France corrompue: Nicolas Dupont-Aignan dévoile des SMS de pression de Serge Dassault, propriétaire du Figaro

Il avait déjà affirmé avoir reçu des SMS de pression de soutiens de François Fillon et menacé de les dévoiler. Nicolas Dupont-Aignan est passé à l’acte. Ce jeudi 20 avril, sur le plateau de l'émission "15 minutes pour convaincre" sur France 2, le candidat de Debout la France a dévoilé le contenu de ses échange par textos avec « un grand patron de presse français, industriel, au service d’un candidat », selon ses dires à l’antenne. Interrogé par Marianneaprès son passage sur France 2, Nicolas Dupont-Aignan confirme qu’il s’agit de Serge Dassault, propriétaire du Figaro.

« Je veux lire pour que les Français sachent ce qu'il y a derrière les coulisses et pourquoi notre démocratie ne fonctionne plus », a lancé le député de l’Essonne sur France 2. Il a ensuite lu cet échange sur son téléphone portable :
« - Le boycott de mon journal n'est que la conséquence de ton attitude contre Fillon et ce n'est pas restant dans ton coin que tu y arriveras mais en étant dans une équipe gouvernementale. Il vaut mieux manger une soupe que du pain rassis.
- Je suis scandalisé que tu assumes ce boycott.
- Cela n'arrivera plus quand tu cesseras de combattre Fillon.
- C'est de la censure.
- Si tu changes d'avis, il n'y aura plus de censure, je te le promets. »

Le Figaro brise l’omerta sur le massacre des Blancs en Afrique du Sud

Dans un article du 4 mars 2017, le Figaro relate le massacre des Blancs en Afrique du Sud et parle de la grande censure sur ce sujet car, « ce sujet tabou peu traité par les média nationaux, ne manque pas de diviser une société déjà déchirée par l’héritage de l’apartheid. En cause, le caractère racial du phénomène : la quasi totalité des fermiers du pays sont blancs et la totalité des agresseurs sont noirs ». Il est étonnant de ne pas voir des organisations anti-racistes dénoncer ces massacres en masse de Blancs ! Où sont les organisations humanitaires en Europe pour dénoncer le génocide des Blancs en Afrique du Sud ? ou les média anti-racistes ? Pourquoi un simple article perdu dans la masse des infos dans le Figaro et pas de larges protestations sur ces massacres dictés par une idéologie raciste qui veut le génocide des Blancs ?

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La question du Figaro: « Après l’attentat de Berlin, faut-il interdire les marchés de Noël en France ? »

On pensait avoir tout lu, tout vu, c'est sous-estimer la malhonnêteté de ces crapules qui vont toujours plus loin dans la haine de nos racines.

On comprend mieux pourquoi les génocides des chrétiens arméniens et des chrétiens du Moyen-Orient sont passés sous silence dans nos médias, pourquoi l'inversion ne connait aujourd'hui aucune limite, ni de morale, ni de pudeur. Les mêmes médias qui publiaient en Une l'image d'Aylan Kurdi, afin de culpabiliser les Européens et leur faire accepter une immigration de masse, accusent les patriotes de "récupération" lorsque ceux-ci sont scandalisés par les nombreux attentats.

Mais ici on a atteint un palier supplémentaire: la destruction claire de nos us et coutumes au nom du multiculturalisme et de l'immigration de masse. Le remplacement de nos peuples n'a jamais été aussi évident qu'avec cette "question" alors que des chrétiens sont morts lors de cet attentat et que leur sang n'a même pas encore séché. La faute en incombe à nos gouvernements, à la gauche mais aussi spécifiquement aux médias.

On se souvient que ce journal avait fait l'apologie d'Obama, un autre individu anti-chrétien puisque les USA ont accueilli en priorité des réfugiés musulmans. Rien n'est dû au hasard.

