Michel Garroté - Les pays occidentaux mènent un double langage concernant la Syrie. Pire, les occidentaux mènent une politique suicidaire dans ce pays. Obama est le plus fourbe en la matière et Hollande le plus nul. Poutine, en revanche, se montre clairement -- et sans tricheries -- en sa qualité de véritable homme d'Etat, de véritable chef d'Etat.
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L'excellent Alexandre Del Valle, expert en géopolitique, écrit notamment, à propos de la Syrie et l'Occident (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les Occidentaux n’ont pas de stratégie. La stratégie des pays occidentaux c’est une stratégie médiatique des hommes politiques qui n’ont aucune vision géopolitique et stratégique. Ils ne sont pas honnêtes avec leurs alliés. Regardez comment la Libye qui était considérée comme allié en 2005 a été détruite, avec assassinat de son leader, en 2012.
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Aujourd’hui, la seule stratégie des Occidentaux, de gauche comme de droite, c’est l’indignation du moment pour aller dans le sens du vent médiatique. Ce n’est pas très joli : les Russes ont «tué des innocents à Alep», tout le monde va être contre la Russie. Et si, demain, il y a un nouvel attentat à Nice, à Strasbourg ou à Paris, ils diront qu’il faut s’allier à la Russie. Au lieu de penser stratégie, ils font des déclarations marketing, des opérations de communication.
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C’est ça le drame : les Occidentaux ne sont plus capables de stratégie, ou alors ce sont des stratégies non-avouées ou suicidaires. Ils sont obligés de communiquer dans l’instant pour plaire à l’opinion publique qui, d’ailleurs, est formée par ce que j’appelle des lobbies politiquement corrects. Comme ces lobbies disent que les Russes sont des criminels, il faut maintenant dire que les Russes sont l’ennemi, un obstacle à une solution en Syrie, etc. Quand il y a un attentat islamiste, ils vous diront l’inverse, parce qu'alors les hommes politiques ont peur de perdre des voix, du coup ils ont une vision beaucoup plus réaliste, affirmant que les véritables ennemis sont les islamistes.
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Le véritable intérêt stratégique des Occidentaux aujourd’hui est de faire plaisir aux rares clients qui leur apportent de l’argent et leur fournissent en même temps de l’énergie. Il y a une stratégie non-avouée : faire plaisir au Qatar, au Koweït, à la Turquie et surtout à l’Arabie saoudite. Le gouvernement français est très lié aux Saoudiens, au Qatar. Et, comme vous le savez, le Qatar est le parrain des Frères musulmans, alors que l’Arabie saoudite est le parrain de l’islamisation sunnite à l'échelle mondiale. Les Occidentaux agissent en quelque sorte un peu comme des mercenaires et des parents de l’islamisme sunnite radical. C’est pour cela que nous avons renversé Kadhafi, pour mettre à la place les Frères musulmans, c’était une demande des Qataris.
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Dans le passé, quand on a bombardé les Serbes pour faire une Bosnie islamique et un Kosovo islamique indépendants, en violation du droit international, on sait que c’était déjà des pressions des pays du Golfe qui avaient menacé de violer l’embargo. L’organisation de la coopération islamique, l’OCI, avait énormément insisté, allant jusqu'à menacer de représailles pétrolières et stratégiques. Depuis la fin de la guerre froide les Occidentaux poursuivent ce que j’appelle la stratégie pro-islamiste, qui consiste à jouer la carte de l’islamisme sunnite pour endiguer la Russie et ses alliés, ainsi que le nationalisme arabe considéré comme hostile. Parce que nos clients, les pays du Golfe, veulent renverser tous les régimes nationalistes arabes, et le dernier qui reste aujourd’hui, c’est la Syrie.
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Les Occidentaux ne font que suivre. Au Moyen-Orient, les Occidentaux n’ont qu’une stratégie suiviste, qui ne consiste pas à donner des idées, à inventer de nouvelles positions, mais à suivre leurs clients pour leur faire plaisir. Ils n'ont au Moyen-Orient aucun principe, ne défendent aucune valeur. Ils ne font que suivre leurs intérêts économiques à court terme. Une bonne stratégie doit tenir compte des intérêts économiques, mais également des intérêts à long terme de type géo-civilisationnel.
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Aujourd’hui l’Occident a totalement renié ses racines européennes, chrétiennes, judéo-chrétiennes. Il a totalement mis de côté ces intérêts de survie culturelle. C’est pourquoi les Occidentaux acceptent la propagande islamiste sur leur propre sol, alors qu’à long terme cela va se retourner contre eux. Quand on voit que les pôles mondiaux de l’islamisme radical (l’Arabie saoudite, le Pakistan, la Turquie, le Qatar) financent les centres islamiques en Europe, on sait très bien que ces centres vont remonter les populations musulmanes en Europe contre leurs propres gouvernements.
