« Animalia », « L’oreille aveugle », « Le nez dans le soleil ». Les nouveaux livres d’Oskar Freysinger bientôt disponible en librairie !

Ils arrivent ! Les derniers ouvrages d'Oskar Freysinger aux éditions Selena seront en librairie à l’office du 17 mai 2024 en France et dans tous les pays francophones !

Animalia

La lecture de « brave new world » et « 1984 » vous a procuré des angoisses ? Avec « Animalia », vous allez rire jaune à en mourir. Cette « cacatopie » semble être l’oeuvre d’un La Fontaine ayant abusé d’hallucinogènes ou d’un Ésope en plein délire psychédélique. Le résultat est plus décapant, déjanté et délirant que « la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie » (Lautréamont). Bref, c’est du jamais lu ! En ouvrant les pages de ce texte inclassable, vous saurez comment les suceurs d’âme du mont Kibo (Klaus Schwab et le WEF) tentent de transformer la jungle en jardin des délices artificiels, l’ordre naturel en chaos organisé et la relativité en absolu. Leur « grande recette » cherchant à imposer à l’humanité le meilleur des mondes impossibles aura-t-elle raison de l’espoir ? La terre est-elle irrémédiablement condamnée à devenir trop parfaite pour être viable ?

Animalia

L'oreille aveugle / Le nez dans le soleil [double livre recto-verso]

L'oreille aveugle

Ce récit est inspiré par la vie d’un jeune homme sourd-muet, autiste, et condamné à devenir aveugle, qui a choisi une voie inattendue pour affronter la cruauté du sort. Refusant la rassurante quiétude du système psychosocial qui veut lui retirer la responsabilité de sa vie, il décide de partir en voyage et d’affronter tout seul les vicissitudes du vaste monde. Conservant soigneusement les odeurs, les ambiances et les impressions recueillies lors de ses pérégrinations, il constituera une formidable galerie intérieure où son esprit pourra déambuler lorsque ses liens avec le monde extérieur seront à jamais coupés.

L'oreille aveugle

Le nez dans le soleil

Désespéré et désireux de mettre fin à sa vie, Pépé traine les pattes sur les rives d’un bisse* lorsqu’il s’étale de tout son long et fourre le nez dans un pissenlit. Ébahi, il reste longtemps à contempler cette fleur radieuse aux mille pétales qui lui renvoie dans les yeux toute la lumière du monde. Lorsqu’il se relève, Pépé se sent investi d’une mission botanique qu’il va poursuivre avec passion et obstination. Plus question pour lui de voir les pissenlits par la racine avant l’heure.

Le nez dans le soleil

Un Valaisan condamné pour avoir sali Oskar Freysinger

Diffamation Entre les deux tours de l’élection au Conseil d’Etat en 2017, un Valaisan avait voulu faire passer Oskar Freysinger pour un raciste sur un réseau social. Il est condamné pour diffamation.

Par Gilles Berreau 14.03.2021

Un Valaisan a été condamné pour diffamation par le Tribunal de Martigny pour des propos tenus en 2017 lors de la campagne électorale valaisanne. Ce Chablaisien avait posté sur Twitter la phrase «je ne suis pas raciste, parce que le racisme est un crime. Et le crime c’est pour les Noirs», en faisant croire qu’elle était publiée par […] Oskar Freysinger […]

suite réservée aux abonnés: https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/un-valaisan-condamne-pour-avoir-sali-oskar-freysinger-1057523

Oskar Freysinger : “Le côté obscure de la lumière”, compte rendu

Le côté obscur de la lumière

 

Le tout dernier ouvrage d'Oskar Freysinger représente un intérêt à plus d'un titre. C'est avant tout l'occasion de découvrir une personnalité, ayant marqué la vie politique du pays, qui se livre au public de manière inédite. On y fait connaissance avec un homme d'une profondeur et d'une densité que le personnage public qu'il était ne lui permettait pas d'exprimer. Même ses détracteurs, pour autant qu'ils fassent preuve d'honnêteté, sauront reconnaître la valeur humaniste du personnage. Le fait de s'être isolé, parfois comme un ermite, loin du bruit médiatique, lui a certainement permis de produire une oeuvre authentique. C'est notamment l'occasion de découvrir l'amour que le Valaisan éprouve pour la Corse, île où il se rend très régulièrement et puise une partie de son inspiration.

 

Même s'il y a un certain nombre d'anecdotes à propos de la vie politique dans cet ouvrage, on retient avant tout la dimension poétique d'Oskar Freysinger. Le livre est, en effet, parsemé de poèmes qui surgissent au gré des événements qui relatent la dernière année de son mandat politique. En dehors des tumultes de la vie politique, il n'est pas épargné non plus, durant cette période, dans sa vie familiale. Frappé par la disparition de son père puis de son beau-père, Oskar Freysinger leur rend à chacun un hommage émouvant en leur consacrant une place importante dans son oeuvre. On peut également y découvrir le discours du 1er août, prononcé à Vercorin en 2016 à l'occasion de la fête nationale, qui a très certainement marqué l'esprit des citoyens présents ce jour là.

 

Face à l'adversité et aux coups bas, relayés par certains médias à la botte du système, on découvre un personnage qui souffre et qui doute mais qui sait également se ressaisir une fois la tempête passée. L'écriture semble être une thérapie particulièrement efficace pour se reconstruire. Sa famille, dans laquelle la solidarité semble être une valeur essentielle, lui permet sans aucun doute de rebondir. Le couple qu'il incarne avec sa femme Ghislaine fait preuve de solidité face à des moments particulièrement âpres. Bien évidemment, tout ceci ne se déroule pas à travers un long fleuve tranquille, c'est plutôt un travail de Sisyphe comme le suggère le petit logo qui parsème le livre.

 

Oskar Freysinger est un être marqué par la spiritualité. Celle-ci se retrouve aussi bien dans ses réflexions métaphysiques qu'humoristiques. Certains personnages, politiques ou non, qui lui ont mis des bâtons dans les roues, en font les frais. Même si sa plume est parfois acerbe quand il décrit ses adversaires, on perçoit qu'il n'est pas motivé par un désir de vengeance à leur égard. Ces réflexions sont, avant tout, faites pour décrire de manière authentique son état d'esprit du moment.

