Des images ont été filmées d'une jeune fille blanche, menue, de 16 ans brutalement et gratuitement agressée par une bande de huit jeunes femmes afro-australiennes dans le métro à Melbourne. Personne ne lui vient en aide. La maman de la jeune fille a coupé la moitié de la vidéo pour des raisons de censure. Dans la partie coupée, la jeune fille était trainée par terre, piétinée et elle recevait des coups de pieds. Hématomes, yeux au beurre noir, traumatismes internes, côtes cassées, et un traumatisme psychologique en sont résultés. C'est pour l'agression de cette jeune fille que les manifestations planétaires auraient dû avoir lieu. Un "plus jamais ça" devrait faire la une de tous les médias.
Mais dans la "réalité médiatique", la manipulation des masses par les "marxo-mondialistes" est devenue si efficace que c'est pour George Floyd, un droit commun, bâti comme une armoire à glace, ayant aussi attaqué et traumatisé des femmes seules à leur domicile, que la planète s'est soulevée durant des semaines. La mort de George Floyd a fait la une de presque tous les médias, la condamnation de cet acte a été planétaire, les politiciens et policiers se sont affichés comme pro-Floyd.
Par contre, en Suisse, la diffusion des images montrant l'agression susmentionnée dans le métro de Melbourne, fait problème, bien que la partie la plus violente ait été enlevée.
***
Avi Yemini résume la vidéo:
Avertissement: la vidéo que vous allez regarder est choquante et si quelqu'un a du cœur, il sera brisé en la voyant.
Mais je dois vous la montrer, et vous devez la transmettre, car tout le monde a besoin de voir ce qui est arrivé à cette jeune fille de 16 ans sans défense dimanche 14 juin à la gare de Southern Cross.
Dire que cette bande était si fière de son comportement lâche qu'elle l'a partagé sur Snapchat, cela me donne envie de vomir.
Ce qui est effrayant, c'est que cela s'est passé en plein jour, devant des passants qui n'ont rien fait pour aider l'enfant sans défense.
Comment peut-on voir une telle chose arriver à une jeune fille de 16 ans et refuser d'intervenir ?
La mère de la victime dit que le pire n'a même pas été partagé: quelques instants plus tard, ils ont fait tomber sa fille du banc et l'ont piétinée.
La jeune fille a été hospitalisée avec de nombreuses blessures, dont des côtes cassées.
Terrifiée, elle n'ose pas faire une déclaration à la police par crainte de représailles.
La police dit qu'elle ne peut pas ouvrir une enquête sans déclaration de la victime.
Avi Yemini: Pourquoi vous cache-t-on cette agression violente ?
lien vers la vidéo: https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=Z9FPYyjcgb4&feature=emb_logo
*****
Les responsables de telles exactions racistes anti-Blancs, ce sont des personnes influentes de la gauche progressiste, comme certains professeurs d'université, des enseignants, qui lavent le cerveau des jeunes avec le marxisme culturel et son pendant, l’antiracisme, comme dans ce cas tout récent:
Par exemple, ci-dessous, une enseignante dit que les enfants ont besoin d'enseignants "marxistes" pour empêcher les "parents d'extrême droite" de laver le cerveau de ses élèves:
https://www.thesun.co.uk/news/11877164/labour-teacher-marxist-brainwashing/
18 juin 2020
****
D’autres responsables du racisme anti-blanc, dans ce contexte tragique de déclin civilisationnel, sont des responsables d'églises chrétiennes ayant transformé le christianisme en un parti invasionniste. Le pape actuel semble être la personnalité phare de cette tendance, qui ne sert plus le christianisme, mais promeut l'idéologie marxiste, qui détruit la civilisation des Blancs sur leurs propres terres.
Jorge Mario Bergoglio, alias Pape François, après qu'il ait servi l'idéologie marxiste, offre à présent sa génuflexion au fascisme Noir en pleine terreur Black Lives matter qui balaye l'Occident.
La civilisation chrétienne aurait besoin plus que jamais de leaders qui la défendent, qui s'opposent à l'islamisation, qui redonnent la foi et le morale aux chrétiens.
Elle a besoin d’une Église qui soit capable de défendre efficacement les chrétiens persécutés dans le monde, qui donne envie de vivre sa foi, au lieu de vouloir faire une politique immigrationniste et islamo-œcuménique.