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Ce n’est absolument pas notre intérêt à long terme, c’est une politique suicidaire, mais elle est fondée sur des buts à court terme. Le court terme peut être intéressant, mais il va contredire le long terme. Une bonne stratégie devrait tenir compte des deux. C’est pourquoi je propose une redéfinition générale de la distribution des amis et des ennemis. Cela ne veut pas dire rompre avec tout le monde, cela veut dire exiger de nos partenaires qu’ils respectent nos intérêts, conclut Alexandre Del Valle (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://francais.rt.com/opinions/27252-politique-francaise-suicidaire
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Loi anti-Riyad: les Saoudiens prédisent des «conséquences désastreuses» aux USA
Après la loi historique adoptée aux États-Unis et autorisant les victimes du 11 septembre à poursuivre l'Arabie saoudite en justice, la réaction de Riyad ne s’est pas fait attendre. En colère, les Saoudiens lancent des avertissements.
Riyad fulmine et met les États-Unis en garde : les conséquences de la loi permettant aux victimes du 9/11 de lancer des poursuites contre l'Arabie Saoudite seront « désastreuses », relate aujourd'hui le quotidien allemand Der Spiegel, ajoutant que la décision hostile du Congrès représente « une défaite de la politique intérieure de Barack Obama ».
« L'Arabie Saoudite est indignée et met en garde sans ambiguïté contre les conséquences » de cette loi, indique le journal, se référant au ministère saoudien des Affaires étrangères. Comme l'affirment de nombreux experts, Riyad pourrait notamment riposter en réduisant sa coopération avec Washington, y compris dans la lutte contre le terrorisme.
Obama envisage des options militaires contre la Russie
Des responsables américains indiquent que l'administration Obama commence à envisager des "réponses plus fermes" à l'offensive du régime syrien soutenu par la Russie contre Alep, y compris des "options militaires". Obama aurait-il perdu la tête ? Le fait est que la Russie poursuit ses opérations aériennes en Syrie en dépit des appels du secrétaire d'Etat américain, John Kerry, en faveur d'un arrêt des bombardements dans les zones de combat, y compris à Alep.
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En dépit des appels du secrétaire d'Etat américain, John Kerry ? Depuis quand John Kerry serait-il le décideur de ce que la Russie devrait faire, ou ne pas faire, en Syrie ? Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, précise quant à lui que la poursuite des opérations aériennes russes se justifient par une guerre contre la terreur (ce qui est une simple mesure de bon sens, n'en déplaise aux Américains). Dmitri Peskov appelle les Etats-Unis à tenir leur promesse de distinguer les rebelles modérés opposés au régime Assad et les terroristes.
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En cela, Dmitri Peskov est trop gentil, car il n'y a pas de rebelles modérés opposés au régime Assad. Tous les rebelles syriens sont des islamistes. Et aucun islamiste n'est modéré. Le porte-parole russe juge par ailleurs maladroite et inutile la remarque du porte-parole du département d'Etat américain, John Kirby, qui estime que la poursuite de la violence en Syrie favorise l'émergence d'extrémistes qui peuvent "lancer des attaques contre les intérêts russes", peut-être même "contre des villes russes".
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John Kirby aurait-il, lui aussi, perdu la tête ? Les Russes devraient-ils cesser d'intervenir en Syrie parce que des islamistes syriens vont "bombarder des villes russes" ?... Souhaitons un prompt rétablissement à John Kirby qui souffre visiblement d'un burn out. Malgré la tension croissante entre Moscou et Washington, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov affirme que la Russie demeure prête à coopérer avec les Etats-Unis pour résoudre la crise syrienne. Il est vraiment trop gentil Dmitri Peskov...
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Michel Garroté
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Les islamistes syriens veulent le départ d’Assad
Michel Garroté - L'opposition islamiste syrienne a dévoilé un "plan de transition politique" prévoyant une phase de négociations avec le régime actuel, assortie d'une trêve, et, devant aboutir, primo, au départ du président Bachar al-Assad ; et secundo, à de nouvelles élections, locales, législatives et présidentielles.
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Ce "plan de transition politique" a été présenté par les principaux représentants de l'opposition islamiste syrienne et les principaux représentants de la rébellion islamiste syrienne. Il est appuyé par trois pays islamistes : la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar.
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Parmi les participants aux pourparlers durant la réunion, figurent, notamment, les chefs de la diplomatie du Royaume-Uni, de la Turquie, de l'Arabie saoudite, du Qatar, de l'Italie, de l'Union européenne et de la France, tandis que le chef de la diplomatie américaine doit intervenir par visioconférence. L'Allemagne est également représentée.