 

L'ouvrage, édité par Brinkhaus Verlag, fait 340 pages mais il se lit assez aisément. Sa grande force est de délivrer un message qui peut inspirer chacun d'entre nous. Il a véritablement écrit l'ouvrage avec ses tripes en se livrant comme il ne l'avait jamais fait. Personne n'est épargné par les difficultés au cours de sa vie, la question est de savoir par quel moyen s'en sortir. L'échec (électoral en l'occurence) fut une formidable opportunité pour Oskar Freysinger. Il lui a permis de se reconstruire, de s'éloigner de la politique politicienne et de retrouver une liberté qui lui est si chère.

 

Alimuddin Usmani, 11.9.2018

 

Suisse : Oskar Freysinger envisage son retour en politique

C’est le come-back politique de l’année. Oskar Freysinger envisage de s’engager dans la campagne sur les juges étrangers, dont la votation est agendée au 25 novembre.

«Je ne l’exclus pas», nous confirme-t-il depuis ses vacances en Corse. Pourrait-il être un des porte-parole romands de cette initiative qui exige la primauté du droit suisse? «Éventuellement.»

(...)

Source et article complet Via le Facebook du PNS

Oskar Freysinger opposé à Alain Jeannet : L’indépendance des médias. La Vidéo !

Débat entre MM. Oskar Freysinger et Alain Jeannet sur l'indépendance des médias et sous la férule débonnaire de M. Guy Mettan, directeur du club suisse de la presse.

Un Oskar Freysinger très en verve devant un public conquis et un Alain Jeannet faisant front avec plus que du courage.

Introduction, M. Adrien de Riedmatten, coordinateur romand.
Allocution finale, M. le Conseiller national Luzi Stamm, vice-président de l'ASIN.

Vendredi 13 octobre 2017, dès 19h30, Château d'Aigle, Salle des Excellences.

 

 

 

Source

Oskar Freysinger règle ses comptes avec les médias. Face à lui, l’ancien rédacteur du journal de gauche l’Hebdo est débordé.

Très en verve, Oskar Freysinger règle ses comptes avec une presse qu’il estime en grande partie responsable de sa non-réélection en mars dernier.  (...)

«En Valais, lorsque j’étais au Conseil d’Etat, les journalistes du Nouvelliste avaient la consigne de ne pas parler de ce que je faisais de positif. Je le sais de leur propre bouche», affirme-t-il sous les murmures réprobateurs.

(...)

Oskar Freysinger prend toute la place, domine largement le débat. Son adversaire, l’ancien rédacteur en chef de L’Hebdo Alain Jeannet, peine à s’imposer face à ce monstre de rhétorique (...).

Source et article complet

 

Helvétie, minarets, porte-avions et Oskar

« La Suisse dans l’histoire aura le dernier mot. »

Victor Hugo: « La Légende des siècles. »

 

 

Par Dominique Schwander

 

En Suisse comme partout en Europe, les musulmans font des pressions incessantes pour obtenir accommodements et concessions conformes à leur islam-idéologie, élargir leur champ d’influence, grignoter le pouvoir et nos lois et malmener la démocratie, cela sournoisement sans encore affirmer clairement et ouvertement, ni leurs idées totalitaires et ségrégationnistes, ni leurs objectifs de jihad offensif, ni leur imposition de la charia. Jusqu’où vont-ils nous mener à leur fantaisie se sont demandés de plus en plus d’Helvètes clairvoyants?

Nombre de parents se sont rendus compte que les revendications sans fin des musulmans gangrènent nos écoles publiques: demandes de dispense de cours de natation, de gymnastique et d’histoire, conflits autour de la nourriture, contestation de nombreuses connaissances enseignées au programme scolaire de l’instruction publique, enseignement de notre Hymne national chrétien, théorie de l’évolution, histoire et science de la vie, contraception, avortement, virginité, liberté religieuse et de conscience, égalité entre les sexes, contestation du contenu des cours d’histoire lorsque l’islam est mis en cause, boycott des cours touchant à l’holocauste, lors d’excursions scolaires refus de visiter des sites historiques qui comprennent églises, couvents, signes religieux, opposition aux camps scolaires mixtes, exigence de lieux et de classes non mixtes, restriction de toutes les occasions de mixité à l’école et dans le domaine public, refus d’examen et d’interrogation des filles par un homme, interdiction d’organiser des fêtes ou des manifestations pendant le ramadan, interruptions des cours pour motif de prières et de ramadan, interdiction des fêtes comme sapin de Noël, oeufs de Pâques, anniversaires, demandes de certificats de virginité, existence de mariages forcés de mineures et de majeures, de crimes d’honneur et de mutilations sexuelles d’enfants, contestation de l’autorité sur les élèves mâles des enseignantes et directrices d’écoles au seul motif de leur sexe féminin, refus de serrer la main aux enseignants, refus d’examen par le médecin et le dentiste scolaire, refus que les élèves suisses portent leurs vêtements traditionnels, etc. Et autres absurdités, telle qu’il faut, vu l’éventualité de perdre leur virginité comme l’affirme des guides doctrinaires musulmans entre autres Ali Khamenei, interdire la bicyclette aux filles qui vont à l’école.

A observer toutes ces revendications des musulmans pratiquants, nombre d'enseignants et parents d’élèves, ont conclu, avec raison, que la communauté musulmane n’a aucun respect du caractère obligatoire de l’école publique dans notre pays, renient nos traditions, nos valeurs et nos vertus et, de plus et surtout, font preuve quotidiennement de ne pas vouloir s’assimiler et au contraire de mettre tout en oeuvre pour nous coloniser.