*****
Mais les principaux coupables et responsables des exactions contre les Blancs, leur civilisation sont des journalistes, qui importent des États-Unis toute cette idéologie néo-marxiste sans une once de critique.
Non seulement ils l'approuvent et gardent un silence assourdissant sur le déchaînement de barbarie contre les Blancs, mais ils encouragent la persécution de ceux qui osent aller à contre-courant, comme par exemple, oser critiquer les mouvements BLM et Antifa. L'hégémonie intellectuelle des journalistes de gauche a conduit les Occidentaux, de paradigmes culpabilisants en paradigmes culpabilisants (antiracisme, climat, féminisme, Black lives mater, etc...), à renier leurs valeurs, leurs raisons d'être fiers d'eux-mêmes et pousse finalement toute une civilisation à sa perte.
*****
S'il existe, comme la gauche antiraciste l'affirme, une culpabilité systémique et universelle des Blancs envers les Noirs, de même qu'une injustice systémique des Blancs envers les Noirs, cela sous-entend que si un Noir agresse un Blanc, il ne fait que lui faire payer ce dont le Blanc est, par essence, coupable.
Ce genre de raisonnement est une invitation à commettre des exactions envers les Blancs, leurs biens, et tout ce qui émane d'eux. La notion de justice communément admise, qui implique la responsabilité et la culpabilité individuelle, change complètement de sens.
Si les pseudo-victimes Noirs, imaginaires ou par procuration, ont le droit de faire payer les Blancs pseudo-coupables pour des supposées culpabilités héréditaires, nous en arriverons dans un monde de post-vérité (un terme que la gauche s'est déjà approprié à son avantage), où le sens du bien et du mal serait vidé de sa substance : l'injuste deviendrait le juste, le vrai deviendrait le faux, le juste l'injuste, et toute forme de barbarie pourrait recevoir sa légitimité, un monde "Mad Max", comme le définit Alexandre Del Valle.
Commentaires, traductions: Cenator
***********
ANALYSE DU RACISME ANTI-BLANC
Nier le racisme antiblanc, c’est affirmer que le Blanc ne connaît pas ce que connaissent les autres hommes. C’est le mettre à part de l’humanité « normale ». Nier le racisme antiblanc revient donc à prouver l’existence du racisme antiblanc.
Qu’est-ce que le racisme ? Le dictionnaire Littré (1863-1877) ignore le mot. Le Larousse du XXe siècle (1932) définit le racisme comme une « doctrine », le Petit Larousse de 1946 comme une « théorie », celui de 1960 comme un « système ». Le Petit Robert de 1962 revient sur l’idée de « théorie » mais ajoute aussi que le « racisme » peut être un « comportement ». Le Petit Larousse de 1997 y voit une « idéologie », un « comportement » et une « attitude d’hostilité », et le CNTRL, aujourd’hui, un « ensemble de théories et de croyances », voire une « attitude d’hostilité pouvant aller jusqu’à la violence »…
I. Formes générales du racisme
1. Le racisme « primaire » ou « individuel »
Dans le monde animal, les comportements ou les attitudes d’hostilité sont déclenchés par des instincts (souvent de survie) ou des pulsions primaires que l’on rencontre chez tous les animaux, y compris l’homme. C’est pourquoi, l’éthologie montre que le racisme, comme comportement ou attitude, est fréquent dans le règne animal. Une abeille sera chassée si elle se trompe de ruche. Un bovin sera malmené par son troupeau s’il possède une robe atypique. Un chimpanzé sera attaqué s’il a une « différence », telle la poliomyélite. Les fourmis se prémunissent des « étrangères » en entourant leurs nids de « phéromones territoriales ». Celles qui les ignorent seront découpées en morceaux. Une poule dont vous aurez peint la crête en bleue sera agressée par ses congénères. Un rat qui se « trompe » de communauté sera sauvagement attaqué. Etc.
On dira que ce racisme animal est un racisme « primaire » ou « individuel ».
2. Le racisme systémique
Quelle est la différence entre une « théorie », un « système » ou une « doctrine » et une « attitude d’hostilité » pulsionnelle ? Elle est énorme. La théorie est un système de pensée organisé, une construction intellectuelle, qui fait appel à des concepts ou des notions plus où moins abstraits, c’est-à-dire à des capacités qu’aucun animal ne possède, sauf l’homme.
