanc, du nom de son ouvrage éponyme parus chez Akribéia, participerait d’« une stratégie de survie pour les Européens devant le flot montant des peuples de couleur ». Dans son livre, il se dit, d’ailleurs, convaincu que « c’est la séparation géographique, et non la ségrégation, qui est la seule solution politique à même de sauver la civilisation occidentale ». Le philosophe américain, Greg Johnson, ayant publié, chez le même éditeur, Le nationalisme blanc. Interrogations et définitions, en tient, pour ce qui le concerne, pour la « défense de la souveraineté native de tous les groupes ethniques blancs », ce, dans une perspective gramscienne d’« hégémonie culturelle et politique totale ».
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Son compatriote, William D. Johnson, chef de l’American Freedom Party prône une « troisième voie », ni libérale, ni conservatrice, plutôt populiste et traditionnelle d’une « société homogène et patriarcale » et, cela va sans dire, entièrement leucocytaire. Jared Taylor (auteur, aux éditions de L’Æncre, de L’Amérique de la diversité) emprunte, quant à lui, la démarche anti-remplaciste d’un Renaud Camus dans la mesure où il constate que « le problème du remplacement se pose uniquement dans les pays de peuplement européen ». Le moins que l’on puisse dire est que l’on ressort plutôt sonné par la lecture roborative d’un dossier qui couvre tout le champ géographique de la question puisque sont également abordés l’Afrique du Sud (et son expérience d’enclave afrikaner du nom d’Orania) et l’Australie (et son mouvement identitaire-populiste One Nation présidée par Pauline Hanson).
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Mais, aussi passionnants soient les articles et entretiens s’efforçant de dessiner les contours de ce lourd et épais concept de « nationalisme blanc », l’on demeure circonspect, surtout lorsque l’on regarde dans le rétroviseur de notre Weltanschauung européenne. Inopérant à une époque, pas si lointaine, où l’Europe était à peu près racialement et ethniquement homogène, le concept de « nationalisme blanc » n’est, toutefois, guère plus recevable aujourd’hui, même à l’heure blafarde du turbo-remplacisme ethnocidaire. Nous considérons, en effet, qu’il est atteint d’un vice rédhibitoire, celui d’avoir été forgé par les héritiers de ceux-là mêmes qui, au nom de la « Destinée manifeste », n’eurent aucun scrupule à massacrer les autochtones des pays conquis. Indécent sophisme qui le démonétise en bloc et, atteint dans sa cohérence logique, le fragilise considérablement.
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Si nous saisissons parfaitement l’enjeu vital qu’il y a à préserver notre héritage ethno-génétique (étant précisé que l’ethnie se définit comme la propriété d’un groupe humain possédant indivis un héritage socio-culturel commun, en particulier la langue), son équation se pose, selon nous, exclusivement en termes d’aires civilisationnelles où les interactions entre race et culture concourent, précisément, à conférer des traits singuliers à tel groupe humain appartenant en propre à une civilisation donnée. Aussi, comme le suggère avec raison Georges Feltin-Tracol, convient-il de ne pas exagérer l’apport et la portée du concept de « nationalisme blanc », lequel doit s’entendre, a minima, « comme une action défensive dans l’immédiat, un bouclier momentané. Il ne peut être finalement que l’amorce d’une idée plus satisfaisante : le communautarisme albo-européen chez nous en Europe ». Un acte de légitime défense ethno-civilisationnel, en quelque sorte, conclut Aristide Leucate (voir lien vers source en bas de page).
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Ma conclusion :
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Le nationalisme blanc devrait donc s’entendre comme une action défensive dans l’immédiat, un bouclier momentané et un acte de légitime défense ethno-civilisationnel. Pour ce qui me concerne, je préfère mon concept non-racial de "défense de la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne", concept essentiellement culturel que je développe, que je défends et que je valorise, sur Internet, depuis 2007, soit depuis dix ans.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Sources :
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https://lesobservateurs.ch/2017/03/14/suede-plus-de-50-migrants-arabes-et-africains-chassent-un-suedois-et-veulent-le-tuer-car-il-est-blanc-video-a-voir-absolument/
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http://www.bvoltaire.fr/goldnadel/caricature-antisemite-de-macron-faux-proces-antiracistes,318872?mc_cid=6f6bcf1bb3&mc_eid=df9a483440
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http://jssnews.com/2017/03/13/et-les-dessins-antisemites-de-plantu-on-en-parle/
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http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/les-hommes-blancs-sont-en-danger-d-extinction-s-inquiete-un-patron-britannique_1888309.html#xtor=AL-447
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https://fr.sputniknews.com/international/201703061030346054-expropriation-fermiers-blancs-conflit-racial-afrique-sud/
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http://www.breizh-info.com/2017/03/19/64930/afrique-du-sud-les-suidlanders-organisent-la-protection-des-blancs
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http://eurolibertes.com/societe/nationalisme-blanc-legitime-defense-civilisationnelle/
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https://reflechiretagir.com/dernier-numero/
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Paris: Des racailles africaines agressent des Blancs (Vidéo)

Une scène banale de la France d’aujourd’hui, dans les transports en commun d’Ile-de-France. Des Africains agressent des Blancs, dont une femme courageuse.

Le coup de pied dans la tête d’une personne à terre, très dangereux, est typique tout comme l'attaque d'un deuxième protagoniste sur un Blanc: le surnombre, la lâcheté et la violence gratuite sont leur marque de fabrique.

