Lausanne-Cités : Le Parti libéral-conservateur critique la décision de la Municipalité de Lausanne “La population va être arrosée de communications déguisées.”

Le Parti libéral-conservateur (PLC) critique la décision de la Municipalité de Lausanne de soutenir le tout-ménage gratuit Lausanne Cités. Le parti composé d’ex-UDC y voit «une campagne politique continue orchestrée par la majorité» de gauche.

«Contrairement à M. Blocher qui était prêt à engager son propre argent, la municipalité rouge-rose-verte réalise son projet sur le dos des contribuables», a écrit hier le parti, qui promet une interpellation urgente à la rentrée d’août. A ses yeux, le collège va «arroser la population avec ses communications déguisées en information».

Source et article complet

Nos remerciements à Info

 

Rappels :

12 juillet - Soutien de la Ville à Lausanne Cités : « la presse est un contre-pouvoir »

11 juillet – LesObservateurs.ch: La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

6 juin – La couverture de Lausanne Cités. Jubilation : Blocher n’a pas pu acheter le journal

30 mai – Christoph Blocher ne rachètera pas «GHI» et «Lausanne Cités»

4 mai – Médias. Un appel à la diversité de la presse relayé par Lausanne Cités !

 

 

Retour de bâton: “Les collaborateurs du groupe Tamedia sont très inquiets pour l’avenir du Matin”

Lorsque des journalistes qui manipulent l'actualité, censurent massivement les protagonistes de droite, imposent leur dictat depuis de nombreuses années se rendent compte que leur cinéma peut prendre fin... Grande révélation pour eux: prendre les gens pour des cons peut avoir des conséquences désagréables.

Je ne comprends d'ailleurs pas leurs craintes: ils ont tellement milité pour les musulmans. Ces derniers n'ont donc pas acheté massivement leur propagande en remerciement? Ou alors les journalistes du Matin ont-ils cru naïvement que les Suisses Romands continueraient à cautionner docilement leurs foutaises?

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Les collaborateurs du groupe Tamedia sont très inquiets pour l'avenir du Matin. La version imprimée du quotidien pourrait disparaître d'ici deux ans. Ils attendent des explications de la direction la semaine prochaine.

Les journalistes du Matin ont appris il y a une dizaine de jours lors d'une séance de rédaction que leur titre n'existerait probablement plus sous forme papier d'ici deux ans.

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Rappels:

Le gag du jour vous est offert par le Matin Dimanche: « Sommaruga entend décourager les candidats à l’exil. »

Élection au Conseil Fédéral Suisse. Le Matin Dimanche totalement partial

Le Matin: « Des petits Suisses de l’EI prennent du galon »

Le Matin vole au secours d’Ada Marra : « Un torrent de boue sur une élue »

Le Matin : nouveau sermon en faveur de l’invasion migratoire

Le Matin : manipulation des lecteurs, de la théorie à la pratique

Suite de la liste ici

Faillite de l’Hebdo: Un fonds d’urgence veut faire passer les Suisses à la caisse pour sauver ce journal.

Christian Hofer: En clair, le message déclare "vous ne voulez pas acheter notre journal mais on va tout de même vous forcer à payer.".
C'est une notion totalitaire qui fait fi de la liberté. Mais cela démontre surtout que ces gens de gauche se moquent éperdument du peuple et l'utilisent pour se remplir les poches puis lui imposent leur morale dégoulinante, jusqu'à le culpabiliser s'il ose émettre la moindre opposition.
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Afin de garantir la continuité de la parution de L'Hebdo, au moins de façon transitoire, l'association Médias pour tous réclame la mise en place d'un fonds d'urgence.

"Socialement, L'Hebdo est rentable, la Suisse romande culturelle et politique ne doit pas baisser les bras": tel est l'appel lancé par Médias pour tous, une association créée il y a un an pour défendre les conditions d'existence des médias d'information.

 

 

Sortir de la logique commerciale

"Dans l'urgence, on peut aider à une initiative de journalistes de L'Hebdo, et d'autres, qui peuvent faire redémarrer sous une forme ou une autre un journal qui ne s'appellerait peut-être pas L'Hebdo (…) parce qu'il ne serait pas vendu dans des conditions normales par l'éditeur", explique dans le journal de 12h30 Frédéric Gonseth, président de l'association.