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Cette réunion (inutile comme toutes les autres ?) devrait permettre l'élaboration d'une position à faire valoir auprès des Etats-Unis, alors qu'il y aurait - selon l'opposition islamiste syrienne - des "rumeurs" sur la conclusion d'un accord russo-américain (on voit mal Poutine et Obama s'accorder sur un accord...).
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En clair, ce que veulent, de façon obsessionnelle, l'opposition islamiste syrienne et la rébellion islamiste syrienne, c'est - encore et toujours - le départ de Bachar al-Assad. Autant dire que ce nouveau "plan de transition politique" n'aboutira pas.
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USA. Accueil de réfugiés syriens par Obama: 9’945 musulmans pour 55 chrétiens (Vidéo)
On rappellera que ce sont les chrétiens qui sont génocidés au Moyen-Orient et qui ont tout à craindre des "gentils rebelles"...
Jeux Olympiques: Obama fait l’éloge d’une athlète musulmane noire
Article du 4 février 2016.
Elle n'a pas encore gagné de médaille olympique, mais l'escrimeuse Ibtihaj Muhammad est déjà dans l'histoire.
Les Obama – Une famille formidable
Nouveau scandale à la Maison Blanche. C'est Malia Obama, fille aînée du couple présidentiel américain qui en est la cause. Après le scandale de la danse lascive, la jeune fille a été prise en train de fumer un joint au festival de Lollapalooza à Chicago. La scène a été filmée et la vidéo, elle a été mise en ligne par Radar Oline, puis elle a été largement diffusée sur les réseaux sociaux.
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La fille du président américain a donc été prise en flagrant délit. Un nouveau coup dur pour l'image de Malia et pour celle du couple Obama. L'image de Malia avait déjà été écornée - quelques jours auparavant - par une autre vidéo la filmant en train de twerker en montrant sa culotte.
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Michel Garroté
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EI – Des décennies de combats nous attendent
Michel Garroté - L'EI aurait perdu près de la moitié du terrain conquis en Irak et environ 20% en Syrie (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Les "experts" prévoient bien une "chute" du "califat" autoproclamé par les jihadistes en Syrie et en Irak, mais le groupe s'est renforcé par ailleurs, en incitant ses partisans à commettre des attaques à travers le monde.
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"Il s'agit d'une organisation qui a réalisé une transformation très réussie vers une organisation terroriste traditionnelle qui n'a alors de cesse de reconstruire ses capacités", explique Charles Lister, analyste au Middle East Institute (MEI). L'EI a revendiqué cette année des attentats en France, en Belgique, ou encore aux Etats-Unis. "On mène un combat perdu d'avance si on s'attend à détruire (l'EI) entièrement", a-t-il assuré. "Je pense que des décennies d'efforts nous attendent", ajoute Charles Lister.
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Lorsque Washington s'était lancé dans la bataille, les responsables assuraient que l'engagement américain serait de courte durée. Et Barack Hussein Obama, élu sur la promesse de mettre fin aux guerres en Irak et en Afghanistan, avait insisté sur le fait que son pays pouvait apporter un soutien aérien et des conseils militaires, mais que la guerre devait être "remportée par les forces locales"...
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Quelque 6'500 militaires de la coalition, principalement des Américains, sont déployés. La plupart se trouvent en Irak, même si des forces spéciales ont été déployées aux côtés des combattants kurdes et arabes en Syrie, où les frappes russes en appui au régime de Bachar al-Assad ont complexifié un peu plus la guerre qui dure depuis plus de cinq ans.
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"Les quelques-uns d'entre nous qui ont observé le développement de ce groupe entre 2010 et 2014 savaient pertinemment que ça allait être une bataille sur le très long terme, et l'idée qu'aucun soldat américain ne soit impliqué était de l'ordre du fantasme", estime Charles Lister.
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En dépit du grand nombre de pays impliqués dans la coalition, les Américains et quelques Etats piliers réalisent l'essentiel du combat. Les bombardements ont aussi concerné l'Afghanistan ou plus récemment la Libye, où le Pentagone a laissé entendre que les raids se poursuivraient "pendant des semaines, pas des mois". Le coût des opérations contre l'EI représente environ 11,9 millions de dollars par jour, soit quelque 8 milliards de dollars jusqu'à présent.
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A noter qu'un porte-parole des rebelles islamistes a reconnu que ceux-ci reçoivent de l’aide britannique et américaine : « Nous recevons l’entraînement des forces spéciales de nos partenaires britanniques et américains. Nous recevons aussi des armes et de l’équipement du Pentagone ainsi qu’un soutien aérien », a-t-il confié (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Merci Barack Hussein Obama...