Un racisme comme « système » (un système raciste ou un racisme systémique) est un racisme pensé. C’est un système d’avilissement dont le but est d’inférioriser l’autre. Le racisme systémique ne se situe pas au niveau de la pulsion, du préjugé irrationnel ou de l’acte irréfléchi. C’est une construction intellectuelle fondée sur des postulats qui mènent, lorsqu’on les accepte, à des conclusions « logiques » qui désactivent les consciences et entraînent le passage à l’acte. Par exemple, la Bible pose que Cham était pervers. Puis elle montre, exemples à l’appui, que les Cananéens, descendants de Cham, perpétuent depuis toujours l’idolâtrie et les mauvais comportements de leur ancêtre. Enfin, elle dit que les Cananéens sont le Mal et qu’il faut choisir entre l’expression du mal ou le règne de Dieu. Au final, elle justifie l’extermination des Cananéens, qui sera bientôt chose faite.
Généralement, un système d’avilissement commence par désigner sa cible, le « groupe out » (Desmond Morris), celui dont on ne fait pas partie. Puis il « prouve » les aspects déviants, pathologiques, malsains de ce groupe. Il avilit le passé du groupe out et alerte sur son présent. Il donne ainsi au groupe out une « nature », forcément mauvaise, commune à tous ses membres, qui est soit à l’état latent, soit pleinement « opérationnelle ». Tout dans le groupe out doit donc être rejeté : sa culture, ses traditions, sa manière de vivre ou de penser. Le groupe out, par nature pervers et malfaisant, doit être surveillé, enfermé ou détruit.
Le racisme primaire perd ses limites naturelles lorsqu’il est adossé au racisme systémique. Il change de nature. Tous les êtres humains (et tous les mammifères) possèdent des mécanismes inhibiteurs de l’agressivité. Un être normal, doté d’une conscience, ne tue pas. Or le système d’avilissement libère les consciences en justifiant le meurtre. Il shunte un mécanisme inhibiteur essentiel qui interdit normalement les massacres de masse.
II. En Europe, Noirs et Arabes ne subissent aucun « racisme systémique »
1. Les allochtones et le racisme primaire
Les allochtones peuvent connaître en Europe, de manière totalement anecdotiques, certaines manifestations de racisme primaire (insultes, discrimination au logement…).
Les discriminations à l’emploi si souvent évoquées sont quant à elles un mythe. Nous rappelons en effet que le patronat demande constamment, depuis des décennies, qu’on laisse entrer davantage de travailleurs immigrés. Pour ne pas les faire travailler ? Soyons sérieux ! On le sait, ce n’est pas la race qui pose problème au patronat, mais le manque de compétences de certains allochtones. Les Asiatiques, quant à eux, plus compétents, ne se plaignent pas de discrimination à l’emploi.
Concernant les discriminations au logement, accabler le racisme des « Blancs », encore et toujours, revient à masquer la complexité du problème. Soulignons, d’autre part, que les logements de banlieues, autrefois habités par des Autochtones, sont aujourd’hui habités principalement par des allochtones. Doit-on parler d’une forme d’épuration ethnique, ou de privilège allochtone au logement à loyer modéré ?
2. Pas de racisme systémique
On pourra ici où là, ne le nions pas, pointer du doigt de rares comportements authentiquement racistes de la part des Blancs. Mais ces comportements sont toujours pulsionnels et « primaires ». Il n’y a pas actuellement en Europe de système de pensée raciste qui accable un groupe non-blanc et auquel un Blanc puisse se référer pour se justifier. Il n’y a pas de racisme systémique, encore moins de « racisme d’Etat », qui avilisse et infériorise les allochtones :
- Aucune théorie n’essentialise les Noirs, les Arabes ou les Asiatiques ;
- Aucune doctrine ne ramène les Noirs ou la négritude (ni les Arabes ou les Asiatiques) a une nature perverse, déviante et malsaine ;
- Aucun système de pensée ne dit que cette nature devrait être éradiquée ;
- Aucune idéologie n’infériorise les Noirs, les Arabes ou les Asiatiques ;
- Aucune construction intellectuelle ne légitime leur avilissement ;
- Aucune idéologie n’est donc susceptible de désactiver la conscience des Blancs jusqu’à justifier le passage à l’acte raciste.