Pour compléter le tableau voyons encore quelques faits:

  • Certains de nos directeurs et directrices de l’instruction publique ignorent que l’enseignement de la natation dans les écoles a été introduit il y a plus de quarante ans pour lutter contre les quelques 300 décès annuels par noyade chez les enfants et les adolescents. Le budget du Département militaire fut mis à contribution et, grâce à cet enseignement, ces décès diminuèrent drastiquement. Et voilà que certains veulent faire marche arrière pour satisfaire une idéologie extra-européenne néfaste. Plus nos autorités acceptent de telles demandes, plus les adolescentes sont stigmatisées et gardées en isolement, moins les musulmans s’assimilent et plus ils ont de nouvelles exigences.
  • Les guides doctrinaires musulmans, avec une indulgence machiste, épargnent évidemment les garçons et les jeunes hommes de nombre de ces interdits de l’islam-idéologie. Les demandes de dispense ne concernent tout simplement pas les mâles musulmans.
  • En Suisse dans les écoles coraniques et les centres musulmans, les guides de l’islam-idéologie enseignent à des milliers d’enfants musulmans le sexisme, l’endogamie idéologique, l’auto-exclusion, l’infériorité des femmes, la ségrégation, l’apartheid, la polygamie, l’exclusion de l’autre, l’intolérance, le rejet de notre civilisation, de nos lois et de nos valeurs morales et démocratiques.
  • En France voisine par exemple, c’est bien pire. Alors qu’aucun musulman pratiquant est obligé de prier dans une mosquée, en irrespect de la loi de 1905, les élus français adorent favoriser et, avec l’argent des autres, financer la construction de mosquées et d’écoles coraniques pour leur nouveau lumpenprolétariat d’électeurs. En France il y a déjà plusieurs milliers de mosquées. Cela correspond à plus de 300.000 m2 de territoire conquis. A 1 m2 par musulman pratiquant qui prie ostensiblement, cette surface va certainement rapidement se multiplier. Leurs imams sont habituellement soit disciples du salafisme, salafisme qui est l’islam dur pour les purs, soit disciples des frères musulmans, soit rétribués par les pétromonarchies. Ceux qui ne le croient pas devraient lire la deuxième édition du livre de Joachim Véliocas: « Ces maires qui courtisent l’islamisme ». Ces maires français n’utilisent plus le terme mosquée, terme français dérivé  de l’espagnol « mezquita ». Pour tromper les contribuables ils parlent en novlangue de centres culturels et religieux  alors qu’il n’y a qu’une manière de traduire en français le mot arabe « masdjid » qui signifie « lieu où l'on se prosterne », « culos en pompa» comme le disent les Espagnols. Tout comme Munich eut une responsabilité écrasante dans le nazisme, Paris, Londres devenu Londonistan, Stockholm, Berlin et Bruxelles ont une responsabilité énorme en ce qui concerne la reconquête de l’Europe par l’islam-idéologie. Les dirigeants politiques français feraient mieux de moins critiquer les Polonais, les Hongrois, etc, et de plus critiquer les musulmans pratiquants, leurs élus islamo-collabos et eux-mêmes.

Le 29 novembre 2009, grâce à la campagne menée par l’UDC Oscar Freysinger, les Suisses refusèrent aux immigrants musulmans le droit de manifester leur « religion » de manière ostentatoire en construisant de nouveaux minarets. Nombre de musulmans pratiquants ont alors montré combien ils sont bien trop susceptibles pour vivre dans une démocratie directe.

L’interdiction des minarets par les Suisses fut, aussi bien un vote du Souverain en faveur de l’assimilation, de la tolérance et du principe de réciprocité, qu’un vote pour dénoncer le fossé qui sépare, ce que pense de l’islam-idéologie la majorité du peuple le Souverain, de ce que persistent à croire et faire croire nombre d’élus islamo-collabos et de dirigeants politiques européens. Tant d’élus suisses ont fait le choix de dissoudre la Suisse dans l’Eurabia puis l’Eurislam que beaucoup de leurs électeurs perdent confiance dans leurs gouvernants. Ce qui est extraordinaire chez certains de ces élus idiots utiles, ce qui les rend irremplaçables, c’est qu’ils sont tellement stupides et aveugles qu’ils ne se rendent même pas compte qu’ils ne sont plus à l’écoute du Souverain, mais manipulés par l’UE, les USA et des musulmans pratiquants.

Lors de cette votation de 2009 contre les minarets, le message du Souverain helvétique à ses élus fut:

  • Arrêtons de traiter les musulmans avec tant d’égards et de générosité parce qu’ils sont violents, revendicateurs, arrogants, remplissent nos prisons, coûtent cher aux contribuables, ont du pétrole et de traiter les Suisses avec mépris, qu’ils soient chrétiens ou athées, parce qu’ils sont civilisés, consensuels, affables, discrets, respectueux, travailleurs, des entrepreneurs innovants et que ceux qui ont la foi pratiquent discrètement de vraies religions personnelles et intimes. Soyons fiers d’être des Suisses. Nous n’avons aucune raison à nous excuser d’être Suisses. Comme en 2009, nous avons à leur prouver que nous sommes nous, que nous défendons la préférence nationale, aimons la Suisses notre patrie et les Suisses et n’inversons pas nos valeurs.
  • Les élus politiques du pays neutre qu’est la Suisse doivent éviter de s’ingérer dans les affaires politiques de pays étrangers et les critiquer, doivent éviter de devenir des complices de l’ingérence des USA et de leur satellite l’UE dans les pays musulmans tout particulièrement, mais ne doivent plus tolérer que des pays, en particulier musulmans et leurs ressortissants se mêlent de tout chez nous.
  • Toute concession aux musulmans reste une concession idéologique grotesque, carnavalesque, burlesque ou barbare, même si on l’appelle un compromis ou si on la cache sous un autre vocable. Les musulmans ont le devoir de respecter le principe de réciprocité. Ils ont le droit de vivre en musulmans pratiquants, de préférence dans leurs pays musulmans, par contre les Suisses n’ont pas l’obligation de s’adapter à leur inculture étrangère, à leurs exigences, à leurs violences, à leur vision animale du sexe et à leur islam-idéologie. L’histoire a prouvé qu’il n’y a que des accommodements déraisonnables avec l’islam, le contenu barbare, fanatique et antidémocratique de son coran, ses hadiths et ses fatwas.
  • Nous ne vous avons pas élus pour que vous désintégriez notre Etat-nation et le peuple suisse en le privant de sa mémoire historique nationale par déculturation, tout en brisant son unité, ses valeurs et ses vertus par une immigration inconsidérée, démesurée, militante et fort coûteuse, de plus avec des immigrants extra-européens qui. depuis une génération et pour la grande majorité, ne veulent pas faire l’effort de s’assimiler.
  • Nous ne voulons pas de leurs minarets, de leur soit-disante religion, de leurs « valeurs », de leurs mœurs, de leur « culture », de leur vision moyenâgeuse de la société, des femmes, des enfants et du monde, que la Suisse et l’Europe deviennent tiers-monde, que change notre vie, notre culture et notre avenir, que des immigrés profitent allègrement de notre système social sans rien ou guère apporter au pays et par dessus le marché de devoir payer des impôts pour ce qu’est en train de devenir la Suisse en dérive et pour ce foutoir qu’est devenue l’UE.