Le cinéaste estime qu'il est ainsi imaginable qu'un organe hebdomadaire romand redémarre, auto-organisé par les journalistes qui y travaillent afin de "sortir de la logique de rentabilité privée, commerciale, qui étouffe la presse aujourd'hui".

Pour que les cantons, les communes et le public agissent

"Il est absolument nécessaire que les cantons fassent au moins une intervention d'urgence. Que tous les cantons romands se mettent ensemble et fassent appel aux communes principales concernées (…) Ainsi qu'au public qui peut se joindre à une action de crowdfunding (NDLR : financement participatif)", ajoute-t-il.

Les sommes en jeu pour permettre une continuité, "d’avoir un journal romand qui fait des enquêtes, qui est lu un peu partout et aide à la cohésion de cette région du pays", ne semblent pas non plus être un obstacle, estime Frédéric Gonseth: "Pour faire cela, on n'a pas besoin de beaucoup d'argent, je dirais quelques millions. Et il faut faire ce geste maintenant, sinon il va y avoir une rupture de continuité et les savoir-faire seront perdus."

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Nos remerciements à PP

 

Le journal L’Obs: “Le risque, aujourd’hui, c’est le national-catholicisme”

A noter que ce journal socialiste est évidemment entre les mains d'un certain Pierre Bergé, instigateur du mariage pour tous et haineux anti-chrétiens.

Le titre est un bijou de manipulation puisqu'il gomme le terme "socialisme" qui pointait du doigt le nazisme et l'idéologie totalitaire dont ce journal se revendique tout en attaquant une religion qui est menacée par ces mêmes gauchistes et par l'islam.

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Pour Andrea Riccardi, fondateur de la Communauté de Sant'Egidio et proche du pape François, l'élection du populiste Trump et la montée des réflexes identitaires rendent encore plus indispensable la voix bergoglienne.

L'OBS. On se souvient de la tempête politique qu'avait soulevée le pape François en février dernier en déclarant au sujet de Donald Trump et de ses projets de mur antimigrants à la frontière avec la Mexique : «Une personne qui pense uniquement à ériger des murs, et non à créer des ponts, n'est pas chrétienne.» Quelle conséquence peut avoir la présidence Trump sur le pontificat de Bergoglio?

Andrea Riccardi. Entre le pape et le nouvel «empereur», il y a bien plus qu'un différend personnel, il y a un grave écart de fond. Le paradoxe, c'est que l'élection de Trump rend d'autant plus crucial le rôle du pape: il reste l'autre voix indispensable, non seulement pour les chrétiens, mais pour tous les démocrates. Cependant, on ne peut pas oublier que 52% des catholiques américains et plusieurs évêques ont donné leur voix à Trump. Ce choix révèle à quel point l'ensemble du catholicisme n'est pas uni derrière ce pape. Si aujourd'hui il devait y avoir un vote des évêques, je ne suis pas sûr qu'il garderait sa place.

Suite de l'article (réservé aux abonnés)

Journal quotidien d’un Français au contact de l’immigration: “Ils essaient à présent de mettre le feu au restaurant de mon fils.”

Un lecteur nous écrit, essayant simplement de vivre et de travailler honnêtement en France avec son jeune fils. Voilà la réalité qui ne sera jamais publiée par les journaux traitant de l'immigration et du multiculturalisme, éléments qui font la fierté de la France socialiste dans l'hypocrisie la plus totale.

Est-ce cela que nous voulons en Suisse?

(Bien entendu, pour la sécurité des personnes impliquées, nous avons enlevé les noms et la dénomination des lieux.)

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Grenoble quartier .... : nouvel incendie criminel et tentative d’homicide

Depuis que W. 23 ans a repris ce restaurant situé au cœur du centre-ville place ..., une affaire qui avait été fermée pendant près de deux ans, les exactions commises par un véritable gang de voyous ne cessent de s’accumuler.

Au départ parce que l’arrivée de nouveaux occupants dans cette affaire qui avait été squattée par ces mêmes Maghrébins dérangeait car dans l’esprit de ces derniers c’était une intrusion sur leur territoire.

