Suisse. Islamistes: peines avec sursis requises contre Blancho et Illi

Lors du deuxième procès de Nicolas Blancho et Qaasim Illi devant le Tribunal pénal fédéral, le Parquet a requis mardi des peines avec sursis. Les deux membres du Conseil central islamique suisse sont accusés d'avoir diffusé des vidéos de propagande pour Al-Qaïda.

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Les deux accusés ont non seulement fait usage de leur droit de se taire mais ils ont aussi refusé de répondre sur leur situation personnelle. Selon les renseignements récoltés par le tribunal, leur seule source de revenus serait leur emploi à 20% auprès du CCIS.

Qaasim Illi est le père de dix enfants et Nicolas Blancho de quatre. Ni l'un ni l'autre n'ont expliqué comment ils subviennent aux besoins de leur famille.

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Journaldujura.ch

Nos remerciements à Dany Riviera

Nicolas Blancho accusé de propagande jihadiste

La plainte du Ministère public de la Confédération (MPC) est centrée sur une interview avec un haut responsable islamiste, Abdallah Al-Muhaysini. Cette vidéo a été tournée par l'accusé Naim Cherni, responsable de la production culturelle au Conseil central islamique suisse (CCIS), durant un voyage en Syrie à l'automne 2015.

Les deux autres membres du comité du CCIS, Abdel Azziz Qassim Illi et Nicolas Blancho ont autorisé la diffusion de la vidéo, ou ont contribué à sa propagation.

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Suisse: Nicolas Blancho flirte-t-il avec le djihad?

Un enregistrement datant de la mi-mai 2015 laisse entendre que le président du CCIS Nicolas Blancho tient un double discours, comme l'explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 4 décembre.

Interrogé par le journaliste Kurt Pelda qui a obtenu l'enregistrement et qui voulait savoir si ces propos constituaient un appel au djihad, Nicolas Blancho est resté silencieux. Tout comme le CCIS d'ailleurs.

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La musique illustrant l'enregistrement audio a également retenu l'attention du Tages-Anzeiger.

Il s'agit d'un chant (nasheed) de l’État islamique dénommé «la charia de notre seigneur est la lumière».

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Suisse, Islam: Endetté et inculpé, Nicolas Blancho a disparu

Nicolas Blancho a disparu sans laisser d’adresse. Le président du Conseil Central Islamique Suisse, originaire de Bienne, a été inculpé il y a quelques semaines pour propagande terroriste. Le jugement du Tribunal pénal fédéral de Bellinzone est pendant.

Une mention parue dans la feuille d’avis officielle du Canton de Berne indique qu’il devait 9000 francs à la caisse maladie Sanitas.

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Vite, une collecte ! La chronique d’Yvan Perrin

Décidément, depuis que la presse s'intéresse vraiment à l'islamisme et à ceux qui le propagent chez nous, on en apprend de belles. Il y a peu, c'est le brave Abu Ramadan, imam radical qui appelle Allah à détruire les ennemis de l'islam, les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites qui apparaissait enfin au grand jour. On apprenait ainsi que ce personnage si bien intégré avait touché CHF 600'000.— des services sociaux pour répandre son venin. Il aurait bien voulu travailler mais la pratique de sa religion alliée à une connaissance limitée de nos langues nationales l'en ont empêché. Il aurait bien voulu apprendre le français mais son enseignant changeait souvent, ce qui rendait les leçons peu profitables d'autant plus qu'elles n'avaient lieu qu'une heure par semaine. Bref, ce n'est pas facile pour lui.

Tout dernièrement, c'est Nicolas Blancho et sa bande du Conseil central islamique de Suisse qui faisaient parler d'eux. Le Ministère public de la Confédération leur cherche des poux dans la tête pour avoir éventuellement et fortuitement fait un peu de publicité pour Al Qaïda, ce qui est condamnable dans notre pays. On verra ce que donnera la procédure appelée à finir devant la Cour européenne des droits de l'homme, mais on s'intéresse déjà à savoir comment nos joyeux drilles vont financer leur défense.

Aujourd'hui, en effet, la presse nous apprend que notre homme et son porte-parole Qaasim Illi vivent chichement, si chichement qu'ils ne sont pas en mesure de payer leurs primes d'assurance-maladie. Selon le Blick du jour, Sieur Blancho doit plus de CHF 7'500.—à sa caisse maladie plus quelques frais administratifs. Il est vrai que le personnage n'a plus rien versé depuis deux ans, ce qui doit finir par faire pas mal d'argent, d'où quelques procédures de recouvrement de créances. Cela fait vraiment plaisir à l'heure où nous attendons qu'Alain Berset nous présente les augmentations prévues pour 2018. Evidemment, MM. Blancho et Illi ne paient pas un sou d'impôts non plus et il y a peu d'espoir qu'ils en paient à futur, ne tenant évidemment pas à participer aux besoins d'une société qu'ils travaillent à détruire.