Vu leurs votes, la majorité des Suisses semblent bien être d’avis que:

  • L’islam-idéologie insulte tout citoyen et toute citoyenne helvétiques épris de liberté, d’égalité des sexes, de logique, de raison et de démocratie directe.
  • Toute soumission aux musulmans et accommodement avec l’islam ou autre idéologie encourage à d’avantage de radicalisme et diminue la qualité de l’enseignement publique, nos libertés, notre manière de vivre et notre qualité de vie.
  • Que signifie, dans une démocratie être tolérant quand on est agressé par l’intolérable et l’intolérance et que le principe de réciprocité n’est pas respecté? Sans réciprocité il ne peut y avoir de dialogue entre civilisations différentes ou d’accord entre Etats-nations. Comment accepter le cruel abattage rituel halal en Europe quand on ne peut pas manger du porc dans un vol de compagnie aérienne de pays musulman, qu’un expatrié doit demander un permis cochon-alcool dans l’émirat d’Abu Dabi ou une licence personnelle pour acheter et boire de l’alcool au Qatar?
  • La régression des conditions féminines dans les écoles et dans les cours de récréation est devenue un grave problème de l’enseignement public, pas seulement en France mais aussi en Suisse.
  • L’islam-idéologie n’est pas une doctrine religieuse comme le catholicisme ou le protestantisme, mais un projet politico-idéologique-légal totalitaire et colonisateur qui ne sait exister que par la guerre sainte, le prosélytisme, la ségrégation, la conquête et la victoire, conquête qui consiste aussi à s’approprier de notre territoire en implantant des minarets dans notre pays.
  • Contrairement à ce que répète l’idéologie relativiste et multiculturaliste de la gauche vertueuse, d’autres groupes bien-pensants et les idiots utiles, toutes les civilisations et les cultures ne se valent pas et toutes ne méritent pas le même respect.
  • Contrairement à notre démocratie directe, l’islam est un bunker idéologique qui ne s’accorde jamais avec le réel, mais fait la guerre sainte pour que notre réel  du XXI ème siècle se soumette à l’islam.
  • Les musulmans s’organisent progressivement et dès qu’ils le peuvent en état  musulman dans notre Etat-nation.
  • Tous les immigrants accueillis en Suisse, musulmans inclus, doivent s’adapter, s’assimiler et se conformer à la culture dominante helvétique, aux valeurs de notre pays et de notre démocratie, en particulier séparer leur « religion » de l’Etat, être Suisse avant d’être musulman et s’assimiler dans notre humanisme du XXI ème siècle ou retourner vivre dans un des nombreux pays musulmans à faible densité de population.
  • En Suisse comme ailleurs, les musulmans réclament, avec arrogance, la laïcité pour les autres, mais surtout pas pour eux; à ce sujet il nous faut garder à l’esprit  que nos cantons et la Suisse ne sont pas laïques comme la France. Les musulmans pratiquants réclament la suppression des sapins de Noël, des chansons de Noël et des oeufs de Pâques, la suppression des chansons et des hymnes qui contiennent des références à Dieu ou à Jésus-Christ, la suppression des signes chrétiens dans les écoles et dans tout espace public, la suppression des manifestions scolaires et des congés liés à notre culture judéo-chrétienne et gréco-romaine, à notre passé et à nos valeurs, la suppression d’emblèmes tels que notre drapeau national et la croix rouge, même les tomates parce qu’elles représentent une croix de croisés quand on les coupe, la suppression de notre calendrier avant et après J-C, la suppression des chiffres romains et même la croix suisse alors que cette dernière n’est pas un signe religieux mais un emblème de notre civilisation et de notre histoire. Compte tenu des relations entre nos églises  chrétiennes et nos gouvernements cantonaux et communaux, il est certains que les Suisses ne sont manifestement pas prêts à abjurer la dimension religieuse de leur patrimoine culturel. Les croix aux entrées de nos villages ne sont pas que la croix de Jésus, c’est aussi un emblème de notre « laïcité » helvétique puisque la séparation de l’église et de l’Etat est une invention chrétienne qui est différente dans chacun de nos cantons. En Suisse, ce sont Calvin à Genève, Viret à Lausanne, qui entendirent maintenir une Église indépendante des autorités civiles et souveraines.
  • Depuis la deuxième guerre mondiale, suite à l’immigration de juifs, de ressortissants de pays de l’URSS pendant la guerre froide, d’Italiens, d’Espagnols, et même d’Asiatiques et de Chiliens communistes, etc, c’est la première fois, en Suisse, que la croyance ou l’idéologie d’immigrants se sent blessée par le pays d’accueil. L’immigration n’était, alors, pas une immigration d’établissement mais surtout de travail. Pour les réfugiés, il s’agissait de vrais réfugiés d’états voisins, pas de faux réfugiés sans formation ou analphabètes de pays éloignés. Le migrant était le plus souvent européen et émigrait  pour économiser un capital en apprenant à travailler vite et bien et nombreux sont ceux qui retournaient vivre dans leur pays d’origine. Depuis une génération, on a passé d’une migration de travail à une migration de peuplement et de colonisation militante. Ces migrants militants/économiques viennent en temps que peuples nous envahir et nous coloniser. La vague migratoire de masse actuelle vient du Moyen Orient et de l’Africanistan (Niger, Tchad, Mali, Burkina, Erythrée, etc, ) et la prochaine vague viendra du Maghreb. Le problème n’est donc pas la Suisse pays d’accueil et nous les Suisses, mais bien l’immigration militante des musulmans eux-mêmes et leur islam-idéologie et des Africains.