La place ..., un espace dédié à la consommation et au deal de drogue, que l’ouverture prochaine du restaurant risquait de déranger, alors W. a été menacé de toutes les manières : depuis les coups contre la porte en pleine nuit jusqu’à des menaces de mort explicites.

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Mais aussi de casser les vitrines et mettre le feu au restaurant.

Ce qui vient de se passer ce weekend, quand, suite à une énième altercation dans cette lutte incessante entre la nécessité de garder la paix publique pour permettre l’activité du restaurant, et la prise de contrôle de l’espace public par le gang du quartier ..., un incendie criminel visant à faire bruler le restaurant avec ses occupants a eu lieu dans la matinée de samedi à 4h30.

Deux containers poubelles remplis d’essence avaient été mis intentionnellement contre la vitrine du restaurant, sous le préau au contact direct des appartements de l’immeuble, et les flammes atteignaient déjà une hauteur de 3 m.

Sans la présence et le sang-froid du jeune restaurateur qui a poussé le container dans la rue, le restaurant aurait pu rapidement prendre feu avec ses occupants ainsi que l’immeuble tout entier car les flammes léchaient déjà le plancher du premier étage.

Ce dimanche, les voyous constatant sans doute l’échec de leur première tentative, renouvelaient leurs attaques en fracassant les vitrines et les portes vitrées sur plus de 10 mètres linéaires en pleine après-midi.

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W. s’apprête donc non seulement à déposer plainte contre les mêmes voyous pour la douzième fois en 9 mois, mais aussi à fermer son affaire le temps que les travaux de sécurisation et de remplacement puissent avoir lieu, ce qui nécessitera de nombreux jours entre les procédures d’expertise et les devis et la réponse des assurances.

Fragilisant ainsi les chances de succès de son affaire encore naissante, dans une période difficile où le commerce souffre déjà à Grenoble.

Pour information, depuis un mois pas moins de 5 incendies criminels ont été provoqués par la même bande dans les immeubles du quartier ....

Le Vif.be culpabilise les Européens qui s’opposent à l’immigration: “Etes-vous contaminé par l’extrême-droite?”.

Christian Hofer: L'article, illustré par un salut nazi, épingle notamment l'UDC dans l'explicatif d'une question. Rien que sur cette base, la journaliste devrait être poursuivie pour diffamation.

Je vous laisse juger le niveau des autres questions qui font passer un pro-Brexit pour une chemise brune. La pression de la propagande est tout simplement incroyable. Cela ressemble d'ailleurs étrangement à l'article de la journaliste suédoise Hagen. Cette dernière appelant à éradiquer les anti-migrants. Or en vérité, les seuls qui imposent leur point de vue par la force, ce sont ces journalistes totalement déconnectés de la réalité qui mériteraient amplement le sobriquet de fascistes!

Pendant que l'Europe voit déferler des clandestins se permettant tous les délits, jusqu'à violer, détruire des églises, mettre en danger de mort des automobilistes, tabasser ou encore poignarder en pleine rue, le Vif.be pointe du doigt le... nationalisme européen. Ceux qui avaient mis en garde, qui avaient raison avant les autres sont désormais les... coupables! Une très jolie inversion dont le système a le secret.

Et cela après des attentats islamistes en Belgique, le scandale de l'islamisation de villes comme Molenbeek ou encore les coûts scandaleux de cette immigration supportés par les Européens.

Quelle que soit la situation, quels que soient leurs crimes, les clandestins seront protégés par ces médias crapuleux.

Plus encore, selon l'article de la journaliste 

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Les attentats de Paris et de Bruxelles et la vague d'immigration massive de l'an dernier font le jeu de l'extrême droite. Les élus démocrates reprennent d'ailleurs à leur compte certaines de ses revendications, jugées jadis inacceptables. Poussés, semble-t-il, par l'adhésion croissante de citoyens aux idées brunes. Et vous? Un peu, beaucoup ou pas du tout? Le test.

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Pour dénoncer le “racisme”, un journal français publie les noms des commentateurs anti-migrants

« L’idée est née d’un ras-le-bol de lire quotidiennement des messages haineux envers les migrants et les journalistes, parfois menacés de mort par certains. On efface ces commentaires quand on les voit ou qu’ils nous sont signalés, et on publie régulièrement sur Facebook un rappel de la loi, mais ça ne suffisait plus. On a donc décidé d’une action coup de poing », explique Julien Pouyet, journaliste de Nord Littoral, à BFMTV.com.