Le raciste primaire blanc doit mesurer ses actes à l’aune de sa propre conscience. Il lui sera impossible d’invoquer un système de pensée qui légitime ou excuse ses actes altérophobes. Ce système de pensée n’existe tout simplement pas. Dans l’émission Quotidien de Yann Barthès (février 2019), « l’historienne » noire américaine Nell Irvin Painter, a pu dire impunément : «le Blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…». Avec fausseté, elle a même pu inciter les Blancs à effacer leur blancheur en se métissant. Jamais un Blanc ne pourrait publiquement dire cela des Noirs. La chose est tout simplement inimaginable. De plus, ce serait inaudible pour les Blancs eux-mêmes, qui la condamneraient avec vigueur, justement faute d’avoir été conditionnés en amont par un hypothétique système d’avilissement des Noirs. Dans l’émission de Barthès, au contraire, le public, essentiellement blanc, a applaudi la pseudo-historienne. C’est que les gens qui faisaient partie de ce public avaient depuis longtemps été conditionnés par le système d’avilissement des Blancs.
De tout cela, il ressort qu’il n’existe pas de racisme systémique contre les Noirs. La preuve, s’il en fallait une, nous est donnée par les Noirs eux-mêmes : les Noirs qui vivent chez les Blancs font tout pour y rester, et ceux qui n’y vivent pas font tout pour y venir. Regardons les faits, tout le reste n’est que rhétorique malsaine.
Par contre, on pourra aisément décrire les éléments structurant qui charpentent un racisme systémique subi par les Blancs.
III. Le racisme antiblanc
Le système d’avilissement des Blancs repose sur la réécriture de leur passé et la dénonciation de leur présent. On établit une corrélation entre ce passé et ce présent ce qui permet de dénoncer la permanence des comportements et de prouver ainsi que ceux-ci découlent d’une nature malsaine qu’on associe subtilement à une culture, à une généalogie et à une couleur de peau. L’objectif est de démontrer que le Blanc n’est pas un homme comme les autres. Ce qui le différencie du reste de l’humanité est justement le racisme atavique dont il fait preuve, mais aussi, plus généralement, son hostilité envers les autres. Le Blanc doit donc être contraint, son identité doit être effacée. Sa rédemption ne peut se faire que par le métissage, c’est-à-dire sa destruction en tant que Blanc.
1. Le Blanc n’est pas un homme comme les autres
Le discours antiraciste politiquement correct est un discours discriminant. Quand il dénonce le racisme, ce n’est jamais celui des Noirs ou des Maghrébins, par définition victimes du racisme, mais toujours celui des Blancs. La propagande antiraciste gouvernementale se situe dans la même logique stigmatisante à l’égard des Blancs seulement (voyez par exemple la campagne « Tous Unis contre la Haine »). L’attribution du racisme aux Blancs seulement, associée à l’affirmation que le « racisme antiblanc n’existe pas » fait du racisme le caractère spécifique des Blancs.
Pour mieux nous en persuader, l’antiracisme politiquement correct, va carrément nier les réalités qui le dérangent. Ainsi, quand un rapport de l’INED (2016), révèle qu’un Blanc sur sept dit avoir déjà été victime de racisme, l’institution s’empresse d’ajouter « ce n’est pas parce qu’on se fait insulter dans la rue que ça relève du racisme » (Patrick Simon, socio-démographe à l’INED) !
Parfois, toujours en partant du principe que le racisme est la spécificité des Blancs, on rapportera timidement des actes racistes commis par des membres d’autres groupes, mais pour aussitôt en accuser les Blancs. On parlera alors de racisme « à rebours » ou de racisme « inversé », manière de signifier que le racisme des non-Blancs n’est qu’un (juste ?) retour à l’envoyeur, qu’il n’a pas d’existence autonome et qu’il n’est qu’une conséquence du racisme des Blancs.
Prouver que le Blanc est différent, que le racisme est chez lui un comportement inné, qu’il est dans sa nature profonde, et que le Blanc, moralement inférieur, ne fait en quelque sorte pas partie de l’humanité normale, demandait qu’on revisite toute son histoire pour le prouver. Il fallait qu’un Ministère de la Vérité réécrive le Passé pour le rendre cohérent avec le système d’avilissement. C’est ce qui fut fait.