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http://www.courrierinternational.com/depeche/deux-ans-apres-le-lancement-de-la-campagne-contre-lei-pas-dissue-en-vue.afp.com.20160809.doc.e69lc.xml
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Propagande pro Obama: “5 raisons qui font d’Obama le meilleur président des États-Unis”
https://youtu.be/zfRhjyvkQvA
Propagande risible et mensongère du Figaro. Visiblement le Figaro fait dans l'idolâtrie stupide et inconsistante alors qu'aujourd'hui il est très facile de vérifier une information.
Voilà les arguments de ce "journal":
Barack Obama a accompli ce que beaucoup pensait impossible lorsqu'il est devenu le premier président noir des Etat-Unis.
1. Il s'est battu et a obtenu une réforme du système de santé avec le vote de la loi sur les soins abordables
2. Il a su préserver sa vie personnelle des rumeurs et des scandales
3. Il a gagné le prix Nobel de la paix en 2009 "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples"
4. Il a ouvert la voie à la légalisation du mariage pour tous
5. Et puis... il n'a pas peur de dire tout haut ce qu'il pense de Donald Trump
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Reprenons ces arguments:
1. La loi Obamacare possède un bilan mitigé. Cette loi est contestée sur le plan de la légalité. Elle augmente la dette nationale. Au final, elle fait peser le poids financier sur le contribuable.
2. Cet argument n'en est évidemment pas un. Préserver sa vie privée ne transforme pas Obama en président plus compétent qu'un autre en ce qui concerne le bien-être des gens. Cela ne change en rien leur confort ni n'efface leurs préoccupations. Agiter une telle rhétorique donne au contraire l'impression que le journaliste n'avait aucun fait valable à nous exposer. Mais pire, évoquer la vie privée fait immanquablement penser à la NSA qui s'est arrogé le droit d'espionner le monde entier. Et cela, sous l'ère Obama. Rien que sur cette base, Obama est très loin d'être un "bon président".
3. Le journaliste arrive à nous ressortir l'histoire de ce fameux prix Nobel dont la légitimité est remise en doute par l'ancien directeur du Prix Nobel lui-même. Qui plus est, depuis sa nomination à la présidence, Obama a été responsable de nombreux morts en Syrie via l'armement de rebelles "modérés" qui n'hésitaient pas à rallier les islamistes. De plus, l'épisode de l'Ukraine tend à incriminer la CIA dans une manipulation visant à isoler la Russie et à refroidir les relations avec Poutine, avec des peurs bien réelles à la clé.
4. Le mariage pour tous a été effectivement légalisé, dans de nombreux pays, par une propagande dont les USA ont le secret. Et cela au mépris de la démocratie, comme cela s'est passé en France. Pendant ce temps, de nombreux chrétiens sont persécutés dans les pays musulmans sans que cela ne gêne Obama. Le mariage gay est plus important pour lui que la persécution des minorités dans les pays musulmans ou les agressions que les Européens subissent par la faute des migrations. Or ces migrations découlent de l'ingérence des USA dans de nombreux pays. Tous les crimes de ces migrants en Europe sont donc aussi à mettre au crédit de ce président.
5. Le cinquième argument démontre toute la supercherie des autres points: Le journaliste n'hésite pas à imposer sa moraline coutumière anti-Trump. Critiquer ce candidat est désormais une "qualité". Cela en dit long sur "les valeurs" que nos médias essaient de nous imposer à longueur de temps. Spécifiquement, on ne compte plus les articles anti-Trump dans la presse occidentale, comme si les journalistes devaient à tout prix nous faire haïr ce candidat que nous n'élirons même pas. De plus, cette haine est transformée en qualité par la magie de la bien-pensance. Il existe des éléments sur lesquels on peut vomir en toute quiétude, en renforçant même son statut de représentant du Bien et d'autres qui sont interdits de critiques. C'est ce mode de pensée liberticide qui est désormais imposé en Occident.
Bien entendu, Obama bénéficie du processus inverse qui l'exonère de tout crime, puisqu'il provient de la diversité si chère aux journalistes de gauche.
En fin de compte, comme dans toute propagande, le journaliste a simplement lancé des slogans vides de sens, croyant que le simple pékin goberait encore ce genre de sornettes. Une vidéo quelque peu esthétique, des images d'un président souriant et une attaque anti-Trump pour finaliser l'effet, se revendiquer, facilement, du bon côté. C'est tout ce que ces gens surpayés ont désormais à offrir.
Obama pardonne le trafic de cocaïne sous forme de crack
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Barack Hussein Obama a accordé des commutations de peine à 214 détenus, a annoncé la Maison blanche selon qui il s'agit d'un nombre record de commutations présidentielles en une seule journée depuis au moins 1900. Au total, le président américain a accordé 562 commutations de peines depuis le début de sa présidence, soit davantage que le nombre cumulé accordé par ses neuf prédécesseurs. La plupart des 214 individus concernés mercredi purgent des peines liées à des infractions relatives à la cocaïne sous forme de crack.