Quand il y eut en Suisse ce référendum portant sur l’interdiction des minarets, des élus islamo-collabos ou lâchement « pacifiques », de même que la Conférence des évêques catholiques et des pasteurs protestants, tous des analphabètes de leur propre passé, ont multiplié leurs avertissements puis leurs réprimandes. Le Souverain, soit le peuple suisse, n’a pas écouté ces « élites ». Plein de bon sens et de connaissances historiques, il a voté contre les minarets, ces phares du djihad qui auraient occupé son territoire. Les Suisses ont compris que les minarets des musulmans c’est comme les porte-avions des USA, un territoire conquis; la marine américaine aime à appeler ses puissants porte-avions qui sont l’épine dorsale de leur Défense et de leur pax americana devenue « bellum americanum" «quatre acres et demi de territoire américain souverain et mobile». Les minarets des musulmans ne sont pas mobiles, mais représentent un territoire reconquis par l’islam et poussent en UE et dans le sultanat du Sultan Erdogan comme des champignons ou plutôt des moisissures. En interdisant les minarets, les Suisses ont dit aux musulmans pratiquants qu’ils devaient faire preuve de discrétion en terre de mécréance et qu’en Suisse tout particulièrement ils n’étaient pas en terre d’islam. Ce vote du Souverain suisse ne fut pas une restriction de la liberté religieuse mais une résistance à une conquête ostentatoire, à une dépossession de l’espace publique et du territoire de l’Etat-nation suisse et un rappel que toute vraie religion est une affaire individuelle et intime.

Malgré le résultat de cette votation contre les minarets et les raisons de la décision du Souverain, des dirigeants politiques et des élus malfaisants persistent à proclamer que l’islam est une religion de paix et de tolérance ou plutôt « de pets et de tollé rance », cela paradoxalement justement quand de fervents musulmans pratiquants font exploser des bombes ou assassinent des mécréants dans un café ou une gare. Lorsque des fervents musulmans égorgent un journaliste mécréant, ces élus imitent les perroquets des lieux où on se prosterne (masdjids) et parlent alors d’un faux-pas ou d’un dérapage inopportun. Les journalistes de ces élus confondent leur métier avec le militantisme politique de gauche, cherchent tant à plaire à ces élus qu’ils finissent par abêtir le public. Ces journalistes de gauche sont devenus les vecteurs de la censure du politiquement correct alors que les journalistes de droite deviennent les victimes de cette même censure. De plus le fait qu’ils soient à droite signifie qu’ils sont de vilains racistes. Plus les conséquences désastreuses de leur politique se font sentir, plus insistent ces élus et leurs journalistes, soit leurs prostituées intellectuelles comme les avait dénommés John Swinton alors chef du « New York Times ». Quand des événements viennent ridiculiser leurs prises de position, quand la réalité contredit leurs opinions, ils affirment que c'est parce qu'on n'a pas poussé leur logique du politiquement correct et du mélangez-vous, métissez-vous, aimez les autres jusqu’au mépris des vôtres, suffisamment à fond et avec plus de moyens financiers confisqués aux contribuables. Les médias, qui sont devenus le ministère de propagande de ces élus et qui restent même et encore subventionnés, recourent à la novlangue  qui leur est chère pour répéter les mêmes bêtises et les mêmes mensonges. Il serait beaucoup plus raisonnable que tous nos élus, nos dirigeants politiques et leur ministère de la propagande, soit les mass médias dits merdias de masse ou encore médiocres de masse, dénoncent les ordres impératifs de l’islam-idéologie du coran et les musulmans les pratiquant en Europe. Plus on le fera, plus on ouvrira les yeux des musulmans et plus on encouragera les musulmans dissidents et réformistes à à Réformer l’islam-idéologie, à dénoncer leur intégrisme musulman, leurs terroristes musulmans et leur islamo-racaille, à les maîtriser et à les faire disparaitre, ce qui est de leur responsabilité et leur devoir. 

Après cette votation et actuellement, tout comme chez leurs voisins, monte chez de nombreux Helvètes un accablant sentiment de dépossession, de déculturation, de désorigination, de décivilisation, de dénationalisation, d’envahissement par un deuxième état dans leur Etat-nation et de mondialisme sauvage.  Comme leurs voisins européens, les Suisses sont submergés par un quintuple sentiment frustrant:

  • La mondialisation mal appliquée, qui appauvrit la classe moyenne, grignote le capital qui nous appartient de nos deuxième et troisième piliers de nos rentes vieillesse, délocalise des industries productrices, uniformise les citoyens et les nations et aspire leurs forces vives.
  • L’immigration militante et économique, qui dissout leur identité nationale, leur culture, leurs valeurs et leurs vertus, fait pousser des mosquées comme des moisissures toxiques et résistantes, coûte de plus en plus cher aux citoyens-contribuables et est en train de ruiner leurs communes de domicile.
  • L’UE supranationaliste et multiculturaliste qui dévore leurs libertés, l’état de droit, leur Etat-nation et leur démocratie directe et participative .
  • Les attaques contre leur histoire, même contre leur hymne national. Pour l’UE et la gauche islamo-collabo, l’Europe n’est plus cette terre avec une histoire qui a été successivement romanisée, christianisée et soumise aux disciplines et à l’esprit des Grecs, comme le rappelait Paul Valéry.
  • Non sans bonnes raisons, les Helvètes ne craignent plus un choc de cultures mais un choc avec les deux incultures supranationalistes que sont les dictatures de l’UE et de l’islam-idéologie.

Si tous les peuples européens avaient été consultés et avaient pu s’exprimer par leurs votes, si tous avaient eu pour mener campagne un homme politique clairvoyant, courageux et persévérant comme Oscar Freysinger, notre qualité de vie ne serait pas tellement violentée et notre Etat-nation ne serait pas malmené. Le temps passe. Activons-nous pour que notre Suisse ait le dernier mot, pour que notre qualité de vie redevienne ce qu’elle était et pour que les meilleurs, les plus honnêtes et les plus à l’écoute du Souverain soient élus.