2. L’histoire des Blancs n’est pas comme celle des autres
L’histoire revisitée est fondée sur le « silence sélectif » (Bruno Gheerbrant). On parlera abondamment de la traite négrière transatlantique pratiquée par les Européens, mais il sera de bon ton de taire la traite négrière transsaharienne, pratiquée par les Arabes, pourtant bien plus cruelle et bien plus longue (pratiquée depuis le VIIIe siècle, la dernière caravane d’esclaves noirs signalée passe à travers le Sahara en 1929). On accusera les Espagnols du génocide des Indiens en Amérique, mais sans trop souligner que ce prétendu génocide fut exclusivement causé par le choc microbien. On donnera tous les détails sur les méfaits de la colonisation mais on oubliera ses côtés positifs pour les pays colonisés.
L’essentiel est d’écrire et de diffuser une histoire « à charge », une histoire qui accable, une histoire de procureur et d’accusateur public qui permettra de juger et de condamner les Blancs, et seulement les Blancs. A titre d’exemple, on construira une histoire falsifiée sur :
- Les Croisades ;
- L’expulsion des musulmans et des Juifs d’Espagne ;
- Le génocide des Indiens par les Espagnols ;
- La création du « ghetto » en Europe ;
- La traite négrière ;
- Le code noir ;
- L’esclavage (à l’exclusion donc de celui subi par les Blancs, ou pratiqué par les Noirs ou les Arabes)
- L’extermination des Indiens de la « conquête de l’Ouest » ;
- La colonisation ;
- L’affaire Dreyfus ;
- Le nazisme ;
- La Collaboration ;
- La guerre d’Algérie ;
- Etc.
La corruption du récit historique, par négation, oubli ou amoindrissement volontaire des faits qui disculpent les Blancs, et/ou par négation, oubli ou amoindrissement volontaire des faits qui accusent les non-Blancs, « prouve » l’infériorité morale des Blancs. Si l’on s’en tient à cette histoire officielle, puisqu’elle est enseignée à l’Ecole avec la bénédiction du régime et de l’Etat, on ne peut qu’éprouver de la honte à être Blanc. Comment ne pas se persuader qu’effectivement « le racisme est un problème de Blancs » (Reni Eddo-Lodge) ? De ce point de vue, pour le Blanc qui n’a pas suffisamment d’esprit critique ou de connaissances, être Blanc est une calamité honteuse. Par contre, puisqu’ils sont épargnés par l’histoire officielle, les Noirs ou les Arabes, par exemple, jouissent d’un véritable privilège de non-culpabilité. Par essence, le Blanc est coupable et le Noir est innocent. Ce « privilège noir » conditionne la revendication indigéniste, dans le présent cette fois-ci.
3. Le Blanc d’aujourd’hui est comme le Blanc d’hier
Le Blanc a-t-il changé ? Non, répondent les antiracistes, soutenus par le régime en place.
Il est comme le Blanc d’hier car il éprouve la même hostilité envers les autres que le Blanc d’autrefois (la xénophobie) et le même racisme récurrent. Qui aujourd’hui est, en effet, contre l’immigration, qui est contre le droit de vote des étrangers, qui discrimine à l’emploi, qui discrimine au logement, qui insulte, agresse et tue les non-Blancs, qui applaudit Marine Le Pen, qui est islamophobe, qui est un « policier-blanc », qui profane les cimetières et les mosquées, qui refuse de reconnaître sa culpabilité et sa dette morale envers l’humanité normale, bref qui est « nauséabond » si ce n’est le Blanc ? Aussi, l’imagerie de la propagande d’Etat et des ligues antiracistes (subventionnées par l’Etat) présente-t-elle toujours le « raciste type » sous les traits d’un Blanc, le plus souvent blond. La chose est intemporelle : c’est toujours le même Blanc et c’est toujours le même racisme.