Sur le profil facebook où la vidéo a été postée, des dizaines d’immigrés ont signalé le plaisir ou la joie qu’elle leur procurait :

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Source

France: Rivalités ethniques, racisme anti-blanc et islamisation : les prisons se transforment en poudrières

Dans les prisons françaises, où les tensions atteignent leur paroxysme, la loi du plus fort règne et la radicalisation islamique fait son chemin.

[....] les tensions qui sont en train de transformer la prison en poudrière. Les « petits Blancs » sont devenus une minorité qui se vit dans une relation conflictuelle avec les détenus musulmans, majoritaires. Ils se sentent l’objet d’un racisme inversé, habités par une véritable conscience de l’exil, la certitude d’être déracinés en Ile-de-France. Leurs propos, recueillis par le sociologue, en font foi; il y a une hostilité croissante vis-à-vis de détenus musulmans qui affirment leur identité et dont les « Gaulois » minoritaires supportent mal la culture de banlieue.

[...] Les musulmans forment entre 40% et 60% de la population carcérale (En l’absence de statistiques légales, l’administration pénitentiaire s’appuie sur les inscriptions au ramadan). [...]

Parmi les détenus musulmans, pratiquants ou non, c’est la minorité salafiste qui est la plus active, fanatique ou simplement piétiste. Ceux qui ont rompu avec l’ »islam olé olé », comme le précise un détenu qui est revenu à la rigueur archaïque de sa religion. Discussions sur ce qui est halal, apprentissage de l’arabe, prières collectives, imitation de la vie du Prophète; même un nombre croissant de « Gaulois » égarés en quête de sens se convertissent. [...]

Cette prison travaillée par une intense ethnicité est en train de devenir une poudrière. Surveillants antillais méprisant les Noirs africains, Noirs et Maghrébins des cités contre « autochtones », mépris interethnique des gardiens; seul l’islam fonctionne, pour beaucoup, comme une solide référence commune, au-delà de la religion. [...]

L’Express via Fdesouche.com

Les Blancs doivent s’excuser d’être Blancs [vidéo]

Hostiles à la France et au Québec, des féministes intersectionnelles soutiennent que les Blancs doivent s'excuser du simple fait d'être Blancs. Elles affirment se sentir tellement agressées par ce qu'elles perçoivent comme un «système de la suprématie blanche» qu'elles ont besoin de «safe spaces».

Conférence complète ICI

Source et autres articles sur Poste de veille

 

Voir aussi cette manifestation de Noirs près de Paris (St-Denis) le 27/11/2014

Réinformation. Les brèves de Radio Courtoisie

Des offres d’emploi réservées aux non blancs

Le site Internet Fdesouche illustre un nouvel exemple du grand remplacement en Europe. L’association anglaise Creative Accesspropose des offres de stage ou de travail en alternance en précisant que toutes les offres sont, je cite : « Réservées aux personnes de nationalité britannique issues des minorités noires, asiatiques ou non blanches ». Il est utile de préciser que le grand groupe de média BBC, le groupe d’éditions Hachette ou encore Google soutiennent cette démarche.

Jeunesse désorientée : 1 jeune sur 5 se dit prêt à coucher pour réussir

Trois quarts des jeunes de 18 à 24 ans sont « prêts à tout » pour réussir en entreprise, et près d'un sur cinq irait même jusqu'à « coucher », selon un sondage OpinionWay publié lundi. Selon ce sondage, réalisé pour les éditions Tissot, spécialisées en droit du travail, 53 % des salariés interrogés se disent « prêts à tout » pour réussir, davantage les hommes que les femmes et surtout les jeunes 75 %, contre 51 % des 35 49 ans et 44 % des 50 ans et plus. Mais, ce qui est le plus efficace, tous âges confondus, serait de « flatter les chefs ».

Sondage du Point : une grande majorité de lecteurs sont pour le retour d’un service militaire

A la question « Faut il établir un service militaire d’un an pour les jeunes de 18 ans qui n’ont ni travail ni formation ?» les lecteurs du Point sont sans appel. 88 % d’entre eux disent oui. S’agit il d’une pure réaction sécuritaire ou d’un rejet d’une politique trop laxiste envers les jeunes ? L’avenir nous le dira...

Source

France – Camp d’été interdit aux blancs

Tintin-6

   
Des proches des Indigènes de la République ont lancé un camp de formation à l'antiracisme politique de quatre jours, du 25 au 28 août 2016, ouvert à 150 personnes, qui aura lieu près de Reims. Il est précisé sur le site : « Le camp d'été est réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d'État en contexte français, nous accepterons cependant quelques inscriptions de personnes subissant le racisme d'État mais vivants dans d'autres pays ».
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Une précision qui exclut donc les personnes blanches, qui ne souffrent pas selon les organisateurs de « racisme structurel ». Loin d'être une initiative isolée, ce camp est l'exemple d'un phénomène de plus en plus répandu dans les mouvements de la gauche radicale. Ainsi, à l'Université Paris 8 mi-avril, en marge des manifestations contre la loi travail, un groupe de réflexion « organisé en non mixité », proposait de donner la parole sur le sujet exclusivement à des personnes « non-blanches ».
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Le principe de «non-mixité» provient directement des études féministes et postcoloniales des universités américaines.  Ainsi la commission « féminisme » de Nuit Debout revendique ouvertement la non-mixité. Sont exclus de certains débats les hommes cisgenres (hétérosexuels). Les militantes débattent dans un secteur délimité par des ficelles tendues que n'ont pas le droit de franchir les hommes.
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Adaptation et mise en page de Michel Garroté
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