 

Source

Philippe de Villiers n’est plus le diable

France-Villiers-1

   
Michel Garroté - Au Puy du Fou, Emmanuel Macron a déclaré qu'il n'était pas socialiste. Pour Gilles-William Goldnadel, le monde politique a changé. Une telle déclaration aurait choqué il y a une décennie, tandis que Philippe de Villiers n'est plus le diable. Ci-dessous, des extraits de l'analyse de Gilles William Goldnadel parue sur Figarovox.
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Ainsi donc, sur Figarovox, notre ami Gilles William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La visite rendue par Emmanuel Macron à Philippe de Villiers est bien plus intéressante pour ce qu'elle ne dit pas que pour ce qui en a été dit. Que le ministre au bord du Rubicon ait décidé de commettre un nouveau geste identitaire après sa visite à la pucelle en dit long sur ses ambitions. Qu'il ait fait acte public de non - socialisme tient moins de l'honnêteté revendiquée que de l'instinct de conservation , à un moment où toute allégeance au parti de la rive gauche relève, selon les sondages, du masochisme le plus sauvage. Au fond, l'anti-modèle du ministre s'appelle Cambadélis. Non seulement dans son pré carré économique réservé, mais encore par opposition aux imprécations antifascistes et antiracistes convenues, dont le premier secrétaire du parti s'est fait une spécialité obligée qui ne fait plus recette.
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Gilles William Goldnadel : Nous verrons, par exemple, prochainement si les initiatives subliminales du non-socialiste gouvernemental s'avéreront plus commerciales que le discours plus concret en matière d'autorité et d'identité d'un Premier ministre qui, même s'il a raillé leur sur-moi marxiste, ne peut renier les camarades qui lui restent. Mais, sous l'écume politicienne, en profondeur marine, dans le creux du non-dit, ce qui devrait intéresser bien davantage, c'est l'absence de toute véritable protestation à ce qui a été présenté brièvement comme une manière de transgression. L'imagination est impuissante à décrire à quoi aurait ressemblé la réaction médiatique de la classe conformiste il y a encore une poignée de mois. Mais, éclatante revanche, Monsieur de Villiers ne fait plus peur ni rire, ni par son nom, ni par ses origines, ni par ses idées. Il y a encore une demie décennie, des marionnettes du bocal à la mode tenaient pour ridicule un patronyme à particules qui sentait trop le bocage local.
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Gilles William Goldnadel : On aurait ri à l'identique d'un nom juif ou arabe, que le rieur se serait retrouvé devant le tribunal. Aujourd'hui, ce sont les pantins ringardisés qui sentent le formol. Il y a quelques lustres, l'actuel maire-adjoint de la maire de Paris et vice-président de SOS-Racisme faisait expulser manu militari ce fils de résistant, et l'une des rares personnalités politiques venues manifester son indignation après l'assassinat d'Ilan Halimi. Aujourd'hui, c'est l'association subventionnée à but non lucratif et prétendument antiraciste qui inspire, dans le meilleur des cas, une franche hilarité. Il y a quelques années, on aurait moqué encore le Chouan avec ses gros sabots. J'ai eu l'honneur de préfacer l'ouvrage irremplaçable de Reynald Seycher, consacré au génocide du peuple vendéen. J'expliquais les réticences de l'idéologie dominante à la reconnaissance de ce que Babeuf lui-même nomma un « populicide » délibéré : non seulement le fait que l'horreur ait pu être accomplie par la république, mais plus encore parce qu'un peuple catholique et blanc ne correspondait pas à l'idéal du peuple victime dans l'inconscient collectif des années 2000.
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Gilles William Goldnadel : Nous n'en sommes plus là, et nous savons bien que les chrétiens peuvent être les victimes du fanatisme politique ou religieux. À ce sujet encore, l'homme du Puy-du-Fou fut moqué ou morigéné par des journalistes très intelligents et très bien informés pour avoir osé le premier attiré l'attention du public sur les risques de la présence dans les aéroports de nombreux bagagistes islamistes. Après les premiers attentats, légèrement penaud, monsieur Martinez était obligé de convenir qu'il avait été contraint de retirer leurs cartes syndicales à des centaines de cégétistes barbus et badgés de Roissy et d'Orly…. Quant aux critiques de l'Europe multiculturaliste par l'ancien responsable du Mouvement Pour la France, inutile de les répéter, elles passeraient aujourd'hui pour des évidences publiques et des lieux trop communs.
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Gilles William Goldnadel : Mais au-delà encore de la justice rendue à un homme vilipendé par les sots et les cuistres, ainsi qu'à tous ceux qui n'ont jamais craint de célébrer leurs racines tout en sachant regarder vers le ciel, la visite faite à Philippe en dit long sur le déplacement du curseur politique. J'ai toujours en effet pensé et écrit que l'extrême gauchisation du spectre politique résultait en premier lieu de l'appropriation par l'idéologie dominante des instruments médiatiques de qualification et d'appellation des acteurs du monde politique et intellectuel. Dans ce qui ne fut qu'un jeu de rôle, ceux qui s'opposaient extrêmement à l'extrême gauche, à son multiculturalisme opposé à l'application de la loi sur les flux migratoires, à sa xénophilie opposée à toute critique de l'immigration ou de l'islam radical, à son laxisme opposé à la répression étatique par l'incarcération ou l'expulsion, étaient étiquetés « d'extrême droite » pour être parqués dans un zoo et être moqués par les petits enfants.
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Gilles William Goldnadel : J'ai évoqué un jeu de rôle, parce qu'au fond, les excluant ne croyaient pas sérieusement que les exclus du débat démocratique étaient des dangereux racistes. Ils préféraient dire « fachos » qu'oser «fascistes», comme le faisaient les communistes lorsqu'il s'agissait de qualifier le général De Gaulle. Ils ne croyaient pas à ce qu'ils disaient, mais le système à exclure, à excommunier, à ridiculiser aura bien fonctionné pendant 40 ans. Les coups de boutoir de la réalité ont enfoncé les murs du ghetto, et déplacé le curseur vers la droite. Le réalisme vient bousculer l'idéologie dictatoriale quarantenaire. Quelqu'un qui soutient que les migrations islamiques illégales présentent un danger pour la sécurité et l'identité n'est plus forcément classé à l'extrême droite. Quelqu'un qui soutient qu'aujourd'hui, il convient de ne pas expulser un migrant non éligible au droit d'asile, hier au centre gauche du curseur manipulé idéologiquement , sera très certainement classé à l'extrême gauche.
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Gilles William Goldnadel : Et c'est de lui dont on se moque sans l'exclure. Mais il ne passera pas avant longtemps pour clairvoyant , généreux ou intelligent. Monsieur Cambadélis et ses amis , peuvent bien poursuivre leurs imprécations, plus personne n'écoute. Pas même Monsieur Macron, conclut Gilles William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/08/22/31001-20160822ARTFIG00063-le-chouan-de-villiers-n-est-plus-le-diable-en-politique.php
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Propagande pro Obama: « 5 raisons qui font d’Obama le meilleur président des États-Unis »