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Sans masquer les noms et prénoms utilisés par les internautes, la rédaction a publié les messages les plus choquants reçus sur sa page Facebook. Et ce, afin de dénoncer l’inaction du réseau social face à ces appels à la haine, pourtant pénalement répréhensibles.

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C’est un ras-le-bol. Face à la multiplication des messages anti-migrants postés par des internautes sur sa page Facebook, Nord Littoral a publié samedi un florilège de commentaires haineux.

La première décision de ce type remonte au 20 octobre dernier. Le quotidien le plus lu d’Allemagne, Bild, publie ce matin-là sur une double page une sélection des messages haineux et anti-étrangers, anti migrants pour les dénoncer Ça suffit», expliquait le tabloïd allemand.

Et bien ce week-end, au tour de Nord Littoral de dénoncer la montée du racisme et de l’antisémitisme. Comme son confrère germanique, le quotidien local a lui aussi décidé de publier des commentaires haineux parus sur Facebook. Un ras-le-bol tour simplement.

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Haine sur Facebook : Nord Littoral dévoile l’identité d’internautes ayant tenu des propos inqualifiables

Alors que le collectif « Faites de la tolérance » interpelle Facebook via une pétition, Nord Littoral prend position

En France, chacun peut constater sur Facebook un véritable déferlement de propos haineux et discriminants, confinant pour certains à l’appel au meurtre, largement relayés, le plus souvent sous couvert d’anonymat », note cruellement le collectif Faites de la tolérance.

Créée par la députée socialiste du Pas-de-Calais Brigitte Bourguignon, il a lancé une pétition pour que Facebook s’engage contre la violence et le racisme sur son réseau social. Une pétition dans laquelle il interpelle Laurent Solly, le DG de Facebook France. [...]

Bien sûr le contexte lié à la présence importante de migrants dans le Calaisis peut « effrayer » mais les « propos qui sont tenus sur ces réseaux vont bien au-delà de la haine anti-migrants. Ils ne sont qu’un prétexte pour certains qui jouent aux nazillons. » [...]

Être Charlie ne signifie pas pouvoir être raciste, antisémite, haineux, appeler au meurtre… C’est pourtant ce que nous relevons presque tous les jours sur le Web. [...]

Depuis plusieurs mois, les commentaires sur le sujet de l’immigration offrent un ramassis de propos inqualifiables. [...]

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France : Nord Littoral fait de la délation

 

Ci-dessus, dessin de Miège

 

Le journal du Nord-Pas-de-Calais a compilé les messages racistes postés sur sa page Facebook, en mentionnant les auteurs. Contactée, la rédaction explique avoir voulu mettre un frein à ces propos punissables par la loi.

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Olivier propose de « construire un camp de concentration » pour être « tranquille ». Jean-Jacques, lui, suggère de « leur rouler dessus », tandis que Lola espère « que par chance, certains mourront peut-être » à la nage. Ces internautes parlent des migrants, qui fuient la Syrie, l’Afghanistan, l’Erythrée ou encore l’Irak. Leurs commentaires ont été postés sur Facebook en réaction à des articles publiés par le site de Nord Littoral.

« Un ramassis de propos inqualifiables »

Un déferlement de violence qui a incité le quotidien régional à « prendre position ». « Être Charlie ne signifie pas pouvoir être raciste, antisémite, haineux, appeler au meurtre… C’est pourtant ce que nous relevons presque tous les jours sur le web », indique la rédaction.

« Depuis plusieurs mois, les commentaires sur le sujet de l’immigration offrent un ramassis de propos inqualifiables. Les Calaisiens ont le droit de dire qu’ils ne veulent pas des migrants dans leur ville. Nord Littoral ne censurera jamais les internautes qui le pensent et l’écrivent. En revanche, il signalera désormais tous les propos répréhensibles du point de vue de la justice », peut-on encore lire sur le site du journal.
Suivant l’exemple du quotidien allemand Bild, qui avait publié dans ses colonnes des commentaires xénophobes avec l’identité des auteurs, le quotidien a compilé ce mardi une partie des messages les plus haineux, avec les noms choisis par leurs auteurs sur Facebook.