 

PD. Dr. méd. Dominique Schwander

Quarry Heights 17

Panama. R. de Panama

 

 

 

 

Via Sicura: sécurité ou dressage de la population?

Le Valais passe pour un canton frondeur et libertaire. Or que découvrons-nous? Que j’ai été le seul conseiller national Valaisan à voter contre une des lois les plus liberticides de ces dernières années!

J’ai nommé: Via Sicura. Cette utopie de juristes qui, dans notre vieille démocratie, punit plus sévèrement les auteurs d’excès de vitesse que les violeurs et les pédophiles! Car, pour un excès de vitesse conséquent, vous finissez à coup sûr en prison. Or, nous apprenons qu’un tiers des violeurs avérés en Suisse ne fait pas un jour de prison, et que les actes pédophiles sont punis avec une prudence qui n’a d’égale que la férocité des juges à l’égard des chauffards!

En tant que conseiller d’Etat en charge de la sécurité, j’ai eu à combattre une des dérives les plus extrêmes de cette loi: le fait qu’elle s’appliquait aussi aux policiers dans les situations de poursuite de criminels! Les braqueurs, dans leurs puissantes voitures volées, pouvaient mettre les gaz, mais les policiers qui les coursaient devaient, eux, s’en tenir strictement aux limitations, sous peine de retrait de permis. Comme n’importe qui!

Il nous a fallu livrer de rudes batailles pour adoucir un brin cette disposition grotesque qui ravalait nos policiers au rang des Dupond & Dupont de Tintin. Mais l’essentiel reste: un dispositif de lois féroce et abstrait qui donne à n’importe quel citoyen le sentiment d’être un criminel en puissance sitôt qu’il met le contact sur son véhicule! Les cas d’abus qui m’ont été signalés sont nombreux et parfois surréalistes. On hésite entre le jardin d’enfants régenté par des gardiens sadiques et le cauchemar totalitaire. Sauf que tout se passe dans le strict cadre de la loi!

Polémique à part, Via Sicura nous pose des questions de fond au sujet des fondements philosophiques de notre droit. Quand on punit plus sévèrement le risque de léser autrui que la lésion concrète, l’édifice des lois fondées sur le bon sens ancestral et le droit romain n’est plus qu’une abstraction. C’est le règne absolu du principe de précaution poussé à l'extrême, qui nous ligote de plus en plus dans notre vie quotidienne, telle une bouée qui noie le naufragé plutôt que de le maintenir à flot.

Le fait que j’aie été le seul Valaisan à comprendre et dénoncer cette dérive totalitaire m’intrigue et, en toute sincérité, m’inspire de l’inquiétude. Heureusement, ma motion demandant de corriger l'une des aberrations de cette loi a été acceptée par le parlement. D'autre part, une initiative populaire est en cours pour remédier aux défauts les plus choquants de «via sicura». Si vous pensez comme moi que cette loi va trop loin, n'hésitez pas à la signer!

Source : Oskar en campagne

Oskar Freysinger: “Armes : qui a besoin du psy ?”

De l'inanité de la reprise automatique du droit européen en Suisse et de la tendance qu'ont les administrations à infantiliser le citoyen.

Emboîtant le pas à un « tour de vis » de la législation européenne, la Confédération s’apprête, selon la Basler Zeitung, à soumettre les détenteurs d’armes à des tests psychologiques. En dépit des exonérations prévues, paraît-il, pour certaines catégories d’utilisateurs, cette mesure frapperait une grande proportion des citoyens suisses.

Cette démarche montre à la fois l’absurdité d’une reprise automatique du droit européen et l’obséquiosité de nos élites gouvernantes à l’égard d’un mastodonte bureaucratique qui a perdu tout contact avec la réalité.

L’origine de cette aberration se situe dans une révision de la directive européenne sur les armes à feu décrétée par le Conseil des ministres de l’Intérieur de l’UE adoptée « sur fond de lutte antiterroriste ». Il ne nous appartient pas à nous, Suisses, de commenter les décisions de nos voisins, même s’il est notoire que les armes du crime et de la terreur sont presque toujours des armes illégalement détenues. Mais il ne nous incombe pas non plus d’essuyer les plâtres de leur politique erratique.

Les premiers à devoir être suivis psychologiquement, en effet, sont ces ministres et chefs d’États membres de l’UE, comme la France, qui soutiennent des mouvements terroristes islamiques et contribuent à les armer.

Les citoyens n’ayant pas leur mot à dire dans cette Union soi-disant démocratique, on leur fait porter le chapeau d’une politique criminelle dont les conséquences seront incommensurables. Cette nouvelle chicane fera rire les terroristes, mais laissera une entaille de plus dans les libertés civiques des Européens.

Qu’avons-nous, Suisses, à voir avec cela ? Notre destinée nationale est spécifique, faute de quoi nous serions déjà membres de cet empire qui nous cerne de toutes parts. Elle est liée à notre histoire, à nos traditions, à nos mentalités. Nous n’avons pas connu la dictature, notre seul conflit religieux fut bref et limité, nous ne nous inclinons pas devant les rois et les barons et nous n’avons pas non plus inventé la république totalitaire qui dévore ses propres enfants. Nous sommes des gens libres et souverains. Grâce à cette conscience ancrée au cœur de chaque Suisse, nous avons évité les tentations totalitaires qui ont défini le XXe siècle européen — et les terribles guerres qu’elles ont provoquées.

Chez nous, depuis des siècles, l’arme de guerre n’est pas un symbole de conquête ni de force virile, mais de défense de valeurs incontestables. La paix, l’équité, la souveraineté, le droit. La libre possession d’armes de sport, de chasse et de combat est l’une des marques distinctives de la citoyenneté suisse. Elle rappelle que le citoyen-soldat, le citoyen-législateur, est le véritable et unique porteur de la souveraineté helvétique. La criminalité liée à la détention légale d’armes est infime (environ 2 % des cas) et nous ne connaissons pas non plus le terrorisme sanglant qui frappe les pays de l’UE ayant trempé dans les conflits au Moyen-Orient.

Ayant tout cela en vue, on mesure l’iniquité et l’humiliation que représenterait la reprise, même partielle, d’une telle mesure chez nous.