https://youtu.be/zfRhjyvkQvA

 

Propagande risible et mensongère du Figaro. Visiblement le Figaro fait dans l'idolâtrie stupide et inconsistante alors qu'aujourd'hui il est très facile de vérifier une information.

 

Voilà les arguments de ce "journal":

Barack Obama a accompli ce que beaucoup pensait impossible lorsqu'il est devenu le premier président noir des Etat-Unis.

1. Il  s'est battu et a obtenu une réforme du système de santé avec le vote de la loi sur les soins abordables

2. Il a su préserver sa vie personnelle des rumeurs et des scandales

3. Il a gagné le prix Nobel de la paix en 2009 "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples"

4. Il a ouvert la voie à la légalisation du mariage pour tous

5. Et puis... il n'a pas peur de dire tout haut ce qu'il pense de Donald Trump

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Reprenons ces arguments:

1. La loi Obamacare possède un bilan mitigé. Cette loi est contestée sur le plan de la légalité. Elle augmente la dette nationale. Au final, elle fait peser le poids financier sur le contribuable.

2. Cet argument n'en est évidemment pas un. Préserver sa vie privée ne transforme pas Obama en président plus compétent qu'un autre en ce qui concerne le bien-être des gens. Cela ne change en rien leur confort ni n'efface leurs préoccupations. Agiter une telle rhétorique donne au contraire l'impression que le journaliste n'avait aucun fait valable à nous exposer. Mais pire, évoquer la vie privée fait immanquablement penser à la NSA qui s'est arrogé le droit d'espionner le monde entier. Et cela, sous l'ère Obama. Rien que sur cette base, Obama est très loin d'être un "bon président".