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Michel Garroté
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Obama a donné 400 millions de dollars en espèces à l’Iran
Dans le plus grand secret, le gouvernement américain a organisé le transfert de 400 millions de dollars, en espèces, vers l'Iran, en janvier (voir lien vers source en bas de page). Ceci au même moment que quatre américains détenus par le régime iranien ont été libérés. C'est la révélation de Jay Solomon et Carol E. Lee du Wall Street Journal, citant plusieurs sources parlementaires, ainsi que de gouvernements américain et européens.
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Les billets de banque, d'euros, de francs suisses et d'autres monnaies, ont été chargés sur des palettes, puis dans un avion cargo banalisé, avant d'être envoyés en Iran. L'argent a été procuré auprès des banques centrales de la Suisse et des Pays-Bas, qui ont ensuite été remboursées par le gouvernement américain. L'opération a été personnellement approuvée par Barack Hussein Obama.
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Michel Garroté
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https://fr.news.yahoo.com/%C3%A9tats-unis-donn%C3%A9-400-millions-dollars-%C3%A9sp%C3%A8ces-%C3%A0-110022117.html?nhp=1
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Obama est un véritable désastre

Michel Garroté - Je l'ai déjà écrit maintes fois : Obama est le pire président que les Etats-Unis aient connu ; pire que Bill Clinton et pire que Jimmy Carter. Obama est islamo-gauchiste, et, à ce titre, il soutient, d'une part, les lobbies homosexualistes ; et d'autre part, l'islamisme en général et l'islamisme saoudien en particulier (c'est contradictoire, mais c'est pourtant bien cela, l'islamo-gauchisme, aux Etats-Unis et en Europe). En outre, Obama s'avère être un homme dangereux pour son pays et pour le monde en matière géopolitique. Ses provocations irresponsables à l'égard de la Russie en sont un exemple parmi d'autres. A propos d'Obama-l'imposteur, je publie, ci-dessous, les extraits de deux analyses remarquables qui se complètent, celle de Christian Vanneste et celle de Gilles William Goldnadel. Le vrai Obama se révèle au grand jour et c'est un véritable désastre.
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Christian Vanneste écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’illusion « Obama » se dissipe avant qu’il ne quitte la scène. Le microcosme médiatique français n’a cessé de le porter au pinacle. Les politiciens de notre pays à droite et à gauche ont sombré dans l’Obamania dont le comble a été atteint avec son « Prix Nobel de la Paix » décerné prématurément par ses amis sociaux-démocrates norvégiens. Sous des dehors de bon mari et père de famille attentif, d’américain moyen proche des gens, Obama a été le vecteur d’une idéologie camouflé en icône. La silhouette élégante, la démarche souple et un certain sens de la formule du premier « noir » élu à la Présidence des Etats-Unis avaient séduit.
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Avec lui, l'Amérique tournait la page de la discrimination raciale dont les habitants afro-américains de la Nouvelle-Orléans avaient pointé la persistance. Avec lui, et sa promesse d' »obamacare », les Etats-Unis ouvraient une ère de solidarité sociale à l’égard des plus démunis. Mais non seulement le « Nobel de la Paix », qui voulait marier la démocratie et un monde musulman auquel il distribuait les marques de respect, n’a pas mis fin aux guerres, mais il les a relancées ou multipliées. L’Etat islamique a profité de son inaction en Irak, de son action souterraine en Syrie contre Bachar Al-Assad, pour s’implanter et diffuser des métastases des Philippines au Nigéria. La menace des Talibans subsiste en Afghanistan. Le désordre et la subversion qui règnent au sud et à l’Est de la Méditerranée exposent l’Europe à une vague migratoire et à un terrorisme qui ne suscitent chez le locataire de la Maison Blanche que des paroles de compassion et d’encouragement.
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Le Nobel de la Paix aura surtout rallumé la guerre froide contre la Russie. En envenimant au-delà du raisonnable la question ukrainienne, en poussant cette première Russie de Kiev à entrer dans l’organisation occidentale contre la Russie, en contestant le retour évidemment légitime, historiquement et culturellement, de la Crimée à la Russie, Washington veut prioritairement interdire à Moscou de jouer dans la cour des grands. Enfin, la déception monte aujourd’hui dans la « communauté » noire des USA. Celui qui symbolisait la fin de toute ségrégation n’aura finalement réussi qu’à attiser les aigreurs. En stigmatisant le racisme de la police, en dénonçant « un grave problème », Obama aura amorcé un mouvement de protestation, qui s’est traduit par l’assassinat de cinq policiers par un ancien militaire noir. La stratégie victimaire et non violente pour attirer la compassion du public par le biais des médias a été télescopée par le terrorisme qui inverse victimes et compassion.