En fait, tout cela est rigoureusement organisé, comme pour Abu Ramadan. Les islamistes sponsorisés par les pays du Golfe veillent consciencieusement à parasiter notre système, ce qui accélérera son déclin et, partant, l'instauration de cette charia qu'ils appellent de leurs vœux. Fort heureusement, lorsqu'il est question d'organiser des manifestations appelant à notre perte, de généreux donateurs se manifestent, permettant à ces tiques de poursuivre leur action destructrice. Il en ira de même tout au long de la procédure lancée par le Ministère public. Sans le sou, les intéressés auront droit à l'assistance judiciaire, les donateurs anonymes finançant ce que l'Etat, dans sa rapacité bien connue, leur refuserait. En attendant, ces individus auront tout loisir de hurler à la violation de la liberté d'expression.

En clair, nous payons des impôts grâce auxquels les ennemis de ce que nous sommes financeront une partie de leur défense suite à leur apologie d'Al Qaïda et au surplus, nous veillons attentivement sur leur santé en voyant nos primes s'envoler d'année en année.

Elle est pas belle, la vie ?

Yvan Perrin, le 27 septembre 2017

Nicolas Blancho : le converti qui veut islamiser la Suisse

A l’heure ou l’Europe est encore sous le choc des récents attentats revendiqués par l’Etat Islamique, et où de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer l’hypocrisie sans nom de la plupart des médias qui refusent de désigner l’ennemi, il convient de s’attarder un peu sur le cas de cette catégorie d’islamistes qu’il ne faut pas négliger : les convertis.

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Communiqué UDC : Affaire Jean-Luc Addor contre Nicolas Blancho et autres islamophiles radicaux : la justice fait-elle le boulot des islamistes?

Publié le 17 août 2017 par l'UDCVR

Dans une décision attendue et anticipée, le tribunal de district de Sion a rendu un verdict qui ne surprendra malheureusement personne en condamnant Jean-Luc Addor face aux islamophiles.
Notre justice s’est laissée instrumentaliser par les barbus les plus radicaux du pays, exactement comme cela s’est produit dans les pays voisins. C’est un tour de force particulièrement habile puisque, dans son message, Jean-Luc Addor n’avait même pas évoqué un règlement de compte entre musulmans, ni même la question de leur appartenance religieuse. Le problème soulevé, de manière ironique, concernait les  effets indésirables de l’immigration difficile à intégrer et c’est l’accusation – et maintenant le Juge – qui, par un amalgame totalement abusif – soutient que Jean-Luc Addor a parlé de musulmans.
Si Jean-Luc Addor est condamné, ça n’est pas tant pour les quelques mots en cause, mais pour tout un engagement politique contre l’islamisation de la Suisse et de l’Europe. Voilà pourquoi ce jugement est politique. Le but est évident, faire taire toute critique légitime de l’islam et interdire de débattre de son emprise toujours plus néfaste sur notre société, avec la progression de revendications communautaristes.
Fait encore plus choquant, Jean-Luc Addor est condamné plus lourdement que le djihadiste de Troistorrents, par ailleurs ancien candidat sur une liste de gauche, qui était parti faire le djihad en Syrie et qui a même passé par les camps d’entrainement de l’Etat Islamique !
Cela démontre qu’une fois encore la justice valaisanne  a préféré faire de la politique plutôt que du droit et renforce les doutes plus que sérieux quant à son indépendance. Un autre jugement récent a démontré que pour avoir un traitement impartial, un élu UDC a dû saisir, et gagner, devant la plus haute instance judiciaire du pays.
L’UDCVR maintient évidemment et renforce son soutien à Jean-Luc Addor face aux islamistes et à leurs soutiens.
Pour l’UDCVR,
Jérôme Desmeules, (co-) Président
Cyrille Fauchère, (co-) Président

   

Le Conseil islamique suisse muselé en Turquie. Le CCIS refuse de parler « d’islamophobie » comme il l’a fait avec la Suisse.

Le Conseil Central Islamique Suisse (CCIS) avait annoncé haut et fort sa volonté de déplacer sa conférence «Longing for peace» (Aspiration à la paix) à Istanbul. Une décision qui devait mettre en relief «l'islamophobie» de la Suisse après que le Canton de Zurich et sa caisse de pension lui eurent refusé leurs locaux au World Trade Center d'Oerlikon.

Istanbul revêtait également une forte signification symbolique, car la ville a été la capitale du califat durant des siècles. Mais la conférence au Wyndham Grand Hotel ne s'est pas passée comme prévu. (...)

«Des organisateurs m'ont dit qu'il y avait des problèmes avec le son. J'ai appris par la suite que les forces de l'ordre essayaient de mettre un terme à l'événement en ordonnant à la direction de l'hôtel de couper l'électricité dans la salle où devait avoir lieu la conférence.»

On ne sait pas encore si le CCIS, si prompt à accuser la Suisse d'islamophobie, fera de même avec la Turquie. La porte-parole Janina Rashidi n'a pas voulu répondre à cette question.