Au-delà du cas particulier de la détention d’armes, le fait même qu’une telle scélératesse soit prise en considération témoigne d’une tendance plus profonde de l’administration. Dans l’UE, on ne cesse de vouloir rééduquer non seulement les détenteurs d’armes, mais même les électeurs qui votent « mal ». En Suisse, la manie de la psychiatrisation se manifeste jusque dans les systèmes éducatifs et la législation routière. J’ai ainsi connaissance du cas d’un homme qui, sous la loi Via sicura, s’est vu assigner 18 séances de psychologie sans aucun objet pour pouvoir récupérer son permis de conduire retiré pour… un excès de vitesse !

Afin d’établir son pouvoir autoritaire et échapper à tout contrôle démocratique, la classe technocratique et judiciaire s’emploie à déresponsabiliser le citoyen, le « psychiatriser », l’infantiliser, le ligoter dans les entraves administratives et lui faire perdre confiance en lui-même.

Il faut s’opposer à ces dérives bureaucratiques dont nous sommes les témoins. Non à cause du commerce des armes, mais à cause de la représentation dégradée de l’être humain qu’elles impliquent. Nous avons tous notre dignité d’êtres humains et de citoyens. La condition première de la démocratie consiste en la confiance accordée au citoyen. Une démocratie reposant sur des individus bridés, fliqués et « potentiellement dangereux » glisserait sans peine dans la dictature.

En tant que conseiller d’État en charge de la sécurité dans mon canton, je réprouve cette mesure et recommande sa non-application.

En tant que vice-président de l’UDC suisse, je m’en félicite. Par cette nouvelle ineptie, la Confédération a démontré elle-même l’inanité de la reprise automatique ou semi-automatique du droit européen. Et elle fournit des arguments de choix à l’affirmation constitutionnelle de la primauté du droit suisse sur le droit étranger.

Source

Oskar Freysinger : “le personnel politique n’a pas envie de voir le peuple s’émanciper”

Présent à Béziers à l'occasion du Rendez-Vous « Oz ta droite » organisé par Robert Ménard, Oskar Freysinger (UDC) a répondu aux questions de notre correspondant en France et compare la situation politique en France et en Suisse.

Les Observateurs : Que pensez-vous de l'initiative de Robert Ménard d'avoir organisé ce Rendez-Vous de Béziers ?

Oskar Freysinger : Je trouve ça excellent. Robert Ménard a du courage, le paysage politique actuellement n'est pas favorable au débat serein et constructif, il le fait. Il a montré en tant que maire de Béziers qu'il était capable de résister à quelques pressions et je trouve ça admirable de voir qu'il y a des gens qui ont des poils où je pense.

Les Observateurs : Quelle comparaison peut-on faire aujourd'hui entre la situation en France et la situation en Suisse ?

Oskar Freysinger : C'est difficilement comparable, nous n'avons pas en Suisse ce phénomène de blocage institutionnel, de contournement institutionnel et ensuite de réaction violente de la population parce que tout le système est construit autrement. Le système français est quasiment construit du haut vers le bas avec un très fort centralisme, très jacobin. En Suisse nous avons le fédéralisme avec un peuple souverain. Le peuple n'a pas besoin de faire grève parce qu'il a les instruments institutionnels pour s'opposer au pouvoir.

Les Observateurs : Quand on regarde le résultat des élections, on constate que l'UDC est le premier parti de Suisse mais pourtant il ne dirige pas le pays comme en France avec le Front National.

Oskar Freysinger : Ça c'est voulu, le système suisse n'est pas fait pour une alternance, pour donner le pouvoir à une seule coterie. C'est le partage du pouvoir. En France, le Front National n'a jamais pu avoir un ministre ni être représenté selon sa force réelle à l'Assemblée Nationale, ce qui est un scandale absolu. Un parti qui draine autant d'électeurs devrait avoir une représentation digne de ce nom au parlement. Si on avait le même système en Suisse, nous, l'UDC, on serait dans la même situation que le Front National or nous avons deux membres au gouvernement fédéral. On est largement représentés au parlement fédéral parce que nous sommes le parti le plus fort. La France et la Suisse ne sont pas comparables, nous avons un système fédéraliste, un système avec la démocratie directe avec la notion d'équilibre des énergies et du partage du pouvoir.

Les Observateurs : Est-ce que la France devrait s'inspirer de la Suisse ?

Oskar Freysinger : C'est difficile d'aller appliquer cela du jour au lendemain. Il faudrait peut-être arriver avec un premier élément de démocratie directe qui serait un référendum mais un référendum réel où le peuple s'exprime clairement et que le parlement ensuite applique. Ça ce serait un premier élément sans chambouler tout le système mais où le peuple aurait alors beaucoup moins la nécessité de tout bloquer, ce qui est dommageable pour le pays, pour les entreprises, pour tout le monde. Le peuple aurait alors au moins un instrument pour commencer à résister. Le problème c'est que le personnel politique n'a absolument pas envie de voir le peuple s'émanciper, prendre part à la gestion publique. Les énarques ne sont pas formés pour ça, ils sont formés pour représenter une élite qui dicte ce qui est bon pour le peuple. Comment voulez-vous arriver alors à quelque chose ? Pour que les choses changent il va falloir une crise et elle sera probablement plutôt européenne que française.

Les Observateurs : Qu'est-ce qui pourrait déclencher cette crise ?

Oskar Freysinger : Une crise financière. Le système financier actuel est construit sur du sable mouvant. Faire tourner la planche à billets et croire que ça créé de la richesse c'est une illusion. C'est juste une question de temps, ça peut encore tenir un certain moment.

Les Observateurs : Vous parlez d'une crise économique mais est-ce que ça ne pourrait pas être également une crise migratoire ?

Oskar Freysinger : La crise migratoire ça peut créer des conflits mais ça sera plutôt une sorte de guerre civile, une violence urbaine de plus en plus forte avec des groupes ethniques qui se battent mais je ne crois pas que la situation sera exacerbée s'il n'y a pas l'aspect financier qui aggrave la chose. Il faut cette paupérisation, ce désespoir de la population pour que vraiment quelque chose se passe. Là actuellement on n'y est pas vraiment, on gueule, on manifeste mais on n'y est pas encore. S'il y a vraiment une crise grave et avec 60 % à 70 % de la population des banlieues qui vit de l'assistance sociale, si l’État n'est plus capable de payer, ils vont prendre par la violence ce qu'ils estiment être leur dû.