« L’idée est née d’un ras-le-bol »

« L’idée est née d’un ras-le-bol de lire quotidiennement des messages haineux envers les migrants et les journalistes, parfois menacés de mort par certains. On efface ces commentaires quand on les voit ou qu’ils nous sont signalés, et on publie régulièrement sur Facebook un rappel de la loi, mais ça ne suffisait plus. On a donc décidé d’une action coup de poing », explique Julien Pouyet, journaliste de Nord Littoral, à BFMTV.com.
« Certains irréductibles nous ont accusés de délation, et nous ont dit qu’ils ne viendraient plus lire nos articles. Mais beaucoup d’autres, au contraire, nous ont soutenu et ont mentionné le fait qu’ils ne venaient plus sur notre page Facebook à cause de ces messages haineux, et que cette démarche leur donnait envie d’y revenir », poursuit le journaliste.
Une démarche destinée également à faire parler du collectif Faites de la tolérance, créé par une députée socialiste du Pas-de-Calais, Brigitte Bourguignon. L’association vient de lancer une pétition pour interpeller Facebook sur sa politique de modération, jugée trop laxiste.

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Des commentaires vulgaires, violents ou déplaisants, chaque site en reçoit et les enlève… Dénoncer leurs auteurs est indigne et ce n’est pas la vocation d’un media se disant d’informations et pluraliste! Pour reprendre une expression prisée des socialistes et alliés: cela nous rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire… Et si les heures les plus sombres de notre Histoire ne se conjuguaient plus au passé… (Note de la rédaction de Délits d'im@ge)

Pour les amateurs: délation mode d’emploi!

L’UDC fait de la publicité dans le journal de gauche «Le Courrier». Des lecteurs résilient leur abonnement

Le parti agrarien n'a pas hésité à acheter de la pub dans «Le Courrier». Outrés, certains lecteurs ont résilié leur abonnement.

«Je ne suis pas sûre que l’UDC ait gagné beaucoup de vote avec cet encart, par contre «Le Courrier» y a perdu un peu d’estime.» Ce coup de gueule partagé sur un réseau social a été poussé par une abonnée lausannoise du quotidien genevois de gauche. Comme d’autres lecteurs et militants de ce journal indépendant, elle a été heurtée par une annonce politique du parti de Christoph Blocher, parue à la veille du premier tour des élections fédérales, et appelant à voter... UDC!

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L’image du jour: La Une du journal Minute

Dans une controverse célèbre, le grand philosophe français Julien Freund lança un jour à l’un de ses professeurs : « Comme tous les pacifistes, vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi. Or c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin. »

L’attaque contre « Charlie Hebdo », et les autres opérations terroristes qui ont suivi, sont une déclaration de guer­re à la France. Il ne sert à rien que François Hollande, Laurent Fabius, Ma­nuel Valls ou Bernard Cazeneuve cherchent à masquer la réalité, à continuer de refuser d’accoler l’adjectif « islamiste » au mot « terroriste » comme le ministre des Affaires étrangères, celui qui préfère que l’on dise « Daech » plutôt qu’Etat islamique, le faisait encore lundi, cinq jours après l’attaque. Com­me le dit plus simplement le criminologue Alain Bauer, intime de Valls : « Il faut arrêter de ne pas dire les choses. »


Dans « Monde & Vie », qui vient de paraître, l’abbé de Tanoüarn écrit avec une acuité de l’esprit rare dans la presse de ces derniers jours que les victimes des frères Kouachi et de Coulibaly « sont, par position, des martyrs de la civilisation européenne ». « Par position », car là où ils se trouvaient, ils symbolisaient cette civilisation et, ce qui lui appartient en propre, la liberté, y compris celle d’être odieux avec les idoles d’un mon­de politico-religieux qui persiste à se vouloir totalitaire (et y compris celle d’être odieux avec ce qu’est réellement la civilisation européenne).