Et on nous le prouve « scientifiquement » ! La CNCDH (Commission consultative nationale des droits de l’Homme) produit chaque année un « rapport » sur le racisme en France. Son tableau sur les « indices de tolérance » montre l’évolution du racisme à l’égard des Juifs, des musulmans et de l’islam (sic !), des Maghrébins et des Noirs (un tableau ici ). Contrairement à ce qu’il semble, les autochtones blancs figurent dans ce tableau, mais du côté obscur : c’est bien l’indice de leur tolérance que l’on mesure et que l’on surveille ! Le rapport 2014 de la CNCDH, mentionné par Wikipedia, établit que 87 % des Français manifestent des préventions contre les Roms, 82% contre les gens du voyage, 56 % contre les musulmans, 46 % contre les Maghrébins, 41 % contre les Asiatiques, 31 % contre les Juifs et 23% contre les Noirs. De quels « Français » s’agit-il si ce n’est des Blancs, implicitement accusés par « l’étude » ?
4. Le racisme des Blancs doit être endigué
L’Etat républicain valide le système d’avilissement des Blancs que nous venons d’exposer, d’autant qu’il est à l’origine de l’historiographie qui infériorise les Blancs. Nous verrons pourquoi un peu plus loin.
Possédant la souveraineté, l’Etat se devait de traduire cette adhésion en actes. L’intervention étatique s’exercera sur différents plans : législatif et judiciaire, universitaire et scolaire, médiatique, politique, associatif…
L’implication de l’Etat et du régime dans la construction du système d’avilissement des Blancs prend ainsi différentes formes :
- Hégémonie de l’Histoire falsifiée et des silences sélectifs dans l’Enseignement ;
- Lois mémorielles qui sanctuarisent cette histoire et empêchent de la contester ;
- Couverture médiatique des actes racistes commis par des Blancs, silence sur les autres ;
- Loi « antiracistes » ;
- Tribunaux spécialisés (17e chambre du Tribunal correctionnel de Paris) chargés de faire appliquer les lois antiracistes et de limiter la capacité des Blancs à se défendre ;
- Création de ligues antiracistes, subventionnées par l’Etat, pratiquant la délation et « forçant » l’intervention du juge ;
- Lois facilitant les « actions de groupe » des « minorités» contre les Blancs ;
- Propagande gouvernementale racisée ;
- « Front républicain » ;
- Etc.
Par son action, l’Etat justifie et renforce cette impression que seul le racisme des Blancs existe, que le racisme des autres n’existe pas et que le Blanc n’est donc pas tout à fait un homme comme les autres.
Mais l’Etat nous donne aussi la feuille de route antiraciste : le Blanc doit être éduqué (par l’Ecole), il doit être surveillé (par les ligues) et il doit être puni (par la loi).
5. De quelques manifestations du racisme antiblanc
Nous l’avons dit : le système d’avilissement libère les consciences. Autrement dit, on s’autorisera envers les Blancs ce qu’on s’interdira envers tous les autres (la non-réciprocité révèle le racisme).
Par exemple, les Blancs peuvent subir légalement une discrimination à l’emploi (discrimination « positive » – sic !), l’inverse étant puni de fortes amendes. On se souvient ainsi qu’Anne Lauvergeon, alors présidente d’Areva, a pu déclarer ouvertement, sans être sanctionnée, qu’elle discriminait à l’emploi le « mâle Blanc » (« à compétences égales, et bien, désolé, on choisira la femme ou on choisira la personne venant d’autre chose que le mâle blanc, pour être clair ». Propos tenus lors du journal télévisé de France 2 le 16 octobre 2009). L’AGRIF a été débouté de sa plainte au prétexte, précise le tribunal républicain, que la position d’Anne Lauvergeon relevait « incontestablement d’un débat public d’intérêt général ». A travers la discrimination des Blancs à l’emploi nous voyons la convergence de plusieurs facteurs qui coopèrent en « système » et se soutiennent mutuellement : le patronat oligarchique, le système judiciaire, l’idéologie politiquement correcte ambiante (le « débat public d’intérêt général »), les médias-Système (qui soutiennent), le monde politique (qui se tait)…
Les dirigeants républicains donnent d’ailleurs l’exemple sans entraîner de manifestations, de procès ou de campagne de presse. Ainsi peuvent-ils dire à la fois que les races n’existent pas mais qu’il y a trop de Blancs dans l’intelligence artificielle (Macron), dans l’attribution de la légion d’honneur (Castaner), à la télévision (Delphine Ernotte) ou au sommet de la société civile (Eva Joly). Ce racialisme est admis, pourvu qu’il soit orienté contre les Blancs.