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Obama, coincé entre les deux mouvements contraires a botté en touche en désignant, à son habitude, les armes comme coupable principal. C’était le seul argument de campagne qui lui restait. Mais, la dangerosité statistique de la population afro-américaine est un fait. Sur 165'068 meurtres commis entre 2000 et 2010, on dénombre 4'157 noirs tués par des blancs ( 879 sont policiers ), 37'345 blancs par des blancs, 8'062 blancs par des noirs, 46'852 noirs par des noirs. Les meurtres interraciaux sont minoritaires, mais la surcriminalité des Afro-américains qui ne représentent que 13% de la population est avérée puisqu’ils ont été responsables de 52% des homicides entre 1980 et 2008. L’icône communautaire aura donc déçu.
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Sa dénégation de la division des Américains est un aveu. Loin de les unir, en développant le thème communautaire, il aura accentué les fractures. En fait, l’enthousiasme des bobos du journalisme parisien pour le personnage réside dans le partage de l’idéologie de la nouvelle gauche. Le prolétariat industriel a diminué en nombre et n’hésite pas à voter pour la droite conservatrice car il se sent menacé dans son identité et dans son existence même. La gauche libertaire ne songe nullement à le protéger. Elle est pour la mondialisation des échanges, le remplacement des populations, la discrimination positive en faveur des minorités.
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Obama aura été le représentant idéologique américain « soft » de cette tendance. Son soutien au groupe de pression LGBT en est l’expression la plus révélatrice. Cette position inconfortable pour le grand allié des Saoudiens s’exprime sans détour vis-à-vis de pays moins riches et aura été imposée par le biais de la Cour Suprême aux Etats, au mépris de la démocratie. Elle l’aura largement emporté sur la défense des noirs dont la situation a peu changé, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Gilles William Goldnadel écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le drame de Dallas est révélateur d'une racialisation inquiétante des rapports sociaux accompagnée d'un antiracisme à géométrie variable. Après le drame d'Orlando, inutile de chercher dans les oraisons présidentielles la raison islamiste. Le « la » du diapason était ainsi donné aux médias bien disposés pour l'unisson : la faute aux armes à feu, à l'homophobie (et tant pis pour les orientations sexuelles du terroriste) mais pas question de réclamer des comptes à l'Autre es qualité de musulman radical. Après le carnage cruel de Dallas, un mot manquait cruellement au discours du premier Américain : « raciste ». Un Noir, adepte du suprématisme noir, déclarait avoir massacré des policiers blancs pour venger des crimes commis par d'autres policiers blancs.
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Mais le mot qui serait venu naturellement aux lèvres de n'importe qui si, par exemple improbable, un Français voulait tuer un musulman intégriste pour venger le 13 novembre ou un délinquant Noir parce qu'il aurait été volé par un autre Noir, manquait. Comme si, ici, l'évocation du racisme d'un noir, forcément victime par essence, était impossible à dire. Et comme si le blanc, par essence raciste, n'était jamais totalement innocent. C'est dans le creux vertigineux de ce manque que niche une grande partie du drame racial qui enlaidit la vie. À ce stade, les mots sont impuissants pour dire l'échec calamiteux du premier président noir des États-Unis d'Amérique dans sa tentative alléguée d'avoir voulu apaiser les tensions raciales. Sans doute, le ver était logé dans le fruit racialiste de ceux qui exultaient au soir de son élection, non en raison de son habileté oratoire incontestable, de son intelligence, de son élégance et de sa prestance, mais à raison essentiellement essentialiste de la couleur de sa peau.
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Et ce président n'aura eu de cesse depuis le début de sa présidence d'accuser la police d'être raciste envers les noirs et de s'en prendre particulièrement aux policiers blancs ou, plus largement, à tous les blancs susceptibles de se défendre contre des criminels. Obama s'est appuyé pour cela sur les professionnels de la tension raciale tel Al Sharpton, et a accordé ces derniers mois son soutien à des organisations extrémistes ouvertement anti policières telles que Black Lives Matter. À chaque fois qu'une polémique a défrayé la chronique policière et criminelle (Trayvon Martin à Stanford en Floride, Michael Brown Ferguson dans le Missouri ou Freddy Gray à Baltimore), à chaque fois Obama, pour le plus grand plaisir de la presse de gauche et des démocrates gauchisants, a pris parti systématiquement contre la police. On a vu plus tard que la justice voyait les choses moins simplement et moins systématiquement.