Propos recueillis par Jordi Vives

Le droit de propriété bafoué par la révision de la loi sur l’asile

Pour Oskar Freysinger, conseiller d’Etat valaisan et vice-président de l’UDC suisse, la révision de la loi sur l’asile sur laquelle les Suisses se prononcent le 5 juin veut neutraliser les oppositions citoyennes à l’hébergement de requérants d’asile au mépris du droit de propriété

Suite

Freysinger accusé de tenir des «propos dangereux»

Le conseiller d'Etat valaisan s'est exprimé mercredi sur l'annulation d'un atelier sur l'homophobie dans un gymnase sédunois. Un discours qui a irrité Pink Cross, faîtière des organisations d'homosexuels de Suisse.

Le Lycée-Collège des Creusets, situé à Sion (VS), n'a pas fini de faire parler de lui. La récente décision de son recteur, Benjamin Roduit, de supprimer un atelier traitant de l'homophobie et du sexisme  - parce que celui-ci ne correspondait pas au descriptif livré par l'animateur (lire encadré) - a suscité de vives réaction.

Lire la suite

 

 

Oskar Freysinger : Si j’étais Alain Jean-Mairet, j’ignorerais ce jugement français

Suite à la condamnation de son compatriote Alain Jean-Mairet, Oskar Freysinger, entre deux réunions, a répondu aux questions de Pierre Cassen

Pierre Cassen : Votre compatriote Alain Jean-Mairet vient d’être condamné lourdement par un tribunal français, la 17e chambre, pour avoir, comme directeur suisse, publié un texte très critique contre les pratiques barbares de l’islam, écrit par un Tunisien. L’argument du tribunal, et de la Licra, partie civile, est que ce texte se trouvant accessible en France, tombe sous le coup de la loi française. Comment réagissez-vous à ce jugement ?

Oskar Freysinger : c’est le retour de Torquemada et de l’inquisition, mais appliqué à l’islam. Le dogme du politiquement correct a pris la place des dogmes religieux. Cela annonce la fin de la liberté de parole et donc de l’état de droit démocratique. De plus, le fait que les frontières physiques et les frontières juridiques ne sont plus congruentes montre l’avancée d’un mondialisme dont le but est la destruction des états nation. On fait comme s’il y avait UNE loi universelle déterminée par une clique dogmatique cherchant à imposer son pouvoir de manière planétaire. Cette évolution nous rapproche d’un brave new world affligeant.

Pierre Cassen : Il vous arrive, vous aussi, ainsi qu’à certains de vos compatriotes, de critiquer ce dogme. Craignez-vous une jurisprudence qui remette en cause votre liberté de parole, et plus largement la souveraineté suisse ?

Oskar Freysinger : pas en Suisse, pour l’instant. La démocratie directe et la soif de liberté du peuple Suisse empêchent cette censure. Mais la tendance est ici aussi au musellement par peur du débat démocratique.

Pierre Cassen : Avez-vous l’intention de réagir, et si oui, sous quelle forme ?

Oskar Freysinger : on ne peut pas agir sur la loi française depuis la Suisse. Si j’étais Alain Jean-Mairet, j’ignorerais ce jugement totalement infondé et problématique du point de vue institutionnel.

Propos recueillis par Pierre Cassen

Interview sorti en premier sur Riposte Laïque

BISTRO LIBERTÉS AVEC OSKAR FREYSINGER

https://youtu.be/EoL__SGpWec

 

10:30 - Migrants-Europe : le grand fiasco de Cologne.
Il y aura certainement un avant et un après événements de Cologne…650 plaintes ont été déposées après les violences et les agressions sexuelles lors du Nouvel An dans la ville allemande. L’action des migrants-illégaux était-elle concertée, leurs comportements étaient-ils logiques et inéluctables ? La presse de l’Europe de l’Es, unanime, s'écrit : « On vous avait prévenus » . Alors, pour qui sonne le glas de Cologne ?

29:40 - Le retour des signe religieux ostentatoires
Après l’agression à la machette d’un enseignant juif, le président du Consistoire Israélite de Marseille a conseillé à la communauté juive de la ville , provisoirement et pour des raisons de sécurité, de ne plus porter de kippa. Ces propos ont fait polémique et ont relancé le vieux débat sur les signes religieux ostentatoires. Pourtant la loi est claire : Dans l’espace public, tous les signes religieux sont admis en dehors du voile islamique intégral.

48:11 - Volkswagen, Renault, Findus, Mediator : on nous ment !
Des lasagnes pur boeuf Findus à la viande de cheval au Médiator, de Volkswagen à Renault, des milliers d’entreprises trichent sur leurs produits…Mentir et tromper semblent devenues les lois du marché. Volkswagen a menti, Renault a menti, les hommes politiques aussi mentent, ainsi va le monde…Ainsi va la vie.

01:06:46 - Quand les politiques osent « l’infotainment »
Manuel Valls a participé, il y a quelques jours, à l’émission « On n’est pas couché » sur la chaine publique F2. C’est une première pour un chef de gouvernement. Certains dénoncent un mélange des genres entre l’information et le divertissement. Mais de Jospin chanteur à Rocard chez Ardisson, les politiques n’ont pas attendu Manuel Valls pour se plonger goulument dans ce que les québécois appellent l’info-divertissement.

“Tu viens chez nous, tu te comportes bien. Sinon, tu pars. C’est simple!”

 Oskar Freysinger était l'invité de la rédaction du Journal du matin (RTS)

L'initiative dite "de mise en oeuvre", soumise au peuple suisse le 28 février, fait suite à la précédente initiative de l'UDC sur le renvoi des étrangers criminels acceptée en 2010. Elle est combattue par une écrasante majorité des formations politiques, de la gauche à la droite. Mais cette opposition n'effraie visiblement pas l'UDC. Ancien conseiller national, le conseiller d'Etat valaisan Oskar Freysinger est vice-président de l'UDC Suisse.