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Interdit à Zurich, le Conseil central islamique suisse organise sa conférence à Istanbul

Le Conseil central islamique suisse (CCIS) va finalement organiser sa conférence sur la paix à Istanbul après s'être vu refuser l'usage de locaux à Zurich. La manifestation se déroulera comme prévu les 6 et 7 mai et sera retransmise en direct sur internet.

Le propriétaire des locaux, la caisse de pensions BVK, a cependant fait savoir qu'elle n'autoriserait pas la manifestation dans ses murs. Sa décision a été prise après une analyse détaillée de la situation, avait indiqué lundi la BVK.

Le CCIS avait rétorqué qu'il dispose d'un contrat valable et qu'il se réservait le droit de demander une mesure judiciaire superprovisoire. Il précisait aussi qu'il disposait d'un "plan B" pour organiser sa conférence.

 

Le Conseil central islamique suisse accusé d’être lié au financement du terrorisme

Le président de l’Association des savants musulmans, basée dans les locaux du Conseil central islamique suisse à Berne, est accusé par le Trésor américain de financer le terrorisme, a appris Le Temps.

Abdulmohsen Al-Mutairi est un proche du président du Conseil central islamique suisse (CCIS) Nicolas Blancho. L’Association des savants musulmans qu’il préside est installée dans les locaux du CCIS, et Nicolas Blancho en est le secrétaire, précise Le Temps vendredi.

Les Etats-Unis reprochent à Al-Mutairi, qui est basé au Koweït, de fournir un soutien financier ou logistique au Front Al-Nosra, ex-franchise d’Al-Qaïda active au Liban et en Syrie, considérée par Washington comme une organisation terroriste.

Interrogé par Le Temps, Nicolas Blancho explique qu’Abdulmohsen Al-Mutairi réfute toutes les accusations portées contre lui par les Etats-Unis et qu’il a fait appel contre sa présence sur cette liste, avec l’aide du ministère des Affaires étrangères du Koweït.

RTS

« Serrer la main n’est pas une valeur constitutionnelle suisse »

"Se serrer la main n'est pas une valeur suisse", estime Nicolas Blancho, représentant d'un islam radical en Suisse, alors que le débat s'amplifie sur la dispense accordée à des élèves musulmans de serrer la main de leurs enseignantes.

En attendant les résultats de l'expertise juridique commandée mardi par le canton de Bâle-Campagne - qui permettront de trancher sur la décision prise dans une école de la commune de Therwil - un compromis temporaire a été trouvé.

Ainsi, les deux élèves musulmans concernés "doivent saluer verbalement et poliment tous leurs professeurs. Cela permet d'éviter une discrimination du corps enseignant féminin", écrit l'école secondaire de la commune.

Il n'empêche, le débat reste vif. Et de nombreuses réactions - de l'incompréhension à la stupéfaction - se sont déjà fait entendre, jusqu'au sommet de l'Etat. Les associations musulmanes quant à elles sont divisées.

"Respect des règles communes"

Pour Nicolas Blancho, président du Conseil central islamique suisse, le débat est "surchauffé, exagéré", comme il l'a dit mardi à la RTS. "Le poignée de main n'est pas une partie constitutionnelle de la Suisse, à ce que je sache. Il faut respecter le choix personnel d'une personne qui choisit de respecter les textes coraniques."

Mohamed Hamdaoui, député au Grand Conseil bernois, ne décolère pas: l'élu musulman estime que ce refus de serrer la main relève de la "double insulte aux femmes", et souligne le besoin, dans un contexte de parité et de mixité, de se soumettre aux règles communes. "Dans les écoles publiques, on respecte les règles de l'école publique. L'école étant obligatoire, si des parents veulent retirer leurs enfants, qu'ils les inscrivent en école privée coranique."

Suite et audios

Islam: Nicolas Blancho demande à être armé

Le président contesté du Conseil central islamique, le Biennois Nicolas Blancho, reçoit de nombreuses lettres de menaces. Insulté et se sentant, lui et sa famille, menacés, comme il l'a déclaré dans les colonnes du «Tages-Anzeiger», il a déposé, auprès des autorités bernoises, une demande d'autorisation pour acquérir une arme. Demande qui lui a été refusée.

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Nicolas Blancho veut libérer les imams extrémistes détenus au Kosovo

La police du Kosovo a arrêté mercredi au cours d'une opération d'envergure 15 personnes soupçonnées de propager l'islam radical et de recruter des volontaires pour le jihad en Syrie et en Irak.

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Les imams récemment arrêtés au Kosovo doivent être libérés immédiatement. Nicolas Blancho a lancé cet appel sur le site internet du Centre islamique en Suisse (CCIS), l'organisation qu'il préside. Le Biennois critique des «actes antidémocratiques» de la part des autorités kosovares.

Les 15 suspects sont accusés d'avoir endoctriné la population en prêchant l'islam radical et en recrutant des volontaires pour les conflits en Syrie et en Irak. Il s'agit de la deuxième opération d'envergure contre les islamistes au Kosovo en l'espace d'un mois.

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