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J'affirme que considérer l'ensemble des faits divers précités comme le résultat d'un racisme évident plutôt que celui de l'instinct de peur ou même de la défense légitime relève d'une spéculation intellectuelle infiniment plus oiseuse que lorsqu'il s'agit de caractériser l'acte d'un criminel qui fait un carton sur des policiers blancs uniquement parce qu'ils sont blancs. Et pourtant, dans l'hypothèse spéculative, on affirme le racisme, et dans le cas indiscutable, on le passe sous silence. De même, je réfute par principe l'évidence propagée ad nauseam de ce que la justice américaine aurait, à chaque fois qu'elle a relaxé un policier mis en cause, fait montre de partialité. Après tout, en France aussi, des politiciens spéculant façon Benoît Hamon ont critiqué des décisions bien fondées en droit comme en fait comme dans l'affaire Ziad et Bounia. À la suite de ces spéculations médiatiques et politiques, on imagine avec quelle sérénité intellectuelle les prochains juges américains appréhenderont les prochains « dérapages policiers » qui seront déférés devant eux. L'opinion publique, cette catin, n'a rien à faire dans le prétoire déclarait autrefois mon confrère Moro-Giafferi. C'est loin.
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Dans ce cadre intellectuel vicié, un cercle culturel vicieux s'est agrandi sans fin. Le sort des Noirs américains, leur situation sociale et culturelle se sont, depuis les années 60, très considérablement améliorés. J'affirme qu'aujourd'hui, que par une dynamique perverse et dialectique, une sorte de choc en retour et d'un excès l'autre, les vecteurs principaux d'agrandissement du cercle vicieux se nomment racialisme obsessionnel et antiracisme professionnel, avec leur cortège de culture de l'excuse et de victimisation systématiques a priori. De ce point de vue, Barack Obama en aura été à la fois le triste héros et la victime consentante. Mais on aurait tort de penser que ces deux fléaux n'ont pas franchi allègrement l'Atlantique.
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Que penser par exemple, puisqu'il faut parler vrai, de cet article publié sans le moindre recul le 5 juillet dans notre vespéral national et intitulé : « Dans les banlieues populaires, l'absence de Benzema ne passe (toujours) pas » ? : « On veut pas de reubeus en équipe de France, on l'entend beaucoup. Il y a une identification aux joueurs exclus ». « Bien sûr, il y a Sissoko, Pogba qui viennent de la région parisienne, mais ma génération est déçue qu'il n'y ait pas de reubeus des quartiers, des mecs qui nous ressemblent » fait dire la journaliste à des figures de l'immigration arabo-maghrébine. Bref de l'ethnicisme tranquille et assumé: c'est bien qu'il y ait des Noirs mais il faudrait aussi des Arabes. Quant à savoir la répartition quantitative entre marocains et algériens, l'article ne le dit pas. Les mêmes qui n'avaient pas de mots assez durs pour Nadine Morano.
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Heureusement, il n'y a pas que cela. Le Portugal a battu la France. L'immigration portugaise est une chance pour la France. C'est dit, conclut Gilles William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.christianvanneste.fr/2016/07/10/lillusion-obama-se-dissipe/
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http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/07/11/31002-20160711ARTFIG00151-goldnadel-apres-dallas-la-consternante-absence-du-mot-racisme.php
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Obama en tenue musulmane: Des photos rares, jamais publiées.
WASHINGTON
Mercredi soir sur Fox News, Bill O'Reilly a partagé des photos du président Barack Obama portant l'habit traditionnel musulman. O'Reilly explique que les photos ont été prise lors du mariage de son demi-frère Malik.
Les photos sont similaires au set de photos publié en 2004 par Malik qui prétendait qu'elles avaient été prises dans le Maryland au début des années 90. La demi-soeur de Barack Obama déclare que son frère a vraiment assisté au mariage de son demi-frère dans les années 90.
https://www.youtube.com/watch?v=rUrlvCygnWY
Source via le Facebook du PNS
USA: Cinglant revers pour Obama sur l’immigration
Le président américain a déploré une décision «frustrante» de la Cour suprême, qui a de facto bloqué sa politique de l'immigration.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé jeudi un lourd camouflet à Barack Obama, en bloquant de facto sa politique emblématique sur l'immigration. Ce tournant judiciaire est «frustrant» et «douloureux» pour des millions d'immigrés en situation irrégulière, a immédiatement souligné le président américain, tentant de placer le sujet au coeur de la campagne qui désignera son successeur à la Maison Blanche.
Nobama
Les hommes vraiment méchants sont aussi rares que les hommes vraiment bons, mais il y a beaucoup d'impuissants qui miment, suivant le souffle extérieur qui les agite, tantôt le bien et tantôt le mal. C'est le même besoin universel de plaire, inhérent à toute impuissance, la même incapacité de s'affirmer, de s'opposer, de dominer les influences, la même absence d'opinion et de passions personnelles, en bref le même phénomène "d'adaptation au milieu" qui dicte ses flatteries en notre présence et ses médisances dans une assemblée qu'elles réjouissent.