Dans la rue, les choses sont moins feutrées. L’excellent ouvrage de Bruno Gheerbrant sur le Racisme antiblanc (en PDF ici) catégorise différentes formes de racisme de rue : « attaques descriptives », « attaques physiques et présentielles », « attaques psychologiques ».
Il n’est pas possible de faire ici une recension exhaustive du racisme antiblanc dans le « quotidien ». Signalons encore, toutefois, les attentats terroristes musulmans visant des chrétiens, c’est-à-dire dans l’imaginaire raciste, des « croisés », c’est-à-dire des Européens blancs. Signalons également, vue leur importance, les actes antichrétiens (quasiment trois par jour en 2018), et notons l’extrême faiblesse des réactions politiques et le manque de couverture médiatique. Ici encore, racistes, médias, justice et politique font système.
IV. Pourquoi le racisme antiblanc ?
[...]3. Pour les Blancs
Les défenses immunitaires des Blancs ont été totalement neutralisées par les stéréotypes racistes qui les accablent et le système qui les avilit. De nombreux Blancs sont détruits psychologiquement. Persuadés de leur infériorité morale innée de nombreux Blancs s’accusent, s’excusent et se soumettent (ethnomasochisme). Les peuples blancs, sidérés, sont devenus des proies.
Les conséquences de l’antijaphétisme sont donc désastreuses pour les Blancs. Cependant, l’antijaphétisme, qui pose le Blanc pour mieux le détruire, le « construit » aussi dans le même mouvement. Autrement dit, il crée le Blanc et lui donne une conscience identitaire en tant que tel. Cette conscience peut être cause de souffrances morales et d’autodestruction si l’on ne s’extrait pas de la description avilissante du Blanc. Mais elle peut être aussi cause de fierté si un sentiment de révolte et d’injustice force le Blanc à ouvrir les yeux.
Aujourd’hui, l’antijaphétisme arrive à son terme. Soit les Blancs se révoltent et regagnent leur droit à l’existence, soit les Blancs se soumettent et présentent la gorge. Méfions-nous de la perfidie de l’Etat républicain, mais bénissons les stupides revendications indigénistes : si elles ne nous réveillent pas, c’est que nous sommes déjà morts.
Conclusion
Il n’y a pas de racisme systémique contre les populations non-blanches. Il n’y a, ici ou là, que des traces anecdotiques de racisme individuel.
Par contre, le racisme antiblanc se manifeste à la fois sous la forme d’un racisme individuel et d’un racisme systémique. Le système raciste en question est fondé sur le postulat raciste que le Blanc est un homme moralement inférieur, vivant en marge de l’humanité normale. Ce système coordonne sur cette base un ensemble d’éléments interagissant entre eux : une historiographie avilissante, des institutions d’Etat (université, Enseignement, Justice…), un arsenal juridique, des médias, des ligues antiracistes subventionnées et des indigénistes faisant figure de Harkis du régime. L’antijaphétisme est donc un racisme d’Etat, le seul qui soit, un racisme institutionnel, un racisme légal, un racisme structurel qui détermine l’imaginaire et le destin de la société multiraciale.
Quel est l’avenir de la population autochtone dans cette société ?
Elle n’en n’a aucun !
Le système d’avilissement et d’infériorisation implique que la population autochtone blanche disparaisse pour qu’une concorde multiraciale puisse s’installer. Nous sommes de trop chez nous. Par essence, un système raciste va toujours au bout de sa logique : l’anéantissement physique fera écho à l’anéantissement moral.
Pour conclure, nous avons voulu présenter ici une analyse globale de l’antijaphétisme d’Etat. Elle est forcément sommaire et imprécise. D’autres que nous devraient se pencher sur cette question et l’approfondir. Face au racisme systémique qui entend nous détruire, il n’y a pas cinquante solutions : il faut certes se rassembler, s’organiser et poser notre droit à l’existence. Mais pour commencer, il faut d’abord se doter de solides bases théoriques.Tout est à faire...
Article complet: https://metainfos.fr/2020/06/25/analyse-du-racisme-anti-blanc/