Vu du dehors, car les terroristes islamistes, pourtant français par la carte d’identité, se posaient en éléments tout à fait extérieurs de la France – il est fascinant de voir à quel point, dans ses con­versations avec les otages, Coulibaly disait « vous », « vous » les Français… –, « Charlie » incarnait la France, cette France mécréante que, faute de convertir, il faut punir sinon exterminer, au nom du Coran, au nom de Mahomet. « Le prophète est vengé ! » a crié l’un des frères Kouachi après la tuerie. Pas d’amalgame, qu’ils disent…

On en ferait pourtant bien un autre, d’amalgame. Tous ceux qui ont défilé

– et il fallait le faire dans cette épreuve collective – savent-ils que la Républi­que, qui prétend combattre « le terrorisme », s’est justement érigée sur le terrorisme ? Que le terrorisme est fils de la Révolution française et de cette Terreur qui extermina des dizaines de milliers de Français qui refusaient « les valeurs de 1 789 », comme ils disent, et qui ne s’acheva qu’en 1 794 après la chu­te de Robespierre… qu’ils invoquent ? France décérébrée, France sans mémoire, qui ne sait plus qui elle est, d’où elle vient, et qui se dresse « contre le terrorisme » et pour Charlie alors qu’au premier coup de feu, elle appelle la Ligue des droits de l’homme ou le Conseil français du culte musulman…

A la veille de Noël, sous le titre « L’escalade d’un ennemi intérieur que l’Etat n’ose pas nommer », nous écrivions, après qu’il y avait eu floraison de « déséquilibrés » de Joué-lès-Tours à Dijon : « Aujourd’hui des blessés, demain des morts, au cœur même de notre territoire où, d’un simple clic sur un clavier d’ordinateur, se lèvent ceux qu’on appelait autrefois, du temps de la guerre froide entre Est et Ouest, des “agents dormants“ lorsqu’il s’agissait d’agents soviétiques, des “stay-behind“ – ceux qui restent derrière les lignes – lorsqu’on parlait du réseau d’agents clandestins piloté par l’Otan. »

Nous ajoutions : « Sauf qu’à la différence des agents dormants de l’un ou l’autre bord, les combattants islamistes : 1. sont en nombre inconnu et en tout cas bien supérieur aux 5e colonnes qui étaient prépositionnées sur notre territoire ; 2. n’ont pas peur de mourir et en éprouvent même de la fierté ; 3. peuvent être activés par un simple message ou une vidéo postée sur internet ; 4. se renouvellent sans cesse, au fil des migrations. » (1)

Dimanche 11 janvier 2015, ce fut la première fois de toute l’histoire de l’humanité peut-être que l’on vit l’ensemble des responsables politiques défiler con­tre les conséquences de leur propre po­litique ! Macabre ironie de l’histoire qui voit les figures emblématiques de Mai 68 mourir sous les balles de ceux qui n’auraient pas pu agir si l’esprit de Mai 68 n’avait pas contaminé toute la société, si les flots de l’immigration n’avaient pas été grand ouverts, si la compassion pour les criminels n’avait pas en tout lieu remplacé la justice, si la double peine n’avait pas été abolie, si cet­te « parenthèse enchantée », comme dit Eric Zemmour, où l’idée même de la guerre avait disparu et où l’on avait ou­blié que l’histoire est tragique, n’avait pas eu lieu.
Le 7 janvier, c’est cette « parenthèse enchantée » qui s’est refermée en même temps que débutait une guerre contre un ennemi intérieur qu’il va maintenant falloir mener avec le concours de toutes les forces armées mais aussi de toutes les forces morales, c’est-à-dire avec le concours de toute la nation, quit­te à se séparer des rétifs, des récalcitrants, de cette racaille qui, dans les écoles, dans les rues, sur les lieux même des crimes parfois, a manifesté sa solidarité avec les terroristes islamistes.

Cette guerre sera longue et difficile, elle fera des victimes mais elle sera ga­gnée. A la condition qu’aux « Je suis Charlie », lointain écho en nettement plus insignifiant du « Nous sommes tous des juifs allemands » de Mai 68, succède une reprise morale, déjà amorcée, celle qui mettra définitivement un terme aux années de « Sida mental » décrites par Louis Pauwels il y a déjà près de trente ans, et qui sont la principale cause de la perte de nos défenses immunitaires.
« Minute »

Source

Le journal d’extrême gauche Vigousse va bénéficier de l’aide de l’Etat

Le journal "Vigousse", tiré à 12'000 exemplaires, a finalement droit à l'aide à la presse. Le Tribunal fédéral a rejeté un recours de l'Office fédéral de la communication (OFCOM).