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Il est également sincère dans les deux cas, si l'on entend par sincérité cette absence de préméditation et de fraude, cette spontanéité adaptative des miroirs et des girouettes, et il est également hypocrite, si l'on entend par hypocrisie le manque de tout sentiment certain, profond et durable. Le caméléon est gris tant qu'il marche sur le sable ; s'il passe sous un arbre, il se colore en vert ; il n'est ni plus sincère ni plus hypocrite dans un endroit que dans l'autre : il n'est partout qu'un caméléon.
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Michel Garroté
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En retard pour une photo de famille, Hollande se fait chambrer par Obama
Raoul Castro vs Poutine / Raoul Castro vs Obama [vidéo]
Tais-toi Obama !
Il paraîtrait que Donald Trump ne serait pas élu président des Etats-Unis le 8 novembre prochain (entrée en fonction en janvier 2017 et d'ici-là Obama va continuer de tout démolir et de se ficher du monde). C'est l'arrogant Barack Hussein Obama qui en est persuadé : « J'ai confiance dans le peuple américain. Ils sont conscients du fait qu'être président est un métier sérieux. Cela n'a rien à voir avec l'animation d'une émission de téléréalité, a allégué l'illusionniste Obama a qui on n'a pourtant rien demandé.
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« Ce n'est pas du marketing. C'est difficile. Cela n'a rien à voir avec simplement chercher à attirer l'attention des médias chaque jour », a-t-il poursuivi à l'attention du milliardaire. « Parfois, cela demande de prendre des décisions difficiles même si elles sont impopulaires. Cela implique d'être capable de travailler avec des dirigeants du monde entier ». Les critiques d'Obama ne semblent pas vraiment émouvoir Trump.
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« Venant de sa part, c'est même un beau compliment si vous voulez connaître la vérité », a-t-il réagi. Et le candidat républicain de se lancer dans un bilan lucide du locataire actuel de la Maison-Blanche. « Il a fait un boulot nullissime en tant que président. Regardez nos budgets. Regardez nos dépenses. On est incapable de défaire Daech. Obamacare (la réforme du système de santé votée) est une catastrophe. Nos frontières sont du gruyère. On va mettre fin à tout ça », a promis le magnat.
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Michel Garroté, 18.2.2016
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http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-americaine/etats-unis-obama-confiant-sur-le-fait-que-trump-ne-sera-pas-elu-president-17-02-2016-5553939.php
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Obama attaque les Chrétiens sur tous les fronts : la NASA interdit le mot « Jésus »
Le nom de Jésus n’est plus le bienvenu à la NASA. La Newsletter du centre spatial Johnson a été expurgée pour le faire disparaitre, a dénoncé un groupe de Chrétiens salariés de la NASA.
A part ça tout va très bien
Selon divers observateurs, ce qui se passe à la frontière turco-syrienne laisse entrevoir d’intenses préparations à une incursion turque en Syrie. Des images montrent que l’artillerie turque bombarde des villes syriennes au nord du port syrien de Lattaquié et que la Turquie ravitaille des combattants dans les villes syriennes d'Alep et d'Idlib.
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Il semble que la Turquie essaie de dissimuler ses activités sur sa frontière avec la Syrie et c'est sans doute pour cela qu'elle a annulé le vol de reconnaissance qu’un avion russe devait tout récemment effectuer au-dessus de cette portion du territoire syrien.
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De fait, quoi qu'il puisse alléguer par ailleurs, le régime islamique turc soutient l'Etat Islamique (EI) en Syrie et en Irak et de plus il combat les Chrétiens et les Kurdes. Enfin, rappelons que le régime islamique turc compte déjà des troupes au sol en Irak.
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De leur côté, l'Iran et le Hezbollah pro-iranien ont depuis longtemps des effectifs militaires en Syrie. L'Arabie saoudite et le Qatar, au même titre que la Turquie, soutiennent l'l'Etat Islamique en Syrie et en Irak. Etat Islamique qui depuis plusieurs mois compte des effectifs militaires en Libye.
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Ni Obama, ni l'Union européenne ne prennent de vraies mesures contre l'Etat Islamique sunnite. Ni Obama, ni l'Union européenne n'évaluent le danger iranien chiite à sa juste mesure. En clair, seuls des pays musulmans (favorables à la charia) et la Russie (pays intelligent) sont opérationnels au Proche et au Moyen Orient.
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Pire, les Etats européens, notamment la France et l'Allemagne, tolèrent, encore et toujours, des prédicateurs musulmans extrémistes sur leur sol. Et les Etats européens sont dépassés par la présence de terroristes parmi les migrants en provenance du Moyen Orient via la Turquie, la Libye et les Balkans. A part ça, tout va très bien.
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Michel Garroté, 5.2.2016
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