3. Le journaliste arrive à nous ressortir l'histoire de ce fameux prix Nobel dont la légitimité est remise en doute par l'ancien directeur du Prix Nobel lui-même. Qui plus est, depuis sa nomination à la présidence, Obama a été responsable de nombreux morts en Syrie via l'armement de rebelles "modérés" qui n'hésitaient pas à rallier les islamistes. De plus, l'épisode de l'Ukraine tend à incriminer la CIA dans une manipulation visant à isoler la Russie et à refroidir les relations avec Poutine, avec des peurs bien réelles à la clé.

4. Le mariage pour tous a été effectivement légalisé, dans de nombreux pays, par une propagande dont les USA ont le secret. Et cela au mépris de la démocratie, comme cela s'est passé en France. Pendant ce temps, de nombreux chrétiens sont persécutés dans les pays musulmans sans que cela ne gêne Obama. Le mariage gay est plus important pour lui que la persécution des minorités dans les pays musulmans ou les agressions que les Européens subissent par la faute des migrations. Or ces migrations découlent de l'ingérence des USA dans de nombreux pays. Tous les crimes de ces migrants en Europe sont donc aussi à mettre au crédit de ce président.

5. Le cinquième argument démontre toute la supercherie des autres points: Le journaliste n'hésite pas à imposer sa moraline coutumière anti-Trump. Critiquer ce candidat est désormais une "qualité". Cela en dit long sur "les valeurs" que nos médias essaient de nous imposer à longueur de temps. Spécifiquement, on ne compte plus les articles anti-Trump dans la presse occidentale, comme si les journalistes devaient à tout prix nous faire haïr ce candidat que nous n'élirons même pas. De plus, cette haine est transformée en qualité par la magie de la bien-pensance. Il existe des éléments sur lesquels on peut vomir en toute quiétude, en renforçant même son statut de représentant du Bien et d'autres qui sont interdits de critiques. C'est ce mode de pensée liberticide qui est désormais imposé en Occident.

Bien entendu, Obama bénéficie du processus inverse qui l'exonère de tout crime, puisqu'il provient de la diversité si chère aux journalistes de gauche.

En fin de compte, comme dans toute propagande, le journaliste a simplement lancé des slogans vides de sens, croyant que le simple pékin goberait encore ce genre de sornettes. Une vidéo quelque peu esthétique, des images d'un président souriant et une attaque anti-Trump pour finaliser l'effet, se revendiquer, facilement, du bon côté. C'est tout ce que ces gens surpayés ont désormais à offrir.

Nice. Lorsque le Figaro traite les Français de racistes pour avoir dénoncé la réalité

Christian Hofer: N'importe qui ayant vécu en France aura relevé la violence de Maghrébins, mais visiblement la vérité n'a plus le droit d'être dite. Notamment, les statistiques françaises, avant leur censure, prouvaient la surdélinquance de ces immigrations en France.

Mais le Figaro, loin de reconnaître la réalité, préfère accuser et souiller des Français qui vienne de subir un attentat, qui viennent de voir leurs propres enfants mourir et qui doivent à présent se résoudre à vivre dans la peur.

Il est vrai qu'il ne manquait plus que l'accusation du racisme!

Enfin, on notera que c'est le pouvoir socialiste qui a armé des pseudos rebelles en Syrie, en collaboration avec le gentil Obama. Au final, c'est le peuple qui en paye le prix. Bien entendu, la gauche ne se sent aucunement coupable de la situation alors qu'elle est responsable de la propagande multiculturelle et de la présence musulmane.

Pour cela, il faudrait avoir une conscience.

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(...)

Si Michel Bozzan porte un discours d'apaisement, «exaspéré par les politiques de tous bords qui ne cessent de polémiquer sur le drame, avec pour seule idée de se faire réélire», les discours racistes sont partout dans les bouches.

«Marre que ces soit-disants Français nous massacrent» a écrit une main rageuse parmi les messages du mémorial. Cette retraitée Ch'ti, habitante de Nice depuis vint-sept ans déplore «l'agressivité des Maghrébins».

