Vite, une collecte ! La chronique d’Yvan Perrin

Décidément, depuis que la presse s'intéresse vraiment à l'islamisme et à ceux qui le propagent chez nous, on en apprend de belles. Il y a peu, c'est le brave Abu Ramadan, imam radical qui appelle Allah à détruire les ennemis de l'islam, les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites qui apparaissait enfin au grand jour. On apprenait ainsi que ce personnage si bien intégré avait touché CHF 600'000.— des services sociaux pour répandre son venin. Il aurait bien voulu travailler mais la pratique de sa religion alliée à une connaissance limitée de nos langues nationales l'en ont empêché. Il aurait bien voulu apprendre le français mais son enseignant changeait souvent, ce qui rendait les leçons peu profitables d'autant plus qu'elles n'avaient lieu qu'une heure par semaine. Bref, ce n'est pas facile pour lui.

Tout dernièrement, c'est Nicolas Blancho et sa bande du Conseil central islamique de Suisse qui faisaient parler d'eux. Le Ministère public de la Confédération leur cherche des poux dans la tête pour avoir éventuellement et fortuitement fait un peu de publicité pour Al Qaïda, ce qui est condamnable dans notre pays. On verra ce que donnera la procédure appelée à finir devant la Cour européenne des droits de l'homme, mais on s'intéresse déjà à savoir comment nos joyeux drilles vont financer leur défense.

Aujourd'hui, en effet, la presse nous apprend que notre homme et son porte-parole Qaasim Illi vivent chichement, si chichement qu'ils ne sont pas en mesure de payer leurs primes d'assurance-maladie. Selon le Blick du jour, Sieur Blancho doit plus de CHF 7'500.—à sa caisse maladie plus quelques frais administratifs. Il est vrai que le personnage n'a plus rien versé depuis deux ans, ce qui doit finir par faire pas mal d'argent, d'où quelques procédures de recouvrement de créances. Cela fait vraiment plaisir à l'heure où nous attendons qu'Alain Berset nous présente les augmentations prévues pour 2018. Evidemment, MM. Blancho et Illi ne paient pas un sou d'impôts non plus et il y a peu d'espoir qu'ils en paient à futur, ne tenant évidemment pas à participer aux besoins d'une société qu'ils travaillent à détruire.

En fait, tout cela est rigoureusement organisé, comme pour Abu Ramadan. Les islamistes sponsorisés par les pays du Golfe veillent consciencieusement à parasiter notre système, ce qui accélérera son déclin et, partant, l'instauration de cette charia qu'ils appellent de leurs vœux. Fort heureusement, lorsqu'il est question d'organiser des manifestations appelant à notre perte, de généreux donateurs se manifestent, permettant à ces tiques de poursuivre leur action destructrice. Il en ira de même tout au long de la procédure lancée par le Ministère public. Sans le sou, les intéressés auront droit à l'assistance judiciaire, les donateurs anonymes finançant ce que l'Etat, dans sa rapacité bien connue, leur refuserait. En attendant, ces individus auront tout loisir de hurler à la violation de la liberté d'expression.

En clair, nous payons des impôts grâce auxquels les ennemis de ce que nous sommes financeront une partie de leur défense suite à leur apologie d'Al Qaïda et au surplus, nous veillons attentivement sur leur santé en voyant nos primes s'envoler d'année en année.

Elle est pas belle, la vie ?

Yvan Perrin, le 27 septembre 2017

Genève: Les collectes de vêtements volées : aussi par des Roumains et des Français

Jusqu'au racket: du jamais vu en Suisse. Les joies de la libre circulation...

Les vols dans les boîtes à fringues du canton sont légion depuis 2010. Dans un premier temps, la population Rom était pointée du doigt. Des citoyens les avaient en effet surpris en flagrant délit de vol. Des adultes tenaient des enfants par les pieds pour qu’ils puissent farfouiller et prendre des habits. Puis, d’autres malfrats ont eu l’idée de changer les serrures officielles de ces containers afin de servir en un temps record.

Des cadenas ont été apposés, mais rien n’y a fait. Des bennes ont même été sciées avec une disqueuse… Il y a aussi eu des citoyens qui se sont fait racketter devant les containers: les malfrats faisaient le guet et exigeaient, parfois sous la menace, que les habits leur soient remis. «Nous avons toute sorte de catégorie de pilleurs», poursuit Pascal Mundler. Et d’ajouter: «Dernièrement, ce sont des voleurs à bord de voitures immatriculées à Lyon qui ont été surpris en train de se servir dans les containers.»

Pour sa part, la police confirme avoir interpellé des pilleurs de boîtes à fringues: «Principalement des Roumains, détaille Silvain Guillaume-Gentil, porte-parole de la police. Mais nous avons aussi interpellé un Français qui était resté coincé dans un container à Lancy.»

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