Dans son jugement, le TF a repris la plupart des arguments du TAF. Pour sa part, l'OFCOM estimait toujours que le journal ne remplit pas toutes les exigences. L'office exige que 75% du tirage soit distribué en abonnement. Or la proportion d'abonnés de "Vigousse" est de 53%.

Le TAF considère qu'en exigeant 75%, l'OFCOM a placé la barre beaucoup trop haut. La loi sur la poste prévoit que les journaux bénéficiant de l'aide à la presse doivent avoir des abonnés, mais rien ne permet d'en déduire que leur nombre doit correspondre à un certain pourcentage par rapport au tirage.

Cette décision est, selon Thierry Barrigue, le dessinateur et directeur du titre, une "véritable bouffée d'oxygène". (NDLR En d'autres termes, l'Etat vient de sauver un média de gauche avec notre argent sans que nous ayons notre mot à dire).

Voici quelques dessins de ce journal que l'Etat subventionne désormais :

Le journal de gauche Libération pourrait licencier plus de 90 personnes

Des licenciements au sein de la rédaction

A l’issue d’une ultime réunion, la direction du quotidien Libération a annoncé aujourd’hui aux salariés la volonté de supprimer 93 postes dans le journal, dont 81 CDI et 12 CDD. Il a été précisé que ce sera des départs volontaires ou des licenciements.

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L’objet de ces licenciements est d’unifier au maximum la rédaction papier et numérique de 130 journalistes, comme l’a précisé Laurent Joffrin dans une tribune: «La crise de la presse, qui frappe cruellement les quotidiens, nous oblige à adapter nos effectifs, comme le font beaucoup de journaux en France et dans le monde (…) Cette réduction doit nous conduire à une exploitation bénéficiaire à la fin de 2015. L’indépendance du journal est à ce prix (…) Cette diminution du nombre des salariés a été calculée de manière à nous donner les moyens de poursuivre notre tâche dans des conditions réalistes. Une fois effectuée, elle sera aussi l’occasion d’un nouveau départ, fondé sur une transformation complète de notre entreprise».

Le président du directoire, François Moulias, s’est également exprimé sur la situation: «La direction va ouvrir un plan de sauvegarde de l’emploi (…) A l’issue de trois mois de consultation, les salariés, journalistes et non journalistes, se verront proposer un nouveau contrat de travail s’inscrivant dans le cadre de la fusion des rédactions web et papier. Ceux qui refuseraient ce nouveau contrat seront amenés à être licenciés».

Fin juillet, alors au bord de la faillite, le titre ed presse a bénéficié d’un apport de 18 millions d’euros, en grande partie apporté par le milliardaire Patrick Drahi, dirigeant du groupe Altice.

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Le Matin fait la promotion d’un “humoriste” anti-chrétien et de gauche

Après sa manipulation de l'information quant à l'idée des jeunes UDC qui ne visait que la neutralité des opinions à l'école, voilà le Matin qui repart sur ses terres de prédilections.

Dans cette voix ni aiguë ni grave baigne une impression de sagesse galvaudée, de fierté maladroite et de mauvaise foi. Et la foi, c’est la spécialité de Jean-Gabriel Cuénod, diacre (fictif) du village (fictif) de Chastavel. L’accoutrement, ensuite. Lunettes de psychopathe, chaussettes de grand-papa. Alors que la robe blanche liturgique tombe sans faux pli, le nœud papillon et la croix chrétienne emballent la carotide sans faux pas. Et c’est avec un esprit aussi étriqué que ses vieilles sandales cuirassées que ce personnage crée par le comédien Didier Charlet accueillera ses fidèles dès ce soir au Théâtre Boulimie de Lausanne.

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Car «Hosanna! Dans la joie» est un spectacle d’humour. Cet homme d’Eglise n’existe pas. Ou plutôt si, mais (presque) en chacun de nous. Avant de vouer son existence insignifiante à Dieu, Jean-Gabriel Cuénod est d’abord un homophobe affirmé, un xénophobe convaincu et un suppôt du grand capital. Derrière la satire religieuse, Didier Charlet dresse le portrait d’une Suisse recroquevillée sur ses peurs et ses méconnaissances.

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