«Quand on est français de souche, on est regardé de travers, traité de raciste dans les transports en commun. A la moindre réflexion, ça explose» déplore-t-elle.

«Les attentats vont continuer. C'est trop tard. La bêtise, c'est Giscard qui l'a faite en autorisant le regroupement familial en 1976. Les politiques ne peuvent plus rien faire, juste gesticuler comme des pantins ridicules. Personne ne le dit mais les tensions communautaires sont vives ici, comme à Marseille où j'ai longtemps vécu. On n'est plus chez nous.» affirme cette élégante quinquagénaire qui travaille dans une agence du tramway, «j'ai entendu trop de gens, dans mon quartier, justifier les attentats de Paris par le fait que nous sommes en guerre en Syrie. Cela commence à bien faire».

Source

USA: investiture républicaine: les médias pris en flagrant délit de mensonge

Les médias n'ont décidément aucune, mais alors aucune honte à raconter n'importe quoi. Les médias de ces derniers jours ont ainsi triomphalement annoncer une chute spectaculaire de Donald Trump dans les intentions de vote des supporters républicains: la côte de celui-ci aurait en effet dégringolé de 12% en l'espace d'une semaine passant de 43% le 22 novembre à 31% le 27 novembre.

Les journaux ayant diffusé cette information sont légion. On trouve ainsi en vrac:

le figaro

l'express

Sputnik France

L'Agefi (actualités au fond)

TheGuardian

etc...

Et d'enchaîner sur les explications de cette descente aux enfers: la conséquence de moqueries sur un handicapé pour les uns ou de déclarations fracassantes sur la création d'une base de données pour ficher les musulmans américains pour les autres. Bref, le petit monde de la gauche journalistique internationale jubile (ne manque que les nôtres…), le vilain méchant Trump se mange une gamelle.

Petit problème: le sondage du 22 novembre mettant Trump à 43% n'existe pas! En date du 23 novembre CNN annonçait en effet un sondage dans lequel Trump se baladait à 32% et non à 43%. On trouve d'ailleurs confirmation de cette information sur le site RealClearPolitics.com qui donne l'ensemble des derniers sondages parus aux Etats Unis. Pour le 22 novembre et au sujet de la nomination du candidat républicain à la présidentielle, les sondages disponibles sont celui d'ABS/Washington Post (Trump à 32%) et de FoxNews (Trump à 28%).

Comme il n'est nulle part question d'un sondage où Trump caracole en tête à 43%, il faut donc croire que les médias reprennent tous en choeur une information non confirmée. Ou plutôt une claire et nette désinformation dont je n'ai pas, jusqu'ici, pu détecter la source. On dira ce qu'on voudra, mais ce n'est pas possible qu'il s'agisse d'une erreur non volontaire: le chiffre de 43% n'apparaissant nulle part de près ou de loin associé au nom de Trump.

Mais il y a encore plus fort. Je vous disais un peu plus tôt dans cet article que certains ont attribué cette chute à la volonté de Trump de créer une base de données pour ficher les musulmans américains. Or, ce coup-ci, c'est CNN qui est incriminé pour avoir trafiqué une information. Un rapide coup d'oeil sur le blog conservateur Breitbart montre comment CNN essaie de tromper son monde.

On y trouve cette vidéo:

Observez bien ce qui se passe à la 20ème seconde: l'image est coupée, Trump est en train de répondre à une question et hop, le journaliste insère dans la conversation une autre question afin de profiter de faire dire au candidat républicain ce qu'il ne dit pas. Vous trouverez sur Breitbart également une retranscription écrite de ce qui a été réellement dit.

Quand une entreprise de désinformation d'une telle malhonnêteté se met en place, il faut croire que le milliardaire US dérange méchamment et que certains sont prêts à n'importe quoi pour le faire chuter.

En ce qui me concerne, ne suivant la chose que de loin, j'ai bien de la peine à émettre un avis sur la personne de Donald Trump. Mais il n'empêche que quand je vois une tel torrent de bile se déverser, je me dit qu'il ne peut pas être si mal que cela...